Georges, mon successeur
Récit érotique écrit par PIERRE DAVID [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Georges, mon successeur
Ce week-end je suis allé trainer du côté de chez Martine, mon ex-femme, histoire de voir un peu comment cela se passe avec celui qui l’accompagne aujourd’hui, Georges, un militaire à la retraite....
Elle a emménagé avec lui, dans une grande maison, près de la mer, à une dizaine de kms de mon domicile, et l'avantage, c'est qu'on peut se faufiler depuis la plage par un petit sentier et s'approcher de leur domicile sans être vu.
Bien pratique pour espionner.
Les mois ont passé, mais je n’ai toujours pas digéré qu’elle m’ait quitté, et surtout remplacé aussi vite par ce type aux cheveux en brosse, de quinze ans son ainé.
Il faisait super beau samedi après-midi, une chaleur quasi estivale bien que soyons déjà en septembre, propice à un farniente des plus agréables.
Le sentier est souvent désert car privatif, et en ce moment beaucoup de résidences secondaires auxquelles il mène sont inoccupées....
L’esprit fébrile, j’ai suivi le chemin jusqu’à leur maison, une bâtisse en pierre, avec une grande terrasse, et ceinturée d’une haie de thuyas qui la met à l’abri des regards.
Heureusement certains arbustes sont mal en point, créant ainsi quelques trouées bien utiles dans cette barrière végétale.
Les grands pins environnants, sous l’action de la chaleur, exhalaient leur senteur méditerranéenne.
Seuls les piaillements d’oiseaux venaient rompre par moment la quiétude silencieuse de l’endroit.
Ayant repéré une trouée bien placée dans l’axe de la maison et dans l’ombre d’un grand arbre, je me suis installé à l'abri de leur haie et j'ai pu observer tranquillement ce qui se passait.
Comme je m'en doutais, connaissant bien ses habitudes, c'était séance de bronzage pour Martine, confortablement installée sur un transat.
Bronzage intégral bien sûr....
A cette époque de l'année l'endroit est désert, et Martine en profitait pour se faire dorer au soleil dans le plus simple appareil.
Bien planqué derrière la haie, j'étais comme un gamin, en proie à la curiosité malsaine du voyeur.
Le cœur fébrile, j'ai pu me rendre compte qu'elle est toujours aussi désirable avec ses formes voluptueuses, son visage rond rajeuni par une coupe plus courte et plus moderne de ses cheveux bruns.
Elle semble avoir légèrement forci, mais cela ne la rend que plus plantureuse encore, à l’image de sa poitrine, car même allongée, celle-ci présente un relief très conséquent.
Accroupi à une vingtaine de mètres, j'avais une vue impeccable de la terrasse ensoleillée.
Un peu loin pour mater mais je m’étais muni d’une petite paire de jumelles bien pratique qui me permettait d’apprécier les détails de l’anatomie de mon ex.
Je me suis attardé sur ses appétissants mamelons, généreux globes de chair tendre tant de fois malaxés, observant avec nostalgie ces pointes brunes que j’adorais suçoter longuement, tandis que mon sexe se redressait dans mon slip…
Puis je me suis intéressé à sa chatte, intrigué par les mains de Martine qui semblaient se croiser sur son bas-ventre.
Qu’elle ne fut pas ma surprise de découvrir qu’elle était tout simplement en train de se caresser, deux doigts tirant la peau vers le haut, tandis que l’index droit massait doucement son clitoris.
Sa chatte était complètement épilée, à l’exception d’un petit carré de toison pubienne juste au-dessus de sa vulve.
J’ai ajusté mes jumelles et me suis focalisé sur sa vulve qu’elle exposait au soleil bienfaisant.
Grace à leur grossissement important je pouvais contempler le mouvement de ses doigts qui massaient délicatement le haut de sa vulve, excitant patiemment le clitoris.
A un moment Martine changea de position et se mit sur le ventre, m'offrant ainsi la possibilité de contempler son cul si alléchant...
J'étais parfaitement dans l'axe pour admirer sa paire de fesses rondes et charnues.....
Entre ses cuisses je pouvais apercevoir le renflement de son abricot bien juteux, totalement épilé, avec sa fente porteuse de jouissives promesses….
Vraiment un beau cul, pensai-je en moi-même, envahi par une bouffée de jalousie!
Soudain un bruit de moteur troubla le silence, de l'autre côté de la maison, puis le claquement sec d'une portière retentit.... le militaire devait être de retour....
Quelques instants plus tard je vis apparaitre Georges, le retraité de l’armée qui m'a remplacé dans la vie de Martine.
En bermuda kaki et débardeur noir, les cheveux coupés en brosse, une petite moustache poivre et sel, sa silhouette athlétique montre encore de beaux restes.
Malgré une soixantaine bien sonnée, un entrainement sportif régulier lui a visiblement permis de conserver une musculature puissante et tonique...
Assez grand, un visage carré et la mâchoire volontaire, il émane de lui une autorité naturelle et virile, héritage sans doute de sa carrière.
