Hélène 29 : Mel 3éme épisode , la tentation
Récit érotique écrit par Rouge [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 57 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Rouge ont reçu un total de 371 170 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 3 861 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Hélène 29 : Mel 3éme épisode , la tentation
Hélène 29 : Mel 3éme épisode, la tentation.
Mel
Je dégage la nuque d’Hélène, sur le dos de mes mains je sens la caresse soyeuse de sa chevelure opulente. J’ajuste le mors et je noue le bâillon en O sur la nuque de ma tendre amie.
En faisant ce geste, j’achève la préparation de mon amante pour la flagellation.
Comment en suis-je arrivée à fouetter ma tendre maitresse ?
Une petite heure plus tôtJe verrouille la porte de ma petite Mercedes (oui, mon mari me néglige, mais il me gâte parfois, pour se faire pardonner) et je sonne au portier de la maison d’Hélène.
Elle a appris que mon époux ne serait pas là ce samedi, et elle m’a invité à partager leur soirée.
Je me suis apprêtée, et j’ai mis en œuvre les leçons de mon amie. Talons de huit centimètres pour étirer mes mollets, une jupe plissée en soie verte foncé, dont les plis mettent en valeur mes hanches et mon cul, et pour le haut, un cachemire jaune, avec un col en V profond pour dévoiler le haut de ma poitrine. Et comme dessous, un balconnet de dentelle blanche qui laisse mes framboises exposées au frottement de la laine. Bien sûr, serre-taille et bas havanes à coutures, et une belle culotte couvrante mais qui laisse deviner mes fesses et mon vison par transparence. On ne sait jamais comment cette invitation va tourner.
- J’arrive. Fait Pierre, en m’ouvrant la porte. Et il continue…- Hélène est dans le salon, elle vous attend avec impatience.
Je monte les quelques marches qui séparent l’entrée de leur grand salon.
Je passe à peine la porte que…
- Bonjour ma belle !
Je me bloque net, le souffle coupé. Mon amante est là, au milieu de la pièce dans une posture ahurissante
- Surprise. Surprise. Reprend-elle avec sa voix enjouée.
J’ai peine à en croire mes yeux. Hélène nue ou presque, est allongée à plat ventre sur un sorte de chevalet, ses mains attachées dans le dos, la poitrine pendant de chaque côté d’une pièce courbée vers le haut qui lui soutient le menton. Je m’avance légèrement et je peux la contempler en entier.
Son cou est enserré dans un haut collier de cuir, qui lui maintient la tête comme une minerve. Ses cheveux sont tirés en arrière et liés en queue de cheval.
Sa taille est ceinte d’un élégant petit corset rouge qui lui dégage les reins et les fesses. Je contourne le meuble. Un support de bois soutient haut perché son bassin, et accentue sa cambrure.
Ses jambes sont gainées de gerbes noires à coutures. Et ultime coquetterie, ils portent des petits nœuds, juste sur le tendon d’Achille. Son compas est maintenu écarté par des entraves aux chevilles.
Son cul surélevé est ouvert. Son sexe baille, laissant pendre ses petites lèvres, je peux voir sa nacre intime, déjà brillante d’humidité. Au-dessus de sa fente, son anneau bistre palpite légèrement au rythme de sa respiration.
- Ça te plait. M’apostrophe-t-elle.
- Tu peux toucher, si tu veux. Continue-t-elle.
J’approche ma main de ce cul opulent, offert à toutes les caresses comme à tous les sévices.
Je pose ma paume sur une fesse. C’est doux, élastique, moelleux, tendre et sensuel. Je cajole un instant cette chair voluptueuse, puis je reviens devant, et je m’agenouille, mon visage à hauteur du sien.
- Alors, qu’est-ce que tu en penses. M’interroge-t-elle - Tu es folle !
- Mais non, c’est délicieux, tu vois, et je suis accessible de partout, totalement disponible. Et puis, c’est bon… Et après un petit silence.
- Enfin, quand on est évolué- Mais pourquoi.
- Tu voulais voir, et bien tu vas pouvoir te rincer l’œil. Me répond-elle à la fois sérieuse et provocatrice- Mais il va te faire mal.
- Souffrir un peu, et jouir beaucoup. Souffrir beaucoup, et jouir intensément. Me réplique-t-elle.
Pierre me propose une flute de champagne. Je la vide d’un trait. Il m’en tend une deuxième.
- Non merci..
- Mél, ce n’est pas pour vous, mais pour elle.
Je pose le bord du verre sur les lèvres entrouvertes de la future suppliciée, puis je l’incline le liquide coule dans la bouche de mon amie, quelques gouttes perlent sur la commissure et glissent sur le menton. Instinctivement, j’attrape la pochette jaune que me donne mon hôte et j’essuie le bas du visage de la belle en cuisse.
- Pouvez-vous vous occuper de sa poitrine ? Me demande Pierre en me tendant un petit coffret.
Dedans, je trouve une paire de petits anneaux ouverts, dont la face interne est garnie de petits picots pyramidaux, et munies d’une petite vis de serrage.
- Fais gonfler mes tétons. Me demande mon amie
Ses mamelons s’érigent sous mes caresses, et se gorgent de sang.
- S’il te plait, pose-les. Me demande-telle.
Je glisse une des framboises dans un anneau, et je serre. Puis je fais subir le même sort à l’autre sein. Je m’arrête. Ses bouts se gonflent, jusqu’à être gros comme mon pouce.
- Plus fort.
Je la regarde incrédule.
- Plus fort. Me répète-t-elle.
Je tourne les petits papillons, le regard d’Hélène se fige, sa respiration s’accélère, Je stoppe.
- Encore un tour.
Je visse un peu plus, ses yeux s’embuent, elle laisse échapper un soupir.
- Voilà, c’est bien. Fait-elle d’une toute petite voix.
Je la fixe en silence, complétement perdue.
