Hébé
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Hébé
Hébé, vous ne voyez pas qui elle est, Hébé est fille d’Héra : elle l’a eu en s’asseyant sur une laitue (oui, vous avez bien lu : une laitue, une salade quoi), Hébé protégeait la jeunesse et son ardeur.
Echanson des dieux. Vous ne savez pas ce que c’est ? Moi non plus : j’ai fais des recherches minutieuse et voilà le résultat : Un échanson était un officier chargé de servir à boire à un dieu ou un roi.
Fréquenter la haute vous mène à des relations particulièrement avantageuse pour monter en grade, en puissance, en « je suis la plus belle ». Elle est remarquée par Aphrodite. Pour une simple serveuse, être remarquée ainsi est un avantage. Au début les pourboires sont de plus en plus intéressants, puis une invitation à diner ensemble finit fort bien, selon les gouts. Et là, les gouts concordaient. Sur l’herbe d’un sous bois sombre, les premier baisers se sont suivis lentement. Puis, comme souvent le premier baiser conduit au suivant et encore au suivant, puis une main s’égare vers une épaule attendrissante. De là, la main descend toujours attirée par l’aimant, situé entre les jambes, de la passion folle. Un suivi nait entre deux être divins. Bref devançant Lesbos, les deux jeunes olympiennes (ne pas confondre avec les amateurs supporter de l’OM, qui n’interviennent pas du tout dans la généalogie divine), se livrent à des amours sinon illicites, du moins peu autorisé par lui, celui d’en haut, le chef Zeus. Il faudra bien en parler un jour de ce chef de dieux.
Les deux restent ensemble, en couple dissident. Mais que d’alanguissements, que d’enlacements tendres, très tendres, entre ses deux filles. Aphrodite, au début était toujours réservée. Elle ne cherchait pas à se montrer trop en maîtresse d’une autre déesse. Pourtant c’était bien elle qui avait commencé, non ? Bien des mortels du coin venaient les voir s’ébattre dans leur abri. C’était même devenu un passe temps instructif pour les jeunes filles ou garçons de les voir s’aimer. Certains, les garçons surtout bandaient en les regardant : ils se masturbaient soit seuls soit en groupe plus qu’amicaux. Les filles avaient des comportements inégaux : certaines trouvaient ça dégoutant (berk, deux filles qui se touchent les zizettes) d’autres amusant au point de reproduire entre elles en toutes les camaraderies, les même mouvements, les même baisers aux mêmes aux endroits plus ou mois cachés normalement.
Un jour, au cours d’un repas dominical (Et oui, Zeus se reposait aussi le dimanche) Hébé faisait une bêtise en servant l’ambroisie : elle le confondit avec le nectar (rappelons que l’ambroisie était réservée à certains plats et que le nectar outre son utilisation comme boisson servait de crème de beauté à certaines déesses qui avaient, comme tout le monde les rendez-vous amoureux)
Bref, consciente de sa bêtise, Hébé part se cacher vers son lieu préféré, là où elle se cache en faisant l’amour avec Aphrodite. Elle ne sait pas trop que faire en l’attendant. Elle fait ce que font beaucoup de jeunes sans occupation, elle se touche, comme ça, manière de se caresser un peu, puis ce un peu se transforme en habitude. Elle passe son temps à rêver à imaginer, à se masturber, osons le mot. C’est une habitude (mauvaise disaient certains, normales, utiles disent d’autre. Elle connait sa choupinette par cœur. Elle sait exactement où mettre ce doigt et l‘autre et la main gauche (avec ne tendance pour le coté pile)
Elle sent quand même un manque. Elle trouve un mortel dans les 25 ans, marié. Elle veut le débaucher à son service. L’épouse ne veux pas le lui donner, le partager à l’extrême rigueur.
Hébé ne fait aucun refus : elle se contentera de la moitié. Non, pas comme ça, le partager, faire l’amour avec lui et nous deux, espèces de mal comprenant de déesse. L’insulte paye. Ils forment un ménage à trois qui fonctionne longtemps.
Hébé aime se faire fourrer par devant. Ca tombe bien l’épouse aime mieux par derrière, ça évite d’avoir une chiée d’enfants. Ainsi dans cette maisonnée, l’homme reste la dernière roue de la charrette : il est couché, sur sa buche le con d’une belle déesse, et autour de sa grosse (il était très gros) bite, le cul d’une belle mortelle. Des fois quand l’homme était en tournée, les deux femmes ou assimilées se contentaient seules en jouant à faire des chiffres et des lettres (un 69 c’est un peu ça, non ?).
