habillée en salope
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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habillée en salope
Je l'avais repérée dans un centre commercial du centre ville. Elle était de toute évidence jeune (pas plus de vingt ans)et maladroite. Toutefois il était certain qu'elle prenait plaisir à s'exhiber. Les boutons du bas de sa robe en jean's étaient défaits jusqu'à la lisière inférieure de sa culotte et, effectivement à chaque pas on pouvait voir distinctement l'intégralité de sa cuisse et un bout du tissu du sous-vêtement; du côté du haut les boutons étaient défaits pour permettre d'apercevoir régulièrement le haut du soutien-gorge.
Dès qu'elle s'apercevait qu'elle avait un observateur (en clair un voyeur) elle écartait délibérément le tissu de la robe de la main afin d'offrir une vue plus intime.
Je l'abordais et lui offrit de prendre un café à une des terrasses d'un des établissements du centre bourse. Elle accepta mais très rapidement elle tint à mettre les choses au clair: "vous savez, je fais ça pour m'amuser" (elle tenait à m'informer du fait qu'elle n'était pas une professionnelle du sexe).
Je l'avisais du fait que j'avais une certaine expérience (quadragénaire à l'époque) et que par exemple, pour rester dans le cadre du jeu, si je lui proposais de se rendre aux toilettes, d'ôter sa culotte et de revenir s'assoir que ferait elle?
Elle rougit comme une petite fille et demanda "et rien de plus?", je souris en lui disant que le jeu pourrait être interrompu à tout moment.
Elle se leva, se rendit aux toilettes et en revint assez rapidement. Une fois assise je lui demandais de défaire un bouton de plus du bas de sa robe. Elle regarda tout autour d'elle pour vérifier que personne n'avait entendu la dernière phrase, puis elle balbutia "mais on va voir...", "on va voir que vous n'avez pas de culotte, ou on va apercevoir votre sexe et cela vous gène?"Hésitant un court instant, elle défit le bouton en question; "maintenant écartez légèrement vos genoux", elle fit "non" de la tête, elle avait l'air paniquée.
"vous avez peur de quelque chose?"Elle n'arrivait pas à répondre, et ce fut plus simple pour elle d'écarter légèrement les genoux plutôt que de parler.
Je pus remarquer la présence de poils et je lui demandais "vous n'êtes pas épilée?"Elle était au bord des larmes, je lui tendis ma carte de visite en lui conseillant de passer au centre de beauté de la galerie commerciale, de dire qu'elle venait de ma part, et que nous nous retrouverions le surlendemain au même endroit à la même heure.
Et effectivement le surlendemain elle était à l'heure au rendez-vous.
Devant un nouveau café je lui proposais de passer au haut en passant aux toilettes pour se débarrasser de son soutien-gorge. Une nouvelle fois elle rougit en faisant "non" de la tête et en balbutiant "ils sont trop gros". Effectivement elle avait une poitrine généreuse, je n'eu besoin que de dire "allons, voyons..." et elle se leva résignée pour aller quitter son soutien-gorge.
Au retour effectivement sa poitrine généreuse serrée pas ses bras croisés, exhibait un sillon mammaire impressionnant. C'est dans la boutique de Sharon que nous avons trouvé les solutions, chez un couturier italien d'un côté: Catanzaro, et chez un fabricant allemand de l'autre: Noir Hand Made. Et c'est ainsi qu'elle devint une véritable arme de séduction.
La première expérience se fit lors du vernissage d'une exposition de peinture. Elle portait une robe longue à manches longues (les manches longues étaient destinées à compenser le côté excessif de certaines ouvertures). Les tissus, très fluides, de couleur noire, présentaient deux parties distinctes séparées par deux ouvertures partant des chevilles aux aisselles, ces deux ouvertures, d'une bonne quinzaine de centimètres étaient reliées par des ficelles se croisant à partir des mi-cuisses jusqu'aux aisselles. Et effectivement une bonne partie des cuisses, des hanches et des côtés de la poitrine étaient visibles.
Le décolleté côté poitrine était très généreux, et seule la présence d'un soutien gorge demi-seins en simili cuir le rendait "socialement acceptable"; bien que dans ce genre d'évènement les excès étaient monnaie courante.
Les ouvertures latérales prouvaient l'absence manifeste du moindre string.
