Gigolo 01 La Comtesse de Kikidi

Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Gigolo 01 La Comtesse de Kikidi
Gigolo 01
La Comtesse de Kikidi
Quel âge avait-il. Vingt-deux, vingt-trois, certainement pas plus. Il était beau comme un dieux et ce costume de luxe lui allait à merveille. Il regardait l'heure à sa montre, c'était un très beau modèle à plusieurs milliers d'Euros.
Il était élégant, souriant, et évoluait avec discrétion, c'étaient les filles qui le regardaient, il devait les faire rêver. Il devait être plein aux as, en tout cas il en avait l'air.
On l'appelait ' Monsieur ', et les serveurs le saluaient, pourtant un an plus tôt, il était déjà là, dans ce restaurant, c'était un établissement de grand standing mais il y a un an il faisait le service.
Déjà il était incroyablement beau, sa livrée le mettait très en valeur et Madame la Comtesse de la Kikidi avait l’œil. Elle l'avait remarqué le jour ou il avait été embauché. Rapidement elle s'arrangeait pour que ce soit lui qui la serve.
Mme la Comtesse avait été d'une grande beauté dans le passé, avec son époux, Mr le Compte ils étaient connus de tous les milieux de la haute société, soirées mondaines, réunions caritatives, couturiers de luxe, bijoutiers, et comme aujourd'hui restaurant de très haut de gamme.
Le temps avait passé et madame la Comtesse s'était fanée. Mignonne allons voir si la rose … Ça vous dit quelque chose ? Et bien ce n'était déjà plus ce matin qu'elle avait déclose, la rose. Mais comment François aurait pu ne pas la trouver séduisante, elle était étincelante de partout. Je vous ai bien dit qu'elle connaissait tous les bijoutiers de la ville, et bien je rectifie, elle connaissait tout les grands bijoutiers du continent …
Brillante comme un arbre de noël, elle se faisait admirer. François était aux petit soins pour elle. J'avais oublié de vous donner son nom au début il me semble … C'est fait.
Un an plus tôt, elle avait craqué pour son élégance, il avait un corps mince et musclé, un grosse bosse entre les jambes, et c'est probablement ce que madame avait remarqué en premier. On la disait très portée sur le …
Bien sûr la réputation de madame était parvenue aux oreilles de François.
Avec tous ces truc qui brillaient partout sur elle, il lui trouvait tous les charmes. Oh elle savait être rapide la petite dame ! Elle avait loué je jour même une chambre alors qu'elle habitait dans la ville, pas loin.
François gardait un œil sur la comtesse. Il était à son service et ne voulait pas louper un signe qu'elle aurait pu lui adresser, il la suivait, littéralement au doigt et à l’œil. Elle s'était installée à une table et se faisait servir une gourmandise, un thé quelques petits gâteaux qu'elle grignotait du bout des lèvres.
Puis un signe, personne n'avait rien vu, mais François se précipitait pour lui tenir la chaise, elle se levait et se dirigeait vers l’ascenseur, il la suivait. Au moment de monter dans l'ascenseur elle se retournait vers lui.
– Mon petit trésor, je pense que je vais me reposer pour le moment, je t'autorise à faire un petit tour, va donc prendre l'air sur la croisette et en rentrant tu rangeras la Rolls.
François lui baisait la main et attendait comme au garde à vous que l’ascenseur se referme. Il se précipitait alors vers la sortie, tous les yeux féminins se retournaient vers lui. Les plus belles filles présentent dans la salle le suivaient du regard. C'est vrai qu'il était vraiment très beau, et en plus, sa sorcière avait disparu !
François a récupéré la Rolls, il adorait la conduire. Dans ce genre de voiture il se faisait remarquer, il faisait la tournée de tous les bar à la mode, oh par pour y entrer, juste pour se faire voir. Il commençait à être connu dans cette ville.
C'est vers la place de la pitié qu'il apercevait Simon, un vieil ami de son âge qui venait de se marier.