Je me demande encore comment ils se sont rencontrés et qu’est-ce qui a bien pu, chez lui, séduire mon ex-femme?
Il ne correspond pas du tout à l’idée du type d’homme que j’imaginais pour elle.
J’étais dans l’erreur c’est indéniable.
Georges, qui me tourne le dos, s'est agenouillé près de Martine qui maintenant est assise sur le transat, face à lui.
Il l'embrasse à pleine bouche, puis lui embrasse les seins qu'il a pris dans ses mains.
" Ça bronze tout ça ma chérie, ça bronze...Regardez-moi ces beaux fruits…. !
Il lui soulève ses gros mamelons et en suce les pointes, l'une après l'autre, consciencieusement.
« C’est bon ça… ! De beaux melons bien juteux… !
Martine jette un coup d’œil circulaire autour d'eux, histoire de s'assurer, je pense, que les abords de leur jardin sont bel et bien déserts....
Rassurée par le calme des lieux elle se laisse sucer les tétons par son homme, tout en lui caressant la nuque...
J'ai beau être séparé depuis un moment, je ressens comme une trahison de voir ce type palper à loisir les globes proéminents de mon ex-femme, profiter à son tour de leur douceur et de la fermeté de leur chair dense.
Tout comme je le faisais il n’y a pas si longtemps, il les pétrit doucement tout en leur tétant les pointes, qu’il étire entre ses lèvres, s’amusant à les distendre le plus possible avant de les relâcher d’un coup.
La nudité de Martine l'émoustille diablement, tout comme moi d'ailleurs qui commence à triquer sévèrement, et je vois sa main droite qui se met à la caresser de façon plus soutenue, montant et descendant le long de son buste, des seins jusqu'à son entre-jambes......
Je n'entends pas ce qu'il dit mais cela semble faire référence à sa chatte vraisemblablement, et je vois Martine regarder à nouveau alentour, un peu mal à l’aise…
En regardant Georges s'affairer sur les pis de mon ex, je me rappelle l'exquise sensation du raidissement de ses tétons entre mes lèvres quand c'était moi qui en profitait....
Surtout qu'il prenait une taille tout à fait remarquable, un bon cm de diamètre que je prenais plaisir à étirer au maximum.....
Cela la faisait gémir de contentement, ce qui semble être toujours le cas si j'en juge sa façon de cambrer ses reins pour mieux offrir son avantageuse poitrine à la bouche gourmande de son militaire...
D’aucun dirait qu’il y a du masochisme à prendre du plaisir à les regarder alors que cela me fend le cœur de voir la main de Georges masser allègrement la vulve de Martine....
Cela me fait regretter un peu plus notre séparation et me demander qu'est-ce que je n'ai pas su faire pour éviter ça
J'avais sous la main une femme demandeuse et je ne m'en suis pas rendu compte.
Pire, je croyais que cela ne l'intéressait pas.
Aujourd'hui je m'en mords les doigts parce que c'est trop tard....
Georges se redresse et regarde à son tour vers les extérieurs de la maison...Heureusement il ne peut pas me voir, la haie et l’ombre des arbres me dissimulant parfaitement.
Je le vois quitter son débardeur et son bermuda, et se présenter devant Martine.
Il affiche une nudité totale qui me révèle sa pilosité importante, blanchie par l'âge, et me confirme un physique encore bien robuste grâce à l'entrainement militaire.
Les muscles sont saillants et pas l’ombre d’un quelconque embonpoint.
Mais bien sûr, mon regard se porte rapidement sur une partie bien précise de son anatomie et force est de reconnaître qu'il possède un atout irrésistible pour une femme.
Au milieu de son pubis immaculé émerge une verge conséquente, pas encore érigée, mais qui me parait quand même très épaisse, plutôt longue, et sous laquelle pendent de volumineuses bourses.
Le saligaud... la nature l'a bien doté !
Les yeux rivés aux jumelles, j’en suis réduit à contempler ses attributs, et notamment ses couilles, pareilles à deux gros kiwis, et qui pendent lourdement sous sa verge.
Un sentiment de jalousie me gagne à nouveau, venant renforcer la rancœur que j’éprouve pour mon successeur.
Martine se saisit du membre de son homme et passe sa langue sur toute la longueur de la tige, puis referme ses lèvres sur le gland, les yeux fermés, comme pour mieux se délecter de l’organe.
Elle se met à le sucer avec une grande conviction et en quelques secondes la verge s’est redressée, prenant une taille tout à fait imposante, peut-être dans les vingt centimètres de long, et un gros diamètre.
Putain… ! C’est une sacrée grosse bite !
On en voit pas souvent des comme ça ….sauf sur internet !
En tous cas Martine s’affaire sur lui et se régale de cette grosse verge bien épaisse qu’elle n’arrive pas à gober en entier, en tout cas au début, parce que petit à petit, et je n’en crois pas mes yeux, elle l’enfourne toujours un peu plus jusqu’à ce que ses lèvres viennent au contact du pubis.
Vingt centimètres de bite dans le gosier !
