Hannen
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2024 dans la catégorie Plus on est
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Hannen
Bonjour,
Une petite précision à faire... J’ai toujours gardé pour moi, mes expériences que nous avons vécu, ma femme et moi, tout au fond de ma bulle (mon carnet intime), ou du moins je ne les ai pas exposé au grand jour, mais avec les années qui passent et surtout avec ou grâce à l’autorisation de la principale actrice de nos jeux, qui n'est autre que ma femme, je mets noir sur blanc quelques unes de nos histoires de sexe.
Au début je voulais vous exposer nos aventures par ordre chronologique, car ou parce que j'avais déjà noté nos aventures sur mon/mes journal(aux) intime et avec cette envie de vous exposer mes-nos aventures vécues, j'ai commencé à les romancer. J'en commence à rédiger une de nos histoires vécues et avant de finir je commence à romancer une autre histoire, que je redécouvre en feuilletant négligement mes carnets, et qui me paraît alors interessante à vous faire lire mais qui a eu lieu plus tard dans le temps. Une fois que je fini d'écrire pour une raison ou une autre que je ne publie pas, voulant respecter la chronologie des aventures, et donc je perds les pédales et l'histoire que j'avais commencé à écrire je n'arrive plus à la finir ou bien je la bâcle... Et je tarde alors à publier!
Bref,
Jusqu'à maintenant j'ai respecter la chronologie de nos histoires vécues et là, j'ai résolu que je vais à partir d'ici ne plus trop suivre la chronologie de mes aventures mais qu'à partir du 01.01.2025 je vais écrire mon journal intime (coquin) sur ce site... Vous serez alors aux premières loges, si je puis dire !
Voilà une première précision !
La deuxième toute aussi importante est :
Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
Protégez vous car c'est trop stupide de courir un risque rien que pour satisfaire un plaisir !
Maintenant voici l'histoire :
Vendredi 17 juin 2005
Mes beaux-parents habitent une villa dans un lotissement à St.Rémy les chevreuses sur un terrain de 2.000m2.
Pour rappel, St.Rémy les chevreuses est une ville sud de Paris.
Cette année, ils ont décidé de partir en vacances en Espagne en ce début d’été pour profiter des plages moins bondées, et des prix plus avantageux.
Peu après notre mariage, ma belle-famille nous avaient aidé financièrement pour construire une maison attenante à la leur, puisqu'on avait la chance de faire durer un de nos modes de vie arabe : la vie tribale. Mais la vraie raison était que cela avait beaucoup d'avantages, autre que celui de la proximité familliale qui offre la possibilitè de la garde des enfants pour les parents ayant une activié professionnelle, était surtout financière non negligable. (En calculant, il nous était plus interessant de faire un remboursement bancaire pour qu'après 25 ans nous soyons propriétaire de nos murs, plutôt que de payer la même somme en loyer)
Bref,
Après les travaux qui avaient duré 18 mois au total, nous avons pu nous installer. Et à chaque été, on nous faisions en sorte que nous puissions appliquer, en toute discrétion, le plan B5 : Bronzette, Baignade, Bouffe, Bière & Baise.
Mardi 21 juin 2005
Nous avons pris aussi 15 jours de repos, comme chaque jour, on débutait notre journée par petit coup coquin, rapide mais bon. Comme il était aussi dans notre habitude, nous étions en mode "flâner à poil" au soleil en cette belle fin de matinée lorsque la sonnette retentit.
N’attendant personne en particulier, Caline s’entourait vite fait du drap de bain avant ďouvrir.
Elle était nez à nez avec une femme, la quarantaine BCBG qui était un peu confuse en voyant sa tenue très décontractée de la proprio des lieux :
— Excusez-moi de vous déranger, je représente les assurances BIIIP* et je voudrais vous proposer nos services... Mais... Je crois... Que je ferai mieux de repasserai demain…
Coquine comme elle l'était (elle l'est et le sera pour toujours) mon épouse fit en sorte de ne pas relever l'embarras de la dame, faisant même descendre un peu la serviette pour que ses tétons soient un peu plus visible sans être trop exposés (un geste coquin que seules les coquines peuvent admirablement faire sans surciller), ce qui rajoutait à la confusion de cette dame. Connnaissant un peu ma femme, celle-ci avait alors pris la décision de s’amuser un peu de cet embarras :
- Mais non, mon mari et moi avons pris quelques jours de repos et on est juste occupé à se faire dorer au soleil... Entrez donc !
Un peu hésitante, la dame, la suit finalement jusqu’à la terrasse, où j'étais assis sur un fauteuil derrière la table entrain de consulter mes mails tout en surveillant nos mômes.
Me désignant, Caline dit :
- Je vous laisse voir avec mon mari, c’est lui qui traite ces choses-là. Et moi, si ça ne vous dérange pas, je continue ma séance de bronzage !
- Non... Euh... Oui... Excusez moi de vous déranger... Je vais faire vite et je vous laisse à vos plaisirs !
Forte de cette réponse, somme toute, assez polie, ma femme déroule la serviette sur le transat, lui dévoilant son corps doré. Caline, toujours coquine, chausse ses lunettes de soleil, et s’allonge confortablement, jambes écartées.
Je suis presque mort de rire en voyant que notre invitée est médusée en découvrant que la mère de mes enfants est non pas topless mais qu'elle ne porte pas le bas de son maillot 2 pièces, et cerise sur le gâteau, que son minou est lisse.
Je la sors de sa stupeur en lui désignant un fauteuil à ma gauche :
— Bon... Expliquez-moi pourquoi je devrais changer d’assurance ?
Elle contourne la table et se fige en s’apercevant enfin que je suis tout aussi bien vétu que mon épouse.
Pour débloquer cette petite crise "existancielle" je me la joue cool :
— J'espère que vous n’avez pas de problème avec le fait que nous soyons naturisme ?
— No... Noonon ! Bredouille-t-elle avant de s’assoir et de déballer ses documents et commencer son bla-bla.
Tant bien que mal, elle essaye de se concentrer sur son travail, mais quand elle se efforce de ne pas jeter des regards vers ma bite, dont le volume au repos est déjà intéressant, souligné par une épilation quasi totale, je vois bien que cela lui était pénible.
Je pousse un peu le jeu en me caressant négligemment la cuisse.
Ma femme qui, derrière ses lunettes, s'amusait intérieurement, suit l'évolution de cette rencontre.
Je n'ai pas bien compris sur le moment, si c'est pour relâcher la tension ou l'accentuer, ma miss nous propose des boissons fraîches que notre invitée ne peut refuser.
En posant le plateau, ma femme (intentionnellement) fait en sorte de frotter sa hanche contre l'épaule de la dame des assurences, puis prend place sur le siège à ma droite en faisant mine de s’intéresser aux bla-blas qui ont pris place à cette table.
Je vous l'avez bien dis, Caline est une coquine. Et quand elle a une idée derrière la tête, il vous est difficile de l'en dissuader de l'appliquer.
Ma belle, glissa sa main gauche sur ma queue. J'ai, perso, un peu de mal à ne pas sursauter à cette carresse. Tout est si inattendu, précipité et chaleureux. Je ne peux résister à donner vie à mon zob qui s'étire comme un enfant qu'on réveille.
Sophie (le nom de cette dame) essaye de faire comme si elle n’avait pas vu le développement physique de mon serpent, que ma femme sans aucune retenue s'est mise à branler tranquillement.
Prise de panique, Sophie ne sait plus quoi dire. Je lui souris de manière angélique, comme si tout est normal :
— Je vous écoutes chère Sophie... Donc si j'opte pour ce service cela reviendait à dire que les frais seront partagés ?
Comme elle reste tétanisée, ma charmante femelle rajoute :
— Moi aussi... J'aimes bien partager !
Et pour en ajouter une couche, je dis :
— Chérie, au point où tu en es, si tu me suçais pendant que je parle affaires avec cette charmante Sophie, que tu ne cesse d'embarrasser ?
Caline s’agenouille sans tarder et commence à me pomper le gland.
Enfin Sophie sort de ses gants. Elle se lève, ramasse sa mallette, et nous quitte en nous traitant de gros pervers et rapidement, un claquement de porte se fait entendre.
Mort de rire et vu que ces faits nous ont bien excité, je ne peux me retenir de prendre ma complice en levrette.
Jeudi 23 juin 2005
Après avoir mis les enfants au lit et s'être assurés que nous pouvons pratiquer sans risque le point le plus important à nos yeux de notre plan B5, on a pris place au salon devant la télévision qui diffuse une série de clips Soul.
Alors qu'on est une fois de plus en train de nous faire un gros câlin sur le canapé en début de cette soirée, le téléphone sonne.
Mon épouse qui a les mains libres étant donnée que je me trouve à genoux entre ses cuisses, pour lui offrir, l'un de mes cunni dont j'ai le secret, décroche le combiné à la troisième sonnerie.
Tout en continuant mon léchage, je l’entends dire :
— Bonsoir !
— ...
— Ah, salut, ça va?
— ...
— Oui, pas de problème. Ta mère est au courant ?
— ...
— Je parie que c’est aussi pour profiter de la piscine, non?
— ....
— No problemo... Tu peux le faire avec grand plaisir !
Raccrochant, elle me dit :
— C’était ma cousine Hannen ! Elle voulait savoir si elle pouvait venir passer le week-end avec nous... J’ai dit que c’était OK.
— Ok ! Donc pas de B5 en vue ?
— Oui juste un B4... Je ne t'offrirai ma chatte que dans notre nid !
— On pourra se balader à poil ?
— C'est vrai qu'elle a 25 ans mais on peut se couvrir un peu... Non ?
— A ce sujet, je dois t’en raconter une bien bonne... Tu te souviens, il y a 3 ans, quand elle venait squatter lorsque cela n'allait pas fort entre ses parents ?
— Oui, et alors ?
— Un jour, on avait prévu ďaller faire du cheval tôt le matin, donc j’avais évité d’éclairer pour te laisser dormir puisque tu venais pas avec nous. Et comme je bandais à moitié j'ai pas mis mon caleçon, je suis donc resté à poil et chui allé la réveiller. Comme elle sortait des vapes, j’ai vu qu’elle n'était pas certaine si ses yeux lui jouaient un tour, bref, je crois qu'elle... Était très surprise de voir mon oubli...
— Ohhhoo !
— Non c'est vrai... Ça m'était sortie de la tête !
— Bon... Je vais "essayer"de te croir... Et alors ?
— Après être passée par les toilettes, elle m’a rejoint dans la cuisine, pour prendre son petit-déj et c'est là qu’elle a réalisé que j’étais, vraiment, entièrement nu, prenant mon petit-déj comme si de rien n'était. Encore heureux qu'entre temps j’avais réussi, à débander. Elle n’avait fait aucune remarque et elle a osé rester tranquillement face à moi le temps de prendre le sien avant d’aller s’habiller, en évitant tout de même de regarder mon popole !
— Ahh mon salaud !
