Hébergement d'urgence (27)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Hébergement d'urgence (27)
Emma est arrivée, tout essoufflée, au tout dernier moment. Le cours de gym commençait.
– Ben, dis donc, il était temps !
– J’étais avec Alexis. On parlait. Ça devrait pas être impossible de la lui mettre en cage finalement. J’ai bon espoir. Je vous raconterai.
Elle a jeté un rapide coup d’œil autour d’elle.
– Il doit être déçu, le Maxime. Il y a quasiment pas de mecs.
Il y en avait quand même, si ! Trois ou quatre. Dont un petit jeune, d’une vingtaine d’années, au visage d’ange.
Elles se sont penchées à mon oreille.
– Qu’arrête pas vous mater en douce, n’empêche ! Si, c’est vrai, hein ! Vous lui avez tapé dans l’œil, c’est clair !
– Maxime va sûrement pas apprécier.
– Ah, ça, c’est sûr ! Le connaissant…– Peut-être qu’il va lui casser la figure.
– Ou bien alors qu’ils vont faire copain-copain tous les trois.
– Et nous, on sera aux premières loges, à la fenêtre là-bas.
Dont le rideau n’avait pas été remis en état. Elles avaient vérifié.
Elles ont voulu rester un peu à la fin.
– Oui, parce que la gym, on s’en fout finalement. Ce qui nous intéresse, en fait, c’est les à-côtés.
Et Coralie m’a emmené tailler un bout de bavette avec Maxime.
– Que vous fassiez un peu mieux connaissance avec lui quand même !
Tandis qu’Emma allait se lancer, un peu à l’écart, dans une grande conversation avec visage d’ange.
– Histoire de vous préparer le terrain. Je suis mignonne, avouez, non ?
* **
Bon, mais allez ! On en parlerait plus tard de la gym, de Maxime et de Lucas, le petit jeune. Ce qui l’intéressait, pour le moment, Coralie, c’était Alexis. Ce qui s’était passé entre Emma et Alexis.
– Ce qui s’est passé ? C’est qu’il était pas au courant, Alexis, de la réunion à Lille. Et que ça l’a vexé. Il s’est senti laissé pour compte. D’autant que, à ce qu’il m’a dit, il a assisté à plein de trucs entre Romaine et son patron. Il a même participé.
– Exact ! Je confirme.
– J’ai vite senti qu’il y tenait énormément à être là-bas. Quitte à se laisser encager si c’était nécessaire. À l’évidence, ça l’était. Alors tu penses bien que je me suis dépêchée de me faufiler dans la brèche.
– Bien vu !
– Le problème, c’est que ça risque de n’être que ponctuel. Et, qu’une fois cette fameuse réunion passée, il va peut-être bien me filer entre les doigts.
– Ça, c’est fort possible.
– Tu t’y prendrais comment, toi, pour que ça continue après ?
– Il y a pas de solution miracle. Vu qu’il y a pas deux mecs pareils.
– Évidemment, oui ! Mais quand même, il doit bien y avoir un moyen ! Lui, là, ton patron, tu l’as bien en mains. Il cherche pas à te fausser compagnie. Alors il y a forcément un truc, je sais pas, moi !
– Ben, qui dit cage dit privation. S’il l’accepte sans trop rechigner, c’est qu’il sent que j’adore ça, le priver. L’avoir complètement à ma merci, totalement impuissant. Et c’est vrai que c’est un plaisir délicieusement subtil. Que t’y prends un pied pas possible. J’y trouve mon compte ? Alors lui aussi, il y trouve le sien. Plus ça me comble et plus ça le comble. Mais il y a pas que ça !
– Ah, oui ? Il y a quoi d’autre ?
– Viens ! Viens ! Je vais te dire.
Et elles sont allées s’enfermer dans sa chambre.
* **
– Asseyez-vous !
Elles l’ont fait, elles aussi. Côte à côte. Sur le canapé. En face de moi.
– On a discuté toutes les deux.
Ça, je m’étais rendu compte, oui. Plus de trois heures.
