Hamman inoubliable
Récit érotique écrit par Nyalis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Hamman inoubliable
En vacances au Maroc, j'avais programmé quelques jours à Marrakech.
Plutôt qu'un hôtel plus ou moins impersonnel et onéreux, j'ai réservé une chambre d'hôtes dans un joli riad, dans la kasbah.Je suis accueilli par le propriétaire, un sexagénaire affable, volubile, parlant un français impeccable, avec un léger accent marocain. Étonné que je sois seul, contrairement à la plupart des touristes qu'il héberge. Il me traite avec gentillesse et le souci que je me sente bien chez lui.
Je découvre avec plaisir et curiosité son riad où règne une ambiance chaleureuse et paisible.
Chaque fois que je croise mon hôte, il s'enquiert de mon bien être, avec sollicitude et une empathie sincère.
Le deuxième jour, il me propose de l'accompagner dans un hammam qu'il fréquente régulièrement.
J'accepte avec plaisir, curieux de vivre cet expérience inédite.
Chemin faisant, il m'explique que c'est un hammam privé fréquenté par un groupe restreint d'associés et amis. Tu es mon invité, me dit-il. Je te présenterai aux amis. Elaid, le responsable du hammam s'occupera de toi selon la tradition.
L'endroit est magnifiquement décoré, composé de différents espaces. Mon hôte me présente à Elaid, qui m'accueille avec un grand sourire, en me souhaitant la bienvenue. Il m'explique que je vais commencer par le hammam, pour y préparer ma peau au gommage, qui se fera au savon noir et avec le gant de kessa. Il m'installe dans le hammam où je reste seul. La chaleur humide me plonge dans une douce torpeur. Un moment plus tard, Elaid vient me chercher pour le gommage. Dans une pièce contiguë, il y a une sorte de table haute, où il me fait allonger, nu. Il enduit mon corps de savon noir, avec me semble-t-il une sensualité bien virile Mais, à peine ai-je commencé à apprécier ce moment, qu'il commence l'exfoliation avec la crêpe rugueuse du gant. L'homme est dynamique. J'ai l'impression qu'aucun centimètre de ma peau n'échappe à son traitement. Il saisit mes bras, mes jambes, me fait retourner à plat ventre et frotte vigoureusement.
Seul mon sexe échappe au gant.
Il m'indique ensuite de retourner au hamman. Il se charge de me rincer et me sécher. Être nu dans les mains de cet homme me provoque un trouble familier, une certaine excitation..
Cela lui semble naturel, il me sourit, me complimente à propos de mon physique de sportif. Il a certainement remarqué que mon sexe, testicules et raie fessière sont épilés, mon pubis et torse rasé de près. Je me demande ce qu'il en a pensé. Est-ce courant au Maroc ?
Il m'emmène dans une autre pièce à l'ambiance feutrée, éclairée par quelques bougies. Au milieu, une table de massage recouverte d'une épaisse serviette. Il me fait allonger sur le ventre et me laisse totalement nu, les fesses exposées. Il entreprend alors un massage tonique des pieds à la tête. Ses mains virevoltent sur mon corps, douces et fermes. J'adore chacun de ses mouvements. Je m'abandonne à la sensualité du moment. Quand il pétrit mes cuisses, mes fesses, je ne peux retenir des gémissements de plaisir.
Il me semble alors que ses mouvements dérapent furtivement là où la décence l'interdit. Ses doigts effleurent l'anus, l'intérieur des cuisses, jusqu'au périnée qui gonfle d'excitation.
Soudain, il arrête ses gestes et je sens couler quelques gouttes d'huile entre mes fesses. Sa main glisse sur le périnée bombé, et ma rosette. Ce massage prend une tournure inattendue, et j'en frémis de plaisir. Il masse délicatement mon périnée, effleure ma rosette qui palpite d'excitation à ce contact. Son pouce se positionne sur ma rosette et exerce une pression. Consentant, je n'oppose aucune résistance et bien lubrifié son doigt ouvre l'anneau plissé. Cette sensation me fait gémir. Puis il me dit de me retourner et m'allonger sur le dos.
