Guni fait des courses 02

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Guni fait des courses 02 Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Guni fait des courses 02
Guni fait des courses 02


Guni présentait particulièrement bien, il avait une jolie tunique qui s'arrêtait juste en dessous de la ceinture, mais vraiment juste en dessous. On voyait tout ce qui dépassait … Et tout dépassait ! C'est pas les quelques centimètres de tunique qui descendait en dessous de son ceinturon qui allait cacher l'énorme matraque qui se balançait entre ses cuisses.

Il portait aussi des sandales avec des lacets très longs qui se croisaient jusqu'à ses genoux. Il avait fier allure. Tooni s'était bien habillé pour l'occasion, ils sortait faire du lèche vitrine avec son fils, il avait une tenue identique, sauf que sous la tunique on pouvait apercevoir un dispositif de chasteté tellement chic, en ivoire de Dentosaure ! Non mais vous vous rendez compte ! .'' ivoire de Dentozaure '' ! J'arrive pas à m'y faire, c'est tellement rare et cher et chic et … Bon je m'arrête là !

Les deux hommes descendaient du taxi au milieu de la plus grande avenue de la ville. C'est là qu'on trouve les meilleurs commerces. Ils étaient très beaux et très bien habillé. Sur ce point personne ne faisait attention à eux. Il y avait les employés qui entretenaient les rues. Eux étaient totalement nus, le plus grand nombre d'entre eux portaient un dispositif de chasteté. Leur chef ne portait qu'un harnais qui attestait de sa fonction.

Tooni et Guni entraient dans ce grand magasin, deux employés du magasin se précipitaient pour les recevoir, comme tous les hommes de cette société ils étaient musclés, ils portaient un dispositif de chasteté, un des deux ne portait pas encore de tatouage mais on pouvait deviner à la taille de son dispositif que celui là le garderait de toutes évidences. L'autre affichait un petit onze plus sur l'épaule, c'est son cran dans la société il est en rapport avec la taille de sa bite. Je vous rappelle que Guni avait un vingt trois … Pour travailler dans ce magasin il fallait porter un dispositif, à moins bien sûr d'afficher au moins un dix huit sur l'épaule.

C'était le cas du vendeur en chef qui arrivait, il affichait un vingt, et ne portait rien d'autre sur lui en dehors d'un médaillon ou était marqué ' 1 er Vendeur ' …

– Bonjour messieurs, que puis-je faire pour vous ?

Tooni prenait alors la direction des opération pendant que son fils Guni lorgnait sur le petit jeune qui n'avait pas encore de tatouage. Pour mettre leurs clients à l'aise on débarrassait Guni et Tooni de leurs tuniques. C'est une ruse commerciale, vous l'avez deviné. Si le client n'a plus rien sur le dos il sera plus facilement tenté d'essayer un vêtement, une tunique, un harnais, une cape et sera donc plus tenté d'acheter.

C'étaient donc trois hommes qui regardaient ces rayonnages très bien achalandés. Tooni se faisait montrer les capes, le vendeur s'exécutait en argumentant sur la qualité du produit. Guni et le jeune vendeur sans tatouage avaient disparu. Qu'importe on n'avait pas besoin d'eux. Le vendeur ordonnait à son assistant de les suivre.

Tooni choisissait une cape pour lui, il en choisissait aussi une pour son fils, pour lui il la prenait plus adaptée à un voyage. Il passait ensuite au rayon tunique. Il en choisissait une pour Guni très épaisse pour les régions froide, suivait un manteau et un pantalon, très épais, c'était pour une région froide. Ici ils n'en avait pas besoin.

Quelques cris, quelques gémissements se faisaient entendre dans un recoin du magasin. Personne n'y prêtait la moindre attention.

Quelques instants plus tôt, Guni entièrement nu s'y était glissé, il tenait le jeune vendeur par la main. Il était nu aussi en dehors de son dispositif de chasteté. Puis Guni avait refermé ses bras sur le petit jeune. Petit jeune, oui, il n'avait pas encore son tatouage comme je vous le disais mais on savait déjà que le chiffre ne serait pas élevé. Petit oui également, à côté de Guni il était tout petit même. Dans les bras de Guni il ne parvenait même pas à lui embrasser les tétons. Mais ça ne dérangeait pas Guni.

Ce petit bonhomme était bien proportionné et avait une musculature ferme, mais élégante et discrète également. Guni le caressait, glissait ses mains sur tout son corp. Il aimait bien les hommes avec de gros muscles le brave Guni, mais il aimait bien ce qu'il touchait, ce corps tout petit lui plaisait. Il glissait ses mains sur les fesses du petit jeune, puis entre ses fesses et finalement le soulevait avec force. Le visage du vendeur se retrouvait au niveau du visage de Guni. Il pouvait alors lui passer les bras autour du cou. Guni bandait comme un taureau, le jeune repliait ses jambes autour du corps de Guni qui bandait ferme. Sa queue se relevait entre les fesses du jeune vendeur.