– Et vous avez entendu ce qu’elle a dit, Romaine, hier soir. Que son patron, à elle, il en avait plus vraiment besoin de la cage. Qu’il se contrôle. Et les cinq autres, c’est pareil, si ça tombe. Sûrement même. Et sûrement aussi que, quand on sera là-bas, le 16, elles leur feront mettre à tous la queue à l’air devant un truc excitant. Histoire de faire voir de quoi ils sont capables. De quoi elles les ont rendus capables. Tous. Sauf vous. Pour quoi je vais passer, moi, alors, par votre faute ? Pour la fille qu’a même pas été fichue d’obtenir de vous que vous vous maîtrisiez. La honte ! Cela étant, faut bien reconnaître que vous êtes pas le seul responsable non plus. Je me suis montrée beaucoup trop laxiste à votre égard. Oh, mais il est pas trop tard. Il est jamais trop tard. Je peux encore reprendre les choses en mains. Et faire en sorte que vous soyez opérationnel le jour J. Vous ne voudriez tout de même pas me ridiculiser ?
– Tu sais bien que non.
– C’est bien pour ça. Il va impérativement falloir que, d’ici là, vous y arriviez, que vous fassiez vos preuves. Non ? Vous croyez pas ?
– Si !
– Et ça va pas être simple. Parce qu’on n’a pas beaucoup de temps d’ici là. Du coup, sûrement qu’on va pas avoir le choix : qu’on va devoir utiliser les grands moyens.
Les grands moyens ?
– Ben, oui ! Le martinet. Qu’est-ce vous voulez d’autre ? Si on veut obtenir des résultats. Vous y voyez pas d’inconvénient, j’espère ?
Si ! Enfin non, non ! Si elle estimait que c’était vraiment nécessaire…– Oui, ben ça, ça dépend de vous ! Et que de vous ! Bon, mais allez ! Assez discutaillé. Action !
Et elle m’a retiré la cage.
– Venez !
Dans la salle de bains.
Elles s’y sont déshabillées, sont montées dans la baignoire.
L’eau a giclé.
– Ben, qu’est-ce que vous fichez ? Restez pas planté là. Venez avec nous !
Avec elles. Qui se sont aspergées et savonnées à qui mieux mieux.
Elles ont constaté.
– Il est sage.
– Pour le moment.
Emma a posé, pour le laver, un pied sur le rebord de la baignoire.
Et Coralie s’est agacée.
– Ben, regardez au moins ! Ça vaut pas sinon ! Ça prouve rien.
J’ai regardé. Il était entrebâillé, son minou. Elle a levé un peu plus le pied, a écarté la jambe. Il s’est ouvert au large.
– Eh, mais c’est qu’il ferait des progrès ! Il bande pas.
Elles ont échangé quelques mots à voix basse.
– Vous vous rappelez l’autre fois ?
L’autre fois ?
– Vous lui avez lavé le ventre à Emma.
– Ah, oui, oui !
– Eh bien, vous allez recommencer ! Mais les seins, ce coup-ci ! Eh ben, allez ! Qu’est-ce que vous attendez ?
Je me suis emparé d’un gant.
– Ah, non, non ! À mains nues.
À mains nues.
Avec hésitation d’abord. Et puis avec de plus en plus d’assurance. De conviction.
J’ai savonné. Enveloppé. Cerné. Frotté.
Les pointes s’en sont orgueilleusement dressées.
– Elle bouge pas, sa queue, on dirait.
– Ah, si, si ! Ça y est ! Ça commence.
– Et ça fait même plus que commencer. Elle prend carrément son envol, oui ! Non, mais regarde-moi ça !
– Je sens que c’est pas gagné.
– Oh, mais pars pas battue. Il y a ce qu’on a dit.
Elle a brandi un martinet. Sorti de je ne sais où.
– Dix coups ?
– Oui. Pour une première fois, ça me paraît bien. Cinq chacune.
C’est Coralie qui commencé.
Cinq coups. Espacés. Pas trop appuyés. Mais assez tout de même.
Emma a pris le relais.
– Tu l’as à peine touché. Tu vas voir, moi !
J’ai vu. Senti plutôt.
