Hélène 65 : Arcachon deuxième partie
Récit érotique écrit par Rouge22 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Hélène 65 : Arcachon deuxième partie
Hélène, Arcachon deuxième partie
La prochaine fois, je veux le bâillon, les menottes et la laisse.
Pour gagner du temps, je suis nue sous ma robe, juste un serre taille et des bas dorés.
Pierre fait glisser ma fermeture éclair et m’épluche. Mon vêtement tombe à terre, je l’enjambe, et je pivote pour me retrouver face au miroir de l’ascenseur. Mon homme sort de sa poche le bâillon boule que j’affectionne. Je relève mes cheveux pour dégager ma nuque, il rassemble ma chevelure en queue de cheval. Il boucle la courroie du mors et me rend muette. Je passe mes mains dans mon dos. Je sens qu’il verrouille les menottes sur mes poignets. Il s’agenouille et clique le mousqueton sur un des anneaux de mes grandes lèvres. Il se relève.
Je me contemple dans la glace. En un instant, la quinqua bien bourge s’est métamorphosée en parfaite soumise. Bien que très pudique, je suis fière de ma quasi nudité. Et je suis heureuse d’afficher ma soumission. Tout y est : les anneaux, la laisse, le bâillon, les menottes, et la plaque en or qui étire ma petite lèvre gauche. Je me tourne vers la porte, je ferme les yeux, je fais le vide dans ma tête. Je suis prête. Je suis impatiente.
Une discrète sonnerie annonce notre étage. J’entends le glissement de la porte qui s’ouvre. J’ouvre les yeux, et sans réfléchir, je me jette dehors. Pourvu qu’il n’y ait personne, ou plutôt pourvu qu’il y ait quelqu’un.
En laisse, j’emboite le pas de mon seigneur et maitre. Nous nous engageons dans le couloir qui mène à notre suite quand la porte de la chambre voisine s’ouvre, laissant le passage à une jeune femme.
Récit de la passante.
Mon mari m’attend en bas avec ses copains. Encore une soirée de m... avec ses potes bien reloués qui ne pense qu’à me draguer. Je claque la porte, et je me retourne. Je me fige.
La femme qui vient de s’engager dans le couloir est dans une tenue ahurissante. Elle est nue, avec seulement un porte-jarretelle et des bas. Elle s’approche, je ne suis qu’à deux pas d’elle et de son compagnon. C’est une belle femme, environ cinquante ans, des seins comme des grosses oranges qui se balancent quand elle marche. Un visage délicat et agréable, mais sa bouche est envahie par un bâillon. Ses lèvres forment un liseré rouge autour de la boule noire. Je baisse les yeux, elle n’est pas épilée, sa touffe est soigneusement taillée, mais détail troublant, elle est teinte en vermillon, assorti à la couleur de son gloss. Je distingue clairement l’anneau auquel sont accroché la laisse, et une lourde plaque en or qui étire sa petite lèvre. Je relève la tête, et je croise son regard. Elle m’envoie un baiser muet de sa bouche bâillonnée. Nous nous croisons, je me retourne sur elle.
Elle est dotée d’un cul magnifique, avec des fesses un peu lourdes et tombantes. Au-dessus, sur le creux de ses reins, les index et les pouces de ses mains menottées se joignent pour former un cœur.
Son maitre ouvre la porte de leur suite et ils disparaissent.
Je suis comme tétanisée. Puis je m’empare de mon mobile et je textote frénétiquement.
Indisposée
Migraine
Amusez-vous sans moi...
Et je fonce à ma chambre. Par la baie grande ouverte, j’entends des brides de conversation chuchotée. Nos balcons sont mitoyens, seulement séparées par une cloison à claire vue, en imitation bois flotté. La lumière de leur chambre éclaire la scène.
Elle est blottie dans ses bras, ils se murmurent des mots que je ne peux pas saisir. Il lui caresse les fesses avec douceur, puis le fait pivoter. Elle jette sa tête en arrière, et j’entends clairement un « oui, oui chéri »
Il masse ses tétons puis les étire. Elle se cambre projetant sa poitrine en avant. Il fouille dans sa poche. Il en sort une paire de pinces. Il prend un mamelon, et l’enserre dans la petite mâchoire et serre. Elle soupire, puis laisse échapper un geignement. Il continue encore un instant, et stoppe.
Il s’empare de l’autre sein, et lui fait subir le même supplice. Il défait la laisse de sa lèvre
Il la fait pivoter, et la libère de ses menottes. Il fait glisser le bâillon. Il l’enlace, passant ses bras autour de sa taille. Elle pose une main sur sa nuque rasée, et l’embrasse. Ce baiser passionné semble durer une éternité.
En un flash, je me souviens quand je l’ai vue. C’était hier soir, au moment où elle a fait son entrée dans le restaurant de l’hôtel. Elle était vêtue d’une robe cuivre, à la fois simple et chic.