Sur ces paroles, nous avons décider de rester, en sa présence, en string, puisqu’elle nous avait déjà vu à la mer portant ce genre de maillot de bain. Et puis on verra bien... Après lui avoir, à nouveau, brouté le minou, je relève la tête et lui dis :
— Cela ne te dis pas qu'on s'exhibe un peu devant Hannen, j'la sens un peu... Coincée comme nana ?
Elle ne donne aucune réponse, bien que je sais que cette idée fera son chemin dans sa petite tête et que cela va l'exciter un chouwaia, tout comme moi d'ailleurs. Même si ma première exhib était "involontaire" cela m'excitera d'en faire une autre avec l'approbation et, la complicité, de celle qui partage mon lit.
Du coup, je change de position et je la prends en levrette. Après quelques bons coups de reins, elle m'a rapidement dévoiler la puissance de son orgasme.
Vendredi 24 juin 2005
Hannen arrive en début d’après-midi.
Le temps de se dire bonjour, je lui ai proposé de se mettre à l’aise.
Elle ne fait aucun commentaire sur nos tenues, pourtant il y aurait de quoi dire vu que sa cousine est allée lui ouvrir avec un string-confetti qui arrive à peine plus haut que le capuchon de son clito.
Moi, je ne suis pas mieux loti avec son cache-sexe.
Elle s'est précipitée dans sa chambre pour mettre son maillot, puis nous a rejoint dans la piscine.
- Quelle horreur ! Mais... Mais c'est quoi ça ? Que je dis.
- Honte à toi cousine... Un si beau corps dans un si.... Maillot ?
- Hannen... Je crois qu'il va falloir faire quelque chose pour changer ça... Et très vite !
Ne relevant pas nos commentaires, Hannen plonge dans la piscine et se met à faire des brasses tout en jouant avec nos mômes.
Pendant que nous nous séchions au soleil, elle nous raconte les derniers épisodes de sa vie familiale.
Il y avait une si bonne entente entre ses parents, que cela allait sûrement et inévitablement déboucher sur un divorce.
Heureusement pour elle (je ne sais pas si on peut parler de "bonheur" dans un tel cas), Hannen s'est vu accorder un stage d'animatrice dans une colonie de vacances dans le jura. Elle sera au moins pour un moment loin du vacarme famillial.
Elle nous demande alors, s'il lui est possible de loger chez nous jusqu'à la date du début de son contrat fixé au lundi 4 juillet.
Sans même échanger un regard un "oui !" sort de nos bouches.
— C’est d’accord... Mais à deux conditions... La première est que tu appelles ta mère pour la prévenir de cette décision et la deuxième est que... Tu me vires cette horreur qui gache ta beauté pour te couvrire d'un string... Et cette condition... Et NON négociable !
— Mais… J’en ai pas de "corde au cul" !
— Quoi "AU CUL" ?
— Oui, quand j'en ai essayé la première fois, j'avais la sensation d'avoir une corde au cul !
— Hihihihiiii... Tu n'as vraiment tort... Mais don't worry, Caline en a un tas en réserve.
— Mais…
— Il n'y a pas de mais... Ni de juin !
Aussitôt dit, aussitôt fait.
— Allo mama ?
— ...
— Oui... Je vais passé la semaine chez Caline ! Et d'ici je pars au Jura !
— ....
— Non...
— ...
— Je t'aime mam !
La première condition est vite remplie avec l’accord sans problème de sa mère. Caline l'emmène dans la chambre pour qu'elle s'acquitte de la deuxième condition.
Sous les directives de sa cousine, Hannen se met rapidement nue, dévoilant son minou barbu sommairement taillé.
Caline lui choisit un string bandeau assez sage aux cordons réglables.
Se regardant dans le miroire après l'avoir enfilé, Hannen proteste un peu :
— Tu vois... Cela ne me va pas... J’ai les poils qui dépassent de partout!
— Oh ça... C'est un coup de peigne qu'il lui faut... Enlèves-moi ça, je vais te faire quelque chose de plus... Sexy !
Caline va récupérer les instruments nécéssaire à la salle de bains. Et elle lui raccourcit copieusement les poils en épaisseur avec la tondeuse et lui fait le "maillot" directement au rasoir :
— Et voilà, tout est en ordre là ! Mais tu devras penser à t’épiler encore plus, ce serait mieux !
— Comment ça, plus ? Tu m’as presque rien laissé !
— Regardes moi ! Dit Caline en baissant son propre string. Un truc comme ça serait parfait ! Même au touché c'est plus... Doux, comme lavé avec du "mir-laine"... Hihihi !
— Fouts toi de moi cousine... Je n'te dirai rien !
— Entre nous Hannen... Quand les hommes, ou les femmes, viendront te broutter ton nid d'amour, ils et elles apprécieront d'avoir à faire à un terrain vierge plutôt qu'à une forêt vierge !
— Chui pas lesbienne moi !
— Oui je sais... Mais qu'il est désagréable pour un mec d'avoir la bouche pleine de poils quand il te fait un cunni... Lui dit Caline en lui remettant le string après avoir pris la peine de lui frôler ses lèvres intimes.
Après ces brefs attouchements, Hannen a les joues rouges, de honte ou d'excitation... Mais elle ne peut cacher ses petits tétons qui pointent, étant elle aussi, topless à présent. Caline, est aussi toute excitée d’avoir eu le courage et l'audace de tripoter ma cousine, même si cela avait duré un court moment à son goût, mais elle nourrissait ľenvie de recommencer.
Dès le retour des cousines à l’extérieur, je ne peux que la complimente pour son nouveau look :
— Bravo, Hannen... Et... Bravo Caline ! Ta cousine est bien plus belle maintenant ! Mais... Enlèves ce bras qui fait ombre à ta poitrine ! T'es pas fière de tes seins ? Ou bien tu les cache à ma vue ?
— Non... C'est que...
— Ouais... Tu sais quoi Hannen... Quand tu en as vue une, c'est comme si tu les as toutes vue !
— Tu parle des seins ?
— Oui... Et c'est la même chose pour les bites, les queues, les zboub, ou les verges !!
Ne savant plus où se mettre, où se cacher... Hannen plonge direct dans piscine pour diparaitre, peut-être même pour se calmer comme si elle se versait un grand verre d'eau glacé sur la tête.
Après bien plus de 10mn, Hannen sort de l'eau pour s'allonger sur une serviette et finit par s’abandonner aux rayons du soleil.
Focalisé que nous sommes, Caline et moi, sur jolies formes de notre invitée, nous avions quasiment détaillé chaque courbe, chaque grain, chaque poil. Et à notre plus grand bonheur, la voilà qu'elle se retourne sur le ventre, exposant ses fesses bien pommées.
Allongés que nous sommes à quelques pas de cette déesse, mes doigts se sont cachés sous le string de la douce partenaire de ma vie, jouant négligement avec son bouton des plaisirs.
Caline me sussure à l'oreille :
— Putain... Quel cuuuuuul !
— Hallo Caline ! C'est quoi ce langage ? Et je te rappelle, que c'est ta cousine !
— Attends... Tu me fais quoi là ? Dit-elle en me fixant droit dans les yeux. Qu'il appartienne à ma mère, à la sœur ou à ma cousine, un beau cul est un beau cul !
— Hihihiiii... Je t'ai bien eu !
— Ok ! Mais il me faut t'avouer qu'elle a mis mes sens, sans dessus-dessous lors de notre petit essayage de strings... Je lui ai même fais une coupe... Bon un peu sage... Mais... Toujours est-il que mes doigts avaient glissé...
— C'est pour ça que tu es trompée ma cochonne ?
— Oui et toi tu ne fais rien pour arranger la situation ! Regardes comme ça t'excite aussi... Diit-elle en prennant mon zob en main.
Heureusement que le bruit des machines de la piscine masque les clapotis que mes doigts font avec cette moule toute bâveuse.
Concentré que j'étais, je n'ai pas anticipé le mouvement de Hannen qui s'est remise sur le dos.
Surpris, je retire rapidement ma main de sous le string de ma chèrie.
Dépitée qu'elle est, Caline se précipite vers l'intérieur de notre maison, pour finir de se faire jouir sans que cela puisse éveiller l'attention des personnes présentes.
Mon Dieu que cela est frustrant pour moi de m'imaginer saisissant les fesses de Hannen, de voir mon épouse se faire jouir, et que je me doive de calmer mes envies.
Après s'être branler, Caline a disparue de ma vue une bonne dizaine de minutes et j'ai pu entrevoir le volet roulant de la chambre que nous avions attribué à Hannen se baisser. Je n'avais aucun doute de la présence de ma femme dans ce lieu. Qu'y fait-elle la coquine ?
En revenant elle dit :
— Ouf, Ça fait du bien ! C’était une grosse envie !
— Ah te revoilà ! Dis-je avant d'ajourer, Que faisais-tu dans la chambre de Hannen ?
— Rien... Un peu de rangement !
— Allez... Avoues !
— Bon... J'y ai déposé un magazine X que j'avais trouvé hier dans la chambre de mon frère... Je voulais le charier un peu, mais après reflexion... J'ai changé d'avis et... On verra bien ce que cela va donner ! Me répond t-elle à voix basse.
Hannen se lève à son tour pour aller pisser.
— Ouffffff... Viens et fini de me faire jouir avant qu'elle ne revienne ! Ai-je dis à ma belle que pose ses lèvres sur ma bite tendue que je cachais de mes mains.
Quand Hannen reveint, ma bite a eu le temps de dégonfler et j'ai réussi à lui faire réintégrer sa place initiale.
Pour le dîner Hannen pensant que nous allions nous habiller un peu plus, mais comme elle connait mal notre mode de vie, nous n'avions pas changé l'aspect "extérieur" de nos corps, d'autant plus que la chaleur est somme toute étouffante. Elle, qui a opté pour enfiler une légère robe, s'en dissocie en un tour de main, sans même demander notre avis.
Après un diner joyeux et un peu arrosé, nous nous sommes mis devant la télé pour suivre l'émission "Combien ça coute". Et puis vient l'heure d’aller se coucher.
Dès que la porte de la chambre de Hannen s'est fermée, Caline me tire de mon siège pour que je la suivre sur la terrasse, pour épier discrétement la cousine.
On a faillit se faire surprendre par cette dernière qui a ouvert bien grand les fenêtres, cherchant un peu de fraîcheur, mais sans résultat tangible.
Après avoir poussé un ouf de soulagement, nous avions eu le plaisir de voir cette jeune demoiselle, chercher une revue à lire et elle tombe rapidement sur le magazine X que ma femme n'avait pas spécialement bien caché, ou plutôt, dois-je dire, qu'elle l'avait bien exposé.
Surprise, elle le feuillète un peu pour ensuite le reposer, pour choisir autre chose.
— Hoho... Petite coquine... Ah alors là, toi... Quand tu as une chose derrière la tête ! Chuchotte ai-je.
Hannen tomba rapidement sur un deuxième magazine au même titre (que je vous laisse deviner).
— Elle vraiment zarbi cette famille... Ma cousine est naturiste... Et on trouve facilement des magazines X dans les chambres... Et... Quoi encore ? Et puis merde ! L'avons-nous entendu ruspeter.
