Histoire d'Incas au 16 ème siècle.

- Par l'auteur HDS Trekkie -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Histoire d'Incas au 16 ème siècle. Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Histoire d'Incas au 16 ème siècle.
Ce récit s'adresse à un public averti. Les pratiques, les grossièretés et les idées décrites peuvent êtres choquantes, mais ne sont en aucun cas imposables et justifiables dans le monde réel.

Les Incas nous sont connu pour beaucoup de choses, mais on parle peu des conséquences que l'invasion espagnole a eu sur leurs activités sexuelles. L On peut imaginer que cette histoire se soit passée lors d'une rencontre entre ses deux peuples et si elle est imaginaire, les coutumes se rapprochent le plus possible de ce que nous en connaissons.
Nous sommes au milieu du XVI ème siècle, quelque part en dans l'empire Inca.
Dans une habitation traditionnel, un couple parle de la vie et du village.
Oh Chico, mon amour. Chaque jour je remercie notre dieu soleil de nous avoir réunis... Tu es le plus valeureux de tous ! ... Bientôt ce sera toi qui régnera sur notre village ! Viens ... fais-moi l'amour ... J'ai trop envie de toi ... sans cesse tu es à la chasse ou avec tes guerriers. ... Mais maintenant, pour une fois tu es avec moi ... Alors viens !
Chico les meilleur guerrier du village se leva de sa couche et enlaça sa femme. Il lui assura son amour, mais il dénoua aussi les liens qui tenait sa tunique. Un homme, un guerrier ne pouvait laisser douter de sa virilité. Avec ces mots c'est ce que recherchait Aruana, sa femme. Elle était nue devant lui et s'empressa de se coucher à coté de lui frottant son corps contre le sien et à son tour dénouant les liens de son pagne.
Que tu es belle, Aruana ... mon corps s'émeut à la vue de tant de splendeur ! ... Que le dieu soleil soit béni d'avoir donné autant de grâce à ton corps !
Ohhh ! ... Ton corps me rend humide de désir ... Comme j'aime sentir tes muscles contre moi ... Je suis à toi ! ...
Les main de sa femme courraient sur tout le corps de Chico et il réagissait avec force et vigueur à ses caresses. Sa queue était imposant et dur et ce d'autant que Aruana s'attardait sur lui, le caressant et le branlant.
Si tu savais comme j'ai pensé à elle ... Comme j'ai désiré la sentir bien au fond fr ma fente ... Viens, prends moi ... Je n'en peux plus ! ...
Moi aussi, lorsque le gibier nous laisse un peu de répit ... Je pense à tes seins, à ton ventre qui s'ouvre à mon désir ...
Ne parle plus ... Viens m'offrir ta longue lance aimée ...Aujourd'hui, c'est moi ta proie, mon amour ... Viens !
Aruana avait cessé de le caresser, et écartant des mains ses lèvres vaginales, elle l'invita à venir. Excité et amoureux, il se coucha sur elle et glissa doucement sa queue dans la chatte de sa bien-aimée.
Aaahh ... Oui, c'est bon ! Encore plus au fond ... Ouiii !
Tu es chaude et humide ... Comme je suis bien dans cet crin qu'est ton sexe, Aruana ! ...
Viens ... Bouge ... Ne t'arrête pas ...
Encouragé par sa femme Chico lui prit les jambe, les écarta et se redressant s'enfonça au plus profond d'elle.
Ouiii ... Encore ... Je suis ton esclave, ta servante ... Comme je t'aime ...
Mais alors qu'ils n'avaient jouis ni l'un, ni l'autre, une voix appela au rassemblement.
Ohé ! Venez ... d'étranges créatures arrivent ... Venez ! ...
Que se passe-t-il ? ... Je dois y aller ... C’est le devoir d’un futur chef !
Venez tous ... Venez !!
Oh non ! ... Tu n'as même pas eu le temps de ... de m'offrir ta semence ... Je n'en peux plus ...
Il la prit dan ses bras pour la rassurer avant de sortir.
Nous poursuivrons plus tard, ma chérie ! ... Il faut aller voir quelles sont ces étranges créatures, laisse-moi ...
Dehors la plupart des villageois était réunis. Les hommes et les femmes portant un simple pagne, tandis que les enfants et jeunes adolescents étaient nus.
Un homme était au centre de la foule et s'exclamait ..
C'est moi qui les ai vu le premier ! ... Ils se déplacent sur d'étranges animaux et portent des vêtements de métal gris ...
Venez ... Allons voir qui sont ces étranges visiteurs ! ...
Ohhh ! ... Tu dois faire attention, Chico ! ...Je sens que ses étrangers apportent le mal à notre peuple ...
A l'arrivée de ces étranger dans le village, les indigènes se prosternèrent devant ces hommes en armures et monté sur ces étranges animaux appelé « chevaux ».
Les villageois avaient tous leur idée sur leur origines.
Regardez ... ils entrent dans le village ...
Des dieux ! ... Ce sont des envoyés de notre maître le soleil ! ...
Mais bien loin d'être des explorateurs pacifiques, ces espagnols commencèrent par être hautain vis à vis des habitants.
Don Pedro, ces sauvages nous prennent pour des dieux venus du ciel ! ... Oh ! Leurs femmes et leurs filles sont belles !
Chuut ! ... Du calme, Alvarez ! ... Nous devons pouvoir reprendre des forces dans ce village ! ...
Don Pedro se plaça sur son cheval au centre du village et dans un dialecte approximatif il demanda ...
Qui est commande parmi vous ? ...
Chico s'avança et s'inclina devant ceux que la majorité prenaient pour des dieux ...
Moi, seigneur ! ... Nous sommes honorés par votre passage dans notre village ! ...