Ils arrivèrent volontairement avec un très léger retard. Il était très conventionnel que les gens importants arrivent avec un peu de retard. Ils se firent déposer devant l'entrée par un chauffeur avec voiture, d'une part il était trop "commun" d'arriver en taxi, d'autre part la hauteur des talons aiguilles (qui favorisaient la cambrure) interdisait un déplacement pédestre trop important.
Je la présentais à deux ou trois groupes d'invités, puis l'abandonnait devant des toiles auxquelles elle n'accordait aucune importance.
Assez rapidement un personnage assez farfelu s'approcha d'elle par derrière pour la saisir par les hanches et l'embrasser dans le cou.
Elle avait reçu comme consigne d'accepter tout ce qui se ferait avec la bouche ou la langue, sans limitation, et de tolérer toutes les incursions manuelles en n'acceptant les pénétrations digitales que du côté de l'anus, par contre les caresses clitoridiennes seraient bienvenues. Ensuite les évènements se produiraient de façon aléatoire.
Elle était donc debout devant un tableau, un verre de champagne dans une main, avec ce personnage qui l'embrassait dans le cou en utilisant allègrement sa langue, une de ses mains posée sur une hanche s'était glissée par l'ouverture latérale et flirtant sur le haut de la cuisse se dirigeait vers son pubis.
Il lui murmura à l'oreille "j'étais certain de l'absence de sous vêtement, mais je ne pensais pas trouver une peau aussi douce".
Il avait collé son bassin contre ses fesses, et lorsque ses doigts parvinrent au pubis elle ne put faire le moindre mouvement de retrait. De la pulpe de l'index et du majeur il se mit à faire de légers mouvements circulaires sur le clitoris, tout en titillant ses petites lèvres qui étaient littéralement trempées de cyprine.
Elle avait la respiration qui s'accélérait, "c'est bon" murmura-t-elle. Il la prit par la main, la débarrassa de son verre de champagne, et l'entraina vers une petite pièce qui devait servir de réserve.
Il l'embrassa à pleine bouche et très habilement fit sortir les deux seins du soutien gorge; et passant de la bouche aux tétons il se mit à sucer alternativement les deux seins. Les mamelons s'érigèrent rapidement.
Lorsque je m'installais sur la petite banquette casée dans un coin de la pièce, elle venait de perdre sa robe et n'avait plus que son soutien gorge sur elle, son partenaire, à genoux, lui léchait le sexe et surtout son clitoris. De toute évidence elle était au bord de l'orgasme. Je lui fit signe et il la conduisit devant moi, elle ne fut même pas étonnée de me retrouver là et se mit à califourchon sur moi, guidant mon sexe en érection vers ses grandes lèvres et son vestibule.
Elle se laissa descendre lentement en gémissant. Je me laissais aller en arrière en l'attirant vers moi. Ce mouvement eut pour effet de dégager ses fesses. Notre partenaire n'hésita pas du tout, il enfonça un, puis deux doigts dans l'anus de notre amante commune. A travers la paroi du vagin je sentais bien sur mon sexe les mouvements des doigts dans le conduit anal.
Elle eut un premier orgasme et esquissa un premier mouvement comme pour s'arrêter. Il profita de cet instant pour mettre un préservatif sur son sexe et le présenter contre l'anus encore entrouvert. Elle murmura "non, plus, c'est trop" puis eut un grand gémissement lorsque le phallus pénétra son anus. Elle avait cessé tout mouvement, mais c'est lui qui se mit à la sodomiser avec vigueur en la tenant par les hanches.
Rapidement elle retomba dans un orgasme, elle hurlait carrément lorsqu'il éjacula en cessant ses mouvements.
Il se retira et elle se laissa aller contre moi, c'est à ce moment que je commençais des petits mouvements de mon sexe dans son vagin. Elle commença par dire "non, plus" puis rapidement se mit à gémir et à réclamer "oh oui, encore, bien au fond" et c'est elle même qui entreprit des mouvements plus violents.
Elle se mit à jouir une nouvelle fois, les yeux révulsés et la bouche ouverte, son vagin se crispant sur mon sexe.
Je l'embrassais à pleine bouche, à la fin du baiser elle murmura "putain que c'est bon!"
L'étape suivante se fit un après midi sur un champ de courses hippiques. Elle était vêtue d'un chemisier noir entièrement transparent, ses gros seins mis en valeur par un soutien gorge demi seins . Elle portait une mini jupe en cuir en forme de cloche, rendant son entrejambe facilement accessible.
