Henri et Carmen
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2014 dans la catégorie Plus on est
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Henri et Carmen
La première fois que j’ai vu une bite c’était quand mon premier après m’avoir mise nue, c’est déshabillé. J’ai eu peur juste avant qu’il la rentre qu’elle me fasse mal, tellement je la trouvais grosse. Sa longueur aussi, je n’aurais pas de place dans ma chatte pour qu’il la fasse toute pénétrer. Je me demandais comment les filles pouvaient avoir besoin de ça pour jouir. Mes mains seules me suffisaient.
D’ailleurs je ne faisais ça que pour faire comme les autres, comme toutes mes copines qui en disait beaucoup de bien et surtout pour lui faire plaisir à lui, mon amoureux du moment.
Pour me donner envie, il m’a bien caressé les seins, découvert toute ma poitrine, passé sa main dans le jean pour chercher mon petit bouton, celui avec qui je me fais jouir. Il a mit un bon moment avant de me faire voir le 7° ciel.
Quand il m’a allongé sur l’herbe je craignais d’avantage pour mes vêtements qu’à autre chose. Il m’a littéralement épluchée comme un légume, sans trop de délicatesse. Avant de venir sur moi, il s’est allongé entre mes jambes. Il a posé sa bouche sur ma chatte. Là, j’ai eu un autre plaisir, meilleur que quand je me branle.
Il a passé sa langue partout entre mes jambes, même sur mon petit trou. Quand il a pris le clitoris dans sa bouche, j’ai encore joui. C’est après que je me suis rendu compte des dimensions de sa queue. Il l’a pris dans sa main, l’a posé sur mon vagin, a forcé un peu pour la rentrer.
La vache, il m’a fait un mal de chien. Bien sur ça n’a duré qu’un court instant. Un instant après je le sentais bien dans mon ventre. Je devais le sentir trop, il m’a fait jouir quand il m’a donné son jus au fond de mon ventre. Je ne voulais plus qu’il parte, il est quand même sorti en me disant qu’il ne bandait plus assez.
La fois suivante, je me suis donnée à un homme, Henri plus âgé que moi, marié de surcroit. Alors là, j’ai vécu la meilleure expérience. Après m’avoir mise toute nue sur la plage, il est venu m’embrasser à peu près partout. Il m’a même retourné sur le ventre pour mieux me caresser les fesses, sa langue s’y est mise aussi. Il me la mise entre les fesses. J’avais des frissons quand il venait sur mon petit trou. Il ne l’a pas entré rapidement, Henri m’a fait languir un bon moment avant de passer la passer autour, sans entrer. J’avais une envie folle qu’il me fasse du bien, surtout à cet endroit. Quelques fois, rarement il posait le bout de sa langue sur l’anus. J’avais beau pousser mes fesses vers sa bouche, il faisait le sourd à mes demandes. Je désespérais quand gentiment j’ai reçu au moins la moitié presque au fond de mon cul, c’est-ce qui me semblait.
Je me souviens encore de l’orgasme qu’il m’a donné : c’était le premier de cette importance. Je sentais les spasmes se succéder sans fin. Je restais groggy sur le ventre. Je sentais quand il est venu sur moi, sa bite dure se glisser entre mes fesses, passe mon anus pour aller me baiser. Il l’a surpris quand il me la mise : elle était assez grosse, sans plus, elle était surtout épaisse. Elle me remplissait complètement le puits. Je sentais mon con plein de sa bite. Quand il me la mise en entier, il s’est arrêté pour que je m’y habitue. Je sentais ma chair écartées prendre du plaisir sans qu’il bouge. C’est moi qui me suis remuée pour qu’il me baise normalement.
Je ne pensais jamais qu’il soit si résistant au plaisir : il me faisait jouir sans cesse alors qu’il continuait à me limer. Je ne sais plus combien de temps il a mit pour jouir. Je sentais son poids sur mon dos et mes fesses, pendant que ces lèvres me mordaient les lobes d’oreilles.