Je suis Don Pedro d'Elvira ! ... Avec ma troupe, j'accompagne Dona Isabelle à Santiago où elle doit épouser notre gouverneur bien aimé ...
Il désigna une charmante jeune femme assise en amazone sur son cheval.
Il nous faudrait des vivres et dormir dans votre village avant de repartir ! ...
Oh ! ... Nous ferons de notre mieux pour vous satisfaire, seigneur ... Mais nous sommes pauvres ...
Dona Isabelle observait la scène et trouvait cet indigène intéressante ... elle pensait ...
-Mon dieu, qu'il est beau ! ... Alors que suis en route pour épouser un vieillard décati et vicieux ! ...
La troupe établi son camp à l'entrée du village et les habitants firent tout leur possible pour apporter de quoi les sustenter. Don Pedro fit dans un premier temps preuve de politesse pour éviter tous danger en présence de la futur femme du gouverneur.
Bien que frugal, ton repas fut délicieux ... Dis-moi mes hommes n'ont pas eu de femmes depuis longtemps ! ... <ne peuvent-ils pas se divertir en compagnie des filles de ton village ?
Ce sera un honneur pour nos femmes ! ... Si tu le permets, je t'offre la mienne, la plus belle de toutes ! ...
Chico et Don Pedro retournèrent dans le village pour qu'il lui présente sa femme.
Viens, seigneur ! ... Je vais t'accompagner chez elle ... Tu vas voir comme son corps est fait pour l'amour ! ...
Chico demanda à Aruana de se dévêtir et la montra à son invité.
Mon ami désire honorer ton corps ! ... Tu dois lui donner autant de plaisir qu'à moi, Aruana ! ... Vois comme elle est belle !
A peine était sorti Chico que Don Pedro avait retiré tout ses vêtements. ... Soumise Aruana l'attendait sur la couche, jambes écartée.
Ohhh maître ... Je suis à toi ! ... Mais je ... heu ... serais-je bien digne d'un dieu ?!
La pauvre elle ne se doutait pas de ce que ce « dieu » pensait d'eux ...
Ces pauvres indigènes sont bien naïfs ... Bah ! ... Pourquoi ne pas en profiter à présent ?
Alors que Aruana et Don Pedro étaient occupés, Chico était retourné chez lui délaissant la fête à l'extérieur. Mais il ne s'attendait sûrement pas à la visite qu'il allait recevoir. En attendant il songeait à sa femme.
-Ohhhh ! ... J'espère qu'Aruana se montrera digne de l'honneur que lui fait notre hôte ... Hè ? ... Quel est ce bruit ...
Il regarda vers l'entrée ...
Qui est là ? ...
Chut ! ... C'est moi qui vient te rendre visite ... Si les gardes s'en aperçoivent, je risque le bannissement ! ...
La belle Isabelle dans une longue chemise de nuit blanche, venait d'entrer dans sa demeure et l'humble guerrier qu'était Chico ne comprenait pas la raison de sa présence chez lui. Mais elle entra et s'avança vers lui.
Ah ! ... Que vient faire ici une belle princesse comme vous ? ... Je ne suis qu'un guerrier qui ne possède rien que tu puisse désirer ! ...
C'est ce que tu caches sous ton pagne qui te vaut ma visite ... Ohhh ! Laisse-moi la réveiller ...
Isabelle s'était agenouillée face à lui et venait de dégager son sexe de dessous son pagne.
Ahhh ! ... Tu n'as donc pas de femme à qui offrir cette merveilleuse queue, grand guerrier ?
C'est Aruana ... ! Je l'ai donnée à notre hôte, Don Pedro ... princesse ! Mais ... que fais-tu ?
Elle se pencha et la bouche ouverte glissa le plus possible cette belle grosse queue dedans. Et à chaque va-et-vient, elle essayait de l’enfoncer de plus en plus profond dans sa gorge. Mais elle n'était différente de ses compatriotes pour ce qui est du respect de ce peuple. Elle avait les mêmes pensées qu'eux.
Hum ! ... Ces sauvages sont de grands enfants ... Offrir leurs femmes ! ... Quelle heureuse coutume ! ... Ohhhh ! ... Voilà une bien belle queue qui remplira divinement ma petite chatte humide. Et cela avant qu'elle ne connaisse la mollesse de mon vieil époux ... Je n'en peux plus.
En manque de sexe et en prévision de l'avenir, Isabelle était bien décidée à se donné du plaisir avec ce bel indigène monté comme un cheval. Elle se releva et fit passer sa tunique par dessus ses épaules. Elle était maintenant nue prête à se donner à lui ? La vue de cette femme à la peau blanche t la chevelure d'or expliqua la raideur et la taille de sa queue.
Ne dis rien ... laisse-moi t'offrir mon corps de femme blanche ... Je suis certaine que tu n'en as jamais vues ... n'est-ce pas, grand et fort guerrier ? ...Ohhh ! Ne bouge pas ... c'est moi qui veut te chevaucher, jeune et fougueux guerrier ...
Aahhh ! ... Es-tu une déesse tombée du ciel ?
Idiot ! ... Rien qu'une femelle qui mouille de sentir ton gros mandrin en elle ... Oh ! Si tu savais comme je veux te faire entrez bien au fond de mon antre ... J'ai envie de toi ! ...
Elle ajouta les gestes aux paroles et s'empala sur son pieu dressé vers le ciel. Quand il fut bien au fond, elle imprima des mouvements de va-et vient tout en faisant varier la vitesse pour en contrôler son plaisir.
Chico lui aussi ne dédaigna pas son plaisir il en profitait et tout en pensant aux différences avec les femmes de son village ...
