Hélène 3 : Découverte

- Par l'auteur HDS Rouge -
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Récit libertin : Hélène 3 : Découverte Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Hélène 3 : Découverte
Hélène 3 : Découverte.

RésuméHélène, quinqua divorcée est séduite par Pierre au cours d’un invraisemblable concours de circonstance. Quant à Pierre, il devine sous cette timidité, une sensualité cachée et il entreprend de la lui révéler.
Après avoir cru perdre Pierre, Hélène est rassurée sur les sentiments de son amoureux. Elle entame avec lui une ronde des plaisirs de l’amour où se mêle jeux de soumissions, instant de tendresse et opportunités sensuellesNous retrouvons Hélène et son sultan, au restaurant après une shopping de lingerie.


Récit de Pierre
Nous attaquons notre dessert quand Hélène me fait cette demande étrange.

-Pierre, je veux faire un truc de couple.
- Que veux-tu dire.
- Emmène-moi au cinéma. Ca fait une éternité que je n’y suis pas allée avec un homme gentil et attentionné. Allons voir un film romantique.

Arrivés à Belle-Epine, Je laisse Hélène choisir le film, une comédie pétillante et tendre. Quand nous entrons dans la salle, les publicités se terminent. Je guide ma chérie vers deux places contiguës, sans accoudoir les séparant, un vrai petit divan pour amoureux.

La lumière s’éteint, le film commence. Hélène pose sa tête mon épaule, attrape ma main gauche et glisse ses doigts entre les miens. Après dix minutes, elle lâche ma main, s’agite, puis repose sa tête sur mon épaule. Doucement, elle soulève sa robe, et dépose ma main à l’intérieur de sa cuisse, à cheval sur le bas et la peau satinée, puis elle rabat le tissu sur ma main. Elle m’embrasse dans le cou, repose sa tête, et reprend mon bras. Une ou deux scènes plus tard, elle déplace doucement ma main vers son pubis.

- Ma chérie, tu n’as rien oublié.
- Mon amour, je suis ta salope, sans culotte, ça rime.
- Ma chérie, je préfère le mot sultane.
-Mon Sultan pervers, caressez votre sultane amoureuse.

Ma main gauche commence à fouiller son intimité, je glisse mes doigts dans sa fente déjà humide, je chiffonne ses lèvres. Elle soupire de plus en plus fréquemment. Elle se crispe sur mon bras, m’embrasse dans le cou.
Je dégage le clitoris. Je pose mon index dessus et je le frictionne doucement.
Elle avance son bassin, son anus devient accessible.

-S’il te plait, Chéri, occupe-toi de mon petit trou.

Je tords mon poignet et je fais glisser mes doigts pour atteindre chacune des clés du plaisir. Mon index pénètre sans peine son œillet lubrifié par son propre suc. Mon majeur s’agite dans son vagin, mon annulaire dans son œillet. Mon pouce stimule son bourgeon. Hélène étouffe ses gémissements, entrecoupés de « Chéri, mon amour, encore.» Puis elle se crispe dans un spasme violent, étouffant son cri en me mordant le biceps. Puis elle s’apaise, se redresse dans le fauteuil, et repose sa tête sur mon épaule.

- Je t’ai fait mal, mais tu m’as fait tellement de bien.
- A charge de revanche, mon amour. Lui répliqué-je.

Nous profitons sagement du reste du film, puis prenons le chemin de la sortie et du parking en nous tenant par la taille.

- C’était bon, Chéri, merci. Puis, elle ajoute.
- C’est la première fois, que je me fais caresser au ciné. Tu dois me prendre pour une salope.

Je m’arrête, et je lui fais face.

- Hélène, nous n’utiliserons plus jamais entre nous ces termes péjoratifs. Les mots comme salope, Radasse, et tous les mots en asse seront bannis de notre vocabulaire amoureux.
- Oui, mon maitre, je suis votre humble esclave.
- Je préfère que tu utilises des formules comme soumise, sultane. Evite aussi le mot maitre pour me qualifier.
- Mon sultan, votre odalisque vous obéira.

Et elle me pose un délicat baiser papillons sur les lévres.

- Au fait, tu as aimé le film.
- Quel film ? Me répond mon amoureuse.

