Happy day 4 - histoire érotique

C’est clairement inutile de vous rappeler le cliché que l’on se fait des blacks. Alors, inutile de préciser que très vite la curiosité m’a amenée à vérifier. Je le lui ai demandé, tout simplement.
« Justin, je peux voir ? La réputation des blacks, tu sais ? J’avoue que je suis super curieuse... »
Il s’est approché doucement de moi, j’étais nue. Il a descendu son jean, et le boxer était prometteur. Et quand il a glissé son boxer vers le bas…
J’ai compris que ça allait être ma plus grosse et longue bite de la journée. Mon expression a dû me trahir, il a souri en enfonçant le clou « alors, heureuse ? »… J’ai passé ma langue sur mes lèvres, langoureusement, de la pure gourmandise sexuelle. Oh putain je vais la sentir celle-là ! Je me suis dit que je devais être à son goût, puisque je la voyais se tendre à vue d’œil. Et là, alors qu’il commençait à bander, j’ai vraiment ouvert de grands yeux surpris !

J’ai saisi son membre d’une main, puis la seconde, et ceci pour voir que j’aurais pu y mettre encore au moins une main. Le gland à lui seul était d’une taille excitante, et instinctivement je l’ai directement sucé, goulûment, avec gourmandise, démarrant ainsi notre copulation. Et je l’ai sucé, sucé, telle une friandise merveilleuse et un peu magique. Il n’en fallait pas beaucoup pour le sentir me remplir la bouche, je prenais ce que je pouvais et il prenait doucement ma tête entre ses mains pour accompagner le mouvement, tout en délicatesse. Calmement il m’a encouragée « Tu suces bien, j’aime ! ». Je ne pouvais répondre que par des « Gnoooons » et des « Hooons » gourmands. J’aie avoir la bouche remplie d’un sexe dur, et là j’étais servie ! Ma salive se répendait presque d’elle-même le long de ce beau chibre que j’embouchais à moitié. Ma gorge sentait le gland au fond, puis je me repoussais, puis je revenais. Le tout en l’entendant :
« Oui, vas-y, c’est bien, tu es une chef, suce ! »
Une fois familière avec l’engin, j’ai entrepris de pousser un peu plus loin, c’était compliqué ! Doucement, poussant un petit peu plus à chaque passage, il m’a aidée.

Puis il m’a allongée au bord du lit, sur le dos, tête hors du matelas pour améliorer la position. Et ainsi, il a poussé son sexe graduellement, passage après passage. C’était très sexe, la fellation de ma vie ! Et il a, à un moment, poussé assez bien pour que je sente son formidable gland se frayer un chemin au travers de ma glotte et se retirer vite, puis une seconde de pause, puis encore, et cette fois, il est resté un petit peu. En soupirant un formidable « Ooooooh ! ». Quand il s’est retiré, je lui ai fait signe de me donner quelques secondes pour reprendre mon souffle. Et mes esprits. J’ai dit « ma plus grosse gorge profonde ! ». Il a répondu « Oui coquine ! » Il m’a ensuite allongée dans l’autre sens, et a saisi un préservatif de ma table de nuit. Il l’a reposé, et en a saisi un de ses poches « J’avais prévu... ». La taille de la capote ! Et, pourtant, elle ne le recouvrait pas entier ! Une fois la capote installée, il a pris le lubrifiant, l’a généreusement étalé sur mon entrée et a commencé à me pénétrer. Il l’a fait doucement, prudemment, avec une envie de me faire ressentir chaque millimètre de la bite qui me fourrait. Je regardais son sexe s’engouffrer dans le mien, tous mes sens en éveil. Manifestement, j’ai sorti un puissant « Ooooooh ! » à cette occasion.

C’est là qu’il m’a le plus surprise. Il a saisi son téléphone, je lui ai demandé « tu prends une photo ? » Il a répondu « si tu veux, mais là je voulais juste proposer à Charles de venir regarder. Sauf si tu ne veux pas ? ». J’ai répondu :
« Tu prends la photo d’abord, et tu l’invites ensuite ! ».
Ce qui fut fait : il nous a pris sa bite à moitié engagée en moi, un large sourire au lèvres, probablement un encore plus large aux autres lèvres me disais-je, il m’a montré le cliché, a ensuite tapé le message, et m’a dit « Je te laisse l’envoyer ! ». Il n’a pas fallu longtemps pour entendre doucement frapper à la porte, Charles est apparu et s’est placé dans un coin, me regardant me faire prendre par une queue magnifique, merveilleuse, formidable. Il m’a souri :
« Elle est bonne ? »
« Oh oui... »

Charles m’a alors matée me faire pilonner en missionnaire par une queue double de la sienne dans peut-être chaque dimension, il s’est approché de moi pour me caresser la joue, je lui ai souri. Et j’ai été ainsi enfilée sous ses yeux, le membre dur de Justin qui me rentrait de plus en plus profond dans mon sexe. Un beau voyeur. Et moi du coup une belle exhibitionniste. Le sexe est allé de plus belle, Charles n’a pas pu s’empêcher de vouloir toucher, Justin l’a autorisé, il a caressé de sa main le membre alors à moitié en moi. Il en a été visiblement impressionné. Justin lui a demandé
« Tu veux comparer ? »
Charles a souri
« Je suis ridicule à côté ».
« Oui, mais Marie va la tenir ! »
Alors Charles s’est exécuté, et j’ai saisi de ma main la (petite, maintenant..) bite de Charles quand l’énorme engin de Justin s’engouffrait et ressortait sans pudeur, avec une délicieuse sensation obscène. Je branlais Charles, Justin le fourrait.

Et à un moment Justin l’a fait monter sur moi. Je me suis trouvée avec la bite de Charles dans la bouche, le chibre de Justin dans le vagin, j’étais bien ! Ils m’ont ainsi prise avec vigueur, entrain, dans un délicieux moment de sexe pur, explicite, excitant, intense. Je bouffais littéralement la bite de Charles alors que Justin, qui avait bien accéléré, me ravageait le vagin. La bite de Charles tenait facilement entière dans une bouche qui n’avait pas su prendre toute celle de Justin… J’étais ravagée, en plein coït, excitée à mort, comblée, aux anges. Fortement excité par la situation, Charles n’a pas tenu plus longtemps, et m’a fait signe qu’il allait envoyer. Ce qu’il a fait, prié de demeurer pour cela dans ma bouche. J’ai tout avalé, léchant au besoin les quelques goutes qui ont débordé sur mes lèvres. Pendant ce temps Justin continuait à aller et venir, dans un bruit de succion délicieux. Je me sentais monter au 7è ciel !

Puis Justin s’est retiré, et j’ai eu de nouveau une grosse surprise. Charles s’est agenouillé, Justin s’est levé, et Charles a embouché le gland de Justin sous mes yeux ! Ça m’a fait jouir. Il m’ont dit après que c’est la condition que Justin avait posée pour qu’il pût mater. Charles a avalé. Il y en avait une bien belle quantité ! Charles est allé boire plusieurs verres après. Justin m’a embrassée, je n’ai pas pu m’empêcher de caresser doucement sa bite pour la féliciter. Il s’est ensuite rhabillé et a refait :
« Alors, heureuse ? »

J'ai souri. Je sentais mon vagin encore tout chose, ces sensations fortes et douces, ma première vraie grosse bite. Je me suis détendue, allongée, et assoupie.