Glory hole.
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Glory hole.
Le lendemain de sa double ( voir « Garçons ! Une double !! « ), Paulo nous demanda si cela nous dirait de passer une soirée en club.
« -C’est pas trop mon truc, mais pourquoi pas… » avait répondu Rémi.
Le soi même, Paulo nous emmena dans un club gay friendly de la ville. On commença par s’alcooliser sérieusement au bar avec de multiples cocktails. Comme partout où il va, Paulo fit une sacrée impression auprès des gars accoudés au bar. Beaucoup de regards d’envie appuyés, de verres offerts…Paulo n’arrêtait pas de nous embrasser Rémi et moi pour signaler qu’il n’était pas free.
On se dirigea alors vers le dance floor. Presque tout le monde était torse nu. Certains étaient déjà même en slips. La piste était très très hot, ondulant au rythme de la techno déversée par dizaines de décibels. Beaucoup de jeunes gars venaient se coller à nous, esquissant quelques caresses…Ce n’était pas lourd pour autant mais plutôt fun et sexy. Vu la chaleur et le rythme d’enfer, les torses se mirent à luire de sueur, ce qui les rendaient d’autant plus désirables, baignés par les spots colorés. Jamais à court d’une provoc, Paulo se mit en slip, en jockstrap plutôt. Un véritable appel au meurtre… ! Très joli son jock : jaune et vert, ses couleurs nationales. Bien, bien gonflé. Avec Rémi, on l’a pris en sandwich pour protéger ses devants et ses arrières…On se déchaîna ainsi un sacré bout de temps.
C’est alors que Paulo nous proposa de passer dans la darkroom de la boîte. Rémi et moi, sur le conseil de Paulo, on se mit en slips, abandonnant nos jeans au vestiaire. On descendit à tâtons l’escalier qui y conduisait. On avait convenu d’essayer de ne pas se disperser, si possible. Pas évident du tout, en fait. Très vite, les mains se font plus que baladeuses. On s’habitue très très progressivement à l’obscurité presque totale. Bisous dans le cou, mains sur les paquets, caresses en tous genres. Rémi, impressionné, se colle à moi. C’est sa première fois dans ce genre de lieu. Par contre, on a déjà perdu Paulo. Je sens une main qui se glisse dans mon slip et une bouche qui cherche la mienne. Je dois dire que je suis de plus en plus excité par toute cette tension sexuelle ambiante. Mon inconnu a retiré sa main et a glissé sa bite raide sous le tissu de mon slip. Je dois reconnaître qu’il embrasse vraiment bien. Je me laisse faire un moment tout en lui caressant le cul. Comme il a senti la présence de Rémi, il lui caresse la bite à lui aussi. Visiblement, le gars a envie d’aller plus loin. Pas forcément nous. On décline gentiment sa proposition. Il accepte, no problem.
Comme on a beaucoup bu, Rémi a envie d’aller aux toilettes. Il me demande de l’accompagner. Les toilettes sont un tout petit peu plus éclairées que la darkroom mais à peine. Assez vite, il ressort du WC et me demande de le rejoindre à nouveau dans ce même WC. Il veut me montrer quelque chose. Au milieu de la paroi, à mi hauteur, on devine un « glory hole » avec une superbe bite tendue qui en dépasse. Il n’ose pas y toucher tout seul. Je ne le reconnais plus sur ce coup là. D’habitude, il est complètement branché sur tout ce qui est sexe… Je l’encourage en lui disant que c’est fait pour ça ! Il se lance. D’abord avec les mains puis assez rapidement avec la bouche. C’est vrai qu’elle fait sacrément envie cette pine avec sa superbe toison très fournie et très brune. Le mec derrière a l’air de bien apprécier le savoir faire de Rémi qui a retrouvé ses esprits et sa technique ! A un moment, on s’y met à deux. On l’entend grogner. On décide de le faire venir très très vite, en accélérant à fond notre mouvement de branle à deux. Eh bien, il n’et pas venu si vite que ça…Par contre, il en a collé plein la paroi d’en face. Très vite, sa bite disparaît.