- Oh… Laisse échapper la belle.
- Qu’est-ce qu’il-y-a ?
- Pierre vient de me poser un leurre, me répond-elle, puis elle précise, avec une petite voix émue.
- Entre les reins !
- Pardon ?
- Il vient de m’enculer avec un gode, Nunuche…- Ça fait mal ?
- Es-tu bête… Il va falloir que je t’initie au plaisir anal, ma chérie ! Me répond la charmante.
Je fais le tour. Son anus est envahi par un plug de verre qui porte deux fines lames de métal brillantes.
Pierre déploie les deux petites lèvres et les étire doucement. Puis il en pince une avec une petite électrode dentelée. Un léger aie répond à la morsure métallique. L’autre nymphe subit le même sort, provoquant un petit cri identique.
Le seigneur de ma tendre amie relie le membre factice ainsi que les pinces à un petit boitier. Puis il passe deux fils sous le chevalet.
- Pouvez-vous enfoncer les deux fiches dans les anneaux de sa poitrine, s’il vous plait ?
Je lui obéis, ayant soin de ne pas trop bouger les seins pendants de la future suppliciée.
- Chaton, donne-lui les dés, s’il te plait.
Pierre me tend un godet, au fond duquel j’aperçois six cubes de couleur.
- C’est quoi.
Pierre va me répondre, mais Hélène le coupe.
- Les deux noirs, c’est pour la cravache, les rouges pour le chat à neuf queues, et les jaunes pour l’électricité.
- Mais….
- S’il te plait, lance les, et compte, je suis impatiente de savoir. M’ordonne-t-elle.
- Noirs, un double trois fais-je d’une voix étranglée, puis je poursuis.
- Jaune, cinq et deux, sept, rouge double quatre. Puis je m’arrête.
- Pierre, re-donne un rouge à Mel, et toi lance le… Me commande ma tendre amie.
Le dé roule, puis s’immobilise.
- Six, annonce mon amante. Puis elle continue.
- J’aurais mieux fait de me taire… Chéri, s’il te plait, donne le mors ouvert à Mél. Je veux qu’elle me le pose.
- Pourquoi?
- Je suis très expressive quand je suis fouettée. Me répond-elle
Je dégage la nuque d’Hélène. Je sens la caresse soyeuse de sa chevelure opulente sur le dos de mes mains. J’ajuste le mors et je noue le bâillon en O sur la nuque de ma tendre amie.
En faisant ce geste, j’achève la préparation de mon amante pour la flagellation. Je repasse devant. Je frémies, sa bouche est forcée par un anneau noir, ses belles lèvres pulpeuse sont étirées et ne sont plus qu’un mince liséré rouge autour du mors infâme.
Récit d'Hélène
Nous y voici, C'est maintenant que je vais savoir si mon piège va marcher. Si Mel part en courant, Je l'aurai perdue. Au début, c'était juste un petit jeu de séduction que m'avait ordonné Pierre. Et puis je me suis prise au jeu. J'éprouve un léger sentiment pour cette femme abandonnée. J'aimerai aussi lui donner conscience de son potentiel de séduction.
Et puis, il y a cette mission que m'a confié mon chéri, j'ai vraiment envie de réussir à l'emmener à gouter le fouet. Il faudra d'ailleurs qu'il m'explique pourquoi ?
Je n'aimerai pas découvrir qu'il m'a chargée de l'éduquer pour son infidèle et sans gêne de mari.
Je suis prête à me donner. Juste un peu d’inquiétude : Mél saura-t-elle me donner du plaisir comme Pierre ? Saura-t-elle doser l’usage des instruments ? Je fais confiance à mon amant pour la guider.
J'en suis là de mes réflexions quand.....
- Mel, c'est à vous- Comment à moi.
- Hélène vous demande de s'occuper d’elle, fait-il en lui tendant la cravache.
- M'occuper d'elle ?
- Oui, elle s'est préparée pour vous.
Elle hésite et s'empare du jonc. J’ai réussi.
Maintenant, il me faut subir ! Je ferme les yeux, je fais le vide dans ma tête, je suis bien, je sais que je vais être heureuse
Récit de Mel
Pierre me glisse une badine dans la main. Timidement je donne un petit coup sur le fessier consentant.
- Mel, soyez sérieuse. Là vous humiliez Hélène !
Je frappe à nouveau ce cul tentateur, et je laisse une petite trace rouge.
- Voilà, c’est mieux commente Pierre. Puis il reprend…- Mais je vous conseille de la travailler par de courtes séquences, en vous concentrant sur une partie de son anatomie, puis de vous arrêter pour la laisser déguster vos sévices.
- Je ne comprends pas ! C’est tout ce que je trouve à répondre, tellement je trouve cette conversation surréaliste.
Lentement, je fais le tour de la belle allongée. Je me place derrière elle. Je caresse le dos de la suppliciée avec le martinet. Puis je fais glisser les lanières sur le cul opulent, je le vois qui se couvre de chair de poule. Elle ondule doucement sa croupe comme un appel.
Pierre me confie un petit boitier.
Je reprends ma promenade autour du chevalet, laissant trainer les queues de cuir sur le corps de la belle poule.
D’un coup, elle se cabre, Elle pousse un hurlement étouffé par le mors. Je viens de l’électriser en appuyant sur le bouton de la télécommande.
Elle geint doucement, sa respiration un instant accéléré, se calme. Un tremblement agite son corps.
Je cravache son cul par deux fois, assez fort pour laisser deux traits roses, elle ne laisse échapper qu’un soupir.
Je laisse la cravache et l’échange contre le martinet. J’arrose son croupion encore deux fois.
Pierre fait pivoter le meuble, elle me fait face, je la voie haleter. Son rimmel a coulé.
Elle me fixe. Je lève mon bras, Elle acquiesce d’un clignement de paupières.