Elle était fascinée par les aller et venus des chevaux et du personnel qui les accompagnaient. Elle fut amusée par la taille des jockeys "on dirait des enfants me glissa t elle, je lui répondis "et si je te disais que plusieurs d'entre eux vont te baiser?", elle haussa les épaules croyant à une boutade.
Après avoir assisté aux deux premières courses (courses d'obstacles) je lui proposais d'aller voir l'arrière du décors.
Elle fut étonnée par les chevaux littéralement trempés de sueur. Je lui proposais de jeter un coup d'oeil à l'infirmerie. Elle était surprise de la présence d'une infirmerie, je lui fis remarquer qu'il y avait eu des chutes.
Dans l'infirmerie un jockey était allongé sur une table d'examen. Il attendait le kiné pour pouvoir ôter ses bottes. Je lui glissais à l'oreille "tu veux qu'elle te suce?" il eut un instant de doute, puis voyant la transparence du chemisier et la longueur de la jupe, il accepta.
Alors me tournant vers elle je lui dis "tu veux l'aider à ôter sa culotte de jockey?"; elle hésita en disant "je n'ose pas", alors je préconisais "embrasses le d'abord, après ce sera plus facile"; elle se pencha vers lui et il accueillit sa bouche avec avidité; excitée par ce baiser et par le fait qu'il avait glissé une main vers son pubis dépourvu de tout sous vêtement, et qu'il lui caressait ses grandes lèvres, elle défit la culotte du jockey et fut surprise par la taille disproportionnée du pénis qu'elle prit immédiatement en bouche.
L'arrivée du kiné fit que ce dernier, découvrant le spectacle, sorti son sexe, prit le préservatif que je lui tendais, et sans plus de préparation la prit en levrette.
Le jockey éjacula dans sa bouche avant qu'elle ne parvienne à l'orgasme. Elle n'avala pas, laissant couler le sperme de sa bouche sur les testicules du jockey.
Sur les champs de courses il y a des "bruits de couloirs" (alors qu'il n'y a pas de couloir) qui circulent et à peine le kiné avait-il éjaculé et s'était retiré qu'une autre personne avait pris le relai.
J'eu l'occasion de distribuer six préservatifs, et elle eut le plaisir de bénéficier d'au moins quatre orgasmes avant que nous quittions l'infirmerie.
Au retour vers la voiture elle me confia "pour des mecs aussi petits, ils ont des bites normales".
Dès qu'elle s'apercevait qu'elle avait un observateur (en clair un voyeur) elle écartait délibérément le tissu de la robe de la main afin d'offrir une vue plus intime.
Je l'abordais et lui offrit de prendre un café à une des terrasses d'un des établissements du centre bourse. Elle accepta mais très rapidement elle tint à mettre les choses au clair: "vous savez, je fais ça pour m'amuser" (elle tenait à m'informer du fait qu'elle n'était pas une professionnelle du sexe).
Je l'avisais du fait que j'avais une certaine expérience (quadragénaire à l'époque) et que par exemple, pour rester dans le cadre du jeu, si je lui proposais de se rendre aux toilettes, d'ôter sa culotte et de revenir s'assoir que ferait elle?
Elle rougit comme une petite fille et demanda "et rien de plus?", je souris en lui disant que le jeu pourrait être interrompu à tout moment.
Elle se leva, se rendit aux toilettes et en revint assez rapidement. Une fois assise je lui demandais de défaire un bouton de plus du bas de sa robe. Elle regarda tout autour d'elle pour vérifier que personne n'avait entendu la dernière phrase, puis elle balbutia "mais on va voir...", "on va voir que vous n'avez pas de culotte, ou on va apercevoir votre sexe et cela vous gène?"Hésitant un court instant, elle défit le bouton en question; "maintenant écartez légèrement vos genoux", elle fit "non" de la tête, elle avait l'air paniquée.
"vous avez peur de quelque chose?"Elle n'arrivait pas à répondre, et ce fut plus simple pour elle d'écarter légèrement les genoux plutôt que de parler.
Je pus remarquer la présence de poils et je lui demandais "vous n'êtes pas épilée?"Elle était au bord des larmes, je lui tendis ma carte de visite en lui conseillant de passer au centre de beauté de la galerie commerciale, de dire qu'elle venait de ma part, et que nous nous retrouverions le surlendemain au même endroit à la même heure.