Ses seins dansaient en liberté sous la soie, et un instant je me suis demandée si elle n’était pas complètement nue en dessous.
Hélène
Je m’écarte de Pierre. Il me présente l’instrument de mon supplice. C’est un martinet ou plutôt un chat à neuf queues, doté d’un manche court d’une trentaine de centimètres, et de neuf lanières. Chacune d’entre elles est formée de trois brins tressés ensemble, et s’amincissant vers leur extrémité. C’est la première fois qu’il utilise cet outil sur moi. Je frissonne.
S’il te plait, chéri, vise bien mon cul. Demain, je vais bronzer en maillot de bain.
Je vais replacer mon bâillon. Il bloque ma main, puis relâche les liens.
Non je veux t’entendre, tant pis pour les voisins.
Puis je m’approche du balcon, et je pose mes mains sur la rambarde. Je me penche, et j’écarte mes jambes, offrant ma croupe opulente à son cruel plaisir.
La passante.
Je n’en crois pas mes yeux, comment cette quinqua bon chic bon genre, avec un compagnon visiblement amoureux peut-elle se laisser aller à de telles perversions ?
Elle se penche et s’accroche à la rampe du balcon, elle se cambre, et présente ses fesses généreuses. Il se place légèrement en biais, il passe doucement les lanières sur ses reins, puis sur ses fesses. Elle agite son croupion, comme pour marquer son impatience. Il lance son bras. Les lanières fouettent son cul opulent.
Elle soupire, Il marque un arrêt. Puis il envoie trois cinglées en rafale. Elle gémit en serrant les dents. Il attend que ses tremblements cessent, et recommence.
Il joue avec elle, alternant les séries de cinglées et les pauses pour la laisser déguster son supplice.
Il recommence, elle hoquète. Elle chouine. Un instant, je distingue son visage, elle pleure, son discret maquillage coule. Sous la fouettée, elle danse d’une jambe sur l’autre, mais jamais elle ne lâche la rambarde pour protéger ses fesses couvertes d’une résille rouge. Jamais, elle ne se rebelle ni ne demande grâce.
Il se déplace légèrement, et lance les lanières entre les jambes, visant son sexe dégoulinant.
La pauvre victime crispe ses mâchoires pour retenir un hurlement. Elle tremble violement du haut en bas.
C’en est trop, ses genoux la lâchent, ses mains s’ouvrent, elle glisse à terre, en pleurs.
Il laisse tomber son fouet, et se penche sur elle, prenant sa main.
Tu veux arrêter
Non, non, finis-moi ...
Il l’aide à se relever. Elle se replace, penchée en avant et cambrant sa croupe. Il saisit une cravache rouge. Il se positionne derrière elle, mais je peux distinguer clairement son cul tremblotant couvert de stries cramoisies. Il lève le bras, et frappe. Le jonc pénètre sa chair, en biais. Elle étouffe un cri. Elle se cabre, ses jambes tremblent. Elle s’écroule, et glisse à terre, elle pleure.
Il se penche et l’aide à se relever, elle murmure « merci ».
Il la redresse. D’elle même, elle se repositionne. Comment peut-elle accepter de subir à nouveau le fouet de son maitre.
La main de son bourreau laisse glisser le jonc. Il fait tomber sa chemise. Son pantalon, et son caleçon suivent.
De ma cachette, je peux voir qu’il est complétement lisse. La marque blanche de son bronzage met en valeur un beau cul musclé de mec, ça me change de mon mari déjà bedonnant.
Il pivote légèrement et montre un sexe de belle taille, et surtout large et épais.
Elle chuchote
A sec, mon chéri, à sec, répète-elle
Il se place derrière elle, et pose son gland gorgé de sang sur son anus. Il empoigne ses hanches rondes, et pousse violement son bassin en avant.
Elle laisse échapper un long râle. Il se bloque, la laissant déguster cet enculage brutal.
Puis il commence à la pistonner lentement. A chaque pénétration, elle gémit de plaisir.
Il accélère, elle geint de façon continue.
Je suis trempée, je glisse une main dans mon string, et je branle mon clitoris. Je n’y tiens plus et je pousse mon majeur dans mon anus. Surprise, moi qui me croyais coincée de la rosette, ça rentre comme dans du beurre. J’insinue en plus mon annulaire, et je me doigte le trou du cul. J’halète silencieusement.
Il se cabre, tremble, et l’empale à fond. Il attrape ses seins et arrache les pinces. Elle serre ses mâchoires pour retenir un hurlement. Elle devient toute molle, et tombe.
Mais il la retient par la taille, et l’accompagne au sol en douceur. Il s’assoit contre la séparation. Elle se blottit contre lui.
Je stoppe ma masturbation au moment où j’allais jouir, je serre les dents pour retenir mon orgasme. Je me sens frustrée, mais je ne veux pas être surprise. Je les entends.
Ça va ma belle ?
Tu m’as tuée.