Comment peut-elle faire ça ?
Je suis abasourdi parce ce que je vois.
Elle qui avait toujours un peu d’appréhension à prendre ma queue pour la sucer, il fallait que j’insiste et que je la rassure…
Ce type a réussi à lui faire avaler son énorme bite !
Et elle y a pris goût car maintenant elle pompe son militaire à une bonne cadence, les mains agrippées aux cuisses musclées et velues.
« Hummm… oui…. c’est bon ça ma belle…. Oui….continue… ! S’exclame-t-il en la regardant le pomper. C’est une bonne queue ça… hein… !
Pendant quelques minutes mon ex le gratifie d’une fellation gloutonne qui l’enchante totalement, jusqu’à ce qu’il décide de changer de position.
Georges s'est assis sur le transat, le dos confortablement appuyé sur le dossier relevé, et il a invité Martine à venir sur lui.
Il me fait face et je ne perds aucune miette du spectacle.
Les pieds posés de chaque côté du transat, cela lui écarte les cuisses et me permet de voir parfaitement son sexe érigé, tel un mât arrogant et inflexible.
Je ne peux que reconnaitre la supériorité physique du martial organe sur lequel Martine s’apprête à s’empaler.
Le cœur battant je retiens mon souffle, attentif à ne pas bouger ou faire un bruit qui pourrait trahir ma présence.
Après un nouveau coup d’œil circulaire, elle enjambe son homme en prenant appui sur les accoudoirs et se positionne au-dessus du gland turgescent sur lequel elle se frotte lascivement la vulve.
Je sens un frisson me parcourir en regardant son mouvement du bassin qui va et vient doucement sur l'extrémité de la verge dressée.....
Georges s'occupe à nouveau des majestueux nibards qui se dressent fièrement, les pétrissant à pleines mains, laissant mon ex s'amuser et s'exciter sur sa queue.....
Finalement elle se laisse glisser lentement et s'empale complètement sur le robuste mandrin de chair en couinant de plaisir.....
Je suis trop loin pour entendre distinctement ce qu'elle dit mais il ne faut pas être devin pour savoir ce qu'elle exprime.
Je commence à me caresser la tige à travers mon pantalon car c’est vraiment excitant de la voir onduler du cul, une bite de vingt centimètres plantée au fond de sa chatte.
On sent la recherche du plaisir, c'est clair, et ses gémissements ne font qu'exacerber mon excitation....
La garce...!
Moi qui ai toujours cru qu'elle était prude parce qu'elle n'aimait pas parler de sexe, parce qu'au lit elle ne m'en demandait pas beaucoup, je m'étais bien fait avoir.
Elle révélait sous mes yeux un authentique savoir-faire dans sa façon de rouler ses hanches pour jouer avec la bite qui la pénétrait, ou mettre sa croupe en mouvement et la faire aller et venir sur le sexe dressé du sexagénaire.
L'aisance avec laquelle elle activait sa paire de fesses sur le dard me fascinait.
Comment avais-je pu passer à côté de ça...?
Les doutes horribles m’assaillent.
Je n'étais peut-être pas le seul à l'époque de notre union, Martine devait déjà avoir des aventures extraconjugales qu'elle m'a bien cachées.
D'où ce savoir-faire que je vois s'exprimer ce samedi sur leur terrasse.
Putain...!
Mais avec combien d'hommes a-t-elle pu me cocufier... ?
Et moi qui lui faisais l'amour benoitement, croyant que c'était suffisant, que je la comblais....!
J'étais loin de m'imaginer qu'elle se faisait peut-être tringler allègrement dans mon dos, par d’autres, mes potes certainement, ses collègues de travail voire son patron.
Je me rappelle que ce dernier lui faisait faire assez souvent des heures sup le soir, enfin c'est ce qu'elle me disait....!
Je suis en plein fantasme !
Mais la réalité me saute à la figure en cette chaude après-midi, sur la terrasse de leur maison.
Le couple copule en plein jour, au risque de se faire surprendre par des voisins ou des promeneurs, même si ce risque est limité car la haie les mets globalement hors de vue.
Ils ne sont pas très bruyants non plus, c'est vrai, mais on est jamais totalement à l’abri d’un petit curieux et les mouvements de Martine, à califourchon sur le militaire, sont explicites.
Peut-être que cela les excite.
D'ailleurs elle se relève, libérant le pieu de chair de son fourreau humide, glisse en arrière et vient le prendre dans sa bouche.
Agenouillée à l'extrémité du transat, Martine se met à sucer son homme, avec beaucoup d'application, passant sa langue sur toute la longueur de la verge, puis l'avalant presque en totalité, les lèvres serrées autour de la tige trempée de mouille.
Martine descend du transat, s'agenouille au sol face à Georges, se trouvant ainsi à la bonne hauteur pour continuer sa fellation, tandis qu'il lui caresse les cheveux.
Je ne vois plus que sa croupe, impudiquement exposée, ce qui me permet de contempler à loisir la raie culière qui sépare les globes charnus et si appétissant de ses fesses, ainsi que son magnifique abricot orné d'une fente, manifestement épilé.
