Gérard, le patron du bar de quartier.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Gérard, le patron du bar de quartier.
Depuis quelques temps, je rejoins des potes dans un bar inhabituel.
On aime s'y rendre en soirée, pour se mettre dans des états pitoyables, parfois !
C'est pas le bar chic ! Plutôt, le genre à servir les piliers de comptoir !
Il a l'avantage d'avoir de bons disques, dans le Juke Boxe !
Il est tenu par Gérard, un homme grisonnant, qui approche la soixantaine.
Sa femme l'aide après le repas, en le relevant.
Elle est assez banale, et pas très avenante, elle donne l'impression de subir sa vie !
Gérard dine souvent devant nous ! Seul, attablé dans la salle du bar !
Il lui arrive de s'absenter en journée, sa femme tient alors le comptoir, à sa place !
Je comprendrai plus tard, la raison de ses absences !
De temps, en temps, il met "la sienne", comme on dit !
J'ai remarqué qu'il m'offre souvent à boire, quand je suis seul.
"Laisses ! Minot ! C'est pour moi ! Celle-là !".
"Mais, pourquoi ? Gérard ? Je viens d'arriver !".
"Tu me le rendras un jour, c'est pas grave ! Disons que je t'aime bien !".
"Bon, ben !... Merci !".
C'est dans ces conditions, qu'un soir, sa femme vient le relever.
"Gérard ! Il va falloir penser à ranger les caisses en bas !".
Il mange, puis me demande:
"Dis-moi ? Minot ! Pascal ? C'est ça ?".
"Oui, c'est ça !".
"Ca te déranges, de me donner un coup de main ?".
"Non ! Il faut faire quoi ?".
"Je te dirai ! D'abord, merci ! On en a pour un petit moment, mais, on ira plus vite à deux !".
Je le suis dans la cave.
Il fait un peu sombre, et très, très frais !
Je ne le vois pas, nous enfermer.
Il allume une ampoule assez faible.
Je l'aide à agencer des tas de caisses de bouteilles vides, et d'autres pleines.
Il change de sujet de discussion:
"Tu me reconnais pas, j'ai l'impression ! On s'est déjà vu, avant que tu viennes au bar !".
Je suis étonné !
"Ah bon ? Et d'où, on se connait ?".
"J't'ai baisé deux ou trois fois, il y a deux ans, environ ! Au cinéma porno, le Rex ! Tu te souviens pas ?".
Je mets un long moment à réagir, je m'attendais pas à ça !
"Ah, dé... désolé, je...".
"Ne t'affole pas ! On est entre nous ! Mais j'aimerai bien en profiter, là ! Ca te dit pas que je t'encule, vite fait ?".
"Je ... J'ai peur pour votre femme !".
"J'ai fermé la porte, en plus, elle peut pas venir, à cause des clients !".
Il baisse son pantalon, et se pose sur un amas de caisses.
Sa longue verge est tendue à l'extrême !
"Suces-moi un peu, d'abord ! Tu vas te souvenir de ma queue, je pense !".
Je me place entre ses cuisses ouvertes.
Sa longue verge courbée en arc, me revient alors, en mémoire !
Sa forme est inoubliable pour moi !
Et le souvenir de son foutre aussi !
J'adorai le sucer longtemps !
Je jouissais étonnamment bien, quand il m'enculait !
Sa longueur activait davantage, mes sécrétions de jus anal.
"Orhhh ! Ca fait longtemps ! J'ai toujours adoré ta bouche ! Pascal !".
"Mmmm ! Je me souviens, maintenant ! Moi aussi, j'aime te sucer !".
"Je te vois plus, au ciné ! Pourquoi ?".
"Je vais au Sex-shop de la Porte d'Italie ! Et puis, j'ai un mec qui me baise chez moi, de temps en temps !".
"Orhhh ! Putain, c'est bon ! Je comprends que tu sois demandé ! Déshabilles toi, je vais te baiser ! On a pas beaucoup de temps !".
Je prends sa place, sur l'amas de caisses pleines.
Il baisse encore davantage, mon pantalon sur mes pieds.
Il me caresse le cul avec envie.
"Hummm ! Putain ! Je l'adore ! Je sais déjà, que je vais me régaler ! J'adore t'enculer, minot !".