Le femme blanche est bien plus large que ... que celles de notre tribu et aussi elle est bien plus humide ...
Oh ! ... tu es vraiment puissant et robuste, grand guerrier ... Toi au moins tu sais te retenir ... Aaahh ! ... Je n'en peux plus ! ...
Mais elle senti qu'il ne tiendrait plus très longtemps et elle voulait à tout prit qu'il jouisse en elle. Les conséquences pouvaient être catastrophiques.
Oh, non ! Non ! ... Ne viens pas en moi ... tu risquerais de me faire un enfant ... J'ai un autre orifice à te proposer ... Il me la faut dans mon trou ...
Elle bascula sur le côté et se mettant à quatre pattes, elle écarta ses fesses l'invitant à la prendre par derrière, où il n'y avait aucun risque de fécondation.
Que penses-tu de ce petit trou ? ... Tu vas voir ... C'est très étroit et ce même si je m'en sers souvent ! ... Allons, viens, ne sois pas timide ! ... Vas-y, rempli-moi, je le veux !!!
Obéissant, Chico posa sa queue sur la fente des ses fesses et doucement glissa vers son petit trou. Il s'arrêta à sa hauteur et hésitant il l'appuya doucement contre.
Vraiment ? Tu ... Tu ne m'en voudras pas si je te fais mal ? ... Vois comme je suis gros pour un si petit trou, princesse ! ...
Oui ... enfonce, te dis-je ! ... Vous autres sauvages ignorez que le plaisir et la douleur sont souvent complémentaires ... Vas-y, pousse, met-la moi8puisque tels sont tes désirs ... Pourquoi me priver d'une chose encore inconnue pour moi ...
Et il poussa de plus en plus fort faisant enter doucement mais sûrement ce madrier dans ce trou de souris.
Ohhh ... Ouiiii ! ... Pousse ... Pousse ... ça rentre ... aïe ... Encore ... Comme ça ... Ohhh ... Que c'est gros ...
Ouf ! ... Je suis bien au fond, princesse ! ... Mais tu es drôlement étroite par là ... c'est ça que tu veux ?
Aaahh ! Oui ... Je l'ai senti passer ... Je ne tiens plus ... Ahhh !
Isabelle souffrait car sa bite avait encore gonflé, mais comme elle l'avait dit la douleur et le plaisir sont deux chose opposées, mais indissociables. Chico sentait les muscle de son cul enserrer sa bite et la presser pour le faire jouir.
Vas-y, bouge ! ... Je veux encore jouir sous les coups de ta grosse queue ! ... Si tu savais comme je suis excitées d'être baisée par un sauvage ... Je veux tout sentir ! ... Aaahh ! ...
Aaahh ! ... C'est la première fois que je prends une femme de cette façon-là ... J'aime ...
Oh ... Ouiii ! ... Comme ça ... prends bien mes nichons ... serre-les ... fais-moi souffrir ... Aaahh ! Je jouiiis !!!
Isabelle venait de prendre un orgasme par le cul et cela malgré la douleur que lui infligeait ce membre hors normes. Mais Chico n'en avait pas fini et c'est quelques instants plus tard qu'il se vida en elle.
Ohhh ! ... Je ne peux plus résister ... Je vais jouir ... comme u dingue ... Aaaahhh ! Princesse ... si tu savais comme ... comme c'est bon ... Aaaahh !!!
Alors jouis ... remplis bien mon petit trou ... Aaaaahhh ! ... Aah ! ... C'est chaud ... J'aime ... encore du jus ...
Isabelle avait eu son orgasme et Chico avait appris une nouvelle façon de donner du plaisir. Tous les deux étaient gagnât.
Mais qu'en était-il de Don Pedro et Aruana ? Ils avaient baisé de façon très traditionnelle, mais Don Pedro ne comptait pas en rester là.
Maintenant changeons de position ! N'est -tu pas déçue, jolie Aruana ?
Oh non, seigneur ! ... Tu m'as fait du bien ... Ton sexe n'est pas très gros, mais tu t'en sers merveilleusement ...
Aruana elle non plus ne connaissait pas le sexe anal et pour elle cette première fois allait être très différente.
Oh, mais voilà que tu recommences à durcir, seigneur ! ... Veux-tu qu'Aruana te caresse ou te réserves-tu pour une femme de ta race, hein ?
Ma femme est très loin en Espagne ! ... C'est ton joli petit cul qui me fait encore bander ! ... Veux-tu m'offrir ton petit trou ?
En maître, il n'hésita pas et pour commencer il lui enfonça un doigt des la cul. Aruana fut surprise et eu même mal, étant vierge de cet orifice. Mais un doigt ne suffirait pas à Don Pedro. Il se mit donc sur elle par derrière et sans préliminaire, ni douceur il la pénétra par le petit trou.
Par là ? ... Mais ce n'est pas fait pour l'amour ... et puis tu vas me faire très mal ! ... Seigneur, est-ce ainsi que vos femmes se font aimer ?
Nos femmes offrent tous leurs trous ... toi aussi tu vas te laisser enculer, ma jolie Aruana ! ... Ensuite tu pourras y recevoir la grosse queue de ton guerrier ...
Don Pedro n'eut aucune délicatesse avec la jeune Aruana, il s'en fonça en elle de plus en plus vite et de plus en plus loin. Heureusement pour elle qu'il n'était pas aussi bien monté que Chico.
Rhhaaa ! ... J'ai mal ! ... Aïe ! ... J'ai mal ??? ne ... ne me force pas ... c'est trop étroit pour ta virilité ... Je t'en prie ... Nooon !!
