Harem 2
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Harem 2
Le Harem 2
A mon réveil, je suis allongée nue, le dos sur une table recouverte d'un tissus éponge dans une pièce toute blanche.
Une femme sans âge veille à mon chevet. Sans un mot, elle me tend un bol de thé parfumé au jasmin.
Je m'assoupis à nouveau et quand je reviens à moi, je suis à moitié allongée et l'on me masse les pieds puis les chevilles qui sont dans un état déplorable. On m'enduit d'une crème nourrissante et apaisante.
Puis c'est une jeune fille dénudée qui me masse les mollets, les cuisses en remontant vers l'aine. Ses mains effleurent mes lèvres puis remontent vers mon ventre et caressent longuement ma poitrine. Mes pointes sont érigées, elle les pince et les étire avant de s'occuper de mes épaules. Elle me masse le cou et redescend. Sa bouche emprisonne mon téton qu'elle tête puis embrasse mon ventre.
Je me laisse aller, incapable de me soustraire à ces caresses, je n'ai plus de volonté et mon sexe devient humide.
Sa bouche se colle à ma vulve. Elle m'a complètement allongé et relevé le bassin en glissant un gros coussin sous mes fesses pour lécher et aspirer mon clitoris.
Je ne peux résister à ce traitement et mon corps est secoué de spasmes. Je jouis en gémissant, elle me boit et ses yeux exprime sa réussite.
Elle me tourne sur le ventre, la tête dans un trou aménagé dans la table.
Elle me pétrit à nouveau les jambes écartées, le dos, les fesses et revient sur mon sexe, devenu trop sensible. J'esquive la caresse et elle s'attarde sur mon anus. Sa langue tourne autour et ses doigts me pénètrent doucement.
Elle fait couler un peu d'huile et me pénètre avec un olisbos en bois d'ébène, renflé à son extrémité qu'elle fait coulisser lentement.
La sensation est nouvelle, j'ai le bassin relevé et je coule. Après cinq minutes de ce traitement, elle met ses doigts dans mon vagin à la recherche du point G. Effectivement, je ressens le plaisir m'envahir soudainement, mes doigts s'agitent fébrilement sur mon clitoris, la tension est insoutenable et l'explose en un orgasme libérateur. La tension retombée, elle me recouvre d'un drap et je retrouve Morphée dans l'obscurité et le silence.
Le jour suivant, je découvre le Harem du palais qui sera pour plusieurs années, ma prison dorée.
Je suis d'abord lavée dans une grande pièce aux yeux de toutes. Puis menée au hammam dans une pièce surchauffée et très humide , je suis allongée sur une table, arrosée avec un seau puis frottée au gant de crin et enfin massée avec une lotion.
Une matrone s'installe les jambes écartées et m'enduit de cire brûlante aux odeurs puissantes mon pubis et mes aisselles. Quelques minutes plus tard, elle arrache brutalement la pâte avec ma toison. L'opération est renouvelée sur mes fesses et autour de mon anus. Je me retrouve encore plus nue et lisse comme au jour de ma naissance. Les derniers poils sont enlevés à la pince à épiler. Ensuite J'ai eu droit à un nouveau massage avec du talc. Puis vêtu d'une grande robe turquoise, diaphane, un brunch magnifique m'a été servi.
Installé sur des coussins, à même le sol recouvert de tapis, j'ai pu goûter à une multitude de plats et de boissons.
Une quinzaine de jeunes femmes sont assises autour de moi et m'observent en chuchotant.
Mon repas terminé, une femme à l'allure scandinave m'invite à découvrir les lieux. Vêtue comme moi, j'ignore rien de ses formes athlétiques et imposantes. Photographe freelance au Moyen orient, son véhicule a été la cible d'une roquette. Heureusement pour elle, elle s'était cachée, accroupie derrière un rocher pour satisfaire un gros besoin, ce qui l'a sauvé. Ensuite, les rebelles l'ont capturée et vendue.
Nous sommes dans le désert, un prince vient régulièrement et reçoit des invités arabes, russes ou chinois. La forteresse domine le désert, il n'y a qu’une route et un héliport sur un toit. Des gardes armés contrôlent l'accès.
Nous sommes dans un très beau jardin ombragé près d'une fontaine, entourées de jasmins, grenadiers, hibiscus, citronnelles… un filet est tendu entre les trois ailes. De nombreux et magnifiques oiseaux chantent et volent autour de nous.
Nous occupons le bâtiment principal et un aile, une aile est réservée au prince et à ses invités. Les soldats sont invisibles.
