Histoire Courte
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Histoire Courte
Jamais auparavant je n'avais ressenti une telle confiance réciproque. Cette sincérité entre nous m’a donné le courage et l’assurance d'entrer avec toi dans ce lieu secret. Nous partageons les mêmes désirs troubles. C’est notre secret, et c’est ce qui rend notre couple unique. Si particulier et si singulier.
Me faire ressentir une femme très spéciale. Même si je ne parviens pas à comprendre comment tu acceptes de me partager avec d'autres hommes. J'admire ta confiance, et je sais aussi que tu l'apprécies. Tu n’as pas eu à faire trop d’efforts pour me convaincre de me dévergonder avec d’autres hommes.
Le candaulisme était un mot inconnu de mon vocabulaire. Nous en avons parlé longuement, exploré nos peurs, nos rejets, mais aussi nos attentes. Finalement, nous avons décidé d’essayer. Pour voir.
Nous avons cherché sur le net l’endroit convenable, bien fréquenté. Et nous avons trouvé là-bas un gars qui nous semblait parfait. Après quelques banalités échangées et quelques verres, il m’a invitée à danser. Des danses de salon, aux harmonies sirupeuses, propices aux contacts.
J’étais bien dans ses bras. Un grand black, athlétique, sympathique et nonchalant. Je ne voulais pas d’un blanc-bec. Il me fallait un type expérimenté dans l’échangisme, pour guider mes premiers pas. Il me semblait parfait. J’adorais le contraste entre sa peau d'ébène et mon teint d’albâtre.
J'étais vêtue d'une robe rouge trop courte et trop décolletée. Pour souligner le côté sexy, j’avais mis des bas à résille avec des escarpins noirs. Et un tour de cou en velours noir affirmait mon personnage de femme-objet. Je pouvais à peine résister à l’envie de mes mains de tirer sur mon ourlet pour me couvrir.
Michel nous a suivis jusqu’à l’hôtel voisin. Tu avais réservé une luxueuse suite. Je vous ai invité à vous détendre dans le salon, pendant que je préparais les boissons dans la mini-kitchenette. Après quelques moments de gêne, vous avez trouvé un sujet de discussion confortable.
Quand je suis revenue vous apporter vos verres, vous appreniez à vous connaître. Michel s'était installé sur le canapé, et toi dans un fauteuil profond, juste en face de lui. Pour vous écouter parler, j’ai voulu m’asseoir sur l’accoudoir de ton fauteuil. Mais Michel m’a fait signe d’approcher en tapotant l’assise du canapé, juste à côté de lui.
Obéissante à son injonction, je me suis assise à sa droite, tout contre sa cuisse musclée. Nous nous sommes détendus et, pendant que vous discutiez gentiment, je détaillais les formes athlétiques de l’étalon noir que nous avions choisi.
Michel semblait très à l'aise, assis en position semi-allongée, les jambes écartées. Je pouvais admirer le gros renflement de son pantalon, et j'étais impatiente de pouvoir le caresser. Je me suis comportée un certain temps en flirtant avec vous deux, et j’ai adoré les attentions que je recevais.
Michel me complimentait sur ma beauté et m'a enlacée pour que je me blottisse contre lui. Je t'ai regardé pour obtenir ton approbation et tu m’as dit : "C'est ta soirée, profite !" Je me suis laissée tomber à genoux sur le sol et j'ai crapahuté de manière séductrice entre ses jambes écartées.
J'ai déboutonné sa chemise. Je glissais mes mains sous sa chemise pour caresser son torse musclé. Il s’est redressé pour m’attirer contre lui. Sa bouche charnue courait dans mon cou jusqu’à mes lèvres.
Je pouvais te sentir venir derrière moi et ouvrir mes jambes largement pour accueillir tes caresses. J'ai senti ta main monter de l'intérieur de mon genou avec une lenteur douloureuse vers ma chatte déjà chaude et humide. J'ai dégrafé sa ceinture et, dans un mouvement souple et continu, sa grosse bite noire s'est échappée de son sous-vêtement.