Il avait de la chance se disait François, un mariage sans contrat, c'est inespéré, surtout que madame était bien plus âgée que la Comtesse de la Kikidi et bien plus riche aussi. Simon avait de la chance, le temps de devenir veuf, vu l'état de santé de sa femme il serait bientôt très riche. C'est de cela que rêvait notre ami François.
Il décidait de s'arrêter pour aller saluer son ami.
Simon était de très bonne humeur et affichait un large sourire.
– Et bien qu'est-ce qui t'arrive Simon ? Tu m'as satisfait !
– Oui , eh bien il y a de quoi, tu sais que je me suis marié il y a plus d'un mois ?
Je me souviens j'y étais . Lui répondait François en rigolant.
– Eh bien ça avance bien cette affaire … Ma femme viens de faire une attaque, je sors de l'hôpital, le médecin n'a pas vraiment d'espoir .
– Alors ça c'est une bonne nouvelle ! S'exclamait François.
Ils étaient devant un bar aussi Simon continuait.
– Allez suis moi, je t'offre du champagne .
Ça ne se refuse pas, un ver de pinard je ne dis pas mais une bouteille de champagne, c'est autre chose.?os deux amis sont donc rentrés dans ce bar. Je vous rassure c'était un endroit très chic, pas un petit bistro de quartier ou on picole de la bière genre Kroütemboure, ( vous ne connaissez pas, vous ne perdez rien ). ils ne picolaient que des produits de luxe.
Ils ont fait couler le champagne, une bouteille y est passée. Des filles légèrement vêtues sont venues les rejoindre. Une seconde bouteille suivait . Puis la chaleur montant, cette petite troupe est parti terminer la soirée chez Simon. Sa femme était absente comme on vous disait, dans le comas à l'hôpital.
Ils avaient picolé et ils étaient bien chaud. Ça pouvait dégénérer et ça a dégénéré !
Les garçons on chacun pris une fille dans les bras, chacun à effeuillé la sienne. chacun la prenait, la retenait sans force contre lui. Il lui retirait le haut, et les seins à l'air les deux filles dansaient. Elles se touchaient, et sous les incitations des deux garçons elles s'embrassaient, se caressaient elles glissaient l'une contre l'autre, les seins de l'une caressaient les seins de l'autre et leurs baisers devenaient de plus en plus chauds.
Pendant ce temps les deux garçons retiraient leurs vêtements, eux aussi en rigolant imitaient les filles eux aussi se prenaient dans les bras, mais d'un peu moins prêt peut être, ils bandaient et même s'ils n'essayaient pas de se cacher, il n'essayaient pas non plus de se tripoter. Il ne faut pas exagérer non plus.
Par contre ils encourageaient les filles à le faire, et elles le faisaient de bon cœur. C'est François qui qui a lancé les hostilités ( si j'ose dire ) il se glissait dans le dos d'une des filles, lui caressait les seins, ses mains descendaient sur son ventre puis entre ses cuisses. Elle retirait alors le reste de ses vêtements et lui, la caressait d'une manière encore un peu plus intime.
Simon regardait le spectacle avant d'y participer. Il prenait la seconde fille et la retenait fermement contre lui tout en la caressant. Plus rapide que son camarade, c'est vrai que lui était presque libre, il était sur le point de devenir veuf. Ce qu'il tenait dans les bras était plus jeune et plus agréable que sa femme chérie.
Vous ne pouvez pas imaginer combien elle lui était chérie, cinq cent millions, ça devrait suffire pour vous en donner une idée … Sans compter les biens immobiliers .
Était-ce à cela qu'il pensait pendant qu'il lui caressait les seins ? Et à quoi pensait-il quand sa queue glissait entre ses fesses et ses cuisses.
Oui bon Ok là j'ai dit une connerie, en général les mecs ne pensent à rien à ce moment. Donc il ne pensait à rien. Il avançait et reculait et sa queue glissait dans sa vulve.