Ta gueule, salope ! ... Han ... Han ... ça y est ! ... Me voici tout entier dans ton fondement ... C'est ainsi planté au fond d'un beau cul, que l'homme retrouve son instinct de vrai conquérant, sauvage ! ... Tu vas voir tout à l'heure, tu regretteras de ne plus avoir ma queue en toi ...
Oh, non ! ... Pa si vite ... ça me déchire à l'intérieur, seigneur ! ... Vous qui ... qui étiez si doux tout à l'heure ... Aaahh ... qu'est-ce que j'ai mal !!
Han ... Han ... Tu as un cul de rêve ma jolie ! ... Mais ferme-là ! ... Laisse-moi te défoncer en paix ... Ooohhhh ! ... Je viens ... Tiens, prends tout dans ton cul !
...
Don Pedro se redressa dominant son esclave et ayant eut ce qu'il voulait, sa vrai personnalité ressorti. Insensible, violent et dominateur.
Oh ... quelle salope ! ... T'es pas contente d'avoir le cul remplis de foutre ... de mon foutre ?
Aaaahhh ... J'ai trop mal ! ... Vous avez trahi l’amitié que notre village vous avait offerte...
Ta gueule, traînée ! ...( Elle reçoit une énorme gifle) ... Si nous avions voulu, nous aurions pu raser ton village, tuer vos hommes, torturer vos vieillards et vous violer avant de vous vendre comme esclaves sexuelles ! ... Un jour nous seront les maître de ce continent et vous serez nos esclaves ... mais vous êtes nos esclaves ... Maintenant tu vas me prouver ta soumission en me nettoyant avec ta bouche, mon sexe. Tu vas retirer avec douceur tous les excréments dont tu l'as souillée ...
Aruana était désespérée, mais dût se soumettre . N'empêche qu'elle imagina ce qu'allait lui réserver Chico quand il apprendrait les outrages qu'elle avait subit.
Chico saura me venger lorsqu'il saura comment il a avili son cadeau ... Tu ne vivra plus très longtemps !
Ces humiliation contraste avec la douceur et le plaisir qui règne chez Chico et Isabelle. Les amants toujours nus, dans les bras l'un de l'autre, se caressant tout le corps et se laisse aller aux révélations.
Alors ... Pourquoi avoir quitté votre beau pays pour de si lointains rivages, princesse ? ... Certains voyageurs parlent de hautes maisons, de riches navires ...
Les blancs aiment beaucoup l'or et les richesses. On raconte que dans ton pays se cache une région très riche que vos anciens appelle Eldorado !
Hum ! ... Mon père m'a parlé de ce lieu où tout est en or ... Mais il dit que c'est un endroit maudit réservé au dieu soleil ...
Oh, c'est formidable ! ... Viens conduis-nous ! Nos armes ne craignent pas les démons ... ainsi nous serons toujours ensemble ...
Ohhh ! ... Posséder ton corps tous les jours ... Tu me tentes, mais les miens seront furieux, princesse ! ... ils ne doivent pas savoir la véritable raison de mon départ ...
Isabelle se rhabille et demande à Chico de venir avec elle trouver Don Pedro.
Bah ! ... Nous dirons que tu acceptes de nous escorter ... Viens nous allons avertir Don Pedro ! ... Viens, ensuite nous goûterons de nouveau aux plaisir de l'amour ... Je suis prête à tout ! ...
Oh, oui ! ... Tu as raison, princesse ... il doit encore être dans la case de Aruana ... Viens, c'est celle-ci ...
Arrivé à la case, ils assistent à la fin du calvaire de Aruana.
Don Pedro, nous venons vous voir pour ... Oh, pardon ! ... Excuse-moi, senior ! ... Mmmhhhff !
Aaahh ! ... Ne t'excuses pas mon ami ... Tu vois mon sexe est bien propre ... que voulez-vous tous les deux ?
Euh ... Chico veut proposer quelque chose de fantastique ... Venez, nous ne pouvons en parler ici ...
Aruana venait de se blottir en pleurs dans les bras de son mari. Elle voulu lui expliquer ce qui c'était passer, mais il resta sourd à ses plaintes.
Oh chic ... Si tu savais ce qu'il m'a fait ... sniff ... sniff ... mon amour ! ... Il m'a obligé à faire des choses affreuses ... douloureuses ... Tu dois chasser ces démons de notre village ! Je ...
Vas-tu me laisser ! Je dois parler avec nos nouveau amis ! ... Chico va devenir un rand chef grâce à eux ...
Aruana était perdue, son amour d'habitude si affectueux et à son écoute, venait de la rejeter, refusant de prendre en compte ce qu'elle avait subit. Elle sorti s'isoler et chercha à comprendre ce qui venait de se passer.
Ohhh ! ... Maudits étrangers, il se servent de ta naïveté, mon pauvre Chico ! ... Un grand malheur vient de tomber sur notre peuple avec leur arrivée ! ...
De son côté Chico était parti avec Don Pedro et Isabelle. Ils discutèrent de leur projet communs.
Ohhh ! ... Si ce que tu dis est vrai, tu connaîtras un destin fabuleux, jeune Chico ! ... Nous partirons demain à l'aube ... Mais pour tes amis tu seras notre guide dans cette expédition ! ... Hum ! ... Je serais heureux d'avoir la compagnie de la jeune Aruana ! ... Le permets-tu, mon ami Chico ?
Oui, bien sûr, Señor ! ... Ce sera un grand honneur pour elle et aussi pour moi ...
Le lendemain nos amis faisaient partie de la troupe de conquérants espagnols. Aruana et Chico marchaient en tête guidant les autres vers ce qu'ils espéraient être l'Eldorado.
Aruana, pourquoi fais-tu cette drôle de tête, hein ? ... Les étrangers sont bons et aimables avec nous ... Don Pedro n'est-il pas un bon et fougueux amant ?
