Heureuse séance dans un hammam - histoire érotique

Comme je l’ai déjà dit dans un précédent récit, j’aime la masturbation. Et je me plais à la pratiquer dès que l’envie m’en prend, un peu partout.
Lors de mes dernières vacances, j’ai eu le droit à un endroit qui attire beaucoup de fantasme : le hammam.
J’avais décidé d’aller me détendre et me ressourcer seul, dans un bel hôtel avec toutes commodités : pas loin de la plage, proposant une piscine, un hammam (le fameux), jacuzzi, et des soins en tout genre (massage etc…).
Soigneux de mon corps, après une bonne séance de sport et une douche rafraichissante, je me dirige vers la piscine de l’hôtel, serviette sur l’épaule, en petit boxer de bain. Je remarque rapidement que la clientèle n’est pas très familiale à priori (seulement 2 enfants dans la piscine), mais beaucoup de couples, de tout âge et de toute orientation. Venu en célibataire je suis certainement perçu assez étrangement.
Après quelques longueurs dans la piscine pour étendre le corps, je me pose au bord de la piscine et tente de mettre des visages aux maillots de bain que j’ai pu voir sous l’eau. Il y a quelques belles silhouettes, mais celle qui m’a marqué est celle d’une jeune femme brune, avec une couleur de peau caramel. Elle porte un maillot de bain bleu turquoise, qui, malgré ses coupes assez classiques, cache légèrement des formes généreuses. Elle est mince mais son bassin est celui d’une vrai femme, et ses seins sont rond et lourd, son soutien-gorge à fort à faire à chaque mouvement.
Elle est pour l’instant seule dans l’eau même si je suis persuadé l’avoir vu accompagné un peu avant. J’en profite pour la fixer un peu plus. Ses yeux sont plutôt foncés mais le contraste avec sa peau les font ressortir. Je me perds dans ses mèches de cheveux qui guident les gouttes d’eau entre ses seins magnifiques. Il ne faut pas longtemps pour que mon corps réagisse. Je me sens vite à l’étroit dans mon petit maillot, et je commence presque à regretter de ne pas avoir pris un short de bain, plus confortable surtout dans cette situation.
Elle décide de sortir de la piscine, comme si elle avait deviné mon trouble et qu’elle souhaitait en jouer. La voyant s’extraire de l’eau lentement, mon érection prenait encore plus d’assurance et je sentais mon gland pointé doucement au niveau de l’ourlet de ma cuisse droite. Si quelqu’un plongeait face à moi, il comprendrait vite ce qu’il se passe sous ce maillot bleu.
Je m’autorise à fixer les belles jambes de la brune jusqu’à ce qu’elles disparaissent derrière un mur, donnant accès aux douches, mais aussi au jacuzzi, sauna et hammam.
Je me tourne donc contre le mur afin de cacher mon anatomie à d’éventuels plongeurs.

Au bout d’un quart d’heure. Je me dirige vers les douches avant de me rendre au hammam. Je rentre donc dans le hammam et m’étonne d’abord de sa taille : je le pensais plus petit. Ensuite cela faisait longtemps que j’en avais pas fait et j’avais oublié l’intense chaleur, et l’intensité de la vapeur qui réduit presque à néant la visibilité. C’est donc à tâtons, mais pas trop on sait jamais, que je cherche une place convenable.
Pour commencer je m’installe à mi-hauteur le temps de m’habituer, et rapidement je migre vers la vapeur, vers la source de chaleur. Mon corps réagit et je commence à respirer un peu plus fort. Mais dans cette vapeur je crois entendre une autre respiration. Je maltraite donc un peu mes yeux et je cherche une présence alors que je pensais être seul après avoir vu un couple de quadra sortir.
Au bout de 5 min de recherche de plus en plus intense, j’arrive à deviner un maillot de bain turquoise dans la vapeur !! Serait-ce ma belle brune ? Je focalise donc mes yeux vers cette couleur, et lentement j’arrive à dessiner les contours du corps : c’est bien elle, légèrement allongé, légèrement de biais par rapport à moi. Mes yeux arrivent maintenant à percevoir la sueur perler sur sa peau. Inutile de vous dire que mon érection était vite revenue.
Tout en continuant de détailler son corps je compris, que presque malgré elle, elle m’offrait un cadeau. En suivant son maillot de couleur entre ses cuisses, je m’aperçus que je voyais assez nettement son entre-jambe. Et je pu voir que, comme le reste de son corps, son sexe était assez pulpeux, et le maillot avait ici aussi beaucoup de travail. Je distinguais donc bien son anatomie, et ceci eu raison de moi. Je ne pus m’empêcher de commencer à caresser mon membre, du bout des doigts. Mon gland, en empruntant le même chemin que précédemment, n’eut pas de difficulté à pointé hors de mon maillot, et je le fis rouler doucement entre mes doigts. Très vite mon corps réagit et de petites vibrations parcouraient mon corps.