Finalement, elle prend la revue et se met à tourner les pages pour "admirer" les photos.
On peut aussi voir qu'elle prend son temps pour lire les articles qui étaient publiés. Sans grande surprise, nous avons pu atteindre le but recherché (surtout par Caline) de voir la main gauche de Hannen s'insérer sous sans string.
En l'observant sans qu'elle puisse nous voir, on peut distinctement voir les doigts de Hannen qui carressent sa chatte d’abord doucement en visulalisant les portraits affichés. Voilà qu'elle baisse son string pour donner plus d’aisance à ses caresses, et enfin elle s’en débarrasse complètement et elle se met à branler cette moule sans retenue. Je ne peux me retenir et je commence à me branler tranquillement.
— Tu te branles sur elle, mon salaud ! Je parie que... Tu la baiserais bien là maintenant ?
— Evidemment... Et toi alors... Regardes toi... Toi tu te caresses en matant ta cousine !
Nous l'avons accompagné de nos yeux jusqu'à son orgasme, en entretenant notre excitation, puis nous sommes retournés à l’intérieur pour rejoindre notre chambre. Je n'ai pas eu la force d’attendre d'être dans notre chambre pour gratifier ma chèrie d'un coup de bite. La panchant sur la table, je la prends en levrette.
Le cliquetis des assiettes et des couverts secoués dans le meuble ne pouvait pas passer inaperçu, d’autant plus que Caline pousse de bruyants gémissements.
Il ne nous a pas fallut plus de 3 minutes pour exprimer nos orgasmes et filer nous coucher.
Arrivés à la chambre j'informe ma miss :
— Tu as remarqué que ta cousine nous matait ?
— Non... Quand ?
— Quand tu finissais de me sucer !
— Cela ne m'étonne pas... Tu étais si discret... Hihiiii !
— Tu crois qu'elle refuserait ?
— Quoi ?
— Une partie à trois ?
— Chui même pas certaine qu'elle ait déjà fait ça à 2 !
— Encore mieux... Non ?
— Chai pas... Je vais tater le terrain demain et on avisera !
— Chiche ?
— Tu me connais !
Samedi 25 juin 2005
Tout le monde s'est levé assez tard.
Moi, je suis déjà occupé à faire quelques travaux de bricolages, laissant un lit vide à Caline. À son réveil, Hannen se dirige vers la chambre de sa cousine, qui est entrain de s'étirer dans son lit vide et lui demande :
— Ça va cousine ? J'ai entendu du bruit hier soir, j'aurai cru que...
— Du bruit ?
— Oui... Je pensais qu'il y avait de l'eau dans le gaz entre ton homme et toi !
— Oh nooon... Bien au contraire... Il y avait une pine dans une chatte !
— Pardon !!!
— Non... Tout va bien cousine !
Hannen profitant de l'occasion pour s'entendre à côté d'elle. Elle se plaque contre le flanc de sa cousine et ronronne comme une chatte. Machinalement sans penser à mal, elle pose sa main sur le ventre un peu bombé de sa cousine faisant de petites rotations délicates avec son index. Petit à petit les mouvements prennaient de l'ampleur jusqu'à atteindre le mont de venus de Caline. Sans s'en rendre compte la main de Hannen frôle les lèvres imberbes de la cousine qui se laisse faire. Soudain Caline, bloque la main baladeuse sur son nid d'amour. Hannen reste un bon moment sans bouger la main puis, très doucement elle la fait glisser sur cette fente qui commence à être largement humide. Caline soupire, tourne sa tête vers sa cousine et lui murmure :
— Arrêtes ma chérie !
Pour toute réponse Hannen lui presse fortement la chatte. Les deux femmes se regardent, leurs yeux brillent. Caline lui dit faiblement :
— Hannen... Tu es un monstre !
Hannen lui donne un gros baiser à la commissure de ses lèvres et dans la foulée fait glisser ses doigts sur les grandes lèvres vaginales qui enflent de plus en plus.
J'étais passé récuperer mon ruban métre que j'avais oublié à la cuisine, lorsque mon ouille fût attiré par de petits bruits incongrus, qui ressemblent à s'y m'éprendre à de petits miaulements de châtons.
J'ai faiIlis manque d'air quand mes yeux se sont posés sur ces deux femmes. Je vois que les doigts de Hannen jouent habilement avec la chatte de ma femme. Ils s'insèrent doucement dans le sillon que forme les grandes lèvres, taquinent le bouton magique.
Une bosse énorme déforme mon short. Caline gémit de plus en plus fort, quand soudain elle se cabre en poussant un râle terrible. Ma femme n'est pas... Une femme fontaine... Mais il lui arrive de manifester une abandante production de jus lorsqu'elle prend un pied d'enfer, si je puis dire.
Son jus inonde la main de la cousine, qui cachait bien son jeu, tout compte fait. Elle accélère même le branlage du clito pour faire encore plus couler la moule de la cousine. Jouissance sur jouissance, Caline est secouée de frissons plus chauds les uns que les autres. Je m'approche en regardant avec intérêt les deux femmes qui se gouinaient sans trop de retenue et surtout sans aucune honte.
Caline, les yeux embrumés, a juste assez de force pour dire en béguant :
— Hamed... On avait tout faux... Hannen est encore plus... Salope qu'on le croyait !
Je m'agenouille près de ma femme et lui plaque ma main sur sa chatte ruisselante. Plusieurs fois, j'appuis sur ce bouton devenu si sensible. Sortant ma queue et la dirigeant vers sa vulve enflée, je la plante violemment au plus profondément possible de son puits d'amour. Caline pousse un long râle pendant cette insertion. Elle s'accroche en grognant à mes hanches s'agiteant comme une forcenée.
Hannen les yeux écarquillés, regarde sa coisine qui donne de violents coups de reins pour être totalement empalée sur mon manche gorgé de sang.
Ma bite entre et ressort à un rythme soutenu du ventre de ma miss qui ne cesse de geindre comme une bête blessée.
Sans trop attendre, je me cambre, envoyant dans ce nid vertueux une quantité impressionnante de sperme chaud.
Caline s'agite, avec des yeux presque exorbités, elle grogne comme un fauve en rut. Elle explose sa jouissance sous les yeux effarés de sa cousine qui n'en revient pas.
Retirant mon engin noueux, et toujours aussi raide, Hannen ne pu s'empêcher de saisir le manche gluant, le pressant comme pour en tester la texture. Elle reste sans voix, elle triture mes bourses à peine velues.
Regardant sa cousine qui est dans les vapes, lui demandant :
— Comment cela t'est-il possible de t'enfiler ce zob ?
— Hihihi... Avec un grand plaisir, je dois dire !
— Il ne te déchire pas la chatte ?
— Non... Pourquoi ? T'en as...
— Aucun de mes ex n'était aussi bien gaulé ! Répond Hannen en poussant un gros soupir.
— Tu ne peux pas savoir le bien que cela me fait d'être prise avec une bite comme ça et surtout... Surtout quand son proprio sait s'en servir !
— Je me dois de te croire ?
Se penchant sur Hannen et l'embrassant tendrement, lui caressant les seins, dont les bouts se dressent magiquement Caline lui murmure :
— Peut être qu'un jour tu auras cette chance !
— En attendant... Une douche nous fera du bien !
Bras dessus-bras dessous, les cousines se dirigent prestement sous la douche.
— Tu te rappel quand on prenait une douche tous ensemble ?
— Ouiii... Mais ça remonte à... 10 -15 ans !
— T'as 25 ans ? Ouais cela fait près de 20 ans même !
Alors qu'elles se frottent le corps :
— Tu sais Hannen... C'est pas une question de mode, ou un truc du genre, mais... Comment dire... Je te conseil de faire que ta chatte soit plus... Présentable !
— Tu parles "d'épilation" ?
— Euhh... Oui... Elle te plaît pas la mienne ?
— Beaucoup même... Mais...
— En plus c'est d'une douceur... Sans parler de l'hygiène... Touches !
Sans lui laisser le temps de réfléchir, ma femme lui prend la main et la portant à sa fleur à bites. Un peu réticente au début, mais sans émettre trop de résistance, elle s'est laissée faire.
Ses doigts glissent sur cette peau bien lisse, en restant tout de même un peu loin du trou que beaucoups d'hommes convoitent.
— Oui, c’est vrai... Même que tout à l'heure... Disons... Que c'était la pemière fois que mes doigts touchent le sexe d'une femme, autre que le miens... Et il est vrai, que j'ai... Apprécié cette douceur... Mais... J'étais embarquée dans une "excitation" qui m'avait fait perdre tous mes repères... Excuses !!
— Des excuses pourquoi ? Pour m'avoir fais jouir ? Ou des excuses pour m'avoir touché le sexe ?
— Disons... Pour tout !
— Attends... Tu ne te rappelle plus combien de fois on a jouer à... "touche pipi" avec ta sœur, mon frère et le reste de nos cousins ?
— Ahhh... Oui, j'avais complétement zappé cette période !
— Et quand on jouait au "toubib"?
— Hihihi... Ouiiiii... C'était le bon temps !
— Tu as oublié comment j'avais piqué les fesses de mon frère avec le clou... Et maman qui nous avait fait toute une histoire...
— Oui, je crois d'ailleurs, que depuis on n'y jamais plus joué ?
— Toi peut être... Mais moi je suis toujours restée active dans le domaine du "touche-pipi" et avec le temps c'est devenu du "touche-zizi" !
— Je ne comprends pas ce qu'il m'arrive là... Je ne me reconnais plus... L'ambiance chez moi, votre mode de vie très "dénudé", mon "exhibition", vous voir hier soir..
— Qu'as-tu vu ?
— Votre... Co... puuu...lation !
— Coquine !
— Puis les strings et comment tu as coiffé mon minou, et ce qu'on vient de vivre... En y pensant... Tu es ma cousine et... Ça me gêne !
— Et moi alors ? Je ne dois pas être gênée d'avoir été baisé par mon mec... Non, on est grave !! Des petits trucs nous gênent et les trucs qui devraient nous gêner sont "normaux" ! Justifie Caline en serrant bien tendrerment sa cousine.
— Et alors ? Que fait-on maintenant ?
— Vivre et... Plus de cachotteries, on est de grandes filles, maintenant !
La relançant sur le premier sujet, Caline dit :
— Tiens, à propos d’épilation, hier je t’ai fait ça à la va-vite, si on fignolait la chose, là ?
— Tu crois?
— Tu as encore quelques poils que j'ai raté avec le rasoir...
— Bon, si tu le dis… Et puis merde ! Tu me fais comme tu te l'es fais !
Après plus ou moins 10mn, le résultat est si mignon que Caline n'a pas pu résister au plaisir de caresser tendrement ses lèvres intimes et sans exagérer en passant la crème prévue contre le feu sue déclenche le rasoir.
En découvrant le résultat Hannen admis que c’est joli et très sexy.
— Allez... Il est temps d'aller bronzer... Intégralement... Il va sans dire ! Dit gaiment Caline qui entraîne sa cousine par la main pour son premier bain de soleil sans tissu.