Sa bite était très grosse avec un gland violacé très saillant. J'ai apprécié à quel point il était magnifique et j'ai commencé à le caresser, le suçoter, et le lécher. J'ai essayé de le prendre profondément dans ma bouche, mais je me suis étouffée. Je me suis repositionnée et bientôt je parvenais à le sucer et le lécher sur toute sa longueur.
Il a tendu la main jusqu'à mes fesses, et il a tiré mon cul loin de toi, comme pour te dire que tu ne pouvais pas avoir accès à ta femme pendant qu’elle s’occupait de lui. J'ai continué de le sucer et il avait un angle parfait pour enfoncer ses doigts dans la moiteur qui t’appartient. J'ai suffoqué sur son énorme bite quand il est entré profondément dans ma bouche.
Je pouvais t’entendre t’éloigner en soupirant, et te ré-installer dans le fauteuil. Tu as dégrafé ton jeans devenu trop serré, et je pouvais imaginer ta main tirant ta propre bite pour te caresser, en attendant patiemment ton tour.
Il a sorti ses doigts souillés de ma profonde moiteur et m'a offert un avant-goût. J'ai sucé sensuellement et léché ses doigts pour les nettoyer. Puis je suis revenue m’occuper de sa belle bite. Il m'a doigtée sans relâche et j'étais si remplie que ma chatte dégoulinait. Il me rendait folle et je gémissais de tourment.
Après plusieurs minutes, juste avant que je puisse jouir, tu as suggéré que nous allions dans la chambre, pour que nous puissions nous mettre à l’aise. Tu t'es absenté pour prendre une bouteille de Champagne dans le mini-bar et nous servir un verre.
Michel et moi, nous avons suivi le couloir en laissant une traînée de vêtements en cours de route. Tu as pris ton temps en espérant nous trouver déjà en pleine action, et nous ne t'avons pas déçu. Je m’étais allongée sur le dos, et je m’admirais dans le miroir au plafond, pendant qu'il s'agenouillait entre mes jambes écartées, léchant mon clitoris et doigtant ma chatte.
Allongée sur le lit tandis que tu entrais dans la chambre, tu t’es vite rendu compte que tu étais trop habillé pour la circonstance. Je t'ai fait signe de venir à côté de moi. Tu t’es prestement déshabillé et tu es venu sans hésiter t’agenouiller tout près de moi. J'ai tendu la main vers toi, empoignant ta bite incroyablement rigide dans ma main, puis je t’ai attiré vers ma bouche, passant ma langue sur le gland en appréciant la tension de ta peau le long de ta hampe.
Il s'est relevé au bord du lit et tu as soulevé mes jambes bien haut. Nous n'avons pas parlé. Pas besoin de mots. Il a glissé le bout de sa bite entre les lèvres suppliantes de ma chatte et il m'a taquiné en la faisant coulisser de haut en bas, jusqu'à ce que je le supplie de blottir en moi toute sa longueur.
D'une seule poussée, il a enfoncé toute sa longue hampe dans ma moiteur en latence. Je sursautais en poussant une plainte en sentant son énorme pieu m’ouvrir en deux. Mes yeux écarquillés ont cherché ton regard.
Tes yeux remplis de désir avide regardaient ce bel inconnu prendre possession de ce qui t’appartenait avant. Ma chatte était sienne maintenant. Il m'avait empalé de toute sa longueur et se maintenait buté tout au fond de moi. Son membre consistant distendait ma petite chatte étroite jusqu’à la limite de l’agréable.
Il m'a entièrement remplie en atteignant tous les endroits imaginables. Ses palpitations et ses renflements envoyaient des vagues de plaisir indescriptible dans tout mon corps. Tandis qu’il maintenait ses couilles pressées contre ma chatte, je sentais mon corps trembler d'anticipation. Je devais combattre l'envie de céder au torrent de vagues orgasmiques qui grondait en moi.
Je te regardais. Mes yeux brûlaient de désir pour toi. Et pour lui. "Baise-moi..." suppliais-je alors que vos regards avides m’exaltaient. "Baise-moi, maintenant !" ai-je répété impatiemment tout en te dévisageant. Mes paroles s'adressaient à toi, mais l'expression de mon désir était pour lui.