J’oubliais simplement qu’étant marié, il se devait de baiser sa femme aussi, femme qui était particulièrement chaude d’après ce qu’il disait : il la baisait le matin et le soir. Un jour il m’a demandé si je ne voulais pas baiser sa femme avec lui. Mon premier mouvement a été le refus. Je ne connaissais pas les autres filles, je n’avais pas envie de jouir ou faire jouir une autre fille. A force, il a valu que je cède à sa prière. Sa femme savait qu’il me faisait aussi l’amour, elle voulait me connaitre.
C’est ainsi que je suis devenue bisexuelle, comme elle l’était avant. J’étais anxieuse avant de la voir. Je m’imaginais une femme laide, sans charme. Au restaurant où nous nous sommes retrouvés avec lui, il était avec une femme bien plus jeune que lui. Une brune agréable à regarder, surtout qu’elle était légèrement vêtue. Je voyais ses cuisses à moitié, la moitié de sa poitrine. Bref elle était sexy, alors que moi, pauvre gourde j’étais à l’ancienne avec un robe longue, fermée qui ne laissait rien voir de ma plastique.
Henri s’est levé, m’a embrassé sur la bouche, d’un léger baiser. Elle s’est présentée seule
- Bonjours je suis Carmen, J’espère que nous nous entendrons toutes les deux. Henri est très porté sur la chose, j’en profite comme toi.
Le début commençait pas mal. Je me traitais de tous les noms, je devais passer pour une gourde. Le repas, s’est bien passé. C’est Carmen qui m’invite chez le couple pour le reste de la soirée.
Je me trouve dans un intérieur cossu, ce qui me change des hôtels de passe. Si Carmen s’en va, Henri, lui s’attache à moi avec sa bouche. Le retour de sa femme ne le fait pas cesser.
Carmen vint nue, près de nous pour partager ce premier baiser de trio. C’est ainsi que je me retrouve avec sa bouche sur la mienne. Sa langue ne force pas quand elle entre dans ma bouche. Henri nous laisse faire en passant derrière moi : il me caresse les seins. Je sens la main de Carmen venir sur mes fesses. Je suis un peu forcé de mettre mon corps bien contre celui de la femme.
C’est excitant. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Il faut absolument que je jouisse. Carmen oublie ma bouche pour mon cou. Elle le lèche en descendant vers mes épaules. Henri, lui participe aussi : il monte le bas de ma robe pour me l’enlever. Je ne portais pratiquement rien dessous, je me trouve en bas et string. Le reste je l’ai laissé chez moi.
Carmen profite de l’occasion pour poser sa bouche sur un sein. Elle le tète comme le ferait un nourrisson : elle me fait encore plus mouiller. Je ne pensais jamais qu’une femme me fasse cet effet. Je me laisse faire. Je sens la main d’Henri venir sur ma chatte : il commence à ma branler devant sa propre femme. Je ne peux qu’écarter les jambes pour lui faciliter ce qu’il me fait. Je sens aussi que Carmen passe à son tour sur ma chatte. Elle chasse presque son mari. Je dois subir sa main : elle est trop légère et pourtant je m’apprête à avoir un orgasme. Cet est, je jouis des doigts d’une femme. Qu’elle bonne idée a eu Henri de me proposer de baiser en trio avec sa femme. Lui, le je sens entre mes fesses : il bande comme un cerf. Je le sens aller et venir entre mes globes : il se branle contre mon cul.
J’ai envie de la branler elle aussi. Dès que je pose ma main sur sa chatte, elle écarte les cuisses légèrement. Je trouve un endroit très humide. Elle aussi mouille de notre corps à corps entamé. Je ne peux me décider pour savoir avec qui je vais baiser d’abord, elle ou lui ? Ils m’attirent autant l’un que l’autre. Elle continue sa masturbation, je suis sur le point de partir vers le ciel encore ne fois avec elle. Je reconnais qu’elle sait bien masturber, en plus une femme qui sait bien comment branler une autre fille. Je suis partante, il attendra un peu. Moi aussi je n’arrête pas ce que je fais. Après les doigts sur le clitoris, les voilà dans son puits. Je la doigte comme je me fais. Elle me le rend, nous gémissons toutes les deux, enracinés par le plaisir.