À mon retour après avoir fini mon bricolage, je retrouve les cousines sur leurs serviettes, Hannen est sur le sos. D'un regard exprimant mon approbation pour l'état des choses, je me permis de dire :
— Voilà une belle créature ! Comment que vous vous appellez ?
— Hamed tu es sérieux ? C'est Hannen... Ma cousine ! Me répond Caline avec un grand sourire.
— Oh Hannen... Excuse, j't'ai pas reconnu... Joli maillot que tu as là... Ça se vend chez BIIIP *?
— Non... Je l'ai trouvé au marché aux puces ! Dit Hannen d'un temps sérieux.
Je me mets donc à poil moi aussi, et je taquine cette dernière :
— Cette fois, tu as le plaisir de le voir plus... Ou... mieux... Bref,
— Euh, oui... Je dirais plutôt moins... Actif ! Mais cela n'enléve rien à son charme !
L’après-midi se passe joyeusement. Au début, Hannen avait tendance à masquer machinalement son pubis quand elle est face à nous, puis elle se laisse aller petit à petit et ne cachant bientôt plus rien. Encore heureux pour moi, j'avais réussi à ne pas (trop) bander.
Le soir, après avoir fait manger les enfants et comme Caline et moi sommes rester à poil, Hannen ne voit même pas la peine d'enfiler un short, une jupe ni même un string.
Les enfants au lits, nous nous sommes installés tous les trois dans le canapé pour un apéro-dînatoire en parlant de tout, de rien, du temps...
Et comme tous les samedis soir après minuit, on a droit à un film un peu érotique.
Ayant pris place entre les cousines, en passant un bras par-dessus l'épaule de ma miss je m'amuse à lui taquiner délicatement un téton sous le nez de la cousine. Forcément, je me mets à bander, mais Hannen ne le remarque pas, accaparée par le film.
Jugeant qu'il est grand temps de passer aux choses sérieuses, ma charmante épouse empoigne d'un air des plus naturel du monde ma queue et d'un mouvement bien rythmé de sa main attire enfin l’attention de Hannen.
En ayant été bien servie durant notre apéritif, nous sommes, surtout Hannen, dans un état avancé d’ébriété, elle plaisante joyeusement le film qu'on visionne tout en lorgnant sans détour sur l'action de la main de ma femme et l'effet que cela provoque à mon membre reproducteur mâle en disant :
— Hé bée voyons, ne te gêne surtout pas ! Surtout que je n'ai rien à me mettre sous la dent MOI !
Caline, en parfaite coquine, ne s’arrête pas pour autant de me branler. Après un petit silence, ma coquine dit :
— Moi me gêner ? Non, c'est pas le style de la maison... Tu t'en ais déjà rendu compte ce matin non ?
— Oui j'avoue ! Mais je ne pensais pas qu'il me fallais attendre aussi longtemps pour vivre un truc ça-com !
— On ne voulait pas te choquer... Te gêner ! Ai-je répondu.
— Dois-je comprendre que j'ai ta permission pour poursuivre ? Lui demande Caline d'une voix innoncente.
— Oui... Tu es chez toi ! Répond Hannen.
— Au fait, ce matin... Tu ne pensais pas à ce que tu m'as dis... Que tu croyais que quelque chose n'allait pas entre Hamed et moi ?
— Tu m'as grillé cousine ! J'ai eu la surprise et la joie de vous voir faire crac-crac dans la salle à manger !
— Et tu en as rêvé ?
— Ouais, je me suis même donné du plaisir ! Répond Hannen.
— En te branlant ? C'est pas top non ?
— Tu me demande de comparer le jeu d'une queue avec un jeu de doigts ? Je vais te la faire simple... Euhhh... Tu ne vois pas les mêmes étoiles ! Clarifie t-elle avec un petit sourire.
— Eh ben... Comme le veut la tradition arabe, il nous faut tout partager avec nos invités ! Et... Tu es notre invitée, cette fois tu peux prendre ma place ! Propose Caline.
— Wahhh, tu es sérieuse là ?
— Un peu plus que sérieuse... Mais tu ne seras pas cap ! Lancé Caline comme défi à sa cousine.
Relevant le défi, et sans hésitation, Hannen a pris dans sa main ma grosse tige. En ajoutant d'une voix coquine :
— Tu croyais que j’allais me dégonfler ?
Elle me branle sans hésitation, comme si elle avait toujours fait ça avec nous et tout en s’activant, elle nargue ma princesse, les yeux dans les yeux.
Elle écarte, de son propre chef, les cuisses quand j'avance une main pour lui titiller le clito.
Se sentant délaissée (à tort), Caline se penche et entreprend de me lècher le gland pendant que la cousine continu à me branler.
Lui faisant un signe discret, que je n'ai pas vu venir, les deux cousines se rejoignent pour me prodiguer une fellation mémorable !
Puis ma pricesse se recule pour laisser sa cousine me sucer seule, elle se délecte en lui caressant les tétons, puis fait glisser sa main entre les cuisses de Hannen, chassant la mienne avec vigueur.
Pour toute récompense, Hannen écarte encore plus les cuisses pour faciliter à Caline ses investigations tactilles.
— Ah, mes salauds.. Vous m’avez bien eu !
— C'est ça... Comme si tu ne l'avais pas... Prémidité ! Allez... Prends ton pied ma jolie !
Ma chérie me branlant et sa cousine me pompant, je sens que je ne vais pas tarder à expulser ma jouissance dans cette bouche si gourmande.
M'extirpant à grande peine, je leurs dis :
— Laissez mon zboub reprendre un peu d'air... Sinon... Tenez... Amusez vous entre vous comme ce matin le temps que ma tige dégonfle un peu !
— Hummm... Avec plaisir !
Me tenant en retrait, j'ai eu le plaisir d'admirer mon épouse venir bouffer la chatte de sa cousine.
D'un mouvement des plus félin, Caline vient se positionner en un 69, offrant sa moule bien bâveuse pour que cette cousine, qu'on croyait si pudique, puisse glisser sa langue tout le long des lèvres intimes de l'excitante dame qui partage le long fleuve de ma vie.
Hannen ne peut s'empêcher de "manger" sans retenue la chatte de Caline et j'en profitais alors pour prendre, ma miss, en levrette.
En deux temps, trois mouvements, ma chérie ne peut s'empêcher de crier sa jouissance et s'affaler sur le coté. Ne perdant pas son objectif de vue, Hannen vint s'embrocher sur ma queue sans attendre.
Rarement je n'avais jouis aussi rapidement, je crois même que j'ai battu tous les records, et le plus marrant dans toute cette histoire c'est qu'à aucun moment j'ai eu un regret, une honte ou un complexe... Je ne suis pas un de ces acteurs de film X !
Bien épuisés, nous allons enfin dormir, tous dans... Le même lit.
Dimanche 26 juin 2005
Ce matin, plus besoin de faire semblant.
Un joyeux trio s'est (enfin) formé... Du moins, il n'y a plus aucune "honte" ou dois-je plutôt dire, peur à voir Caline se réveiller alors que sa cousine offre une caresse buccale à mon "lance-sperme".
Admirable qu'elle est, ma femme s'empresse de nettoyer ma tige qui avait vidé ses stocks de foutre.
Rien de plus plaisant que de commencer la journée avec une bonne fellation.
Plus tard dans la journée, ma femme va même, jusqu'à donner à Hannen des notions pratiques des joies que des dames peuvent connaître grâce aux godes et avec des vibro-masseurs.
Malgré tous mes efforts pour prendre part à ces travaux pratiques, je n'ai eu que le droit de les mater... Encore heureux qu'elles m'aient autorisé à me branler.
Elles m'ont bien fait comprendre que si j'arrive à me retenir d'éjaculer, alors qu'elles ne se privent pas de jouir lors de leurs unions saphiques, elles me gratiferaient à la fin de la journée en me laissant arroser leurs visages.
Vendredi 1er juillet 2005
Notre trio est bien rodé maintenant.
À force de se prendre un doigt dans le cul, Hannen accepte enfin d’y prendre un gode, puis ma bite, surtout qu’elle voyait combien Caline adore se faire prendre de cette façon.
En bon éducateur "sexuel", pour une première pénétration anale, il me faut y aller en douceur, avec beaucoup de lubrifiant. Et sans me vanter, malgré mon calibre, tout se passe assez bien pour cette première introduction non-conventionnelle, car bien que j'en avait l'eau à la bouche, il est inévitable pour moi d'assouplir ce puits défendu par le passage du sextoy que ma femme, qui en bonne experte, le manipule comme il faut. En d'autres termes, Hannen ne se souviendra, en fin de compte, que du nombre de fois, qu'elle a jouit du cul.
Le soir même, cette âme coquine qui somnolait au fond de Hannen, a pris les commandes et ne fût satisfaite qu'une fois, que le corps charnel de la cousine à ma femme, ait connu, ressenti et sursauté au plaisir que peut procurer une double pénétration, moi dans son vagin, ma femme lui godant le cul.
Un orgasme rarement vu, la secoua à lui faire perdre la tête, intonnant des cris de plaisir que nos voisins (qui habitent à plus de 500m) n'ont pu ignorer.
Samredi 02 juillet 2005
Pour la dernière soirée de Hannen en notre compagnie, vu qu'il est prévu qu'elle prenne le train dimanche pour être à son poste de stage lundi à 8h, nous avons décider de nous amuser un peu en commandant des pizzas.
Lorsque le livreur sonne à la porte, Caline se précipite pour ouvrir enveloppée dans une cape de bain.
De mon coin, je vois distinctement le trouble de ce jeune livreur, alors qu'en bonne comédienne, ma femme farfouillant dans son porte monnaie ne pu retenir le linge qui était sensé cacher sa nudité des yeux extérieurs aux murs de notre logis.
Sans se sentir léset par cette perte "inattendue", Caline lui disait :
- Allez bon... Gardes la monnaie !
Le livreur, bouche bée, avec ses yeux qui vont sortir de leurs orbites, ne pouvait espérer un meilleur pourboire que de voir ce corps nu.
C'est alors, pour moi, le bon moment pour apparaître, nu comme un ver en criant :
- Hannen... À table !
Sortant de la salle de bain, avec seulement une serviette enroulée sur sa tête et se dirige en dandinant du cul vers le canapé sur le quel elle s'affale jambes ouvertes en disant, en nous lançant un regard des plus chauds qu'a en stock :
— Ouf... Après notre petite folie, cette douche m’a fait du bien ! Avant de rajouter, Hé Hamed... Sers nous quelque chose de frais avec ces pizzas !
Me retournant vers le livreur, je lui dis :
— C'est vrai... Il fait tellement chaud... Ça te dis un truc de frais ?
— No... Non... Je... Je... Marmonne t-il en nous tournant le dos avant de déguerpir à toute vitesse.
Dommage, on aurait pu s’amuser un peu plus avec lui…
Jeudi 7 juillet 2005
Mes beaux-parents sont de retour.
Le fleuve de notre vie reprend son cours normal : maison-dodo-boulot !!
