Gémissements dans les écuries
Récit érotique écrit par Farachimbank [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Gémissements dans les écuries
Gémissements dans les écuries
Après le déjeuner, je voulais faire une sieste comme tous les jours, mais c’était impossible, la fête battait son plein, les femmes chantaient, le bruit des tamtams était assourdissant.
C’était la fête les femmes étaient habillées de caftans de différentes couleurs, chacune pavoisait de la beauté de ses habits, il y avait tout un défilé de mode comme dans toutes les fêtes de mariage.
Toutes ces femmes habillées ainsi provoquent l’instinct sexuel des hommes, c’est exprès qu’elles le font, moi je n’étais pas du reste, j’admirais toute cette cohorte qui brille par mille feux, mêmes les filles modernes étaient habillées de la sorte, elles apparaissent sous une vision différentes, ces habits te font monter un désir énorme, c’était l’après midi, la chaleur de juillet a baissé d’intensité. Il y avait beaucoup d’invités, hommes et femmes, des jeunes filles que je ne connaissais pas.
Les hommes était sous une tente avec chapiteau, bien décorée de l’intérieur, mon oncle n’a pas lésiné sur les moyens il a pris un traiteur pour s’occuper de l’organisation l’équipement et la bouffe ; la famille était tranquille, on profitait de la fête : un orchestre était déjà en place, la musique marocaine andalouse animait la fête, des jeunes danseuses habillées en caftans se trémoussaient devant les invités, une troupe folklorique berbère était en action en dehors de la tente, il y avait tout un brouhaha ,personne n’entendait personne, comme je n’ai pas l’habitude de ces fêtes, je tournais en rond cherchant à dénicher un gibier facile pour la nuit, il y avait de toutes les gammes, des grosses, des maigrichonnes, des belles et des moins belles, mais toutes étaient actives sexuellement parlant ; mais il y avait une qui manquait, c’était Salma elle ne se trouvait nulle part.
Comme d’habitude je fais un tour autour de la ferme, je vais à l’étable, je passe par la grange et je rentre aux écuries, juste pour vérifier si les chevaux étaient tranquilles avec les bruits qu’il y a dehors, j’ai ouvert la porte cochère doucement pour ne pas les effrayer, j’ai tendu l’oreille, les chevaux étaient tranquilles mais j’ai perçu des gémissements, il provenaient d’un boxe vide ; je me suis approché furtivement, de façon à localiser avec précision l’origine des gémissements. J’ai risqué un œil de la fente de la portière du boxe et j’ai regardé, une fille était à demi nue par en bas, elle avait mis des doigts dans son minou et faisait des allers et venues, elle se masturbait, les yeux fermés, la bouche ouverte, haletant et gémissant à tue tête avec un rictus de plaisir, elle a accéléré son mouvement et ses gémissements et s’effondra en un orgasme sauvage, elle a presque perdu connaissance.
Je l’ai laissé se reposer et j’ai ouvert la portière du boxe, elle a ouvert grand les yeux et m’a regardé, c’était Salma, ma cousine.
- Bonjour
- Bonjour
- Qu’est ce que tu fais là ?
- Hmmmmmmm
- Quoi ?tu te fais du plaisir
- Je n’ai trouvé personne pour m’aider et j’ai eu une envie folle de sexe.
- Je suis là ma chère cousine pour te satisfaire.
Sitôt dit sitôt fait, je me suis approché d’elle, j’ai baissé mon pantalon et j’ai sorti ma verge déjà en érection, suce moi d’abord je lui dis, elle se balança sur ma bite et l’a engloutie
Ça chantait toujours dehors, personne ne se rendra compte de notre absence, ni entendra nos gémissements, elle a continué à sucer, elle est devenue une artiste dans l’art de sucer, elle a même gobé mes couilles, elle suçait et suçait et moi je gémissais haut et fort, j’étais fou de joie de trouver une fille pour me donner du plaisir, j’ai senti le plaisir monter en moi je lui dis que je vais jouir elle ne m’a pas lâché, elle a continué à pomper et soudain je me suis déversé dans sa bouche et elle a tout avalé ne laissant aucune goutte tomber par terre.