Mon sexe bande ostensiblement. De la main gauche, il s'en saisit. De la main droite, il replit ma jambe gauche et l'ouvre vers l'extérieur. J'ai ainsi les cuisses bien écartées, l'entrejambe totalement accessible. Sa main caresse le périnée et s'immisce à la recherche de mon fourreau, entre les fesses. Je sens un doigt me pénétrer pendant que l'autre main coulisse sur ma hampe. Doigté et masturbé simultanément, c'est délicieux. Les yeux fermés je m'abandonne aux sensations qu'il me procure. Je ne m'attendais pas à un tel traitement. Je sens mon plaisir venir, mais subitement il cesse et m'invite à aller me rincer. Un peu déçu, mais fataliste, je m'execute et vais me doucher. Il me regarde faire en me souriant et me tend une petite serviette à ceindre autour des hanches, tel un pagne. Il me fait signe de le suivre et m'emmène dans une autre pièce. Mon hôte est là avec 3 autres personnes. Ils sont affalés sur d'amples coussins disposés sur d'épais tapis. La lumière est tamisée, l'ambiance feutrée. Ils conversent tranquillement en sirotant du thé à la menthe. A notre entrée, ils suspendent leur conversation et m'observent. Ils s'adressent à Elaid en arabe qui leur répond dans la même langue. L'échange est animé et les réparties d'Elaid les font rire franchement. J'aimerais bien savoir ce qu'ils se disent. Mon hôte m'invite à m'assoir parmi eux et me propose du thé. L'un des hommes m'indique près de lui un énorme coussin dans lequel je me love. Mi assis mi allongé, c'est très confortable. Une tasse de thé m'est servie par mon hôte qui s'assoit à mon côté. Il me demande si j'ai aimé les services d'Elaid. Je réponds sobrement que c'était une découverte et une expérience agréable et je l'en remercie. C'est un plaisir de te recevoir me répond-il avec un large sourire. J'observe les hommes qui m'entourent et je me rends compte que je suis presque nu au milieu d'eux, tous vêtus de gandoura confortable et légère, sans manches ni capuche. Cela ne semble pas les indisposer le moins du monde et je n'éprouve aucune gêne parmi ces hommes mâtures, âgés d'une soixantaine d'années environ. Ils se retrouvent ici, pour partager des moments amicaux entre hommes, et discuter de tout et de rien, ou tout simplement se relaxer. Pour le moment, ils me font l'honneur de s'intéresser à ma personne, d'où je viens et à mon séjour dans leur pays. L'homme qui m'a fait asseoir à son côté, prénommé Habib, me flatte. C'est bien de t'avoir avec nous, me dit-il. Tu es sympathique et agréable à regarder. Il est beau n'est ce pas lance-t-il à ses compagnons ? Les autres acquiescent en riant. Se penchant vers moi, il pose sa main sur ma cuisse et me dit : on n'a pas souvent l'occasion d'accueillir un bel homme ici. Ma franchise ne te dérange pas, j'espère ? Euh non non, je réponds un peu décontenancé. Ne réagissant pas à la pression de sa main, il ne la retire pas et commence à me caresser tout en continuant à parler. Ici, on est un groupe d'amis. On se connait depuis longtemps.
On se respecte. Ce qui se dit et se passe ici reste ici. Les autres sourient en hochant la tête. Mon hôte s'est rapproché de moi lui aussi et commence à me caresser de son côté. Un troisième se lève et vient s'asseoir à mes pieds, qu'il saisit et masse doucement.
Je commence à être sérieusement émoustillé par la tournure des événements. J'ai compris qu'Elaid leur a révélé ma sensualité. Les yeux mi-clos, je m'abandonne à la douce invasion des mains, sur mes pieds, sur mon torse, mes tétons pointent au contact des doigts. Une main s'insinue sous le pagne, que l'on défait. Je ne résiste pas. Je m'offre à ces hommes, puisque tel est leur désir. Et moi j'apprécie les hommes adeptes de la beauté et sensualité masculine. Et la mienne débordante, a terriblement besoin d'être assouvie.