En face d'eux l'autre couple en était à peu près au même point. La fille s'était penchée en avant et François la pénétrait lui aussi, il se retirait et revenait avec force. Ils étaient bien chauds tous les deux et François en particulier se lâchait. Il donnait des coups de bassin contre les fesses de sa partenaire. Il était passé par derrière.
Simon, sans doute plus prude, passait par la voie traditionnelle, il faut dire qu'il était particulièrement bien monté et la seconde options était rarement accepté par les filles qu'il rencontrait. La fille s'était elle aussi penchée en avant et c'est en criant de plaisir qu'elle encaissait tout les coups qu'il lui balançait.
Elles en rajoutaient, elles avaient entendu les discussion entre eux et avaient compris que Simon allait hériter d'une très grosse somme, mais vraiment très grosse. C'est sans doute ce qu'elles devaient trouver le plus sexy en eux. Et pourtant ils étaient beaux, très beaux.
Leur vie c'était la séduction, même sans un sous en poche les femmes les trouvaient attirant aux point de leur donne de l'argent pour qu'ils restent auprès d'elles. Peut être faisaient-elles le même métier qu'eux.
Elles se donnaient à fond, chacun des coups qu'elles se prenaient dans le cul ou dans la chatte leur arrachaient des cris de plaisir, de jouissance et le faisaient savoir en poussant des cris qu'on devait entendre de loin. Elles se donnaient à fond mais elles en rajoutaient aussi.
François faisait une sorte de pause, se retirait et se servait un verre de champagne. Son pote Simon faisait de même, ils trinquaient pendant que les filles continuaient toutes seule à se faire des câlins.
Puis ils reprenaient, ils en profitaient pour échanger de partenaire. Mais c'est par derrière que Simon choisissait de s'introduire. Il profitait du fait que son copain était passé par là. Mais si François était bien monté, lui l'était encore plus. La fille a gueulé encore plus fort mais l'a laissé faire. Il avait beaucoup d'argent et elle le savait.
Ils se sont amusé à quatre pendant toute la soirée, chacune à sucé chacun. Chacun à caressé chacune avec tendresse, avec douceur, avec force.
Puis tout le monde s'est endormi l'un sur l'autre. Le lit est très grand et les draps y sont très doux.
Au réveil, le temps était beau, il y avait du soleil dans toute la maison. Les filles se sont réveillées en premier, elles se sont retrouvées sous la douche et sortaient de la salle de bain quand les deux garçons se sont levés.pendants que les garçons passaient sous la douche elles se retrouvaient dans la cuisine. Elles semblaient prendre leurs habitudes.
– On va en faire quoi des gonzesses . Demandait François.
– On va les ramener là ou on les a trouvée. Lui répondait Simon.
Ils terminaient leur douche, se rhabillaient et se retrouvaient dans la cuisine. Les filles avaient fait du café. Elles leur en servaient et retournant dans la chambre pour s'habiller, l'une d'entre elle.
– J'espère que vous allez penser à nous,qu'on n'ait pas besoin de réclamer.
– T'inquiète pas, j'ai de l'argent à la maison ! Disait Simon à François.
Il leur a donné un paquet de crédits. Et c'est avec le sourire qu'elles sont monté dans la Rolls pour le retour. François aimait particulièrement cette voiture, elle était classe.
François a ramené tout le monde là ou il les avait trouvé, les filles en premier puis en passant il a laissé Simon à l'hôpital ou il espérait avoir une bonne nouvelle.
Puis il est rentré à son hôtel. La comtesse de Kikidi était levée, le soleil était déjà haut dans le ciel.
– C'est à cette heure que tu rentre !
L'accueil était glacial.
– Je t'ai attendu toute la nuit. J'espérais que tu viennes me faire un câlin. Mais pourquoi tu crois que je te paye ?
– Heu bein, je heu .
