Hébergement d'urgence (11)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Hébergement d'urgence (11)
– C’est devenu une habitude maintenant, hein, pour vous, de prendre votre douche pendant que je me maquille…– Ça t’ennuie ?
Elle s’est jeté un dernier coup d’œil dans la glace.
– Oh, non, non ! Alors là, pas du tout, non ! Au contraire.
Elle s’est retournée, est allée s’emparer, sur le tabouret où elle l’avait déposée, soigneusement pliée, de sa petite culotte grise. Qu’elle a enfilée. Ajustée sur le ventre.
– En attendant, vous m’avez très agréablement surprise, hier soir, j’avoue ! Je m’attendais franchement pas à ce que vous soyez aussi doué, côté cunni.
– Faudra recommencer alors…– Oh, ça, c’est sûr ! Mais pas tout de suite. Faut pas abuser des bonnes choses. Jamais.
Le soutien-gorge assorti. Qu’elle a agrafé devant, sous sa poitrine, fait tourner. Dans les bonnets duquel elle a enfoui ses seins, l’un après l’autre.
– Non, ce soir, c’est moi qui m’occuperai de vous. Chacun son tour.
– Délicieuse perspective. Et je dois m’attendre à quoi au juste ?
– Vous verrez bien…– Je peux pas avoir au moins un petit indice ?
Elle n’a pas répondu. Elle est entrée dans son jean le plus moulant, celui qui lui épouse les formes au plus près, a revêtu un petit haut blanc qui laissait nue une large bande de chair entre sa lisière et la ceinture.
– Comment vous me trouvez ?
– Ravissante. Comme d’habitude.
– Ça fait pas trop tenue de chasse ?
– Pas du tout, non.
– Bon, ben je vais y aller alors !
– Où ça ?
– Essayer de mettre la main, et plus si affinités, sur notre petit serveur blond d’hier soir. Faut battre le fer tant qu’il est chaud.
Et elle s’est enfuie avec un petit signe de la main.
* **
Elle n’est revenue qu’en tout début d’après-midi.
– Alors ? Tu l’as vu ?
– Non. Il bosse que le soir. Mais j’ai quand même traîné un peu au bar. Et discuté avec un serveur. Qui le connaît bien. Ils sont copains.
– Serveur à qui t’as tiré les vers du nez, je suis sûr.
– Il est tout jeune marié, notre blondinet. Et amoureux.
– Ah ! Oui, bon, ben c’est râpé alors, quoi !
– Probable qu’il va sans doute falloir qu’on aille jeter nos filets ailleurs.
– Oui, mais où ?
– Je peux bien partir draguer. Ça, ça me pose pas de problème. Seulement il va se passer quoi ? Le mec, je vais pas lui balancer d’entrée de jeu : « Dis-moi, ça te brancherait pas de faire aussi des trucs avec mon patron ? » Va falloir que je le voie plusieurs fois avant, que je tâte le terrain, que je lance des ballons d’essai. Et pour rien la plupart du temps. Parce qu’il y en a pas des pelletées, finalement, des mecs que ça attire, ce truc-là. Et c’est peut-être au bout du dixième seulement que je dénicherai enfin la perle rare. On va perdre un temps fou. Alors non. Non. Faut qu’on trouve une autre solution. Mais ça, j’ai ma petite idée.
* **
Elle s’est assise au bord de son lit, l’ordinateur sur les genoux.
– Venez là ! À côté de moi.
Flanc contre flanc.
– J’ai déjà opéré une première sélection. Tenez, regardez !
Des hommes. Jeunes. Souriants. Nus. De dos. De face. En pied. En gros plan.
– Tu sors tout ça d’où ?
– Ben, du site, là… Et ceux-là, au moins, on est sûrs qu’ils seront partants. Ils l’affirment haut et fort qu’ils sont bi.
Il y en avait six en tout.