Ça t’a plu, l’exhib dans le couloir ?
Oui surtout quand nous avons croisé la jeune femme.
Ça a l’air de t’avoir fait de l’effet.
J’avais honte d’être nue, et en même temps, j’étais fière d’exhiber mon corps de soumise. C’était très fort, j’en ai mouillée.
Elle marque un petit temps d’arrêt, et reprends.
On recommencera, s’il te plait ?
Dans la même tenue ?
Oui.
Un petit silence
Chéri, j’ai besoin d’un peu de tendresse. Et puis, il commence à faire frais.
On retourne à la chambre ?
Oui, et tu seras très câlin dans le lit. Je ne suis plus bonne à rien, j’ai donné tout ce que j’avais.
Il se redresse, et l’aide à se mettre debout. Ils rentrent dans leur suite.
Je reste là, assise, la culotte aux genoux, les doigts trempés de mon jus, et frustrée de mon plaisir.
Ce matin, Pierre est parti se baigner ce matin à l’océan. Je n’aime pas l’eau froide, alors je m’expose un peu au soleil matinal, sur un transat, sur la terrasse en surplomb de la plage. J’en profite pour étrenner un maillot de bain vintage acheté lors d’un raid, avec mon chéri dans les boutiques chics d’Arcachon.
C’est un une pièce, blanc avec un décor floral, un décolleté carré, avec des coques pour supporter et mettre en valeur ma poitrine. Le tissu cache une gaine légère qui me fait une taille de guêpe. Le tissu s’arrête à la limite des fesses et des cuisses, ce qui donne un petit effet « remonte-cul ». Bref une jolie tenue bien sage, idéale pour tromper mon monde sur ma vie secrète.
Bonjour !
Je soulève mes lunettes. Une jolie femme mince, à la chevelure courte s’est assise sur la chaise longue à côté de la mienne. Une brise légère ouvre les pans de son paréo, et la dévoile en bikini. Elle est mince, même très mince, en tout cas plus mince qu’Odile. Des jambes très longues prolonge un cul menu, presque sans fesses. Des hanches étroites, elle doit faire du trente-six, du trente-huit au maximum. En tout cas, elle n’a certainement pas eu d’enfants. Son con bombé fait saillir l’entre jambe de sa culotte. Au-dessus, un ventre plat, presque creusé, le tout surmonté par des seins d’adolescente, gros comme des mandarines, emballés dans un push up.
Un visage mince, bronzé, aux pommettes à peine saillantes, avec un regard légèrement en amande, trahissant une grand-mère asiatique. Mais ses yeux sont cernés, marqués par une nuit d’insomnie ou d’amour
Elle répète
Bonjour !
Bonjour, excusez-moi, je rêvais. Puis je reprends
On se connait ?
Nous avons échangé un regard dans le restaurant de l’hôtel.
Ah…
Et je vous ai croisé dans le couloir, hier soir.
Ah, oui…
Un ange passe
Je vous ai reconnu à l’instant.
Comment ça ?
Vous avez une mèche qui dépasse, fait-elle en dirigeant son regard sur mon entre-jambes.
Je baisse les yeux, effectivement une boucle rouge s’est échappée. Je tire sur mon maillot, et je range la coquine.
Et, ajoute-t-elle.
Et…
Je vous ai observée sur le balcon, à travers la séparation.
Je marque un silence, puis je reprends.
Et mateuse, en plus !!!
S’il vous plait, ne me jugez pas. Quand, je vous ai croisée, en laisse, bâillonnée, menottée, vous m’avez tellement émue, et perturbée que je vous ai observée.
Ça vous a plu
Oui, Euh ! Non
Oui ou non.
Oui.
Vous vous êtes fait plaisir.
Oui après, dans ma chambre.
Vous mentez, j’ai entendu des soupirs.
En fait, j’ai arrêté au moment de partir, et elle poursuit.
Mais dans ma chambre, de l’autre côté du mur, je me suis branlée. Et j’ai pété mon plus bel orgasme.
Eh bien, je suis heureuse de vous avoir fait plaisir.
Je n’ai pas réussi à dormir, je n’ai pas arrêté de me repasser la scène.
Un silence
Dites, je ne comprends pas, vous aviez l’air tellement heureuse et épanouie avec votre mari. Au restaurant, à l’hôtel vous n’avez pas cessé de vous prendre la main.
Mais c’est parce que je suis soumise que je suis heureuse et épanouie.
Encore une pause.
Vous avez mal ?
Oui, un peu, surtout la cravache. Je ne sens presque plus le martinet.
Je peux voir
Je suis un peu surprise, mais je me retourne et je remonte le tissu du maillot dégageant ma fesse.
C’est vrai on ne voit plus rien sauf la marque, et elle continue
Je peux toucher.
Oui, mais soyez délicate.
Elle pose son index et son majeur sur l’arrière de ma cuisse, et remonte. Je frissonne quand elle commence à caresser ma fesse. Elle a des mains très douces.