Je lance les lanières. Elles arrosent la poitrine de la belle faisant danser ses seins adorés L'une d'entre elles s'enroule d'un mamelon, j'appuie sur la commande en même temps. Mon amie se cabre dans un cri inarticulé de bête.
Je ne la laisse pas reposer et je flagelle deux fois les mamelles si tentantes de la belle quinqua.
Son sultan la retourne, m’offrant ses cuisses et ses fesses. J’appuie par deux fois sur le bouton. Elle se cambre. Je vois son anus se crisper autour du membre factice. Des gouttes perlent de sa chatte ouverte devenue rouge sous l’afflux du sang. Elle coule.
Je vise son sexe, les mèches de cuir percutent les lèvres, l’entrée du vagin et surtout le bouton si sensible. Son bâillon étouffe le hurlement et ne laisse passer qu’un borborygme.
Je coule, je suis en train de jouir de la douleur que j’inflige à mon amante.
Je deviens folle. Je tourne autour de mon amie. Je la flagelle et je l'électrocute en même temps, je ne lui laisse aucun répit. Elle ne crie plus, émettant une longue plainte continueJe vais la fouetter une fois de plus quand la main de Pierre me bloque en pleine élan.
- C'est bon, le compte y est.
Ma victime sanglote. Puis doucement, elle s’apaise. Un étrange silence paisible s'installe seulement troublé par les geignements de la suppliciée. Mes mains s’ouvrent laissant échapper les instruments de son sacrifice.
Je me laisse tomber dans le fauteuil d’où j’ai une vue imprenable sur son compas grand ouvert. Son orchidée baille, laissant suinter ses sécrétions qui glissent le long de ses cuisses jusqu’à la lisière de ses bas.
- Mél, maintenant enlevez lui son mors, Hélène a quelque chose à vous demander
Hélène halète doucement les yeux fermés. Je m’agenouille devant elle, je la débarrasse du bâillon et je lui caresse la joueElle soulève ses paupières, et m’adresse un pauvre sourire.
- Ma chérie, tu dois me marquer maintenant.
- Pardon ?
- Oui, tu dois cravacher mon gros popotin, c’est le grand final.
Je me redresse. Pierre me tend le jonc de cuir. Je me place, je lève mon bras, je le lance. Je ferme les yeux. Je ne veux pas voir.
Un hurlement remplit la pièce, je rouvre mes paupièresLa pauvre supplicié se cabre, ses dents serrées étouffent ses sanglots. Elle est agitée de frissons incoercibles. Puis ses spasmes s’apaisent lentement. Une balafre rouge traverse son cul, en biais.
Elle pleure, son visage est tendu, marqué, ses yeux sont cernés de noir. Ses larmes ont fait couler son rimmel, son rouge a bavé.
Et pourtant, je la trouve belle.
Pierre s’agenouille à côté de moi, avec un paquet de serviettes parfumées.
Il commence à la laver.
- S’il vous plait Pierre, laissez-moi faire, lui demandé-je en m’emparant des lingettes et je commence à nettoyer ma pauvre amie. Et je poursuis- Je t’ai fait mal. Je ne trouve que cette stupidité à lui dire.
- Oui, ma caille, mais ça va, c’était bon aussi.
- Mél, pouvez-vous libérer ses seins? M’enjoint Pierre - Fais doucement, s’il te plait. Me demande mon amie
Je dévisse lentement les anneaux. J’imagine la pulsation du sang qui revient dans ses tétons. Ma belle amie laisse échapper quelques geignements. Les deux pinces tombent. Je prends ses mamelons entre mes doigts et je les masse doucement, ils reprennent leur délicate teinte bouton de rose.
Pierre a détaché son amante, et l’a conduite dans leur chambre. J’ai une envie folle de me caresser. Je baisse les yeux et je découvre une petite tache humide sur le carrelage, grande comme un billet de dix euros. La belle suppliciée a mouillé sous la flagellation, et c’est la trace de son bonheur que je remarque. Pierre me surprend dans ma rêverie
- Voilà, elle est douchée, elle se repose. Puis il continue, - Vous voulez manger quelque chose ?
- Je n’ai pas très faim, mais je prendrais bien un thé. Fais-je en fixant le chevalet.
Le maitre de maison sent mon malaise de rester à côté de l’autel du sacrifice. Il me propose.
- On peut s’installer dans la cuisine ?
Je le suis. Sur la table, deux plateaux nous attendent, un avec des sashimis et l’autre avec des petits fours.
Pendant que l’eau chauffe, mon hôte me présente une flute pleine. Je la vide aussi sec. Puis il pousse les victuailles vers moi. Je ne résiste pas, je prends un sushi. Pierre s’assoit en face de moi et commence à piocher dans la nourriture.
Nous mangeons face à face, sans rompre le silence. Mon convive avance vers moi un nouveau verre de champagne…
- Alors, on picole, et on s’empiffre pendant que je gis sur mon lit de souffrance. Fait une voix rieuse.
Hélène s’encadre dans la porte. Elle fait quelques pas et s’assoit sur les genoux de son amant.
- Aie, Tu as les cuisses trop dures. S’il te plait mon chéri…
Le chéri en question se lève, et reviens une minute plus tard, avec deux coussins à la main. Il se rassoit, et dispose les deux oreillers sur ses genoux. La belle pose son séant sur ce pouf improvisé.
- Voila. Tu es bien confortable, mon minou. Puis elle continue- Il reste un coup à boire ?
Le minou lui tend une flute, dont elle ne boit que la moitié. Il lui passe les bras autour de sa taille pour éviter qu’elle ne glisse. Ma belle amie s’est emballée dans un beau kimono gris vert et orange. Elle a mis ses hanches en valeur en serrant sa taille avec une large ceinture assortie. Elle a peignée son opulente chevelure noire, mais elle l’a laissée libre. A chaque mouvement de tête, elle caresse de ses mèches le visage de son amant, visiblement aux anges. Elle prend sa main gauche, qui la maintient, et la glisse dans un pli de sa lingerie de nuit, contre la peau de son ventre. Elle est redevenue vive et enjouée, souriante, mais deux cernes sous ses yeux nous rappellent les sévices qu’elle vient de subir. Un instant, j’envie ce bonheur conjugal.