– Je les ai pris en fonction de mes goûts, mais il y en a d’autres, hein, si vous préférez !
– Plus il y en aura et moins on arrivera à se décider…– Ah, ça, c’est sûr ! Lequel vous préférez, vous ?
Elle les a fait défiler et redéfiler. En me surveillant du coin de l’œil.
– Alors ?
– Choisis, toi !
– Oh, si c’était que de moi, ce serait celui-là. Sans la moindre hésitation.
– Tu fais une fixation sur les blonds, on dirait…– Oui, mais ça, c’est parce que… Faut que je vous raconte. Parce que je vous ai dit l’autre jour qu’il y avait quelque chose qu’avait tout déclenché, mais je vous ai pas dit quoi. C’était il y a deux ans. Je m’étais inscrite à un cours de gym. Le mercredi soir, ça avait lieu. Le prof, Maxime, un ancien boxeur, avait une cinquantaine d’années et menait ses cours tambour battant. Sans nous laisser le moindre moment de répit. On était une vingtaine « d’élèves », essentiellement des femmes, mais aussi quelques hommes. Dont un blond justement, Hugo, un type de mon âge, peut-être un peu plus, sympa, avec qui je discutais de temps à autre. Et ce qui est arrivé, un soir, c’est qu’à la fin du cours, j’ai oublié mon portable dans la salle. Quand je m’en suis rendu compte, j’étais déjà loin, mais j’ai quand même fait demi-tour en espérant que Maxime serait encore là, en train de tout remettre en ordre. Il y avait effectivement sa voiture. Et également celle d’Hugo. Tiens, qu’est-ce qu’il fichait encore là, lui ? La porte de la salle était fermée à clef. Bizarre. Qu’est-ce qu’ils pouvaient bien fabriquer, bouclés là-dedans, tous les deux ? C’était d’autant plus étrange que tous les stores étaient baissés, ce qui n’était pas le cas une heure auparavant. J’ai fait le tour du bâtiment. Il y en avait un, de store, qui bloquait. Qui ne descendait pas jusqu’en bas. Il s’en fallait de trois à quatre bons centimètres. Largement suffisant pour voir ce qui se passait à l’intérieur. Et ce qui s’y passait, c’est que, sur un matelas de réception en mousse, Hugo était en train de prendre résolument son plaisir dans Maxime. Pour, à l’évidence, la plus grande satisfaction de celui-ci. J’ai regardé, fascinée, jusqu’au bout. Jusqu’à ce qu’ils aient joui et qu’ils se soient dénoués, dans un baiser, l’un de l’autre. Je me suis enfuie. Je ne suis pas allée bien loin. Je me suis garée, à cent mètres de là, sur un parking désert. Ça pressait trop. J’étais trempée. Et j’ai rugi, très vite, un plaisir éperdu dans ma voiture.
– Et je suppose que le mercredi suivant…– Ben, tiens ! Tous les mercredis, vous pensez bien ! J’étais rôdée : j’allais planquer ma voiture un peu plus bas, dans un petit chemin désert, et je me dépêchais de revenir. À pied. Le plus vite et le plus discrètement possible. Pour ne rien manquer du spectacle. Dès le début. Je ne savais jamais à l’avance quel tour les choses allaient prendre. Lequel allait être dans l’autre. Des fois, c’était Maxime. D’autres fois, c’était Hugo.
– Et qu’est-ce que tu préférais ?
– Oh, Hugo ! Et de loin. Je sais pas trop au juste pourquoi. Sûrement parce que c’était le plus jeune. Et que le plus jeune dans le plus âgé, moi… Mais c’était pas toujours comme ça que ça se passait. D’autres fois, ils se prenaient dans la bouche. Ensemble ou à tour de rôle. On bien encore ils se branlaient l’un l’autre. J’aimais bien aussi. Parce que je voyais sortir leur jus. J’aimais tout n’importe comment avec eux. Ça me mettait dans de ces états ! Et j’arrivais pas toujours à attendre d’être sur mon parking en-dessous. Souvent il fallait que ce soit là, tout de suite, en les regardant. Ce qui ne m’empêchait pas de recommencer, une fois rentrée chez moi, plus posément, plus tranquillement. En faisant revenir les images de ce que je venais de voir. Ou bien d’autres des fois d’avant.