Je me fais cracher sur l'anus, de nombreuses fois, puis il colle son gland entre mes fesses.
Lentement, il prend possession de ma chatte.
Jusqu'à toucher mon coccyx.
Je me mord les lèvres, j'aime l'avoir dans l'anus !
"Tu te souviens, maintenant ?".
"Orhhh ! Oui, c'est bon, encules-moi ! Vite ! Fais-moi jouir, comme les autres fois !".
"Hummm ! T'es toujours aussi salope ! c'est ça qui me plait !".
Il coulisse, de plus en plus amplement !
Il parvient à me faire entrer sa bite, jusqu'aux couilles !
Je le recouvre de jus anal, encore une fois !
Je me dois, d'étouffer mes orgasmes successifs dans mon bras, pendant qu'il fait monter sa jouissance.
"Arhhhhhhhh ! Minot, t'es trop bon à baiser, je vais tout te mettre encore ! Ohhhh ! J'me vide les couilles ! Putain, ce que tu m'as manqué ! Arhhhhhhhhhhhhhrrrrrrrrrrr !".
Je le devine, bien au fond de ma chatte anale, qui se déverse complètement.
Ca va m'arranger, son foutre mettra plus de temps à couler !
Ca me laisse donc la possibilité de le retenir plus facilement !
Il sort assez rapidement, je me rhabille.
On se sourit.
"Hummm ! Ca m'a fait du bien de te baiser comme avant ! Si ça te dit, on pourra recommencer ici !".
"J'aimerai bien, mais il y a ta femme !".
"On s'arrangera ! Elle est pas toujours là ! T'as du remarquer qu'elle va se coucher avant moi !".
"Oui ! C'est vrai !".
On a fini, en accélérant notre tâche, puis, nous sommes remonté dans le bar.
Sa femme me sert à boire gratuitement, il me fait un clin d'œil.
Les potes arrivent, les uns après les autres, progressivement.
Je vais aux toilettes, me vider analement, quand ce n'est plus gérable !
Il nous a servi une tournée supplémentaire, ce soir là !
Voilà comment, j'aurai des baises en 5 à 7, avec ce type, qui était plus âgé que mon père !
Puis, on a changé de lieu de beuverie.
On s'y rendait moins souvent.
Mais il m'arrivait de lui rendre visite, seul, de temps en temps.
C'était facile, je l'avais à ma disposition !
J'avoue que j'aimais laisser partir mes potes, et rester le dernier avec lui, pour fermer le bar.
Il m'a fait vivre de grands moments !
L'alcool me rendait euphorique, pendant qu'il me baisait !
Parfois, je jouissais comme une chienne en chaleur, complètement ivre !
Il me labourait la chatte comme un forcené, bien éméché lui aussi !
On se lâchait comme deux gros pervers ! C'était bon !
On a pas vraiment eu de relation suivie.
Presque 7 à 8 fois par mois, au début.
Parfois, on se contentait d'une bonne et longue pipe, juteuse à souhait !
Ensuite, cela s'est espacé pour une dizaine de fois sur l'année, mais, pendant 8 ans environ !
C'est ce qui a fait, que l'on ne s'est pas lassé, ni lui, ni moi.
Jusqu'à la fermeture de son établissement.
Combien de fois, je me suis détesté, au début ?
J'allais rejoindre mes amis, en me disant intérieurement:
"Ce soir ! J'ai pas envie de sexe ! Je me laisse pas baiser !".
Mais, il savait me faire boire, et m'attirer dans ces griffes !
Sa femme dormait chez lui, à quelques centaines de mètres.
Les amis quittaient le bar !
Il faisait semblant d'être en pleine conversation "intéressante" avec moi.
Puis, une fois seuls, il disait quelque chose comme:
"J'ai envie de te baiser !". Ou "Enfin, ils sont partis ! On va pouvoir s'amuser tous les deux !".
Il baissait le rideau, et je le suçais derrière le bar, ou sur une chaise, dans la salle.
Je cherchai souvent à le faire éjaculer dans ma bouche !
Sauf, quand moi aussi, j'avais envie de baiser !
Il arborait un grand sourire, quand je me pliai, en montrant mon cul dénudé.
Je l'aguichais, penché sur une de ses tables, parfois ivre !
