Hermosa, Rental Muy Caliente
Récit érotique écrit par Stan23JR [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2023 dans la catégorie Plus on est
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Hermosa, Rental Muy Caliente
Hermosa, Rental muy caliente
12 Juillet 2022 (Ascain, Pays Basque, a 18 km
de la frontière espagnole)
Cette année, le calendrier pour la garde de Max est inversé, Cal va donc l’avoir au mois d’août, il travaillera donc essentiellement sur le mois de juillet sauf lors du pont du 14 juillet où il doit retrouver tous ses amis. Le sort s’acharne et seul Stella sera disponible entre le 12 et le 15 juillet, elle va venir avec sa nouvelle conquête, le mannequin colombien Marjanna, une ex du chanteur The Weekn notamment.
Sa relation avec Stella a toujours été très particulière, elle lui a mis un stop clair et net lors de la première semaine en école de commerce, mais cela ne l’a dérangé pas qu’ils soient amis.
Il n’est bien pas question de le friendzoner bien sûr, elle a toujours été lesbienne et donc il n’a aucun espoir par contre elle est très open niveau sexe.
Ils leur arrivent de se faire des parties à quatre où pendant que Cal baise une de ces conquêtes, Stella fais l’amour à côté avec une des siennes, c’est très stimulant, il arrive même que Stella déniaise une des filles qui sortait alors avec Cal.
Par moments, il regarde les trois filles faire leurs petites affaires avant de rejoindre ensuite les deux autres filles mis à part son amie.
Stella a vraiment bien réussi son après-étude mettant à profit sa passion pour la mode puisqu’elle a eu la chance de pouvoir commencer sa carrière dans une grande maison de couture d’abord au service commercial puis grâce à l’une de ces partenaires, intégrer le service création.
Aujourd’hui elle travaille pour une grande maison italienne basée à Milan, son nom commence à être connu en tant que créatrice principale, ses collections sont très appréciées des jeunes adolescentes notamment.
Pour cette location, elle lui a laissé toute latitude pour organiser, mais juste pas la côte méditerranéenne qu’elle connaît déjà bien, il a choisi donc de concentrer ses recherches sur le pourtour Atlantique et particulièrement le Pays Basque.
Il passe par un site de location entre particuliers bien connu et repère une maison à dix-huit kilomètres de la frontière espagnole, du côté d’Ascain, au sud de Saint-Jean-de-Luz.
Cette maison fait cent soixante mètre carrés en pierre avec une piscine privée ainsi qu’un pool house, un barbecue et une plancha tout en pierre sont sous un abri à l’extérieur, on y trouve aussi un hamac dans le jardin qui fait cinq cent mètres carrés de surface.
Pour ce qui est de l’intérieur, il y a trois chambres dont une en mezzanine avec un espace bibliothèque bureau où ils pourront travailler en toute quiétude, la cuisine est bien sur toute équipée, il y a là aussi un coin salon avec une cheminée. Dans la salle de bain, on trouve une baignoire jacuzzi avec divers jets.
La maison a deux pans avec des toitures asymétriques et des tuiles, comme toute maison basque qui se respecte, elle a un lorio ce qui signifie que l’étage est plus avancée que le rez-de-chaussée et enfin elle est blanc et rouge (gorri) comme disent les Basques. Elle est sur les hauteurs de la ville, par conséquent la piscine qui se trouve à proximité du promontoire n’a aucun vis à vis, pas de voisin et pas de visiteur inopportun à proximité.
Le propriétaire est un entrepreneur espagnol qui loue des maisons dans le pays basque des deux cotées de la frontière, il s’appelle José. Le rendez-vous est fixé pour le 12 juillet pour la remise des clefs et pour les recommandations d’usages.
Le jour dit, Cal attends devant la maison après avoir fait les plus de dix heures de route depuis chez lui, il est parti à vingt-et-une heure hier soir, les nombreux cafés qu’il a pris sont d’une grande aide pour l’aider à tenir.
Sur les coups de onze heures du matin, une Audi A3 Blanche immatriculée en Espagne remonte l’allée qui mène vers la maison, Cal, qui s’attend à José, est surpris de voir une femme en descendre.
Une allure élancée, des cheveux blonds frisés, mais vraisemblablement une teinture, car on voit les racines brunes, un teint bronzé avec un joli grain de beauté au coin de la bouche. Niveau vêtement : elle porte un chemisier blanc sous un corset raz le cou de style jacquard avec des lacets dans le dos de couleur noir, au pied elle a une paire d’escarpins à nœuds en cuir noir de chez Yves Saint-Laurent et pas n’importe quel modèle, l’Anaïs, dont chaque paire vaut plus de sept cents euros.
