Gisou
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Gisou
Notre histoire est simple. J’ai rencontré une belle blonde chez des amis communs.
Pendant presque tout le repas, elle ne m’a pas quitté des yeux, elle m’espionnait sans
doute. Les agapes duraient longtemps; trop sans doute pour elle, elle parlait,
seulement à moi, à croire que les autres convives n’existaient pas. Je lui avais tapé
dans l’œil certainement.
J’en étais presque gêné. Nos hôtes ont eu la bonne idée de mettre de la musique,
justement un air à la mode que je fredonnais juste avant que les autre reprennent en
chœur. Si elle était charmante; belle et tout et tout, elle chantait épouvantablement
faux. Je le lui disais, sa réponse me décontenançait:
- Vous savez, pour faire taire une femme, il n’y a qu’uns solution.
- Je la connais, je ne vais pas l’employer comme ça devant les autres.
- Vous auriez honte de m’embrasser ?
- Moi, Honte d’embrasser une fille ? Jamais.
Je l’ai embrassé sans provoquer de scandale, au contraire la maitresse de maison s’est
mise à applaudir, suivie pas tous les autres. En plus sa bouche était douce, ses
lèvres et surtout sa langue. Ce baiser n’en finissait pas, elle tenait à le faire
durer. Je n’avais rien contre.
Plus tard la musique devenait dansante: nous nous sommes levés et là dans mes bras
elle s’abandonnait. Cette fois c’est moi qui avait envie d’un baiser encore profond.
Nous sommes partis ensemble. Le lendemain matin trop tôt je reçois un coup de fil de
l’hôtesse:
- Alors raconte, vous avez couché ?
- Pas du tout.
- Si tu avais voulu, tu aurai pu.
- J’aurais bien aimé, c’est elle qui s’est refusée.
C’était vrai en sortant je voulais la faire venir chez moi pour la nuit, elle m’a
regardé d’un air offusqué:
- Je ne couche jamais le premier soir. Rendez vous demain devant le restaurant
RRRRRRRRR. A propose, je m’appelle Gisou.
Je me suis tenu à ses désirs. Le lendemain j’étais à la bonne heure devant le
restaurant. Je ne tenais pas à la manquer, elle était trop belle, presque trop pour
moi, pauvre garçon qui se trouve moche. Je m’attends à patienter longtemps. Non, elle
arrive pile à l’heure. Je la vois venir, sa robe flottante sur ses hanches, un léger
pull posé sur les épaules.
Elle est plus belle qu’hier. J’adresse des prière à Eros pour qu’elle accepte
aujourd’hui mon invitation. Il est tôt, elle m’invite à entrer dans le restaurant. Le
maître d’hôtel, devinant une idylle, nous place dans un angle de la salle pour que
nous ne soyons pas dérangés. Il fait bien, nous sommes assis en face d’un de l’autre,
je prends ses mains. Elle me les abandonnent volontiers. Je les caresses comme je
ferai à un petit chat. Je suis obligé d’arrêter quand on nous ports le menu. Je
patiente jusqu’à ce qu’on serve. Gisou, elle n’abandonne pas, c’est elle qui prend une
main; Je peux mieux la voir que la veille. Ce n’est pas une belle fille, c’est une
très belle fille.
J’ai raison de la désirer. J’espère qu’elle voudra de moi maintenant, ou tout au moins
sur le tard. En fermant les yeux il me semble la voir nue, sur mon lit, par contre je
ne vois pas son intimité. Je ne peux que l’imaginer.
C’est elle qui parle:
- Je suis trop sérieuse pour céder à la tentation, c’est pour ça qu’hier je me suis
dérobée. J’ai bien réfléchi. J’ai eu tort. Mais qu’est-ce que tu aurai pensé d’un
fille qui se donne facilement ?
- Rien de particulier, sinon qu’elle en avait envie, comme moi.
- Tu me voulais ?
- Bien sur, tu crois qu’une belle fille comme toi se refuse.