Le sentir me prendre. Être sienne. Remplie de sa semence. J'ai tourné mon regard vers lui "Prends-moi, je suis à toi" je l'ai imploré. Toute sa longueur a lentement commencé à aller et venir en moi. À plusieurs reprises. Puis il a interrompu son mouvement.
"À qui appartient cette petite chatte blanche ?" Il voulait la confirmation. Obtenir l’aveu de ma soumission. J'ai de nouveau tourné les yeux vers toi, "C'est à toi ! Cette chatte t'appartient !" ai-je soupiré en gémissant.
Satisfait, il recommença ses plongées profondes dans ma chatte embrasée. Il se pencha doucement sur moi pour mordiller gentiment mes mamelons. Tu as relâché mes jambes, et je les ai enroulées autour de ses hanches. Son engin nu me remplissait totalement. Je pouvais ressentir chaque protubérance.
La densité de son gland qui étirait mes chairs sur son passage. Sa longueur qui venait heurter le fond de ma vulve. Ses plongées successives me faisaient chavirer. Ses retraits m’angoissaient. Mes jambes l'ont tiré vers moi, et j’ai agité mécaniquement mes hanches pour répondre à chaque poussée. Nous baisions à l'unisson.
Il fit une dernière poussée en moi et je soulevais mes hanches pour aller à sa rencontre. J’utilisais mes talons pour l'attirer en moi le plus profondément possible. Nous étions complètement submergés par la luxure, et par un besoin implacable de nous rejoindre au creux de notre intimité.
Un épais flot de sperme chaud se précipita en moi. Je pouvais le sentir traverser sa bite avant de jaillir au fond de ma vulve. Son orgasme a déclenché mon extase. Nous avons atteint le firmament ensemble. Je pouvais sentir sa bite palpiter et tressaillir à chaque éjaculation. Chaque pulsation embrasait mes sens.
Ses spasmes et ses giclées de sperme en moi me faisaient sienne.
À bout de souffle, nous sommes restés là, allongés, langoureux, avec sa bite en détumescence enfouie dans ma chatte gorgée de sperme. Il a continué de m’embrasser amoureusement. Sa langue fouillait ma bouche.
Puis nous avons roulé de côté. Ta main a glissé entre mes jambes. Je pouvais sentir une rivière de sperme s'échapper de moi. Ta bite était toujours aussi raide. Je voulais que tu prennes sa place.
Que tu t'enfonces dans ma chatte remplie de sperme en sentant ma chaleur soyeuse. Que tu ajoutes ta propre semence à mon abandon. J'écartais mes jambes pour que tu puisses me sonder.
Tes doigts furent bientôt engloutis dans une mare de sperme chaud. Il avait craché tellement de sperme en moi qu'il avait littéralement rempli ma chatte. Tu t'es penché, agenouillé devant moi, pour regarder ce qui t'appartenait. Mes jambes écartées révélaient leurs jus scintillants.
J’avais envie de sexe, envie de toi, envie d'un autre orgasme, de sentir ta verge tendue à l'intérieur de moi. J'écartais plus largement mes cuisses accueillantes, mais c'était plus un ordre qu’une invitation. "Viens !"
Tu n’en pouvais plus d’attendre. Tu m’as pénétrée avec ta bite bien raide. Du sperme a jailli hors de moi lorsque tu t'es enfoncé dans ma douceur onctueuse. C'était trop fort. Plus que ce que nous pouvions en supporter. Après une baise courte mais intense, nous nous sommes rejoints dans la même exaltation, et tu as ajouté ton sperme au sien.
Pendant le reste de la nuit, nous avons dormi par intermittence. Chaque fois qu'il se réveillait, il s’allongeait sur moi et me pénétrait. À mon extrême plaisir, tu complétais chacun de ses assauts par ton propre coït.
Montrer et rétablir ton titre propriété, prouver notre amour intense avec chaque goutte de ton sperme en fusion. Au petit matin, sous la douche, dans la salle de bain, il m'a prise debout, appuyée contre la paroi.Tu nous as écouté depuis la chambre voisine. Le laisser me posséder. Pour lui tout seul. Puis il est parti.