Je ne suis pas pressé de rentrer, nous prenons l’autoroute. Hélène laisse sa robe remonter et que ses cuisses charnues se découvrent jusqu’au-dessus de la lisière des bas. J’ai un œil sur la route et un autre œil ailleurs.

- Chérie, on va avoir un accident. Dis-je en doublant un routier.
- Tu n’as qu’à regarder devant toi. Et provocatrice, elle remonte l’ourlet de sa robe.
- Le routier va te voir.
- Mais non penses-tu.

Et grand coup de Klaxon nous répond. Eclat de rire général. Ma sultane relève la tête et envoie un grand sourire à ce routier sympa, et voyeur. J’accélère pour finir de doubler le camion accompagné du rire de ma compagne et des tut tut désespérés du 36 tonnes.

Une fois arrivés à la maison, et la porte fermée, je glisse la main sous la robe de mon impudique, et avec un accent mal imité de Gabin dans la bête humaine, je balance.

- Alors la p’tite dame, on n’a pas peur de s’enrhumer les miches à l’air.
- C’est pour exciter mon pervers préféré, mon p’tit monsieur.

Puis, elle me prend la main et me tire vers la cuisine.

- Je n’ai pas très faim, que me proposes-tu.
- Apéritif dinatoire, sur la terrasse.
- Ça marche, tu prépares tout, et tu me rejoins sous la douche.


Récit d’Hélène.

Une fois sous le jet, je m’arrose abondamment, le dos et les fesses.
Puis, je pose une noix de savon dans ma paume, et je me frictionne.
Ensuite j’attaque l’entrainement, avec mon savon intime, je lubrifie mon petit trou, et je glisse un doigt dans mon cratère. Rien, pas de douleur, mais je ne retrouve pas la sensation agréable que me procure le majeur de Pierre. L’index rejoint son voisin, même pas mal, mais aussi aucun plaisir. J’essaye avec un troisième doigt, je réussis à le faire pénétrer, mais je sens comme une brulure. En moi-même, je m’encourage.

- Allez ma fille, tu peux le faire, fais le pour Pierre.

Peine perdue, mon troufignon me lance, j’ai mal, un mélange de brulure et de frictions. En plus, cette douleur me crispe. Je renonce à mes essais d’auto-sodomie. Pourvu que Pierre soit plus doué que moi.

Pierre me rejoint. Je ne lui dis rien de mes tentatives. Je le savonne, sa belle verge se gonfle dans ma main. Mon sultan est vraiment vigoureux, jamais il n’entrera en moi par derrière. Ou il va me déchirer.

Je me retourne pour régler l’eau sur plus chaud. Le traitre en profite pour me caresser les fesses, puis sa main se faufile dans ma raie, et dans la foulée, son index m’encule. Et ça marche, je ressens cette douce chaleur. Son majeur le rejoint dans mon œillet, et me pistonne. La bulle de douceur se forme et commence à monter. Mais mon sultan interrompt son pistonnage et retire ses doigts. Je vais protester contre cet abandon, quand sa langue me pénètre.
C’est trop bon, j’en ai un spasme de plaisir. Pas un orgasme, mais une petite bouffée de bonheur.

Je relève mon Pierre, je me penche sur lui. Je veux lui rendre ce qu’il m’a donné, je l’embouche, il est vaillant, il passe à peine entre mes lèvres. Comment va-t-il rentrer dans mon orifice le plus étroit. Sa voix interrompt mes réflexions métaphysiques.

- Si on allait manger, gardons le meilleur pour la fin. Me propose mon garçon de bain.

Essuyage, tripotage, peignoirs, puis nous nous vautrons sur un grand coussin rouge installé sur la terrasse et nous attaquons un mélange d’antipasti, de légumes crus, de charcuterie de Savoie et de Persillé de Tignes. Une fois rassasiée, je m’installe dans les bras de mon chéri, je prends sa main gauche et la pose d’autorité sur mon sein, et nous profitons du soir qui tombe.

- Rentrons mon chéri, j’ai froid, viens me réchauffer.

Je l’entraine dans la chambre, je lui murmure à l’oreille.

- Je veux essayer, mais sois très doux.