- Je ne suis pas un garçon pour juger.
Le diner se sert, nous mangeons comme un couple de jeune marié d’antan qui attend la
fin du repas pour aller s’aimer dans une chambre.
Je demande au maître d’hôtel s’il a des chambres. Oui, il en reste une.
Qu’elle belle pièce: une chambre capable d’accueillir une partouze. Je ne sais pas du
tout ce que vaut Gisou dans un lit. Belle comme elle est, je suis certainement loin
d’être son premier. Reste à savoir jusqu’à quel degré elle sait baiser.
Nous sommes à peine entrer quand je la prend dans mes bras. Nos bouches reviennent
s’amuser. Ce n’est pas parce que nos bouches sont occupées que nous restons immobiles.
J’ai un bras contre ses épaules, et l’autre sur sa taille. Elle se serre contre moi,
surtout le pubis. Elle sens bien sur mon désir augmenter contre elle. Je descend une
main sur ses fesses. Elles sont dures l’une est l’autre. Je cherche à passer entre
elles. Je n’arrive pas, alors je lève le bas de sa robe. Je trouve vite le lieu
d’accès: facile: elle ne porte pas de sous vêtements. Je peux passer mon doigt
derrière elle, sa raie s’ouvre comme par magie. Je sens qu’elle pousse son arrière
train vers ma main. Je suis sur son anus. En forçant à peine j’entre facilement dans
son cul. Elle manifeste en mordillant ma langue. J’entame le vas et vient, elle
accompagne le mouvement.
De son coté, son ventre est collé contre ma bite. Je la sens faire de légers mouvement
autour de ma queue: elle sait bien manœuvrer pour donner du plaisir à un homme. Juste
au moment où elle se colle totalement à moi, je sens son anus avoir des crispations
régulières. C’est son premier orgasme avec moi.
La suite logique est que nous soyons tout nu. Je peux facilement enlever sa robe,
légère est boutonnée pas de simples boutons. Quand je la fait tomber elle est comme
Dieu la faite. Une nudité affolante pour un homme normal. Si je ne bandais pas encore,
j’exploserai. Elle sait parfaitement me rendre la politesse. Je suis moi aussi nu
devant elle. Ce qui l’intéresse c’est seulement ma bite. Elle le prend dans ma main,
me masturbe, ma foi fort bien avant de la lâcher:
- Je n’ai pas envie de te faire jouir sans que tu sois dans mon ventre, baises moi.
- Tu n’as pas honte de faire une telle demande, toi un jeune fille si pure.
- C’est vrai j’était une jeune fille pure, il y a des années, avant que mon premier
petit ami me mette sa queue, là où tu vas mettre la tienne.
- J’ai le choix ? Je peux te baiser et t’enculer.
- J’aime les deux, alors fais moi les deux. Nous avons le temps jusqu’à demain.
Je la couche gentiment. Elle reste comme je l’ai mise, elle m’attend en se touchant un
peu la chatte, comme pour se branler devant moi. Je veux bien la baiser ou la
sodomiser, avant je voudrai connaitre s mouille, son gout, la fraicheur de son sexe et
de son cul. Ma langue doit y suffire.
Après la bouche du haut je m’occupe de celle du bas. Les lèvres ne sont pas dans le
même sens, peu importe. Je la lèche avant de lui mordre le clitoris. Elle se venge en
tirant légèrement les cheveux. Elle veux surtout que j’aille ailleurs qu’à cet
endroit. Je plonge ma langue dans son vagin. Elle appuie ses mains sur ma tête. Du
moment qu’elle aime ce que je fais je continue. Je durci la langue pour qu’elle soit
comme une bite. Je la fait tourner autour d’elle. Je sens Gisou se tendre, se tordre
même quand l’orgasme que j’attends arrive.
Elle me relève pour avancer dans notre relation. J’arrête en cours de route, sur ses
seins, durs, aus aréoles foncées.
Sans rien demander, elle prend ma queue pour la poser juste à l’entrée de son puits.