Et effectivement le surlendemain elle était à l'heure au rendez-vous.
Devant un nouveau café je lui proposais de passer au haut en passant aux toilettes pour se débarrasser de son soutien-gorge. Une nouvelle fois elle rougit en faisant "non" de la tête et en balbutiant "ils sont trop gros". Effectivement elle avait une poitrine généreuse, je n'eu besoin que de dire "allons, voyons..." et elle se leva résignée pour aller quitter son soutien-gorge.
Au retour effectivement sa poitrine généreuse serrée pas ses bras croisés, exhibait un sillon mammaire impressionnant. C'est dans la boutique de Sharon que nous avons trouvé les solutions, chez un couturier italien d'un côté: Catanzaro, et chez un fabricant allemand de l'autre: Noir Hand Made. Et c'est ainsi qu'elle devint une véritable arme de séduction.
La première expérience se fit lors du vernissage d'une exposition de peinture. Elle portait une robe longue à manches longues (les manches longues étaient destinées à compenser le côté excessif de certaines ouvertures). Les tissus, très fluides, de couleur noire, présentaient deux parties distinctes séparées par deux ouvertures partant des chevilles aux aisselles, ces deux ouvertures, d'une bonne quinzaine de centimètres étaient reliées par des ficelles se croisant à partir des mi-cuisses jusqu'aux aisselles. Et effectivement une bonne partie des cuisses, des hanches et des côtés de la poitrine étaient visibles.
Le décolleté côté poitrine était très généreux, et seule la présence d'un soutien gorge demi-seins en simili cuir le rendait "socialement acceptable"; bien que dans ce genre d'évènement les excès étaient monnaie courante.
Les ouvertures latérales prouvaient l'absence manifeste du moindre string.
Ils arrivèrent volontairement avec un très léger retard. Il était très conventionnel que les gens importants arrivent avec un peu de retard. Ils se firent déposer devant l'entrée par un chauffeur avec voiture, d'une part il était trop "commun" d'arriver en taxi, d'autre part la hauteur des talons aiguilles (qui favorisaient la cambrure) interdisait un déplacement pédestre trop important.
Je la présentais à deux ou trois groupes d'invités, puis l'abandonnait devant des toiles auxquelles elle n'accordait aucune importance.
Assez rapidement un personnage assez farfelu s'approcha d'elle par derrière pour la saisir par les hanches et l'embrasser dans le cou.
Elle avait reçu comme consigne d'accepter tout ce qui se ferait avec la bouche ou la langue, sans limitation, et de tolérer toutes les incursions manuelles en n'acceptant les pénétrations digitales que du côté de l'anus, par contre les caresses clitoridiennes seraient bienvenues. Ensuite les évènements se produiraient de façon aléatoire.
Elle était donc debout devant un tableau, un verre de champagne dans une main, avec ce personnage qui l'embrassait dans le cou en utilisant allègrement sa langue, une de ses mains posée sur une hanche s'était glissée par l'ouverture latérale et flirtant sur le haut de la cuisse se dirigeait vers son pubis.
Il lui murmura à l'oreille "j'étais certain de l'absence de sous vêtement, mais je ne pensais pas trouver une peau aussi douce".
Il avait collé son bassin contre ses fesses, et lorsque ses doigts parvinrent au pubis elle ne put faire le moindre mouvement de retrait. De la pulpe de l'index et du majeur il se mit à faire de légers mouvements circulaires sur le clitoris, tout en titillant ses petites lèvres qui étaient littéralement trempées de cyprine.
Elle avait la respiration qui s'accélérait, "c'est bon" murmura-t-elle. Il la prit par la main, la débarrassa de son verre de champagne, et l'entraina vers une petite pièce qui devait servir de réserve.
Il l'embrassa à pleine bouche et très habilement fit sortir les deux seins du soutien gorge; et passant de la bouche aux tétons il se mit à sucer alternativement les deux seins. Les mamelons s'érigèrent rapidement.
Lorsque je m'installais sur la petite banquette casée dans un coin de la pièce, elle venait de perdre sa robe et n'avait plus que son soutien gorge sur elle, son partenaire, à genoux, lui léchait le sexe et surtout son clitoris. De toute évidence elle était au bord de l'orgasme. Je lui fit signe et il la conduisit devant moi, elle ne fut même pas étonnée de me retrouver là et se mit à califourchon sur moi, guidant mon sexe en érection vers ses grandes lèvres et son vestibule.