Je sens la douceur d'une bouche qui se referme sur mon gland, des lèvres qui se posent sur mes tétons titillés par deux langues pointues. Des sensations de plaisir m'envahissent de toutes parts, ma sensualité est exacerbée, je gémis tel un animal en rut et je crie, me cambre, lorsqu'un premier orgasme surgit de mes tétons torturés. Surpris, mes doux bourreaux s'exclament en arabe. Elaid qui est revenu parmi nous, sans doute après avoir rangé les lieux où nous étions, s'adresse à moi : tu aimes ça chéri, je leur ai dit. Mets toi sur le ventre maintenant. Je me retourne et m'installe sur le ventre. Mes fesses tournées vers eux déclenchent d'autres commentaires et initiatives. Deux mains écartent mes fesses pour observer la rosette. Visiblement, mon cul bien épilé, épanoui, leur plaît. Puis une langue pointue s'y pose et vient la titiller, l'agace, l'exciter.
J'adore l'anulingus. Lorsqu'il est fait avec gourmandise et doigté de langue si je puis dire, il m'amène à l'extase et à l'orgasme. Je savoure ce moment délicieux quand on saisit ma main. C'est le plus entreprenant de mes voisins, Habib, celui qui a lancé les ébats. Il a relevé sa gandoura, extirpé son phallus. L'homme bande bien et veut me le faire savoir à travers son geste. Je suis surpris de sa grosseur dans ma main. Je relève la tête pour le voir. Il en profite pour l'approcher de ma bouche et avec autorité me force à le sucer. Il est si épais que je ne prends que le gland. Je n'aime pas être forcé, mais passé un réflexe de répulsion, je me surprends à le lécher avec envie. La vision, la sensation d'un gros sexe me surexcite. Je deviens alors femelle, salope, je le veux en moi.
Les autres hommes se sont rapprochés et participent à leur façon. Je sens des mains partout sur mon corps, sur ma queue tendue, mes couilles, mes seins, mes fesses. Et je gémis, et je crie quand un orgasme me submerge. Je raffole de pluralité avec des hommes vicieux qui savent et aiment donner du plaisir à un beau mec. Je me lâche totalement, sans retenue, beau et obscène à la fois. Mélangeant l'arabe et le français, ils m'incitent à être femelle, pute. Ils me disent que j'ai un beau cul, que je suis une salope avec une belle bite. On va te bouffer le cul, te baiser.
Après quelques instants, je vois Elaid s'approcher la queue tendue. Il a enfilé un préservatif, il me badigeonne l'anus d'un liquide lubrifiant. Son sexe, de taille moyenne, est bien moins épais que celui d'Habib que je suce entre deux orgasmes.
Ils ont décidé qu'Elaid serait le premier à me sodomiser. Ouf, tant mieux, j'appréhendais le gros sexe de mon caresseur.
Elaid me saisit les hanches, positionne son gland sur ma rosette et m'ouvre délicatement. Cet homme doux sait s'y prendre. Quand le gland a dilaté l'anneau, il marque un temps d'arrêt, attentif à mes réactions. Je gémis de plaisir et douleur, comme à chaque pénétration. En quelques secondes, mon fourreau s'adapte au phallus qui le pénètre. Je me cambre encore plus, projetant ma croupe vers mon amant. Il comprend qu'il peut initier ses mouvements.
Nos compagnons, devenus voyeurs, se sont rapprochés. Ça ne me déplaît pas, car j'aime être maté. Le regard lubrique ou curieux des voyeurs me surexcite. Je laisse libre cours à ma bisexualité, ma part de féminité, je deviens femelle le temps d'un coīt, en offrant mon cul comme une femme sa chatte.
Fascinés par la vision de ma croupe ouverte, pénétrée par le vit d'Elaid, nos spectateurs commentent la scène à leur façon, mélangeant toujours le français et l'arabe. Entre des exclamations en arabe, j'entend des mots comme "quel beau cul" "baise le" "fais le jouir". Les yeux fermés, je m'abandonne à la sensation du pénis qui glisse dans mon fourreau de chair. J'aime la sensation d'être pénétré, d'avoir l'anus dilaté par le sexe bien dur d'un mâle qui me désire.
Le va et vient du vit chauffe mes chairs, je sens que je vais jouir avec mon petit cul érogène.
En quelques mouvements, Elaid me déclenche un orgasme de l'anus, qui les étonne. Très excité par des hommes adroits et talentueux, je peux jouir plusieurs fois, avec mes tétons, ma queue, mes couilles et bien sûr ma chatte de mec sensuel.