Pauvre Chico ! ... N'as-tu pas compris qu'ils se servent de toi pour voler le métal jaune de nos ancêtres ? ... Je hais ton Don Pedro et ses horribles manières ... Je le hais !
Pendant ce temps dans la troupes des conquistadors.
Ce voyage est épuisant, Don Pedro ... la nuit va tomber très vite ! ... Cette jungle pleine de bruit étranges me fais peur ...
Vous avez raison ! ...Arrêtons-nous dans cette clairière, ainsi vous pourrez retrouvez votre beau sauvage ! ... Ah,ah,ha !
Don Pedro ! ... Je ne vous permets pas ...
Ohhhh ! .... Pas de secret entre nous ma chère Isabelle ! Et puis votre vieux mari n'en n'est plus à une corne près ...
C'est ainsi que le soir arrivé, Isabelle rejoint Chico, en dehors du camps.
Ohhh ! ...Que fais-tu aussi loin du camp, Chico ? ... N'aimes-tu pas la compagnie de mes amis ? ...
J'aime le silence de la jungle ! ... Ils font trop de bruit pour le sauvage que je suis ... et toi, tu ne fais pas la fête avec eux ? ...
Isa belle se rapprocha et s'installa à côté de lui. Mais sa visite n'avait pas pour but de prendre de ses nouvelles et ils le savaient tous les deux, de profiter de son habilité sexuelle. Elle se pencha sur lui, dénoua son pagne et s'occupa de son membre encore au repos.
Non ! ... C'est de ta belle queue que j'ai envie ... Aaah ! ... Si tu savais comme ma chatte est humide et impatiente de ... de t'engloutir ! Je ... Je n'en peux plus ! ... Hum ! ... Laisse-moi lui redonner vie, Chico ! ... Je veux que tu jouisses beaucoup ! ...
Ohhh ! ... Tu n'auras pas de mal ! ... Moi aussi je rêve de te prendre ! ... Comme tu t'y prend bien avec ta langue ...
Bien que Chico ai envie d'Isabelle, il ne pouvait s'empêcher de penser à Aruana. Que faisait-elle, allait-elle prendre autant du plaisir leurs nouveaux amis que lui avec Isabelle.
Mais il en était tout autrement, loin de la tendre et de la passion, Aruana était plutôt dans une ambiance.
Les hommes de la troupes étaient réunis autour d'un feu de camp et elle était obligée de danser pour eux, Don Pedro en premier.
Allons ... Allons ... ne fais pas de manières, petite ! ... Maintenant, montre tes trésors à mes amis ... Vas-tu obéir aux maîtres du monde ? ... Veux-tu que je te fasse goûter au bâton sur tes jolies fesses ? ...
Aruana était désespérée, mais elle était obligée de se soumettre aux désirs de ces porcs. Ils ne pensaient qu'à leurs plaisir et cela peu importe se sue les autres veulent ou ressentent. Elle dût se défaire de sa tunique et se trémousser nue devant tous ces hommes au regard lubrique.
Allons danse ... écarte bien les jambes, que nous puissions admirer ta jolie cramouille de sauvage ! ...
Cette fille danse aussi bien que les putes de notre terre lointaine ... Elle aurait du succès dans les bordel de notre sainte patrie ... Ah, ah, ah ! ...
Après toute cette humiliation, Don Pedro allait en rajouter encore. Il se leva et s'avançant vers elle la bite sortie et en pleine érection.
La diablesse ! .. Elle a bien mérité une récompense ... Viens ! Tu vas pouvoir te reposer ... J'ai un siège pour toi ... Alors ... viens ... Ahhh ! ... Viens donc te reposer un peu ... Allons, prends place sur mon pieu ...
Mon dieu ! ... Non ! ... Pas devant tout ...
Oh que si ...
Sans ménagement, il la poussa et s’apprêta à la prendre par derrière. Il lui écarta les les fesses dévoilant ses deux trous humides et dilatés. Elle était tellement mouillée qu'il ne put s'empêcher de commencer par glisser dans son four dégoulinant de plaisir.
Ohhh, ouiii ! ... Elle est toute humide cette petite garce ! ... Tant mieux pour toi, ça rentrera plus facilement ...Viens ... Je vais me planter bien au fond ...
Il avait raison, c'était plus fort qu'elle. Son désir de sentir son membre l’écarteler augmentait à chaque instant. Elle s'en voulait de ressentir ce plaisir monter en elle. Mais il la besogna si bien qu'elle ne pût retenir les orgasmes qui finirent par la laisser tremblante et épuisée.
Aaahh !
Ça y est, te voilà bien remplie ! ... Tu dois avoir soif après ta danse ... mes amis ont pensé à toi ...n'est-ce pas les gars ? ...
Elle releva les yeux et fut horrifie à la vision des toute la troupe en file, la bite sortie et attendant sûrement qu'elle s'occupe d'eux.
Ne vous battez pas, il y en aura pour tout le monde ... Elle saura vous traire vite et bien ! ...
Elle venait de comprendre, elle allait devoir pomper et avaler le foutre de chacun des membres de l'expédition. Mais cette perspective horrible s'accompagnait d'une envie irrésistible de goûter à chacune de ces queues tendues vers elle. Mais une dernière surprise de Don Pedro allait achever de l'humilier. Elle dût le faire tout en restant empalée sur son sexe.
Allons suce, ça va exploser ! ... tu dois faire vite si nous voulons avoir le temps de dormir un peu ..
La garce ! ... Elle s'y prend bien ! ... Je vais déjà lui cracher tout dans la bouche ...
Ce défilé dura une bonne partie de la nuit et elle finit par avoir des orgasmes. Elle ne pouvait s'empêcher de penser ...
