Génération pipe
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Génération pipe
Génération pipe
– Ma petite cousine et moi, un soir, on s’est confiées nos histoires.
– Sexuelles ?
– Oui, nos histoires de petits copains, quoi. Quand je lui ai raconté les réactions des miens, dans ma jeunesse, quand je les suçais, elle a halluciné. Je te jure, j’arrivais à les mettre à mes pieds par la pipe. Plus je lui racontais plus elle me demandait de détails, et plus elle était ouvertement jalouse ! Du coup plus j’en rajoutais, tu penses bien. De son côté, aucun mec n’est fasciné par ses gâteries. Elle ne comprenait pas comment je faisais ! J’ai fait ma vieille : « ta génération suce mal, tandis que la mienne on était des reines… ».
– Ce qui a dû la rendre encore plus jalouse.
– En fait, on n’était pas d’accord : elle restait persuadée pomper au moins aussi bien que moi. Alors un soir…– Oh my god ! Un mec pour deux bouches ?! Deux mecs pour vous deux ?
– Ça va oui ? Jamais de la vie. Entre elle et moi il n’y a aucun tabous dans la discussion, par contre il y a des limites physiques. Bref, je reprends ! Alors un soir je lui ai dit : allez, on vérifie. Sur la table, une banane pour faire la verge, deux mandarines dans le rôle des couilles, et chacune son tour on s’y met à fond comme si c’était l’amant du siècle, et on compare.
– Waow… allégoriquement, question couilles, tu en as. J’aurais jamais osé une expérience pareille.
– Pourtant, c’est pas toi qui avais carrément supposé un plan à trois ou à quatre ?
– Je parle de ce que j’imaginais à votre propos, pas du tout de ce que j’aurais pu faire moi. Alors, résultat des courses ?
– Il a été vraiment dur à établir : les premiers essais n’étaient que des fous-rires ! Il nous a fallu une demi-heure et trois verres bien corsés pour parvenir à le faire vraiment. Bon, pour rappel, bien que jeune, elle reste majeure.
– Vous avez réussi ?
– Finalement oui. En silence, j’ai honoré les mandarines et la banane de mes doigts, de ma langue, de mes lèvres, joues, dents, de ma bouche… en imaginant finir sur l’éjaculation. Puis elle a fait pareil. Pour le coup ce n’était plus de l’humour, car chacune était hyper attentive, soit à ce qu’elle faisait, soit à ce que faisait l’autre. L’atmosphère était carrément studieuse, limite tendue tellement on était concentrées.
– Et donc ?
– En un sens, décevant pour elle comme pour moi. Seul avantage, elle n’avait plus aucune raison d’être jalouse.
– Elle le fait mieux que toi ?
– Mieux, non. On a décortiqué, analysé chaque geste, baiser, caresse, mouvement. La façon dont passer la langue sur toute la longueur, celle de suçoter le gland, gober les testicules, les lécher, faire tourner la bite dans la bouche, et cetera. Franchement ? En toute objectivité, match nul. Tant mieux, tant pis, que sais-je. J’espérais faire mieux qu’elle ! Elle croyait apprendre des nouveautés, je pensais être sa professeur. Tu parles ! Quelle déception. En fait, c’est une simple question d’époque. On aurait dû y penser. De mon temps, il était dur de trouver une fille qui suce, que ce soit bien ou mal. Aujourd’hui, il est encore plus dur, voire quasi impossible d’en trouver une… qui ne suce pas !
– Faut-il s’en réjouir ou s’en attrister ?
– Ma petite cousine a plutôt tendance à s’en attrister. Elle aimerait que ses copains soient accros, sexuellement parlant, et c’est devenu impossible par la pipe. Du coup maintenant, elle les amène à la sodomie et ça fonctionne bien mieux.
– À ce rythme, dans deux générations pour épater un mec au lit il faudra débuter par le gang bang.
Un nouvel épisode de « Dialogues Interdits » chaque samedi à partir de 7 H.
