Gigolo 03 Un peu d'espoir

Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Gigolo 03 Un peu d'espoir
Gigolo 03
Un peu d'espoir
Là, François sentait comme un froid. Elle avait tout vu, ou au moins elle avait tout compris. Maintenant elle regardait vers le cœur.
Pour ceux qui auraient loupé l'épisode précédent, la scène se passe dans une église et François vient de sauter une belle blonde dans un confessionnal. C'est banal, c'est vrai, enfin pour lui c'est banal. Il n'est pas vraiment très croyant et puis il s'en moque de la pauvre Madame Sophia de la tronche. Mais ce n'était pas le cas de son veuf.
Simon était effondré. François n'en revenait pas, il n'y croyait pas non plus remarquez, il savait qu'il y avait surtout des larme de joie chez son ami Simon. Le bougre héritait d'une très grosse somme.
François s'imaginait à la place de son ami, cette idée lui arrachait quelques larmes, et si en plus il pensait que lui n'était pas marié, là je vous jure qu'il pleurait. Il devait se demander combien de temps allait durer son calvaire.
Madame la Comtesse se retournait vers lui avec ce regard de juge sévère. Mais son visage s'éclairait quand elle voyait une larme, une vraie larme, couler sur sa joue. Elle ne connaissait pas la véritable cause de cette larme et des suivantes remarquez, sinon elle n'aurait peut être pas apprécié. Elle pensait naïvement que cette larmes était la marque d'une grande sensibilité. Elle était crédule, mais bon vous savez …l'amour ...
C'est la vie, c'est l'amour, le désir, le plaisir, elle était accro, juste accro. Elle savait que son François ne lui était pas fidèle, mais elle s'en moquait, enfin pas tous les jours …
Ce jour là, c'est une larme qui a réconforté Madame, juste une larme qui l'a conduite à regarder son amant avec tendresse. La seconde précédente elle l'aurait frappé, elle avait comme une envie de meurtre mais là, elle avait elle aussi envie de pleurer et de le prendre dans ses bras. Ça ne l'aurait pas déranger lui, mais elle si. On était dans une église que diable !
Elle lui prenait la main.
Le reste de la cérémonie se passait sans problème.
À la fin toute l'assemblée se levait et sortait dans l'ordre et se rassemblait devant l'église. On parlait de la défunte, on se souvenait, la très belle blonde que François s'était enfilée pendant la messe passait, elle poussait un fauteuil roulant avec à son bord un très vieux monsieur, presque momifié mais qui avait beaucoup d'allure avec ses vêtements de luxes. Un signe de la part du vieux monsieur et elle s'arrêtait.
Le vieux monsieur saluait la Comtesse.
– Je vous présente ma femme lui dit-il en montrant de la main la belle blonde. N'est-elle pas magnifique, je suis un sacré veinard, ha si seulement j'avais, ne serais-ce que, trente ou quarante ans de moins.
– Allons, je te trouve en pleine forme, tu nous enterrera tous. Lui répondait la Comtesse.
– Il faudra vous dépêcher de mourir alors. Lui répondait le vieux monsieur, je fête mes cents ans la semaine prochaine. J'espère que vous viendrez.
– Sans faute, nous avons reçu les invitations. Lui répondait la comtesse.
Le corbillard avançait lentement et toute cette foule le suivait. Le cimetière n'était pas bien loin, à cette vitesse il ne fallait pas plus d'une demie heure.
Simon marchait en premier, il ne faut pas oublier que c'était lui le plus concerné, c'était lui l'héritier. Il était en larme. François se rapprochait de lui pour le réconforter.
– Mais comment tu fais, tu es en larmes depuis le début de la cérémonie ?
– Mais je suis malheureux, je suis veuf. L'aurais-tu déjà oublié ?
– Veuf je veux bien, malheureux j'ai plus de mal à le croire !
– Ne me fais pas rire s'il te plaît, ce n'est ni le moment, ni l'endroit !On nous regarde, imagine ce que les gens penseraient de moi si je pouffais de rire ?