Ça m’a mordu. Ça m’a brûlé. J’ai hurlé.
– Ben, dis donc, il était temps !
– J’étais avec Alexis. On parlait. Ça devrait pas être impossible de la lui mettre en cage finalement. J’ai bon espoir. Je vous raconterai.
Elle a jeté un rapide coup d’œil autour d’elle.
– Il doit être déçu, le Maxime. Il y a quasiment pas de mecs.
Il y en avait quand même, si ! Trois ou quatre. Dont un petit jeune, d’une vingtaine d’années, au visage d’ange.
Elles se sont penchées à mon oreille.
– Qu’arrête pas vous mater en douce, n’empêche ! Si, c’est vrai, hein ! Vous lui avez tapé dans l’œil, c’est clair !
– Maxime va sûrement pas apprécier.
– Ah, ça, c’est sûr ! Le connaissant…– Peut-être qu’il va lui casser la figure.
– Ou bien alors qu’ils vont faire copain-copain tous les trois.
– Et nous, on sera aux premières loges, à la fenêtre là-bas.
Dont le rideau n’avait pas été remis en état. Elles avaient vérifié.
Elles ont voulu rester un peu à la fin.
– Oui, parce que la gym, on s’en fout finalement. Ce qui nous intéresse, en fait, c’est les à-côtés.
Et Coralie m’a emmené tailler un bout de bavette avec Maxime.
– Que vous fassiez un peu mieux connaissance avec lui quand même !
Tandis qu’Emma allait se lancer, un peu à l’écart, dans une grande conversation avec visage d’ange.
– Histoire de vous préparer le terrain. Je suis mignonne, avouez, non ?
* **
Bon, mais allez ! On en parlerait plus tard de la gym, de Maxime et de Lucas, le petit jeune. Ce qui l’intéressait, pour le moment, Coralie, c’était Alexis. Ce qui s’était passé entre Emma et Alexis.
– Ce qui s’est passé ? C’est qu’il était pas au courant, Alexis, de la réunion à Lille. Et que ça l’a vexé. Il s’est senti laissé pour compte. D’autant que, à ce qu’il m’a dit, il a assisté à plein de trucs entre Romaine et son patron. Il a même participé.
– Exact ! Je confirme.
– J’ai vite senti qu’il y tenait énormément à être là-bas. Quitte à se laisser encager si c’était nécessaire. À l’évidence, ça l’était. Alors tu penses bien que je me suis dépêchée de me faufiler dans la brèche.
– Bien vu !
– Le problème, c’est que ça risque de n’être que ponctuel. Et, qu’une fois cette fameuse réunion passée, il va peut-être bien me filer entre les doigts.
– Ça, c’est fort possible.
– Tu t’y prendrais comment, toi, pour que ça continue après ?
– Il y a pas de solution miracle. Vu qu’il y a pas deux mecs pareils.
– Évidemment, oui ! Mais quand même, il doit bien y avoir un moyen ! Lui, là, ton patron, tu l’as bien en mains. Il cherche pas à te fausser compagnie. Alors il y a forcément un truc, je sais pas, moi !
– Ben, qui dit cage dit privation. S’il l’accepte sans trop rechigner, c’est qu’il sent que j’adore ça, le priver. L’avoir complètement à ma merci, totalement impuissant. Et c’est vrai que c’est un plaisir délicieusement subtil. Que t’y prends un pied pas possible. J’y trouve mon compte ? Alors lui aussi, il y trouve le sien. Plus ça me comble et plus ça le comble. Mais il y a pas que ça !
– Ah, oui ? Il y a quoi d’autre ?
– Viens ! Viens ! Je vais te dire.
Et elles sont allées s’enfermer dans sa chambre.
* **
– Asseyez-vous !
Elles l’ont fait, elles aussi. Côte à côte. Sur le canapé. En face de moi.
– On a discuté toutes les deux.
Ça, je m’étais rendu compte, oui. Plus de trois heures.
