Gigolo 02 Les larmes de l'époux

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Gigolo 02 Les larmes de l'époux Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Gigolo 02 Les larmes de l'époux
Gigolo 02
Les larmes de l'époux

La comtesse de Kikidi restait froide, le ton de sa voix ne montait pas, ils étaient en public et elle n'avait pas l'habitude de faire des scandales. Surtout qu'elle était connue et bien connue.

François s'installait à sa table, tout se passait bien pour lui, il ne s'était pas vraiment fait engueuler, il avait de la chance et retrouvait le sourire. Ce magnifique sourire qui faisait qu'on lui pardonnait tout.

– Tu as ramené la Rolls en un seul morceau ?
– Oui mon amour ! Répondait François en lui faisant du charme, il retrouvait sa tranquillité.

Ils dînaient tranquillement. Ensuite ils remontaient à leur chambre. Pendant tout le repas, la Comtesse ne prononçait pas un mot, l'ambiance était froide. Toutefois François faisait un peu le mariole, il ne semblait rien vouloir remarquer, ou alors il voulait simplement se convaincre que tout allait bien.

A peine la porte de la chambre refermée le ton changeait. Le visage de Madame la comtesse changeait et son teint angélique disparaissait. Enfin quand je dis angélique, c'est une manière de parler. Madame la Comtesse n'avait pas et n'a jamais eu un teint angélique. Elle avait été belle mais angélique, ça jamais …

Elle devenait alors toute rouge de colère et commençait à hurler.

– Espèce de petit branleur, tu n'es qu'une petite pute, qui te paye, qui paye tes costumes, tes sorties en boites, tes …

– Mais tu me prends pour quoi ?


Et ça continuait comme ça, le ton montait. Là je ne vous dis pas mais François commençait à baliser. Madame était finalement très en colère. C'est à ce moment que le téléphone sonnait.

C'est en criant encore plus fort que madame décrochait, instantanément elle retrouvait son calme.

– Allô !

Suivait un grand silence, elle semblait pétrifiée, comme sonnée, assommée par ce qu'elle entendait. François n'en rajoutait pas. Il se faisait tout petit.

– Mon dieu ! S'exclamait Madame la Comtesse.

François sursautait, prenait un air intéressé ,semblant redouter une mauvaise nouvelle. Il regardait sa maîtresse d'un air inquiet. Elle raccrochait le téléphone, elle était livide, elle regardait François et lui disait avec une toute petite voix.

– Sophia de la tronche est décédé ! C'est dramatique.
– Mon dieu s'exclamait François. Simon doit être effondré !
– Il est à l'hôpital. Elle a fait une attaque hier …
– Quand je pense qu'ils s'étaient mariés il n'y a que quelques semaines.

C'est avec une certaine habileté que François profitait de l'émotion pour s'approcher de Mme la Comtesse et la prenait dans ses bras. La colère était retombée, l'engueulade terminée, ce n'était pas le moment de lui dire qu'il avait justement passé sa nuit avec Simon et deux putes. On peut s'imaginer que là, ça aurait réveillé la colère. Peut être même encore plus forte.

– Dis moi, trésor, tu veux bien t'occuper des formalités. Je sens que là je ne pourrais pas … concluait Mme la Comtesse.

Pour seule réponse François l'embrassait avec tendresse.

– Je vais passer voir Simon si ça ne te dérange pas. C'est un ami et peut être aura-t-il besoin d'une épaule.

François reprenait la voiture, et c'est moins d'une demie heure plus tard qu'il arrivait chez Simon.

– Entre mon poto ! Lui lançait Simon depuis le balcon de son premier étage au moment ou François arrivait.
– J'ai appris la terrible nouvelle ! Lui répondait François.
– N'en rajoute pas, tu sais ce que j'en pense.

François montait les marche quatre par quatre. Les deux garçons se prenaient dans les bras.

– Tu en as de la chance mon bonhomme. C'est venu plus vite que prévu. Ça y est , tu es veuf … Alors heureux ?
– C'est le pied ! On arrose ça ?

Il ont fêté la nouvelle au champagne. Simon était veuf depuis quelques heures, il connaissait les conditions d'héritage et il savait donc qu'il était riche, très riche. M'enfin c'est normal, il avait fait son boulot, rendre la fin de vie d'une très riche personne plus agréable et en retour, il ramassait le jack pot .

– Et ta vieille à toi, elle se porte toujours bien ? Demandait Simon à son ami.
– Elle est en pleine forma mais de toutes façons elle ne veut pas entendre parler de mariage. Et puis en plus il y a les héritiers.
– Tu n'as vraiment pas de chance toi. Tu pourrais peut être te chercher une autre protectrice …
– Personne ne voudra de moi, ce serait risquer de déplaire à la Comtesse. Et quand elle est en colère, je te dis pas !

C'est en ces termes que les deux amis discutaient de leur situation. L'un avait la chance d'être veuf et l'autre n'espérait même pas que ça lui arrive dans un futur proche.

Non mais vous vous rendez compte du dilemme, vous vous rendez compte de cette infinie tristesse que de se retrouver veuf à même pas vingt quatre ans. Heureusement un bon demi milliard de crédits peut atténuer la souffrance.

Et un peut de champagne pour fêter ça !