Elle était assise sur une botte de paille comme banc, je l’ai relevé et embrassé, je l’ai débarrassé de son caftan pour ne pas le froisser et le salir, elle est restée nue devant moi, j’ai continué à l’embrasser tout en lui caressant le dos, comme elle est grosse, j’ai eu un plaisir énorme à la caresser, j’ai continué mes caresses jusqu'au bas de son dos, là je me suis emparé de ses fesses et j’ai continué à les caresser, elle gémissait, j’ai mis ma main entre ses fesses et je lui ai glissé un doigt dans le trou du cul, elle a apprécié par un gémissement long, elle a glissé sa main vers ma bite tentant de me faire une masturbation, ma verge a pris de la vigueur et s’est redressée, j’ai continué à lui besogner le cul avec mon doigt et elle gémissait ,elle gémissait fortement en me demandant de continuer, elle a exhalé tout l’air qu’il y avait dans ses poumons elle venait de jouir, elle tremblait elle ne tenait plus sur les pieds, je suis allé doucement ,je l’ai fait asseoir sur les genoux, les mains sur la botte de paille, j’ai enlevé mon pantalon et slip et je me suis mis derrière elle, elle était prête pour la pénétration, j’ai pointé ma bite sur son vagin et je me suis engagé, elle m’a reçu avec plaisir, elle s’est cambrée me sortant son vagin le plus possible, j’ai commencé mes allers et venues, elle gémissait fort, on ne risque rien avec le brouhaha qu’il y a dehors, j’ai continué à baiser tout en observant le sphincter qui s’ouvrait et se fermait, la baise lente et la liberté de s’exprimer ont fait leur effet, ma cousine vient de jouir tout en criant OOOOOOGHHHHHHHHH QUE C’EST BON, OUIIIIIIIIIIIIIIIIII !
Moi j’avais envie de terminer dans le cul, je ne veux pas qu’elle tombe enceinte et d’ailleurs son cul est devenue une drogue pour moi depuis que je l’ai dépucelée par là, j’ai sorti ma bite de son vagin et j’ai mis le gland sur le trou du cul et j’ai poussé, il s’est glissé doucement elle poussa un aie tu m’as fais mal, je me suis retiré je lui ai craché s r le trou et je suis revenu. J’ai enfoncé le gland, il a glissé comme un couteau chaud dans du beurre, je suis allé jusqu'à ce que mes couilles l’arrêtent, j’ai commencé a pomper et elle à gémir, moi aussi je gémissais, j’étais au summum de l’extase, un corps juvénile, de la bonne chair, un consentement mutuel, rien de plus beau. On baisait fort et bien, elle me dit vas y plus fort et plus profond, j’ai accéléré mes mouvements, elle se trémoussait et criait, elle vient de jouir, nous étions en sueur, après avoir joui elle a commencé a rire, un fou rire, j’ai continué à la besogner et j’ai senti que j’allais jouir, elle m’a dit je veux que tu jouisses sur mon corps, je me suis retiré d’elle et elle s’est étendu par terre, j’ai continué a me masturber et j’ai joui sur ses seins on ventre et son visage, elle s’est badigeonné tout le corps avec mon sperme, et s’est relevé, elle m’a dit qu’elle voulait aller à la fête avec le parfum de sperme sur le corps. Elle a mis son caftan, réglé sa chevelure et est repartie à la fête. Je l’ai rejoint après, personne ne s’est rendu compte de notre absence, je l’ai vu une demi-heure au milieu des femmes, elle était ravissante, elle avait refait son maquillage, elle m’a fait signe comme quoi elle a gardé le parfum sperme sur le corps, je me suis approché d’elle, elle m’a dit tu ne sens pas que je sens le sperme ? Effectivement elle sentait la baise encore la pute !
Après le déjeuner, je voulais faire une sieste comme tous les jours, mais c’était impossible, la fête battait son plein, les femmes chantaient, le bruit des tamtams était assourdissant.