Avant que je sois dans sa féminité, elle passe ses jambes autour des miennes. J’entre
trop lentement à son gré. Elle donne un bon coup de rein. Je suis au fond de son
ventre trop vite. Sans nous concerter, nous adoptons le même rythme. Ses gémissements
commencent. Ils continuent jusqu’au dernier orgasme. Je crache mon perme dans son
ventre au moment ou elle aussi jouit. Nous restons bien l’un dans l’autre sans bouger.
Je me fais léger sur elle, elle me veut ailleurs. Je me relève pour la mettre sur le
ventre.
Je ne bande plus bien sur, mais la sensation de ses fesses autour de ma queue fait que
lentement je bande. Je voudrai bien la baiser encore, Gisou n’en veut pas, enfin pas
encore. J’ai la bite bien mouillée par mon sperme et sa mouille. Elle me guide vers
son anus. Mon doigt y était bien juste avant, elle le remplace pas ma bite. Je voudrai
la sodomiser doucement pour ne pas lui faire de mal. Je suis juste dessus. Elle n’a
qu’un geste à faire pour que je l’encule. J’hésite encore un peu: le geste c’est elle
qui le fait. Son large coup de rein me fait entrer au fond de son cul. Les
gémissements reprennent. Cette fois plus forts. Je me surprends moi aussi à gémir, son
cul est tellement agréable. Je ne crois pas avoir pris autant de plaisir dans un cul
que dans le sien. Il faut croire que pour elle c’est presque pareil.
Elle arrive à me faire retourner sur le dos, elle étant toujours avec ma bite dans
l’anus, pour faire elle-même les allers et venues. Je peux la branler lui donnant
ainsi un plaisir supplémentaire. Elle caresse ses seins. Le nuit continue entrecoupée
de rares périodes de sommeil et de longues périodes de baise. Elle est sacrément douée
pour le plaisir.
Plus tard quand nos amis nous demandent comment nous avons vécu l’après diner, nous ne
répondons que par un sourire. Nous baisons toujours.
Pendant presque tout le repas, elle ne m’a pas quitté des yeux, elle m’espionnait sans
doute. Les agapes duraient longtemps; trop sans doute pour elle, elle parlait,
seulement à moi, à croire que les autres convives n’existaient pas. Je lui avais tapé
dans l’œil certainement.
J’en étais presque gêné. Nos hôtes ont eu la bonne idée de mettre de la musique,
justement un air à la mode que je fredonnais juste avant que les autre reprennent en
chœur. Si elle était charmante; belle et tout et tout, elle chantait épouvantablement
faux. Je le lui disais, sa réponse me décontenançait:
- Vous savez, pour faire taire une femme, il n’y a qu’uns solution.
- Je la connais, je ne vais pas l’employer comme ça devant les autres.
- Vous auriez honte de m’embrasser ?
- Moi, Honte d’embrasser une fille ? Jamais.
Je l’ai embrassé sans provoquer de scandale, au contraire la maitresse de maison s’est
mise à applaudir, suivie pas tous les autres. En plus sa bouche était douce, ses
lèvres et surtout sa langue. Ce baiser n’en finissait pas, elle tenait à le faire
durer. Je n’avais rien contre.
Plus tard la musique devenait dansante: nous nous sommes levés et là dans mes bras
elle s’abandonnait. Cette fois c’est moi qui avait envie d’un baiser encore profond.
Nous sommes partis ensemble. Le lendemain matin trop tôt je reçois un coup de fil de
l’hôtesse:
- Alors raconte, vous avez couché ?
- Pas du tout.
- Si tu avais voulu, tu aurai pu.
- J’aurais bien aimé, c’est elle qui s’est refusée.
C’était vrai en sortant je voulais la faire venir chez moi pour la nuit, elle m’a
regardé d’un air offusqué:
- Je ne couche jamais le premier soir. Rendez vous demain devant le restaurant
RRRRRRRRR. A propose, je m’appelle Gisou.