Oh ! ... Ce gros sexe qui me rempli ... L'odeur et le goût de tout ce sperme dans ma bouche ... c'est ... c'est trop ... Je sens ... Il est là ... Aaaaaaahhhh !!! Encore un, je sens perdre le contrôle de tout mes membres tremblants de plaisir ... Aaaaahhhhh !!!
La nuit d'Aruana fut rude et intense en douleurs, mais aussi en plaisir. Alors que pour Chico, la douceur et l'attention régnait. Isabelle s'était occupé de redonner vie à sa queue et maintenant c'était un pieu dressé.
Ohhh ! ... Te voilà prêt pour me pourfendre, mon beau sauvage ! ... Tu vas une fois encore me faire hurler de plaisir ... Je ne tiens plus ! ... Vas-y ! ... Viens me besogner profondément ! ... Viens sentir comme ma grotte attend avec impatience, ta belle et grosse queue ! ... Fais-moi jouir !!!
Isabelle ne garda pas longtemps ses vêtements et sa chatte ainsi offerte ne tarda pas à être remplie par une belle grosse bite.
Ohhhh ! ... Comment résister à autant de beauté ! ? Oh oui ... je vais te planter ma queue dans ta chatte dégoulinante ...
Oh ouiiii ... comme ça ... Bien au fond ... Aaaahhh ! ... tu es chaud et dur comme j'aime ... vas-y ... besogne-moi ! ...
Aaahhh ! ... Tes seins ... Je veux presser tes doux seins, tout en bougeant en toi ! ...
Oui ... prends les ! ... Serres les bien fort de tes mains ... oui ... c'est ça, comme ça ... Aaaaahhh ...
Chico prit son temps pour amener Isabelle à l'extase, mais ensuite il s’efforça de lui donner orgasme sur orgasme. Quand à elle, elle n'hésita pas à lui offrir un accès illimité à tous ces trous, qu'il ne se gêna pas de remplir de foutre bien chaud. Et cette nuit d'amour fut magnifique pour l'un et pour l'autre.
Aruana, elle était tellement épuisée que Don Pedro la raccompagna et lui proposa de venir se reposer sous sa tente. Elle soupçonnait un piège, mais il lui était impossible de refuser de le suivre.
Assise à la table, elle était épuisée, son corps ne répondait plus, elle voulait seulement dormir. Mais Don Pedro, comme prévu, ne l'entendait pas comme ça. Encore nue, il la fit monter sur la table et la mit en position pour assouvir son désir.
Hé ! ... Tu ne vas pas me laisser comme ça, petite ! ... A présent que ta fente à bien mouillé, je vais me vider dans ton derrière ...
Non ... nooon, seigneur ! ... L'autre fois, j'ai eu trop mal ! ... Je vous en prie, maître, prenez-moi ... Mais pas par le petit trou ... !
C'est ce trou que je veux investir ... ne suis-je pas ton maître ? ... Tu est ruisselante de désir ... Maintenant ... on y va ...
AAAAAHHH ! ... Comme c'est gros ... seigneur, tu me transperces avec ton gros bâton ...
tu ne vas pas te plaindre de sa taille, toi qui viens de pomper plus d'une dizaine de queues toutes plus grosse les unes que les autres ... Han ... Han .. Tu l'as toute entière à présent ! ...
Tu es énorme ... Je vais être déchirée, mais puisque tu le veux prends ton plaisir dans mon fondement ...
Sens comme je coulisse bien dans ton cul ... Vas-y ... mais tu vas maintenant sois active ... je veux que tu te caresse ton bouton ... je sens que tu vas aussi jouir ... Tout comme moi ... Aaaaaaaahhh !!!
Mais dehors Chico retournait au camp après en avoir fini avec Isabelle. Et alors qu'il se posait de plus en plus de question sur ce que lui avait dit Aruana au village. Il se rendit compte qu'il était manipuler par cette femme, un véritable démon sexuel qui l'entraînait loin de ses principes et de ses coutumes.
Alors qu'il s'approchait de la tente de Don Pedro, il fut intrigué par les cris émanant de celle-ci. Posté dans l'entrée il observait sa femme se faire sodomiser violemment par son « ami ». Il se pensa ...
Oh, Aruana ... son petit derrière écartelé par le sexe de Don Pedro ! ... Mais que sommes-nous devenus entre les mains des ces hommes et femme lubriques ?
Mais à l’intérieur Don Pedro en terminait avec sa femme.
Aaaaahhh ... C'est bon ... seigneur tu me fais beaucoup de bien ... Je ... je ... je vais encore jouir ... ça viens, je n'en peut plus ... Aaaaaahhh ...
Vas-y, prends ton pied putain ... moi aussi je vais lâcher mon foutre dans ton cul ... Ouiiiiii ... prends bien tout !!
Oh seigneur comme c'est bon ... Je suis ton esclave ... Tu peux faire tout ce que tu veux de mon corps ... Je ne suis plus qu'un corps avide de jouir et faire jouir, toujours ...
Chico, caché dans l'entrée, venait de prendre un décision ...
Aruana, ma douce Aruana ... nous devons réagir, ne plus succomber à la luxure que ces homme nous obligent à subir ...
Les jours passaient et les nuits se ressemblaient , la troupe avançait dans cette jungle toujours guidée par nos amis Incas. Chico se montrait beaucoup plus protecteur avec Aruana, il la tenait contre lui et marchaient en avant de la troupe. Mais Don Pedro ne le voyait pas de cet œil.
Nous avançons dans cette jungle depuis six jours ... Sommes-nous encore loin de ton Eldorado ? ... Vois comme ta belle compagne est épuisée ! ...