A cet instant François a bien failli pouffer de rire lui. Mais il a réussit à se retenir.
Simon et François marchaient l'un à côté de l'autre la tête penchée en avant et le pas lent.
Tout le monde s'arrêtait à la tombe, on descendait le cercueil, on lançait quelques fleurs, quelques poignées de terre puis on rebouchait tout ça pendant que tout le monde se rendait en discutant au domicile de la défunte ou son veuf organisait une petite sauterie de recueillement !
Je sais pas si j'ai bien dit les choses là ?
Enfin ! Simon savait organiser les soirées, c'est lui qui organisait les fêtes et elles étaient très appréciées. Bien sûr tout le monde à repris les voitures, c'était pas la porte d'à côte, enfin pour y aller à pied en tous cas. François prenait les commandes de la Rolls, quelques passagers au passage et tout ce monde se retrouvait à la maison de la défunte, pardon, je voulais dire du veuf .
Il y avait du champagne, n'y voyez là aucune provocation mais il y avait toujours du champagne à ses petites fêtes. Personne n'était déçu. Rapidement on oubliait la raison de cette réunion. Vous savez dans ce milieu, les absents ont toujours tort. Et il y av ait une absente, bon, c'est vrai qu'elle était morte .
Toutefois certains déploraient son absence. Si le vieux monsieur centenaire que nous avons vu un peu plus tôt avait toute sa tête, ce n'était pas le cas de tout le monde. Il y en avait qui étaient gâteuses et pourtant bien plus jeunes … Enfin c'est la vie !
François laissait sa maîtresse discuter avec ses amies et saluait les autres invités, il retrouvait la belle blonde qu'il avait connue un peu plus tôt, à l'église. Il se promenait dans le jardin, c'était un grand jardin avec plein de recoins très agréables et une petite maison décorative, elle était du genre ' cabane en bois ' mais à l'intérieur c'était tout le confort. Il s'approchait de la porte quand une main qui passait dans son dos lui prenait le poignet.
Il sursautait, c'était une jeune femme, très belle. Sans rien dire elle l'entraînait à l'intérieur de la maison et fermait la porte au verrou une fois à l'intérieur.
Toujours sans rien dire elle se collait contre François, lui écrasait sa poitrine généreuse contre lui en le prenant dans ses bras. Au cas ou vous auriez encore un doute, je vous annonce que François n'est pas du genre farouche, il bandait déjà quand leurs lèvres se rencontraient.
D'un geste expert elle lui ouvrait sa chemise, l'en débarrassait avant de s'attaquer à son pantalon. En quelques instants il se retrouvait entièrement nu. Elle s'accroupissait à ses pieds, et lui prenait sa queue dans la bouche. Il respirait fort, c'était la deuxième fille qu'il tenait dans ses bras en moins de deux heures. Heureusement pour lui, il était jeune et il ne lui fallait pas grand chose pour bander. C'est justement ce que la Comtesse de Kikidi aimait chez lui.
Il avait une très grosse queue et il savait s'en servir. La petite, qu'il n'avait jamais vu était une grosse gourmande. Ils étaient fait pour s'entendre. Il n'avait pas d'argent, elle était pauvre. Ils se ressemblaient sur ce point mais c'était là une point qui ne pouvait que les séparer mais sans pour autant s'interdire de se faire plaisir. L'époux de la petite était un cadre supérieur d'une entreprise importante. Pas très vieux certes mais pas non plus très riche.
Elle entraînait François vers le lit, se laissait tomber dessus et tout naturellement François tombait sur elle. Il caressait le corps de la fille avec le sien, il aimait ce genre de contact, ça le changeait de sa vieille.
Il lui caressait le corps avec ses bras, ses mains et sa bouche. Pendant qu'il la mordillait doucement il glissait plusieurs de ses doigts entre ses cuisses, elle se laissait faire et l'encourageait en les écartant. Son corps se cambrait, il passait un bras sous ses reins et la soulevait et c'est ainsi qu'il la pénétrait.