"Orhhh ! Vas y ! Défonces moi ! J'ai envie de jouir du cul, Gérard !".
Malheureusement, ou heureusement aussi !
L'alcool annule souvent, la montée des éjaculations !
Je me suis fait démonté, pendant des éternités, parfois !
Moi, j'éjaculai toujours sur son carrelage !
Mon foutre rejoignait les restes de cacahuètes au sol, et tachait mon slip, quand il n'était pas assez éloigné.
Il s'en fichait ! Sa femme nettoyait le bar tous les matins !
Le sperme change de texture, au fil des heures, impossible de savoir ce que c'est !
A part, si vous le reniflez !
Parfois, les taches étaient plus importantes, quand son sperme coulait de ma chatte, pour rejoindre le mien !
C'était souvent, quand il prenait plaisir à m'arroser la chatte béante !
C'est au réveil, le lendemain, que je me prenais la réalité en pleine face !
Il avait encore su me persuader !
Le foutre que je rejetai dans les chiottes, le prouvait bien !
Allez ! Pascal ! Arrêtes de te plaindre ! T'as aimé ça, encore une fois !
Le sperme, sur ton slip, le prouve aussi !
On a baisé au cinéma, lorsque j'y retournai, les mêmes jours que lui.
Un jour, je l'ai croisé, alors qu'il en sortait.
Moi, je rentrai du boulot !
"Salut Gérard ! Ca va ?".
"Salut Pascal ! Pas trop ! Il n'y avait personne !".
"Ah ! Dommage ! Tu vas au bar ?".
"Ben, ça dépend ! Il y aurait pas moyen, que tu me soulages, vite fait ?".
"Gérard ! J'ai pas la tête à ça ! Je ... je sais pas !".
"je m'en fous de ta tête ! C'est ta chatte qui m'intéresse ! Allez, fais moi plaisir ! Ta copine est chez toi ?".
"Non, elle rentre dans plus d'une heure !".
"Ben, c'est parfait pour nous, ça ! Allez !".
"Bon ! Ok, t'as encore gagné ! Mais tu te retiens pas ! Ok ?".
"Ok ! T'es gentil, ma p'tite chatte !".
Quand j'ai fermé le loquet de ma porte, il baissait déjà, le bas de ses vêtements !
Je me retourne, et constate son énorme érection.
Il est appuyé contre mon canapé, en se caressant la bite.
Je me dénude comme lui, puis, me prosterne à ses pieds, pour l'enfoncer dans ma gorge.
Je me contredis encore !
Voilà que je n'arrive plus à m'arrêter de le sucer, comme une salope gourmande !
Sa longue verge se couvre de ma salive.
Je lui nettoie les couilles en les gobant, entre chaque série de pompage frénétique.
C'est lui qui me plie en deux, contre le flanc du canapé !
Sa longue verge m'écartèle l'anus très facilement !
J'en avais trop envie ! J'avais préparé mon sphincter anal, inconsciemment !
"Putain ! Minot ! Tu vois que tu râles pour rien ! Ca rentre tout seul ! Même ta chatte, elle voulait ma bite !".
"Arghhhhhhhhh ! Salaud ! Tais-toi ! Encules-moi ! C'est trop bon !".
"Ahh ! Je préfère ça ! Tiens, mon chéri ! Prends-ça ! On va bien s'éclater, encore ! Pas vrai ?".
"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Oui ! T'as raison ! J'aime trop me faire enculer ! Arghhhhhhhhh ! ...".
"Orhh ! Putain, cette chatte ! Si tes potes te voyaient ! Ca aussi, ça m'excite ! Ils savent pas, que t'es ma pute !".
"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Putain, je jouiii ! Arghhhhhhhhhggggggggggg !".
Il me burine sans discontinuer, en respectant ma demande: Ne pas se retenir !
Je prend plusieurs orgasmes, jusqu'au moment ou il me déplace.
Il me voute en travers du canapé, avec les cuisses écartées à l'extrême.
Il me transperce d'un coup !
"Putain, j'adore te prendre comme ça, aussi ! J'vois qu'tu bandes ! P'tite salope !".
Je suis trop sollicité, par ses assauts puissants et profonds, pour répondre !
Je romps mon silence, par de nouveaux râles plus bruyants !