– Ils ne se sont jamais rendu compte de rien ?
– Jamais, non ! Et ça, justement, pendant les cours, quand je les regardais ou que je leur parlais, j’adorais me le dire, me le répéter encore et encore que je savais. Et qu’ils savaient pas que je savais. Que je les avais vus. Et que je les verrais encore. Pas plus tard qu’à la fin du cours. Bon, mais c’est pas tout ça. Je vous avais pas promis quelque chose ce matin ?
– Oh, si ! Si !
– Bon, ben déshabillez-vous alors ! Et mettez-vous sur le ventre. Je reviens.
* **
Elle m’a posé une main au creux des reins, l’y a doucement promenée, en caresses de bout des doigts. Longtemps.
Et puis plus bas. Une fesse. Qu’elle a descendue. Remontée. Lentement apprise. L’autre. En prenant tout son temps. Et puis le sillon entre elles. De plus en plus profondément creusé. Elle s’est approchée de mes replis froncés, en a patiemment sollicité les pourtours. Elle s’est faite plus précise, plus intrusive. Elle a humecté. Et précisé.
– C’est pas ma salive. C’est ma mouille.
Et elle a doucement forcé. D’un doigt qui s’est aventuré, enfoncé, qui a habité, tournoyé. Un deuxième l’y a bientôt rejoint.
– Vous aimez ?
Je n’ai pas répondu. Je me suis hissé sur les genoux. Je lui ai tendu ma croupe.
– Oh, oui, que vous aimez ! Oui.
Elle a respiré plus vite. Plus fort.
– Moi aussi, j’aime…Le lit a vibré. Elle a haleté. Gémi.
Je me suis empoigné.
Et nos plaisirs sont venus. En même temps.
Elle s’est jeté un dernier coup d’œil dans la glace.
– Oh, non, non ! Alors là, pas du tout, non ! Au contraire.
Elle s’est retournée, est allée s’emparer, sur le tabouret où elle l’avait déposée, soigneusement pliée, de sa petite culotte grise. Qu’elle a enfilée. Ajustée sur le ventre.
– En attendant, vous m’avez très agréablement surprise, hier soir, j’avoue ! Je m’attendais franchement pas à ce que vous soyez aussi doué, côté cunni.
– Faudra recommencer alors…– Oh, ça, c’est sûr ! Mais pas tout de suite. Faut pas abuser des bonnes choses. Jamais.
Le soutien-gorge assorti. Qu’elle a agrafé devant, sous sa poitrine, fait tourner. Dans les bonnets duquel elle a enfoui ses seins, l’un après l’autre.
– Non, ce soir, c’est moi qui m’occuperai de vous. Chacun son tour.
– Délicieuse perspective. Et je dois m’attendre à quoi au juste ?
– Vous verrez bien…– Je peux pas avoir au moins un petit indice ?
Elle n’a pas répondu. Elle est entrée dans son jean le plus moulant, celui qui lui épouse les formes au plus près, a revêtu un petit haut blanc qui laissait nue une large bande de chair entre sa lisière et la ceinture.
– Comment vous me trouvez ?
– Ravissante. Comme d’habitude.
– Ça fait pas trop tenue de chasse ?
– Pas du tout, non.
– Bon, ben je vais y aller alors !
– Où ça ?
– Essayer de mettre la main, et plus si affinités, sur notre petit serveur blond d’hier soir. Faut battre le fer tant qu’il est chaud.
Et elle s’est enfuie avec un petit signe de la main.
* **
Elle n’est revenue qu’en tout début d’après-midi.