C’était la fête les femmes étaient habillées de caftans de différentes couleurs, chacune pavoisait de la beauté de ses habits, il y avait tout un défilé de mode comme dans toutes les fêtes de mariage.
Toutes ces femmes habillées ainsi provoquent l’instinct sexuel des hommes, c’est exprès qu’elles le font, moi je n’étais pas du reste, j’admirais toute cette cohorte qui brille par mille feux, mêmes les filles modernes étaient habillées de la sorte, elles apparaissent sous une vision différentes, ces habits te font monter un désir énorme, c’était l’après midi, la chaleur de juillet a baissé d’intensité. Il y avait beaucoup d’invités, hommes et femmes, des jeunes filles que je ne connaissais pas.
Les hommes était sous une tente avec chapiteau, bien décorée de l’intérieur, mon oncle n’a pas lésiné sur les moyens il a pris un traiteur pour s’occuper de l’organisation l’équipement et la bouffe ; la famille était tranquille, on profitait de la fête : un orchestre était déjà en place, la musique marocaine andalouse animait la fête, des jeunes danseuses habillées en caftans se trémoussaient devant les invités, une troupe folklorique berbère était en action en dehors de la tente, il y avait tout un brouhaha ,personne n’entendait personne, comme je n’ai pas l’habitude de ces fêtes, je tournais en rond cherchant à dénicher un gibier facile pour la nuit, il y avait de toutes les gammes, des grosses, des maigrichonnes, des belles et des moins belles, mais toutes étaient actives sexuellement parlant ; mais il y avait une qui manquait, c’était Salma elle ne se trouvait nulle part.
Comme d’habitude je fais un tour autour de la ferme, je vais à l’étable, je passe par la grange et je rentre aux écuries, juste pour vérifier si les chevaux étaient tranquilles avec les bruits qu’il y a dehors, j’ai ouvert la porte cochère doucement pour ne pas les effrayer, j’ai tendu l’oreille, les chevaux étaient tranquilles mais j’ai perçu des gémissements, il provenaient d’un boxe vide ; je me suis approché furtivement, de façon à localiser avec précision l’origine des gémissements. J’ai risqué un œil de la fente de la portière du boxe et j’ai regardé, une fille était à demi nue par en bas, elle avait mis des doigts dans son minou et faisait des allers et venues, elle se masturbait, les yeux fermés, la bouche ouverte, haletant et gémissant à tue tête avec un rictus de plaisir, elle a accéléré son mouvement et ses gémissements et s’effondra en un orgasme sauvage, elle a presque perdu connaissance.
Je l’ai laissé se reposer et j’ai ouvert la portière du boxe, elle a ouvert grand les yeux et m’a regardé, c’était Salma, ma cousine.
- Bonjour
- Bonjour
- Qu’est ce que tu fais là ?
- Hmmmmmmm
- Quoi ?tu te fais du plaisir
- Je n’ai trouvé personne pour m’aider et j’ai eu une envie folle de sexe.
- Je suis là ma chère cousine pour te satisfaire.
Sitôt dit sitôt fait, je me suis approché d’elle, j’ai baissé mon pantalon et j’ai sorti ma verge déjà en érection, suce moi d’abord je lui dis, elle se balança sur ma bite et l’a engloutie
Ça chantait toujours dehors, personne ne se rendra compte de notre absence, ni entendra nos gémissements, elle a continué à sucer, elle est devenue une artiste dans l’art de sucer, elle a même gobé mes couilles, elle suçait et suçait et moi je gémissais haut et fort, j’étais fou de joie de trouver une fille pour me donner du plaisir, j’ai senti le plaisir monter en moi je lui dis que je vais jouir elle ne m’a pas lâché, elle a continué à pomper et soudain je me suis déversé dans sa bouche et elle a tout avalé ne laissant aucune goutte tomber par terre.