Elle refermait ses jambes dans le dos de son partenaire, elle gémissait et l'invitait à continuer, à ne pas se retenir. Elle le tirait vers elle. Il glissait sa grosse queue bien à fond en elle. Elle poussait un cri de plaisir, il ressortait avec vigueur et revenait bien à fond avec encore plus de force.
Ensuite il la limait avec application. Il variait la vitesse, plus lentement plus amplement. Il se retirait complètement puis revenait très vite, très fort bien à fond. Il la saisissait, la retenait contre lui. Et dans un mouvement rapide et précis se retournait, il l'entraînait avec lui et elle se retrouvait assise sur lui.
C'est elle qui imprimait le mouvement . Elle se relevait et se laissait retomber pendant de longues , de très longues minutes. Avec ses seins elle caressait le corps de son partenaire. Il ne cachait pas son plaisir, il ne cachait pas qu'il aimait bien cette situation.
Elle s'agitait un peu plus et encore un peu plus, lui respirait plus forte, elle s'agitait encore plus. Il se laissait aller et ne tentait plus de résister ou de se retenir. Ils étaient absents depuis un moment et on pourrait le remarquer.
François s'abandonnait dans un moment de délire et de plaisir, il jouissait, il éjaculait et se laissait tomber en arrière, sur le dos. Elle continuait quelques instants, des caresses, des baisers puis elle se relevait. Il ne lui fallait que quelques secondes pour se rhabiller et se retrouver présentable de nouveau. Il était toujours nu, toujours allongé sur le dos .
Au moment de sortir, elle se retournait, jetait un regard sur son corps, lui lançait un baiser et ressortait.
François prenait son temps avant de se rhabiller, il y avait un grand miroir dans cette petite maison de campagne, il ajustait sa tenue. La fille était partie depuis un moment, il n'aurait pas voulu qu'on les voit sortir en même temps.
C'est tranquillement et serein qu'il ressortait de la maison et retournait voir les invités. Il retrouvait sa maîtresse qui le regardait avec un regard tueur.
On ne saura pas comment elle était au courant de ce qui venait de se passer mais elle était au courant. François ne saura jamais qui lui a raconter.
– Tu t'es bien amusé mon amour ? Lui demandait la comtesse sur un ton glacial.
– J'ai, heu, fait le tour du jardin, il y a un joli bassin … et …
– Je parle du petit pavillon de l'autre côté, c'est un coin discret …
– Ah , je ne connais pas !
François d'habitude très décontracté était tout rouge de gêne. Il sentait qu'il y avait un malaise.
Il n'a pas bougé pendant le reste de la journée. Souvent il regardait en direction de la Comtesse qui, c'était évident lui faisait la gueule.
Il n'y avait personne autour de la petite maison, comment avait-elle deviné ? Se demandait François.
Le soir réservait une très grosse surprise pour François !
Ils étaient rentrés tôt. Madame la comtesse, semblait retenir quelque chose, elle semblait vouloir dire quelque chose mais ne savait pas par quoi commencer.
Elle se lançait !
– Tu as décidé de me quitter ?
– Non mon amour ! Répondait-il instantanément.
– Tu as décidé de me quitter ! J'ai quelque chose à te proposer.
Il la regardait sans répondre.
– Un mariage, mais un mariage sous contrat qui me donnera les moyens de te couper les vivre si tu recommences.
François pesait chaque mot qu'il entendait.
– Ensuite une rente, confortable, je connais tes goûts de luxe.
'' du Fric '' se disait François dans sa tête.
– Une petite voiture de sport rouge italienne, rien que pour toi.
Une Ferrari, se disait François. Sans comprendre ou elle voulait en venir.
Elle s'était éloigné vers le buffet et en revenant continuait.
– Mais il y aura une condition !
Concluait-elle en posant sur la table une cage à bite de grosse taille, c'est vrai que François était bien monté !