Elle avait pourtant toujours refusé de se raser le sexe, et là je découvre sa vulve dépourvue de toute pilosité....
J'avoue que la vue de son cul est absolument bandante et je sens mon érection monter d'un cran.
Comme elle me tourne le dos, j'en suis réduit à imaginer ce qu’elle fait car je vois juste sa tête qui monte et descend de façon régulière, mais cela a l'air de beaucoup plaire au militaire.
Et surtout c'est très efficace à en juger la formidable érection qu'il arbore quand il se relève.
Ce sexagénaire a véritablement un sacré engin, encore bien vaillant.
Probablement plus de vingt centimètres, je pense finalement, en voyant la superbe bite dressée entre ses cuisses velues.
Les treize centimètres de la mienne me font brusquement honte.
Il fait mettre Martine en levrette sur le transat, les bras et la tête en appui sur le dossier, tandis qu'il s'installe debout derrière elle, un genou plié, un pied au sol.
Guidant son sexe d'une main, l'autre posée sur la croupe nue de mon ex, il la pénètre d'un seul coup, s’enfonçant à fond, et il se met à la ramoner d'un mouvement rapide du bassin.
Le claquement des pénétrations résonne jusqu'à mes oreilles, et je vois la chair des fesses de Martine trembler sous les coups de boutoir de son mâle.
« Oouuu… ooooh…. ! Hummm…. ! ou…oui… ouiii… ! Gémit-elle tandis que le dard va et vient dans son intimité.
Bien campé sur ses jambes, la tenant fermement par les hanches, Georges la besogne énergiquement en poussant des "han" sonores et en la gratifiant de mots crus.
« Ahh… t’aime ça… Dis, petite cochonne… ! Tu l’aimes la bite de ton Georges…. ! Tu la veux dans ta chatte…hein, tu la veux cette grosse bite de militaire… ! Tu la veux au fond, hein… !
Pendant plusieurs minutes il la baise sur la terrasse, suant à grosse gouttes sous le soleil radieux de ce bel après-midi, tandis que je me branle comme un damné.
Comme je regrette le temps ou c’est moi qui investissait la chatte de Martine, enfouissant ma queue dans ses chairs détrempées.
En voyant le membre imposant de Georges disparaitre en elle, et les couinements qu’il provoque, je me demande si elle sentait quelque chose avec moi.
Malgré la distance je perçois très nettement le chuintement humide de son sexe quand il pénètre Martine, ses grognements de satisfaction à jouir de sa chatte humide.
Je suis fou de jalousie de voir ce type à la retraite baiser ma femme, enfin mon ex-femme, et pourtant je trique à mort en regardant sa queue plonger complètement dans ce vagin que je connais si bien, sa douceur, son tiédeur moite.
« Ouhhh… T’aime bien que je te prenne comme ça, hein ? Ouais… t’aimes ça je le sais bien…. !
Martine, dont les lourdes mamelles se balancent au rythme des coups de boutoirs, répond en hochant la tête et en poussant des gémissements de plaisir.
« Aaah…… Oooh…. Ou…oui… ! .Oui…oooo… mon chéri…c…c’est bon !
Dommage de n’avoir pas pensé à emmener une caméra, je me serai fait un petit film bien sympa.
Je réalise que des promeneurs auraient pu emprunter à ce moment-là le sentier et découvrir le couple en pleine partie de baise, car pris par leur jouissance, ils se font moins discrets.
Soudain je les entends crier, le rythme a ralenti, je comprends qu’ils viennent de jouir.
L'image me vient d'un flot de sperme jaillissant de sa queue, inondant la matrice qu’il vient de marteler de bon cœur.
Je sais bien que depuis que nous sommes séparés, c’est avec lui qu’elle prend son plaisir, mais cela me serre le cœur de la voir de mes propres yeux se faire ensemencer par ce type, se faire remplir la chatte de son jus épais.
Planté en elle, l'embrassant dans le cou, lui pressant les seins gonflés de jouissance, le militaire décharge son foutre au fond de la caverne intime de Martine, en maître viril et absolu.
« Humm… C’est bon de te prendre ma chérie… ! Marmonne-t-il. Tu es vraiment bonne… !
« Georges…. C’était tellement bon… ! Finit-elle par lâcher, la tête penchée, visiblement dévastée par un violent orgasme. Tu étais si gros…. !
Je me suis soulagé à mon tour, laissant mon offrande sur leur haie, comme si je voulais marquer un territoire qui ne m’appartient plus.
J’étais venu ici assouvir ma curiosité et j’en ai eu pour mon argent.
Malgré ce sentiment de honte et d’infériorité ressenti en découvrant la réalité de mon successeur, j’étais content de l’avoir vu la prendre copieusement, et je savais avec quel plaisir il l’avait fait.
Car qui mieux que moi peut connaitre le plaisir divin qu’on ressent à baiser Martine.
Je suis rentré, le cœur gros, mais n'ayant qu'une envie, celle de revenir dès que possible....