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Une petite précision à faire... J’ai toujours gardé pour moi, mes expériences que nous avons vécu, ma femme et moi, tout au fond de ma bulle (mon carnet intime), ou du moins je ne les ai pas exposé au grand jour, mais avec les années qui passent et surtout avec ou grâce à l’autorisation de la principale actrice de nos jeux, qui n'est autre que ma femme, je mets noir sur blanc quelques unes de nos histoires de sexe.
Au début je voulais vous exposer nos aventures par ordre chronologique, car ou parce que j'avais déjà noté nos aventures sur mon/mes journal(aux) intime et avec cette envie de vous exposer mes-nos aventures vécues, j'ai commencé à les romancer. J'en commence à rédiger une de nos histoires vécues et avant de finir je commence à romancer une autre histoire, que je redécouvre en feuilletant négligement mes carnets, et qui me paraît alors interessante à vous faire lire mais qui a eu lieu plus tard dans le temps. Une fois que je fini d'écrire pour une raison ou une autre que je ne publie pas, voulant respecter la chronologie des aventures, et donc je perds les pédales et l'histoire que j'avais commencé à écrire je n'arrive plus à la finir ou bien je la bâcle... Et je tarde alors à publier!
Bref,
Jusqu'à maintenant j'ai respecter la chronologie de nos histoires vécues et là, j'ai résolu que je vais à partir d'ici ne plus trop suivre la chronologie de mes aventures mais qu'à partir du 01.01.2025 je vais écrire mon journal intime (coquin) sur ce site... Vous serez alors aux premières loges, si je puis dire !
Voilà une première précision !
La deuxième toute aussi importante est :
Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
Protégez vous car c'est trop stupide de courir un risque rien que pour satisfaire un plaisir !
Maintenant voici l'histoire :
Vendredi 17 juin 2005
Mes beaux-parents habitent une villa dans un lotissement à St.Rémy les chevreuses sur un terrain de 2.000m2.
Pour rappel, St.Rémy les chevreuses est une ville sud de Paris.
Cette année, ils ont décidé de partir en vacances en Espagne en ce début d’été pour profiter des plages moins bondées, et des prix plus avantageux.
Peu après notre mariage, ma belle-famille nous avaient aidé financièrement pour construire une maison attenante à la leur, puisqu'on avait la chance de faire durer un de nos modes de vie arabe : la vie tribale. Mais la vraie raison était que cela avait beaucoup d'avantages, autre que celui de la proximité familliale qui offre la possibilitè de la garde des enfants pour les parents ayant une activié professionnelle, était surtout financière non negligable. (En calculant, il nous était plus interessant de faire un remboursement bancaire pour qu'après 25 ans nous soyons propriétaire de nos murs, plutôt que de payer la même somme en loyer)
Bref,
Après les travaux qui avaient duré 18 mois au total, nous avons pu nous installer. Et à chaque été, on nous faisions en sorte que nous puissions appliquer, en toute discrétion, le plan B5 : Bronzette, Baignade, Bouffe, Bière & Baise.
Mardi 21 juin 2005
Nous avons pris aussi 15 jours de repos, comme chaque jour, on débutait notre journée par petit coup coquin, rapide mais bon. Comme il était aussi dans notre habitude, nous étions en mode "flâner à poil" au soleil en cette belle fin de matinée lorsque la sonnette retentit.
N’attendant personne en particulier, Caline s’entourait vite fait du drap de bain avant ďouvrir.
Elle était nez à nez avec une femme, la quarantaine BCBG qui était un peu confuse en voyant sa tenue très décontractée de la proprio des lieux :
— Excusez-moi de vous déranger, je représente les assurances BIIIP* et je voudrais vous proposer nos services... Mais... Je crois... Que je ferai mieux de repasserai demain…
Coquine comme elle l'était (elle l'est et le sera pour toujours) mon épouse fit en sorte de ne pas relever l'embarras de la dame, faisant même descendre un peu la serviette pour que ses tétons soient un peu plus visible sans être trop exposés (un geste coquin que seules les coquines peuvent admirablement faire sans surciller), ce qui rajoutait à la confusion de cette dame. Connnaissant un peu ma femme, celle-ci avait alors pris la décision de s’amuser un peu de cet embarras :
- Mais non, mon mari et moi avons pris quelques jours de repos et on est juste occupé à se faire dorer au soleil... Entrez donc !
Un peu hésitante, la dame, la suit finalement jusqu’à la terrasse, où j'étais assis sur un fauteuil derrière la table entrain de consulter mes mails tout en surveillant nos mômes.
Me désignant, Caline dit :
- Je vous laisse voir avec mon mari, c’est lui qui traite ces choses-là. Et moi, si ça ne vous dérange pas, je continue ma séance de bronzage !
- Non... Euh... Oui... Excusez moi de vous déranger... Je vais faire vite et je vous laisse à vos plaisirs !
Forte de cette réponse, somme toute, assez polie, ma femme déroule la serviette sur le transat, lui dévoilant son corps doré. Caline, toujours coquine, chausse ses lunettes de soleil, et s’allonge confortablement, jambes écartées.
Je suis presque mort de rire en voyant que notre invitée est médusée en découvrant que la mère de mes enfants est non pas topless mais qu'elle ne porte pas le bas de son maillot 2 pièces, et cerise sur le gâteau, que son minou est lisse.
Je la sors de sa stupeur en lui désignant un fauteuil à ma gauche :
— Bon... Expliquez-moi pourquoi je devrais changer d’assurance ?
Elle contourne la table et se fige en s’apercevant enfin que je suis tout aussi bien vétu que mon épouse.
Pour débloquer cette petite crise "existancielle" je me la joue cool :
— J'espère que vous n’avez pas de problème avec le fait que nous soyons naturisme ?
— No... Noonon ! Bredouille-t-elle avant de s’assoir et de déballer ses documents et commencer son bla-bla.
Tant bien que mal, elle essaye de se concentrer sur son travail, mais quand elle se efforce de ne pas jeter des regards vers ma bite, dont le volume au repos est déjà intéressant, souligné par une épilation quasi totale, je vois bien que cela lui était pénible.
Je pousse un peu le jeu en me caressant négligemment la cuisse.
Ma femme qui, derrière ses lunettes, s'amusait intérieurement, suit l'évolution de cette rencontre.
Je n'ai pas bien compris sur le moment, si c'est pour relâcher la tension ou l'accentuer, ma miss nous propose des boissons fraîches que notre invitée ne peut refuser.
En posant le plateau, ma femme (intentionnellement) fait en sorte de frotter sa hanche contre l'épaule de la dame des assurences, puis prend place sur le siège à ma droite en faisant mine de s’intéresser aux bla-blas qui ont pris place à cette table.
Je vous l'avez bien dis, Caline est une coquine. Et quand elle a une idée derrière la tête, il vous est difficile de l'en dissuader de l'appliquer.
Ma belle, glissa sa main gauche sur ma queue. J'ai, perso, un peu de mal à ne pas sursauter à cette carresse. Tout est si inattendu, précipité et chaleureux. Je ne peux résister à donner vie à mon zob qui s'étire comme un enfant qu'on réveille.
Sophie (le nom de cette dame) essaye de faire comme si elle n’avait pas vu le développement physique de mon serpent, que ma femme sans aucune retenue s'est mise à branler tranquillement.
Prise de panique, Sophie ne sait plus quoi dire. Je lui souris de manière angélique, comme si tout est normal :
— Je vous écoutes chère Sophie... Donc si j'opte pour ce service cela reviendait à dire que les frais seront partagés ?
Comme elle reste tétanisée, ma charmante femelle rajoute :
— Moi aussi... J'aimes bien partager !
Et pour en ajouter une couche, je dis :
— Chérie, au point où tu en es, si tu me suçais pendant que je parle affaires avec cette charmante Sophie, que tu ne cesse d'embarrasser ?
Caline s’agenouille sans tarder et commence à me pomper le gland.
Enfin Sophie sort de ses gants. Elle se lève, ramasse sa mallette, et nous quitte en nous traitant de gros pervers et rapidement, un claquement de porte se fait entendre.
Mort de rire et vu que ces faits nous ont bien excité, je ne peux me retenir de prendre ma complice en levrette.
Jeudi 23 juin 2005
Après avoir mis les enfants au lit et s'être assurés que nous pouvons pratiquer sans risque le point le plus important à nos yeux de notre plan B5, on a pris place au salon devant la télévision qui diffuse une série de clips Soul.
Alors qu'on est une fois de plus en train de nous faire un gros câlin sur le canapé en début de cette soirée, le téléphone sonne.
Mon épouse qui a les mains libres étant donnée que je me trouve à genoux entre ses cuisses, pour lui offrir, l'un de mes cunni dont j'ai le secret, décroche le combiné à la troisième sonnerie.
Tout en continuant mon léchage, je l’entends dire :
— Bonsoir !
— ...
— Ah, salut, ça va?
— ...
— Oui, pas de problème. Ta mère est au courant ?
— ...
— Je parie que c’est aussi pour profiter de la piscine, non?
— ....
— No problemo... Tu peux le faire avec grand plaisir !
Raccrochant, elle me dit :
— C’était ma cousine Hannen ! Elle voulait savoir si elle pouvait venir passer le week-end avec nous... J’ai dit que c’était OK.
— Ok ! Donc pas de B5 en vue ?
— Oui juste un B4... Je ne t'offrirai ma chatte que dans notre nid !
— On pourra se balader à poil ?
— C'est vrai qu'elle a 25 ans mais on peut se couvrir un peu... Non ?
— A ce sujet, je dois t’en raconter une bien bonne... Tu te souviens, il y a 3 ans, quand elle venait squatter lorsque cela n'allait pas fort entre ses parents ?
— Oui, et alors ?
— Un jour, on avait prévu ďaller faire du cheval tôt le matin, donc j’avais évité d’éclairer pour te laisser dormir puisque tu venais pas avec nous. Et comme je bandais à moitié j'ai pas mis mon caleçon, je suis donc resté à poil et chui allé la réveiller. Comme elle sortait des vapes, j’ai vu qu’elle n'était pas certaine si ses yeux lui jouaient un tour, bref, je crois qu'elle... Était très surprise de voir mon oubli...
— Ohhhoo !
— Non c'est vrai... Ça m'était sortie de la tête !
— Bon... Je vais "essayer"de te croir... Et alors ?
— Après être passée par les toilettes, elle m’a rejoint dans la cuisine, pour prendre son petit-déj et c'est là qu’elle a réalisé que j’étais, vraiment, entièrement nu, prenant mon petit-déj comme si de rien n'était. Encore heureux qu'entre temps j’avais réussi, à débander. Elle n’avait fait aucune remarque et elle a osé rester tranquillement face à moi le temps de prendre le sien avant d’aller s’habiller, en évitant tout de même de regarder mon popole !
— Ahh mon salaud !
Sur ces paroles, nous avons décider de rester, en sa présence, en string, puisqu’elle nous avait déjà vu à la mer portant ce genre de maillot de bain. Et puis on verra bien... Après lui avoir, à nouveau, brouté le minou, je relève la tête et lui dis :
— Cela ne te dis pas qu'on s'exhibe un peu devant Hannen, j'la sens un peu... Coincée comme nana ?