Avec l'orgasme, mon anus palpite, l'anneau serre le pénis d'Elaid. Je l'entends alors gémir et jouir dans un soubresaut, entre mes fesses, dans mon fourreau.
Oh chéri, me dit-il, il est doux et chaud ton cul.
Il se retire de moi. Je me retourne et m'allonge sur le dos, pour me remettre de mes émotions et faire face à mes hôtes. A peine ai-je le temps de souffler un peu, Habib s'approche de moi. Il a enlevé sa gandoura. Nu, sous son ventre proéminent, son pénis est gonflé, épais et court comme je les aime. Autoritaire, il m'attrape les jambes sous les genoux, me tire vers lui en me relevant les fesses à hauteur de son sexe pointé vers moi.
Nos compagnons, attentifs à mon confort, mettent un coussin sous mes reins.
Comprenant qu'il a décidé de me prendre ainsi, dans la position du missionnaire, je réclame du lubrifiant pour mieux recevoir ce gros phallus. Elaid enduit généreusement mon anus encore dilaté. Je m'assure qu'Habib a enfilé un préservatif et je me soumets à sa virilité.
Son gland presse sur ma rosette assouplie par Elaid. Légère et fugace douleur quand l'épais phallus me dilate plus encore, suivie de l'étrange et jouissive sensation d'être empalé par un membre hors normes.
Au fil des rencontres, j'ai appris à m'ouvrir aux sexes gros, à en jouir, alors qu'au début je ne supportais que ceux de dimension moyenne.
Habib s'approprie mon intimité peu à peu. Son rythme est lent, ce qui me convient parfaitement. Je peux ainsi savourer la pénétration inhabituelle et imposante. Face à lui qui me domine, je croise son regard de mâle lubrique, vicieux. Je me sens alors soumis, salope qui offre son cul. Nos complices ne restent pas inactifs. Ma queue, mes couilles sont caressées, mes tétons pincés, ma bouche embrassée. Totalement offert, je succombe aux sensations de plaisir qui me submergent. Gémissements, puis cris de jouissance, les orgasmes se succèdent plus ou moins fulgurants.
Je raffole de ce genre de situation, à la merci d'hommes mâtures, qui aiment faire jouir un beau passif. Et là, je suis comblé. Ces messieurs savent s'y prendre. Habib me ramone pendant quelques minutes, l'anus en feu, je jouis plusieurs fois.
Je demande une petite pause pour récupérer de mes émotions et j'ai envie de changer de position.
Je me mets à plat ventre, les cuisses écartées, le cul cambré. Habib a compris mes intentions. J'aime être pris dans cette position, sentir le poids du corps de mon amant sur moi, son sexe dans mon chaud fourreau de chair. L'angle de la pénétration est différent et me procure d'autres sensations, encore plus jouissives. Habib se couche sur moi, ses mains se saisissent des miennes, nos doigts entrecroisés. Ma cambrure positionne naturellement ma rosette dilatée à hauteur de son braquemart. Il me pénètre facilement. De nouveau, je gémis quand son calibre remplit ma petite chatte de mec. Je veux t'entendre crier me dit Habib, qui accélère la cadence de ses coups de reins. Sa force, sa virilité me font délirer. J'ai littéralement le feu au cul. Un nouvel orgasme me submerge. Sublime sensation de plaisir avec l'épais phallus qui surchauffe mes chairs et dilate mon fourreau.
Soudain, Habib se contracte, émet un râle de plaisir. Il s'est longuement retenu. Son orgasme n'en est que plus fort. Il se vide dans le latex. Oh, comme j'aimerais pouvoir m'en passer, sentir le foutre chaud et abondant gicler en moi, puis s'écouler sur mes fesses.
Nous restons un instant unis, comme tétanisés. Puis, il se retire lentement, et s'affale sur le coussin. Nos compagnons, excités par notre coīt, se sont caressés et ont joui quand je criais.
Repu et comblé, un sourire béat aux lèvres, je remercie mon baiseur et ses complices pour l'immense plaisir qu'ils m'ont offert. Eux, avec force compliments à propos de ma sensualité, me disent qu'ils ont été ravis de m'accueillir. Habib me déclare qu'il aimerait me garder à Marrakech comme amant secret et me propose de nous revoir avant mon départ. Je lui réponds avec plaisir si mon petit cul se remet assez vite de cette séance.
