Hervé et Marie 5
Récit érotique écrit par Couple eros [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Hervé et Marie 5
Hervé et Marie (5)
Le lit étant trop petit pour nous, nous étendons deux matelas par terre ; pour la nuit, il ne fait pas froid, ce sera suffisant ; à peine étendu, Franck s’intéresse à nouveau à Mico, la tige à nouveau dressée ; sans préliminaire, plonge puissamment sa bite dans la chatte offerte ; il faut dire que Mico est étendue, les cuisses ouvertes, découvrant son minou, d’où s’écoule des perles de cyprine ; il ne lui faut pas longtemps pour la faire couiner de plaisir ; il faut dire que non seulement, il est bien monté, mais de plus il semble un tentiné vicieux ; lui remontant les pieds sur ses épaules, il investit le sillon culier et lui enfonce un doigt dans l’anneau , sans doute encore dilaté par la précédente séance, et de l’autre main, il lui écrase le clito ; Mico ne peut se retenir et en nous regardant Véro et moi « il me défonce , sa queue me laboure et son doigt m’encule ,……. Vas-y encore remplit moi fais moi jouir, encore ……..ahan……. »
Véro n’est pas en reste et voyant son mari défoncer sa partenaire , elle ne tarde pas s’attaquer à ma queue qu’elle engloutie avec avidité ; m’agrippant les fesses, elle l’enfonce profond mon gland buttant sur son palais avant qu’elle ne se retire ; le manège m’amène vite au plaisir et pour ne pas jouir, je me retire et la rejetant à plat ventre sur le lit, je lui écarte les lobes et je le lèche, gouttant à nouveau sa cyprine qui coule entre ses lèvres ; ma langue dévie rapidement et je lui titille l’anneau, enroulant la pointe pour lui ouvrir le passage ; « prend moi vite, j’ai envie de toi » il me faut peu de temps pour la satisfaire et mon gland pousse à l’entrée de la grotte ; le regard fixé sur son mec qui barate ma Mico, c’est elle qui finalement s’empale « regarde Franck, il m’encule, il est gros ……c’est bon…. » Ses paroles me stimulent et à grand coup, je la défonce et quand elle part, j’accompagne sa jouissance de mes jets de sperme ; stimulé par ses cris et par la vue de l’autre coup qui lui aussi vient de jouir, je ne faiblis et ma queue, encore raide lui défonce le fion, l’amenant à une nouvelle et bruyante jouissance.
Il est tard et pourtant aucun de nous n’a envie de dormir et rapidement la discussion arrive sur votre site, car Mico leur a avoué que nous écrivions une partie de nos aventures. Le résultat, c’est l’ouverture de l’ordi et la lecture de quelques histoires, les notres ou celle d’autres auteurs ; Véro reste songeuse et regardant son amour dans les yeux, alors que sa main me branle lui dit : « cela me donne des envies, pas toi ? « Plus discret, il sourit. Une bonne partie de la nuit, ou ce qu’il en reste, nous le passons à baiser, et véro à nouveau s’est retrouvée prise en double pénétration, alors que mico elle , lionne avec sa nouvelle conquète a rugit alors qu’elle se faisait prendre en double annale, plaisir qui à chaque fois la transporte en une furieuse jouissance.
Tard le matin, je me réveille alors que Franck est à nouveau branché entre les cuisses de Mico ; Véro elle n’est plus là et je la retrouve dans la cuisine , préparant le déjeuner ; sa nuisette ne cache rien et me plaquant derrière elle, je lui plante ma queue dans la chatte , encore gonflée de la nuit passée ; la saillie est rapide et très vite je me retire pour lui donner mon sperme dans la bouche ; elle avale presque tout mais il s’en écoule à la commissure de ses lèvres ; me donnant un baiser , elle me dit « aide moi, j’ai envie de me faire prendre par hervé, j’ai vu sa queue quand il a baisait avec Mico , et j’ai envie de lui ». J’avoue que je suis surpris et encore plus par la suite « je pense que tu as du te le faire, et sans doute marie aussi » je ne réponds pas. « Promets-moi que tu vas m’aider » pour toute réponse, je lui dépose un baiser et je pars me doucher.