J'éjacule sur mon ventre et mon torse.
"Arhhhh ! Putain, j'aime trop ça ! T'es la seule salope que je fais cracher, quand je l'encule ! Je t'adore ! Arghhhhhhhhh ! Tiens, chéri ! Prends moi dans ta bouche ! Vite ! Arghhhhhhh !".
On agit dans la panique !
Sa verge laisse échapper deux jets puissants, que je prends en pleine face !
Il trouve ma gorge ensuite !
Je l'avale avec gourmandise, excité de ce qu'il a giclé sur moi !
Il crie son énorme plaisir, pendant que ma chatte convulse, encore soumise au plaisir anal vécu.
Elle fait de nombreux bruits, pendant que je me régale de son foutre chaud, gluant et poivré.
Il s'affale ensuite sur mon flanc.
Visiblement, il a bien joui !
Moi aussi ! Mais je suis dans un sale état !
Mon anus est poisseux, béant.
Ma face est maculée de sperme.
Entre ma chatte et mon visage, j'ose pas pas me relever, sans tacher le canapé !
"Gérard, tu peux prendre de l'essuie tout dans ma cuisine ? J'ai peur d'en mettre partout !".
"Orhhh ! Oui, mais pas tout de suite, chéri ! Laisses-moi me remettre ! J'ai tout donné, je crois ! Putain ! C'était trop bon !".
Je dois donc patienter.
Il m'a quitté, peu de temps après !
Il s'est rhabillé, pendant que j'essuyais mes joues et mon front !
Je me nettoyais la chatte, pour la énième fois, quand il a passé la porte !
Il faut que je remette vite mes vêtements, avant le retour de Corinne !
Elle n'était pas encore au courant de ma double vie, à l'époque !
Gérard prenait trop de risque !
Il me faisait peur, parfois !
Il m'a coincé aux toilettes du bar, 3 fois !
J'y allais, sans arrière pensées !
Le comptoir restait vide, pendant qu'il se faisait sucer, ou m'enculait !
Par chance, c'était toujours très rapide !
Et la musique du Juke box, aidait à mieux couvrir mes râles !
Il n'a jamais osé, en présence de sa femme !
On aime s'y rendre en soirée, pour se mettre dans des états pitoyables, parfois !
C'est pas le bar chic ! Plutôt, le genre à servir les piliers de comptoir !
Il a l'avantage d'avoir de bons disques, dans le Juke Boxe !
Il est tenu par Gérard, un homme grisonnant, qui approche la soixantaine.
Sa femme l'aide après le repas, en le relevant.
Elle est assez banale, et pas très avenante, elle donne l'impression de subir sa vie !
Gérard dine souvent devant nous ! Seul, attablé dans la salle du bar !
Il lui arrive de s'absenter en journée, sa femme tient alors le comptoir, à sa place !
Je comprendrai plus tard, la raison de ses absences !
De temps, en temps, il met "la sienne", comme on dit !
J'ai remarqué qu'il m'offre souvent à boire, quand je suis seul.
"Laisses ! Minot ! C'est pour moi ! Celle-là !".
"Mais, pourquoi ? Gérard ? Je viens d'arriver !".
"Tu me le rendras un jour, c'est pas grave ! Disons que je t'aime bien !".
"Bon, ben !... Merci !".
C'est dans ces conditions, qu'un soir, sa femme vient le relever.
"Gérard ! Il va falloir penser à ranger les caisses en bas !".
Il mange, puis me demande:
"Dis-moi ? Minot ! Pascal ? C'est ça ?".
"Oui, c'est ça !".
"Ca te déranges, de me donner un coup de main ?".
"Non ! Il faut faire quoi ?".
"Je te dirai ! D'abord, merci ! On en a pour un petit moment, mais, on ira plus vite à deux !".
Je le suis dans la cave.
Il fait un peu sombre, et très, très frais !
Je ne le vois pas, nous enfermer.
Il allume une ampoule assez faible.
Je l'aide à agencer des tas de caisses de bouteilles vides, et d'autres pleines.
Il change de sujet de discussion:
"Tu me reconnais pas, j'ai l'impression ! On s'est déjà vu, avant que tu viennes au bar !".
Je suis étonné !
"Ah bon ? Et d'où, on se connait ?".