Cet épisode a donné envie à Rémi d’en faire autant. Il présente sa teub raide à travers le trou et…attend. Oh ! Il n’a pas attendu très longtemps. Il me fait signe que, ça y est, quelqu’un l’a entrepris, direct avec la bouche. Il se laisse faire, excité. Je le vois retirer sa bite et la promener doucement sur le visage de l’inconnu de l’autre côté de la paroi. Il me chuchote à l’oreille qu’il y a un truc qui lui parait bizarre : ça lui parait très, trop, doux. Et si…c’était la bouche d’une femme ? Tu rigoles ! Ici ! Réfléchis ! C’est pas bête du tout, non ? Essaie pour voir. Du coup, il me cède sa place. Je glisse ma queue aussitôt. On me la caresse voluptueusement. Et si Rémi avait raison ? C’est vrai que la main a l’air super douce…Et la bouche encore plus ! Wouaah ! Trop trop bon ! Qui que tu sois, continue !! Rémi n’y tient plus et veut remettre ça. On échange à nouveau. T’as peut être raison, Rémi. Tu sais, j’ai rien contre. Moi non plus. Je le vois maintenant aller et venir, au travers de la paroi et baiser la bouche collée à la paroi. Excité, je ma colle derrière lui et lui glisse ma bite dans sa raie. Il écarte ses jambes. Il veut que je le pénètre. Je salive sur mon gland et force rapidement le passage. C’est alors que la bouche d’en face se décolle et voilà que se présente la chatte qui se colle au trou et attend qu’on la fourre. Rémi bascule la tête en arrière sur mon épaule et jouit de l’instant. Il y va doucement. Je lui chuchote à l’oreille de ne pas oublier de lui exciter le clitoris au passage. C’est ce que je suis entrain de faire mon grand ! Je joins mes doigts à son gland et, à deux, on lui échauffe le clito. On l’entend souffler. Puis Rémi se met à la pénétrer lentement de toute la longueur de sa bite et commence à la limer doucement. Je fais de même dans son ventre. Trop cooool ! il va ainsi la limer un sacré bout de temps et finir par jouir dans son fourreau. Juste avant de jouir, il me glisse à l’oreille que si elle reste, je peux peut-être essayer de prendre sa place car elle a du comprendre qu’on était deux. Du coup, je me retire de Rémi et attend…Ca ne rate pas. Après avoir reçu toute la semence de Rémi, je vois qu’elle reste collée à la paroi. Presqu’aussitôt, je le remplace et commence à la fourrer doucement. Son fourreau est doux, chaud, enveloppant. Je m’y sens vraiment bien. Je vais ainsi la limer doucement, rapidement, tendrement, brutalement…Alternant toutes les allures. Rémi s’est placé derrière moi, s’est collé à moi et m’a enveloppé de ses bras en me faisant des bisous dans le cou. Je finis par jouir longuement en elle dans de longues secousses de tout mon corps. On décide de sortir assez rapidement du WC sans vouloir forcément la rencontrer. Après tout, elle ne veut probablement pas non plus.
On retourne dans la darkroom enveloppé par une odeur terrible de foutre. Presqu’aussitôt, on retombe sur Paulo qui nous demande si tout va bien. On l’assure que oui. Lui aussi a l’air content de sa soirée. On ne lui demandera pas de détails. C’est à lui de voir…
« -C’est pas trop mon truc, mais pourquoi pas… » avait répondu Rémi.
Le soi même, Paulo nous emmena dans un club gay friendly de la ville. On commença par s’alcooliser sérieusement au bar avec de multiples cocktails. Comme partout où il va, Paulo fit une sacrée impression auprès des gars accoudés au bar. Beaucoup de regards d’envie appuyés, de verres offerts…Paulo n’arrêtait pas de nous embrasser Rémi et moi pour signaler qu’il n’était pas free.
On se dirigea alors vers le dance floor. Presque tout le monde était torse nu. Certains étaient déjà même en slips. La piste était très très hot, ondulant au rythme de la techno déversée par dizaines de décibels. Beaucoup de jeunes gars venaient se coller à nous, esquissant quelques caresses…Ce n’était pas lourd pour autant mais plutôt fun et sexy. Vu la chaleur et le rythme d’enfer, les torses se mirent à luire de sueur, ce qui les rendaient d’autant plus désirables, baignés par les spots colorés. Jamais à court d’une provoc, Paulo se mit en slip, en jockstrap plutôt. Un véritable appel au meurtre… ! Très joli son jock : jaune et vert, ses couleurs nationales. Bien, bien gonflé. Avec Rémi, on l’a pris en sandwich pour protéger ses devants et ses arrières…On se déchaîna ainsi un sacré bout de temps.
C’est alors que Paulo nous proposa de passer dans la darkroom de la boîte. Rémi et moi, sur le conseil de Paulo, on se mit en slips, abandonnant nos jeans au vestiaire. On descendit à tâtons l’escalier qui y conduisait. On avait convenu d’essayer de ne pas se disperser, si possible. Pas évident du tout, en fait. Très vite, les mains se font plus que baladeuses. On s’habitue très très progressivement à l’obscurité presque totale. Bisous dans le cou, mains sur les paquets, caresses en tous genres. Rémi, impressionné, se colle à moi. C’est sa première fois dans ce genre de lieu. Par contre, on a déjà perdu Paulo. Je sens une main qui se glisse dans mon slip et une bouche qui cherche la mienne. Je dois dire que je suis de plus en plus excité par toute cette tension sexuelle ambiante. Mon inconnu a retiré sa main et a glissé sa bite raide sous le tissu de mon slip. Je dois reconnaître qu’il embrasse vraiment bien. Je me laisse faire un moment tout en lui caressant le cul. Comme il a senti la présence de Rémi, il lui caresse la bite à lui aussi. Visiblement, le gars a envie d’aller plus loin. Pas forcément nous. On décline gentiment sa proposition. Il accepte, no problem.