Elle a bien repris du poil de la bête, et fait un sort aux amuse-gueules,Les échanges reprennent, vifs, pétillants, sur des sujets légers, le vin, la bouffe, le jardinage.
Puis la conversation se ralentit.
- Ma belle, je suis un peu fatiguée, et il est temps de mettre la viande dans le torchon. Je t’accompagne à la porte. Décrète ma belle amie.
Je suis le couple dans l’entrée quand…
- Mon chaton, j’y pense, peux-tu préparer un petit doggy bag pour Mél, avec les sushi et les petits fours.
Le chaton en question pivote, et retourne dans la cuisine.
- Hélène, je n’ai pas besoin de ça.
- Oui, mais je voulais te parler entre quatre yeux. Puis elle continue.
- J’espère que tu ne m’en veux pas.
- T’en vouloir ?
- Je t’ai un peu piégée, tu ne t’attendais pas à ça- En fait, je croyais que nous dinerions entre amis et…- Et ? me reprend mon amie- Et j’espérai que tu te partagerais entre Pierre et moi.
- Tu es une coquine, mais c’est un peu ce qui s’est passé, n’est-ce pas. Me répond-elle.
- Oui, mais je m’attendais pas à cette surprise. Et puis, je m’étais faite belle pour toi. Regarde.
Je remonte ma jupe sur le côté, au-delà de la bordure de mes bas et je lui exhibe ma cuisse et le coté de ma culotte.
- Petite friponne, tourne toi, et trousse toi.
Je lui obéis. Elle se penche. Elle écarte ma lingerie
Dis donc, tu es trempée. Fait-elleElle pose ses lèvres sur mes fesses, un petit bisou. Puis je sens qu’elle appuie ses dents. Je sais déjà ce qui m’attend. Je pousse mon cul contre sa bouche. Elle me mord cruellement. Et étrangement une sensation de bonheur malgré la douleur.
Elle se redresse et me caresse la joue.
- Tu vois, je te trouve à mon gout.
Un petit silence, puis je l’interroge
- Je t’ai fait mal ?
- Oui, mais c’était bon aussi.
- Aussi ??? Tu as joui ?
- Non, je n’ai pas joui au sens où tu l’entends, pas d’orgasme.
- Mais alors. Fais-je pour la relancer- Tu sais, c’est aussi un plaisir assez intellectuel. J’aime être préparée, imaginer ce qui va m’arriver, savoir que mon chéri me regarde, et prend plaisir au spectacle de ma flagellation. Et puis me donner à toi, pour que tu te révèles. Et après, le sang qui se rue vers mes zones érogènes. J’en mouille à nouveau d’y repenser.
- Mais tu as toujours été comme ça.
- Non, c’est venu progressivement. Pierre est un bon initiateur, il a su me guider. Maintenant, c’est moi qui lui demande. Je crée même des situations, pour réaliser mes fantasmes.
Je reste pantoire devant ces aveux, je tente une diversion…
- Et ce soir, avec Pierre…- Oh ce soir, je ne suis plus bonne à rien. Alors, je colle mes fesses contre le ventre de mon doudou, sa main sur mes seins, et dodo. Mais demain grasse matinée, gros câlins tous doux, et la Sainte Trilogie.
- La sainte trilogie ?
- Oui : massage, tripotage, et baisage- Baisage ! Ça se dit ?
- Je ne sais pas si ça se dit, mais ça se fait. Explique-t-elle en souriant comme une chatte devant un bol de lait.
Le maitre de maison interrompt cet échange, en revenant avec deux petites boites, nouées d’un petit ruban, comme à la pâtisserie.
- Eh bien Mel, bonne nuit fait-il en ouvrant la porte.
J’hésite, je lui fais un petit bisou, puis je colle un baiser de cousine sur la joue de mon amieJe marche jusqu’à ma voiture, et je me retourne. Ils sont là, tous les deux en ombre chinoise, dans l’encadrement de la porte. Elle se colle à lui et l’enlace. La porte se referme sur cette étreinteLa lumière de l’entrée s’éteint, puis celle du salon. Celle de leur chambre s’allume, puis disparait.
Je l’imagine, poussant ses fesses martyrisée contre le ventre de son compagnon, se blottissant dans ses bras.
Et d’un coup, je jalouse son bonheur matrimonial si simple.
Ça fait deux heures que je me tourne et me retourne dans mon lit sans trouver le sommeil. Je passe en boucle les événements de la soirée dans ma tête. Je me branle furieusement, mais je ne trouve pas la délivrance de la jouissancePour la troisième fois, je revois le film de la soirée sur l’écran de mes paupières, Mais étrangement, la peau de mon amie semble plus dorée. En pensée, je tourne autour du meuble. Je devine une chevelure blonde. Le visage de la suppliciée se relevé. C’est moi.
Je m’acharne frénétiquement sur mon bouton et je pince sauvagement mon téton. J’explose et je m’abime dans un sommeil enfin apaisé.
Epilogue
Hélène, le dimanche après-midi.
Je me laisse câliner par mon chéri, après une matinée de douce débauche. Je me repose, mais je reprends des forces car je sais que ce n’est que partie remise.
- ZZZ , ZZZ. C’est la sonnerie des SMS. J’ouvre le courrier. J’éclate de rire.
- Qu’est-ce qu’il-y-a me questionne mon amant.
- C’est Mel, regarde…
Un petit selfie du cul de la belle poule. Elle doit sortir de la douche, il y a encore des gouttes d’eau sur sa peau et une jolie marque de morsure qui vire au jaune sale et au violet. Et un petit commentaire
- J’ai presque plus mal !!!