"J't'ai baisé deux ou trois fois, il y a deux ans, environ ! Au cinéma porno, le Rex ! Tu te souviens pas ?".
Je mets un long moment à réagir, je m'attendais pas à ça !
"Ah, dé... désolé, je...".
"Ne t'affole pas ! On est entre nous ! Mais j'aimerai bien en profiter, là ! Ca te dit pas que je t'encule, vite fait ?".
"Je ... J'ai peur pour votre femme !".
"J'ai fermé la porte, en plus, elle peut pas venir, à cause des clients !".
Il baisse son pantalon, et se pose sur un amas de caisses.
Sa longue verge est tendue à l'extrême !
"Suces-moi un peu, d'abord ! Tu vas te souvenir de ma queue, je pense !".
Je me place entre ses cuisses ouvertes.
Sa longue verge courbée en arc, me revient alors, en mémoire !
Sa forme est inoubliable pour moi !
Et le souvenir de son foutre aussi !
J'adorai le sucer longtemps !
Je jouissais étonnamment bien, quand il m'enculait !
Sa longueur activait davantage, mes sécrétions de jus anal.
"Orhhh ! Ca fait longtemps ! J'ai toujours adoré ta bouche ! Pascal !".
"Mmmm ! Je me souviens, maintenant ! Moi aussi, j'aime te sucer !".
"Je te vois plus, au ciné ! Pourquoi ?".
"Je vais au Sex-shop de la Porte d'Italie ! Et puis, j'ai un mec qui me baise chez moi, de temps en temps !".
"Orhhh ! Putain, c'est bon ! Je comprends que tu sois demandé ! Déshabilles toi, je vais te baiser ! On a pas beaucoup de temps !".
Je prends sa place, sur l'amas de caisses pleines.
Il baisse encore davantage, mon pantalon sur mes pieds.
Il me caresse le cul avec envie.
"Hummm ! Putain ! Je l'adore ! Je sais déjà, que je vais me régaler ! J'adore t'enculer, minot !".
Je me fais cracher sur l'anus, de nombreuses fois, puis il colle son gland entre mes fesses.
Lentement, il prend possession de ma chatte.
Jusqu'à toucher mon coccyx.
Je me mord les lèvres, j'aime l'avoir dans l'anus !
"Tu te souviens, maintenant ?".
"Orhhh ! Oui, c'est bon, encules-moi ! Vite ! Fais-moi jouir, comme les autres fois !".
"Hummm ! T'es toujours aussi salope ! c'est ça qui me plait !".
Il coulisse, de plus en plus amplement !
Il parvient à me faire entrer sa bite, jusqu'aux couilles !
Je le recouvre de jus anal, encore une fois !
Je me dois, d'étouffer mes orgasmes successifs dans mon bras, pendant qu'il fait monter sa jouissance.
"Arhhhhhhhh ! Minot, t'es trop bon à baiser, je vais tout te mettre encore ! Ohhhh ! J'me vide les couilles ! Putain, ce que tu m'as manqué ! Arhhhhhhhhhhhhhrrrrrrrrrrr !".
Je le devine, bien au fond de ma chatte anale, qui se déverse complètement.
Ca va m'arranger, son foutre mettra plus de temps à couler !
Ca me laisse donc la possibilité de le retenir plus facilement !
Il sort assez rapidement, je me rhabille.
On se sourit.
"Hummm ! Ca m'a fait du bien de te baiser comme avant ! Si ça te dit, on pourra recommencer ici !".
"J'aimerai bien, mais il y a ta femme !".
"On s'arrangera ! Elle est pas toujours là ! T'as du remarquer qu'elle va se coucher avant moi !".
"Oui ! C'est vrai !".
On a fini, en accélérant notre tâche, puis, nous sommes remonté dans le bar.
Sa femme me sert à boire gratuitement, il me fait un clin d'œil.
Les potes arrivent, les uns après les autres, progressivement.
Je vais aux toilettes, me vider analement, quand ce n'est plus gérable !
Il nous a servi une tournée supplémentaire, ce soir là !
Voilà comment, j'aurai des baises en 5 à 7, avec ce type, qui était plus âgé que mon père !
Puis, on a changé de lieu de beuverie.
On s'y rendait moins souvent.