Elle pense que nous sommes une trentaine de femmes cloîtrées, en comptant les cuisinières et les servante qui sont des femmes arabes et âgées pour la plupart.
Les plus jeunes viennent surtout d'Inde et du Pakistan ou du Sud Est asiatique via Dubaï où elle étaient serveuses ou domestique. Quelques unes comprennent l'anglais.
Nous rejoignons le salon , une immense salle pleines d'alcôves et couvertes de tapis et coussins au luxe et à la décoration inouïe.
Nous avons aussi un restaurant avec plusieurs salles. Dans certaines, on mange avec sur des tables basse sur des coussins, ouvertes sur l'extérieur, la nourriture est cuite sur des brasero.
On se sert avec les doigts directement dans le plat.
La nourriture est très abondante et raffinée. Mais nous sommes régulièrement contrôlées. Un vieux médecin exerce à demeure. C'est un être répugnant et sadique.
La rumeur court qu'il est recherché pour viol, meurtre et acte de barbarie. Il s'en vante même et terrorise les filles.
Nous sommes pesées et mises à un régime stricte si nous dépassons le poids idéal qui nous ait assigné. Il est installé et vit dans l'aile. Là se trouvent une magnifique piscine avec une verrière.
Il y a aussi des salles de sports où l'on peut faire de la musculation, jouer au ping-pong ou au squash avec bien sûr son spa.
Il y a beaucoup d'inégalité pour le poids. Certaines doivent s'empiffrer pour être plantureuses tandis que d'autres doivent rester maigres, ce qui les rend agressives et occasionnent des disputes voire des bagarres.
Il y deux gardes qui nous surveillent. Il sont émasculés. Ce sont d'anciens combattants blessés dans les guerres du Proche-Orient. L'un d'eux est particulièrement violent.
Les punitions sont très variées. Elles peuvent être physiques, sexuelles, cela va de la privation de nourriture, une séance d'humiliation publique, aux coups de fouet, au cachot sans lumière voire une séance de torture en privé avec notre bon docteur.
Sur cet entre fait, nous sommes appelées chez le médecin.
Nous pénétrons dans son vaste cabinet avec un bloc opératoire adjacent. Olga me chuchote que c'est pour les avortements ou la chirurgie ambulatoire voire esthétique.
Il est petit, sec avec une barbe noire, le front dégarni, simplement vêtu d'une blouse blanche s'arrêtant à mi cuisses. Il me fait déshabiller et assoir dans un fauteuil de dentiste. Il m'examine les dents, les gencives qui ont souffert pendant ma traversée. Ses doigts fouille sans gant et sans ménagement ma bouche jusqu'à la gorge me créant des hauts le cœur.
Il me redresse et après m'avoir pesée, pris ma tension, ses mains m'ont longuement palpė à la recherche de ganglions, debout dans mon dos, il a fait de même avec mes seins puis fait rouler les pointes qu’il a pincé fortement.
J'ai senti son sexe contre mes fesses. Là, devant Olga ,il l'a fait coulisser lentement le long de ma raie. J'ai cru qu'il allait me sodomiser à sec. Je l'ai imploré d'y renoncer. Il a appelé Olga qui s'est mise à genoux entre mes jambes et il a pénétrė sa bouche, en faisant coulisser son sexe sur toute la longueur puis il m'a tourné, les jambes écartées, Olga m'a léché l'anus en salivant beaucoup.
Le Médecin a pris une crème et s'en ai enduit un sexe long et fin puis il m'a couché sur la table d'auscultation pour m'embrocher d'une traite.
J'ai crié en ressentant une brûlure insoutenable mais il a continué à me pourfendre à grands coups.
La table cognait contre le mur. Ma douleur a diminué devenant acceptable. Comme mes cris l'avait semble t il excité, je me suis tût, attendant la fin. Effectivement, quelques minutes plus tard, j’ai compris qu'il avait éjaculé quand il a, à son tour, crié sa jouissance. Puis a commandé à Olga de venir nettoyer son sexe maculé et lécher ma rondelle suintante.
Ensuite j'au dû l’embrasser amoureusement
La visite a repris, prélèvements vaginaux, prise de sang…
Il m'a donné une crème apaisante pour mon rectum et deux autres pour mes pieds er ma peau.
La suite , bientôt.
J'espère que mes textes romancés vous plaisent. Personnellement, les textes aux seules descriptions pornographiques m'ennuient.
N'hésitez pas à me faire des remarques constructives.