En arrivant, je bute contre Franck qui sort de la douche, ruisselant, le sexe à demi bandé ; il est surpris de me découvrir, surtout que je suis moi aussi à poil, encore excité par les révélations de son épouse ; je ne lui laisse pas le temps de réagir et me mettant à genoux, je lui gobe le vit ; au contact de ma bouche il se cabre et veut reculer mais je m’agrippe à ses hanches et continue à le sucer avec vigueur, ressortant pour que ma langue puisse lui pénètre le méat , pour mieux ensuite le prendre en entier, (presque). Enfin il se relâche et je peux le lâcher et ma main s’aventure entre ses cuisses, lui tirant sur les couilles, lourdes et pleines de sève, puis mon doigt accroche son anneau et s’incruste doucement dans le fondement ; il ne lutte plus bien au contraire et c’est lui qui maintenant rythme la pénétration de ma bouche ; doucement , mais fermentent c’est maintenant deux doigts qui le dilate et quand je le sens se crisper, près à jouir, je les enfonce à fond déclenchant l’éjaculation ; il s’est retire et c’est sur mon visage que sa jute arrive, épaisse et abondante. Il vient de prendre son pied, mais pas moi ; sans retard, je le retourne et le plaque face au mur et mon gland, gonflé de désir, vient buter contre l’anneau à demi dilaté ; une violente poussée et je suis en lui, déclenchant un cri de surprise et de douleur ; je n’en tiens pas compte et je commence une rapide et puissante enculade ; je suis d’autant plus stimulé que je m’aperçois que les deux femme sont dans l’ouverture de la porte et se plotent en nous regardant ; lui ne peux les voir ; je le pilonne , enfonçant ma queue jusqu’à ce que mes couilles tapent contre ses fesses, lui emprisonnant la bite encore molle. Il commence à râler et recule son bassin, venant à la rencontre de la pénétration ; les deux filles se branlent et je dois ralentir pour ne pas juter
« Tu aimes, pas vrai ? » « ……… »
« Répond, tu aimes ma queue » « oui,….. »
« Ta femme nous regarde en se branlant, dis lui que tu aimes » surpris il se retourne et les aperçoit
« Alors dis lui que tu aimes te faire enculer ; ta grosse queue bande à nouveau, pas vrai ?»
« oui, il me fais du bien » puis soudain il se déchaine « vas-y plus fort, troue moi encore, c’est bon , putain chérie, sa queue me déchire le cul ……… je jouis ah ah ah…. » En effet, pour la deuxième fois, sa bitte crache sa semence dans ma main qui le branlait en même temps.
Soudain je réalise que j’ai la même emprise sur Franck que sur son père, et qu’avec un peu de chance, je vais les posséder à ma volonté ; et pour vérifier ses réactions, en regardant Véro dans les yeux :
« Véro, ton mari a un bon petit cul et il va vite devenir une bonne petite femme sous l’emprise de ma queue je te jure que je vais lui apprendre à devenir ma petite frappe, pas vrai Franck ? »
« ouai, je suis à toi, baise nous, défonce moi encore »
Je ne peux me retenir plus longtemps et je me repends dans ses entrailles, agrippé à ses hanches et enfoncé au max dans son cul ; à coté les deux femmes jouissent en concert, les doigts enfoncées dans leur chatte. Franck, lui râle maintenant, son bassin contre mon ventre « putain, c’est chaud, donne moi encore du plaisir, encore……. encore » je profite de ma bite encore raide pour lui donner de grand coups et je sens mes sécrétions s’écouler de son cul à chaque fois que je le pistonne. Je m’en peux plus et je me retire, laissant de grands filets de jute entre les cuisses ouvertes ; c’est véro qui s’approche de nous en premier et faisant mettre Franck à genoux, elle l’oblige à me nettoyer le sexe ; il se rebiffe, mais comprenant le jeu de sa femme, je l’oblige à s’exécuter ce qu’il fait, d’abord avec dégout, puis de plus en plus contentieusement.
Il venait de se soumettre, aussi bien à moi qu’à sa femme et pour lui je savais qu’il avait compris que nous serions ses nouveaux maitres du jeu.