Nous ne sommes plus très loin, seigneur ... au pied de ces montagnes ...
Mais il pensait tout autre chose ... - Si tu la laissais dormir la nuit, elle serait beaucoup plus vaillante, cochon d'étranger ...
Allons petite ... monte avec moi ... Toi, j'espère que tu ne te trompes pas ... Sinon, je vais me lasser, sauvage ... Mais en attendant je vais pouvoir la préparer pour ce soir ... Nous ferons une grande fête pour célébrer notre arrivée en Eldorado ...
Il la fit monter et la plaça devant lui sur le cheval. Et sans attendre, il glissa sa main sous sa tunique, lui enfonçant un doigt dans le cul et deux doigts dans la chatte.
Oh mon seigneur ! ... J'ai tellement fait l'amour que ma petite fente est toute meurtrie ... La nuit dernière vous m'avez livrée encore une fois à vos hommes ... toute la nuit ... Hum ...
Ce n'est pas ce que je perçois, tu es déjà prête à recevoir ma grosse bite dans ta chatte, je sens mes doigts dégouliner de ton jus ... Mais peut-être est-ce celle de Chico que tu désire ? ...
Elle s'appuyant sur les étriers, elle lui montra son cul trempé d'excitation...
Ooohh ! ... Assez maître ... Il ... il est bien monté ... Hum ... Mais toi tu connais des caresses qui me rendent vraiment folle ... Ta queue ... je voudrais ta queue ... Je n'en peux plus d'attendre ...
Petite garce ! ... Tu me fais bander comme une dingue ... Tu auras ta ration lorsque Chico aura trouvé notre or ... Hummm ... J'aime goûter à ton jus et ça tombe bien, mes doigts en sont remplis.
Ohé ! ... Les ruines du temple sont derrière ces arbres ... Il ... il faut être prudent seigneur ! On dit qu'il est gardé par des hommes redoutables ...
Ha, ha, ha, ha ! ... Que peuvent tes gardiens contre nous ? ... Allons avance ...
Mais plus ils avançaient, plus l'ambiance était pesante et Aruana avait un vrai mauvais présentement.
Oh, mon dieu ! ... J'ai peur, seigneur ! ... Ce silence ... on n'entend plus les oiseaux ! ... Hummm ...
Foutaise que tout cela ... vois ... le temple apparaît ... ton Chico avait raison, nous sommes arrivés ...
A peine avait-il dit cela que la troupe fut attaquée. En quelques secondes une pluie de flèches s'abattit sur eux, tuant la moitié des hommes. Don Pedro n'eut d'autre chois que de se rendre avec le reste de sa troupe. Seul Chico avait semble-t-il échappé au massacre.
Des dizaines de femmes presque nues surgirent de la forêt armée de d'arcs et de lances. Elles les attachèrent tous nus, à deux arbres, séparant les deux femmes du reste des hommes.
Caramba, des femelles !!! Nous voici entre les mains d'une bande de femelles ! ... C'est incroyable !
Mon dieu ! ... Ce sont les amazones de la légende ! Elles sont cruelles ...
La cheffe de ces femmes sorti du temple et s'adressa aux prisonniers.
Hommes venus de l'autre monde, vous avez profané le temple dont nous sommes les gardiennes ... Vous allez mourir ! Toi aussi femme, qui te vautre dans la couche des étrangers ...
Avez-vous vu ? ... Cette fille est couverte d'or ... Les autres aussi ... Oh ! ... Nous sommes bien en Eldorado ! ...
Oh seigneur ... Nous allons mourir dans la souffrance et vous ... Vous pensez encore à cet or maudit ... Et Chico, mon pauvre Chico ... Où est-il ? ... est-il seulement encore en vie ?
Chico était encore en vie, mais sa situation n'était pas du tout enviable. Il avait été fait prisonnier par les amazones. Mais comme il était de leur race il allait avoir un sort différent. Attaché nu et en croix sur un rocher sacrificiel, à l'intérieur du temple, il attendant son sort.
Minable ! ... Ainsi tu as vendu le temple de tes ancêtres pour une femme blanche avec qui tu as forniqué comme un dingue ...
Tu vas disparaître en servant notre peuple ... Les femmes fécondables, vont venir se servir te ta queue pour récolter ta semence ... et cela jusqu'à ce que tu pisse le sang. ... Allez-y ! ... Il est à vous mes sœurs ... robuste comme il est, il vous fera de beaux et forts enfants ...
Toutes ces amazones étaient belles et malgré la situation stressante, le désir montait en lui.
A toi Xanga ... et tu connais la règle ... ne jamais jouir lorsque l'on s’accouple aux mâles ...
La bite bien dressée par la vision de toutes ces femmes nues, il était prêt pour que la première vienne le chevaucher.
Aaaaaahhh ! ... Que tu es fort ... ma fente est écartelée par ton machin ... Ça y est ... Tu es presque au fond ... il ... il est si dur ...
Chico ne contrôlait rien , mais il voulait leurs prouvez qu'un homme ne devait pas être seulement considéré comme un reproducteur. Il voulais résister , leurs prouver qu'elles peuvent jouir elle aussi ... Mais cela allait être difficile tant le cul qu'il avait devant lui était excitant.
Tes seins ... ils sont si beaux ... libérez-moi que je puisse les prendre en mains ... Je veux les caresser ... Aaahh !!! Tu es si étroite ...
Ferme-là, homme ! ... Tu es là pour procréer ... L'amour et l'orgasme, nous les connaissons avec nos dieux de pierre ...