Merci d'avance.
A mon réveil, je suis allongée nue, le dos sur une table recouverte d'un tissus éponge dans une pièce toute blanche.
Une femme sans âge veille à mon chevet. Sans un mot, elle me tend un bol de thé parfumé au jasmin.
Je m'assoupis à nouveau et quand je reviens à moi, je suis à moitié allongée et l'on me masse les pieds puis les chevilles qui sont dans un état déplorable. On m'enduit d'une crème nourrissante et apaisante.
Puis c'est une jeune fille dénudée qui me masse les mollets, les cuisses en remontant vers l'aine. Ses mains effleurent mes lèvres puis remontent vers mon ventre et caressent longuement ma poitrine. Mes pointes sont érigées, elle les pince et les étire avant de s'occuper de mes épaules. Elle me masse le cou et redescend. Sa bouche emprisonne mon téton qu'elle tête puis embrasse mon ventre.
Je me laisse aller, incapable de me soustraire à ces caresses, je n'ai plus de volonté et mon sexe devient humide.
Sa bouche se colle à ma vulve. Elle m'a complètement allongé et relevé le bassin en glissant un gros coussin sous mes fesses pour lécher et aspirer mon clitoris.
Je ne peux résister à ce traitement et mon corps est secoué de spasmes. Je jouis en gémissant, elle me boit et ses yeux exprime sa réussite.
Elle me tourne sur le ventre, la tête dans un trou aménagé dans la table.
Elle me pétrit à nouveau les jambes écartées, le dos, les fesses et revient sur mon sexe, devenu trop sensible. J'esquive la caresse et elle s'attarde sur mon anus. Sa langue tourne autour et ses doigts me pénètrent doucement.
Elle fait couler un peu d'huile et me pénètre avec un olisbos en bois d'ébène, renflé à son extrémité qu'elle fait coulisser lentement.
La sensation est nouvelle, j'ai le bassin relevé et je coule. Après cinq minutes de ce traitement, elle met ses doigts dans mon vagin à la recherche du point G. Effectivement, je ressens le plaisir m'envahir soudainement, mes doigts s'agitent fébrilement sur mon clitoris, la tension est insoutenable et l'explose en un orgasme libérateur. La tension retombée, elle me recouvre d'un drap et je retrouve Morphée dans l'obscurité et le silence.
Le jour suivant, je découvre le Harem du palais qui sera pour plusieurs années, ma prison dorée.
Je suis d'abord lavée dans une grande pièce aux yeux de toutes. Puis menée au hammam dans une pièce surchauffée et très humide , je suis allongée sur une table, arrosée avec un seau puis frottée au gant de crin et enfin massée avec une lotion.
Une matrone s'installe les jambes écartées et m'enduit de cire brûlante aux odeurs puissantes mon pubis et mes aisselles. Quelques minutes plus tard, elle arrache brutalement la pâte avec ma toison. L'opération est renouvelée sur mes fesses et autour de mon anus. Je me retrouve encore plus nue et lisse comme au jour de ma naissance. Les derniers poils sont enlevés à la pince à épiler. Ensuite J'ai eu droit à un nouveau massage avec du talc. Puis vêtu d'une grande robe turquoise, diaphane, un brunch magnifique m'a été servi.
Installé sur des coussins, à même le sol recouvert de tapis, j'ai pu goûter à une multitude de plats et de boissons.
Une quinzaine de jeunes femmes sont assises autour de moi et m'observent en chuchotant.
Mon repas terminé, une femme à l'allure scandinave m'invite à découvrir les lieux. Vêtue comme moi, j'ignore rien de ses formes athlétiques et imposantes. Photographe freelance au Moyen orient, son véhicule a été la cible d'une roquette. Heureusement pour elle, elle s'était cachée, accroupie derrière un rocher pour satisfaire un gros besoin, ce qui l'a sauvé. Ensuite, les rebelles l'ont capturée et vendue.
Nous sommes dans le désert, un prince vient régulièrement et reçoit des invités arabes, russes ou chinois. La forteresse domine le désert, il n'y a qu’une route et un héliport sur un toit. Des gardes armés contrôlent l'accès.
Nous sommes dans un très beau jardin ombragé près d'une fontaine, entourées de jasmins, grenadiers, hibiscus, citronnelles… un filet est tendu entre les trois ailes. De nombreux et magnifiques oiseaux chantent et volent autour de nous.
Nous occupons le bâtiment principal et un aile, une aile est réservée au prince et à ses invités. Les soldats sont invisibles.