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Un peu d'espoir
Là, François sentait comme un froid. Elle avait tout vu, ou au moins elle avait tout compris. Maintenant elle regardait vers le cœur.
Pour ceux qui auraient loupé l'épisode précédent, la scène se passe dans une église et François vient de sauter une belle blonde dans un confessionnal. C'est banal, c'est vrai, enfin pour lui c'est banal. Il n'est pas vraiment très croyant et puis il s'en moque de la pauvre Madame Sophia de la tronche. Mais ce n'était pas le cas de son veuf.
Simon était effondré. François n'en revenait pas, il n'y croyait pas non plus remarquez, il savait qu'il y avait surtout des larme de joie chez son ami Simon. Le bougre héritait d'une très grosse somme.
François s'imaginait à la place de son ami, cette idée lui arrachait quelques larmes, et si en plus il pensait que lui n'était pas marié, là je vous jure qu'il pleurait. Il devait se demander combien de temps allait durer son calvaire.
Madame la Comtesse se retournait vers lui avec ce regard de juge sévère. Mais son visage s'éclairait quand elle voyait une larme, une vraie larme, couler sur sa joue. Elle ne connaissait pas la véritable cause de cette larme et des suivantes remarquez, sinon elle n'aurait peut être pas apprécié. Elle pensait naïvement que cette larmes était la marque d'une grande sensibilité. Elle était crédule, mais bon vous savez …l'amour ...
C'est la vie, c'est l'amour, le désir, le plaisir, elle était accro, juste accro. Elle savait que son François ne lui était pas fidèle, mais elle s'en moquait, enfin pas tous les jours …
Ce jour là, c'est une larme qui a réconforté Madame, juste une larme qui l'a conduite à regarder son amant avec tendresse. La seconde précédente elle l'aurait frappé, elle avait comme une envie de meurtre mais là, elle avait elle aussi envie de pleurer et de le prendre dans ses bras. Ça ne l'aurait pas déranger lui, mais elle si. On était dans une église que diable !
Elle lui prenait la main.
Le reste de la cérémonie se passait sans problème.
À la fin toute l'assemblée se levait et sortait dans l'ordre et se rassemblait devant l'église. On parlait de la défunte, on se souvenait, la très belle blonde que François s'était enfilée pendant la messe passait, elle poussait un fauteuil roulant avec à son bord un très vieux monsieur, presque momifié mais qui avait beaucoup d'allure avec ses vêtements de luxes. Un signe de la part du vieux monsieur et elle s'arrêtait.
Le vieux monsieur saluait la Comtesse.
– Je vous présente ma femme lui dit-il en montrant de la main la belle blonde. N'est-elle pas magnifique, je suis un sacré veinard, ha si seulement j'avais, ne serais-ce que, trente ou quarante ans de moins.
– Allons, je te trouve en pleine forme, tu nous enterrera tous. Lui répondait la Comtesse.
– Il faudra vous dépêcher de mourir alors. Lui répondait le vieux monsieur, je fête mes cents ans la semaine prochaine. J'espère que vous viendrez.
– Sans faute, nous avons reçu les invitations. Lui répondait la comtesse.
Le corbillard avançait lentement et toute cette foule le suivait. Le cimetière n'était pas bien loin, à cette vitesse il ne fallait pas plus d'une demie heure.
Simon marchait en premier, il ne faut pas oublier que c'était lui le plus concerné, c'était lui l'héritier. Il était en larme. François se rapprochait de lui pour le réconforter.
– Mais comment tu fais, tu es en larmes depuis le début de la cérémonie ?
– Mais je suis malheureux, je suis veuf. L'aurais-tu déjà oublié ?
– Veuf je veux bien, malheureux j'ai plus de mal à le croire !
– Ne me fais pas rire s'il te plaît, ce n'est ni le moment, ni l'endroit !On nous regarde, imagine ce que les gens penseraient de moi si je pouffais de rire ?