Puis ses doigts glissent sur ma cicatrice.
Aie !
Je vous ai fait mal.
Non, juste un peu comme une petite décharge électrique.
Je me rajuste et je me retourne.
Alors, votre curiosité est satisfaite ?
Comment pouvez-vous accepter de subir ça.
Je n’accepte pas de subir, je demande la flagellation, et je continue
J’aime quand mon maitre me prépare. A ce moment, il n’a que moi qui existe pour lui. J’adore ce rituel, je sens la tension monter en moi, et quand les lanières frappent mon cul, c’est une explosion telle que j’en mouille à couler.
Je laisse passer un petit silence et je reprends.
Hier, vous auriez aimé être à ma place ?
Tout doucement, elle laisse échapper un…
Oui
Alors proposez-le à votre mari.
Non, il me foutrait à quatre pattes et il me taperait comme un sourd.
Pauvre chatte, alors vous ne connaitrez pas ce genre de bonheur pervers.
Une pause. Et elle reprend
Je dois vous laisser. Et excusez-moi de ma curiosité. J’étais tellement chamboulée que je devais vous parler.
C’est à peine l’aube, le bruit du ressac de la marée montante se glisse dans notre chambre. C’est notre dernière nuit ici, nous prendrons la route cet après-midi.
Je repasse les derniers événements de notre séjour. Et surtout la conversation avec la passante du couloir. Je mesure ma chance d’être tombée sur mon chéri qui a su si bien découvrir ma nature profonde.
Pierre est en train de m’ouvrir la porte de la voiture, quand j’entends un...
Attendez s’il vous plait.
Je me retourne. C’est la femme du couloir.
Je voudrais vous revoir, ou au moins vous téléphoner, s’il vous plait
J’hésite un instant, et
Vous avez un papier, un stylo ?
Elle me tend ce que je viens de demander, j’y inscris mon 06 à toute vitesse, et je monte en voiture. Par la fenêtre ouverte, je lui lance…
Votre prénom ?
Jeanne
Jeanne.
Le TGV vient d’entrer en gare de Massy. Je repère Hélène, accompagnée de deux amies, sur le quai.
Je l’ai rappelée. Nous avons discuté, et je l’ai convaincue de m’inviter à une performance où elle se livrerait aux lanières de son époux.
Je m’étonne moi-même de ma curiosité et de mon goût pour la souffrance féminine.
Et ce soir, je la verrai se tordre sous le fouet.
Hélène.
Pierre détache mes chevilles, puis il libère mes poignets de la croix de Saint André.
Je lui ai demandé de ne pas me ménager. Alors il m’a tout fait, les pinces à picots aux seins et au clitoris, les poids accrochés à mes lèvres intimes, l’écartèlement. Et surtout le terrible fouet à chiens et son horrible morsure. Pas de bâillon, je veux qu’on m’entende crier.
Je suis épuisée. Heureusement mon chéri m’a pris par la taille, et il me soutient.
Je jette un coup d’œil vers mes deux complices. Elles se sont placées à droite et à gauche de Jeanne. Tout son corps est tendu, comme raidi sous l’effet du spectacle que je lui ai donné. Ses doigts crispés se sont plantés dans les paumes de mes deux amies.
Elles se lèvent, entrainant notre nouvelle amie. Celle-ci accompagne leur mouvement sans résister. Elles la guident vers l’estrade.
Mel fait glisser la fermeture éclair de la robe dévoilant le corps mince, presque maigre de la belle victime. Elle ne porte plus que ses talons. Elles la poussent contre le bois imprégné de ma sueur et de ma mouille. Jeanne frissonne
Jeanne.
J’étais venue pour mater le supplice d’une belle mature. Mais quand mes voisines se sont levées et m’ont guidée vers la croix, j’ai compris quel était mon désir profond. J’étais tendue à craquer avec une boule au ventre. Mais quand elles m’ont attachée, toute ma tension est tombée. Maintenant, exposée, écartelée, sans défense, je suis bien, presque impatiente de la première cinglée.
Des doigts se glissent dans ma chevelure, et l’empoignent. Mel me tord la nuque, et sans douceur, elle force ma bouche. Sa langue me fouille, nous mélangeons nos salives, nos baveuses se nouent et se dénouent dans un baiser animal. Elle m’abandonne et tourne ma tête de l’autre côté, me livrant à Anne So. Je me laisse lécher les lèvres avec bonheur, puis comme un reptile, elle s’insinue dans ma bouche, et me roule une galoche d’anthologie. Elle s’écarte.
Elle s’essuie d’un revers de la main, et me fixe dans les yeux.
Tu vas voir, tu vas aimer.
Hélène.
Mel se place légèrement sur le côté, elle assure sa prise sur le martinet à longues lanières.
Et dans un geste lent, mais puissant, elle cingle le cul pommée de la belle girondine, qui hurle.
Je suis heureuse, et je sais que Jeanne l’est aussi.