Pierre m’allonge sur le ventre, avec un petit polochon pour me cambrer. Je pose ma tête sur l’oreiller de mon chéri, les bras sous le coussin. Je sens l’odeur merveilleuse de mon sultan. J’attends, heureuse et passive, tout ce que mon amant voudra me faire subir.

Une sensation de fraicheur précède une douce pénétration anale. Pierre me lubrifie, cette sensation n’a rien à voir avec celle ressentie lors de mes essais précédent. Il introduit en moi un cylindre oblong dans ma dernière virginité, puis il le fait glisser d’avant en arrière. J’apprécie ce massage mais il ne me procure pas une volupté comparable à l’index et au majeur de Pierre.

- Pierre, ce n’est pas terrible !
- Ma chérie, tu vas essayer autre chose. Me répond ’il.

Quelque chose pousse sur mon anneau, qui s’ouvre et se referme aussitôt qu’il est passé. Puis un seconde poussée, mon anus s’ouvre un peu plus et se referme.

- C’est quoi.
- Ce sont des billes, de plus en plus grosses.

A la troisième, je sens une délicate excitation, qui s’amplifie avec la quatrième...

Une cinquième ? Me propose Pierre.
J’émets un oui alangui. Mon anus est dilaté au-delà de ce qu’il a déjà subi. J’entre dans l’inconnu.

- Encore une ! Demandé- je.
Pierre s’exécute. Mon excitation croit, accompagnant les dilatations et rétractions successives.
Mais la dixième et dernière est trop grosse, la pénétration est douloureuse, je me crispe et me bloque, ma bulle de plaisir s’effondre.

- Arrête Chéri !
- Tu veux que je les retire.
- Pas tout de suite, j’ai un peu mal.

Pierre me cajole, puis tire sur le cordonnet. A chaque boule, je soupire de plaisir. Quant à lui, il se delecte du spectacle de mon anus forcé, s’ouvrant en rythme avec mes gémissements. J’expulse la dernière bille.

- Prête, ma chérie !
- Sois doux mon amour.
- Je veux te voir. Me dit Pierre en me retournant et en ajustant le coussin sous mes fesses.

Il prend mes jambes et les pose sur ses épaules.

- Tu me dis si ça va.

Et il présente son membre à mon petit œillet. Il pousse doucement sa verge lubrifiée contre mon anus. Celui-ci résiste. Je l’encourage.

- Viens mon chéri, viens.

Mon sphincter s’entrouvre, et Pierre en profite pour me pénétrer. Il est trop gros, je me mors la main et j’étouffe un cri. J’ai mal et malgré tout je veux aller jusqu’au bout.

- Continue mon Chéri.

Son épieu est quasiment entré en entier, mais il m’écarte trop, je n’arrive pas à e relacher, je serre les dents, mais la douleur est telle que j’ai les larmes aux yeux, ma mâchoire est si serrée que je ne peux rien articuler. Je geins doucement, Pierre s’aperçoit de ma souffrance.

- Ça ne va pas, je vais me retirer doucement.

Il glisse hors de moi, mon anus est tellement crispé que même son retrait est une brulure. Il est sorti, il s’allonge à côté de moi. Je me pelotonne contre lui.

- Chéri, j’ai eu si mal, tu dois penser que je suis un mauvais coup. Il faut peut-être que tu m’élargisses avec des trucs de plus en plus gros. Ajouté-je- Et pourquoi pas avec un bouchon de champagne tant qu’on y est. Me répond-il.

J éclate de rire. Et d’un coup toute la tension s’évanouit, j’ai toujours mal à mon petit (gros ???) derrière. Mais je me sens bien.
Cinq minutes se passent, collée à mon amour, la douleur n’est plus qu’une sensation lointaine. J’ai posé la main sur le sexe de Pierre, qui s’est ramolli. Je me glisse vers son ventre et je prends sa verge entre mes lèvres et la lèche. Mon amoureux reprend de la vigueur, et écarte mes mâchoires.

- Chéri, par devant, j’ai envie de ton beau membre. Lui fais-je avec mon plus beau sourire de chatte gourmande.
- Met toi sur le côté, ma beauté callypige.me répond-il
Je lui obéis, une main soulève ma fesse, une sensation de fraicheur sur mon petit trou. Et Hop, Monsieur m’enfonce une boule, puis une autre, et une troisième. Je ne proteste pas, je retrouve la sensation agréable de tout à l’heure.