Les deux hommes s'embrassaient.

– Je te fais pas peur ? Demandait Guni au petit jeune.
– Ho non Monsieur Guni. Non je n'ai pas peur de vous …

Il y avait une sorte de table, Guni posait les fesses du petit sur cette table, le repoussait en arrière, son cul était alors juste à la bonne hauteur. Guni se penchait alors sur le corps nu du vendeur. Il le caressait et l'embrassait. C'était une montagne de muscles qui faisait alors preuve d'une grande, d'un immense douceur.

Le jeune gémissait de plaisir, dans sa cage de chasteté il y avait de la pression. Elle était minuscule, enfin à côté de la bite à Guni elle semblait vraiment minuscule. Mais il faut bien dire aussi qu'à coté de Guni, c'est tout le bonhomme qui semblait minuscule. Il était gros comme un moustique le jeune vendeur.

– Ça fait longtemps que tu portes un dispositif. Demandait Guni. Tu n'as même pas de tatouage.
– C'est pour pouvoir travailler ici, je suis apprenti. Répondait le jeune apprenti vendeur.

Les mains de Guni caressaient avec un peu plus de force le corps du jeune apprenti. Il était jeune mais il savait s'y prendre. Ses caresses, également, réjouissait Guni. Ses lèvres étaient douces et ses baisers aussi.

– Nous n'avons pas beaucoup de temps ! Faisait remarquer Guni.

Le message était clair. Guni se lubrifiait la queue, et comme le jeune était juste à la bonne hauteur, prenait position. Son énorme queue bien placée.

Guni appuyait sa queue contre le cul du vendeur. Ça résistait, le jeune homme gémissait. Guni poussait plus fort, ça résistait, je jeune faisait une grimace épouvantable. Guni forçait, il s'agaçait le bougre, il n'avait pas l'habitude qu'on lui résiste.

Quand ça a lâché, le jeune vendeur à poussé un cri qui s'est entendu dans tous le magasin. La queue de Guni s'est alors enfoncée bien profond dans le cul du jeune homme qui se crispait.

Ça glissait, ça glissait bien même mais le jeune homme semblait paniquer, il gémissait, et pas seulement il poussait de vrai cris. Douleur, plaisir, Guni faisait toujours le même effet et ne s'en inquiétait plus depuis longtemps. Il devait avoir onze ans la première fois qu'il avait fait couiner un de ses camarade du même âge.

Le jeune vendeur n'en était plus à sa première fois mais Guni n'était pas non plus dans les tailles habituelles. Il en avait une vraiment grosse. Je ne sais même pas si c'est possible de se prendre la bite de Guni en initiation, pour la première fois je veux dire. Ça doit faire mal. Même ceux qui ont un certain entraînement ont quelquefois du mal.

Une chose est sûre, le jeune vendeur le sentais passer, il s'en souviendrait.

Il couinait, je préfère le mot couiner ça fait plus mignon, il couinait donc le vendeur. Guni avait toujours un air un peu furieux, il fronçait les sourcils mais c'était la concentration. Le cul du vendeur était étroit, Guni avait l'habitude, avec lui presque tout les culs étaient étroits. Il savait se concentrer sur son travail, il y mettait du cœur. Les coups qu'il portait étaient violents, parfaitement contrôlés mais violents, par moment rapides, par moment plus lents.

Il se retirait sur presque toute la longueur de sa queue puis l'enfonçait ensuite dans un mouvement lent mais décidé, contrôlé mais ferme. Il terminait par un violent coup de bassin. La queue de Guni était large et bien dure, elle dilatait le cul du jeune vendeur avec force, c'était sans pitié, quand la queue de Guni forçait le passage, le passage s'ouvrait et le jeune vendeur gueulait. Pardon couinait …

A quelque mètre de la Tooni faisait son choix, chaque vêtement retenu se retrouvait dans les bras de l'autre vendeur qui avait maintenant les bras chargés. Il y avait des tuniques, des tuniques chaude, des pantalons chaud, des botes, des casquettes bien chaudes. Tous ces vêtements chauds étaient en fourrure, de gloutre, vous ne connaissez pas ? C'est très doux, très fin et très chaud. On les pêche dans l'ouest du pays, sur les côtes de la Mer Sans Limites.

– Mais dites moi. Demandait Tooni. La gloutre c'est bien un rongeur un peu comme le bastor.
– Pas du tout. Lui répondait le Premier Vendeur. C'est un poisson à fourrure. Mais nous avons aussi du bastor, c'est très bien aussi !