Je me suis tenu à ses désirs. Le lendemain j’étais à la bonne heure devant le
restaurant. Je ne tenais pas à la manquer, elle était trop belle, presque trop pour
moi, pauvre garçon qui se trouve moche. Je m’attends à patienter longtemps. Non, elle
arrive pile à l’heure. Je la vois venir, sa robe flottante sur ses hanches, un léger
pull posé sur les épaules.
Elle est plus belle qu’hier. J’adresse des prière à Eros pour qu’elle accepte
aujourd’hui mon invitation. Il est tôt, elle m’invite à entrer dans le restaurant. Le
maître d’hôtel, devinant une idylle, nous place dans un angle de la salle pour que
nous ne soyons pas dérangés. Il fait bien, nous sommes assis en face d’un de l’autre,
je prends ses mains. Elle me les abandonnent volontiers. Je les caresses comme je
ferai à un petit chat. Je suis obligé d’arrêter quand on nous ports le menu. Je
patiente jusqu’à ce qu’on serve. Gisou, elle n’abandonne pas, c’est elle qui prend une
main; Je peux mieux la voir que la veille. Ce n’est pas une belle fille, c’est une
très belle fille.
J’ai raison de la désirer. J’espère qu’elle voudra de moi maintenant, ou tout au moins
sur le tard. En fermant les yeux il me semble la voir nue, sur mon lit, par contre je
ne vois pas son intimité. Je ne peux que l’imaginer.
C’est elle qui parle:
- Je suis trop sérieuse pour céder à la tentation, c’est pour ça qu’hier je me suis
dérobée. J’ai bien réfléchi. J’ai eu tort. Mais qu’est-ce que tu aurai pensé d’un
fille qui se donne facilement ?
- Rien de particulier, sinon qu’elle en avait envie, comme moi.
- Tu me voulais ?
- Bien sur, tu crois qu’une belle fille comme toi se refuse.
- Je ne suis pas un garçon pour juger.
Le diner se sert, nous mangeons comme un couple de jeune marié d’antan qui attend la
fin du repas pour aller s’aimer dans une chambre.
Je demande au maître d’hôtel s’il a des chambres. Oui, il en reste une.
Qu’elle belle pièce: une chambre capable d’accueillir une partouze. Je ne sais pas du
tout ce que vaut Gisou dans un lit. Belle comme elle est, je suis certainement loin
d’être son premier. Reste à savoir jusqu’à quel degré elle sait baiser.
Nous sommes à peine entrer quand je la prend dans mes bras. Nos bouches reviennent
s’amuser. Ce n’est pas parce que nos bouches sont occupées que nous restons immobiles.
J’ai un bras contre ses épaules, et l’autre sur sa taille. Elle se serre contre moi,
surtout le pubis. Elle sens bien sur mon désir augmenter contre elle. Je descend une
main sur ses fesses. Elles sont dures l’une est l’autre. Je cherche à passer entre
elles. Je n’arrive pas, alors je lève le bas de sa robe. Je trouve vite le lieu
d’accès: facile: elle ne porte pas de sous vêtements. Je peux passer mon doigt
derrière elle, sa raie s’ouvre comme par magie. Je sens qu’elle pousse son arrière
train vers ma main. Je suis sur son anus. En forçant à peine j’entre facilement dans
son cul. Elle manifeste en mordillant ma langue. J’entame le vas et vient, elle
accompagne le mouvement.
De son coté, son ventre est collé contre ma bite. Je la sens faire de légers mouvement
autour de ma queue: elle sait bien manœuvrer pour donner du plaisir à un homme. Juste
au moment où elle se colle totalement à moi, je sens son anus avoir des crispations
régulières. C’est son premier orgasme avec moi.