Elle a emménagé avec lui, dans une grande maison, près de la mer, à une dizaine de kms de mon domicile, et l'avantage, c'est qu'on peut se faufiler depuis la plage par un petit sentier et s'approcher de leur domicile sans être vu.
Bien pratique pour espionner.
Les mois ont passé, mais je n’ai toujours pas digéré qu’elle m’ait quitté, et surtout remplacé aussi vite par ce type aux cheveux en brosse, de quinze ans son ainé.
Il faisait super beau samedi après-midi, une chaleur quasi estivale bien que soyons déjà en septembre, propice à un farniente des plus agréables.
Le sentier est souvent désert car privatif, et en ce moment beaucoup de résidences secondaires auxquelles il mène sont inoccupées....
L’esprit fébrile, j’ai suivi le chemin jusqu’à leur maison, une bâtisse en pierre, avec une grande terrasse, et ceinturée d’une haie de thuyas qui la met à l’abri des regards.
Heureusement certains arbustes sont mal en point, créant ainsi quelques trouées bien utiles dans cette barrière végétale.
Les grands pins environnants, sous l’action de la chaleur, exhalaient leur senteur méditerranéenne.
Seuls les piaillements d’oiseaux venaient rompre par moment la quiétude silencieuse de l’endroit.
Ayant repéré une trouée bien placée dans l’axe de la maison et dans l’ombre d’un grand arbre, je me suis installé à l'abri de leur haie et j'ai pu observer tranquillement ce qui se passait.
Comme je m'en doutais, connaissant bien ses habitudes, c'était séance de bronzage pour Martine, confortablement installée sur un transat.
Bronzage intégral bien sûr....
A cette époque de l'année l'endroit est désert, et Martine en profitait pour se faire dorer au soleil dans le plus simple appareil.
Bien planqué derrière la haie, j'étais comme un gamin, en proie à la curiosité malsaine du voyeur.
Le cœur fébrile, j'ai pu me rendre compte qu'elle est toujours aussi désirable avec ses formes voluptueuses, son visage rond rajeuni par une coupe plus courte et plus moderne de ses cheveux bruns.
Elle semble avoir légèrement forci, mais cela ne la rend que plus plantureuse encore, à l’image de sa poitrine, car même allongée, celle-ci présente un relief très conséquent.
Accroupi à une vingtaine de mètres, j'avais une vue impeccable de la terrasse ensoleillée.
Un peu loin pour mater mais je m’étais muni d’une petite paire de jumelles bien pratique qui me permettait d’apprécier les détails de l’anatomie de mon ex.
Je me suis attardé sur ses appétissants mamelons, généreux globes de chair tendre tant de fois malaxés, observant avec nostalgie ces pointes brunes que j’adorais suçoter longuement, tandis que mon sexe se redressait dans mon slip…
Puis je me suis intéressé à sa chatte, intrigué par les mains de Martine qui semblaient se croiser sur son bas-ventre.
Qu’elle ne fut pas ma surprise de découvrir qu’elle était tout simplement en train de se caresser, deux doigts tirant la peau vers le haut, tandis que l’index droit massait doucement son clitoris.
Sa chatte était complètement épilée, à l’exception d’un petit carré de toison pubienne juste au-dessus de sa vulve.
J’ai ajusté mes jumelles et me suis focalisé sur sa vulve qu’elle exposait au soleil bienfaisant.
Grace à leur grossissement important je pouvais contempler le mouvement de ses doigts qui massaient délicatement le haut de sa vulve, excitant patiemment le clitoris.
A un moment Martine changea de position et se mit sur le ventre, m'offrant ainsi la possibilité de contempler son cul si alléchant...
J'étais parfaitement dans l'axe pour admirer sa paire de fesses rondes et charnues.....
Entre ses cuisses je pouvais apercevoir le renflement de son abricot bien juteux, totalement épilé, avec sa fente porteuse de jouissives promesses….
Vraiment un beau cul, pensai-je en moi-même, envahi par une bouffée de jalousie!
Soudain un bruit de moteur troubla le silence, de l'autre côté de la maison, puis le claquement sec d'une portière retentit.... le militaire devait être de retour....
Quelques instants plus tard je vis apparaitre Georges, le retraité de l’armée qui m'a remplacé dans la vie de Martine.
En bermuda kaki et débardeur noir, les cheveux coupés en brosse, une petite moustache poivre et sel, sa silhouette athlétique montre encore de beaux restes.
Malgré une soixantaine bien sonnée, un entrainement sportif régulier lui a visiblement permis de conserver une musculature puissante et tonique...
Assez grand, un visage carré et la mâchoire volontaire, il émane de lui une autorité naturelle et virile, héritage sans doute de sa carrière.
Je me demande encore comment ils se sont rencontrés et qu’est-ce qui a bien pu, chez lui, séduire mon ex-femme?
Il ne correspond pas du tout à l’idée du type d’homme que j’imaginais pour elle.
J’étais dans l’erreur c’est indéniable.
