Gigolo 05 Mariage annulé

Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Gigolo 05 Mariage annulé
Gigolo 05
Mariage annulé
C'était Timi un ami à François et aussi un petit peu son valet de chambre. Qui arrivait, il était catastrophé. Il bafouillait …
– Madame la Comtesse ... Madame la Comtesse … Madame la Comtesse.
François a éclaté de rire quand il l'a vu dans cet état.
– Mais oui, on sait, Madame la Comtesse, je l'épouse demain matin. Lui répondait François en rigolant.
– Non, c'est pas ça, non, c'est pas ça ! Insistait Timi.
François n'est pas du genre à paniquer facilement mais il voyait que son pote Timi était vraiment affolé. Et là il commençait à s'inquiéter.
Il y avait de quoi remarquez, Madame la Comtesse valait au bas mot pas loin de cent ou deux cent millions de crédit et François espérait bien s'en mettre une partie dans la poche. Même un tout petit peu, quelques dizaines, malgré son héritière officielle. Madame la Comtesse avait en effet une fille qui était sa seule héritière, et en plus elle était très proche de ses sous. Elle n'appréciait pas vraiment non plus François.
Pour elle c'était un parasite !
Quelques heures plus tôt elle lui avait proposé un très joli chèque pour qu'il abandonne son idée de mariage avec sa mère et pour qu'il dégage sans regarder derrière lui ou un procès contre une armée d'avocat.
Elle ne savait pas qu'il y avait un contrat et que cela lui garantissait d'être riche. Oh oui, il allait accepter le chèque avant de disparaître sans regarder derrière lui mais il savait que le montant de ce chèque serait bien supérieur à ce que Mademoiselle la fille de la Comtesse était disposée à lui donner.
Il arrosait son mariage du lendemain, et il était donc avec ses amis à rigoler, à picoler à chanter, à danser et à crier pour fêter sa fortune prochaine. Il avait gagné, toutes ces années à faire preuve de patience, toutes ces années à faire le beau devant la Comtesse, à épier ses moindres besoins. Enfin quand je dis là ' Toutes ces années ', je voulais dire un peu plus d'un an.
Un an mais une année bien pleine une année compliquée. Rien n'avait été prémédité, mais voilà quand Madame la Comtesse s'est approchée de François, il a tout de suite compris qu'il y avait du fric à se faire, et il était cupide .
C'est elle qui avait fait le premier pas, mais c'est bien lui qui avait fait les suivants. Et il avait bien manœuvré. Et maintenant après touts ces efforts, il avait gagné.
Le lendemain matin il se mariait, le lendemain il allait devenir riche, il aurait une nouvelle voiture, une voiture de sport italienne qui fait très frime et fait beaucoup de bruit, pour lui tout seul.
Il était à moitié ivre et il ne réagissait pas vraiment face à cette panique qui apparaissait sur le visage de son valet Timi.
– Mais tout va bien Timi, allez bois un verre, tu seras plus détendu après !
– Non Monsieur, non, madame la Comtesse , madame la Comtesse …
Continuait Timi, il était au bord du malaise .
– Madame est à l'hôpital ! Finissait enfin par s'exclamer Timi.
La tête de François changeait, la joie insouciante laissait la place à un angoisse.
– Mais que s'est-il passé ?
– Madame la Comtesse a fait une attaque, elle a été transportée en urgence à l'hôpital, elle est dans le comas .
Expliquait enfin Timi en terminant avec une toute petite voix
Là François ne rigolait plus du tout, il devait entendre le bruit de la voiture rouge qui s'éloignait.
Brusquement François avait dessaoulé. Il avait vraiment l'air très triste mais ne nous trompons pas ce n'était pas l'amour de sa vie qu'il allait peut être perdre.
– Mais que ? mais que ! Bafouillait François.
– Je vous emmène à l'hôpital ! Lui disait Timi, j'ai ma voiture.
François s'est retrouvé à l'arrière de la petite voiture française, blanche, même pas pas noire, même pas rouge. Il avait quelques larmes qui coulaient de ses yeux. C'était la panique, son compte en banque à venir était dans le comas.
Ils arrivaient rapidement à l'hôpital. Et le pire était encore à venir.
François se présentait à l'accueil, le médecin de garde arrivait rapidement, il connaissait très bien Madame la Comtesse et son gigolo par conséquent.
– Mon pauvre François, il faudra que tu sois très fort et très patient. Gertrude a fait une attaque, rien ne le laissait attendre, une crise cardiaque et un AVC, ce n'est pas bon signe.
– Et elle est … ?
– Elle est toujours en vie, mais elle est inconsciente.