La suite logique est que nous soyons tout nu. Je peux facilement enlever sa robe,
légère est boutonnée pas de simples boutons. Quand je la fait tomber elle est comme
Dieu la faite. Une nudité affolante pour un homme normal. Si je ne bandais pas encore,
j’exploserai. Elle sait parfaitement me rendre la politesse. Je suis moi aussi nu
devant elle. Ce qui l’intéresse c’est seulement ma bite. Elle le prend dans ma main,
me masturbe, ma foi fort bien avant de la lâcher:
- Je n’ai pas envie de te faire jouir sans que tu sois dans mon ventre, baises moi.
- Tu n’as pas honte de faire une telle demande, toi un jeune fille si pure.
- C’est vrai j’était une jeune fille pure, il y a des années, avant que mon premier
petit ami me mette sa queue, là où tu vas mettre la tienne.
- J’ai le choix ? Je peux te baiser et t’enculer.
- J’aime les deux, alors fais moi les deux. Nous avons le temps jusqu’à demain.
Je la couche gentiment. Elle reste comme je l’ai mise, elle m’attend en se touchant un
peu la chatte, comme pour se branler devant moi. Je veux bien la baiser ou la
sodomiser, avant je voudrai connaitre s mouille, son gout, la fraicheur de son sexe et
de son cul. Ma langue doit y suffire.
Après la bouche du haut je m’occupe de celle du bas. Les lèvres ne sont pas dans le
même sens, peu importe. Je la lèche avant de lui mordre le clitoris. Elle se venge en
tirant légèrement les cheveux. Elle veux surtout que j’aille ailleurs qu’à cet
endroit. Je plonge ma langue dans son vagin. Elle appuie ses mains sur ma tête. Du
moment qu’elle aime ce que je fais je continue. Je durci la langue pour qu’elle soit
comme une bite. Je la fait tourner autour d’elle. Je sens Gisou se tendre, se tordre
même quand l’orgasme que j’attends arrive.
Elle me relève pour avancer dans notre relation. J’arrête en cours de route, sur ses
seins, durs, aus aréoles foncées.
Sans rien demander, elle prend ma queue pour la poser juste à l’entrée de son puits.
Avant que je sois dans sa féminité, elle passe ses jambes autour des miennes. J’entre
trop lentement à son gré. Elle donne un bon coup de rein. Je suis au fond de son
ventre trop vite. Sans nous concerter, nous adoptons le même rythme. Ses gémissements
commencent. Ils continuent jusqu’au dernier orgasme. Je crache mon perme dans son
ventre au moment ou elle aussi jouit. Nous restons bien l’un dans l’autre sans bouger.
Je me fais léger sur elle, elle me veut ailleurs. Je me relève pour la mettre sur le
ventre.
Je ne bande plus bien sur, mais la sensation de ses fesses autour de ma queue fait que
lentement je bande. Je voudrai bien la baiser encore, Gisou n’en veut pas, enfin pas
encore. J’ai la bite bien mouillée par mon sperme et sa mouille. Elle me guide vers
son anus. Mon doigt y était bien juste avant, elle le remplace pas ma bite. Je voudrai
la sodomiser doucement pour ne pas lui faire de mal. Je suis juste dessus. Elle n’a
qu’un geste à faire pour que je l’encule. J’hésite encore un peu: le geste c’est elle
qui le fait. Son large coup de rein me fait entrer au fond de son cul. Les
gémissements reprennent. Cette fois plus forts. Je me surprends moi aussi à gémir, son
cul est tellement agréable. Je ne crois pas avoir pris autant de plaisir dans un cul
que dans le sien. Il faut croire que pour elle c’est presque pareil.
Elle arrive à me faire retourner sur le dos, elle étant toujours avec ma bite dans
l’anus, pour faire elle-même les allers et venues. Je peux la branler lui donnant
ainsi un plaisir supplémentaire. Elle caresse ses seins. Le nuit continue entrecoupée
de rares périodes de sommeil et de longues périodes de baise. Elle est sacrément douée
pour le plaisir.
Plus tard quand nos amis nous demandent comment nous avons vécu l’après diner, nous ne
répondons que par un sourire. Nous baisons toujours.
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