Elle ne donne aucune réponse, bien que je sais que cette idée fera son chemin dans sa petite tête et que cela va l'exciter un chouwaia, tout comme moi d'ailleurs. Même si ma première exhib était "involontaire" cela m'excitera d'en faire une autre avec l'approbation et, la complicité, de celle qui partage mon lit.
Du coup, je change de position et je la prends en levrette. Après quelques bons coups de reins, elle m'a rapidement dévoiler la puissance de son orgasme.
Vendredi 24 juin 2005
Hannen arrive en début d’après-midi.
Le temps de se dire bonjour, je lui ai proposé de se mettre à l’aise.
Elle ne fait aucun commentaire sur nos tenues, pourtant il y aurait de quoi dire vu que sa cousine est allée lui ouvrir avec un string-confetti qui arrive à peine plus haut que le capuchon de son clito.
Moi, je ne suis pas mieux loti avec son cache-sexe.
Elle s'est précipitée dans sa chambre pour mettre son maillot, puis nous a rejoint dans la piscine.
- Quelle horreur ! Mais... Mais c'est quoi ça ? Que je dis.
- Honte à toi cousine... Un si beau corps dans un si.... Maillot ?
- Hannen... Je crois qu'il va falloir faire quelque chose pour changer ça... Et très vite !
Ne relevant pas nos commentaires, Hannen plonge dans la piscine et se met à faire des brasses tout en jouant avec nos mômes.
Pendant que nous nous séchions au soleil, elle nous raconte les derniers épisodes de sa vie familiale.
Il y avait une si bonne entente entre ses parents, que cela allait sûrement et inévitablement déboucher sur un divorce.
Heureusement pour elle (je ne sais pas si on peut parler de "bonheur" dans un tel cas), Hannen s'est vu accorder un stage d'animatrice dans une colonie de vacances dans le jura. Elle sera au moins pour un moment loin du vacarme famillial.
Elle nous demande alors, s'il lui est possible de loger chez nous jusqu'à la date du début de son contrat fixé au lundi 4 juillet.
Sans même échanger un regard un "oui !" sort de nos bouches.
— C’est d’accord... Mais à deux conditions... La première est que tu appelles ta mère pour la prévenir de cette décision et la deuxième est que... Tu me vires cette horreur qui gache ta beauté pour te couvrire d'un string... Et cette condition... Et NON négociable !
— Mais… J’en ai pas de "corde au cul" !
— Quoi "AU CUL" ?
— Oui, quand j'en ai essayé la première fois, j'avais la sensation d'avoir une corde au cul !
— Hihihihiiii... Tu n'as vraiment tort... Mais don't worry, Caline en a un tas en réserve.
— Mais…
— Il n'y a pas de mais... Ni de juin !
Aussitôt dit, aussitôt fait.
— Allo mama ?
— ...
— Oui... Je vais passé la semaine chez Caline ! Et d'ici je pars au Jura !
— ....
— Non...
— ...
— Je t'aime mam !
La première condition est vite remplie avec l’accord sans problème de sa mère. Caline l'emmène dans la chambre pour qu'elle s'acquitte de la deuxième condition.
Sous les directives de sa cousine, Hannen se met rapidement nue, dévoilant son minou barbu sommairement taillé.
Caline lui choisit un string bandeau assez sage aux cordons réglables.
Se regardant dans le miroire après l'avoir enfilé, Hannen proteste un peu :
— Tu vois... Cela ne me va pas... J’ai les poils qui dépassent de partout!
— Oh ça... C'est un coup de peigne qu'il lui faut... Enlèves-moi ça, je vais te faire quelque chose de plus... Sexy !
Caline va récupérer les instruments nécéssaire à la salle de bains. Et elle lui raccourcit copieusement les poils en épaisseur avec la tondeuse et lui fait le "maillot" directement au rasoir :
— Et voilà, tout est en ordre là ! Mais tu devras penser à t’épiler encore plus, ce serait mieux !
— Comment ça, plus ? Tu m’as presque rien laissé !
— Regardes moi ! Dit Caline en baissant son propre string. Un truc comme ça serait parfait ! Même au touché c'est plus... Doux, comme lavé avec du "mir-laine"... Hihihi !
— Fouts toi de moi cousine... Je n'te dirai rien !
— Entre nous Hannen... Quand les hommes, ou les femmes, viendront te broutter ton nid d'amour, ils et elles apprécieront d'avoir à faire à un terrain vierge plutôt qu'à une forêt vierge !
— Chui pas lesbienne moi !
— Oui je sais... Mais qu'il est désagréable pour un mec d'avoir la bouche pleine de poils quand il te fait un cunni... Lui dit Caline en lui remettant le string après avoir pris la peine de lui frôler ses lèvres intimes.
Après ces brefs attouchements, Hannen a les joues rouges, de honte ou d'excitation... Mais elle ne peut cacher ses petits tétons qui pointent, étant elle aussi, topless à présent. Caline, est aussi toute excitée d’avoir eu le courage et l'audace de tripoter ma cousine, même si cela avait duré un court moment à son goût, mais elle nourrissait ľenvie de recommencer.
Dès le retour des cousines à l’extérieur, je ne peux que la complimente pour son nouveau look :
— Bravo, Hannen... Et... Bravo Caline ! Ta cousine est bien plus belle maintenant ! Mais... Enlèves ce bras qui fait ombre à ta poitrine ! T'es pas fière de tes seins ? Ou bien tu les cache à ma vue ?
— Non... C'est que...
— Ouais... Tu sais quoi Hannen... Quand tu en as vue une, c'est comme si tu les as toutes vue !
— Tu parle des seins ?
— Oui... Et c'est la même chose pour les bites, les queues, les zboub, ou les verges !!
Ne savant plus où se mettre, où se cacher... Hannen plonge direct dans piscine pour diparaitre, peut-être même pour se calmer comme si elle se versait un grand verre d'eau glacé sur la tête.
Après bien plus de 10mn, Hannen sort de l'eau pour s'allonger sur une serviette et finit par s’abandonner aux rayons du soleil.
Focalisé que nous sommes, Caline et moi, sur jolies formes de notre invitée, nous avions quasiment détaillé chaque courbe, chaque grain, chaque poil. Et à notre plus grand bonheur, la voilà qu'elle se retourne sur le ventre, exposant ses fesses bien pommées.
Allongés que nous sommes à quelques pas de cette déesse, mes doigts se sont cachés sous le string de la douce partenaire de ma vie, jouant négligement avec son bouton des plaisirs.
Caline me sussure à l'oreille :
— Putain... Quel cuuuuuul !
— Hallo Caline ! C'est quoi ce langage ? Et je te rappelle, que c'est ta cousine !
— Attends... Tu me fais quoi là ? Dit-elle en me fixant droit dans les yeux. Qu'il appartienne à ma mère, à la sœur ou à ma cousine, un beau cul est un beau cul !
— Hihihiiii... Je t'ai bien eu !
— Ok ! Mais il me faut t'avouer qu'elle a mis mes sens, sans dessus-dessous lors de notre petit essayage de strings... Je lui ai même fais une coupe... Bon un peu sage... Mais... Toujours est-il que mes doigts avaient glissé...
— C'est pour ça que tu es trompée ma cochonne ?
— Oui et toi tu ne fais rien pour arranger la situation ! Regardes comme ça t'excite aussi... Diit-elle en prennant mon zob en main.
Heureusement que le bruit des machines de la piscine masque les clapotis que mes doigts font avec cette moule toute bâveuse.
Concentré que j'étais, je n'ai pas anticipé le mouvement de Hannen qui s'est remise sur le dos.
Surpris, je retire rapidement ma main de sous le string de ma chèrie.
Dépitée qu'elle est, Caline se précipite vers l'intérieur de notre maison, pour finir de se faire jouir sans que cela puisse éveiller l'attention des personnes présentes.
Mon Dieu que cela est frustrant pour moi de m'imaginer saisissant les fesses de Hannen, de voir mon épouse se faire jouir, et que je me doive de calmer mes envies.
Après s'être branler, Caline a disparue de ma vue une bonne dizaine de minutes et j'ai pu entrevoir le volet roulant de la chambre que nous avions attribué à Hannen se baisser. Je n'avais aucun doute de la présence de ma femme dans ce lieu. Qu'y fait-elle la coquine ?
En revenant elle dit :
— Ouf, Ça fait du bien ! C’était une grosse envie !
— Ah te revoilà ! Dis-je avant d'ajourer, Que faisais-tu dans la chambre de Hannen ?
— Rien... Un peu de rangement !
— Allez... Avoues !
— Bon... J'y ai déposé un magazine X que j'avais trouvé hier dans la chambre de mon frère... Je voulais le charier un peu, mais après reflexion... J'ai changé d'avis et... On verra bien ce que cela va donner ! Me répond t-elle à voix basse.
Hannen se lève à son tour pour aller pisser.
— Ouffffff... Viens et fini de me faire jouir avant qu'elle ne revienne ! Ai-je dis à ma belle que pose ses lèvres sur ma bite tendue que je cachais de mes mains.
Quand Hannen reveint, ma bite a eu le temps de dégonfler et j'ai réussi à lui faire réintégrer sa place initiale.
Pour le dîner Hannen pensant que nous allions nous habiller un peu plus, mais comme elle connait mal notre mode de vie, nous n'avions pas changé l'aspect "extérieur" de nos corps, d'autant plus que la chaleur est somme toute étouffante. Elle, qui a opté pour enfiler une légère robe, s'en dissocie en un tour de main, sans même demander notre avis.
Après un diner joyeux et un peu arrosé, nous nous sommes mis devant la télé pour suivre l'émission "Combien ça coute". Et puis vient l'heure d’aller se coucher.
Dès que la porte de la chambre de Hannen s'est fermée, Caline me tire de mon siège pour que je la suivre sur la terrasse, pour épier discrétement la cousine.
On a faillit se faire surprendre par cette dernière qui a ouvert bien grand les fenêtres, cherchant un peu de fraîcheur, mais sans résultat tangible.
Après avoir poussé un ouf de soulagement, nous avions eu le plaisir de voir cette jeune demoiselle, chercher une revue à lire et elle tombe rapidement sur le magazine X que ma femme n'avait pas spécialement bien caché, ou plutôt, dois-je dire, qu'elle l'avait bien exposé.
Surprise, elle le feuillète un peu pour ensuite le reposer, pour choisir autre chose.
— Hoho... Petite coquine... Ah alors là, toi... Quand tu as une chose derrière la tête ! Chuchotte ai-je.
Hannen tomba rapidement sur un deuxième magazine au même titre (que je vous laisse deviner).
— Elle vraiment zarbi cette famille... Ma cousine est naturiste... Et on trouve facilement des magazines X dans les chambres... Et... Quoi encore ? Et puis merde ! L'avons-nous entendu ruspeter.
Finalement, elle prend la revue et se met à tourner les pages pour "admirer" les photos.