- Tu viens baiser avec moi sur le lit ?
- Bien sur, je te suis.
- Moi aussi je vous suis, dit Henri qui ne tiens pas à perdre ne miette de nos amours.
Libres de nous coucher, nous commençons une séance de baise inoubliable pour moi. Elle laisse ses doigts, au début sans rien faire de particulier, ce n’est que sa langue qui agit. Je suis léchée depuis le menton jusqu’au talon. Elle remonte lentement entre mes jambes. Quand elle atteint les genoux, je n’en peux déjà plus. Qu’elle arrive vite sur la chatte. Elle monte très lentement : c’est plus qu’excitant. Je regarde la tête venir vers mon abricot. Il me tarde qu’elle me caresse, qu’elle me fasse jouir normalement.
Enfin je sens son souffle chaud sur ma féminité. Et puis, cette fois elle y met les doigts pour écarter les lèvres. Mon clitoris est fin prêt à recevoir ce qu’elle voudra bien y mettre. Je sens d’abord le bout du nez avant de sentir sa langue lécher comme un petit animal. Je fais un bond de satisfaction quand elle m’aspire dans sa bouche. Je sens qu’elle me lèche ce que je lui donne à l’intérieur de sa bouche. Que c’est bon, que c’est bon de sentir cette langue si douce me donner tous ces frissons.
Elle sait bien dosser ses léchouilles. Elle fait trainer mon orgasme. Je sais que c’est pour mon bien, mais c’est trop long. C’est encore plus long quand elle m’enjambe pour me donner sa chatte à lécher. Je goute enfin à sa cyprine. C’est bon, ça sent bon, ça m’excite.
Enfin je pars dans un orgasme plus fort que le premier. Je m’entends crier comme si je souffrais beaucoup. C’est vrai de souffre de bonheur dans mon sexe. Nous restons toujours dans la même position, en 69. Elle me fait tourner sur elle.
Enfin Henri vient vers mon cul. C’est sa femme qui dirige sa queue vers mon anus. Je ne le sens qu’au dernier moment. Carmen m’a tellement mouillée que la bite n’a besoin d’aucune aide complémentaire pour entrer.
Je ne savais pas que c’était si bon d’être sucée et enculée. Maintenant je suis au prise avec une queue qui garde son sperme trop longtemps ; à moins que sa femme sache comment faire pour le faire jouir assez vite. Elle me laisse jouir ainsi deux fois avant de se retourner pour qu’à son tour elle profite de la queue de son mari.
Cette fois je vois tout, tellement bien que c’est moi qui dirige la pine dans le cul de ma maitresse. Je peux enfin voir une queue agir pour son propre compte. Je vois le prépuce venir en arrière quand il entre, puis, la colonne entrer facilement. Je regarde les couilles qui battent la cadence. J’ai envie moi aussi de participer, je m’efforce difficilement d’entrer deux doigts dans le cul de notre commun baiseur. Je ne peux voir comment mon doigt pénétrer cet anus d’homme. Je me promets de le lui faire quand il baisera seul sa femme.
Je crois que nous en avons fini quand Carmen me propose de me mettre sa main dans le con. Ca existe, je le sais sans plus. Pourquoi pas après tout. Henri m’embrasse, me pelote les seins, pendant qu’elle s’occupe de mon puits. Je ne peux la regarder, je sens seulement quand elle fait entrer facilement tous les doigts de sa main droite. Je la sens forcer pour entrer sa main puis son poignet entier. Je sens qu’elle tourne sa main dans mon vagin. Elle me donne ce plaisir inconnu que je vais souvent demander. Henri m’assure qu’il sait le faire. Pour le prouver il fait la même chose à sa femme qui rugit de plaisir.
Au point d’intimité où nous en sommes, la suite logique est que j’aille m’installer chez eux. Nous profitons des absences pour le travail d’Henri pour nous baiser souvent, surtout le matin dans la cuisine où l’une de nous s’assoir sur la table et offre sa fente en déjeuner à l’autre. Nous ne vivons plus que nus. Nous ne sortons qu’habillées légèrement avec des tailles de robes bien courtes qui montrent à qui veut le voir nos fesses et nos foufounes. Henri nous porte des godes et de boules de geisha, celles que nous portons pour sortir.