Je pianote ma réponse.
- T’inquiété, ma minette, on va y remédier !!!!
Mel
Je dégage la nuque d’Hélène, sur le dos de mes mains je sens la caresse soyeuse de sa chevelure opulente. J’ajuste le mors et je noue le bâillon en O sur la nuque de ma tendre amie.
En faisant ce geste, j’achève la préparation de mon amante pour la flagellation.
Comment en suis-je arrivée à fouetter ma tendre maitresse ?
Une petite heure plus tôtJe verrouille la porte de ma petite Mercedes (oui, mon mari me néglige, mais il me gâte parfois, pour se faire pardonner) et je sonne au portier de la maison d’Hélène.
Elle a appris que mon époux ne serait pas là ce samedi, et elle m’a invité à partager leur soirée.
Je me suis apprêtée, et j’ai mis en œuvre les leçons de mon amie. Talons de huit centimètres pour étirer mes mollets, une jupe plissée en soie verte foncé, dont les plis mettent en valeur mes hanches et mon cul, et pour le haut, un cachemire jaune, avec un col en V profond pour dévoiler le haut de ma poitrine. Et comme dessous, un balconnet de dentelle blanche qui laisse mes framboises exposées au frottement de la laine. Bien sûr, serre-taille et bas havanes à coutures, et une belle culotte couvrante mais qui laisse deviner mes fesses et mon vison par transparence. On ne sait jamais comment cette invitation va tourner.
- J’arrive. Fait Pierre, en m’ouvrant la porte. Et il continue…- Hélène est dans le salon, elle vous attend avec impatience.
Je monte les quelques marches qui séparent l’entrée de leur grand salon.
Je passe à peine la porte que…
- Bonjour ma belle !
Je me bloque net, le souffle coupé. Mon amante est là, au milieu de la pièce dans une posture ahurissante
- Surprise. Surprise. Reprend-elle avec sa voix enjouée.
J’ai peine à en croire mes yeux. Hélène nue ou presque, est allongée à plat ventre sur un sorte de chevalet, ses mains attachées dans le dos, la poitrine pendant de chaque côté d’une pièce courbée vers le haut qui lui soutient le menton. Je m’avance légèrement et je peux la contempler en entier.
Son cou est enserré dans un haut collier de cuir, qui lui maintient la tête comme une minerve. Ses cheveux sont tirés en arrière et liés en queue de cheval.
Sa taille est ceinte d’un élégant petit corset rouge qui lui dégage les reins et les fesses. Je contourne le meuble. Un support de bois soutient haut perché son bassin, et accentue sa cambrure.
Ses jambes sont gainées de gerbes noires à coutures. Et ultime coquetterie, ils portent des petits nœuds, juste sur le tendon d’Achille. Son compas est maintenu écarté par des entraves aux chevilles.
Son cul surélevé est ouvert. Son sexe baille, laissant pendre ses petites lèvres, je peux voir sa nacre intime, déjà brillante d’humidité. Au-dessus de sa fente, son anneau bistre palpite légèrement au rythme de sa respiration.
- Ça te plait. M’apostrophe-t-elle.
- Tu peux toucher, si tu veux. Continue-t-elle.
J’approche ma main de ce cul opulent, offert à toutes les caresses comme à tous les sévices.
Je pose ma paume sur une fesse. C’est doux, élastique, moelleux, tendre et sensuel. Je cajole un instant cette chair voluptueuse, puis je reviens devant, et je m’agenouille, mon visage à hauteur du sien.
- Alors, qu’est-ce que tu en penses. M’interroge-t-elle - Tu es folle !
- Mais non, c’est délicieux, tu vois, et je suis accessible de partout, totalement disponible. Et puis, c’est bon… Et après un petit silence.
- Enfin, quand on est évolué- Mais pourquoi.
- Tu voulais voir, et bien tu vas pouvoir te rincer l’œil. Me répond-elle à la fois sérieuse et provocatrice- Mais il va te faire mal.
- Souffrir un peu, et jouir beaucoup. Souffrir beaucoup, et jouir intensément. Me réplique-t-elle.
Pierre me propose une flute de champagne. Je la vide d’un trait. Il m’en tend une deuxième.
- Non merci..
- Mél, ce n’est pas pour vous, mais pour elle.
Je pose le bord du verre sur les lèvres entrouvertes de la future suppliciée, puis je l’incline le liquide coule dans la bouche de mon amie, quelques gouttes perlent sur la commissure et glissent sur le menton. Instinctivement, j’attrape la pochette jaune que me donne mon hôte et j’essuie le bas du visage de la belle en cuisse.
- Pouvez-vous vous occuper de sa poitrine ? Me demande Pierre en me tendant un petit coffret.
Dedans, je trouve une paire de petits anneaux ouverts, dont la face interne est garnie de petits picots pyramidaux, et munies d’une petite vis de serrage.
- Fais gonfler mes tétons. Me demande mon amie
Ses mamelons s’érigent sous mes caresses, et se gorgent de sang.
- S’il te plait, pose-les. Me demande-telle.
Je glisse une des framboises dans un anneau, et je serre. Puis je fais subir le même sort à l’autre sein. Je m’arrête. Ses bouts se gonflent, jusqu’à être gros comme mon pouce.
- Plus fort.
Je la regarde incrédule.
- Plus fort. Me répète-t-elle.
Je tourne les petits papillons, le regard d’Hélène se fige, sa respiration s’accélère, Je stoppe.
- Encore un tour.
Je visse un peu plus, ses yeux s’embuent, elle laisse échapper un soupir.
- Voilà, c’est bien. Fait-elle d’une toute petite voix.
Je la fixe en silence, complétement perdue.
- Oh… Laisse échapper la belle.
- Qu’est-ce qu’il-y-a ?
- Pierre vient de me poser un leurre, me répond-elle, puis elle précise, avec une petite voix émue.