Elle arrive vers lui et lui tend sa main, mais lui plutôt que de lui serrer comme elle s’y attend, opte pour un baisemain dans les règles de l’art, ce qui a pour mérite de la faire rougir.
- Bonjour Senor Liénard, ouvre-t-elle dans un Français plutôt correct si ce n’est ce petit accent suave, Je suis Hermosa Del Valle, veuillez excuser mon époux José qui n’eut pas pu venir aujourd’hui, il a été retenu sur l’un de nos chantiers en Espagne, c’est donc moi qui vous ferez découvrir les lieux et vous remettrez les clefs.
- Mais vous êtes toutes excusé, Hermosa, permettez moi de vous appeler par votre beau prénom et appeler moi comme tout le monde m’appelle : Cal, c’est un plaisir de vous avoir pour la visite, n’en déplaise à votre époux, vous avez illuminé ma journée.
- Comment dit-on chez vous Cal ? Ah oui, vous êtes en beau-parleur, minaude-t-elle
- Au moins, vous reconnaissez que je suis beau, c’est déjà ça, flirte-t-il ouvertement avec elle.
Cela ne fait pas de mal à son ego et puis c’est un bon moment à passer.
Hermosa lui propose de la suivre et lui ne se fait pas prier pour mater ses fesses bien moulées dans son pantalon de cuir. La maison est conforme à la description du site.
Elle lui donne les informations utiles sur le linge de lit, les serviettes et l’informe que conformément à sa demande le réfrigérateur et la cave à vin ont été remplie.
Cal observe toutes ses victuailles et lui propose de rester déjeuner avec lui avant de reprendre la route de l’Espagne, elle voit à peu près où il veut en venir, mais ne décline pas.
Notre beau Français prépare donc le barbecue tandis qu’elle s’occupe des entrées, la table du jardin est dressée pour deux et il sort un Lambado cuvé 2010 issu de la Bodegas Ramon Bilbao, c’est un excellent vin rosé espagnol.
Ils mangent bien et boivent beaucoup aussi, à un moment donné, ils trinquent un peu trop fort et les verres se brisent mettant du vin partout sur la terrasse.
Hermosa se dépêche d’aller chercher une serpillière à l’intérieur et Cal choisit de la suivre, au moment elle se retourne vers lui, il avance et la fait reculer contre le mur, elle peut à tout moment mettre fin à ce moment, mais n’en fait rien, alors il s’avance un peu plus et l’embrasse, ses lèvres étaient exquises.
Ils sentent le frais du vin, mais aussi la framboise de son rouge à lèvre, elle n’hésite pas à approfondir le baiser tout en glissant sa main sous son polo pour toucher ses abdominaux.
Lui non plus n’est pas en reste, lui embrassant le lobe de l’oreille avant de descendre lui déposer des baisers dans son cou, sa main gauche lui touche déjà la chatte à travers son pantalon.
Mais il en veut plus, alors il déboutonne son pantalon et le descend jusqu’en dessous de ses genoux, écarte sa dentelle et commence à lui insérer un doigt puis deux dans son antre des plaisirs à son plus grand bonheur à elle.
Calvin joue avec ses lèvres et titille son bouton d’amour, ce qui la fait soupirer encore plus fort, il passe à la vitesse supérieure en commençant à la doigter avec trois doigts, au vu de l’abondance de mouille qui coule, il en tente même quatre et s’aperçoit que cela rentre aussi, il la tient quasiment par la chatte, c’est comme s’il concentre son plaisir dans une seule de ses mains.
Tandis que sa bouche a fini par découvrir le haut de son chemisier, il va ensuite téter en même temps chacun de ses seins à tour de rôle, elle en peut bientôt plus et part dans une jouissance intense tandis que ses parois se contractent en cadence sur ses doigts.
Le bel Alsacien la laisse respirer un peu puis la retourne pour s’attaquer à son corset qu’il retire après l’avoir délassé, suit le chemisier qui lui permet de saisir ses seins à pleines mains tandis qu’il lui fait sentir son plaisir contre ses fesses, elle parvient à passer sa main entre eux, ouvre sa braguette et attrape son pénis qui ne demande qu’à sortir, elle le branle avec douceur.
Le soutien-gorge sans armature noir est ensuite dégrafé, probablement le modèle Greta de la marque espagnole Janica, le slip lui est un modèle Niki Queen Greta qui fait boxer, mais aussi String par effet de transparence. Cal s’attend à voir ses seins (vraisemblablement un 100 C) tombaient, mais ils tiennent bien en place, la preuve qu’elle fait beaucoup de sport.