- Ne mets pas les plus grosses.

Puis il me retourne, et m’adresse son sourire carnassier. Il me pénètre, mon vagin est rétréci par le chapelet. Son gland, puis le reste de sa queue appuie sur mes billes au travers de la membrane séparant mon rectum de mon vagin. Je ressens comme une petite décharge chaque fois que sa verge heurte puis repousse une boule.

Il est rentré en entier, ses allers retours stimulent mon vagin mais aussi mon rectum. La bulle de chaleur se forme à la fois dans mon ventre mais aussi dans mon cul. Doucement, mon pervers préféré tire sur la ficelle et dilate mon anus pour sortir la première bille. Il m’arrache un « aaaah » de plaisir, il attend quelques secondes, puis il sort la deuxième, je me contracte autour de sa bite dans un spasme de jouissance, je gémis sans arrêt.
Une par une, il retire les boules sans cesser de me pistonner. A chaque expulsion, je crie, et mon plaisir monte d’un cran. Encore une et j’explose. Je jouis convulsivement en même temps que Pierre. Son orgasme est tellement intense qu’il s’abat tremblant à côté de moi.

Nous reprenons notre souffle ensemble.
Je suis repue, rassasiée, je me roule contre mon chéri, et comme les fois précédentes, je m’écroule comme une masse.

OOOOO
Au matin, Pierre dort encore quand je me réveille. Il est sur le dos, paisible. Je fais glisser la couette, et j’observe attendrie son membre au repos. Je dépose un baiser sur son vit, ensuite un deuxième, puis n’y tenant plus j’embouche sa demi-molle qui aussitôt reprend de la vigueur.
Je commence à le sucer quand j’entends.

- Chérie, je ne préfère pas, j’aime mieux quand je suis propre. On se douche, ajoute –t’il
Sous la douche, pendant que nous nous adonnons au plaisir du savonnage mutuel, je lui demande.

- Qu’a tu prévu pour ce lundi ?
- Je voudrais aller au centre commercial pour acheter des draps neufs. Je veux me débarrasser de ceux de ma femme.
- Tu veux bien me laisser faire. C’est ma partie après tout. Quel genre veux-tu.
- Fleuri, avec une pointe de rouge. Me répond-il- Mais il faut aussi qu’ils te plaisent ajoute-il.
- Et sinon qu’est-ce qu’on fait. Reprends-je- Jardinage, ça te dit, on va à la jardinerie. On achète pour faire le potager.
- Super, mais Chéri, et l’amour physique dans tout ça ?
- Quand tu veux, où tu veux, comme tu veux. Allez, habille toi, on prendra le petit déj, au bistrot sur le chemin.

Je m’habille rapidement, une robe jaune et rouge vaporeuse, à bretelles en tulle jusqu’aux chevilles, serrée sous les seins. Un décolleté qui me découvre un bonne moitié de la poitrine, et plus si je me penche. Un gilet assorti complète le tout. Je garde mes jambes nues, sans bas, ni collant.

Pierre m’attend, assis dans un fauteuil, je ne vois pas ce qu’il tient dans ses mains. Je me penche sur lui pour lui prendre les lèvres. Il en profite pour plonger son regard sur mes seins exposés. Il se lève.

- Hélène, pose tes deux mains sur le dossier du fauteuil et penche toi en avant.

Puis il trousse ma robe jusqu’aux épaules. Il fait glisser ma culotte jusqu’aux chevilles. Je l’envoie valser d’un coup de pied.

- Ouvre-toi.

J’écarte mes fesses à deux mains, heureuse de mon impudeur, puis mon pervers préféré me masse mon anneau avec du gel, je soupire, il introduit son majeur et je roucoule.
Il appuie un objet ovoïde contre mon trou mignon. Il pousse à peine, et mon muscle anal cède. L’objet est gobé par mon rectum et la partie la plus épaisse se loge dans mon ampoule rectale. Une tige fine le relie à une rosace qui l’empêche d’être avalé. Je me sens envahie.
Je me redresse. Je sens quelque chose qui pèse sur mon œillet, de l’intérieur.