Allongée contre toi dans le lit, me remémorant mes souvenirs de la nuit, je pouvais sentir ton sexe se dresser contre mes fesses. Me retournant, souriante, j'ai ouvert mes jambes et tu t’es glissé à l'intérieur ...
Me faire ressentir une femme très spéciale. Même si je ne parviens pas à comprendre comment tu acceptes de me partager avec d'autres hommes. J'admire ta confiance, et je sais aussi que tu l'apprécies. Tu n’as pas eu à faire trop d’efforts pour me convaincre de me dévergonder avec d’autres hommes.
Le candaulisme était un mot inconnu de mon vocabulaire. Nous en avons parlé longuement, exploré nos peurs, nos rejets, mais aussi nos attentes. Finalement, nous avons décidé d’essayer. Pour voir.
Nous avons cherché sur le net l’endroit convenable, bien fréquenté. Et nous avons trouvé là-bas un gars qui nous semblait parfait. Après quelques banalités échangées et quelques verres, il m’a invitée à danser. Des danses de salon, aux harmonies sirupeuses, propices aux contacts.
J’étais bien dans ses bras. Un grand black, athlétique, sympathique et nonchalant. Je ne voulais pas d’un blanc-bec. Il me fallait un type expérimenté dans l’échangisme, pour guider mes premiers pas. Il me semblait parfait. J’adorais le contraste entre sa peau d'ébène et mon teint d’albâtre.
J'étais vêtue d'une robe rouge trop courte et trop décolletée. Pour souligner le côté sexy, j’avais mis des bas à résille avec des escarpins noirs. Et un tour de cou en velours noir affirmait mon personnage de femme-objet. Je pouvais à peine résister à l’envie de mes mains de tirer sur mon ourlet pour me couvrir.
Michel nous a suivis jusqu’à l’hôtel voisin. Tu avais réservé une luxueuse suite. Je vous ai invité à vous détendre dans le salon, pendant que je préparais les boissons dans la mini-kitchenette. Après quelques moments de gêne, vous avez trouvé un sujet de discussion confortable.
Quand je suis revenue vous apporter vos verres, vous appreniez à vous connaître. Michel s'était installé sur le canapé, et toi dans un fauteuil profond, juste en face de lui. Pour vous écouter parler, j’ai voulu m’asseoir sur l’accoudoir de ton fauteuil. Mais Michel m’a fait signe d’approcher en tapotant l’assise du canapé, juste à côté de lui.
Obéissante à son injonction, je me suis assise à sa droite, tout contre sa cuisse musclée. Nous nous sommes détendus et, pendant que vous discutiez gentiment, je détaillais les formes athlétiques de l’étalon noir que nous avions choisi.
Michel semblait très à l'aise, assis en position semi-allongée, les jambes écartées. Je pouvais admirer le gros renflement de son pantalon, et j'étais impatiente de pouvoir le caresser. Je me suis comportée un certain temps en flirtant avec vous deux, et j’ai adoré les attentions que je recevais.
Michel me complimentait sur ma beauté et m'a enlacée pour que je me blottisse contre lui. Je t'ai regardé pour obtenir ton approbation et tu m’as dit : "C'est ta soirée, profite !" Je me suis laissée tomber à genoux sur le sol et j'ai crapahuté de manière séductrice entre ses jambes écartées.
J'ai déboutonné sa chemise. Je glissais mes mains sous sa chemise pour caresser son torse musclé. Il s’est redressé pour m’attirer contre lui. Sa bouche charnue courait dans mon cou jusqu’à mes lèvres.
Je pouvais te sentir venir derrière moi et ouvrir mes jambes largement pour accueillir tes caresses. J'ai senti ta main monter de l'intérieur de mon genou avec une lenteur douloureuse vers ma chatte déjà chaude et humide. J'ai dégrafé sa ceinture et, dans un mouvement souple et continu, sa grosse bite noire s'est échappée de son sous-vêtement.
Sa bite était très grosse avec un gland violacé très saillant. J'ai apprécié à quel point il était magnifique et j'ai commencé à le caresser, le suçoter, et le lécher. J'ai essayé de le prendre profondément dans ma bouche, mais je me suis étouffée. Je me suis repositionnée et bientôt je parvenais à le sucer et le lécher sur toute sa longueur.