D’ailleurs je ne faisais ça que pour faire comme les autres, comme toutes mes copines qui en disait beaucoup de bien et surtout pour lui faire plaisir à lui, mon amoureux du moment.
Pour me donner envie, il m’a bien caressé les seins, découvert toute ma poitrine, passé sa main dans le jean pour chercher mon petit bouton, celui avec qui je me fais jouir. Il a mit un bon moment avant de me faire voir le 7° ciel.
Quand il m’a allongé sur l’herbe je craignais d’avantage pour mes vêtements qu’à autre chose. Il m’a littéralement épluchée comme un légume, sans trop de délicatesse. Avant de venir sur moi, il s’est allongé entre mes jambes. Il a posé sa bouche sur ma chatte. Là, j’ai eu un autre plaisir, meilleur que quand je me branle.
Il a passé sa langue partout entre mes jambes, même sur mon petit trou. Quand il a pris le clitoris dans sa bouche, j’ai encore joui. C’est après que je me suis rendu compte des dimensions de sa queue. Il l’a pris dans sa main, l’a posé sur mon vagin, a forcé un peu pour la rentrer.
La vache, il m’a fait un mal de chien. Bien sur ça n’a duré qu’un court instant. Un instant après je le sentais bien dans mon ventre. Je devais le sentir trop, il m’a fait jouir quand il m’a donné son jus au fond de mon ventre. Je ne voulais plus qu’il parte, il est quand même sorti en me disant qu’il ne bandait plus assez.
La fois suivante, je me suis donnée à un homme, Henri plus âgé que moi, marié de surcroit. Alors là, j’ai vécu la meilleure expérience. Après m’avoir mise toute nue sur la plage, il est venu m’embrasser à peu près partout. Il m’a même retourné sur le ventre pour mieux me caresser les fesses, sa langue s’y est mise aussi. Il me la mise entre les fesses. J’avais des frissons quand il venait sur mon petit trou. Il ne l’a pas entré rapidement, Henri m’a fait languir un bon moment avant de passer la passer autour, sans entrer. J’avais une envie folle qu’il me fasse du bien, surtout à cet endroit. Quelques fois, rarement il posait le bout de sa langue sur l’anus. J’avais beau pousser mes fesses vers sa bouche, il faisait le sourd à mes demandes. Je désespérais quand gentiment j’ai reçu au moins la moitié presque au fond de mon cul, c’est-ce qui me semblait.
Je me souviens encore de l’orgasme qu’il m’a donné : c’était le premier de cette importance. Je sentais les spasmes se succéder sans fin. Je restais groggy sur le ventre. Je sentais quand il est venu sur moi, sa bite dure se glisser entre mes fesses, passe mon anus pour aller me baiser. Il l’a surpris quand il me la mise : elle était assez grosse, sans plus, elle était surtout épaisse. Elle me remplissait complètement le puits. Je sentais mon con plein de sa bite. Quand il me la mise en entier, il s’est arrêté pour que je m’y habitue. Je sentais ma chair écartées prendre du plaisir sans qu’il bouge. C’est moi qui me suis remuée pour qu’il me baise normalement.
Je ne pensais jamais qu’il soit si résistant au plaisir : il me faisait jouir sans cesse alors qu’il continuait à me limer. Je ne sais plus combien de temps il a mit pour jouir. Je sentais son poids sur mon dos et mes fesses, pendant que ces lèvres me mordaient les lobes d’oreilles.
J’oubliais simplement qu’étant marié, il se devait de baiser sa femme aussi, femme qui était particulièrement chaude d’après ce qu’il disait : il la baisait le matin et le soir. Un jour il m’a demandé si je ne voulais pas baiser sa femme avec lui. Mon premier mouvement a été le refus. Je ne connaissais pas les autres filles, je n’avais pas envie de jouir ou faire jouir une autre fille. A force, il a valu que je cède à sa prière. Sa femme savait qu’il me faisait aussi l’amour, elle voulait me connaitre.