Simon était dépassé par les événements, enfin c'est ce que tout le monde disait. Il était en larmes, totalement effondré, ça aussi c 'est ce qui se disait. Aussi son avocat a trouvé tout à fait normal de s'occuper de la procédure à suivre. La fortune de Sophia de la tronche passait entre ses mains et tout le monde se retrouvait dans la cathédrale ou la cérémonie se passait.

Bon ce n'est pas le pape qui à célébré la messe, il ne faut pas trop en demander quand même. C'est quand même un évêque …

C'était une assemblée assez peu ordinaire qui s'était réunie. La moitié de la salle était d'un certain âge et l'autre moitié était très jeune. Normal il y avait aussi les gigolos. Simon semblait vraiment en peine, François pleurait lui aussi à chaude larmes. Il en faisait même peut être un peu trop. Mais vous savez c'est tout un art que de paraître triste quand on a envie de rigoler et de fêter l'événement !

Mais une heure de messe, c'est long !

Et pendant que Simon versait toutes les larmes de son corps et plus encore même, François remarquait une petite blonde au mensurations aussi indécentes qu'artificielles. Elle jetait un regard en direction de François et disparaissait distraitement dans une de ces petite cabine ou on s'enferme pour raconter toutes ses fautes à un vieux pervers qui dans la lumière pale, ferme les yeux pour mieux nous pardonner.

Discrètement, François se levait, s'excusait et sans faire de bruit se glissait à son tour dans ce coin, il disparaissait et les costume sombres aident à disparaître dans la pénombre. Il retrouvait la petite fausse blonde vue peu avant.

Elle ne le repoussait pas, elle était chaude, ses seins étaient entièrement artificiels mais comme cela plaisait à son époux … Il n'était plus tout jeune, encore une future héritière se disait François.

Il glissait sa main sur la poitrine de la dame. Elle était ferme, chaude, douce et ferme. Et elle réagissait très bien, c'est à peine si elle gémissait, sauf peut être au moment ou les grandes orgues déployaient toutes leurs puissance. Et qu'un ténor se faisait entendre.

La fille blonde, poussait alors quelques gémissements que personne n'entendrait. François avait ouvert le chemisiers de la fille, sa propre chemise et baisser son pantalon.

L'endroit et le moment n'étaient peut être pas bien choisis mais bon, on fait ce qu'on peut quand on n'a ni le temps ni l'endroit ! Il caressait le corps jeune et doux de cette fille. Ne faisaient-ils pas le même travail, pourquoi ne pas prendre le même plaisir.

Elle écrasait ses seins contre la poitrine de François, ils se couvraient de baisser. La peau contre la peau était brûlante. François bandait et c'est sans attendre, frénétiquement qu'il entrait en elle. Là elle gémissait. Ils savaient faire semblant mais ils savaient aussi prendre leur plaisir, même dans les endroits trop étroits.

Et croyez moi cet endroit était étroit, trop étroits. Leurs corps se cognaient contre le mur du confessionnal. Ils pouvaient à peine bouger. Ils se frottaient l'un contre l'autre, ils s'agitaient comme ils pouvaient. François glissait en elle. Cette fille lui plaisait, elle était plus agréable que sa vieille momie.

Madame la Comtesse avait une infinie beauté mais elle l'avait depuis longtemps.

La belle blonde passait ses jambes autour des hanches de François. Elle imprimait elle même le mouvement. Les mains autour du cou de François, elle se relevait et se laissait tomber, il la soutenait et l'accompagnait .

Leurs visages se touchaient, leurs lèvres se caressaient. Il avait une grosse queue et elle aimait ça, dans un autre endroit elle aurait crié comme une folle. François avait envie de crier au moment ou il se lâchait en elle. Au moment ou il jouissait il la sentait vibrer,frémir. Il voyait une sorte de détresse sur son visage, un instant de panique qui indiquait qu'elle ne contrôlait plus rien, qui indiquait que elle aussi jouissait.

Là ils ont fait un peu de bruit, un peu beaucoup même.

Ils s'en sont rendu compte et se sont rhabillé comme ils pouvaient. C'est plus facile de faire tomber ses vêtements, plus facile que de les remettre et de bien les ajuster.

Mais elle n'en était pas à ses début, tel un contorsionniste elle se glissait dans ses vêtements, les ajustait et quand elle ressortait, elle n'était même pas décoiffée. François n'en revenait pas.

Il avait toujours la bite à l'air et le torse nu. Il est resté un moment avant d'arriver à se rendre présentable. Il ne comprenait pas comment elle avait fait. Il y parvenait et un moment plus tard il ressortait. Il ressortait sur la pointe des pieds, sans faire de bruit, sans se faire remarquer, surtout sans se faire remarquer. Il regardait autour de lui, apercevait sa maîtresse et se sentait rassurer, elle était absorbée par la cérémonie et ne l 'avait pas remarqué. Il se glissait doucement vers l'entrée de l'église puis remontait jusqu'à son banc. Il retrouvait sans trop se faire remarquer la place qu'il occupait avant.

Le curé faisait un discours, c'est son boulot après tout et en plus il fait ça très bien. Simon au premier rang était en larmes et François se demandait …

– Mais comment il fait ça ? Il aurait pu être acteur ! Se disait François.

Il se retournait ver la Comtesse de Kikidi. Elle lui lançait alors un regard tueur.

– Alors, elle t'a donné l'absolution ?

François devenait alors tout pâle !


A suivre

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Texte coquin : Gigolo 02 Les larmes de l'époux
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