La prochaine fois, je veux le bâillon, les menottes et la laisse.
Pour gagner du temps, je suis nue sous ma robe, juste un serre taille et des bas dorés.
Pierre fait glisser ma fermeture éclair et m’épluche. Mon vêtement tombe à terre, je l’enjambe, et je pivote pour me retrouver face au miroir de l’ascenseur. Mon homme sort de sa poche le bâillon boule que j’affectionne. Je relève mes cheveux pour dégager ma nuque, il rassemble ma chevelure en queue de cheval. Il boucle la courroie du mors et me rend muette. Je passe mes mains dans mon dos. Je sens qu’il verrouille les menottes sur mes poignets. Il s’agenouille et clique le mousqueton sur un des anneaux de mes grandes lèvres. Il se relève.
Je me contemple dans la glace. En un instant, la quinqua bien bourge s’est métamorphosée en parfaite soumise. Bien que très pudique, je suis fière de ma quasi nudité. Et je suis heureuse d’afficher ma soumission. Tout y est : les anneaux, la laisse, le bâillon, les menottes, et la plaque en or qui étire ma petite lèvre gauche. Je me tourne vers la porte, je ferme les yeux, je fais le vide dans ma tête. Je suis prête. Je suis impatiente.
Une discrète sonnerie annonce notre étage. J’entends le glissement de la porte qui s’ouvre. J’ouvre les yeux, et sans réfléchir, je me jette dehors. Pourvu qu’il n’y ait personne, ou plutôt pourvu qu’il y ait quelqu’un.
En laisse, j’emboite le pas de mon seigneur et maitre. Nous nous engageons dans le couloir qui mène à notre suite quand la porte de la chambre voisine s’ouvre, laissant le passage à une jeune femme.
Récit de la passante.
Mon mari m’attend en bas avec ses copains. Encore une soirée de m... avec ses potes bien reloués qui ne pense qu’à me draguer. Je claque la porte, et je me retourne. Je me fige.
La femme qui vient de s’engager dans le couloir est dans une tenue ahurissante. Elle est nue, avec seulement un porte-jarretelle et des bas. Elle s’approche, je ne suis qu’à deux pas d’elle et de son compagnon. C’est une belle femme, environ cinquante ans, des seins comme des grosses oranges qui se balancent quand elle marche. Un visage délicat et agréable, mais sa bouche est envahie par un bâillon. Ses lèvres forment un liseré rouge autour de la boule noire. Je baisse les yeux, elle n’est pas épilée, sa touffe est soigneusement taillée, mais détail troublant, elle est teinte en vermillon, assorti à la couleur de son gloss. Je distingue clairement l’anneau auquel sont accroché la laisse, et une lourde plaque en or qui étire sa petite lèvre. Je relève la tête, et je croise son regard. Elle m’envoie un baiser muet de sa bouche bâillonnée. Nous nous croisons, je me retourne sur elle.
Elle est dotée d’un cul magnifique, avec des fesses un peu lourdes et tombantes. Au-dessus, sur le creux de ses reins, les index et les pouces de ses mains menottées se joignent pour former un cœur.
Son maitre ouvre la porte de leur suite et ils disparaissent.
Je suis comme tétanisée. Puis je m’empare de mon mobile et je textote frénétiquement.
Indisposée
Migraine
Amusez-vous sans moi...
Et je fonce à ma chambre. Par la baie grande ouverte, j’entends des brides de conversation chuchotée. Nos balcons sont mitoyens, seulement séparées par une cloison à claire vue, en imitation bois flotté. La lumière de leur chambre éclaire la scène.
Elle est blottie dans ses bras, ils se murmurent des mots que je ne peux pas saisir. Il lui caresse les fesses avec douceur, puis le fait pivoter. Elle jette sa tête en arrière, et j’entends clairement un « oui, oui chéri »
Il masse ses tétons puis les étire. Elle se cambre projetant sa poitrine en avant. Il fouille dans sa poche. Il en sort une paire de pinces. Il prend un mamelon, et l’enserre dans la petite mâchoire et serre. Elle soupire, puis laisse échapper un geignement. Il continue encore un instant, et stoppe.
Il s’empare de l’autre sein, et lui fait subir le même supplice. Il défait la laisse de sa lèvre
Il la fait pivoter, et la libère de ses menottes. Il fait glisser le bâillon. Il l’enlace, passant ses bras autour de sa taille. Elle pose une main sur sa nuque rasée, et l’embrasse. Ce baiser passionné semble durer une éternité.
En un flash, je me souviens quand je l’ai vue. C’était hier soir, au moment où elle a fait son entrée dans le restaurant de l’hôtel. Elle était vêtue d’une robe cuivre, à la fois simple et chic.
Ses seins dansaient en liberté sous la soie, et un instant je me suis demandée si elle n’était pas complètement nue en dessous.