Ainsi se termina cet expérience inoubliable en bonne compagnie.
Plutôt qu'un hôtel plus ou moins impersonnel et onéreux, j'ai réservé une chambre d'hôtes dans un joli riad, dans la kasbah.Je suis accueilli par le propriétaire, un sexagénaire affable, volubile, parlant un français impeccable, avec un léger accent marocain. Étonné que je sois seul, contrairement à la plupart des touristes qu'il héberge. Il me traite avec gentillesse et le souci que je me sente bien chez lui.
Je découvre avec plaisir et curiosité son riad où règne une ambiance chaleureuse et paisible.
Chaque fois que je croise mon hôte, il s'enquiert de mon bien être, avec sollicitude et une empathie sincère.
Le deuxième jour, il me propose de l'accompagner dans un hammam qu'il fréquente régulièrement.
J'accepte avec plaisir, curieux de vivre cet expérience inédite.
Chemin faisant, il m'explique que c'est un hammam privé fréquenté par un groupe restreint d'associés et amis. Tu es mon invité, me dit-il. Je te présenterai aux amis. Elaid, le responsable du hammam s'occupera de toi selon la tradition.
L'endroit est magnifiquement décoré, composé de différents espaces. Mon hôte me présente à Elaid, qui m'accueille avec un grand sourire, en me souhaitant la bienvenue. Il m'explique que je vais commencer par le hammam, pour y préparer ma peau au gommage, qui se fera au savon noir et avec le gant de kessa. Il m'installe dans le hammam où je reste seul. La chaleur humide me plonge dans une douce torpeur. Un moment plus tard, Elaid vient me chercher pour le gommage. Dans une pièce contiguë, il y a une sorte de table haute, où il me fait allonger, nu. Il enduit mon corps de savon noir, avec me semble-t-il une sensualité bien virile Mais, à peine ai-je commencé à apprécier ce moment, qu'il commence l'exfoliation avec la crêpe rugueuse du gant. L'homme est dynamique. J'ai l'impression qu'aucun centimètre de ma peau n'échappe à son traitement. Il saisit mes bras, mes jambes, me fait retourner à plat ventre et frotte vigoureusement.
Seul mon sexe échappe au gant.
Il m'indique ensuite de retourner au hamman. Il se charge de me rincer et me sécher. Être nu dans les mains de cet homme me provoque un trouble familier, une certaine excitation..
Cela lui semble naturel, il me sourit, me complimente à propos de mon physique de sportif. Il a certainement remarqué que mon sexe, testicules et raie fessière sont épilés, mon pubis et torse rasé de près. Je me demande ce qu'il en a pensé. Est-ce courant au Maroc ?
Il m'emmène dans une autre pièce à l'ambiance feutrée, éclairée par quelques bougies. Au milieu, une table de massage recouverte d'une épaisse serviette. Il me fait allonger sur le ventre et me laisse totalement nu, les fesses exposées. Il entreprend alors un massage tonique des pieds à la tête. Ses mains virevoltent sur mon corps, douces et fermes. J'adore chacun de ses mouvements. Je m'abandonne à la sensualité du moment. Quand il pétrit mes cuisses, mes fesses, je ne peux retenir des gémissements de plaisir.
Il me semble alors que ses mouvements dérapent furtivement là où la décence l'interdit. Ses doigts effleurent l'anus, l'intérieur des cuisses, jusqu'au périnée qui gonfle d'excitation.
Soudain, il arrête ses gestes et je sens couler quelques gouttes d'huile entre mes fesses. Sa main glisse sur le périnée bombé, et ma rosette. Ce massage prend une tournure inattendue, et j'en frémis de plaisir. Il masse délicatement mon périnée, effleure ma rosette qui palpite d'excitation à ce contact. Son pouce se positionne sur ma rosette et exerce une pression. Consentant, je n'oppose aucune résistance et bien lubrifié son doigt ouvre l'anneau plissé. Cette sensation me fait gémir. Puis il me dit de me retourner et m'allonger sur le dos.