Elle se laissa descendre lentement en gémissant. Je me laissais aller en arrière en l'attirant vers moi. Ce mouvement eut pour effet de dégager ses fesses. Notre partenaire n'hésita pas du tout, il enfonça un, puis deux doigts dans l'anus de notre amante commune. A travers la paroi du vagin je sentais bien sur mon sexe les mouvements des doigts dans le conduit anal.
Elle eut un premier orgasme et esquissa un premier mouvement comme pour s'arrêter. Il profita de cet instant pour mettre un préservatif sur son sexe et le présenter contre l'anus encore entrouvert. Elle murmura "non, plus, c'est trop" puis eut un grand gémissement lorsque le phallus pénétra son anus. Elle avait cessé tout mouvement, mais c'est lui qui se mit à la sodomiser avec vigueur en la tenant par les hanches.
Rapidement elle retomba dans un orgasme, elle hurlait carrément lorsqu'il éjacula en cessant ses mouvements.
Il se retira et elle se laissa aller contre moi, c'est à ce moment que je commençais des petits mouvements de mon sexe dans son vagin. Elle commença par dire "non, plus" puis rapidement se mit à gémir et à réclamer "oh oui, encore, bien au fond" et c'est elle même qui entreprit des mouvements plus violents.
Elle se mit à jouir une nouvelle fois, les yeux révulsés et la bouche ouverte, son vagin se crispant sur mon sexe.
Je l'embrassais à pleine bouche, à la fin du baiser elle murmura "putain que c'est bon!"
L'étape suivante se fit un après midi sur un champ de courses hippiques. Elle était vêtue d'un chemisier noir entièrement transparent, ses gros seins mis en valeur par un soutien gorge demi seins . Elle portait une mini jupe en cuir en forme de cloche, rendant son entrejambe facilement accessible.
Elle était fascinée par les aller et venus des chevaux et du personnel qui les accompagnaient. Elle fut amusée par la taille des jockeys "on dirait des enfants me glissa t elle, je lui répondis "et si je te disais que plusieurs d'entre eux vont te baiser?", elle haussa les épaules croyant à une boutade.
Après avoir assisté aux deux premières courses (courses d'obstacles) je lui proposais d'aller voir l'arrière du décors.
Elle fut étonnée par les chevaux littéralement trempés de sueur. Je lui proposais de jeter un coup d'oeil à l'infirmerie. Elle était surprise de la présence d'une infirmerie, je lui fis remarquer qu'il y avait eu des chutes.
Dans l'infirmerie un jockey était allongé sur une table d'examen. Il attendait le kiné pour pouvoir ôter ses bottes. Je lui glissais à l'oreille "tu veux qu'elle te suce?" il eut un instant de doute, puis voyant la transparence du chemisier et la longueur de la jupe, il accepta.
Alors me tournant vers elle je lui dis "tu veux l'aider à ôter sa culotte de jockey?"; elle hésita en disant "je n'ose pas", alors je préconisais "embrasses le d'abord, après ce sera plus facile"; elle se pencha vers lui et il accueillit sa bouche avec avidité; excitée par ce baiser et par le fait qu'il avait glissé une main vers son pubis dépourvu de tout sous vêtement, et qu'il lui caressait ses grandes lèvres, elle défit la culotte du jockey et fut surprise par la taille disproportionnée du pénis qu'elle prit immédiatement en bouche.
L'arrivée du kiné fit que ce dernier, découvrant le spectacle, sorti son sexe, prit le préservatif que je lui tendais, et sans plus de préparation la prit en levrette.
Le jockey éjacula dans sa bouche avant qu'elle ne parvienne à l'orgasme. Elle n'avala pas, laissant couler le sperme de sa bouche sur les testicules du jockey.
Sur les champs de courses il y a des "bruits de couloirs" (alors qu'il n'y a pas de couloir) qui circulent et à peine le kiné avait-il éjaculé et s'était retiré qu'une autre personne avait pris le relai.
J'eu l'occasion de distribuer six préservatifs, et elle eut le plaisir de bénéficier d'au moins quatre orgasmes avant que nous quittions l'infirmerie.
Au retour vers la voiture elle me confia "pour des mecs aussi petits, ils ont des bites normales".
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