Il les soupèse avec ses mains, tire sur les pointes pour le plus grand bonheur de la belle espagnole, il se tourne de trois-quarts et avise le tabouret de bar non loin pour la diriger vers celui-ci.
Elle comprend le message et s’assoit à l’envers avec les seins sur le haut du siège tandis qu’elle laisse sa belle croupe surélevée vers l’extérieur.
Cal s’approche, se met à genoux et abaisse sa culotte jusqu’à ses genoux, il lui lèche la fente qui coule abondamment puis remonte et lui lèche chacune des fesses avant d’aller au centre de son sillon avec sa langue, il pique plein centre afin d’obtenir sa reddition.
Cela arrive bien vite, sa feuille de rose la fait de plus en monter en pression, ses cris de jouissance emplisse la pièce à mesure qu’il la lèche et la doigte par les deux trous.
Après ces deux jouissances, il se dit qu’il voudrait bien aussi prendre son pied, alors il se relève et fait le tour, lui met sa bite sous le nez pour la biffler afin de lui faire sentir sa présence.
Elle le regarde puis sa queue et sort sa langue pour le lécher de tout son long, l’attrape avec ses beaux ongles manucurés pour porter sa lance à sa bouche, elle lui donne l’impression de rester à l’intérieur, elle s’emploie à fond, aucune partie de sa queue n’est épargnée par ses coups de langue.
Après de longues minutes de ce traitement plus le léchage dans les règles de ces boules, il lorgne ostensiblement sur ses seins, elle comprend le message, crache entre ceux-ci, les prend avec ses deux mains et les compriment pour former un bon étau ou Cal loge rapidement sa bite.
Son membre est choyé, c’est chaud et doux, souvent, il pousse fort pour qu’elle gobe son gland et lui tète bien le méat.
Mais il ne désire pas partir trop vite sans avoir profité de ces trous hospitaliers, il fait alors le tour du tabouret de bar.
Calvin a bien continué à dilater ces deux trous pendant la branlette espagnole et fait donc glisser sa queue le long de sa chatte la faisant ronronner, mais au dernier moment, il appuie sur son étoile et l’enfile dans le cul alors qu’elle souffle fortement.
Elle lui demande d’y aller doucement, il avance donc sa tige prudemment, mais poussant toujours plus loin, se frayant un chemin au cœur de ses entrailles.
Il posa sa main sur son cou pour la cambrer un peu plus, pousse plus fort puis ressort presque complètement et rentre avec force tandis qu’elle s’emballe, il fait cela encore deux ou trois fois puis s’enfonce dans sa chatte et la martèle avec force, il alterne les trous à plusieurs reprises.
Mais au bout d’un moment, ce fut trop, après un nouveau passage bien appuyé dans son cul, il ressort et lâche toute la sauce sur son cul rebondi en gueulant comme un fou.
- Oh putain, t’es trop bonne, qu’est-ce que c’est bon.
- Ay si mi conejito que bien me jodiste lui susurre-t-elle dans la langue de Cervantès.
Avec son doigt, elle récupère du foutre sur ses fesses et le porte a sa bouche, qu’elle suce de façon outrageuse, elle enlève ensuite tous ces vêtements et c’est totalement nu qu’elle va plonger dans la piscine.
Il la rejoint bien vite et elle le colle au bord de la piscine pour lui faire une fantastique pipe sous-marine avant de s’empaler sur sa queue redevenue raide grâce à son traitement de choc.
Après avoir un peu baisé dans la piscine, elle ressort et se place à quatre pattes sur le transat, son gros cul est tourné vers lui, il l’empale avec une jambe sur le transat et l’autre par terre.
La encore, il alterne entre ces deux trous et bientôt ne lui prend plus que le cul quand elle se met en levrette extrême en écartant elle-même ses globes fessiers, la tête suspendue dans le vide.
Elle veut finir en amazone alors il la prend sur lui et lui baise la chatte qui monte et descend sur sa bite a un rythme effréné, quand il sent que son cul se contracte autour de ses doigts, qu’il décharge dans sa chatte, lui faisant un creampie.
Après toutes ces émotions, ils s’accordent une petite sieste à deux dans le hamac.
Cal lui propose après leurs réveils de rester pour la nuit afin de rencontrer ses amies, le fait qu’il s’agisse d’un couple de lesbiennes l’intéresse grandement, la soirée promet d’être intéressante, elle passe donc un coup de fil à son époux et lui explique une histoire d’amie à aller voir sur la côte.