Hélène
Je m’écarte de Pierre. Il me présente l’instrument de mon supplice. C’est un martinet ou plutôt un chat à neuf queues, doté d’un manche court d’une trentaine de centimètres, et de neuf lanières. Chacune d’entre elles est formée de trois brins tressés ensemble, et s’amincissant vers leur extrémité. C’est la première fois qu’il utilise cet outil sur moi. Je frissonne.
S’il te plait, chéri, vise bien mon cul. Demain, je vais bronzer en maillot de bain.
Je vais replacer mon bâillon. Il bloque ma main, puis relâche les liens.
Non je veux t’entendre, tant pis pour les voisins.
Puis je m’approche du balcon, et je pose mes mains sur la rambarde. Je me penche, et j’écarte mes jambes, offrant ma croupe opulente à son cruel plaisir.
La passante.
Je n’en crois pas mes yeux, comment cette quinqua bon chic bon genre, avec un compagnon visiblement amoureux peut-elle se laisser aller à de telles perversions ?
Elle se penche et s’accroche à la rampe du balcon, elle se cambre, et présente ses fesses généreuses. Il se place légèrement en biais, il passe doucement les lanières sur ses reins, puis sur ses fesses. Elle agite son croupion, comme pour marquer son impatience. Il lance son bras. Les lanières fouettent son cul opulent.
Elle soupire, Il marque un arrêt. Puis il envoie trois cinglées en rafale. Elle gémit en serrant les dents. Il attend que ses tremblements cessent, et recommence.
Il joue avec elle, alternant les séries de cinglées et les pauses pour la laisser déguster son supplice.
Il recommence, elle hoquète. Elle chouine. Un instant, je distingue son visage, elle pleure, son discret maquillage coule. Sous la fouettée, elle danse d’une jambe sur l’autre, mais jamais elle ne lâche la rambarde pour protéger ses fesses couvertes d’une résille rouge. Jamais, elle ne se rebelle ni ne demande grâce.
Il se déplace légèrement, et lance les lanières entre les jambes, visant son sexe dégoulinant.
La pauvre victime crispe ses mâchoires pour retenir un hurlement. Elle tremble violement du haut en bas.
C’en est trop, ses genoux la lâchent, ses mains s’ouvrent, elle glisse à terre, en pleurs.
Il laisse tomber son fouet, et se penche sur elle, prenant sa main.
Tu veux arrêter
Non, non, finis-moi ...
Il l’aide à se relever. Elle se replace, penchée en avant et cambrant sa croupe. Il saisit une cravache rouge. Il se positionne derrière elle, mais je peux distinguer clairement son cul tremblotant couvert de stries cramoisies. Il lève le bras, et frappe. Le jonc pénètre sa chair, en biais. Elle étouffe un cri. Elle se cabre, ses jambes tremblent. Elle s’écroule, et glisse à terre, elle pleure.
Il se penche et l’aide à se relever, elle murmure « merci ».
Il la redresse. D’elle même, elle se repositionne. Comment peut-elle accepter de subir à nouveau le fouet de son maitre.
La main de son bourreau laisse glisser le jonc. Il fait tomber sa chemise. Son pantalon, et son caleçon suivent.
De ma cachette, je peux voir qu’il est complétement lisse. La marque blanche de son bronzage met en valeur un beau cul musclé de mec, ça me change de mon mari déjà bedonnant.
Il pivote légèrement et montre un sexe de belle taille, et surtout large et épais.
Elle chuchote
A sec, mon chéri, à sec, répète-elle
Il se place derrière elle, et pose son gland gorgé de sang sur son anus. Il empoigne ses hanches rondes, et pousse violement son bassin en avant.
Elle laisse échapper un long râle. Il se bloque, la laissant déguster cet enculage brutal.
Puis il commence à la pistonner lentement. A chaque pénétration, elle gémit de plaisir.
Il accélère, elle geint de façon continue.
Je suis trempée, je glisse une main dans mon string, et je branle mon clitoris. Je n’y tiens plus et je pousse mon majeur dans mon anus. Surprise, moi qui me croyais coincée de la rosette, ça rentre comme dans du beurre. J’insinue en plus mon annulaire, et je me doigte le trou du cul. J’halète silencieusement.
Il se cabre, tremble, et l’empale à fond. Il attrape ses seins et arrache les pinces. Elle serre ses mâchoires pour retenir un hurlement. Elle devient toute molle, et tombe.
Mais il la retient par la taille, et l’accompagne au sol en douceur. Il s’assoit contre la séparation. Elle se blottit contre lui.
Je stoppe ma masturbation au moment où j’allais jouir, je serre les dents pour retenir mon orgasme. Je me sens frustrée, mais je ne veux pas être surprise. Je les entends.
Ça va ma belle ?
Tu m’as tuée.
Ça t’a plu, l’exhib dans le couloir ?
Oui surtout quand nous avons croisé la jeune femme.
Ça a l’air de t’avoir fait de l’effet.