On peut aussi voir qu'elle prend son temps pour lire les articles qui étaient publiés. Sans grande surprise, nous avons pu atteindre le but recherché (surtout par Caline) de voir la main gauche de Hannen s'insérer sous sans string.
En l'observant sans qu'elle puisse nous voir, on peut distinctement voir les doigts de Hannen qui carressent sa chatte d’abord doucement en visulalisant les portraits affichés. Voilà qu'elle baisse son string pour donner plus d’aisance à ses caresses, et enfin elle s’en débarrasse complètement et elle se met à branler cette moule sans retenue. Je ne peux me retenir et je commence à me branler tranquillement.
— Tu te branles sur elle, mon salaud ! Je parie que... Tu la baiserais bien là maintenant ?
— Evidemment... Et toi alors... Regardes toi... Toi tu te caresses en matant ta cousine !
Nous l'avons accompagné de nos yeux jusqu'à son orgasme, en entretenant notre excitation, puis nous sommes retournés à l’intérieur pour rejoindre notre chambre. Je n'ai pas eu la force d’attendre d'être dans notre chambre pour gratifier ma chèrie d'un coup de bite. La panchant sur la table, je la prends en levrette.
Le cliquetis des assiettes et des couverts secoués dans le meuble ne pouvait pas passer inaperçu, d’autant plus que Caline pousse de bruyants gémissements.
Il ne nous a pas fallut plus de 3 minutes pour exprimer nos orgasmes et filer nous coucher.
Arrivés à la chambre j'informe ma miss :
— Tu as remarqué que ta cousine nous matait ?
— Non... Quand ?
— Quand tu finissais de me sucer !
— Cela ne m'étonne pas... Tu étais si discret... Hihiiii !
— Tu crois qu'elle refuserait ?
— Quoi ?
— Une partie à trois ?
— Chui même pas certaine qu'elle ait déjà fait ça à 2 !
— Encore mieux... Non ?
— Chai pas... Je vais tater le terrain demain et on avisera !
— Chiche ?
— Tu me connais !
Samedi 25 juin 2005
Tout le monde s'est levé assez tard.
Moi, je suis déjà occupé à faire quelques travaux de bricolages, laissant un lit vide à Caline. À son réveil, Hannen se dirige vers la chambre de sa cousine, qui est entrain de s'étirer dans son lit vide et lui demande :
— Ça va cousine ? J'ai entendu du bruit hier soir, j'aurai cru que...
— Du bruit ?
— Oui... Je pensais qu'il y avait de l'eau dans le gaz entre ton homme et toi !
— Oh nooon... Bien au contraire... Il y avait une pine dans une chatte !
— Pardon !!!
— Non... Tout va bien cousine !
Hannen profitant de l'occasion pour s'entendre à côté d'elle. Elle se plaque contre le flanc de sa cousine et ronronne comme une chatte. Machinalement sans penser à mal, elle pose sa main sur le ventre un peu bombé de sa cousine faisant de petites rotations délicates avec son index. Petit à petit les mouvements prennaient de l'ampleur jusqu'à atteindre le mont de venus de Caline. Sans s'en rendre compte la main de Hannen frôle les lèvres imberbes de la cousine qui se laisse faire. Soudain Caline, bloque la main baladeuse sur son nid d'amour. Hannen reste un bon moment sans bouger la main puis, très doucement elle la fait glisser sur cette fente qui commence à être largement humide. Caline soupire, tourne sa tête vers sa cousine et lui murmure :
— Arrêtes ma chérie !
Pour toute réponse Hannen lui presse fortement la chatte. Les deux femmes se regardent, leurs yeux brillent. Caline lui dit faiblement :
— Hannen... Tu es un monstre !
Hannen lui donne un gros baiser à la commissure de ses lèvres et dans la foulée fait glisser ses doigts sur les grandes lèvres vaginales qui enflent de plus en plus.
J'étais passé récuperer mon ruban métre que j'avais oublié à la cuisine, lorsque mon ouille fût attiré par de petits bruits incongrus, qui ressemblent à s'y m'éprendre à de petits miaulements de châtons.
J'ai faiIlis manque d'air quand mes yeux se sont posés sur ces deux femmes. Je vois que les doigts de Hannen jouent habilement avec la chatte de ma femme. Ils s'insèrent doucement dans le sillon que forme les grandes lèvres, taquinent le bouton magique.
Une bosse énorme déforme mon short. Caline gémit de plus en plus fort, quand soudain elle se cabre en poussant un râle terrible. Ma femme n'est pas... Une femme fontaine... Mais il lui arrive de manifester une abandante production de jus lorsqu'elle prend un pied d'enfer, si je puis dire.
Son jus inonde la main de la cousine, qui cachait bien son jeu, tout compte fait. Elle accélère même le branlage du clito pour faire encore plus couler la moule de la cousine. Jouissance sur jouissance, Caline est secouée de frissons plus chauds les uns que les autres. Je m'approche en regardant avec intérêt les deux femmes qui se gouinaient sans trop de retenue et surtout sans aucune honte.
Caline, les yeux embrumés, a juste assez de force pour dire en béguant :
— Hamed... On avait tout faux... Hannen est encore plus... Salope qu'on le croyait !
Je m'agenouille près de ma femme et lui plaque ma main sur sa chatte ruisselante. Plusieurs fois, j'appuis sur ce bouton devenu si sensible. Sortant ma queue et la dirigeant vers sa vulve enflée, je la plante violemment au plus profondément possible de son puits d'amour. Caline pousse un long râle pendant cette insertion. Elle s'accroche en grognant à mes hanches s'agiteant comme une forcenée.
Hannen les yeux écarquillés, regarde sa coisine qui donne de violents coups de reins pour être totalement empalée sur mon manche gorgé de sang.
Ma bite entre et ressort à un rythme soutenu du ventre de ma miss qui ne cesse de geindre comme une bête blessée.
Sans trop attendre, je me cambre, envoyant dans ce nid vertueux une quantité impressionnante de sperme chaud.
Caline s'agite, avec des yeux presque exorbités, elle grogne comme un fauve en rut. Elle explose sa jouissance sous les yeux effarés de sa cousine qui n'en revient pas.
Retirant mon engin noueux, et toujours aussi raide, Hannen ne pu s'empêcher de saisir le manche gluant, le pressant comme pour en tester la texture. Elle reste sans voix, elle triture mes bourses à peine velues.
Regardant sa cousine qui est dans les vapes, lui demandant :
— Comment cela t'est-il possible de t'enfiler ce zob ?
— Hihihi... Avec un grand plaisir, je dois dire !
— Il ne te déchire pas la chatte ?
— Non... Pourquoi ? T'en as...
— Aucun de mes ex n'était aussi bien gaulé ! Répond Hannen en poussant un gros soupir.
— Tu ne peux pas savoir le bien que cela me fait d'être prise avec une bite comme ça et surtout... Surtout quand son proprio sait s'en servir !
— Je me dois de te croire ?
Se penchant sur Hannen et l'embrassant tendrement, lui caressant les seins, dont les bouts se dressent magiquement Caline lui murmure :
— Peut être qu'un jour tu auras cette chance !
— En attendant... Une douche nous fera du bien !
Bras dessus-bras dessous, les cousines se dirigent prestement sous la douche.
— Tu te rappel quand on prenait une douche tous ensemble ?
— Ouiii... Mais ça remonte à... 10 -15 ans !
— T'as 25 ans ? Ouais cela fait près de 20 ans même !
Alors qu'elles se frottent le corps :
— Tu sais Hannen... C'est pas une question de mode, ou un truc du genre, mais... Comment dire... Je te conseil de faire que ta chatte soit plus... Présentable !
— Tu parles "d'épilation" ?
— Euhh... Oui... Elle te plaît pas la mienne ?
— Beaucoup même... Mais...
— En plus c'est d'une douceur... Sans parler de l'hygiène... Touches !
Sans lui laisser le temps de réfléchir, ma femme lui prend la main et la portant à sa fleur à bites. Un peu réticente au début, mais sans émettre trop de résistance, elle s'est laissée faire.
Ses doigts glissent sur cette peau bien lisse, en restant tout de même un peu loin du trou que beaucoups d'hommes convoitent.
— Oui, c’est vrai... Même que tout à l'heure... Disons... Que c'était la pemière fois que mes doigts touchent le sexe d'une femme, autre que le miens... Et il est vrai, que j'ai... Apprécié cette douceur... Mais... J'étais embarquée dans une "excitation" qui m'avait fait perdre tous mes repères... Excuses !!
— Des excuses pourquoi ? Pour m'avoir fais jouir ? Ou des excuses pour m'avoir touché le sexe ?
— Disons... Pour tout !
— Attends... Tu ne te rappelle plus combien de fois on a jouer à... "touche pipi" avec ta sœur, mon frère et le reste de nos cousins ?
— Ahhh... Oui, j'avais complétement zappé cette période !
— Et quand on jouait au "toubib"?
— Hihihi... Ouiiiii... C'était le bon temps !
— Tu as oublié comment j'avais piqué les fesses de mon frère avec le clou... Et maman qui nous avait fait toute une histoire...
— Oui, je crois d'ailleurs, que depuis on n'y jamais plus joué ?
— Toi peut être... Mais moi je suis toujours restée active dans le domaine du "touche-pipi" et avec le temps c'est devenu du "touche-zizi" !
— Je ne comprends pas ce qu'il m'arrive là... Je ne me reconnais plus... L'ambiance chez moi, votre mode de vie très "dénudé", mon "exhibition", vous voir hier soir..
— Qu'as-tu vu ?
— Votre... Co... puuu...lation !
— Coquine !
— Puis les strings et comment tu as coiffé mon minou, et ce qu'on vient de vivre... En y pensant... Tu es ma cousine et... Ça me gêne !
— Et moi alors ? Je ne dois pas être gênée d'avoir été baisé par mon mec... Non, on est grave !! Des petits trucs nous gênent et les trucs qui devraient nous gêner sont "normaux" ! Justifie Caline en serrant bien tendrerment sa cousine.
— Et alors ? Que fait-on maintenant ?
— Vivre et... Plus de cachotteries, on est de grandes filles, maintenant !
La relançant sur le premier sujet, Caline dit :
— Tiens, à propos d’épilation, hier je t’ai fait ça à la va-vite, si on fignolait la chose, là ?
— Tu crois?
— Tu as encore quelques poils que j'ai raté avec le rasoir...
— Bon, si tu le dis… Et puis merde ! Tu me fais comme tu te l'es fais !
Après plus ou moins 10mn, le résultat est si mignon que Caline n'a pas pu résister au plaisir de caresser tendrement ses lèvres intimes et sans exagérer en passant la crème prévue contre le feu sue déclenche le rasoir.
En découvrant le résultat Hannen admis que c’est joli et très sexy.
— Allez... Il est temps d'aller bronzer... Intégralement... Il va sans dire ! Dit gaiment Caline qui entraîne sa cousine par la main pour son premier bain de soleil sans tissu.
À mon retour après avoir fini mon bricolage, je retrouve les cousines sur leurs serviettes, Hannen est sur le sos. D'un regard exprimant mon approbation pour l'état des choses, je me permis de dire :
— Voilà une belle créature ! Comment que vous vous appellez ?