Il a tendu la main jusqu'à mes fesses, et il a tiré mon cul loin de toi, comme pour te dire que tu ne pouvais pas avoir accès à ta femme pendant qu’elle s’occupait de lui. J'ai continué de le sucer et il avait un angle parfait pour enfoncer ses doigts dans la moiteur qui t’appartient. J'ai suffoqué sur son énorme bite quand il est entré profondément dans ma bouche.
Je pouvais t’entendre t’éloigner en soupirant, et te ré-installer dans le fauteuil. Tu as dégrafé ton jeans devenu trop serré, et je pouvais imaginer ta main tirant ta propre bite pour te caresser, en attendant patiemment ton tour.
Il a sorti ses doigts souillés de ma profonde moiteur et m'a offert un avant-goût. J'ai sucé sensuellement et léché ses doigts pour les nettoyer. Puis je suis revenue m’occuper de sa belle bite. Il m'a doigtée sans relâche et j'étais si remplie que ma chatte dégoulinait. Il me rendait folle et je gémissais de tourment.
Après plusieurs minutes, juste avant que je puisse jouir, tu as suggéré que nous allions dans la chambre, pour que nous puissions nous mettre à l’aise. Tu t'es absenté pour prendre une bouteille de Champagne dans le mini-bar et nous servir un verre.
Michel et moi, nous avons suivi le couloir en laissant une traînée de vêtements en cours de route. Tu as pris ton temps en espérant nous trouver déjà en pleine action, et nous ne t'avons pas déçu. Je m’étais allongée sur le dos, et je m’admirais dans le miroir au plafond, pendant qu'il s'agenouillait entre mes jambes écartées, léchant mon clitoris et doigtant ma chatte.
Allongée sur le lit tandis que tu entrais dans la chambre, tu t’es vite rendu compte que tu étais trop habillé pour la circonstance. Je t'ai fait signe de venir à côté de moi. Tu t’es prestement déshabillé et tu es venu sans hésiter t’agenouiller tout près de moi. J'ai tendu la main vers toi, empoignant ta bite incroyablement rigide dans ma main, puis je t’ai attiré vers ma bouche, passant ma langue sur le gland en appréciant la tension de ta peau le long de ta hampe.
Il s'est relevé au bord du lit et tu as soulevé mes jambes bien haut. Nous n'avons pas parlé. Pas besoin de mots. Il a glissé le bout de sa bite entre les lèvres suppliantes de ma chatte et il m'a taquiné en la faisant coulisser de haut en bas, jusqu'à ce que je le supplie de blottir en moi toute sa longueur.
D'une seule poussée, il a enfoncé toute sa longue hampe dans ma moiteur en latence. Je sursautais en poussant une plainte en sentant son énorme pieu m’ouvrir en deux. Mes yeux écarquillés ont cherché ton regard.
Tes yeux remplis de désir avide regardaient ce bel inconnu prendre possession de ce qui t’appartenait avant. Ma chatte était sienne maintenant. Il m'avait empalé de toute sa longueur et se maintenait buté tout au fond de moi. Son membre consistant distendait ma petite chatte étroite jusqu’à la limite de l’agréable.
Il m'a entièrement remplie en atteignant tous les endroits imaginables. Ses palpitations et ses renflements envoyaient des vagues de plaisir indescriptible dans tout mon corps. Tandis qu’il maintenait ses couilles pressées contre ma chatte, je sentais mon corps trembler d'anticipation. Je devais combattre l'envie de céder au torrent de vagues orgasmiques qui grondait en moi.
Je te regardais. Mes yeux brûlaient de désir pour toi. Et pour lui. "Baise-moi..." suppliais-je alors que vos regards avides m’exaltaient. "Baise-moi, maintenant !" ai-je répété impatiemment tout en te dévisageant. Mes paroles s'adressaient à toi, mais l'expression de mon désir était pour lui.
Le sentir me prendre. Être sienne. Remplie de sa semence. J'ai tourné mon regard vers lui "Prends-moi, je suis à toi" je l'ai imploré. Toute sa longueur a lentement commencé à aller et venir en moi. À plusieurs reprises. Puis il a interrompu son mouvement.