C’est ainsi que je suis devenue bisexuelle, comme elle l’était avant. J’étais anxieuse avant de la voir. Je m’imaginais une femme laide, sans charme. Au restaurant où nous nous sommes retrouvés avec lui, il était avec une femme bien plus jeune que lui. Une brune agréable à regarder, surtout qu’elle était légèrement vêtue. Je voyais ses cuisses à moitié, la moitié de sa poitrine. Bref elle était sexy, alors que moi, pauvre gourde j’étais à l’ancienne avec un robe longue, fermée qui ne laissait rien voir de ma plastique.
Henri s’est levé, m’a embrassé sur la bouche, d’un léger baiser. Elle s’est présentée seule
- Bonjours je suis Carmen, J’espère que nous nous entendrons toutes les deux. Henri est très porté sur la chose, j’en profite comme toi.
Le début commençait pas mal. Je me traitais de tous les noms, je devais passer pour une gourde. Le repas, s’est bien passé. C’est Carmen qui m’invite chez le couple pour le reste de la soirée.
Je me trouve dans un intérieur cossu, ce qui me change des hôtels de passe. Si Carmen s’en va, Henri, lui s’attache à moi avec sa bouche. Le retour de sa femme ne le fait pas cesser.
Carmen vint nue, près de nous pour partager ce premier baiser de trio. C’est ainsi que je me retrouve avec sa bouche sur la mienne. Sa langue ne force pas quand elle entre dans ma bouche. Henri nous laisse faire en passant derrière moi : il me caresse les seins. Je sens la main de Carmen venir sur mes fesses. Je suis un peu forcé de mettre mon corps bien contre celui de la femme.
C’est excitant. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Il faut absolument que je jouisse. Carmen oublie ma bouche pour mon cou. Elle le lèche en descendant vers mes épaules. Henri, lui participe aussi : il monte le bas de ma robe pour me l’enlever. Je ne portais pratiquement rien dessous, je me trouve en bas et string. Le reste je l’ai laissé chez moi.
Carmen profite de l’occasion pour poser sa bouche sur un sein. Elle le tète comme le ferait un nourrisson : elle me fait encore plus mouiller. Je ne pensais jamais qu’une femme me fasse cet effet. Je me laisse faire. Je sens la main d’Henri venir sur ma chatte : il commence à ma branler devant sa propre femme. Je ne peux qu’écarter les jambes pour lui faciliter ce qu’il me fait. Je sens aussi que Carmen passe à son tour sur ma chatte. Elle chasse presque son mari. Je dois subir sa main : elle est trop légère et pourtant je m’apprête à avoir un orgasme. Cet est, je jouis des doigts d’une femme. Qu’elle bonne idée a eu Henri de me proposer de baiser en trio avec sa femme. Lui, le je sens entre mes fesses : il bande comme un cerf. Je le sens aller et venir entre mes globes : il se branle contre mon cul.
J’ai envie de la branler elle aussi. Dès que je pose ma main sur sa chatte, elle écarte les cuisses légèrement. Je trouve un endroit très humide. Elle aussi mouille de notre corps à corps entamé. Je ne peux me décider pour savoir avec qui je vais baiser d’abord, elle ou lui ? Ils m’attirent autant l’un que l’autre. Elle continue sa masturbation, je suis sur le point de partir vers le ciel encore ne fois avec elle. Je reconnais qu’elle sait bien masturber, en plus une femme qui sait bien comment branler une autre fille. Je suis partante, il attendra un peu. Moi aussi je n’arrête pas ce que je fais. Après les doigts sur le clitoris, les voilà dans son puits. Je la doigte comme je me fais. Elle me le rend, nous gémissons toutes les deux, enracinés par le plaisir.
- Tu viens baiser avec moi sur le lit ?
- Bien sur, je te suis.
- Moi aussi je vous suis, dit Henri qui ne tiens pas à perdre ne miette de nos amours.