J’avais honte d’être nue, et en même temps, j’étais fière d’exhiber mon corps de soumise. C’était très fort, j’en ai mouillée.
Elle marque un petit temps d’arrêt, et reprends.
On recommencera, s’il te plait ?
Dans la même tenue ?
Oui.
Un petit silence
Chéri, j’ai besoin d’un peu de tendresse. Et puis, il commence à faire frais.
On retourne à la chambre ?
Oui, et tu seras très câlin dans le lit. Je ne suis plus bonne à rien, j’ai donné tout ce que j’avais.
Il se redresse, et l’aide à se mettre debout. Ils rentrent dans leur suite.
Je reste là, assise, la culotte aux genoux, les doigts trempés de mon jus, et frustrée de mon plaisir.
Ce matin, Pierre est parti se baigner ce matin à l’océan. Je n’aime pas l’eau froide, alors je m’expose un peu au soleil matinal, sur un transat, sur la terrasse en surplomb de la plage. J’en profite pour étrenner un maillot de bain vintage acheté lors d’un raid, avec mon chéri dans les boutiques chics d’Arcachon.
C’est un une pièce, blanc avec un décor floral, un décolleté carré, avec des coques pour supporter et mettre en valeur ma poitrine. Le tissu cache une gaine légère qui me fait une taille de guêpe. Le tissu s’arrête à la limite des fesses et des cuisses, ce qui donne un petit effet « remonte-cul ». Bref une jolie tenue bien sage, idéale pour tromper mon monde sur ma vie secrète.
Bonjour !
Je soulève mes lunettes. Une jolie femme mince, à la chevelure courte s’est assise sur la chaise longue à côté de la mienne. Une brise légère ouvre les pans de son paréo, et la dévoile en bikini. Elle est mince, même très mince, en tout cas plus mince qu’Odile. Des jambes très longues prolonge un cul menu, presque sans fesses. Des hanches étroites, elle doit faire du trente-six, du trente-huit au maximum. En tout cas, elle n’a certainement pas eu d’enfants. Son con bombé fait saillir l’entre jambe de sa culotte. Au-dessus, un ventre plat, presque creusé, le tout surmonté par des seins d’adolescente, gros comme des mandarines, emballés dans un push up.
Un visage mince, bronzé, aux pommettes à peine saillantes, avec un regard légèrement en amande, trahissant une grand-mère asiatique. Mais ses yeux sont cernés, marqués par une nuit d’insomnie ou d’amour
Elle répète
Bonjour !
Bonjour, excusez-moi, je rêvais. Puis je reprends
On se connait ?
Nous avons échangé un regard dans le restaurant de l’hôtel.
Ah…
Et je vous ai croisé dans le couloir, hier soir.
Ah, oui…
Un ange passe
Je vous ai reconnu à l’instant.
Comment ça ?
Vous avez une mèche qui dépasse, fait-elle en dirigeant son regard sur mon entre-jambes.
Je baisse les yeux, effectivement une boucle rouge s’est échappée. Je tire sur mon maillot, et je range la coquine.
Et, ajoute-t-elle.
Et…
Je vous ai observée sur le balcon, à travers la séparation.
Je marque un silence, puis je reprends.
Et mateuse, en plus !!!
S’il vous plait, ne me jugez pas. Quand, je vous ai croisée, en laisse, bâillonnée, menottée, vous m’avez tellement émue, et perturbée que je vous ai observée.
Ça vous a plu
Oui, Euh ! Non
Oui ou non.
Oui.
Vous vous êtes fait plaisir.
Oui après, dans ma chambre.
Vous mentez, j’ai entendu des soupirs.
En fait, j’ai arrêté au moment de partir, et elle poursuit.
Mais dans ma chambre, de l’autre côté du mur, je me suis branlée. Et j’ai pété mon plus bel orgasme.
Eh bien, je suis heureuse de vous avoir fait plaisir.
Je n’ai pas réussi à dormir, je n’ai pas arrêté de me repasser la scène.
Un silence
Dites, je ne comprends pas, vous aviez l’air tellement heureuse et épanouie avec votre mari. Au restaurant, à l’hôtel vous n’avez pas cessé de vous prendre la main.
Mais c’est parce que je suis soumise que je suis heureuse et épanouie.
Encore une pause.
Vous avez mal ?
Oui, un peu, surtout la cravache. Je ne sens presque plus le martinet.
Je peux voir
Je suis un peu surprise, mais je me retourne et je remonte le tissu du maillot dégageant ma fesse.
C’est vrai on ne voit plus rien sauf la marque, et elle continue
Je peux toucher.
Oui, mais soyez délicate.
Elle pose son index et son majeur sur l’arrière de ma cuisse, et remonte. Je frissonne quand elle commence à caresser ma fesse. Elle a des mains très douces.
Puis ses doigts glissent sur ma cicatrice.
Aie !
Je vous ai fait mal.
Non, juste un peu comme une petite décharge électrique.