Mon sexe bande ostensiblement. De la main gauche, il s'en saisit. De la main droite, il replit ma jambe gauche et l'ouvre vers l'extérieur. J'ai ainsi les cuisses bien écartées, l'entrejambe totalement accessible. Sa main caresse le périnée et s'immisce à la recherche de mon fourreau, entre les fesses. Je sens un doigt me pénétrer pendant que l'autre main coulisse sur ma hampe. Doigté et masturbé simultanément, c'est délicieux. Les yeux fermés je m'abandonne aux sensations qu'il me procure. Je ne m'attendais pas à un tel traitement. Je sens mon plaisir venir, mais subitement il cesse et m'invite à aller me rincer. Un peu déçu, mais fataliste, je m'execute et vais me doucher. Il me regarde faire en me souriant et me tend une petite serviette à ceindre autour des hanches, tel un pagne. Il me fait signe de le suivre et m'emmène dans une autre pièce. Mon hôte est là avec 3 autres personnes. Ils sont affalés sur d'amples coussins disposés sur d'épais tapis. La lumière est tamisée, l'ambiance feutrée. Ils conversent tranquillement en sirotant du thé à la menthe. A notre entrée, ils suspendent leur conversation et m'observent. Ils s'adressent à Elaid en arabe qui leur répond dans la même langue. L'échange est animé et les réparties d'Elaid les font rire franchement. J'aimerais bien savoir ce qu'ils se disent. Mon hôte m'invite à m'assoir parmi eux et me propose du thé. L'un des hommes m'indique près de lui un énorme coussin dans lequel je me love. Mi assis mi allongé, c'est très confortable. Une tasse de thé m'est servie par mon hôte qui s'assoit à mon côté. Il me demande si j'ai aimé les services d'Elaid. Je réponds sobrement que c'était une découverte et une expérience agréable et je l'en remercie. C'est un plaisir de te recevoir me répond-il avec un large sourire. J'observe les hommes qui m'entourent et je me rends compte que je suis presque nu au milieu d'eux, tous vêtus de gandoura confortable et légère, sans manches ni capuche. Cela ne semble pas les indisposer le moins du monde et je n'éprouve aucune gêne parmi ces hommes mâtures, âgés d'une soixantaine d'années environ. Ils se retrouvent ici, pour partager des moments amicaux entre hommes, et discuter de tout et de rien, ou tout simplement se relaxer. Pour le moment, ils me font l'honneur de s'intéresser à ma personne, d'où je viens et à mon séjour dans leur pays. L'homme qui m'a fait asseoir à son côté, prénommé Habib, me flatte. C'est bien de t'avoir avec nous, me dit-il. Tu es sympathique et agréable à regarder. Il est beau n'est ce pas lance-t-il à ses compagnons ? Les autres acquiescent en riant. Se penchant vers moi, il pose sa main sur ma cuisse et me dit : on n'a pas souvent l'occasion d'accueillir un bel homme ici. Ma franchise ne te dérange pas, j'espère ? Euh non non, je réponds un peu décontenancé. Ne réagissant pas à la pression de sa main, il ne la retire pas et commence à me caresser tout en continuant à parler. Ici, on est un groupe d'amis. On se connait depuis longtemps.
On se respecte. Ce qui se dit et se passe ici reste ici. Les autres sourient en hochant la tête. Mon hôte s'est rapproché de moi lui aussi et commence à me caresser de son côté. Un troisième se lève et vient s'asseoir à mes pieds, qu'il saisit et masse doucement.
Je commence à être sérieusement émoustillé par la tournure des événements. J'ai compris qu'Elaid leur a révélé ma sensualité. Les yeux mi-clos, je m'abandonne à la douce invasion des mains, sur mes pieds, sur mon torse, mes tétons pointent au contact des doigts. Une main s'insinue sous le pagne, que l'on défait. Je ne résiste pas. Je m'offre à ces hommes, puisque tel est leur désir. Et moi j'apprécie les hommes adeptes de la beauté et sensualité masculine. Et la mienne débordante, a terriblement besoin d'être assouvie.