Le lit étant trop petit pour nous, nous étendons deux matelas par terre ; pour la nuit, il ne fait pas froid, ce sera suffisant ; à peine étendu, Franck s’intéresse à nouveau à Mico, la tige à nouveau dressée ; sans préliminaire, plonge puissamment sa bite dans la chatte offerte ; il faut dire que Mico est étendue, les cuisses ouvertes, découvrant son minou, d’où s’écoule des perles de cyprine ; il ne lui faut pas longtemps pour la faire couiner de plaisir ; il faut dire que non seulement, il est bien monté, mais de plus il semble un tentiné vicieux ; lui remontant les pieds sur ses épaules, il investit le sillon culier et lui enfonce un doigt dans l’anneau , sans doute encore dilaté par la précédente séance, et de l’autre main, il lui écrase le clito ; Mico ne peut se retenir et en nous regardant Véro et moi « il me défonce , sa queue me laboure et son doigt m’encule ,……. Vas-y encore remplit moi fais moi jouir, encore ……..ahan……. »
Véro n’est pas en reste et voyant son mari défoncer sa partenaire , elle ne tarde pas s’attaquer à ma queue qu’elle engloutie avec avidité ; m’agrippant les fesses, elle l’enfonce profond mon gland buttant sur son palais avant qu’elle ne se retire ; le manège m’amène vite au plaisir et pour ne pas jouir, je me retire et la rejetant à plat ventre sur le lit, je lui écarte les lobes et je le lèche, gouttant à nouveau sa cyprine qui coule entre ses lèvres ; ma langue dévie rapidement et je lui titille l’anneau, enroulant la pointe pour lui ouvrir le passage ; « prend moi vite, j’ai envie de toi » il me faut peu de temps pour la satisfaire et mon gland pousse à l’entrée de la grotte ; le regard fixé sur son mec qui barate ma Mico, c’est elle qui finalement s’empale « regarde Franck, il m’encule, il est gros ……c’est bon…. » Ses paroles me stimulent et à grand coup, je la défonce et quand elle part, j’accompagne sa jouissance de mes jets de sperme ; stimulé par ses cris et par la vue de l’autre coup qui lui aussi vient de jouir, je ne faiblis et ma queue, encore raide lui défonce le fion, l’amenant à une nouvelle et bruyante jouissance.
Il est tard et pourtant aucun de nous n’a envie de dormir et rapidement la discussion arrive sur votre site, car Mico leur a avoué que nous écrivions une partie de nos aventures. Le résultat, c’est l’ouverture de l’ordi et la lecture de quelques histoires, les notres ou celle d’autres auteurs ; Véro reste songeuse et regardant son amour dans les yeux, alors que sa main me branle lui dit : « cela me donne des envies, pas toi ? « Plus discret, il sourit. Une bonne partie de la nuit, ou ce qu’il en reste, nous le passons à baiser, et véro à nouveau s’est retrouvée prise en double pénétration, alors que mico elle , lionne avec sa nouvelle conquète a rugit alors qu’elle se faisait prendre en double annale, plaisir qui à chaque fois la transporte en une furieuse jouissance.
Tard le matin, je me réveille alors que Franck est à nouveau branché entre les cuisses de Mico ; Véro elle n’est plus là et je la retrouve dans la cuisine , préparant le déjeuner ; sa nuisette ne cache rien et me plaquant derrière elle, je lui plante ma queue dans la chatte , encore gonflée de la nuit passée ; la saillie est rapide et très vite je me retire pour lui donner mon sperme dans la bouche ; elle avale presque tout mais il s’en écoule à la commissure de ses lèvres ; me donnant un baiser , elle me dit « aide moi, j’ai envie de me faire prendre par hervé, j’ai vu sa queue quand il a baisait avec Mico , et j’ai envie de lui ». J’avoue que je suis surpris et encore plus par la suite « je pense que tu as du te le faire, et sans doute marie aussi » je ne réponds pas. « Promets-moi que tu vas m’aider » pour toute réponse, je lui dépose un baiser et je pars me doucher.