L’époux trompé n’a pas l’air d’être dérangé, soit il est crédule, soit cela l’arrange bien : les réunions de chantier doivent être très agitées de l’autre côté de la frontière.
Stella et Marjanna arrivent vers vingt heures, elles sont ravies de leurs lieux de villégiature et Stella tout aussi enchanté de retrouver son ami Cal.
Les deux demoiselles portent des créations de Stella, le décolleté de la blonde Marjanna est quasiment indécent, ces deux gros obus sont prêts à se faire la malle. Cal a du mal à se détacher de son entre seins, tandis que le combi tailleur jupe en cuir de Stella est presque un appel au viol.
Cal bande bien vite à nouveau et c’est Hermosa qui lance les hospitalités en passant sous la table, entre l’entrée et le plat pour s’occuper de la trique du seul homme de la maison, dans la foulée Marjanna prend la même place entre les jambes de Stella, les deux amis se regardent tandis qu’on s’occupe d’eux.
Puis ces demoiselles inversent les places, il peut goûter à la langue si douce et la bouche si accueillante de Marjanna, elle est douée pour faire monter la sauce puis pour ralentir comme il faut, apparemment Hermosa ne se débrouille pas si mal avec les femmes et semble même avoir pas mal d’expérience, vu les cris que pousse Stella.
Cette dernière finit par jouir alors qu’au même moment, il se déverse abondamment dans la bouche de Marjanna qui ne laisse rien échapper de sa bouche.
Comme si de rien n’était, le repas se finit normalement, tout le monde débarrasse les assiettes et monte dans la chambre de notre couple de lesbiennes.
Cal s’assoit dans le canapé et regarde le spectacle tout en se branlant lentement, un tas de jouets sont sorti, du vibro standard en passant au rosebud, à un moment donné Cal est carrément estomaqué devant un gode noir qui semble si réel.
- Il a été moulé sur la bite d’un de nos amis gay, c’est un footballeur célèbre lui explique Stella tout en essayant de frayer un passage dans la chatte d’Hermosa qui souffle fortement, tellement le membre est imposant.
Marjanna aide un peu à l’intromission en léchant Hermosa par en dessous, les deux filles sont en soixante-neuf, le gode imposant rentre peu à peu dans la chatte ruisselante de l’espagnole qui crie franchement son plaisir.
Marjanna en profite allègrement, car Hermosa s’active d’autant plus jusqu’à porter la Colombienne à la jouissance.
La Colombienne laisse sa compagne s’amuser avec Hermosa et va s’empaler en amazone inversée sur la bite du français, elle fait jouer ses muscles internes pour le masser de l’intérieur et ces mouvements du ventre sont incroyables, il ne peut évidemment se retenir de prendre ses gros seins à pleine main et de jouer avec ceux-ci.
Ses deux jouissances antérieures lui permettent de tenir longtemps, il prend Marjanna dans différentes positions avant de rejoindre les deux autres filles sur le lit, si son amie ne s’occupe pas de lui étant résolument lesbienne, les deux filles bisexuels en profitent un maximum.
Calvin se fait notamment sucer en double par l'Espagnole et la Colombienne, le mélange de leurs langues le fait presque partir, mais il se retient et les baisent simultanément en levrette l’une à côté de l’autre, passant d’une fille à une autre et d’un trou à une autre pendant qu’elles s’affairent à lécher le corps de Stella sous toutes les coutures.
Elles ont finalement raison de sa résistance et c’est sur les visages d’Hermosa et de Marjanna qu’il se répand, elles se lèchent mutuellement comme de vrai chiennes.
Les deux femmes finissent également Stella en lui doigtant les deux trous, Marjanna parvenant même à insérer toute sa main dans la chatte de Stella qui apparemment est bien élastique de la chatte, son amie semble être une experte du fisting.
Cal se dit qu’il a bien de la chance quand il s’endort avec ces trois beautés autour de lui et totalement nue, Stella et Marjanna sont enlacé l’une contre l’autre sur sa droite, la tête de son amie reposant sur son épaule, sur son torse s’est endormi Hermosa.
Cette dernière repartie le lendemain avant de revenir le 14 ou toute la joyeuse troupe est aller observer le feu d’artifice avant un nouveau feu d’artifice dans la maison de vacances.