– Je veux la voir !
– C'est hors de question, elle est en soin intensif.
François voulait insister et entrer en force, mais il ne partait pas dans la bonne direction. Le médecin le rattrapait rapidement.
– Tu ne devrais pas rester là, tu ne peux rien faire. Nous prendrons soin d'elle et je te préviendrais personnellement dès qu'il y aura du nouveau.
François est resté sonné pendant un long moment, il ne réagissait pas vraiment, il se demandait ce qu'il devait faire et finalement Timi l'a reconduit à la maison.
Ils sortaient de l'hôpital quand arrivait la fille de la Comtesse.
– Si tu voulais dépecer ma mère, tu t'est trompé d'adresse, jusque là tu étais un parasite, n'en rajoute pas ! Lui lançait-elle avec mépris en le croisant.
Puis elle continuait sans se retourner vers lui.
Vous l'avez compris, entre eux, ce n'était pas vraiment le grand amour.
François suivait Timi qui le ramenait à la maison. Ils avaient le choix entre la maison et l'hôtel. Timi se disait que la maison était un endroit plus sûr, il avait peur que la chambre d'hôtel ne leur soit plus disponible. La fille de Comtesse avait parfaitement pu rendre les clés. À la maison, François garderait les clés au moins jusqu'à l'ouverture du testament.
Eh oui, on en était là en moins d'une heure François était passé à l'euphorie d'un mariage d'intérêt à l'ouverture d'un testament.
– Si seulement la vieille avait fait son attaque demain ! S'exclamait François en franchissant la porte d'entrée.
Là c'était la colère, il ne rigolait plus le pauvre.
Toutefois François était toujours très organisé, il sauvait les meubles, transférait tout l'argent qu'il pouvait vers un compte sécurisé. Il se doutait que l'héritière lui couperait les vivres.
La nuit était bien avancée quand Simon arrivait avec deux filles. ( Simon c'est le jeune veuf en larme du second épisode ), il n'était plus en larme et riait aux éclats.
– Tu ne vas peut être pas de marier demain mais en attendant, cette nuit on va en profiter !
Sans attendre une des deux filles se laissait tomber à côté de François. François sursautait, brusquement il se rappelait de sa cage de chasteté. Depuis un petit moment il l'avait oublié. Un tout petit moment. Sinon, il y pensait toujours, en permanence. Il sentait sa queue se soulever, tenter de prendre ses aises. Malheureusement elle ne pouvait pas.
Rapidement la chaleur de cette fille superbe faisait son effet et François se sentait rapidement vraiment mal à son aise. Il avait une grosse érection contrariée. Une grosse queue ratatinée dans une petite cage, une cage à bite minuscule.
Ça faisait un moment que la Comtesse l'avait enfermée, ça faisait un moment que régulièrement sa queue manifestait mais là, c'était plus intense que jamais. C'était violent et il commençait à en baver.
La demoiselle le sentant un peu tendu glissais subrepticement sa main entre ses cuisse puis remarquant qu'il y avait un défaut s'exclamait.
– Mais c'est quoi ce truc ?
François ne savait plus quoi dire, il se relevait, ouvrait son pantalon et le baissait. Les deux fille et son pote Simon regardait le spectacle totalement stupéfaits.
– Alors là, mon vieux, si tu n'as pas la clé, tu es mal !
Puis une des deux filles pouffait de rire et pour terminer tout le monde rigolait, sauf François bien sûr !
– Arrêtez de rigoler bêtement, CE N'EST PAS DROLE ! S'écriait Francois !
Simon rigolait et sans attendre retirait ses vêtements. Une des deux filles plongeait à ses genoux et lui prenait la queue dans la bouche. François regardait ça, sa queue occupait tout le peu de place disponible dans cette cage ridicule. Il ne bougeait pas, comme tétanisé.
La seconde fille se glissait juste derrière lui et lui caressait le corps, elle glissait ses mains sur son ventre, descendait jusqu'à son sexe, lui tripotait doucement les couilles puis lui caressait le torse. Ses mains glissaient sous sa chemise qu'elle relevait et avant que le pauvre François n'ait le temps de réagir, il se retrouvait entièrement nu, enfin au dessus des chevilles.
Elle le poussait fermement vers le canapé, il s'écroulait et elle lui libérait les pied. L'autre couple ne restait pas là bêtement à ne rien faire, Simon ne portait plus rien sur le dos. Il affichait un large sourire sur son visage.
La cage de son copain François ne le perturbait pas, tant que ce n'était pas lui qui devait porter ce genre de truc, ça l'amusait.