Echanson des dieux. Vous ne savez pas ce que c’est ? Moi non plus : j’ai fais des recherches minutieuse et voilà le résultat : Un échanson était un officier chargé de servir à boire à un dieu ou un roi.
Fréquenter la haute vous mène à des relations particulièrement avantageuse pour monter en grade, en puissance, en « je suis la plus belle ». Elle est remarquée par Aphrodite. Pour une simple serveuse, être remarquée ainsi est un avantage. Au début les pourboires sont de plus en plus intéressants, puis une invitation à diner ensemble finit fort bien, selon les gouts. Et là, les gouts concordaient. Sur l’herbe d’un sous bois sombre, les premier baisers se sont suivis lentement. Puis, comme souvent le premier baiser conduit au suivant et encore au suivant, puis une main s’égare vers une épaule attendrissante. De là, la main descend toujours attirée par l’aimant, situé entre les jambes, de la passion folle. Un suivi nait entre deux être divins. Bref devançant Lesbos, les deux jeunes olympiennes (ne pas confondre avec les amateurs supporter de l’OM, qui n’interviennent pas du tout dans la généalogie divine), se livrent à des amours sinon illicites, du moins peu autorisé par lui, celui d’en haut, le chef Zeus. Il faudra bien en parler un jour de ce chef de dieux.
Les deux restent ensemble, en couple dissident. Mais que d’alanguissements, que d’enlacements tendres, très tendres, entre ses deux filles. Aphrodite, au début était toujours réservée. Elle ne cherchait pas à se montrer trop en maîtresse d’une autre déesse. Pourtant c’était bien elle qui avait commencé, non ? Bien des mortels du coin venaient les voir s’ébattre dans leur abri. C’était même devenu un passe temps instructif pour les jeunes filles ou garçons de les voir s’aimer. Certains, les garçons surtout bandaient en les regardant : ils se masturbaient soit seuls soit en groupe plus qu’amicaux. Les filles avaient des comportements inégaux : certaines trouvaient ça dégoutant (berk, deux filles qui se touchent les zizettes) d’autres amusant au point de reproduire entre elles en toutes les camaraderies, les même mouvements, les même baisers aux mêmes aux endroits plus ou mois cachés normalement.
Un jour, au cours d’un repas dominical (Et oui, Zeus se reposait aussi le dimanche) Hébé faisait une bêtise en servant l’ambroisie : elle le confondit avec le nectar (rappelons que l’ambroisie était réservée à certains plats et que le nectar outre son utilisation comme boisson servait de crème de beauté à certaines déesses qui avaient, comme tout le monde les rendez-vous amoureux)
Bref, consciente de sa bêtise, Hébé part se cacher vers son lieu préféré, là où elle se cache en faisant l’amour avec Aphrodite. Elle ne sait pas trop que faire en l’attendant. Elle fait ce que font beaucoup de jeunes sans occupation, elle se touche, comme ça, manière de se caresser un peu, puis ce un peu se transforme en habitude. Elle passe son temps à rêver à imaginer, à se masturber, osons le mot. C’est une habitude (mauvaise disaient certains, normales, utiles disent d’autre. Elle connait sa choupinette par cœur. Elle sait exactement où mettre ce doigt et l‘autre et la main gauche (avec ne tendance pour le coté pile)
Elle sent quand même un manque. Elle trouve un mortel dans les 25 ans, marié. Elle veut le débaucher à son service. L’épouse ne veux pas le lui donner, le partager à l’extrême rigueur.
Hébé ne fait aucun refus : elle se contentera de la moitié. Non, pas comme ça, le partager, faire l’amour avec lui et nous deux, espèces de mal comprenant de déesse. L’insulte paye. Ils forment un ménage à trois qui fonctionne longtemps.
Hébé aime se faire fourrer par devant. Ca tombe bien l’épouse aime mieux par derrière, ça évite d’avoir une chiée d’enfants. Ainsi dans cette maisonnée, l’homme reste la dernière roue de la charrette : il est couché, sur sa buche le con d’une belle déesse, et autour de sa grosse (il était très gros) bite, le cul d’une belle mortelle. Des fois quand l’homme était en tournée, les deux femmes ou assimilées se contentaient seules en jouant à faire des chiffres et des lettres (un 69 c’est un peu ça, non ?).
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