Gentils voisins - histoire érotique

Avec nos voisins, nous entretenons de très bonnes relations: nos villas se font face à moins de 20 mètres, ce qui entraine quelques spectacles inédits. Le dernier a fort bien fini et pour eux et pour nous.
Revenons en arrière: nous sommes chacun mariés à des femmes splendides. La sienne est rousse, grande, attirante sexuellement. La mienne est brune, d’un brun pratiquement noir, grande aussi et sexy Nous nous connaissons depuis pratiquement 5 ans, quand nos maisons ont été finies. Nous avons de rapports amicaux plus que de voisinage. Nous nous recevons souvent pour un apéro ou une bouffe.
Ainsi hier, en plein été, les fenêtres des deux maisons étaient ouvertes. La nuit tombée, nous ne fermions pas les fenêtre à cause de la chaleur. Nous avions tiré simplement les rideaux, transparents comme tout bon rideau que se respecte. Chez nos voisins, c’était la même chose, sauf qu’il n’y avait pas de rideau. Nous savions qu’ils aiment se balader nus. Pour nous c’est pareil, donc pas de problème de les voir nus. Le seul problème est qu’ils devaient avoir une envie présent de s’aimer.
Ma femme regardait chez eux, par pur hasard. Le clair de lune aidant nous pouvions voir tout ce qui se passait. Elle me demandait le venir pour regarder. Nous nous invitions par la vue chez le autres pendant qu’ils étaient dans une position que ne laissait aucun doute: elle était debout, les jambes ouvertes, et lui accroupi sa tête sur le sexe de sa femme.
Ma femme en les voyant avait elle aussi envie de jouir. Elle voulait et jouir et les voir. Je m’asseyais face à nos voisins pour ne pas les perdre de vue, ma femme venait s’embrocher, le con sur ma bite, tournée vers le spectacle. Elle faisait s’enfoncer en elle ma pine bandée. Je sentais sa main sur son sexe qui faisait des vas et viens incessants. Comme souvent quand elle est excitée, il lui faut jouir de plusieurs endroits.
Ce qui mettait du piquant était qu’on entendait distinctement les soupirs de la voisine et le petit cri final de son orgasme: il se relevait et elle le branlait toujours devant nous.
Le lendemain, c’est à dire avant-hier, Mado, ma femme rencontre Lucie, la voisine et lui dit sans gêner que la veille, elle a bien jouit quand je la lui mettais grâce à elle. Lucie met un moment avant de comprendre qu’elle a été vue. Pour couper court à toutes mauvaises interprétation elle lui avoue qu’elle a fait exprès de se montrer ainsi: elle est assez exhibitionniste, et qu’elle en avait bien mieux joui en pensant que nous pouvions la voir. Mado, qui aimerai se taper et Lucie et son mari les invite pour le lendemain soir même, en précisant qu’une tenue très décontractée serait la bien venue.
Et nous voilà prêts à les avoir chez nous: Mado m’en a juste parlé pour me dire qu’elle les avaient invités pour une bonne baisse collective. Elle s’est préparée en prenant d’abord une douche que je qualifie toujours de crapuleuse: elle se lave, certes, mais en profite pour se branler avec le jet. J’aime la voir jouir ainsi. Elle choisit une toilette. D’abord elle décide de ne pas gâcher la fête en mettant des sous vêtements. Elle ne porte donc que la jupette qu’elle a pour jouer au tennis, ensuite un simple t-shirt moulant fera l’affaire. Moi je reste avec mon pantalon, une chemise ouverte. Je n’ai pas non plus de superflus.
Nous dinons avec des sandwichs et une bonne bouteille, et ne les attendons pas longtemps.
Lucie n’est guère plus vêtue que Mado, et André, son mari doit être comme moi. La soirée démarre très lentement: c’est vrai que quand on se connait depuis longtemps il est difficile de devenir artisans d’une partouze. L’alcool commence à faire son effet. Mado avoue aux voisins qu’elle entend baiser avec les deux et avec moi si nous en avons le temps. Lucie n’en est pas étonnée, elle vient près de moi, qui suis toujours assis, se penche un peu pour coller ses lèvres contre les miennes. J’en profite pour passer une main sous sa jupe: pas de culotte. C’est donc facile d’aller explorer son sexe. Je l’ai bien vu ces jours ci, mais pas de près. Elle mouille déjà: A son tour elle cherche ma bite bandée: elle a vite fait de faire tomber mon pantalon. Elle doit être plus qu’exhibitionniste, elle doit être aussi nymphomane, ce qu’elle me confirme: elle aime jouir quels que soient les moyens. Pendant que nous nous nous caressons, elle me dit qu’elle aime se masturber au moins deux ou trois fois par jour, qu’elle aime se faire mettre à peu près partout, qu’elle utilise les boules de geisha pour être toujours en forme n’importe où et qu’elle aime se faire mettre par devant et par derrière en même temps. Elle compte et sur moi et sur son mari. Elle est habile: elle arrête ses caresse sur ma bite bien avant que je jouisse. Pour elle ce n’est pas la même chose, elle me laisse aller jusqu’au bout: mes doigts sur son clitoris ne chôment pas un instant, à peine elle jouit qu’elle demande encore. André qui est occupé avec Mado, dans la même situation que nous, approuve les dire de sa femme. Mado est à ses pied, elle a pris sa queue dans la bouche et commence une fellation qui je le sais par expérience va faire bondir de jouissance André.