Elle était assise sur une botte de paille comme banc, je l’ai relevé et embrassé, je l’ai débarrassé de son caftan pour ne pas le froisser et le salir, elle est restée nue devant moi, j’ai continué à l’embrasser tout en lui caressant le dos, comme elle est grosse, j’ai eu un plaisir énorme à la caresser, j’ai continué mes caresses jusqu'au bas de son dos, là je me suis emparé de ses fesses et j’ai continué à les caresser, elle gémissait, j’ai mis ma main entre ses fesses et je lui ai glissé un doigt dans le trou du cul, elle a apprécié par un gémissement long, elle a glissé sa main vers ma bite tentant de me faire une masturbation, ma verge a pris de la vigueur et s’est redressée, j’ai continué à lui besogner le cul avec mon doigt et elle gémissait ,elle gémissait fortement en me demandant de continuer, elle a exhalé tout l’air qu’il y avait dans ses poumons elle venait de jouir, elle tremblait elle ne tenait plus sur les pieds, je suis allé doucement ,je l’ai fait asseoir sur les genoux, les mains sur la botte de paille, j’ai enlevé mon pantalon et slip et je me suis mis derrière elle, elle était prête pour la pénétration, j’ai pointé ma bite sur son vagin et je me suis engagé, elle m’a reçu avec plaisir, elle s’est cambrée me sortant son vagin le plus possible, j’ai commencé mes allers et venues, elle gémissait fort, on ne risque rien avec le brouhaha qu’il y a dehors, j’ai continué à baiser tout en observant le sphincter qui s’ouvrait et se fermait, la baise lente et la liberté de s’exprimer ont fait leur effet, ma cousine vient de jouir tout en criant OOOOOOGHHHHHHHHH QUE C’EST BON, OUIIIIIIIIIIIIIIIIII !
Moi j’avais envie de terminer dans le cul, je ne veux pas qu’elle tombe enceinte et d’ailleurs son cul est devenue une drogue pour moi depuis que je l’ai dépucelée par là, j’ai sorti ma bite de son vagin et j’ai mis le gland sur le trou du cul et j’ai poussé, il s’est glissé doucement elle poussa un aie tu m’as fais mal, je me suis retiré je lui ai craché s r le trou et je suis revenu. J’ai enfoncé le gland, il a glissé comme un couteau chaud dans du beurre, je suis allé jusqu'à ce que mes couilles l’arrêtent, j’ai commencé a pomper et elle à gémir, moi aussi je gémissais, j’étais au summum de l’extase, un corps juvénile, de la bonne chair, un consentement mutuel, rien de plus beau. On baisait fort et bien, elle me dit vas y plus fort et plus profond, j’ai accéléré mes mouvements, elle se trémoussait et criait, elle vient de jouir, nous étions en sueur, après avoir joui elle a commencé a rire, un fou rire, j’ai continué à la besogner et j’ai senti que j’allais jouir, elle m’a dit je veux que tu jouisses sur mon corps, je me suis retiré d’elle et elle s’est étendu par terre, j’ai continué a me masturber et j’ai joui sur ses seins on ventre et son visage, elle s’est badigeonné tout le corps avec mon sperme, et s’est relevé, elle m’a dit qu’elle voulait aller à la fête avec le parfum de sperme sur le corps. Elle a mis son caftan, réglé sa chevelure et est repartie à la fête. Je l’ai rejoint après, personne ne s’est rendu compte de notre absence, je l’ai vu une demi-heure au milieu des femmes, elle était ravissante, elle avait refait son maquillage, elle m’a fait signe comme quoi elle a gardé le parfum sperme sur le corps, je me suis approché d’elle, elle m’a dit tu ne sens pas que je sens le sperme ? Effectivement elle sentait la baise encore la pute !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
IL A BIEN RAISON RETROUVANT SA COUSINE QUI CE DONNE DU PLAISIR ET µDE LUI? OFFRIR SA BONN E BITE DON ELLE Cµ4µEST QUOI FAIREµ POUR CE µLA PRENDRE DANS LA CHATTE ET PUµIS LE PETIT µET Y RECEVOIR TOUS µSON µNECTAR DE SON SPERME