"À qui appartient cette petite chatte blanche ?" Il voulait la confirmation. Obtenir l’aveu de ma soumission. J'ai de nouveau tourné les yeux vers toi, "C'est à toi ! Cette chatte t'appartient !" ai-je soupiré en gémissant.
Satisfait, il recommença ses plongées profondes dans ma chatte embrasée. Il se pencha doucement sur moi pour mordiller gentiment mes mamelons. Tu as relâché mes jambes, et je les ai enroulées autour de ses hanches. Son engin nu me remplissait totalement. Je pouvais ressentir chaque protubérance.
La densité de son gland qui étirait mes chairs sur son passage. Sa longueur qui venait heurter le fond de ma vulve. Ses plongées successives me faisaient chavirer. Ses retraits m’angoissaient. Mes jambes l'ont tiré vers moi, et j’ai agité mécaniquement mes hanches pour répondre à chaque poussée. Nous baisions à l'unisson.
Il fit une dernière poussée en moi et je soulevais mes hanches pour aller à sa rencontre. J’utilisais mes talons pour l'attirer en moi le plus profondément possible. Nous étions complètement submergés par la luxure, et par un besoin implacable de nous rejoindre au creux de notre intimité.
Un épais flot de sperme chaud se précipita en moi. Je pouvais le sentir traverser sa bite avant de jaillir au fond de ma vulve. Son orgasme a déclenché mon extase. Nous avons atteint le firmament ensemble. Je pouvais sentir sa bite palpiter et tressaillir à chaque éjaculation. Chaque pulsation embrasait mes sens.
Ses spasmes et ses giclées de sperme en moi me faisaient sienne.
À bout de souffle, nous sommes restés là, allongés, langoureux, avec sa bite en détumescence enfouie dans ma chatte gorgée de sperme. Il a continué de m’embrasser amoureusement. Sa langue fouillait ma bouche.
Puis nous avons roulé de côté. Ta main a glissé entre mes jambes. Je pouvais sentir une rivière de sperme s'échapper de moi. Ta bite était toujours aussi raide. Je voulais que tu prennes sa place.
Que tu t'enfonces dans ma chatte remplie de sperme en sentant ma chaleur soyeuse. Que tu ajoutes ta propre semence à mon abandon. J'écartais mes jambes pour que tu puisses me sonder.
Tes doigts furent bientôt engloutis dans une mare de sperme chaud. Il avait craché tellement de sperme en moi qu'il avait littéralement rempli ma chatte. Tu t'es penché, agenouillé devant moi, pour regarder ce qui t'appartenait. Mes jambes écartées révélaient leurs jus scintillants.
J’avais envie de sexe, envie de toi, envie d'un autre orgasme, de sentir ta verge tendue à l'intérieur de moi. J'écartais plus largement mes cuisses accueillantes, mais c'était plus un ordre qu’une invitation. "Viens !"
Tu n’en pouvais plus d’attendre. Tu m’as pénétrée avec ta bite bien raide. Du sperme a jailli hors de moi lorsque tu t'es enfoncé dans ma douceur onctueuse. C'était trop fort. Plus que ce que nous pouvions en supporter. Après une baise courte mais intense, nous nous sommes rejoints dans la même exaltation, et tu as ajouté ton sperme au sien.
Pendant le reste de la nuit, nous avons dormi par intermittence. Chaque fois qu'il se réveillait, il s’allongeait sur moi et me pénétrait. À mon extrême plaisir, tu complétais chacun de ses assauts par ton propre coït.
Montrer et rétablir ton titre propriété, prouver notre amour intense avec chaque goutte de ton sperme en fusion. Au petit matin, sous la douche, dans la salle de bain, il m'a prise debout, appuyée contre la paroi.Tu nous as écouté depuis la chambre voisine. Le laisser me posséder. Pour lui tout seul. Puis il est parti.
Allongée contre toi dans le lit, me remémorant mes souvenirs de la nuit, je pouvais sentir ton sexe se dresser contre mes fesses. Me retournant, souriante, j'ai ouvert mes jambes et tu t’es glissé à l'intérieur ...
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