– Ne te cherche pas d'excuses. Tu n'es qu'un bon à rien, rien de plus …
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
La Comtesse de Kikidi
Quel âge avait-il. Vingt-deux, vingt-trois, certainement pas plus. Il était beau comme un dieux et ce costume de luxe lui allait à merveille. Il regardait l'heure à sa montre, c'était un très beau modèle à plusieurs milliers d'Euros.
Il était élégant, souriant, et évoluait avec discrétion, c'étaient les filles qui le regardaient, il devait les faire rêver. Il devait être plein aux as, en tout cas il en avait l'air.
On l'appelait ' Monsieur ', et les serveurs le saluaient, pourtant un an plus tôt, il était déjà là, dans ce restaurant, c'était un établissement de grand standing mais il y a un an il faisait le service.
Déjà il était incroyablement beau, sa livrée le mettait très en valeur et Madame la Comtesse de la Kikidi avait l’œil. Elle l'avait remarqué le jour ou il avait été embauché. Rapidement elle s'arrangeait pour que ce soit lui qui la serve.
Mme la Comtesse avait été d'une grande beauté dans le passé, avec son époux, Mr le Compte ils étaient connus de tous les milieux de la haute société, soirées mondaines, réunions caritatives, couturiers de luxe, bijoutiers, et comme aujourd'hui restaurant de très haut de gamme.
Le temps avait passé et madame la Comtesse s'était fanée. Mignonne allons voir si la rose … Ça vous dit quelque chose ? Et bien ce n'était déjà plus ce matin qu'elle avait déclose, la rose. Mais comment François aurait pu ne pas la trouver séduisante, elle était étincelante de partout. Je vous ai bien dit qu'elle connaissait tous les bijoutiers de la ville, et bien je rectifie, elle connaissait tout les grands bijoutiers du continent …
Brillante comme un arbre de noël, elle se faisait admirer. François était aux petit soins pour elle. J'avais oublié de vous donner son nom au début il me semble … C'est fait.
Un an plus tôt, elle avait craqué pour son élégance, il avait un corps mince et musclé, un grosse bosse entre les jambes, et c'est probablement ce que madame avait remarqué en premier. On la disait très portée sur le …
Bien sûr la réputation de madame était parvenue aux oreilles de François.
Avec tous ces truc qui brillaient partout sur elle, il lui trouvait tous les charmes. Oh elle savait être rapide la petite dame ! Elle avait loué je jour même une chambre alors qu'elle habitait dans la ville, pas loin.
François gardait un œil sur la comtesse. Il était à son service et ne voulait pas louper un signe qu'elle aurait pu lui adresser, il la suivait, littéralement au doigt et à l’œil. Elle s'était installée à une table et se faisait servir une gourmandise, un thé quelques petits gâteaux qu'elle grignotait du bout des lèvres.
Puis un signe, personne n'avait rien vu, mais François se précipitait pour lui tenir la chaise, elle se levait et se dirigeait vers l’ascenseur, il la suivait. Au moment de monter dans l'ascenseur elle se retournait vers lui.
– Mon petit trésor, je pense que je vais me reposer pour le moment, je t'autorise à faire un petit tour, va donc prendre l'air sur la croisette et en rentrant tu rangeras la Rolls.
François lui baisait la main et attendait comme au garde à vous que l’ascenseur se referme. Il se précipitait alors vers la sortie, tous les yeux féminins se retournaient vers lui. Les plus belles filles présentent dans la salle le suivaient du regard. C'est vrai qu'il était vraiment très beau, et en plus, sa sorcière avait disparu !
François a récupéré la Rolls, il adorait la conduire. Dans ce genre de voiture il se faisait remarquer, il faisait la tournée de tous les bar à la mode, oh par pour y entrer, juste pour se faire voir. Il commençait à être connu dans cette ville.
C'est vers la place de la pitié qu'il apercevait Simon, un vieil ami de son âge qui venait de se marier.