Je me rajuste et je me retourne.
Alors, votre curiosité est satisfaite ?
Comment pouvez-vous accepter de subir ça.
Je n’accepte pas de subir, je demande la flagellation, et je continue
J’aime quand mon maitre me prépare. A ce moment, il n’a que moi qui existe pour lui. J’adore ce rituel, je sens la tension monter en moi, et quand les lanières frappent mon cul, c’est une explosion telle que j’en mouille à couler.
Je laisse passer un petit silence et je reprends.
Hier, vous auriez aimé être à ma place ?
Tout doucement, elle laisse échapper un…
Oui
Alors proposez-le à votre mari.
Non, il me foutrait à quatre pattes et il me taperait comme un sourd.
Pauvre chatte, alors vous ne connaitrez pas ce genre de bonheur pervers.
Une pause. Et elle reprend
Je dois vous laisser. Et excusez-moi de ma curiosité. J’étais tellement chamboulée que je devais vous parler.
C’est à peine l’aube, le bruit du ressac de la marée montante se glisse dans notre chambre. C’est notre dernière nuit ici, nous prendrons la route cet après-midi.
Je repasse les derniers événements de notre séjour. Et surtout la conversation avec la passante du couloir. Je mesure ma chance d’être tombée sur mon chéri qui a su si bien découvrir ma nature profonde.
Pierre est en train de m’ouvrir la porte de la voiture, quand j’entends un...
Attendez s’il vous plait.
Je me retourne. C’est la femme du couloir.
Je voudrais vous revoir, ou au moins vous téléphoner, s’il vous plait
J’hésite un instant, et
Vous avez un papier, un stylo ?
Elle me tend ce que je viens de demander, j’y inscris mon 06 à toute vitesse, et je monte en voiture. Par la fenêtre ouverte, je lui lance…
Votre prénom ?
Jeanne
Jeanne.
Le TGV vient d’entrer en gare de Massy. Je repère Hélène, accompagnée de deux amies, sur le quai.
Je l’ai rappelée. Nous avons discuté, et je l’ai convaincue de m’inviter à une performance où elle se livrerait aux lanières de son époux.
Je m’étonne moi-même de ma curiosité et de mon goût pour la souffrance féminine.
Et ce soir, je la verrai se tordre sous le fouet.
Hélène.
Pierre détache mes chevilles, puis il libère mes poignets de la croix de Saint André.
Je lui ai demandé de ne pas me ménager. Alors il m’a tout fait, les pinces à picots aux seins et au clitoris, les poids accrochés à mes lèvres intimes, l’écartèlement. Et surtout le terrible fouet à chiens et son horrible morsure. Pas de bâillon, je veux qu’on m’entende crier.
Je suis épuisée. Heureusement mon chéri m’a pris par la taille, et il me soutient.
Je jette un coup d’œil vers mes deux complices. Elles se sont placées à droite et à gauche de Jeanne. Tout son corps est tendu, comme raidi sous l’effet du spectacle que je lui ai donné. Ses doigts crispés se sont plantés dans les paumes de mes deux amies.
Elles se lèvent, entrainant notre nouvelle amie. Celle-ci accompagne leur mouvement sans résister. Elles la guident vers l’estrade.
Mel fait glisser la fermeture éclair de la robe dévoilant le corps mince, presque maigre de la belle victime. Elle ne porte plus que ses talons. Elles la poussent contre le bois imprégné de ma sueur et de ma mouille. Jeanne frissonne
Jeanne.
J’étais venue pour mater le supplice d’une belle mature. Mais quand mes voisines se sont levées et m’ont guidée vers la croix, j’ai compris quel était mon désir profond. J’étais tendue à craquer avec une boule au ventre. Mais quand elles m’ont attachée, toute ma tension est tombée. Maintenant, exposée, écartelée, sans défense, je suis bien, presque impatiente de la première cinglée.
Des doigts se glissent dans ma chevelure, et l’empoignent. Mel me tord la nuque, et sans douceur, elle force ma bouche. Sa langue me fouille, nous mélangeons nos salives, nos baveuses se nouent et se dénouent dans un baiser animal. Elle m’abandonne et tourne ma tête de l’autre côté, me livrant à Anne So. Je me laisse lécher les lèvres avec bonheur, puis comme un reptile, elle s’insinue dans ma bouche, et me roule une galoche d’anthologie. Elle s’écarte.
Elle s’essuie d’un revers de la main, et me fixe dans les yeux.
Tu vas voir, tu vas aimer.
Hélène.
Mel se place légèrement sur le côté, elle assure sa prise sur le martinet à longues lanières.
Et dans un geste lent, mais puissant, elle cingle le cul pommée de la belle girondine, qui hurle.
Je suis heureuse, et je sais que Jeanne l’est aussi.
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Les avis des lecteurs
Superbe récit mon épouse n’ai pas encore aussi bien dressée nous ne sommes mariés que depuis 3ans