Comme on a beaucoup bu, Rémi a envie d’aller aux toilettes. Il me demande de l’accompagner. Les toilettes sont un tout petit peu plus éclairées que la darkroom mais à peine. Assez vite, il ressort du WC et me demande de le rejoindre à nouveau dans ce même WC. Il veut me montrer quelque chose. Au milieu de la paroi, à mi hauteur, on devine un « glory hole » avec une superbe bite tendue qui en dépasse. Il n’ose pas y toucher tout seul. Je ne le reconnais plus sur ce coup là. D’habitude, il est complètement branché sur tout ce qui est sexe… Je l’encourage en lui disant que c’est fait pour ça ! Il se lance. D’abord avec les mains puis assez rapidement avec la bouche. C’est vrai qu’elle fait sacrément envie cette pine avec sa superbe toison très fournie et très brune. Le mec derrière a l’air de bien apprécier le savoir faire de Rémi qui a retrouvé ses esprits et sa technique ! A un moment, on s’y met à deux. On l’entend grogner. On décide de le faire venir très très vite, en accélérant à fond notre mouvement de branle à deux. Eh bien, il n’et pas venu si vite que ça…Par contre, il en a collé plein la paroi d’en face. Très vite, sa bite disparaît.
Cet épisode a donné envie à Rémi d’en faire autant. Il présente sa teub raide à travers le trou et…attend. Oh ! Il n’a pas attendu très longtemps. Il me fait signe que, ça y est, quelqu’un l’a entrepris, direct avec la bouche. Il se laisse faire, excité. Je le vois retirer sa bite et la promener doucement sur le visage de l’inconnu de l’autre côté de la paroi. Il me chuchote à l’oreille qu’il y a un truc qui lui parait bizarre : ça lui parait très, trop, doux. Et si…c’était la bouche d’une femme ? Tu rigoles ! Ici ! Réfléchis ! C’est pas bête du tout, non ? Essaie pour voir. Du coup, il me cède sa place. Je glisse ma queue aussitôt. On me la caresse voluptueusement. Et si Rémi avait raison ? C’est vrai que la main a l’air super douce…Et la bouche encore plus ! Wouaah ! Trop trop bon ! Qui que tu sois, continue !! Rémi n’y tient plus et veut remettre ça. On échange à nouveau. T’as peut être raison, Rémi. Tu sais, j’ai rien contre. Moi non plus. Je le vois maintenant aller et venir, au travers de la paroi et baiser la bouche collée à la paroi. Excité, je ma colle derrière lui et lui glisse ma bite dans sa raie. Il écarte ses jambes. Il veut que je le pénètre. Je salive sur mon gland et force rapidement le passage. C’est alors que la bouche d’en face se décolle et voilà que se présente la chatte qui se colle au trou et attend qu’on la fourre. Rémi bascule la tête en arrière sur mon épaule et jouit de l’instant. Il y va doucement. Je lui chuchote à l’oreille de ne pas oublier de lui exciter le clitoris au passage. C’est ce que je suis entrain de faire mon grand ! Je joins mes doigts à son gland et, à deux, on lui échauffe le clito. On l’entend souffler. Puis Rémi se met à la pénétrer lentement de toute la longueur de sa bite et commence à la limer doucement. Je fais de même dans son ventre. Trop cooool ! il va ainsi la limer un sacré bout de temps et finir par jouir dans son fourreau. Juste avant de jouir, il me glisse à l’oreille que si elle reste, je peux peut-être essayer de prendre sa place car elle a du comprendre qu’on était deux. Du coup, je me retire de Rémi et attend…Ca ne rate pas. Après avoir reçu toute la semence de Rémi, je vois qu’elle reste collée à la paroi. Presqu’aussitôt, je le remplace et commence à la fourrer doucement. Son fourreau est doux, chaud, enveloppant. Je m’y sens vraiment bien. Je vais ainsi la limer doucement, rapidement, tendrement, brutalement…Alternant toutes les allures. Rémi s’est placé derrière moi, s’est collé à moi et m’a enveloppé de ses bras en me faisant des bisous dans le cou. Je finis par jouir longuement en elle dans de longues secousses de tout mon corps. On décide de sortir assez rapidement du WC sans vouloir forcément la rencontrer. Après tout, elle ne veut probablement pas non plus.
On retourne dans la darkroom enveloppé par une odeur terrible de foutre. Presqu’aussitôt, on retombe sur Paulo qui nous demande si tout va bien. On l’assure que oui. Lui aussi a l’air content de sa soirée. On ne lui demandera pas de détails. C’est à lui de voir…
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