Mado a une façon bien à elle de sucer, elle se sert de toute la bouche, des lèvres, des dents pour exciter d’avantage, et des joues pour recueillir le gland avant de la prendre entièrement quand elle sent que le sperme arrive.
Lucie n’est pas exigeante. Elle veux que je conserve toutes mes capacités de baise: je dois simplement la faire jouir. Je l’ai branlée plusieurs fois et maintenant je lui ai mis trois doigts dans le cul. Elle aime tant qu’elle remue sur ma main. Je ne parle pas des nombreux soupirs qu’elle pousse et un petit cri. J’ai envie d’elle. Je la fait mettre assise sur la table. Elle écarte déjà les cuisses, je vois toute sa chatte: je pose ma tête entre ses jambes et ma langue va sucer tout ce qui dépasse: je commence par les lèvres douces de ce joli con. J’entre ensuite dans son vagin où je cherche, vers l’entrée son point G. Je le lèche longuement ce petit endroit très lisse. Elle gémit plus fort avant de crier encore. Je sors de son con pour aller vers son anus. Je sais que je vais y être bien reçu. Ma langue en fait le tour avant de la poser sur lui et de l’entrer presque complètement. Je vais et viens dans son cul: elle jouit encore. C’est la première fois que je fais l’amour avec une folle de sexe. D’un coté, c’est agréable et réflexion faite je pleins son mari. Maintenant je prends son clitoris et le lèche comme un sucre d’orge. Je ne m’arrête même plus même si elle me dit toujours encore, c’est bon, encore, je jouis.
Quand à Mado, elle est aux prise avec la bite d’André; Elle est assise sur le divan, les jambes ouvertes, André est agenouillé devant elle, la bite dans le con de ma femme qui prend son pied en me regardant: elle a gagné la moitié de son vœu: elle baise avec le mari: il ne lui manque plus que sa femme. Elle jouit avec cette bite pour la première fois de sa vie, et se sens que ce ne va par être la dernière.
Mado vient enlacée avec André: ils viennent nous assister. En réalité Mado me guide vers la chatte de Lucie pour que je baise pour de bon. Lucie est très contente de sentir ma bite entrer dans sa moule. Là elle se déchaîne, ses jambes ont pris ma taille en tenaille. Je ne bouge presque pas. Elle fait tout le travail. Au moment où André allait embraser sa femme, c’est la mienne qui l’embrasse. C’est la première fois que je vois ma femme en embrasser une autre sur la bouche. Elles semblent s’en accommoder. J’arrive à jouir enfin. Je lâche tout ce que j’avais de sperme dans mes couilles.
Comme nous sommes inaptes à baiser rapidement, les deux nanas se débrouillent entre elles. C’est bien sur Lucie qui même les mouvements. Après ce baiser elles vont sur le divan. Mado se fait caresser la poitrine par Lucie, qui par ailleurs a déjà pris possessions de la chatte de ma femme.
Je la vois la branler. Elle aime justement se faire masturber. Quand Lucie entre des doigts dans la con de ma femme, celle-ci ouvre encore plus ses jambes. Lucie demande à Mado de la branler aussi. Ma femme fait comme elle se fait pour elle-même, c’est-à-dire qu’elle fait jouir sa compagne. Lucie en veut encore: Mado refuse, elle veut la sucer. Pour ne première fois, avouée, elle sait s’y prendre; Je vois sa bouche aller partout où j’ai déjà mis la mienne. Mado se masturbe en même temps.
Pendant ce temps nous avons repris nos forces et nous allons les baiser. Mado sentant le « danger » venir a le temps de se mettre en 69. Lucie ne peut qu’approuver cette position. Il ne nous reste que des culs à notre disposition. Tant pis pour elle. Nous les faisons mettre sur le coté, ainsi nous pouvons en nous allongeant à coté d’elles leur la mettre au cul. Je tombe par un simple hasard dans un cul connu: celui de ma femme. Je l’aime bien ce cul. Je m’y trouve toujours à l’aise. Nous récupérons très vite: Lucie tiens absolument à nos deux bites: André a droit au con de sa femme: il se couche sur le dos pendant qu’elle se met la bite dans le con. Elle se couche et offre son cul à ma bite. J’entre sans trop de problème dans ce cul habitué à la sodomie. Je sens comme excitation l’autre bite quand nous nous croisons. Il jouit avant moi, sentir ces spasme me conduisent au paradis: je jouis. Lucie qui a jouit plusieurs fois demande à Mado de venir lui lécher le sperme qu’elle perd et de son cul est de sa chatte. Mado, m’étonne en le faisant.
Mado est heureuse d’avoir pu baiser et le mari et la femme. Il lui manque un petit quelque chose: une bite dans le con. Elle sait me faire bander quand elle veut. Je me trouve la bite droite bien dure. Elle vient sur moi: c’est simple, elle me veut dans son con. Elle m’enjambe, s’embroche et me parle pour érotiser notre baise: elle veux faire venir Lucie souvent pour jouer aux lesbiennes: c’était sa première fois, elle veut essayer avec elles seules, sans personne d’autre: elle me racontera après. Elle aussi veux tester la double pénétration la prochaine fois.