Je sens la douceur d'une bouche qui se referme sur mon gland, des lèvres qui se posent sur mes tétons titillés par deux langues pointues. Des sensations de plaisir m'envahissent de toutes parts, ma sensualité est exacerbée, je gémis tel un animal en rut et je crie, me cambre, lorsqu'un premier orgasme surgit de mes tétons torturés. Surpris, mes doux bourreaux s'exclament en arabe. Elaid qui est revenu parmi nous, sans doute après avoir rangé les lieux où nous étions, s'adresse à moi : tu aimes ça chéri, je leur ai dit. Mets toi sur le ventre maintenant. Je me retourne et m'installe sur le ventre. Mes fesses tournées vers eux déclenchent d'autres commentaires et initiatives. Deux mains écartent mes fesses pour observer la rosette. Visiblement, mon cul bien épilé, épanoui, leur plaît. Puis une langue pointue s'y pose et vient la titiller, l'agace, l'exciter.
J'adore l'anulingus. Lorsqu'il est fait avec gourmandise et doigté de langue si je puis dire, il m'amène à l'extase et à l'orgasme. Je savoure ce moment délicieux quand on saisit ma main. C'est le plus entreprenant de mes voisins, Habib, celui qui a lancé les ébats. Il a relevé sa gandoura, extirpé son phallus. L'homme bande bien et veut me le faire savoir à travers son geste. Je suis surpris de sa grosseur dans ma main. Je relève la tête pour le voir. Il en profite pour l'approcher de ma bouche et avec autorité me force à le sucer. Il est si épais que je ne prends que le gland. Je n'aime pas être forcé, mais passé un réflexe de répulsion, je me surprends à le lécher avec envie. La vision, la sensation d'un gros sexe me surexcite. Je deviens alors femelle, salope, je le veux en moi.
Les autres hommes se sont rapprochés et participent à leur façon. Je sens des mains partout sur mon corps, sur ma queue tendue, mes couilles, mes seins, mes fesses. Et je gémis, et je crie quand un orgasme me submerge. Je raffole de pluralité avec des hommes vicieux qui savent et aiment donner du plaisir à un beau mec. Je me lâche totalement, sans retenue, beau et obscène à la fois. Mélangeant l'arabe et le français, ils m'incitent à être femelle, pute. Ils me disent que j'ai un beau cul, que je suis une salope avec une belle bite. On va te bouffer le cul, te baiser.
Après quelques instants, je vois Elaid s'approcher la queue tendue. Il a enfilé un préservatif, il me badigeonne l'anus d'un liquide lubrifiant. Son sexe, de taille moyenne, est bien moins épais que celui d'Habib que je suce entre deux orgasmes.
Ils ont décidé qu'Elaid serait le premier à me sodomiser. Ouf, tant mieux, j'appréhendais le gros sexe de mon caresseur.
Elaid me saisit les hanches, positionne son gland sur ma rosette et m'ouvre délicatement. Cet homme doux sait s'y prendre. Quand le gland a dilaté l'anneau, il marque un temps d'arrêt, attentif à mes réactions. Je gémis de plaisir et douleur, comme à chaque pénétration. En quelques secondes, mon fourreau s'adapte au phallus qui le pénètre. Je me cambre encore plus, projetant ma croupe vers mon amant. Il comprend qu'il peut initier ses mouvements.
Nos compagnons, devenus voyeurs, se sont rapprochés. Ça ne me déplaît pas, car j'aime être maté. Le regard lubrique ou curieux des voyeurs me surexcite. Je laisse libre cours à ma bisexualité, ma part de féminité, je deviens femelle le temps d'un coīt, en offrant mon cul comme une femme sa chatte.
Fascinés par la vision de ma croupe ouverte, pénétrée par le vit d'Elaid, nos spectateurs commentent la scène à leur façon, mélangeant toujours le français et l'arabe. Entre des exclamations en arabe, j'entend des mots comme "quel beau cul" "baise le" "fais le jouir". Les yeux fermés, je m'abandonne à la sensation du pénis qui glisse dans mon fourreau de chair. J'aime la sensation d'être pénétré, d'avoir l'anus dilaté par le sexe bien dur d'un mâle qui me désire.
Le va et vient du vit chauffe mes chairs, je sens que je vais jouir avec mon petit cul érogène.
En quelques mouvements, Elaid me déclenche un orgasme de l'anus, qui les étonne. Très excité par des hommes adroits et talentueux, je peux jouir plusieurs fois, avec mes tétons, ma queue, mes couilles et bien sûr ma chatte de mec sensuel.
Avec l'orgasme, mon anus palpite, l'anneau serre le pénis d'Elaid. Je l'entends alors gémir et jouir dans un soubresaut, entre mes fesses, dans mon fourreau.