Georges, qui me tourne le dos, s'est agenouillé près de Martine qui maintenant est assise sur le transat, face à lui.
Il l'embrasse à pleine bouche, puis lui embrasse les seins qu'il a pris dans ses mains.
" Ça bronze tout ça ma chérie, ça bronze...Regardez-moi ces beaux fruits…. !
Il lui soulève ses gros mamelons et en suce les pointes, l'une après l'autre, consciencieusement.
« C’est bon ça… ! De beaux melons bien juteux… !
Martine jette un coup d’œil circulaire autour d'eux, histoire de s'assurer, je pense, que les abords de leur jardin sont bel et bien déserts....
Rassurée par le calme des lieux elle se laisse sucer les tétons par son homme, tout en lui caressant la nuque...
J'ai beau être séparé depuis un moment, je ressens comme une trahison de voir ce type palper à loisir les globes proéminents de mon ex-femme, profiter à son tour de leur douceur et de la fermeté de leur chair dense.
Tout comme je le faisais il n’y a pas si longtemps, il les pétrit doucement tout en leur tétant les pointes, qu’il étire entre ses lèvres, s’amusant à les distendre le plus possible avant de les relâcher d’un coup.
La nudité de Martine l'émoustille diablement, tout comme moi d'ailleurs qui commence à triquer sévèrement, et je vois sa main droite qui se met à la caresser de façon plus soutenue, montant et descendant le long de son buste, des seins jusqu'à son entre-jambes......
Je n'entends pas ce qu'il dit mais cela semble faire référence à sa chatte vraisemblablement, et je vois Martine regarder à nouveau alentour, un peu mal à l’aise…
En regardant Georges s'affairer sur les pis de mon ex, je me rappelle l'exquise sensation du raidissement de ses tétons entre mes lèvres quand c'était moi qui en profitait....
Surtout qu'il prenait une taille tout à fait remarquable, un bon cm de diamètre que je prenais plaisir à étirer au maximum.....
Cela la faisait gémir de contentement, ce qui semble être toujours le cas si j'en juge sa façon de cambrer ses reins pour mieux offrir son avantageuse poitrine à la bouche gourmande de son militaire...
D’aucun dirait qu’il y a du masochisme à prendre du plaisir à les regarder alors que cela me fend le cœur de voir la main de Georges masser allègrement la vulve de Martine....
Cela me fait regretter un peu plus notre séparation et me demander qu'est-ce que je n'ai pas su faire pour éviter ça
J'avais sous la main une femme demandeuse et je ne m'en suis pas rendu compte.
Pire, je croyais que cela ne l'intéressait pas.
Aujourd'hui je m'en mords les doigts parce que c'est trop tard....
Georges se redresse et regarde à son tour vers les extérieurs de la maison...Heureusement il ne peut pas me voir, la haie et l’ombre des arbres me dissimulant parfaitement.
Je le vois quitter son débardeur et son bermuda, et se présenter devant Martine.
Il affiche une nudité totale qui me révèle sa pilosité importante, blanchie par l'âge, et me confirme un physique encore bien robuste grâce à l'entrainement militaire.
Les muscles sont saillants et pas l’ombre d’un quelconque embonpoint.
Mais bien sûr, mon regard se porte rapidement sur une partie bien précise de son anatomie et force est de reconnaître qu'il possède un atout irrésistible pour une femme.
Au milieu de son pubis immaculé émerge une verge conséquente, pas encore érigée, mais qui me parait quand même très épaisse, plutôt longue, et sous laquelle pendent de volumineuses bourses.
Le saligaud... la nature l'a bien doté !
Les yeux rivés aux jumelles, j’en suis réduit à contempler ses attributs, et notamment ses couilles, pareilles à deux gros kiwis, et qui pendent lourdement sous sa verge.
Un sentiment de jalousie me gagne à nouveau, venant renforcer la rancœur que j’éprouve pour mon successeur.
Martine se saisit du membre de son homme et passe sa langue sur toute la longueur de la tige, puis referme ses lèvres sur le gland, les yeux fermés, comme pour mieux se délecter de l’organe.
Elle se met à le sucer avec une grande conviction et en quelques secondes la verge s’est redressée, prenant une taille tout à fait imposante, peut-être dans les vingt centimètres de long, et un gros diamètre.
Putain… ! C’est une sacrée grosse bite !
On en voit pas souvent des comme ça ….sauf sur internet !
En tous cas Martine s’affaire sur lui et se régale de cette grosse verge bien épaisse qu’elle n’arrive pas à gober en entier, en tout cas au début, parce que petit à petit, et je n’en crois pas mes yeux, elle l’enfourne toujours un peu plus jusqu’à ce que ses lèvres viennent au contact du pubis.
Vingt centimètres de bite dans le gosier !
Comment peut-elle faire ça ?
Je suis abasourdi parce ce que je vois.
Elle qui avait toujours un peu d’appréhension à prendre ma queue pour la sucer, il fallait que j’insiste et que je la rassure…
Ce type a réussi à lui faire avaler son énorme bite !