12 Juillet 2022 (Ascain, Pays Basque, a 18 km
de la frontière espagnole)
Cette année, le calendrier pour la garde de Max est inversé, Cal va donc l’avoir au mois d’août, il travaillera donc essentiellement sur le mois de juillet sauf lors du pont du 14 juillet où il doit retrouver tous ses amis. Le sort s’acharne et seul Stella sera disponible entre le 12 et le 15 juillet, elle va venir avec sa nouvelle conquête, le mannequin colombien Marjanna, une ex du chanteur The Weekn notamment.
Sa relation avec Stella a toujours été très particulière, elle lui a mis un stop clair et net lors de la première semaine en école de commerce, mais cela ne l’a dérangé pas qu’ils soient amis.
Il n’est bien pas question de le friendzoner bien sûr, elle a toujours été lesbienne et donc il n’a aucun espoir par contre elle est très open niveau sexe.
Ils leur arrivent de se faire des parties à quatre où pendant que Cal baise une de ces conquêtes, Stella fais l’amour à côté avec une des siennes, c’est très stimulant, il arrive même que Stella déniaise une des filles qui sortait alors avec Cal.
Par moments, il regarde les trois filles faire leurs petites affaires avant de rejoindre ensuite les deux autres filles mis à part son amie.
Stella a vraiment bien réussi son après-étude mettant à profit sa passion pour la mode puisqu’elle a eu la chance de pouvoir commencer sa carrière dans une grande maison de couture d’abord au service commercial puis grâce à l’une de ces partenaires, intégrer le service création.
Aujourd’hui elle travaille pour une grande maison italienne basée à Milan, son nom commence à être connu en tant que créatrice principale, ses collections sont très appréciées des jeunes adolescentes notamment.
Pour cette location, elle lui a laissé toute latitude pour organiser, mais juste pas la côte méditerranéenne qu’elle connaît déjà bien, il a choisi donc de concentrer ses recherches sur le pourtour Atlantique et particulièrement le Pays Basque.
Il passe par un site de location entre particuliers bien connu et repère une maison à dix-huit kilomètres de la frontière espagnole, du côté d’Ascain, au sud de Saint-Jean-de-Luz.
Cette maison fait cent soixante mètre carrés en pierre avec une piscine privée ainsi qu’un pool house, un barbecue et une plancha tout en pierre sont sous un abri à l’extérieur, on y trouve aussi un hamac dans le jardin qui fait cinq cent mètres carrés de surface.
Pour ce qui est de l’intérieur, il y a trois chambres dont une en mezzanine avec un espace bibliothèque bureau où ils pourront travailler en toute quiétude, la cuisine est bien sur toute équipée, il y a là aussi un coin salon avec une cheminée. Dans la salle de bain, on trouve une baignoire jacuzzi avec divers jets.
La maison a deux pans avec des toitures asymétriques et des tuiles, comme toute maison basque qui se respecte, elle a un lorio ce qui signifie que l’étage est plus avancée que le rez-de-chaussée et enfin elle est blanc et rouge (gorri) comme disent les Basques. Elle est sur les hauteurs de la ville, par conséquent la piscine qui se trouve à proximité du promontoire n’a aucun vis à vis, pas de voisin et pas de visiteur inopportun à proximité.
Le propriétaire est un entrepreneur espagnol qui loue des maisons dans le pays basque des deux cotées de la frontière, il s’appelle José. Le rendez-vous est fixé pour le 12 juillet pour la remise des clefs et pour les recommandations d’usages.
Le jour dit, Cal attends devant la maison après avoir fait les plus de dix heures de route depuis chez lui, il est parti à vingt-et-une heure hier soir, les nombreux cafés qu’il a pris sont d’une grande aide pour l’aider à tenir.
Sur les coups de onze heures du matin, une Audi A3 Blanche immatriculée en Espagne remonte l’allée qui mène vers la maison, Cal, qui s’attend à José, est surpris de voir une femme en descendre.
Une allure élancée, des cheveux blonds frisés, mais vraisemblablement une teinture, car on voit les racines brunes, un teint bronzé avec un joli grain de beauté au coin de la bouche. Niveau vêtement : elle porte un chemisier blanc sous un corset raz le cou de style jacquard avec des lacets dans le dos de couleur noir, au pied elle a une paire d’escarpins à nœuds en cuir noir de chez Yves Saint-Laurent et pas n’importe quel modèle, l’Anaïs, dont chaque paire vaut plus de sept cents euros.
Elle arrive vers lui et lui tend sa main, mais lui plutôt que de lui serrer comme elle s’y attend, opte pour un baisemain dans les règles de l’art, ce qui a pour mérite de la faire rougir.