A cet instant François a bien failli pouffer de rire lui. Mais il a réussit à se retenir.
Simon et François marchaient l'un à côté de l'autre la tête penchée en avant et le pas lent.
Tout le monde s'arrêtait à la tombe, on descendait le cercueil, on lançait quelques fleurs, quelques poignées de terre puis on rebouchait tout ça pendant que tout le monde se rendait en discutant au domicile de la défunte ou son veuf organisait une petite sauterie de recueillement !
Je sais pas si j'ai bien dit les choses là ?
Enfin ! Simon savait organiser les soirées, c'est lui qui organisait les fêtes et elles étaient très appréciées. Bien sûr tout le monde à repris les voitures, c'était pas la porte d'à côte, enfin pour y aller à pied en tous cas. François prenait les commandes de la Rolls, quelques passagers au passage et tout ce monde se retrouvait à la maison de la défunte, pardon, je voulais dire du veuf .
Il y avait du champagne, n'y voyez là aucune provocation mais il y avait toujours du champagne à ses petites fêtes. Personne n'était déçu. Rapidement on oubliait la raison de cette réunion. Vous savez dans ce milieu, les absents ont toujours tort. Et il y av ait une absente, bon, c'est vrai qu'elle était morte .
Toutefois certains déploraient son absence. Si le vieux monsieur centenaire que nous avons vu un peu plus tôt avait toute sa tête, ce n'était pas le cas de tout le monde. Il y en avait qui étaient gâteuses et pourtant bien plus jeunes … Enfin c'est la vie !
François laissait sa maîtresse discuter avec ses amies et saluait les autres invités, il retrouvait la belle blonde qu'il avait connue un peu plus tôt, à l'église. Il se promenait dans le jardin, c'était un grand jardin avec plein de recoins très agréables et une petite maison décorative, elle était du genre ' cabane en bois ' mais à l'intérieur c'était tout le confort. Il s'approchait de la porte quand une main qui passait dans son dos lui prenait le poignet.
Il sursautait, c'était une jeune femme, très belle. Sans rien dire elle l'entraînait à l'intérieur de la maison et fermait la porte au verrou une fois à l'intérieur.
Toujours sans rien dire elle se collait contre François, lui écrasait sa poitrine généreuse contre lui en le prenant dans ses bras. Au cas ou vous auriez encore un doute, je vous annonce que François n'est pas du genre farouche, il bandait déjà quand leurs lèvres se rencontraient.
D'un geste expert elle lui ouvrait sa chemise, l'en débarrassait avant de s'attaquer à son pantalon. En quelques instants il se retrouvait entièrement nu. Elle s'accroupissait à ses pieds, et lui prenait sa queue dans la bouche. Il respirait fort, c'était la deuxième fille qu'il tenait dans ses bras en moins de deux heures. Heureusement pour lui, il était jeune et il ne lui fallait pas grand chose pour bander. C'est justement ce que la Comtesse de Kikidi aimait chez lui.
Il avait une très grosse queue et il savait s'en servir. La petite, qu'il n'avait jamais vu était une grosse gourmande. Ils étaient fait pour s'entendre. Il n'avait pas d'argent, elle était pauvre. Ils se ressemblaient sur ce point mais c'était là une point qui ne pouvait que les séparer mais sans pour autant s'interdire de se faire plaisir. L'époux de la petite était un cadre supérieur d'une entreprise importante. Pas très vieux certes mais pas non plus très riche.
Elle entraînait François vers le lit, se laissait tomber dessus et tout naturellement François tombait sur elle. Il caressait le corps de la fille avec le sien, il aimait ce genre de contact, ça le changeait de sa vieille.
Il lui caressait le corps avec ses bras, ses mains et sa bouche. Pendant qu'il la mordillait doucement il glissait plusieurs de ses doigts entre ses cuisses, elle se laissait faire et l'encourageait en les écartant. Son corps se cambrait, il passait un bras sous ses reins et la soulevait et c'est ainsi qu'il la pénétrait.