- Entre les reins !
- Pardon ?
- Il vient de m’enculer avec un gode, Nunuche…- Ça fait mal ?
- Es-tu bête… Il va falloir que je t’initie au plaisir anal, ma chérie ! Me répond la charmante.
Je fais le tour. Son anus est envahi par un plug de verre qui porte deux fines lames de métal brillantes.
Pierre déploie les deux petites lèvres et les étire doucement. Puis il en pince une avec une petite électrode dentelée. Un léger aie répond à la morsure métallique. L’autre nymphe subit le même sort, provoquant un petit cri identique.
Le seigneur de ma tendre amie relie le membre factice ainsi que les pinces à un petit boitier. Puis il passe deux fils sous le chevalet.
- Pouvez-vous enfoncer les deux fiches dans les anneaux de sa poitrine, s’il vous plait ?
Je lui obéis, ayant soin de ne pas trop bouger les seins pendants de la future suppliciée.
- Chaton, donne-lui les dés, s’il te plait.
Pierre me tend un godet, au fond duquel j’aperçois six cubes de couleur.
- C’est quoi.
Pierre va me répondre, mais Hélène le coupe.
- Les deux noirs, c’est pour la cravache, les rouges pour le chat à neuf queues, et les jaunes pour l’électricité.
- Mais….
- S’il te plait, lance les, et compte, je suis impatiente de savoir. M’ordonne-t-elle.
- Noirs, un double trois fais-je d’une voix étranglée, puis je poursuis.
- Jaune, cinq et deux, sept, rouge double quatre. Puis je m’arrête.
- Pierre, re-donne un rouge à Mel, et toi lance le… Me commande ma tendre amie.
Le dé roule, puis s’immobilise.
- Six, annonce mon amante. Puis elle continue.
- J’aurais mieux fait de me taire… Chéri, s’il te plait, donne le mors ouvert à Mél. Je veux qu’elle me le pose.
- Pourquoi?
- Je suis très expressive quand je suis fouettée. Me répond-elle
Je dégage la nuque d’Hélène. Je sens la caresse soyeuse de sa chevelure opulente sur le dos de mes mains. J’ajuste le mors et je noue le bâillon en O sur la nuque de ma tendre amie.
En faisant ce geste, j’achève la préparation de mon amante pour la flagellation. Je repasse devant. Je frémies, sa bouche est forcée par un anneau noir, ses belles lèvres pulpeuse sont étirées et ne sont plus qu’un mince liséré rouge autour du mors infâme.
Récit d'Hélène
Nous y voici, C'est maintenant que je vais savoir si mon piège va marcher. Si Mel part en courant, Je l'aurai perdue. Au début, c'était juste un petit jeu de séduction que m'avait ordonné Pierre. Et puis je me suis prise au jeu. J'éprouve un léger sentiment pour cette femme abandonnée. J'aimerai aussi lui donner conscience de son potentiel de séduction.
Et puis, il y a cette mission que m'a confié mon chéri, j'ai vraiment envie de réussir à l'emmener à gouter le fouet. Il faudra d'ailleurs qu'il m'explique pourquoi ?
Je n'aimerai pas découvrir qu'il m'a chargée de l'éduquer pour son infidèle et sans gêne de mari.
Je suis prête à me donner. Juste un peu d’inquiétude : Mél saura-t-elle me donner du plaisir comme Pierre ? Saura-t-elle doser l’usage des instruments ? Je fais confiance à mon amant pour la guider.
J'en suis là de mes réflexions quand.....
- Mel, c'est à vous- Comment à moi.
- Hélène vous demande de s'occuper d’elle, fait-il en lui tendant la cravache.
- M'occuper d'elle ?
- Oui, elle s'est préparée pour vous.
Elle hésite et s'empare du jonc. J’ai réussi.
Maintenant, il me faut subir ! Je ferme les yeux, je fais le vide dans ma tête, je suis bien, je sais que je vais être heureuse
Récit de Mel
Pierre me glisse une badine dans la main. Timidement je donne un petit coup sur le fessier consentant.
- Mel, soyez sérieuse. Là vous humiliez Hélène !
Je frappe à nouveau ce cul tentateur, et je laisse une petite trace rouge.
- Voilà, c’est mieux commente Pierre. Puis il reprend…- Mais je vous conseille de la travailler par de courtes séquences, en vous concentrant sur une partie de son anatomie, puis de vous arrêter pour la laisser déguster vos sévices.
- Je ne comprends pas ! C’est tout ce que je trouve à répondre, tellement je trouve cette conversation surréaliste.
Lentement, je fais le tour de la belle allongée. Je me place derrière elle. Je caresse le dos de la suppliciée avec le martinet. Puis je fais glisser les lanières sur le cul opulent, je le vois qui se couvre de chair de poule. Elle ondule doucement sa croupe comme un appel.
Pierre me confie un petit boitier.
Je reprends ma promenade autour du chevalet, laissant trainer les queues de cuir sur le corps de la belle poule.
D’un coup, elle se cabre, Elle pousse un hurlement étouffé par le mors. Je viens de l’électriser en appuyant sur le bouton de la télécommande.
Elle geint doucement, sa respiration un instant accéléré, se calme. Un tremblement agite son corps.
Je cravache son cul par deux fois, assez fort pour laisser deux traits roses, elle ne laisse échapper qu’un soupir.
Je laisse la cravache et l’échange contre le martinet. J’arrose son croupion encore deux fois.
Pierre fait pivoter le meuble, elle me fait face, je la voie haleter. Son rimmel a coulé.
Elle me fixe. Je lève mon bras, Elle acquiesce d’un clignement de paupières.
Je lance les lanières. Elles arrosent la poitrine de la belle faisant danser ses seins adorés L'une d'entre elles s'enroule d'un mamelon, j'appuie sur la commande en même temps. Mon amie se cabre dans un cri inarticulé de bête.