- Bonjour Senor Liénard, ouvre-t-elle dans un Français plutôt correct si ce n’est ce petit accent suave, Je suis Hermosa Del Valle, veuillez excuser mon époux José qui n’eut pas pu venir aujourd’hui, il a été retenu sur l’un de nos chantiers en Espagne, c’est donc moi qui vous ferez découvrir les lieux et vous remettrez les clefs.
- Mais vous êtes toutes excusé, Hermosa, permettez moi de vous appeler par votre beau prénom et appeler moi comme tout le monde m’appelle : Cal, c’est un plaisir de vous avoir pour la visite, n’en déplaise à votre époux, vous avez illuminé ma journée.
- Comment dit-on chez vous Cal ? Ah oui, vous êtes en beau-parleur, minaude-t-elle
- Au moins, vous reconnaissez que je suis beau, c’est déjà ça, flirte-t-il ouvertement avec elle.
Cela ne fait pas de mal à son ego et puis c’est un bon moment à passer.
Hermosa lui propose de la suivre et lui ne se fait pas prier pour mater ses fesses bien moulées dans son pantalon de cuir. La maison est conforme à la description du site.
Elle lui donne les informations utiles sur le linge de lit, les serviettes et l’informe que conformément à sa demande le réfrigérateur et la cave à vin ont été remplie.
Cal observe toutes ses victuailles et lui propose de rester déjeuner avec lui avant de reprendre la route de l’Espagne, elle voit à peu près où il veut en venir, mais ne décline pas.
Notre beau Français prépare donc le barbecue tandis qu’elle s’occupe des entrées, la table du jardin est dressée pour deux et il sort un Lambado cuvé 2010 issu de la Bodegas Ramon Bilbao, c’est un excellent vin rosé espagnol.
Ils mangent bien et boivent beaucoup aussi, à un moment donné, ils trinquent un peu trop fort et les verres se brisent mettant du vin partout sur la terrasse.
Hermosa se dépêche d’aller chercher une serpillière à l’intérieur et Cal choisit de la suivre, au moment elle se retourne vers lui, il avance et la fait reculer contre le mur, elle peut à tout moment mettre fin à ce moment, mais n’en fait rien, alors il s’avance un peu plus et l’embrasse, ses lèvres étaient exquises.
Ils sentent le frais du vin, mais aussi la framboise de son rouge à lèvre, elle n’hésite pas à approfondir le baiser tout en glissant sa main sous son polo pour toucher ses abdominaux.
Lui non plus n’est pas en reste, lui embrassant le lobe de l’oreille avant de descendre lui déposer des baisers dans son cou, sa main gauche lui touche déjà la chatte à travers son pantalon.
Mais il en veut plus, alors il déboutonne son pantalon et le descend jusqu’en dessous de ses genoux, écarte sa dentelle et commence à lui insérer un doigt puis deux dans son antre des plaisirs à son plus grand bonheur à elle.
Calvin joue avec ses lèvres et titille son bouton d’amour, ce qui la fait soupirer encore plus fort, il passe à la vitesse supérieure en commençant à la doigter avec trois doigts, au vu de l’abondance de mouille qui coule, il en tente même quatre et s’aperçoit que cela rentre aussi, il la tient quasiment par la chatte, c’est comme s’il concentre son plaisir dans une seule de ses mains.
Tandis que sa bouche a fini par découvrir le haut de son chemisier, il va ensuite téter en même temps chacun de ses seins à tour de rôle, elle en peut bientôt plus et part dans une jouissance intense tandis que ses parois se contractent en cadence sur ses doigts.
Le bel Alsacien la laisse respirer un peu puis la retourne pour s’attaquer à son corset qu’il retire après l’avoir délassé, suit le chemisier qui lui permet de saisir ses seins à pleines mains tandis qu’il lui fait sentir son plaisir contre ses fesses, elle parvient à passer sa main entre eux, ouvre sa braguette et attrape son pénis qui ne demande qu’à sortir, elle le branle avec douceur.
Le soutien-gorge sans armature noir est ensuite dégrafé, probablement le modèle Greta de la marque espagnole Janica, le slip lui est un modèle Niki Queen Greta qui fait boxer, mais aussi String par effet de transparence. Cal s’attend à voir ses seins (vraisemblablement un 100 C) tombaient, mais ils tiennent bien en place, la preuve qu’elle fait beaucoup de sport.
Il les soupèse avec ses mains, tire sur les pointes pour le plus grand bonheur de la belle espagnole, il se tourne de trois-quarts et avise le tabouret de bar non loin pour la diriger vers celui-ci.