– Alors ? Tu l’as vu ?
– Non. Il bosse que le soir. Mais j’ai quand même traîné un peu au bar. Et discuté avec un serveur. Qui le connaît bien. Ils sont copains.
– Serveur à qui t’as tiré les vers du nez, je suis sûr.
– Il est tout jeune marié, notre blondinet. Et amoureux.
– Ah ! Oui, bon, ben c’est râpé alors, quoi !
– Probable qu’il va sans doute falloir qu’on aille jeter nos filets ailleurs.
– Oui, mais où ?
– Je peux bien partir draguer. Ça, ça me pose pas de problème. Seulement il va se passer quoi ? Le mec, je vais pas lui balancer d’entrée de jeu : « Dis-moi, ça te brancherait pas de faire aussi des trucs avec mon patron ? » Va falloir que je le voie plusieurs fois avant, que je tâte le terrain, que je lance des ballons d’essai. Et pour rien la plupart du temps. Parce qu’il y en a pas des pelletées, finalement, des mecs que ça attire, ce truc-là. Et c’est peut-être au bout du dixième seulement que je dénicherai enfin la perle rare. On va perdre un temps fou. Alors non. Non. Faut qu’on trouve une autre solution. Mais ça, j’ai ma petite idée.
* **
Elle s’est assise au bord de son lit, l’ordinateur sur les genoux.
– Venez là ! À côté de moi.
Flanc contre flanc.
– J’ai déjà opéré une première sélection. Tenez, regardez !
Des hommes. Jeunes. Souriants. Nus. De dos. De face. En pied. En gros plan.
– Tu sors tout ça d’où ?
– Ben, du site, là… Et ceux-là, au moins, on est sûrs qu’ils seront partants. Ils l’affirment haut et fort qu’ils sont bi.
Il y en avait six en tout.
– Je les ai pris en fonction de mes goûts, mais il y en a d’autres, hein, si vous préférez !
– Plus il y en aura et moins on arrivera à se décider…– Ah, ça, c’est sûr ! Lequel vous préférez, vous ?
Elle les a fait défiler et redéfiler. En me surveillant du coin de l’œil.
– Alors ?
– Choisis, toi !
– Oh, si c’était que de moi, ce serait celui-là. Sans la moindre hésitation.
– Tu fais une fixation sur les blonds, on dirait…– Oui, mais ça, c’est parce que… Faut que je vous raconte. Parce que je vous ai dit l’autre jour qu’il y avait quelque chose qu’avait tout déclenché, mais je vous ai pas dit quoi. C’était il y a deux ans. Je m’étais inscrite à un cours de gym. Le mercredi soir, ça avait lieu. Le prof, Maxime, un ancien boxeur, avait une cinquantaine d’années et menait ses cours tambour battant. Sans nous laisser le moindre moment de répit. On était une vingtaine « d’élèves », essentiellement des femmes, mais aussi quelques hommes. Dont un blond justement, Hugo, un type de mon âge, peut-être un peu plus, sympa, avec qui je discutais de temps à autre. Et ce qui est arrivé, un soir, c’est qu’à la fin du cours, j’ai oublié mon portable dans la salle. Quand je m’en suis rendu compte, j’étais déjà loin, mais j’ai quand même fait demi-tour en espérant que Maxime serait encore là, en train de tout remettre en ordre. Il y avait effectivement sa voiture. Et également celle d’Hugo. Tiens, qu’est-ce qu’il fichait encore là, lui ? La porte de la salle était fermée à clef. Bizarre. Qu’est-ce qu’ils pouvaient bien fabriquer, bouclés là-dedans, tous les deux ? C’était d’autant plus étrange que tous les stores étaient baissés, ce qui n’était pas le cas une heure auparavant. J’ai fait le tour du bâtiment. Il y en avait un, de store, qui bloquait. Qui ne descendait pas jusqu’en bas. Il s’en fallait de trois à quatre bons centimètres. Largement suffisant pour voir ce qui se passait à l’intérieur. Et ce qui s’y passait, c’est que, sur un matelas de réception en mousse, Hugo était en train de prendre résolument son plaisir dans Maxime. Pour, à l’évidence, la plus grande satisfaction de celui-ci. J’ai regardé, fascinée, jusqu’au bout. Jusqu’à ce qu’ils aient joui et qu’ils se soient dénoués, dans un baiser, l’un de l’autre. Je me suis enfuie. Je ne suis pas allée bien loin. Je me suis garée, à cent mètres de là, sur un parking désert. Ça pressait trop. J’étais trempée. Et j’ai rugi, très vite, un plaisir éperdu dans ma voiture.