Et elle y a pris goût car maintenant elle pompe son militaire à une bonne cadence, les mains agrippées aux cuisses musclées et velues.
« Hummm… oui…. c’est bon ça ma belle…. Oui….continue… ! S’exclame-t-il en la regardant le pomper. C’est une bonne queue ça… hein… !
Pendant quelques minutes mon ex le gratifie d’une fellation gloutonne qui l’enchante totalement, jusqu’à ce qu’il décide de changer de position.
Georges s'est assis sur le transat, le dos confortablement appuyé sur le dossier relevé, et il a invité Martine à venir sur lui.
Il me fait face et je ne perds aucune miette du spectacle.
Les pieds posés de chaque côté du transat, cela lui écarte les cuisses et me permet de voir parfaitement son sexe érigé, tel un mât arrogant et inflexible.
Je ne peux que reconnaitre la supériorité physique du martial organe sur lequel Martine s’apprête à s’empaler.
Le cœur battant je retiens mon souffle, attentif à ne pas bouger ou faire un bruit qui pourrait trahir ma présence.
Après un nouveau coup d’œil circulaire, elle enjambe son homme en prenant appui sur les accoudoirs et se positionne au-dessus du gland turgescent sur lequel elle se frotte lascivement la vulve.
Je sens un frisson me parcourir en regardant son mouvement du bassin qui va et vient doucement sur l'extrémité de la verge dressée.....
Georges s'occupe à nouveau des majestueux nibards qui se dressent fièrement, les pétrissant à pleines mains, laissant mon ex s'amuser et s'exciter sur sa queue.....
Finalement elle se laisse glisser lentement et s'empale complètement sur le robuste mandrin de chair en couinant de plaisir.....
Je suis trop loin pour entendre distinctement ce qu'elle dit mais il ne faut pas être devin pour savoir ce qu'elle exprime.
Je commence à me caresser la tige à travers mon pantalon car c’est vraiment excitant de la voir onduler du cul, une bite de vingt centimètres plantée au fond de sa chatte.
On sent la recherche du plaisir, c'est clair, et ses gémissements ne font qu'exacerber mon excitation....
La garce...!
Moi qui ai toujours cru qu'elle était prude parce qu'elle n'aimait pas parler de sexe, parce qu'au lit elle ne m'en demandait pas beaucoup, je m'étais bien fait avoir.
Elle révélait sous mes yeux un authentique savoir-faire dans sa façon de rouler ses hanches pour jouer avec la bite qui la pénétrait, ou mettre sa croupe en mouvement et la faire aller et venir sur le sexe dressé du sexagénaire.
L'aisance avec laquelle elle activait sa paire de fesses sur le dard me fascinait.
Comment avais-je pu passer à côté de ça...?
Les doutes horribles m’assaillent.
Je n'étais peut-être pas le seul à l'époque de notre union, Martine devait déjà avoir des aventures extraconjugales qu'elle m'a bien cachées.
D'où ce savoir-faire que je vois s'exprimer ce samedi sur leur terrasse.
Putain...!
Mais avec combien d'hommes a-t-elle pu me cocufier... ?
Et moi qui lui faisais l'amour benoitement, croyant que c'était suffisant, que je la comblais....!
J'étais loin de m'imaginer qu'elle se faisait peut-être tringler allègrement dans mon dos, par d’autres, mes potes certainement, ses collègues de travail voire son patron.
Je me rappelle que ce dernier lui faisait faire assez souvent des heures sup le soir, enfin c'est ce qu'elle me disait....!
Je suis en plein fantasme !
Mais la réalité me saute à la figure en cette chaude après-midi, sur la terrasse de leur maison.
Le couple copule en plein jour, au risque de se faire surprendre par des voisins ou des promeneurs, même si ce risque est limité car la haie les mets globalement hors de vue.
Ils ne sont pas très bruyants non plus, c'est vrai, mais on est jamais totalement à l’abri d’un petit curieux et les mouvements de Martine, à califourchon sur le militaire, sont explicites.
Peut-être que cela les excite.
D'ailleurs elle se relève, libérant le pieu de chair de son fourreau humide, glisse en arrière et vient le prendre dans sa bouche.
Agenouillée à l'extrémité du transat, Martine se met à sucer son homme, avec beaucoup d'application, passant sa langue sur toute la longueur de la verge, puis l'avalant presque en totalité, les lèvres serrées autour de la tige trempée de mouille.
Martine descend du transat, s'agenouille au sol face à Georges, se trouvant ainsi à la bonne hauteur pour continuer sa fellation, tandis qu'il lui caresse les cheveux.
Je ne vois plus que sa croupe, impudiquement exposée, ce qui me permet de contempler à loisir la raie culière qui sépare les globes charnus et si appétissant de ses fesses, ainsi que son magnifique abricot orné d'une fente, manifestement épilé.
Elle avait pourtant toujours refusé de se raser le sexe, et là je découvre sa vulve dépourvue de toute pilosité....
J'avoue que la vue de son cul est absolument bandante et je sens mon érection monter d'un cran.