Elle comprend le message et s’assoit à l’envers avec les seins sur le haut du siège tandis qu’elle laisse sa belle croupe surélevée vers l’extérieur.
Cal s’approche, se met à genoux et abaisse sa culotte jusqu’à ses genoux, il lui lèche la fente qui coule abondamment puis remonte et lui lèche chacune des fesses avant d’aller au centre de son sillon avec sa langue, il pique plein centre afin d’obtenir sa reddition.
Cela arrive bien vite, sa feuille de rose la fait de plus en monter en pression, ses cris de jouissance emplisse la pièce à mesure qu’il la lèche et la doigte par les deux trous.
Après ces deux jouissances, il se dit qu’il voudrait bien aussi prendre son pied, alors il se relève et fait le tour, lui met sa bite sous le nez pour la biffler afin de lui faire sentir sa présence.
Elle le regarde puis sa queue et sort sa langue pour le lécher de tout son long, l’attrape avec ses beaux ongles manucurés pour porter sa lance à sa bouche, elle lui donne l’impression de rester à l’intérieur, elle s’emploie à fond, aucune partie de sa queue n’est épargnée par ses coups de langue.
Après de longues minutes de ce traitement plus le léchage dans les règles de ces boules, il lorgne ostensiblement sur ses seins, elle comprend le message, crache entre ceux-ci, les prend avec ses deux mains et les compriment pour former un bon étau ou Cal loge rapidement sa bite.
Son membre est choyé, c’est chaud et doux, souvent, il pousse fort pour qu’elle gobe son gland et lui tète bien le méat.
Mais il ne désire pas partir trop vite sans avoir profité de ces trous hospitaliers, il fait alors le tour du tabouret de bar.
Calvin a bien continué à dilater ces deux trous pendant la branlette espagnole et fait donc glisser sa queue le long de sa chatte la faisant ronronner, mais au dernier moment, il appuie sur son étoile et l’enfile dans le cul alors qu’elle souffle fortement.
Elle lui demande d’y aller doucement, il avance donc sa tige prudemment, mais poussant toujours plus loin, se frayant un chemin au cœur de ses entrailles.
Il posa sa main sur son cou pour la cambrer un peu plus, pousse plus fort puis ressort presque complètement et rentre avec force tandis qu’elle s’emballe, il fait cela encore deux ou trois fois puis s’enfonce dans sa chatte et la martèle avec force, il alterne les trous à plusieurs reprises.
Mais au bout d’un moment, ce fut trop, après un nouveau passage bien appuyé dans son cul, il ressort et lâche toute la sauce sur son cul rebondi en gueulant comme un fou.
- Oh putain, t’es trop bonne, qu’est-ce que c’est bon.
- Ay si mi conejito que bien me jodiste lui susurre-t-elle dans la langue de Cervantès.
Avec son doigt, elle récupère du foutre sur ses fesses et le porte a sa bouche, qu’elle suce de façon outrageuse, elle enlève ensuite tous ces vêtements et c’est totalement nu qu’elle va plonger dans la piscine.
Il la rejoint bien vite et elle le colle au bord de la piscine pour lui faire une fantastique pipe sous-marine avant de s’empaler sur sa queue redevenue raide grâce à son traitement de choc.
Après avoir un peu baisé dans la piscine, elle ressort et se place à quatre pattes sur le transat, son gros cul est tourné vers lui, il l’empale avec une jambe sur le transat et l’autre par terre.
La encore, il alterne entre ces deux trous et bientôt ne lui prend plus que le cul quand elle se met en levrette extrême en écartant elle-même ses globes fessiers, la tête suspendue dans le vide.
Elle veut finir en amazone alors il la prend sur lui et lui baise la chatte qui monte et descend sur sa bite a un rythme effréné, quand il sent que son cul se contracte autour de ses doigts, qu’il décharge dans sa chatte, lui faisant un creampie.
Après toutes ces émotions, ils s’accordent une petite sieste à deux dans le hamac.
Cal lui propose après leurs réveils de rester pour la nuit afin de rencontrer ses amies, le fait qu’il s’agisse d’un couple de lesbiennes l’intéresse grandement, la soirée promet d’être intéressante, elle passe donc un coup de fil à son époux et lui explique une histoire d’amie à aller voir sur la côte.
L’époux trompé n’a pas l’air d’être dérangé, soit il est crédule, soit cela l’arrange bien : les réunions de chantier doivent être très agitées de l’autre côté de la frontière.
Stella et Marjanna arrivent vers vingt heures, elles sont ravies de leurs lieux de villégiature et Stella tout aussi enchanté de retrouver son ami Cal.