Mais il m'arrivait de lui rendre visite, seul, de temps en temps.
C'était facile, je l'avais à ma disposition !
J'avoue que j'aimais laisser partir mes potes, et rester le dernier avec lui, pour fermer le bar.
Il m'a fait vivre de grands moments !
L'alcool me rendait euphorique, pendant qu'il me baisait !
Parfois, je jouissais comme une chienne en chaleur, complètement ivre !
Il me labourait la chatte comme un forcené, bien éméché lui aussi !
On se lâchait comme deux gros pervers ! C'était bon !
On a pas vraiment eu de relation suivie.
Presque 7 à 8 fois par mois, au début.
Parfois, on se contentait d'une bonne et longue pipe, juteuse à souhait !
Ensuite, cela s'est espacé pour une dizaine de fois sur l'année, mais, pendant 8 ans environ !
C'est ce qui a fait, que l'on ne s'est pas lassé, ni lui, ni moi.
Jusqu'à la fermeture de son établissement.
Combien de fois, je me suis détesté, au début ?
J'allais rejoindre mes amis, en me disant intérieurement:
"Ce soir ! J'ai pas envie de sexe ! Je me laisse pas baiser !".
Mais, il savait me faire boire, et m'attirer dans ces griffes !
Sa femme dormait chez lui, à quelques centaines de mètres.
Les amis quittaient le bar !
Il faisait semblant d'être en pleine conversation "intéressante" avec moi.
Puis, une fois seuls, il disait quelque chose comme:
"J'ai envie de te baiser !". Ou "Enfin, ils sont partis ! On va pouvoir s'amuser tous les deux !".
Il baissait le rideau, et je le suçais derrière le bar, ou sur une chaise, dans la salle.
Je cherchai souvent à le faire éjaculer dans ma bouche !
Sauf, quand moi aussi, j'avais envie de baiser !
Il arborait un grand sourire, quand je me pliai, en montrant mon cul dénudé.
Je l'aguichais, penché sur une de ses tables, parfois ivre !
"Orhhh ! Vas y ! Défonces moi ! J'ai envie de jouir du cul, Gérard !".
Malheureusement, ou heureusement aussi !
L'alcool annule souvent, la montée des éjaculations !
Je me suis fait démonté, pendant des éternités, parfois !
Moi, j'éjaculai toujours sur son carrelage !
Mon foutre rejoignait les restes de cacahuètes au sol, et tachait mon slip, quand il n'était pas assez éloigné.
Il s'en fichait ! Sa femme nettoyait le bar tous les matins !
Le sperme change de texture, au fil des heures, impossible de savoir ce que c'est !
A part, si vous le reniflez !
Parfois, les taches étaient plus importantes, quand son sperme coulait de ma chatte, pour rejoindre le mien !
C'était souvent, quand il prenait plaisir à m'arroser la chatte béante !
C'est au réveil, le lendemain, que je me prenais la réalité en pleine face !
Il avait encore su me persuader !
Le foutre que je rejetai dans les chiottes, le prouvait bien !
Allez ! Pascal ! Arrêtes de te plaindre ! T'as aimé ça, encore une fois !
Le sperme, sur ton slip, le prouve aussi !
On a baisé au cinéma, lorsque j'y retournai, les mêmes jours que lui.
Un jour, je l'ai croisé, alors qu'il en sortait.
Moi, je rentrai du boulot !
"Salut Gérard ! Ca va ?".
"Salut Pascal ! Pas trop ! Il n'y avait personne !".
"Ah ! Dommage ! Tu vas au bar ?".
"Ben, ça dépend ! Il y aurait pas moyen, que tu me soulages, vite fait ?".
"Gérard ! J'ai pas la tête à ça ! Je ... je sais pas !".
"je m'en fous de ta tête ! C'est ta chatte qui m'intéresse ! Allez, fais moi plaisir ! Ta copine est chez toi ?".
"Non, elle rentre dans plus d'une heure !".
"Ben, c'est parfait pour nous, ça ! Allez !".
"Bon ! Ok, t'as encore gagné ! Mais tu te retiens pas ! Ok ?".
"Ok ! T'es gentil, ma p'tite chatte !".
Quand j'ai fermé le loquet de ma porte, il baissait déjà, le bas de ses vêtements !
Je me retourne, et constate son énorme érection.