Les filles en étaient au même point que lui. Elles aussi s'amusait d'un rien. Et puis c'est toujours agréable de caresser un corps musclé et doux, François tout comme Simon l'étaient. Elles s'amusaient. La blonde qui s'occupait de François refermait ses bras sur lui, elle écrasait sa poitrine dans son dos et ses caresses devenaient plus intenses.
Le cœur de François battait très fort. Il finissait par reprendre la situation en main. Il se retournait face à la belle blonde, la prenait dans ses bras et l'embrassait. Ses seins s'écrasaient sur son torse et sa queue réagissait en plus, ça devenait presque douloureux et surtout incroyablement frustrant.
Il ne se sentait pas vraiment bien le pauvre, il jetais un œil sur sa droite et il voyait la queue de son ami Simon qui entrait et ressortait de la bouche de la superbe brune qui s'occupait de lui.
Une belle blonde, une superbe brune. Ils avaient tout ce qu'il fallait sous la main pour passer un bon moment mais voilà, pour François, c'était pas tout à fait ça !
Il y avait comme un malaise. La blonde glissait son corps sur celui de François, elle se donnait du plaisir et en échange donne une bonne dose de frustration à son compagne su moment.
Pour l'autre couple la situation était plus détendue, Simon était totalement décontracté, il avait retourné la brune et s'était penché sur elle. Il passait ses mains sur tout le corps de sa camarade, il insistait particulièrement sur le haut des ses cuisses, glissait un doigt, puis un autre puis y glissait sa bite.
A les voir faire François poussait un énorme soupir, puis râlait avant de se relever puis de repartir entièrement nu vers la salle de bain.
On voyait le malaise qu'il éprouvait, sa bite tentait comme une évasion, elle était gonflée, et formait des bourrelets de peau qui formait comme des bulles qui ressortaient par les trous d'aération, on pouvait voir qu'elle était toute ratatinée.
François plongeait littéralement sous la douche, il l'ouvrait à fond, froide comme il le fallait et poussait un cri. C'était glacé, il espérait seulement se calmer mais rien n'y faisait. Il grelottait mais tentait de tenir.
Simon était resté avec les deux filles et il les caressait en même temps, en limait une puis, l'autre. Lui il s'amusait comme un petit fou. Il avait deux filles magnifiques, rien que pour lui, ça ne lui faisait pas peur, à elle non plus remarquez.
Mais quand François revenait, le malaise n'était pas passé.
A suivre
Mariage annulé
C'était Timi un ami à François et aussi un petit peu son valet de chambre. Qui arrivait, il était catastrophé. Il bafouillait …
– Madame la Comtesse ... Madame la Comtesse … Madame la Comtesse.
François a éclaté de rire quand il l'a vu dans cet état.
– Mais oui, on sait, Madame la Comtesse, je l'épouse demain matin. Lui répondait François en rigolant.
– Non, c'est pas ça, non, c'est pas ça ! Insistait Timi.
François n'est pas du genre à paniquer facilement mais il voyait que son pote Timi était vraiment affolé. Et là il commençait à s'inquiéter.
Il y avait de quoi remarquez, Madame la Comtesse valait au bas mot pas loin de cent ou deux cent millions de crédit et François espérait bien s'en mettre une partie dans la poche. Même un tout petit peu, quelques dizaines, malgré son héritière officielle. Madame la Comtesse avait en effet une fille qui était sa seule héritière, et en plus elle était très proche de ses sous. Elle n'appréciait pas vraiment non plus François.
Pour elle c'était un parasite !
Quelques heures plus tôt elle lui avait proposé un très joli chèque pour qu'il abandonne son idée de mariage avec sa mère et pour qu'il dégage sans regarder derrière lui ou un procès contre une armée d'avocat.
Elle ne savait pas qu'il y avait un contrat et que cela lui garantissait d'être riche. Oh oui, il allait accepter le chèque avant de disparaître sans regarder derrière lui mais il savait que le montant de ce chèque serait bien supérieur à ce que Mademoiselle la fille de la Comtesse était disposée à lui donner.
Il arrosait son mariage du lendemain, et il était donc avec ses amis à rigoler, à picoler à chanter, à danser et à crier pour fêter sa fortune prochaine. Il avait gagné, toutes ces années à faire preuve de patience, toutes ces années à faire le beau devant la Comtesse, à épier ses moindres besoins. Enfin quand je dis là ' Toutes ces années ', je voulais dire un peu plus d'un an.
Un an mais une année bien pleine une année compliquée. Rien n'avait été prémédité, mais voilà quand Madame la Comtesse s'est approchée de François, il a tout de suite compris qu'il y avait du fric à se faire, et il était cupide .