- C’est quoi.
- Je viens de te placer un rosebud, un bijou d’anus. Il va te masser ton petit trou du cul.
- Mais ça va me dilater.
- Non, il t’écarte juste à la pose, mais après tu te refermes sur la tige.
- Il est gros comment.
- Trois à quatre centimètres dans la partie la plus large. Me répond Pierre.

Il prend ma main et écarte mon pouce et mon index. C’est à peu près le diamètre de ma verge préférée. Je veux me rendre compte par moi-même et je me place dos au miroir de l’entrée. D’une main, je me trousse, et de l’autre j’écarte mon derrière. Je me tords pour regarder mon reflet dans la glace. Une pierre rouge est sertie au milieu de ma mappemonde. Je relâche ma fesse. Le volume de ma croupe camoufle mon bijou.
J’en profite pour vérifier si une transparence indiscrète ne révèle pas ma nudité. Malgré la doublure, il faudra faire attention aux éclairages trop révélateurs.

En tout cas, je suis heureuse d’avoir retrouvé cette robe. A cause de mon ex, je l’avais bannie au fond de mes placards. Sans culotte, et avec sa taille très haute, j’ai l’impression d’être nue de la poitrine aux pieds. Je ressens la délicieuse caresse du tissu sur mon popotin en liberté, j’en ai des frissons.

- Pierre, au fait, que penses-tu de ma tenue.
- Très sexy.
- Mais elle me couvre presqu’entièrement !
- Justement c’est ce qu’on imagine en dessous. Tout est dans le suggéré, l’imaginaire. Tiens, à propos de bijou….

Pierre s’agenouille et attrape ma cheville gauche, et l’encercle avec un petite chaine en or.

- Merci mon Chéri, je me sens de plus en plus sultane avec toi.
- Allez en route, ma beauté, allons voir d’autres belles plantes.

Je ne fais que quelques pas et je sens l’engin diabolique se manifester. Il bouge avec le même rythme que l’ondulation naturelle de mon croupion, mais il bat le contretemps, ce qui accentue encore plus le ressenti de sa présence.
En revanche, une fois assise, je m’en aperçois à peine qu’il m’habite.
Pendant que Pierre conduit, à haute voix, je débite la liste des achats.

- Ce serait bien si on trouvait un rosier.
- Et si on avait des salades.
- Et de courgettes rondes, tu aimes les courgettes.
- Et il ne faut pas oublier les to……..

Je m’arrête net, Pierre vient de passer sur un ralentisseur, presque sans freiner. Je jette un coup d’œil à mon chauffeur, un demi-sourire retrousse le coin droit de ses lèvres. Demi sourire qui se transforme en un éclat de rire. Pour le punir de se moquer de moi, je lui lance un coup de poing dans le gras du biceps, son rire redouble.

- Arrête de te moquer de moi.

Mais je ne fais pas attention à la route et au deuxième dos d’âne, la surprise me coupe le souffle. Mon pervers rit aux éclats. Je ne peux pas faire autrement que de me joindre à lui.

- S’il te plait fais attention, je ne voudrais pas l’avaler.

Pendant toutes les courses, l’intrus ne cesse de se manifester. D’abord son poids, qui appuie sur mon œil de bronze, comme s’il voulait sortir, et qui me prodigue une sorte de massage interne. Et aussi son mouvement, à la fois provoqué, et amplifié par mon ondulation naturelle et qui fait rouler mon beau cul sous ma robe flottante.
Cette stimulation physique, et ce phantasme de nudité en public m’excite en permanence. Je suis pressée de rentrer. Pierre, qui doit le sentir, règle les achats sans bavarder avec les caissières.
Nous rentrons à toute vitesse, en ralentissant juste ce qu’il faut sur les dos d’âne.

A la maison, Pierre et moi nous déshabillons en courant à la chambre, ma robe vole dans l’escalier, j’arrache les vêtements de mon chéri.
Il me libère les seins et me place à quatre pattes sur le lit, il m’appuie sur le dos, entre les omoplates, pour que ma joue touche l’oreiller, et que je lui offre mon cul dans toute sa splendeur.
Une ou deux gouttes de gel entre la rosace et mon œillet et il commence à retirer mon bijou. Celui-ci dilate mon petit trou au passage de la partie renflée. Il le renfonce et le retire pour de bon.