Il est appuyé contre mon canapé, en se caressant la bite.
Je me dénude comme lui, puis, me prosterne à ses pieds, pour l'enfoncer dans ma gorge.
Je me contredis encore !
Voilà que je n'arrive plus à m'arrêter de le sucer, comme une salope gourmande !
Sa longue verge se couvre de ma salive.
Je lui nettoie les couilles en les gobant, entre chaque série de pompage frénétique.
C'est lui qui me plie en deux, contre le flanc du canapé !
Sa longue verge m'écartèle l'anus très facilement !
J'en avais trop envie ! J'avais préparé mon sphincter anal, inconsciemment !
"Putain ! Minot ! Tu vois que tu râles pour rien ! Ca rentre tout seul ! Même ta chatte, elle voulait ma bite !".
"Arghhhhhhhhh ! Salaud ! Tais-toi ! Encules-moi ! C'est trop bon !".
"Ahh ! Je préfère ça ! Tiens, mon chéri ! Prends-ça ! On va bien s'éclater, encore ! Pas vrai ?".
"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Oui ! T'as raison ! J'aime trop me faire enculer ! Arghhhhhhhhh ! ...".
"Orhh ! Putain, cette chatte ! Si tes potes te voyaient ! Ca aussi, ça m'excite ! Ils savent pas, que t'es ma pute !".
"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Putain, je jouiii ! Arghhhhhhhhhggggggggggg !".
Il me burine sans discontinuer, en respectant ma demande: Ne pas se retenir !
Je prend plusieurs orgasmes, jusqu'au moment ou il me déplace.
Il me voute en travers du canapé, avec les cuisses écartées à l'extrême.
Il me transperce d'un coup !
"Putain, j'adore te prendre comme ça, aussi ! J'vois qu'tu bandes ! P'tite salope !".
Je suis trop sollicité, par ses assauts puissants et profonds, pour répondre !
Je romps mon silence, par de nouveaux râles plus bruyants !
J'éjacule sur mon ventre et mon torse.
"Arhhhh ! Putain, j'aime trop ça ! T'es la seule salope que je fais cracher, quand je l'encule ! Je t'adore ! Arghhhhhhhhh ! Tiens, chéri ! Prends moi dans ta bouche ! Vite ! Arghhhhhhh !".
On agit dans la panique !
Sa verge laisse échapper deux jets puissants, que je prends en pleine face !
Il trouve ma gorge ensuite !
Je l'avale avec gourmandise, excité de ce qu'il a giclé sur moi !
Il crie son énorme plaisir, pendant que ma chatte convulse, encore soumise au plaisir anal vécu.
Elle fait de nombreux bruits, pendant que je me régale de son foutre chaud, gluant et poivré.
Il s'affale ensuite sur mon flanc.
Visiblement, il a bien joui !
Moi aussi ! Mais je suis dans un sale état !
Mon anus est poisseux, béant.
Ma face est maculée de sperme.
Entre ma chatte et mon visage, j'ose pas pas me relever, sans tacher le canapé !
"Gérard, tu peux prendre de l'essuie tout dans ma cuisine ? J'ai peur d'en mettre partout !".
"Orhhh ! Oui, mais pas tout de suite, chéri ! Laisses-moi me remettre ! J'ai tout donné, je crois ! Putain ! C'était trop bon !".
Je dois donc patienter.
Il m'a quitté, peu de temps après !
Il s'est rhabillé, pendant que j'essuyais mes joues et mon front !
Je me nettoyais la chatte, pour la énième fois, quand il a passé la porte !
Il faut que je remette vite mes vêtements, avant le retour de Corinne !
Elle n'était pas encore au courant de ma double vie, à l'époque !
Gérard prenait trop de risque !
Il me faisait peur, parfois !
Il m'a coincé aux toilettes du bar, 3 fois !
J'y allais, sans arrière pensées !
Le comptoir restait vide, pendant qu'il se faisait sucer, ou m'enculait !
Par chance, c'était toujours très rapide !
Et la musique du Juke box, aidait à mieux couvrir mes râles !
Il n'a jamais osé, en présence de sa femme !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci ! Je souhaite beaucoup de plaisir !
Humm j’adore vos histoires et je me fais énormément plaisir dessus.