Oh chéri, me dit-il, il est doux et chaud ton cul.
Il se retire de moi. Je me retourne et m'allonge sur le dos, pour me remettre de mes émotions et faire face à mes hôtes. A peine ai-je le temps de souffler un peu, Habib s'approche de moi. Il a enlevé sa gandoura. Nu, sous son ventre proéminent, son pénis est gonflé, épais et court comme je les aime. Autoritaire, il m'attrape les jambes sous les genoux, me tire vers lui en me relevant les fesses à hauteur de son sexe pointé vers moi.
Nos compagnons, attentifs à mon confort, mettent un coussin sous mes reins.
Comprenant qu'il a décidé de me prendre ainsi, dans la position du missionnaire, je réclame du lubrifiant pour mieux recevoir ce gros phallus. Elaid enduit généreusement mon anus encore dilaté. Je m'assure qu'Habib a enfilé un préservatif et je me soumets à sa virilité.
Son gland presse sur ma rosette assouplie par Elaid. Légère et fugace douleur quand l'épais phallus me dilate plus encore, suivie de l'étrange et jouissive sensation d'être empalé par un membre hors normes.
Au fil des rencontres, j'ai appris à m'ouvrir aux sexes gros, à en jouir, alors qu'au début je ne supportais que ceux de dimension moyenne.
Habib s'approprie mon intimité peu à peu. Son rythme est lent, ce qui me convient parfaitement. Je peux ainsi savourer la pénétration inhabituelle et imposante. Face à lui qui me domine, je croise son regard de mâle lubrique, vicieux. Je me sens alors soumis, salope qui offre son cul. Nos complices ne restent pas inactifs. Ma queue, mes couilles sont caressées, mes tétons pincés, ma bouche embrassée. Totalement offert, je succombe aux sensations de plaisir qui me submergent. Gémissements, puis cris de jouissance, les orgasmes se succèdent plus ou moins fulgurants.
Je raffole de ce genre de situation, à la merci d'hommes mâtures, qui aiment faire jouir un beau passif. Et là, je suis comblé. Ces messieurs savent s'y prendre. Habib me ramone pendant quelques minutes, l'anus en feu, je jouis plusieurs fois.
Je demande une petite pause pour récupérer de mes émotions et j'ai envie de changer de position.
Je me mets à plat ventre, les cuisses écartées, le cul cambré. Habib a compris mes intentions. J'aime être pris dans cette position, sentir le poids du corps de mon amant sur moi, son sexe dans mon chaud fourreau de chair. L'angle de la pénétration est différent et me procure d'autres sensations, encore plus jouissives. Habib se couche sur moi, ses mains se saisissent des miennes, nos doigts entrecroisés. Ma cambrure positionne naturellement ma rosette dilatée à hauteur de son braquemart. Il me pénètre facilement. De nouveau, je gémis quand son calibre remplit ma petite chatte de mec. Je veux t'entendre crier me dit Habib, qui accélère la cadence de ses coups de reins. Sa force, sa virilité me font délirer. J'ai littéralement le feu au cul. Un nouvel orgasme me submerge. Sublime sensation de plaisir avec l'épais phallus qui surchauffe mes chairs et dilate mon fourreau.
Soudain, Habib se contracte, émet un râle de plaisir. Il s'est longuement retenu. Son orgasme n'en est que plus fort. Il se vide dans le latex. Oh, comme j'aimerais pouvoir m'en passer, sentir le foutre chaud et abondant gicler en moi, puis s'écouler sur mes fesses.
Nous restons un instant unis, comme tétanisés. Puis, il se retire lentement, et s'affale sur le coussin. Nos compagnons, excités par notre coīt, se sont caressés et ont joui quand je criais.
Repu et comblé, un sourire béat aux lèvres, je remercie mon baiseur et ses complices pour l'immense plaisir qu'ils m'ont offert. Eux, avec force compliments à propos de ma sensualité, me disent qu'ils ont été ravis de m'accueillir. Habib me déclare qu'il aimerait me garder à Marrakech comme amant secret et me propose de nous revoir avant mon départ. Je lui réponds avec plaisir si mon petit cul se remet assez vite de cette séance.
Ainsi se termina cet expérience inoubliable en bonne compagnie.
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