Elle refermait ses jambes dans le dos de son partenaire, elle gémissait et l'invitait à continuer, à ne pas se retenir. Elle le tirait vers elle. Il glissait sa grosse queue bien à fond en elle. Elle poussait un cri de plaisir, il ressortait avec vigueur et revenait bien à fond avec encore plus de force.
Ensuite il la limait avec application. Il variait la vitesse, plus lentement plus amplement. Il se retirait complètement puis revenait très vite, très fort bien à fond. Il la saisissait, la retenait contre lui. Et dans un mouvement rapide et précis se retournait, il l'entraînait avec lui et elle se retrouvait assise sur lui.
C'est elle qui imprimait le mouvement . Elle se relevait et se laissait retomber pendant de longues , de très longues minutes. Avec ses seins elle caressait le corps de son partenaire. Il ne cachait pas son plaisir, il ne cachait pas qu'il aimait bien cette situation.
Elle s'agitait un peu plus et encore un peu plus, lui respirait plus forte, elle s'agitait encore plus. Il se laissait aller et ne tentait plus de résister ou de se retenir. Ils étaient absents depuis un moment et on pourrait le remarquer.
François s'abandonnait dans un moment de délire et de plaisir, il jouissait, il éjaculait et se laissait tomber en arrière, sur le dos. Elle continuait quelques instants, des caresses, des baisers puis elle se relevait. Il ne lui fallait que quelques secondes pour se rhabiller et se retrouver présentable de nouveau. Il était toujours nu, toujours allongé sur le dos .
Au moment de sortir, elle se retournait, jetait un regard sur son corps, lui lançait un baiser et ressortait.
François prenait son temps avant de se rhabiller, il y avait un grand miroir dans cette petite maison de campagne, il ajustait sa tenue. La fille était partie depuis un moment, il n'aurait pas voulu qu'on les voit sortir en même temps.
C'est tranquillement et serein qu'il ressortait de la maison et retournait voir les invités. Il retrouvait sa maîtresse qui le regardait avec un regard tueur.
On ne saura pas comment elle était au courant de ce qui venait de se passer mais elle était au courant. François ne saura jamais qui lui a raconter.
– Tu t'es bien amusé mon amour ? Lui demandait la comtesse sur un ton glacial.
– J'ai, heu, fait le tour du jardin, il y a un joli bassin … et …
– Je parle du petit pavillon de l'autre côté, c'est un coin discret …
– Ah , je ne connais pas !
François d'habitude très décontracté était tout rouge de gêne. Il sentait qu'il y avait un malaise.
Il n'a pas bougé pendant le reste de la journée. Souvent il regardait en direction de la Comtesse qui, c'était évident lui faisait la gueule.
Il n'y avait personne autour de la petite maison, comment avait-elle deviné ? Se demandait François.
Le soir réservait une très grosse surprise pour François !
Ils étaient rentrés tôt. Madame la comtesse, semblait retenir quelque chose, elle semblait vouloir dire quelque chose mais ne savait pas par quoi commencer.
Elle se lançait !
– Tu as décidé de me quitter ?
– Non mon amour ! Répondait-il instantanément.
– Tu as décidé de me quitter ! J'ai quelque chose à te proposer.
Il la regardait sans répondre.
– Un mariage, mais un mariage sous contrat qui me donnera les moyens de te couper les vivre si tu recommences.
François pesait chaque mot qu'il entendait.
– Ensuite une rente, confortable, je connais tes goûts de luxe.
'' du Fric '' se disait François dans sa tête.
– Une petite voiture de sport rouge italienne, rien que pour toi.
Une Ferrari, se disait François. Sans comprendre ou elle voulait en venir.
Elle s'était éloigné vers le buffet et en revenant continuait.
– Mais il y aura une condition !
Concluait-elle en posant sur la table une cage à bite de grosse taille, c'est vrai que François était bien monté !
A suivre
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