En fait les initiés savent que la gloutre est un rat géant mais les commerçants préfèrent éviter de donner ce détail, le bastor tout le monde connaît. Le vendeur insistait sur les détails qui rapportent …

– Comme vous pouvez le remarquer Monsieur Tooni, sur ce costume spécial grand froid : Fourrure de gloutre à l'intérieur et sur le col, fourrure de bastor à l'extérieur, c'est bien plus résistant et … Pour refermer le tout … Des boutons en ivoire de dentozaure …
– Et il n'est pas donné ce vêtement.
– Mais rien n'est trop beau pour le confort et le bien être de ses enfants.

Là il avait fait mouche le vendeur, cette veste somptueuse allait rejoindre les vêtements déjà choisis dans les bras de l'assistant qui les suivait maintenant comme il pouvait, il arrivait à peine à voir ou il allait le pauvre.

Des cris, des gémissements se faisaient entendre très fort maintenant.

– Mais d’où viennent ces gémissements ? Demandait bêtement Tooni. Qui avait oublié que Guni était là quelques instants plus tôt.
– Je ne sais pas. Répondait le premier vendeur.

Mais le vendeur voyait la pile de vêtements pour ce Monsieur Tooni qui était de très loin le meilleur client de la journée et préférait continuer.

Des cris se faisaient entendre.

Dans son coin, le jeune vendeur face à Guni le retenait par le cou. Il était replié en deux je jeune vendeur. Les bras de Guni passaient sous ses genoux et il le retenait fermement avec les mains sur ses fesses. Dans un mouvement régulier Guni le soulevait et le laissait retomber sur sa queue. À chaque mouvement le jeune vendeur s'empalait de tout son poids sur la queue de Guni. Il gémissait le pauvre et Guni respirait fort.

C'était difficile de dire lequel appréciait le plus, en fait ils semblaient tous les deux à leur place. Le jeune vendeur se faisait éclater le cul. Guni lui éclatait le cul. Ils étaient d'accord finalement.

C'est à ce moment que le rideau s'ouvrait. N'allez pas vous imaginer que Guni s'arrêtait, il tournait la tête et voyant son père Tooni il lui faisait un large sourire satisfait.

– Tu pourrais me dire ce que tu fais là ? Demandait Tooni.
– Bein je fais un essayage !
– Et tu essayes quoi ?
– Le vendeur ! Il est bien celui là ! On reviendra dans ce magasin dis moi père ?

Tooni a éclaté de rire.

– Ne sois pas trop long fils, tu as vu tout ce que j'ai acheté, il faudrait faire un autre essayage. Tu n'es vraiment pas sérieux tout de même.

Tooni refermait le rideau. Les gémissements se transformaient en cris puis en hurlement. Guni avait reposé son partenaire sur la table et sans pour autant sortir sa queue de son cul l'avait fait roulé sur même. Le pauvre garçon se retrouvait sur le ventre, les bras en croix, les jambes pendantes, il était petit et ses pieds touchaient à peine le sol.

Il avait toujours la queue de Guni dans le cul et Guni continuait à lui labourer les fesses avec force, mais maintenant il se lâchait, il voulait en finir, il voulait jouir pour passer à autre chose. Il y allait de toutes ses forces. Le jeune vendeur hurlait maintenant et demandait grâce, il en demandait encore plus, enfin il ne savait pas trop ce qu'il voulait.

Puis Guni jouissait, c'est lui qui hurlait le plus fort à ce moment il éjaculait avec force dans le cul de sa victime. Oui on peut presque dire victime maintenant. Guni se retirait, il respirait très fort, il s'essuyait et allait rejoindre son père qui essayait les tuniques et différents achats qu'il avait fait pour lui.

Guni procédait à un autre essayage, plus convenable maintenant. Même si dans ce monde il en fallait plus que cela pour être inconvenant. Finalement Guni confirmait et gardait presque tout ce que son père Tooni avait choisi pour lui. Il en a eu pour une fortune, je ne vous dis pas.

Ils se faisaient livrer tout ça à la maison et repartaient. Distraits qu'il était le Guni, il oubliait de remettre la tunique qu'il avait en arrivant et c'est entièrement nu qu'il se retrouvait dans la rue, sa tunique se retrouvait livrée à la maison avec les autres vêtements.

Les deux hommes passaient devant une armurerie.

– Tu n'a besoin de rien ici ? Demandait Tooni.
– Allons père, nous avons déjà une armurerie à la caserne et je crois savoir qu'on me prépare une surprise …

Ils se sont ensuite arrêté dans un salon pour goûter cette merveille exotique qu'on appelle chocolat, Guni en reprenait. Mais vous savez, avec les enfants c'est toujours pareil, ils adorent. Tooni s'attendrissait de voir son bébé redemander un autre chocolat. Même si son bébé faisait une tête de plus que lui …

Fin de l'épisode


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Trop de douleur mais aussi trop de plaisir..... Humm. Hum



Texte coquin : Guni fait des courses 02
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