Elle pense que nous sommes une trentaine de femmes cloîtrées, en comptant les cuisinières et les servante qui sont des femmes arabes et âgées pour la plupart.
Les plus jeunes viennent surtout d'Inde et du Pakistan ou du Sud Est asiatique via Dubaï où elle étaient serveuses ou domestique. Quelques unes comprennent l'anglais.
Nous rejoignons le salon , une immense salle pleines d'alcôves et couvertes de tapis et coussins au luxe et à la décoration inouïe.
Nous avons aussi un restaurant avec plusieurs salles. Dans certaines, on mange avec sur des tables basse sur des coussins, ouvertes sur l'extérieur, la nourriture est cuite sur des brasero.
On se sert avec les doigts directement dans le plat.
La nourriture est très abondante et raffinée. Mais nous sommes régulièrement contrôlées. Un vieux médecin exerce à demeure. C'est un être répugnant et sadique.
La rumeur court qu'il est recherché pour viol, meurtre et acte de barbarie. Il s'en vante même et terrorise les filles.
Nous sommes pesées et mises à un régime stricte si nous dépassons le poids idéal qui nous ait assigné. Il est installé et vit dans l'aile. Là se trouvent une magnifique piscine avec une verrière.
Il y a aussi des salles de sports où l'on peut faire de la musculation, jouer au ping-pong ou au squash avec bien sûr son spa.
Il y a beaucoup d'inégalité pour le poids. Certaines doivent s'empiffrer pour être plantureuses tandis que d'autres doivent rester maigres, ce qui les rend agressives et occasionnent des disputes voire des bagarres.
Il y deux gardes qui nous surveillent. Il sont émasculés. Ce sont d'anciens combattants blessés dans les guerres du Proche-Orient. L'un d'eux est particulièrement violent.
Les punitions sont très variées. Elles peuvent être physiques, sexuelles, cela va de la privation de nourriture, une séance d'humiliation publique, aux coups de fouet, au cachot sans lumière voire une séance de torture en privé avec notre bon docteur.
Sur cet entre fait, nous sommes appelées chez le médecin.
Nous pénétrons dans son vaste cabinet avec un bloc opératoire adjacent. Olga me chuchote que c'est pour les avortements ou la chirurgie ambulatoire voire esthétique.
Il est petit, sec avec une barbe noire, le front dégarni, simplement vêtu d'une blouse blanche s'arrêtant à mi cuisses. Il me fait déshabiller et assoir dans un fauteuil de dentiste. Il m'examine les dents, les gencives qui ont souffert pendant ma traversée. Ses doigts fouille sans gant et sans ménagement ma bouche jusqu'à la gorge me créant des hauts le cœur.
Il me redresse et après m'avoir pesée, pris ma tension, ses mains m'ont longuement palpė à la recherche de ganglions, debout dans mon dos, il a fait de même avec mes seins puis fait rouler les pointes qu’il a pincé fortement.
J'ai senti son sexe contre mes fesses. Là, devant Olga ,il l'a fait coulisser lentement le long de ma raie. J'ai cru qu'il allait me sodomiser à sec. Je l'ai imploré d'y renoncer. Il a appelé Olga qui s'est mise à genoux entre mes jambes et il a pénétrė sa bouche, en faisant coulisser son sexe sur toute la longueur puis il m'a tourné, les jambes écartées, Olga m'a léché l'anus en salivant beaucoup.
Le Médecin a pris une crème et s'en ai enduit un sexe long et fin puis il m'a couché sur la table d'auscultation pour m'embrocher d'une traite.
J'ai crié en ressentant une brûlure insoutenable mais il a continué à me pourfendre à grands coups.
La table cognait contre le mur. Ma douleur a diminué devenant acceptable. Comme mes cris l'avait semble t il excité, je me suis tût, attendant la fin. Effectivement, quelques minutes plus tard, j’ai compris qu'il avait éjaculé quand il a, à son tour, crié sa jouissance. Puis a commandé à Olga de venir nettoyer son sexe maculé et lécher ma rondelle suintante.
Ensuite j'au dû l’embrasser amoureusement
La visite a repris, prélèvements vaginaux, prise de sang…
Il m'a donné une crème apaisante pour mon rectum et deux autres pour mes pieds er ma peau.
La suite , bientôt.
J'espère que mes textes romancés vous plaisent. Personnellement, les textes aux seules descriptions pornographiques m'ennuient.
N'hésitez pas à me faire des remarques constructives.
Merci d'avance.
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