— Hamed tu es sérieux ? C'est Hannen... Ma cousine ! Me répond Caline avec un grand sourire.
— Oh Hannen... Excuse, j't'ai pas reconnu... Joli maillot que tu as là... Ça se vend chez BIIIP *?
— Non... Je l'ai trouvé au marché aux puces ! Dit Hannen d'un temps sérieux.
Je me mets donc à poil moi aussi, et je taquine cette dernière :
— Cette fois, tu as le plaisir de le voir plus... Ou... mieux... Bref,
— Euh, oui... Je dirais plutôt moins... Actif ! Mais cela n'enléve rien à son charme !
L’après-midi se passe joyeusement. Au début, Hannen avait tendance à masquer machinalement son pubis quand elle est face à nous, puis elle se laisse aller petit à petit et ne cachant bientôt plus rien. Encore heureux pour moi, j'avais réussi à ne pas (trop) bander.
Le soir, après avoir fait manger les enfants et comme Caline et moi sommes rester à poil, Hannen ne voit même pas la peine d'enfiler un short, une jupe ni même un string.
Les enfants au lits, nous nous sommes installés tous les trois dans le canapé pour un apéro-dînatoire en parlant de tout, de rien, du temps...
Et comme tous les samedis soir après minuit, on a droit à un film un peu érotique.
Ayant pris place entre les cousines, en passant un bras par-dessus l'épaule de ma miss je m'amuse à lui taquiner délicatement un téton sous le nez de la cousine. Forcément, je me mets à bander, mais Hannen ne le remarque pas, accaparée par le film.
Jugeant qu'il est grand temps de passer aux choses sérieuses, ma charmante épouse empoigne d'un air des plus naturel du monde ma queue et d'un mouvement bien rythmé de sa main attire enfin l’attention de Hannen.
En ayant été bien servie durant notre apéritif, nous sommes, surtout Hannen, dans un état avancé d’ébriété, elle plaisante joyeusement le film qu'on visionne tout en lorgnant sans détour sur l'action de la main de ma femme et l'effet que cela provoque à mon membre reproducteur mâle en disant :
— Hé bée voyons, ne te gêne surtout pas ! Surtout que je n'ai rien à me mettre sous la dent MOI !
Caline, en parfaite coquine, ne s’arrête pas pour autant de me branler. Après un petit silence, ma coquine dit :
— Moi me gêner ? Non, c'est pas le style de la maison... Tu t'en ais déjà rendu compte ce matin non ?
— Oui j'avoue ! Mais je ne pensais pas qu'il me fallais attendre aussi longtemps pour vivre un truc ça-com !
— On ne voulait pas te choquer... Te gêner ! Ai-je répondu.
— Dois-je comprendre que j'ai ta permission pour poursuivre ? Lui demande Caline d'une voix innoncente.
— Oui... Tu es chez toi ! Répond Hannen.
— Au fait, ce matin... Tu ne pensais pas à ce que tu m'as dis... Que tu croyais que quelque chose n'allait pas entre Hamed et moi ?
— Tu m'as grillé cousine ! J'ai eu la surprise et la joie de vous voir faire crac-crac dans la salle à manger !
— Et tu en as rêvé ?
— Ouais, je me suis même donné du plaisir ! Répond Hannen.
— En te branlant ? C'est pas top non ?
— Tu me demande de comparer le jeu d'une queue avec un jeu de doigts ? Je vais te la faire simple... Euhhh... Tu ne vois pas les mêmes étoiles ! Clarifie t-elle avec un petit sourire.
— Eh ben... Comme le veut la tradition arabe, il nous faut tout partager avec nos invités ! Et... Tu es notre invitée, cette fois tu peux prendre ma place ! Propose Caline.
— Wahhh, tu es sérieuse là ?
— Un peu plus que sérieuse... Mais tu ne seras pas cap ! Lancé Caline comme défi à sa cousine.
Relevant le défi, et sans hésitation, Hannen a pris dans sa main ma grosse tige. En ajoutant d'une voix coquine :
— Tu croyais que j’allais me dégonfler ?
Elle me branle sans hésitation, comme si elle avait toujours fait ça avec nous et tout en s’activant, elle nargue ma princesse, les yeux dans les yeux.
Elle écarte, de son propre chef, les cuisses quand j'avance une main pour lui titiller le clito.
Se sentant délaissée (à tort), Caline se penche et entreprend de me lècher le gland pendant que la cousine continu à me branler.
Lui faisant un signe discret, que je n'ai pas vu venir, les deux cousines se rejoignent pour me prodiguer une fellation mémorable !
Puis ma pricesse se recule pour laisser sa cousine me sucer seule, elle se délecte en lui caressant les tétons, puis fait glisser sa main entre les cuisses de Hannen, chassant la mienne avec vigueur.
Pour toute récompense, Hannen écarte encore plus les cuisses pour faciliter à Caline ses investigations tactilles.
— Ah, mes salauds.. Vous m’avez bien eu !
— C'est ça... Comme si tu ne l'avais pas... Prémidité ! Allez... Prends ton pied ma jolie !
Ma chérie me branlant et sa cousine me pompant, je sens que je ne vais pas tarder à expulser ma jouissance dans cette bouche si gourmande.
M'extirpant à grande peine, je leurs dis :
— Laissez mon zboub reprendre un peu d'air... Sinon... Tenez... Amusez vous entre vous comme ce matin le temps que ma tige dégonfle un peu !
— Hummm... Avec plaisir !
Me tenant en retrait, j'ai eu le plaisir d'admirer mon épouse venir bouffer la chatte de sa cousine.
D'un mouvement des plus félin, Caline vient se positionner en un 69, offrant sa moule bien bâveuse pour que cette cousine, qu'on croyait si pudique, puisse glisser sa langue tout le long des lèvres intimes de l'excitante dame qui partage le long fleuve de ma vie.
Hannen ne peut s'empêcher de "manger" sans retenue la chatte de Caline et j'en profitais alors pour prendre, ma miss, en levrette.
En deux temps, trois mouvements, ma chérie ne peut s'empêcher de crier sa jouissance et s'affaler sur le coté. Ne perdant pas son objectif de vue, Hannen vint s'embrocher sur ma queue sans attendre.
Rarement je n'avais jouis aussi rapidement, je crois même que j'ai battu tous les records, et le plus marrant dans toute cette histoire c'est qu'à aucun moment j'ai eu un regret, une honte ou un complexe... Je ne suis pas un de ces acteurs de film X !
Bien épuisés, nous allons enfin dormir, tous dans... Le même lit.
Dimanche 26 juin 2005
Ce matin, plus besoin de faire semblant.
Un joyeux trio s'est (enfin) formé... Du moins, il n'y a plus aucune "honte" ou dois-je plutôt dire, peur à voir Caline se réveiller alors que sa cousine offre une caresse buccale à mon "lance-sperme".
Admirable qu'elle est, ma femme s'empresse de nettoyer ma tige qui avait vidé ses stocks de foutre.
Rien de plus plaisant que de commencer la journée avec une bonne fellation.
Plus tard dans la journée, ma femme va même, jusqu'à donner à Hannen des notions pratiques des joies que des dames peuvent connaître grâce aux godes et avec des vibro-masseurs.
Malgré tous mes efforts pour prendre part à ces travaux pratiques, je n'ai eu que le droit de les mater... Encore heureux qu'elles m'aient autorisé à me branler.
Elles m'ont bien fait comprendre que si j'arrive à me retenir d'éjaculer, alors qu'elles ne se privent pas de jouir lors de leurs unions saphiques, elles me gratiferaient à la fin de la journée en me laissant arroser leurs visages.
Vendredi 1er juillet 2005
Notre trio est bien rodé maintenant.
À force de se prendre un doigt dans le cul, Hannen accepte enfin d’y prendre un gode, puis ma bite, surtout qu’elle voyait combien Caline adore se faire prendre de cette façon.
En bon éducateur "sexuel", pour une première pénétration anale, il me faut y aller en douceur, avec beaucoup de lubrifiant. Et sans me vanter, malgré mon calibre, tout se passe assez bien pour cette première introduction non-conventionnelle, car bien que j'en avait l'eau à la bouche, il est inévitable pour moi d'assouplir ce puits défendu par le passage du sextoy que ma femme, qui en bonne experte, le manipule comme il faut. En d'autres termes, Hannen ne se souviendra, en fin de compte, que du nombre de fois, qu'elle a jouit du cul.
Le soir même, cette âme coquine qui somnolait au fond de Hannen, a pris les commandes et ne fût satisfaite qu'une fois, que le corps charnel de la cousine à ma femme, ait connu, ressenti et sursauté au plaisir que peut procurer une double pénétration, moi dans son vagin, ma femme lui godant le cul.
Un orgasme rarement vu, la secoua à lui faire perdre la tête, intonnant des cris de plaisir que nos voisins (qui habitent à plus de 500m) n'ont pu ignorer.
Samredi 02 juillet 2005
Pour la dernière soirée de Hannen en notre compagnie, vu qu'il est prévu qu'elle prenne le train dimanche pour être à son poste de stage lundi à 8h, nous avons décider de nous amuser un peu en commandant des pizzas.
Lorsque le livreur sonne à la porte, Caline se précipite pour ouvrir enveloppée dans une cape de bain.
De mon coin, je vois distinctement le trouble de ce jeune livreur, alors qu'en bonne comédienne, ma femme farfouillant dans son porte monnaie ne pu retenir le linge qui était sensé cacher sa nudité des yeux extérieurs aux murs de notre logis.
Sans se sentir léset par cette perte "inattendue", Caline lui disait :
- Allez bon... Gardes la monnaie !
Le livreur, bouche bée, avec ses yeux qui vont sortir de leurs orbites, ne pouvait espérer un meilleur pourboire que de voir ce corps nu.
C'est alors, pour moi, le bon moment pour apparaître, nu comme un ver en criant :
- Hannen... À table !
Sortant de la salle de bain, avec seulement une serviette enroulée sur sa tête et se dirige en dandinant du cul vers le canapé sur le quel elle s'affale jambes ouvertes en disant, en nous lançant un regard des plus chauds qu'a en stock :
— Ouf... Après notre petite folie, cette douche m’a fait du bien ! Avant de rajouter, Hé Hamed... Sers nous quelque chose de frais avec ces pizzas !
Me retournant vers le livreur, je lui dis :
— C'est vrai... Il fait tellement chaud... Ça te dis un truc de frais ?
— No... Non... Je... Je... Marmonne t-il en nous tournant le dos avant de déguerpir à toute vitesse.
Dommage, on aurait pu s’amuser un peu plus avec lui…
Jeudi 7 juillet 2005
Mes beaux-parents sont de retour.
Le fleuve de notre vie reprend son cours normal : maison-dodo-boulot !!
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Dommage pour les fautes de frappe, à vouloir faire vite... Sinon existant comme dab
Wouawww...
J'ai bandé du début à la fin...
Merci
Cyrille
J'ai bandé du début à la fin...
Merci
Cyrille