Comme elle me tourne le dos, j'en suis réduit à imaginer ce qu’elle fait car je vois juste sa tête qui monte et descend de façon régulière, mais cela a l'air de beaucoup plaire au militaire.
Et surtout c'est très efficace à en juger la formidable érection qu'il arbore quand il se relève.
Ce sexagénaire a véritablement un sacré engin, encore bien vaillant.
Probablement plus de vingt centimètres, je pense finalement, en voyant la superbe bite dressée entre ses cuisses velues.
Les treize centimètres de la mienne me font brusquement honte.
Il fait mettre Martine en levrette sur le transat, les bras et la tête en appui sur le dossier, tandis qu'il s'installe debout derrière elle, un genou plié, un pied au sol.
Guidant son sexe d'une main, l'autre posée sur la croupe nue de mon ex, il la pénètre d'un seul coup, s’enfonçant à fond, et il se met à la ramoner d'un mouvement rapide du bassin.
Le claquement des pénétrations résonne jusqu'à mes oreilles, et je vois la chair des fesses de Martine trembler sous les coups de boutoir de son mâle.
« Oouuu… ooooh…. ! Hummm…. ! ou…oui… ouiii… ! Gémit-elle tandis que le dard va et vient dans son intimité.
Bien campé sur ses jambes, la tenant fermement par les hanches, Georges la besogne énergiquement en poussant des "han" sonores et en la gratifiant de mots crus.
« Ahh… t’aime ça… Dis, petite cochonne… ! Tu l’aimes la bite de ton Georges…. ! Tu la veux dans ta chatte…hein, tu la veux cette grosse bite de militaire… ! Tu la veux au fond, hein… !
Pendant plusieurs minutes il la baise sur la terrasse, suant à grosse gouttes sous le soleil radieux de ce bel après-midi, tandis que je me branle comme un damné.
Comme je regrette le temps ou c’est moi qui investissait la chatte de Martine, enfouissant ma queue dans ses chairs détrempées.
En voyant le membre imposant de Georges disparaitre en elle, et les couinements qu’il provoque, je me demande si elle sentait quelque chose avec moi.
Malgré la distance je perçois très nettement le chuintement humide de son sexe quand il pénètre Martine, ses grognements de satisfaction à jouir de sa chatte humide.
Je suis fou de jalousie de voir ce type à la retraite baiser ma femme, enfin mon ex-femme, et pourtant je trique à mort en regardant sa queue plonger complètement dans ce vagin que je connais si bien, sa douceur, son tiédeur moite.
« Ouhhh… T’aime bien que je te prenne comme ça, hein ? Ouais… t’aimes ça je le sais bien…. !
Martine, dont les lourdes mamelles se balancent au rythme des coups de boutoirs, répond en hochant la tête et en poussant des gémissements de plaisir.
« Aaah…… Oooh…. Ou…oui… ! .Oui…oooo… mon chéri…c…c’est bon !
Dommage de n’avoir pas pensé à emmener une caméra, je me serai fait un petit film bien sympa.
Je réalise que des promeneurs auraient pu emprunter à ce moment-là le sentier et découvrir le couple en pleine partie de baise, car pris par leur jouissance, ils se font moins discrets.
Soudain je les entends crier, le rythme a ralenti, je comprends qu’ils viennent de jouir.
L'image me vient d'un flot de sperme jaillissant de sa queue, inondant la matrice qu’il vient de marteler de bon cœur.
Je sais bien que depuis que nous sommes séparés, c’est avec lui qu’elle prend son plaisir, mais cela me serre le cœur de la voir de mes propres yeux se faire ensemencer par ce type, se faire remplir la chatte de son jus épais.
Planté en elle, l'embrassant dans le cou, lui pressant les seins gonflés de jouissance, le militaire décharge son foutre au fond de la caverne intime de Martine, en maître viril et absolu.
« Humm… C’est bon de te prendre ma chérie… ! Marmonne-t-il. Tu es vraiment bonne… !
« Georges…. C’était tellement bon… ! Finit-elle par lâcher, la tête penchée, visiblement dévastée par un violent orgasme. Tu étais si gros…. !
Je me suis soulagé à mon tour, laissant mon offrande sur leur haie, comme si je voulais marquer un territoire qui ne m’appartient plus.
J’étais venu ici assouvir ma curiosité et j’en ai eu pour mon argent.
Malgré ce sentiment de honte et d’infériorité ressenti en découvrant la réalité de mon successeur, j’étais content de l’avoir vu la prendre copieusement, et je savais avec quel plaisir il l’avait fait.
Car qui mieux que moi peut connaitre le plaisir divin qu’on ressent à baiser Martine.
Je suis rentré, le cœur gros, mais n'ayant qu'une envie, celle de revenir dès que possible....
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bien décrit récit bandant
Encore une fois, tu as réussi à me faire bander et juter en pensant à cette coquine de Martine. Mon dieu que j'aimerais qu'elle me chevauche pendant que je lui boufferais ses gros nichons.