C'est elle qui avait fait le premier pas, mais c'est bien lui qui avait fait les suivants. Et il avait bien manœuvré. Et maintenant après touts ces efforts, il avait gagné.
Le lendemain matin il se mariait, le lendemain il allait devenir riche, il aurait une nouvelle voiture, une voiture de sport italienne qui fait très frime et fait beaucoup de bruit, pour lui tout seul.
Il était à moitié ivre et il ne réagissait pas vraiment face à cette panique qui apparaissait sur le visage de son valet Timi.
– Mais tout va bien Timi, allez bois un verre, tu seras plus détendu après !
– Non Monsieur, non, madame la Comtesse , madame la Comtesse …
Continuait Timi, il était au bord du malaise .
– Madame est à l'hôpital ! Finissait enfin par s'exclamer Timi.
La tête de François changeait, la joie insouciante laissait la place à un angoisse.
– Mais que s'est-il passé ?
– Madame la Comtesse a fait une attaque, elle a été transportée en urgence à l'hôpital, elle est dans le comas .
Expliquait enfin Timi en terminant avec une toute petite voix
Là François ne rigolait plus du tout, il devait entendre le bruit de la voiture rouge qui s'éloignait.
Brusquement François avait dessaoulé. Il avait vraiment l'air très triste mais ne nous trompons pas ce n'était pas l'amour de sa vie qu'il allait peut être perdre.
– Mais que ? mais que ! Bafouillait François.
– Je vous emmène à l'hôpital ! Lui disait Timi, j'ai ma voiture.
François s'est retrouvé à l'arrière de la petite voiture française, blanche, même pas pas noire, même pas rouge. Il avait quelques larmes qui coulaient de ses yeux. C'était la panique, son compte en banque à venir était dans le comas.
Ils arrivaient rapidement à l'hôpital. Et le pire était encore à venir.
François se présentait à l'accueil, le médecin de garde arrivait rapidement, il connaissait très bien Madame la Comtesse et son gigolo par conséquent.
– Mon pauvre François, il faudra que tu sois très fort et très patient. Gertrude a fait une attaque, rien ne le laissait attendre, une crise cardiaque et un AVC, ce n'est pas bon signe.
– Et elle est … ?
– Elle est toujours en vie, mais elle est inconsciente.
– Je veux la voir !
– C'est hors de question, elle est en soin intensif.
François voulait insister et entrer en force, mais il ne partait pas dans la bonne direction. Le médecin le rattrapait rapidement.
– Tu ne devrais pas rester là, tu ne peux rien faire. Nous prendrons soin d'elle et je te préviendrais personnellement dès qu'il y aura du nouveau.
François est resté sonné pendant un long moment, il ne réagissait pas vraiment, il se demandait ce qu'il devait faire et finalement Timi l'a reconduit à la maison.
Ils sortaient de l'hôpital quand arrivait la fille de la Comtesse.
– Si tu voulais dépecer ma mère, tu t'est trompé d'adresse, jusque là tu étais un parasite, n'en rajoute pas ! Lui lançait-elle avec mépris en le croisant.
Puis elle continuait sans se retourner vers lui.
Vous l'avez compris, entre eux, ce n'était pas vraiment le grand amour.
François suivait Timi qui le ramenait à la maison. Ils avaient le choix entre la maison et l'hôtel. Timi se disait que la maison était un endroit plus sûr, il avait peur que la chambre d'hôtel ne leur soit plus disponible. La fille de Comtesse avait parfaitement pu rendre les clés. À la maison, François garderait les clés au moins jusqu'à l'ouverture du testament.
Eh oui, on en était là en moins d'une heure François était passé à l'euphorie d'un mariage d'intérêt à l'ouverture d'un testament.
– Si seulement la vieille avait fait son attaque demain ! S'exclamait François en franchissant la porte d'entrée.
Là c'était la colère, il ne rigolait plus le pauvre.
Toutefois François était toujours très organisé, il sauvait les meubles, transférait tout l'argent qu'il pouvait vers un compte sécurisé. Il se doutait que l'héritière lui couperait les vivres.
La nuit était bien avancée quand Simon arrivait avec deux filles. ( Simon c'est le jeune veuf en larme du second épisode ), il n'était plus en larme et riait aux éclats.
– Tu ne vas peut être pas de marier demain mais en attendant, cette nuit on va en profiter !
Sans attendre une des deux filles se laissait tomber à côté de François. François sursautait, brusquement il se rappelait de sa cage de chasteté. Depuis un petit moment il l'avait oublié. Un tout petit moment. Sinon, il y pensait toujours, en permanence. Il sentait sa queue se soulever, tenter de prendre ses aises. Malheureusement elle ne pouvait pas.