Mon anus reste ouvert, puis commence à se refermer. Je prends sa verge et la guide vers mon iris. Ses mains sont libres, et il en profite pour me saisir les seins et les pétrir. Je pousse ma croupe en arrière, et il me pénètre. Je me sodomise moi-même. Mon œillet s’ouvre progressivement, se moulant autour du gland, puis c’est la tige qui coulisse dans mon rectum. Enfin je sens ses boules contre mon sexe, sa toison frotte contre ma raie. Voilà c’est fait, je suis enfin enculée, Et je n’ai même pas mal.
Je me sens remplie. Pierre amorce un mouvement. D’une pression de la main sur sa cuisse, je l’arrête. Je veux profiter de cet instant. Pierre m’a prise en douceur, je me suis donnée à lui sans douleur. Je suis bien.
Apres quelques minutes, je lui donne le signal, d’un léger coup de cul en arrière. Il me prend en cadence, ces deux mains me pétrissent les seins ; puis il se saisit de mes mamelons. Il les tire, je m’avance, il les pince, je me recule.
Je m’encule moi-même en répondant à la cadence imposée. Mes seins m’envoient comme des décharges électriques. Mon anus émet des vagues de plaisir. Tout ceci se mêle en moi, et un premier spasme me secoue, et je m’écroule à plat ventre. Pierre est toujours en moi, il dégage ses mains et me pistonne d’avant en arrière. C’est trop bon, je mords l’oreiller pour ne pas crier. Sa cadence s’accélère, mon œillet, sollicité de plus en plus énergiquement, se transforme en organe à jouir, j’halète, je geins, je gémis, je miaule.
Le deuxième spasme explose en moi et m’achève. Pierre se crispe et propulse sa semence qui percute mes membranes internes. Il s’écroule. Je chavire.

Je me pelotonne contre lui comme une chatte heureuse. Je me retourne et me met sur le côté. En lui prenant la main, je l’entraine dans mon mouvement. Je lui pose sa main sur mon sein gauche, un petit gigotage et je suis emboitée contre lui. Il a son visage enfoui dans ma chevelure, je sens sur ma nuque le souffle de sa respiration. Dort-il ? Ou comme moi profite-t-il de ce moment ?
Nous passons une bonne partie de l’après-midi enlacés, jusqu’à ce qu’une petite faim nous ramène à des considérations plus prosaïques.
Nous passons la fin de la journée en amoureux : Jardinage et pelotage.
Ce n’est que le soir, dans le lit, blottie contre lui que j’avoue.

- Mon amour, tu es le plus doux des amants, reprends moi souvent comme ça. J’aime que tu me sodomises, je serai toujours ta petite enculée.

Et sur cet aveu qui lui donne tout pouvoir sur mon corps, nous laissons la nuit nous étreindre. Au matin, Pierre est déjà parti. Je trouve un petit mot sur la table de la cuisine.

- Ma Chérie, tu étais bien crevée, mes baisers n’ont pas réussi à te réveiller. Garde les clés de la maison. Ceux sont les tiennes maintenant. Avec les clés de mon cœur, ça te fait un beau trousseau. Je passe ce soir à la boutique. Mille baisers. Pierre.

OOOOOOOOOOO
- Donc la maitrise des couts passe par l’appropriation des objectifs par les managers… Bla Bla. …reporting … bla bla Contrôle de gestion- Qu’est ce je me fais c…r pense Pierre pendant la réunion de stratégie de sa boite au moment où une sonnerie discrète lui annonce un SMS.

C’est un selfie.
Hélène est penchée en avant, tournant le dos au smartphone, elle se tord pour sourire à l’objectif, elle a troussé sa jupe. La lisière dorée de ses bas met en valeur la peau blanche et satinée de sa croupe en liberté. Elle écarte ses fesses de ses deux mains pour montrer l’éclat rouge du rosebud planté dans son œillet.

- Vous rêvez, Pierre. L’interrompt sa voisine chargée des projets.
- Oui, je rêve à mon week-end passé et celui à venir
A suivre…

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