– Et je suppose que le mercredi suivant…– Ben, tiens ! Tous les mercredis, vous pensez bien ! J’étais rôdée : j’allais planquer ma voiture un peu plus bas, dans un petit chemin désert, et je me dépêchais de revenir. À pied. Le plus vite et le plus discrètement possible. Pour ne rien manquer du spectacle. Dès le début. Je ne savais jamais à l’avance quel tour les choses allaient prendre. Lequel allait être dans l’autre. Des fois, c’était Maxime. D’autres fois, c’était Hugo.
– Et qu’est-ce que tu préférais ?
– Oh, Hugo ! Et de loin. Je sais pas trop au juste pourquoi. Sûrement parce que c’était le plus jeune. Et que le plus jeune dans le plus âgé, moi… Mais c’était pas toujours comme ça que ça se passait. D’autres fois, ils se prenaient dans la bouche. Ensemble ou à tour de rôle. On bien encore ils se branlaient l’un l’autre. J’aimais bien aussi. Parce que je voyais sortir leur jus. J’aimais tout n’importe comment avec eux. Ça me mettait dans de ces états ! Et j’arrivais pas toujours à attendre d’être sur mon parking en-dessous. Souvent il fallait que ce soit là, tout de suite, en les regardant. Ce qui ne m’empêchait pas de recommencer, une fois rentrée chez moi, plus posément, plus tranquillement. En faisant revenir les images de ce que je venais de voir. Ou bien d’autres des fois d’avant.
– Ils ne se sont jamais rendu compte de rien ?
– Jamais, non ! Et ça, justement, pendant les cours, quand je les regardais ou que je leur parlais, j’adorais me le dire, me le répéter encore et encore que je savais. Et qu’ils savaient pas que je savais. Que je les avais vus. Et que je les verrais encore. Pas plus tard qu’à la fin du cours. Bon, mais c’est pas tout ça. Je vous avais pas promis quelque chose ce matin ?
– Oh, si ! Si !
– Bon, ben déshabillez-vous alors ! Et mettez-vous sur le ventre. Je reviens.
* **
Elle m’a posé une main au creux des reins, l’y a doucement promenée, en caresses de bout des doigts. Longtemps.
Et puis plus bas. Une fesse. Qu’elle a descendue. Remontée. Lentement apprise. L’autre. En prenant tout son temps. Et puis le sillon entre elles. De plus en plus profondément creusé. Elle s’est approchée de mes replis froncés, en a patiemment sollicité les pourtours. Elle s’est faite plus précise, plus intrusive. Elle a humecté. Et précisé.
– C’est pas ma salive. C’est ma mouille.
Et elle a doucement forcé. D’un doigt qui s’est aventuré, enfoncé, qui a habité, tournoyé. Un deuxième l’y a bientôt rejoint.
– Vous aimez ?
Je n’ai pas répondu. Je me suis hissé sur les genoux. Je lui ai tendu ma croupe.
– Oh, oui, que vous aimez ! Oui.
Elle a respiré plus vite. Plus fort.
– Moi aussi, j’aime…Le lit a vibré. Elle a haleté. Gémi.
Je me suis empoigné.
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