Les deux demoiselles portent des créations de Stella, le décolleté de la blonde Marjanna est quasiment indécent, ces deux gros obus sont prêts à se faire la malle. Cal a du mal à se détacher de son entre seins, tandis que le combi tailleur jupe en cuir de Stella est presque un appel au viol.
Cal bande bien vite à nouveau et c’est Hermosa qui lance les hospitalités en passant sous la table, entre l’entrée et le plat pour s’occuper de la trique du seul homme de la maison, dans la foulée Marjanna prend la même place entre les jambes de Stella, les deux amis se regardent tandis qu’on s’occupe d’eux.
Puis ces demoiselles inversent les places, il peut goûter à la langue si douce et la bouche si accueillante de Marjanna, elle est douée pour faire monter la sauce puis pour ralentir comme il faut, apparemment Hermosa ne se débrouille pas si mal avec les femmes et semble même avoir pas mal d’expérience, vu les cris que pousse Stella.
Cette dernière finit par jouir alors qu’au même moment, il se déverse abondamment dans la bouche de Marjanna qui ne laisse rien échapper de sa bouche.
Comme si de rien n’était, le repas se finit normalement, tout le monde débarrasse les assiettes et monte dans la chambre de notre couple de lesbiennes.
Cal s’assoit dans le canapé et regarde le spectacle tout en se branlant lentement, un tas de jouets sont sorti, du vibro standard en passant au rosebud, à un moment donné Cal est carrément estomaqué devant un gode noir qui semble si réel.
- Il a été moulé sur la bite d’un de nos amis gay, c’est un footballeur célèbre lui explique Stella tout en essayant de frayer un passage dans la chatte d’Hermosa qui souffle fortement, tellement le membre est imposant.
Marjanna aide un peu à l’intromission en léchant Hermosa par en dessous, les deux filles sont en soixante-neuf, le gode imposant rentre peu à peu dans la chatte ruisselante de l’espagnole qui crie franchement son plaisir.
Marjanna en profite allègrement, car Hermosa s’active d’autant plus jusqu’à porter la Colombienne à la jouissance.
La Colombienne laisse sa compagne s’amuser avec Hermosa et va s’empaler en amazone inversée sur la bite du français, elle fait jouer ses muscles internes pour le masser de l’intérieur et ces mouvements du ventre sont incroyables, il ne peut évidemment se retenir de prendre ses gros seins à pleine main et de jouer avec ceux-ci.
Ses deux jouissances antérieures lui permettent de tenir longtemps, il prend Marjanna dans différentes positions avant de rejoindre les deux autres filles sur le lit, si son amie ne s’occupe pas de lui étant résolument lesbienne, les deux filles bisexuels en profitent un maximum.
Calvin se fait notamment sucer en double par l'Espagnole et la Colombienne, le mélange de leurs langues le fait presque partir, mais il se retient et les baisent simultanément en levrette l’une à côté de l’autre, passant d’une fille à une autre et d’un trou à une autre pendant qu’elles s’affairent à lécher le corps de Stella sous toutes les coutures.
Elles ont finalement raison de sa résistance et c’est sur les visages d’Hermosa et de Marjanna qu’il se répand, elles se lèchent mutuellement comme de vrai chiennes.
Les deux femmes finissent également Stella en lui doigtant les deux trous, Marjanna parvenant même à insérer toute sa main dans la chatte de Stella qui apparemment est bien élastique de la chatte, son amie semble être une experte du fisting.
Cal se dit qu’il a bien de la chance quand il s’endort avec ces trois beautés autour de lui et totalement nue, Stella et Marjanna sont enlacé l’une contre l’autre sur sa droite, la tête de son amie reposant sur son épaule, sur son torse s’est endormi Hermosa.
Cette dernière repartie le lendemain avant de revenir le 14 ou toute la joyeuse troupe est aller observer le feu d’artifice avant un nouveau feu d’artifice dans la maison de vacances.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci ma chère Olga, vos compliments me vont droits au cœur.
Cal est un virtuose qui n’a pas fini de vous étonner pas seulement avec un certain matériel mais aussi par ses capacités humaines.
Il faut aussi rendre hommage à ces dames bien entendu.
Cal est un virtuose qui n’a pas fini de vous étonner pas seulement avec un certain matériel mais aussi par ses capacités humaines.
Il faut aussi rendre hommage à ces dames bien entendu.
C'est excellent, très bien écrit et particulièrement excitant. Cal est un vrai chef d'orchestre en matière de plaisir!