Je ne la laisse pas reposer et je flagelle deux fois les mamelles si tentantes de la belle quinqua.
Son sultan la retourne, m’offrant ses cuisses et ses fesses. J’appuie par deux fois sur le bouton. Elle se cambre. Je vois son anus se crisper autour du membre factice. Des gouttes perlent de sa chatte ouverte devenue rouge sous l’afflux du sang. Elle coule.
Je vise son sexe, les mèches de cuir percutent les lèvres, l’entrée du vagin et surtout le bouton si sensible. Son bâillon étouffe le hurlement et ne laisse passer qu’un borborygme.
Je coule, je suis en train de jouir de la douleur que j’inflige à mon amante.
Je deviens folle. Je tourne autour de mon amie. Je la flagelle et je l'électrocute en même temps, je ne lui laisse aucun répit. Elle ne crie plus, émettant une longue plainte continueJe vais la fouetter une fois de plus quand la main de Pierre me bloque en pleine élan.
- C'est bon, le compte y est.
Ma victime sanglote. Puis doucement, elle s’apaise. Un étrange silence paisible s'installe seulement troublé par les geignements de la suppliciée. Mes mains s’ouvrent laissant échapper les instruments de son sacrifice.
Je me laisse tomber dans le fauteuil d’où j’ai une vue imprenable sur son compas grand ouvert. Son orchidée baille, laissant suinter ses sécrétions qui glissent le long de ses cuisses jusqu’à la lisière de ses bas.
- Mél, maintenant enlevez lui son mors, Hélène a quelque chose à vous demander
Hélène halète doucement les yeux fermés. Je m’agenouille devant elle, je la débarrasse du bâillon et je lui caresse la joueElle soulève ses paupières, et m’adresse un pauvre sourire.
- Ma chérie, tu dois me marquer maintenant.
- Pardon ?
- Oui, tu dois cravacher mon gros popotin, c’est le grand final.
Je me redresse. Pierre me tend le jonc de cuir. Je me place, je lève mon bras, je le lance. Je ferme les yeux. Je ne veux pas voir.
Un hurlement remplit la pièce, je rouvre mes paupièresLa pauvre supplicié se cabre, ses dents serrées étouffent ses sanglots. Elle est agitée de frissons incoercibles. Puis ses spasmes s’apaisent lentement. Une balafre rouge traverse son cul, en biais.
Elle pleure, son visage est tendu, marqué, ses yeux sont cernés de noir. Ses larmes ont fait couler son rimmel, son rouge a bavé.
Et pourtant, je la trouve belle.
Pierre s’agenouille à côté de moi, avec un paquet de serviettes parfumées.
Il commence à la laver.
- S’il vous plait Pierre, laissez-moi faire, lui demandé-je en m’emparant des lingettes et je commence à nettoyer ma pauvre amie. Et je poursuis- Je t’ai fait mal. Je ne trouve que cette stupidité à lui dire.
- Oui, ma caille, mais ça va, c’était bon aussi.
- Mél, pouvez-vous libérer ses seins? M’enjoint Pierre - Fais doucement, s’il te plait. Me demande mon amie
Je dévisse lentement les anneaux. J’imagine la pulsation du sang qui revient dans ses tétons. Ma belle amie laisse échapper quelques geignements. Les deux pinces tombent. Je prends ses mamelons entre mes doigts et je les masse doucement, ils reprennent leur délicate teinte bouton de rose.
Pierre a détaché son amante, et l’a conduite dans leur chambre. J’ai une envie folle de me caresser. Je baisse les yeux et je découvre une petite tache humide sur le carrelage, grande comme un billet de dix euros. La belle suppliciée a mouillé sous la flagellation, et c’est la trace de son bonheur que je remarque. Pierre me surprend dans ma rêverie
- Voilà, elle est douchée, elle se repose. Puis il continue, - Vous voulez manger quelque chose ?
- Je n’ai pas très faim, mais je prendrais bien un thé. Fais-je en fixant le chevalet.
Le maitre de maison sent mon malaise de rester à côté de l’autel du sacrifice. Il me propose.
- On peut s’installer dans la cuisine ?
Je le suis. Sur la table, deux plateaux nous attendent, un avec des sashimis et l’autre avec des petits fours.
Pendant que l’eau chauffe, mon hôte me présente une flute pleine. Je la vide aussi sec. Puis il pousse les victuailles vers moi. Je ne résiste pas, je prends un sushi. Pierre s’assoit en face de moi et commence à piocher dans la nourriture.
Nous mangeons face à face, sans rompre le silence. Mon convive avance vers moi un nouveau verre de champagne…
- Alors, on picole, et on s’empiffre pendant que je gis sur mon lit de souffrance. Fait une voix rieuse.
Hélène s’encadre dans la porte. Elle fait quelques pas et s’assoit sur les genoux de son amant.
- Aie, Tu as les cuisses trop dures. S’il te plait mon chéri…
Le chéri en question se lève, et reviens une minute plus tard, avec deux coussins à la main. Il se rassoit, et dispose les deux oreillers sur ses genoux. La belle pose son séant sur ce pouf improvisé.
- Voila. Tu es bien confortable, mon minou. Puis elle continue- Il reste un coup à boire ?
Le minou lui tend une flute, dont elle ne boit que la moitié. Il lui passe les bras autour de sa taille pour éviter qu’elle ne glisse. Ma belle amie s’est emballée dans un beau kimono gris vert et orange. Elle a mis ses hanches en valeur en serrant sa taille avec une large ceinture assortie. Elle a peignée son opulente chevelure noire, mais elle l’a laissée libre. A chaque mouvement de tête, elle caresse de ses mèches le visage de son amant, visiblement aux anges. Elle prend sa main gauche, qui la maintient, et la glisse dans un pli de sa lingerie de nuit, contre la peau de son ventre. Elle est redevenue vive et enjouée, souriante, mais deux cernes sous ses yeux nous rappellent les sévices qu’elle vient de subir. Un instant, j’envie ce bonheur conjugal.