Il avait de la chance se disait François, un mariage sans contrat, c'est inespéré, surtout que madame était bien plus âgée que la Comtesse de la Kikidi et bien plus riche aussi. Simon avait de la chance, le temps de devenir veuf, vu l'état de santé de sa femme il serait bientôt très riche. C'est de cela que rêvait notre ami François.
Il décidait de s'arrêter pour aller saluer son ami.
Simon était de très bonne humeur et affichait un large sourire.
– Et bien qu'est-ce qui t'arrive Simon ? Tu m'as satisfait !
– Oui , eh bien il y a de quoi, tu sais que je me suis marié il y a plus d'un mois ?
Je me souviens j'y étais . Lui répondait François en rigolant.
– Eh bien ça avance bien cette affaire … Ma femme viens de faire une attaque, je sors de l'hôpital, le médecin n'a pas vraiment d'espoir .
– Alors ça c'est une bonne nouvelle ! S'exclamait François.
Ils étaient devant un bar aussi Simon continuait.
– Allez suis moi, je t'offre du champagne .
Ça ne se refuse pas, un ver de pinard je ne dis pas mais une bouteille de champagne, c'est autre chose.?os deux amis sont donc rentrés dans ce bar. Je vous rassure c'était un endroit très chic, pas un petit bistro de quartier ou on picole de la bière genre Kroütemboure, ( vous ne connaissez pas, vous ne perdez rien ). ils ne picolaient que des produits de luxe.
Ils ont fait couler le champagne, une bouteille y est passée. Des filles légèrement vêtues sont venues les rejoindre. Une seconde bouteille suivait . Puis la chaleur montant, cette petite troupe est parti terminer la soirée chez Simon. Sa femme était absente comme on vous disait, dans le comas à l'hôpital.
Ils avaient picolé et ils étaient bien chaud. Ça pouvait dégénérer et ça a dégénéré !
Les garçons on chacun pris une fille dans les bras, chacun à effeuillé la sienne. chacun la prenait, la retenait sans force contre lui. Il lui retirait le haut, et les seins à l'air les deux filles dansaient. Elles se touchaient, et sous les incitations des deux garçons elles s'embrassaient, se caressaient elles glissaient l'une contre l'autre, les seins de l'une caressaient les seins de l'autre et leurs baisers devenaient de plus en plus chauds.
Pendant ce temps les deux garçons retiraient leurs vêtements, eux aussi en rigolant imitaient les filles eux aussi se prenaient dans les bras, mais d'un peu moins prêt peut être, ils bandaient et même s'ils n'essayaient pas de se cacher, il n'essayaient pas non plus de se tripoter. Il ne faut pas exagérer non plus.
Par contre ils encourageaient les filles à le faire, et elles le faisaient de bon cœur. C'est François qui qui a lancé les hostilités ( si j'ose dire ) il se glissait dans le dos d'une des filles, lui caressait les seins, ses mains descendaient sur son ventre puis entre ses cuisses. Elle retirait alors le reste de ses vêtements et lui, la caressait d'une manière encore un peu plus intime.
Simon regardait le spectacle avant d'y participer. Il prenait la seconde fille et la retenait fermement contre lui tout en la caressant. Plus rapide que son camarade, c'est vrai que lui était presque libre, il était sur le point de devenir veuf. Ce qu'il tenait dans les bras était plus jeune et plus agréable que sa femme chérie.
Vous ne pouvez pas imaginer combien elle lui était chérie, cinq cent millions, ça devrait suffire pour vous en donner une idée … Sans compter les biens immobiliers .
Était-ce à cela qu'il pensait pendant qu'il lui caressait les seins ? Et à quoi pensait-il quand sa queue glissait entre ses fesses et ses cuisses.
Oui bon Ok là j'ai dit une connerie, en général les mecs ne pensent à rien à ce moment. Donc il ne pensait à rien. Il avançait et reculait et sa queue glissait dans sa vulve.