Libres de nous coucher, nous commençons une séance de baise inoubliable pour moi. Elle laisse ses doigts, au début sans rien faire de particulier, ce n’est que sa langue qui agit. Je suis léchée depuis le menton jusqu’au talon. Elle remonte lentement entre mes jambes. Quand elle atteint les genoux, je n’en peux déjà plus. Qu’elle arrive vite sur la chatte. Elle monte très lentement : c’est plus qu’excitant. Je regarde la tête venir vers mon abricot. Il me tarde qu’elle me caresse, qu’elle me fasse jouir normalement.
Enfin je sens son souffle chaud sur ma féminité. Et puis, cette fois elle y met les doigts pour écarter les lèvres. Mon clitoris est fin prêt à recevoir ce qu’elle voudra bien y mettre. Je sens d’abord le bout du nez avant de sentir sa langue lécher comme un petit animal. Je fais un bond de satisfaction quand elle m’aspire dans sa bouche. Je sens qu’elle me lèche ce que je lui donne à l’intérieur de sa bouche. Que c’est bon, que c’est bon de sentir cette langue si douce me donner tous ces frissons.
Elle sait bien dosser ses léchouilles. Elle fait trainer mon orgasme. Je sais que c’est pour mon bien, mais c’est trop long. C’est encore plus long quand elle m’enjambe pour me donner sa chatte à lécher. Je goute enfin à sa cyprine. C’est bon, ça sent bon, ça m’excite.
Enfin je pars dans un orgasme plus fort que le premier. Je m’entends crier comme si je souffrais beaucoup. C’est vrai de souffre de bonheur dans mon sexe. Nous restons toujours dans la même position, en 69. Elle me fait tourner sur elle.
Enfin Henri vient vers mon cul. C’est sa femme qui dirige sa queue vers mon anus. Je ne le sens qu’au dernier moment. Carmen m’a tellement mouillée que la bite n’a besoin d’aucune aide complémentaire pour entrer.
Je ne savais pas que c’était si bon d’être sucée et enculée. Maintenant je suis au prise avec une queue qui garde son sperme trop longtemps ; à moins que sa femme sache comment faire pour le faire jouir assez vite. Elle me laisse jouir ainsi deux fois avant de se retourner pour qu’à son tour elle profite de la queue de son mari.
Cette fois je vois tout, tellement bien que c’est moi qui dirige la pine dans le cul de ma maitresse. Je peux enfin voir une queue agir pour son propre compte. Je vois le prépuce venir en arrière quand il entre, puis, la colonne entrer facilement. Je regarde les couilles qui battent la cadence. J’ai envie moi aussi de participer, je m’efforce difficilement d’entrer deux doigts dans le cul de notre commun baiseur. Je ne peux voir comment mon doigt pénétrer cet anus d’homme. Je me promets de le lui faire quand il baisera seul sa femme.
Je crois que nous en avons fini quand Carmen me propose de me mettre sa main dans le con. Ca existe, je le sais sans plus. Pourquoi pas après tout. Henri m’embrasse, me pelote les seins, pendant qu’elle s’occupe de mon puits. Je ne peux la regarder, je sens seulement quand elle fait entrer facilement tous les doigts de sa main droite. Je la sens forcer pour entrer sa main puis son poignet entier. Je sens qu’elle tourne sa main dans mon vagin. Elle me donne ce plaisir inconnu que je vais souvent demander. Henri m’assure qu’il sait le faire. Pour le prouver il fait la même chose à sa femme qui rugit de plaisir.
Au point d’intimité où nous en sommes, la suite logique est que j’aille m’installer chez eux. Nous profitons des absences pour le travail d’Henri pour nous baiser souvent, surtout le matin dans la cuisine où l’une de nous s’assoir sur la table et offre sa fente en déjeuner à l’autre. Nous ne vivons plus que nus. Nous ne sortons qu’habillées légèrement avec des tailles de robes bien courtes qui montrent à qui veut le voir nos fesses et nos foufounes. Henri nous porte des godes et de boules de geisha, celles que nous portons pour sortir.
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