Tout en pratiquant mes caresses je m’attardais sur le visage de la demoiselle, très fin, lèvres légèrement pulpeuses, la perfection n’existe pas mais tout de même elle s’en rapproche. J’imaginais ses lèvres sur moi et ceci ne fit qu’augmenter mon excitation. Mes caresses sur mon membre devenait plus insistante, et plus visible aussi, mais si ma voisine avait les yeux fermés on ne sait jamais. Je relevais donc ma jambe droite pour cacher ma main en mouvement sur mon entre-jambe. J’en profitais également pour sortir un peu plus ma queue et commencer à me masturber réellement, tel un soulagement je fermais les yeux et laissais échapper un souffle, plus haut que les autres qui fit ouvrir les yeux à ma voisine. Ouf ! Bon pressentiment.
Je vis qu’elle chercha quelques temps avant de tomber sur moi, me détailler (ce qui me fit tressaillir), et fermer les yeux à nouveau. Pendant ce temps ma main gauche montait et descendait lentement sur ma queue, découvrant mon gland. La chaleur de l’atmosphère le rendait d’ailleurs hyper sensible, et je sentais mes bourses pendre aussi loin que possible dans mon maillot légèrement baissé.
Au bout de 2 min ma voisine changea de position, elle se mit en position assise, légèrement avachi, les jambes écartées et les mains sur son sexe pour le cacher. C’est une position certes pas très féminine, mais qui m’a permis de voir son maillot tendu au max par ses lèvres, légèrement entre ouverte sous le maillot pour le coup. Ceci me fit tourner la tête. Je sentais mon désir monter en flèche sans pour autant accélérer ma masturbation, je conservais mon rythme lent et lancinant. Mon gland gonflait presque à chaque va-et-vient. Et une pensée vint : Je n’avais pas éjaculé les 10 jours précédents, j’étais très excité, je n’allais certainement pas pouvoir stopper mes caresses avant ma jouissance, et mon éjaculation risque d’être abondante. Comment vais-je faire ?
Je n’ai pas eu longtemps pour y réfléchir, en parallèle j’imaginais que ma voisine titillait doucement son clito sous ses mains. Soudain je sentis la sève monter, de ma main droite je me mis à me malaxer mes couilles tranquillement posé au fond de mon maillot sur le banc du hammam, de l’autre je continuais mes lents va et vient, en dirigeant tout de même mon gland vers mon ventre pour éviter de mettre du sperme dans tout le hammam. Lorsque ma main monta sur mon gland je sentis la sève au bord de ma queue, et quand je descendis vers les bourses, j’explosais et mon gland éjecta le premier jet de sperme jusqu’à mon menton. De nombreux jets suivirent, ma queue se contractait avec frénésie, et je sentais mes couilles se rétracter sous « l’effort ». Je me mordais presque la langue pour se pas mettre de son sur mon plaisir. Au milieu de ma jouissance je ne put quand même m’empêcher de souffler un peu plus fortement que la première fois. Ma voisine ouvrit les yeux à nouveau, et sans le savoir (peut-être), participa à ma jouissance. Sachant qu’elle me regardait alors que j’expulsais de mon corps mon jus me fit avoir quelques soubresauts de plus qui me firent cracher avec vigueur les derniers jets de sperme que j’avais.
Lentement je plaquais mon sexe sur mon nombril le laissant dégonfler lentement. Et je me penchai pour regarder l’état de mon torse. J’avais de longues trainées blanchâtres, partant de mon bas-ventre jusque sous mon menton. Je sentais d’ailleurs mon menton dans mon sperme. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas souillé comme cela. Je me rassis et rapidement je m’essuyai avec ma serviette, comme pour enlever la sueur. Je posai ma serviette sur mes cuisses pour cacher mon membre pas tout à fait dégonflé encore. Ma voisine se leva lentement, croisa mon regard et sorti du hammam. J’aurai du la suivre car cela faisait un moment que nous étions là-dedans, mais je n’avais pas tout à fait débandé et comme dit précédemment, mon maillot ne laissait pas réellement de doute sur ce qu’il y a à l’intérieur.
5 min plus tard je sortis et me dirigea rapidement vers les douches. Je pris une douche bien fraiche et changeai de serviette en sortant. Heureusement on pouvait changer de serviette un peu comme on le voulait !
Tout en me douchant je remerciais intérieurement cette magnifique brune, et je sentais que je débutais mon séjour dans cet hôtel sous de bonnes augures…