– Ma petite cousine et moi, un soir, on s’est confiées nos histoires.
– Sexuelles ?
– Oui, nos histoires de petits copains, quoi. Quand je lui ai raconté les réactions des miens, dans ma jeunesse, quand je les suçais, elle a halluciné. Je te jure, j’arrivais à les mettre à mes pieds par la pipe. Plus je lui racontais plus elle me demandait de détails, et plus elle était ouvertement jalouse ! Du coup plus j’en rajoutais, tu penses bien. De son côté, aucun mec n’est fasciné par ses gâteries. Elle ne comprenait pas comment je faisais ! J’ai fait ma vieille : « ta génération suce mal, tandis que la mienne on était des reines… ».
– Ce qui a dû la rendre encore plus jalouse.
– En fait, on n’était pas d’accord : elle restait persuadée pomper au moins aussi bien que moi. Alors un soir…– Oh my god ! Un mec pour deux bouches ?! Deux mecs pour vous deux ?
– Ça va oui ? Jamais de la vie. Entre elle et moi il n’y a aucun tabous dans la discussion, par contre il y a des limites physiques. Bref, je reprends ! Alors un soir je lui ai dit : allez, on vérifie. Sur la table, une banane pour faire la verge, deux mandarines dans le rôle des couilles, et chacune son tour on s’y met à fond comme si c’était l’amant du siècle, et on compare.
– Waow… allégoriquement, question couilles, tu en as. J’aurais jamais osé une expérience pareille.
– Pourtant, c’est pas toi qui avais carrément supposé un plan à trois ou à quatre ?
– Je parle de ce que j’imaginais à votre propos, pas du tout de ce que j’aurais pu faire moi. Alors, résultat des courses ?
– Il a été vraiment dur à établir : les premiers essais n’étaient que des fous-rires ! Il nous a fallu une demi-heure et trois verres bien corsés pour parvenir à le faire vraiment. Bon, pour rappel, bien que jeune, elle reste majeure.
– Vous avez réussi ?
– Finalement oui. En silence, j’ai honoré les mandarines et la banane de mes doigts, de ma langue, de mes lèvres, joues, dents, de ma bouche… en imaginant finir sur l’éjaculation. Puis elle a fait pareil. Pour le coup ce n’était plus de l’humour, car chacune était hyper attentive, soit à ce qu’elle faisait, soit à ce que faisait l’autre. L’atmosphère était carrément studieuse, limite tendue tellement on était concentrées.
– Et donc ?
– En un sens, décevant pour elle comme pour moi. Seul avantage, elle n’avait plus aucune raison d’être jalouse.
– Elle le fait mieux que toi ?
– Mieux, non. On a décortiqué, analysé chaque geste, baiser, caresse, mouvement. La façon dont passer la langue sur toute la longueur, celle de suçoter le gland, gober les testicules, les lécher, faire tourner la bite dans la bouche, et cetera. Franchement ? En toute objectivité, match nul. Tant mieux, tant pis, que sais-je. J’espérais faire mieux qu’elle ! Elle croyait apprendre des nouveautés, je pensais être sa professeur. Tu parles ! Quelle déception. En fait, c’est une simple question d’époque. On aurait dû y penser. De mon temps, il était dur de trouver une fille qui suce, que ce soit bien ou mal. Aujourd’hui, il est encore plus dur, voire quasi impossible d’en trouver une… qui ne suce pas !
– Faut-il s’en réjouir ou s’en attrister ?
– Ma petite cousine a plutôt tendance à s’en attrister. Elle aimerait que ses copains soient accros, sexuellement parlant, et c’est devenu impossible par la pipe. Du coup maintenant, elle les amène à la sodomie et ça fonctionne bien mieux.
– À ce rythme, dans deux générations pour épater un mec au lit il faudra débuter par le gang bang.
Un nouvel épisode de « Dialogues Interdits » chaque samedi à partir de 7 H.
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