En arrivant, je bute contre Franck qui sort de la douche, ruisselant, le sexe à demi bandé ; il est surpris de me découvrir, surtout que je suis moi aussi à poil, encore excité par les révélations de son épouse ; je ne lui laisse pas le temps de réagir et me mettant à genoux, je lui gobe le vit ; au contact de ma bouche il se cabre et veut reculer mais je m’agrippe à ses hanches et continue à le sucer avec vigueur, ressortant pour que ma langue puisse lui pénètre le méat , pour mieux ensuite le prendre en entier, (presque). Enfin il se relâche et je peux le lâcher et ma main s’aventure entre ses cuisses, lui tirant sur les couilles, lourdes et pleines de sève, puis mon doigt accroche son anneau et s’incruste doucement dans le fondement ; il ne lutte plus bien au contraire et c’est lui qui maintenant rythme la pénétration de ma bouche ; doucement , mais fermentent c’est maintenant deux doigts qui le dilate et quand je le sens se crisper, près à jouir, je les enfonce à fond déclenchant l’éjaculation ; il s’est retire et c’est sur mon visage que sa jute arrive, épaisse et abondante. Il vient de prendre son pied, mais pas moi ; sans retard, je le retourne et le plaque face au mur et mon gland, gonflé de désir, vient buter contre l’anneau à demi dilaté ; une violente poussée et je suis en lui, déclenchant un cri de surprise et de douleur ; je n’en tiens pas compte et je commence une rapide et puissante enculade ; je suis d’autant plus stimulé que je m’aperçois que les deux femme sont dans l’ouverture de la porte et se plotent en nous regardant ; lui ne peux les voir ; je le pilonne , enfonçant ma queue jusqu’à ce que mes couilles tapent contre ses fesses, lui emprisonnant la bite encore molle. Il commence à râler et recule son bassin, venant à la rencontre de la pénétration ; les deux filles se branlent et je dois ralentir pour ne pas juter
« Tu aimes, pas vrai ? » « ……… »
« Répond, tu aimes ma queue » « oui,….. »
« Ta femme nous regarde en se branlant, dis lui que tu aimes » surpris il se retourne et les aperçoit
« Alors dis lui que tu aimes te faire enculer ; ta grosse queue bande à nouveau, pas vrai ?»
« oui, il me fais du bien » puis soudain il se déchaine « vas-y plus fort, troue moi encore, c’est bon , putain chérie, sa queue me déchire le cul ……… je jouis ah ah ah…. » En effet, pour la deuxième fois, sa bitte crache sa semence dans ma main qui le branlait en même temps.
Soudain je réalise que j’ai la même emprise sur Franck que sur son père, et qu’avec un peu de chance, je vais les posséder à ma volonté ; et pour vérifier ses réactions, en regardant Véro dans les yeux :
« Véro, ton mari a un bon petit cul et il va vite devenir une bonne petite femme sous l’emprise de ma queue je te jure que je vais lui apprendre à devenir ma petite frappe, pas vrai Franck ? »
« ouai, je suis à toi, baise nous, défonce moi encore »
Je ne peux me retenir plus longtemps et je me repends dans ses entrailles, agrippé à ses hanches et enfoncé au max dans son cul ; à coté les deux femmes jouissent en concert, les doigts enfoncées dans leur chatte. Franck, lui râle maintenant, son bassin contre mon ventre « putain, c’est chaud, donne moi encore du plaisir, encore……. encore » je profite de ma bite encore raide pour lui donner de grand coups et je sens mes sécrétions s’écouler de son cul à chaque fois que je le pistonne. Je m’en peux plus et je me retire, laissant de grands filets de jute entre les cuisses ouvertes ; c’est véro qui s’approche de nous en premier et faisant mettre Franck à genoux, elle l’oblige à me nettoyer le sexe ; il se rebiffe, mais comprenant le jeu de sa femme, je l’oblige à s’exécuter ce qu’il fait, d’abord avec dégout, puis de plus en plus contentieusement.
Il venait de se soumettre, aussi bien à moi qu’à sa femme et pour lui je savais qu’il avait compris que nous serions ses nouveaux maitres du jeu.
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