Rapidement la chaleur de cette fille superbe faisait son effet et François se sentait rapidement vraiment mal à son aise. Il avait une grosse érection contrariée. Une grosse queue ratatinée dans une petite cage, une cage à bite minuscule.
Ça faisait un moment que la Comtesse l'avait enfermée, ça faisait un moment que régulièrement sa queue manifestait mais là, c'était plus intense que jamais. C'était violent et il commençait à en baver.
La demoiselle le sentant un peu tendu glissais subrepticement sa main entre ses cuisse puis remarquant qu'il y avait un défaut s'exclamait.
– Mais c'est quoi ce truc ?
François ne savait plus quoi dire, il se relevait, ouvrait son pantalon et le baissait. Les deux fille et son pote Simon regardait le spectacle totalement stupéfaits.
– Alors là, mon vieux, si tu n'as pas la clé, tu es mal !
Puis une des deux filles pouffait de rire et pour terminer tout le monde rigolait, sauf François bien sûr !
– Arrêtez de rigoler bêtement, CE N'EST PAS DROLE ! S'écriait Francois !
Simon rigolait et sans attendre retirait ses vêtements. Une des deux filles plongeait à ses genoux et lui prenait la queue dans la bouche. François regardait ça, sa queue occupait tout le peu de place disponible dans cette cage ridicule. Il ne bougeait pas, comme tétanisé.
La seconde fille se glissait juste derrière lui et lui caressait le corps, elle glissait ses mains sur son ventre, descendait jusqu'à son sexe, lui tripotait doucement les couilles puis lui caressait le torse. Ses mains glissaient sous sa chemise qu'elle relevait et avant que le pauvre François n'ait le temps de réagir, il se retrouvait entièrement nu, enfin au dessus des chevilles.
Elle le poussait fermement vers le canapé, il s'écroulait et elle lui libérait les pied. L'autre couple ne restait pas là bêtement à ne rien faire, Simon ne portait plus rien sur le dos. Il affichait un large sourire sur son visage.
La cage de son copain François ne le perturbait pas, tant que ce n'était pas lui qui devait porter ce genre de truc, ça l'amusait.
Les filles en étaient au même point que lui. Elles aussi s'amusait d'un rien. Et puis c'est toujours agréable de caresser un corps musclé et doux, François tout comme Simon l'étaient. Elles s'amusaient. La blonde qui s'occupait de François refermait ses bras sur lui, elle écrasait sa poitrine dans son dos et ses caresses devenaient plus intenses.
Le cœur de François battait très fort. Il finissait par reprendre la situation en main. Il se retournait face à la belle blonde, la prenait dans ses bras et l'embrassait. Ses seins s'écrasaient sur son torse et sa queue réagissait en plus, ça devenait presque douloureux et surtout incroyablement frustrant.
Il ne se sentait pas vraiment bien le pauvre, il jetais un œil sur sa droite et il voyait la queue de son ami Simon qui entrait et ressortait de la bouche de la superbe brune qui s'occupait de lui.
Une belle blonde, une superbe brune. Ils avaient tout ce qu'il fallait sous la main pour passer un bon moment mais voilà, pour François, c'était pas tout à fait ça !
Il y avait comme un malaise. La blonde glissait son corps sur celui de François, elle se donnait du plaisir et en échange donne une bonne dose de frustration à son compagne su moment.
Pour l'autre couple la situation était plus détendue, Simon était totalement décontracté, il avait retourné la brune et s'était penché sur elle. Il passait ses mains sur tout le corps de sa camarade, il insistait particulièrement sur le haut des ses cuisses, glissait un doigt, puis un autre puis y glissait sa bite.
A les voir faire François poussait un énorme soupir, puis râlait avant de se relever puis de repartir entièrement nu vers la salle de bain.
On voyait le malaise qu'il éprouvait, sa bite tentait comme une évasion, elle était gonflée, et formait des bourrelets de peau qui formait comme des bulles qui ressortaient par les trous d'aération, on pouvait voir qu'elle était toute ratatinée.
François plongeait littéralement sous la douche, il l'ouvrait à fond, froide comme il le fallait et poussait un cri. C'était glacé, il espérait seulement se calmer mais rien n'y faisait. Il grelottait mais tentait de tenir.
Simon était resté avec les deux filles et il les caressait en même temps, en limait une puis, l'autre. Lui il s'amusait comme un petit fou. Il avait deux filles magnifiques, rien que pour lui, ça ne lui faisait pas peur, à elle non plus remarquez.
Mais quand François revenait, le malaise n'était pas passé.
A suivre
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