– Et vous avez entendu ce qu’elle a dit, Romaine, hier soir. Que son patron, à elle, il en avait plus vraiment besoin de la cage. Qu’il se contrôle. Et les cinq autres, c’est pareil, si ça tombe. Sûrement même. Et sûrement aussi que, quand on sera là-bas, le 16, elles leur feront mettre à tous la queue à l’air devant un truc excitant. Histoire de faire voir de quoi ils sont capables. De quoi elles les ont rendus capables. Tous. Sauf vous. Pour quoi je vais passer, moi, alors, par votre faute ? Pour la fille qu’a même pas été fichue d’obtenir de vous que vous vous maîtrisiez. La honte ! Cela étant, faut bien reconnaître que vous êtes pas le seul responsable non plus. Je me suis montrée beaucoup trop laxiste à votre égard. Oh, mais il est pas trop tard. Il est jamais trop tard. Je peux encore reprendre les choses en mains. Et faire en sorte que vous soyez opérationnel le jour J. Vous ne voudriez tout de même pas me ridiculiser ?
– Tu sais bien que non.
– C’est bien pour ça. Il va impérativement falloir que, d’ici là, vous y arriviez, que vous fassiez vos preuves. Non ? Vous croyez pas ?
– Si !
– Et ça va pas être simple. Parce qu’on n’a pas beaucoup de temps d’ici là. Du coup, sûrement qu’on va pas avoir le choix : qu’on va devoir utiliser les grands moyens.
Les grands moyens ?
– Ben, oui ! Le martinet. Qu’est-ce vous voulez d’autre ? Si on veut obtenir des résultats. Vous y voyez pas d’inconvénient, j’espère ?
Si ! Enfin non, non ! Si elle estimait que c’était vraiment nécessaire…– Oui, ben ça, ça dépend de vous ! Et que de vous ! Bon, mais allez ! Assez discutaillé. Action !
Et elle m’a retiré la cage.
– Venez !
Dans la salle de bains.
Elles s’y sont déshabillées, sont montées dans la baignoire.
L’eau a giclé.
– Ben, qu’est-ce que vous fichez ? Restez pas planté là. Venez avec nous !
Avec elles. Qui se sont aspergées et savonnées à qui mieux mieux.
Elles ont constaté.
– Il est sage.
– Pour le moment.
Emma a posé, pour le laver, un pied sur le rebord de la baignoire.
Et Coralie s’est agacée.
– Ben, regardez au moins ! Ça vaut pas sinon ! Ça prouve rien.
J’ai regardé. Il était entrebâillé, son minou. Elle a levé un peu plus le pied, a écarté la jambe. Il s’est ouvert au large.
– Eh, mais c’est qu’il ferait des progrès ! Il bande pas.
Elles ont échangé quelques mots à voix basse.
– Vous vous rappelez l’autre fois ?
L’autre fois ?
– Vous lui avez lavé le ventre à Emma.
– Ah, oui, oui !
– Eh bien, vous allez recommencer ! Mais les seins, ce coup-ci ! Eh ben, allez ! Qu’est-ce que vous attendez ?
Je me suis emparé d’un gant.
– Ah, non, non ! À mains nues.
À mains nues.
Avec hésitation d’abord. Et puis avec de plus en plus d’assurance. De conviction.
J’ai savonné. Enveloppé. Cerné. Frotté.
Les pointes s’en sont orgueilleusement dressées.
– Elle bouge pas, sa queue, on dirait.
– Ah, si, si ! Ça y est ! Ça commence.
– Et ça fait même plus que commencer. Elle prend carrément son envol, oui ! Non, mais regarde-moi ça !
– Je sens que c’est pas gagné.
– Oh, mais pars pas battue. Il y a ce qu’on a dit.
Elle a brandi un martinet. Sorti de je ne sais où.
– Dix coups ?
– Oui. Pour une première fois, ça me paraît bien. Cinq chacune.
C’est Coralie qui commencé.
Cinq coups. Espacés. Pas trop appuyés. Mais assez tout de même.
Emma a pris le relais.
– Tu l’as à peine touché. Tu vas voir, moi !
J’ai vu. Senti plutôt.
Ça m’a mordu. Ça m’a brûlé. J’ai hurlé.
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