En face d'eux l'autre couple en était à peu près au même point. La fille s'était penchée en avant et François la pénétrait lui aussi, il se retirait et revenait avec force. Ils étaient bien chauds tous les deux et François en particulier se lâchait. Il donnait des coups de bassin contre les fesses de sa partenaire. Il était passé par derrière.
Simon, sans doute plus prude, passait par la voie traditionnelle, il faut dire qu'il était particulièrement bien monté et la seconde options était rarement accepté par les filles qu'il rencontrait. La fille s'était elle aussi penchée en avant et c'est en criant de plaisir qu'elle encaissait tout les coups qu'il lui balançait.
Elles en rajoutaient, elles avaient entendu les discussion entre eux et avaient compris que Simon allait hériter d'une très grosse somme, mais vraiment très grosse. C'est sans doute ce qu'elles devaient trouver le plus sexy en eux. Et pourtant ils étaient beaux, très beaux.
Leur vie c'était la séduction, même sans un sous en poche les femmes les trouvaient attirant aux point de leur donne de l'argent pour qu'ils restent auprès d'elles. Peut être faisaient-elles le même métier qu'eux.
Elles se donnaient à fond, chacun des coups qu'elles se prenaient dans le cul ou dans la chatte leur arrachaient des cris de plaisir, de jouissance et le faisaient savoir en poussant des cris qu'on devait entendre de loin. Elles se donnaient à fond mais elles en rajoutaient aussi.
François faisait une sorte de pause, se retirait et se servait un verre de champagne. Son pote Simon faisait de même, ils trinquaient pendant que les filles continuaient toutes seule à se faire des câlins.
Puis ils reprenaient, ils en profitaient pour échanger de partenaire. Mais c'est par derrière que Simon choisissait de s'introduire. Il profitait du fait que son copain était passé par là. Mais si François était bien monté, lui l'était encore plus. La fille a gueulé encore plus fort mais l'a laissé faire. Il avait beaucoup d'argent et elle le savait.
Ils se sont amusé à quatre pendant toute la soirée, chacune à sucé chacun. Chacun à caressé chacune avec tendresse, avec douceur, avec force.
Puis tout le monde s'est endormi l'un sur l'autre. Le lit est très grand et les draps y sont très doux.
Au réveil, le temps était beau, il y avait du soleil dans toute la maison. Les filles se sont réveillées en premier, elles se sont retrouvées sous la douche et sortaient de la salle de bain quand les deux garçons se sont levés.pendants que les garçons passaient sous la douche elles se retrouvaient dans la cuisine. Elles semblaient prendre leurs habitudes.
– On va en faire quoi des gonzesses . Demandait François.
– On va les ramener là ou on les a trouvée. Lui répondait Simon.
Ils terminaient leur douche, se rhabillaient et se retrouvaient dans la cuisine. Les filles avaient fait du café. Elles leur en servaient et retournant dans la chambre pour s'habiller, l'une d'entre elle.
– J'espère que vous allez penser à nous,qu'on n'ait pas besoin de réclamer.
– T'inquiète pas, j'ai de l'argent à la maison ! Disait Simon à François.
Il leur a donné un paquet de crédits. Et c'est avec le sourire qu'elles sont monté dans la Rolls pour le retour. François aimait particulièrement cette voiture, elle était classe.
François a ramené tout le monde là ou il les avait trouvé, les filles en premier puis en passant il a laissé Simon à l'hôpital ou il espérait avoir une bonne nouvelle.
Puis il est rentré à son hôtel. La comtesse de Kikidi était levée, le soleil était déjà haut dans le ciel.
– C'est à cette heure que tu rentre !
L'accueil était glacial.
– Je t'ai attendu toute la nuit. J'espérais que tu viennes me faire un câlin. Mais pourquoi tu crois que je te paye ?
– Heu bein, je heu .
– Ne te cherche pas d'excuses. Tu n'es qu'un bon à rien, rien de plus …
A suivre
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Récit bourré de fautes d'orthographe, fiction de piètre qualité, on n'attend pas de suite...