Elle a bien repris du poil de la bête, et fait un sort aux amuse-gueules,Les échanges reprennent, vifs, pétillants, sur des sujets légers, le vin, la bouffe, le jardinage.
Puis la conversation se ralentit.
- Ma belle, je suis un peu fatiguée, et il est temps de mettre la viande dans le torchon. Je t’accompagne à la porte. Décrète ma belle amie.
Je suis le couple dans l’entrée quand…
- Mon chaton, j’y pense, peux-tu préparer un petit doggy bag pour Mél, avec les sushi et les petits fours.
Le chaton en question pivote, et retourne dans la cuisine.
- Hélène, je n’ai pas besoin de ça.
- Oui, mais je voulais te parler entre quatre yeux. Puis elle continue.
- J’espère que tu ne m’en veux pas.
- T’en vouloir ?
- Je t’ai un peu piégée, tu ne t’attendais pas à ça- En fait, je croyais que nous dinerions entre amis et…- Et ? me reprend mon amie- Et j’espérai que tu te partagerais entre Pierre et moi.
- Tu es une coquine, mais c’est un peu ce qui s’est passé, n’est-ce pas. Me répond-elle.
- Oui, mais je m’attendais pas à cette surprise. Et puis, je m’étais faite belle pour toi. Regarde.
Je remonte ma jupe sur le côté, au-delà de la bordure de mes bas et je lui exhibe ma cuisse et le coté de ma culotte.
- Petite friponne, tourne toi, et trousse toi.
Je lui obéis. Elle se penche. Elle écarte ma lingerie
Dis donc, tu es trempée. Fait-elleElle pose ses lèvres sur mes fesses, un petit bisou. Puis je sens qu’elle appuie ses dents. Je sais déjà ce qui m’attend. Je pousse mon cul contre sa bouche. Elle me mord cruellement. Et étrangement une sensation de bonheur malgré la douleur.
Elle se redresse et me caresse la joue.
- Tu vois, je te trouve à mon gout.
Un petit silence, puis je l’interroge
- Je t’ai fait mal ?
- Oui, mais c’était bon aussi.
- Aussi ??? Tu as joui ?
- Non, je n’ai pas joui au sens où tu l’entends, pas d’orgasme.
- Mais alors. Fais-je pour la relancer- Tu sais, c’est aussi un plaisir assez intellectuel. J’aime être préparée, imaginer ce qui va m’arriver, savoir que mon chéri me regarde, et prend plaisir au spectacle de ma flagellation. Et puis me donner à toi, pour que tu te révèles. Et après, le sang qui se rue vers mes zones érogènes. J’en mouille à nouveau d’y repenser.
- Mais tu as toujours été comme ça.
- Non, c’est venu progressivement. Pierre est un bon initiateur, il a su me guider. Maintenant, c’est moi qui lui demande. Je crée même des situations, pour réaliser mes fantasmes.
Je reste pantoire devant ces aveux, je tente une diversion…
- Et ce soir, avec Pierre…- Oh ce soir, je ne suis plus bonne à rien. Alors, je colle mes fesses contre le ventre de mon doudou, sa main sur mes seins, et dodo. Mais demain grasse matinée, gros câlins tous doux, et la Sainte Trilogie.
- La sainte trilogie ?
- Oui : massage, tripotage, et baisage- Baisage ! Ça se dit ?
- Je ne sais pas si ça se dit, mais ça se fait. Explique-t-elle en souriant comme une chatte devant un bol de lait.
Le maitre de maison interrompt cet échange, en revenant avec deux petites boites, nouées d’un petit ruban, comme à la pâtisserie.
- Eh bien Mel, bonne nuit fait-il en ouvrant la porte.
J’hésite, je lui fais un petit bisou, puis je colle un baiser de cousine sur la joue de mon amieJe marche jusqu’à ma voiture, et je me retourne. Ils sont là, tous les deux en ombre chinoise, dans l’encadrement de la porte. Elle se colle à lui et l’enlace. La porte se referme sur cette étreinteLa lumière de l’entrée s’éteint, puis celle du salon. Celle de leur chambre s’allume, puis disparait.
Je l’imagine, poussant ses fesses martyrisée contre le ventre de son compagnon, se blottissant dans ses bras.
Et d’un coup, je jalouse son bonheur matrimonial si simple.
Ça fait deux heures que je me tourne et me retourne dans mon lit sans trouver le sommeil. Je passe en boucle les événements de la soirée dans ma tête. Je me branle furieusement, mais je ne trouve pas la délivrance de la jouissancePour la troisième fois, je revois le film de la soirée sur l’écran de mes paupières, Mais étrangement, la peau de mon amie semble plus dorée. En pensée, je tourne autour du meuble. Je devine une chevelure blonde. Le visage de la suppliciée se relevé. C’est moi.
Je m’acharne frénétiquement sur mon bouton et je pince sauvagement mon téton. J’explose et je m’abime dans un sommeil enfin apaisé.
Epilogue
Hélène, le dimanche après-midi.
Je me laisse câliner par mon chéri, après une matinée de douce débauche. Je me repose, mais je reprends des forces car je sais que ce n’est que partie remise.
- ZZZ , ZZZ. C’est la sonnerie des SMS. J’ouvre le courrier. J’éclate de rire.
- Qu’est-ce qu’il-y-a me questionne mon amant.
- C’est Mel, regarde…
Un petit selfie du cul de la belle poule. Elle doit sortir de la douche, il y a encore des gouttes d’eau sur sa peau et une jolie marque de morsure qui vire au jaune sale et au violet. Et un petit commentaire
- J’ai presque plus mal !!!
Je pianote ma réponse.
- T’inquiété, ma minette, on va y remédier !!!!
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Rouge
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...