Ooohhh ! ... Je ne peux plus me retenir ... Je vais te donner la semence que tu souhaites ... Oh ... ouiii ! ... Prends bien tout ... Aaaahhh ! ... Sens comme c'est chaud dans ta chatte ... Tu ne dis rien, mais à tes lèvres serrées je sais que tu prends ton pied ...
Silence ! ... Tu viens de me donner ta semence ... C'est tout ce que les hommes sont capables de faire, éjaculer !
A toi Thanga ... ne te laisses surtout pas surprendre par le plaisir, qui depuis que le monde est monde fait de nous les esclaves de l'homme ...
Et la deuxième amazone, après une petite remise en forme, vint enfiler sa chatte sur son sexe dur et rigide.
Quel doux supplice ! ... Toi aussi tu es faites pour l'amour ... Tu vois, malgré ce que je viens de faire, tu as réussi à facilement me remettre en condition ! ...Tu n'as plus qu'a te l'enfiler dans la chatte ...
Bien sûr, vermine ! ... Nous avons y faire ! ... Xanga a déjà connu le mâle ! ... Mais moi c'est la première fois que j'offre mon corps à la virilité de l'homme ! ... Viens, fais-moi un enfant, une femelle ...
Et ce fut le tour de Thanga de s'agiter le long de ce madrier de chair long et chaud. Chico réussi cette fois à se contrôler et le temps passait. Thanga n'en pouvait plus elle sentait le plaisir monter. Mais elle savait qu'elle ne devait pas prendre du plaisir. Alors elle se tourna et lui asséna une énorme gifle qui lui décrocha la mâchoire.
Alors ... Vas-tu te dépêcher ? ... La présence de ton sexe en moi me donne envie de vomir ...
Hum ! ... La violence est excitante ... Prends mes couilles en main ... caresse- moi ... Je ne suis pas une machine à éjaculer ...
Beaucoup plus tard et de nombreuse amazones passée sur lui.
Ohhhh ! ... Vas-tu bander ? Moi aussi je veux être fécondée ... Vas-y guerrier, remplis-moi ! ... Je le veux !!!
Assez ! ... Je ... je n'en peux plus ... vous allez me tuer ... Tu es la douzième ... Aaaa-aaaahh ! ... Non ! ... J'ai trop mal !!!
Du sang ! ... il perd du sang ...
Assez ! ... Il doit reprendre des forces ... Si tu continue, il va mourir ...
Boire ... Je veux boire ... Je ... je vous en prie ... Aaaahhh !
Donnez lui à boire et à manger ... ensuite, il honorera celles qui n'ont pas encore été fécondées ...
Son supplice était momentanément terminé mais le plus important était Xanga. Retirée dans un recoin obscure, elle pleurait. Elle avait pitié de lui, elle avait envie de lui.
Mais le sort de Chico n'avait rien en comparaison de ce qui allait se passer dehors.
Maintenant les femelles, vous serez nos esclaves ... dédiées à faire les travaux les plus ingrats ... Mais à présent, mes sœurs, occupons nous de ces hommes. Ils sont à vous ! ... Ils sont inutile pour la fécondation, alors prenez vos lances ... Mais ne touchez pas les zones mortelles ... ils doivent mourir dans d'atroces souffrances ...
Prions mes frères, nous allons rejoindre notre seigneur ...
Une pluie de lances les touchèrent aux jambes, aux bras, sur les flancs ... ces guerrières étaient habiles et aucun ne mourut ...
Aruana et Isabelle, non loin de là, assistaient impuissante.
Ohhh ! ... Tu vois ce que rapporte la soif de l'or ... Les dieux nous ont punis ...
Mon dieu ! ... Tu peux parler, toi qui t'es vautrée dans la couche de Don PedroMais elles furent interrompue par la cheffe des amazones. Le temps d'en finir était arrivé.
A présent mes sœur, frappez leurs maudits sexes ... qu'ils crèvent tous ! ... Allez-y ! tuez ces lâches, ils n'auraient pas eu pitié de nous avec leurs armes terribles ! ...
Les tirs atteignirent tous leur but. Don Pedro et les cinq hommes survivants moururent tous une lance plantée dans leur sexe. Après quoi ils furent émasculé et leurs attributs offert aux dieux.
La nuit tombait et les filles étaient toujours attachées côte à côte. Une corde passée autour de la taille les rattachait à un énorme arbre et si elles avaient de la sorte une certaine liberté de mouvement, ils leurs étaient impossible d'en défaire les nœuds collé avec une résine.
Oh ! ... Elles dorment la conscience tranquille après le massacre qu'elles viennent de commettre ...
Mon dieu ! ... J'ai peur ... J'aurai voulu en finir avec les miens. Ces créatures vont nous traiter comme des bêtes ... Je meurs de froid ...
Aruana se colla à sa compagne d'infortune et inconsciemment, elle glissa une main sur son sexe. Isabelle mouillait, ce contact chaud et rassurant l'excitait.
Je ... Je comprends que Chico ai désiré te faire l'amour ! ... Ohhh ! ... Ton corps est vraiment doux et tendre ...
Tes mains me font du bien. Je t'en prie, continue comme ça ... Oh, ouiiii ! ... Oui, caresse ma chatte humide ...Hhmmm ...
Oh ! ... Tues une fille chaude ... aussi chaude que celle de mon peuple ...
Ouiiii ! ... Tu es si douce ... fais-moi oublier cet enfer ... Ohhhh ... continue sur mon bouton de plaisir ... Je sens que le plaisir vient ! ... Ouiiiii ...
Elle joua avec son clitoris, mais aussi introduit ses doigts dans sa fente humide et chaude.
Ooohh ! ... Mon jus ... Viens boire mon jus ... ooohh ! ... Que ta main est bonne et douce dans ma chatte ...
Oh, oui ! ... Mais dis-moi si c'est aussi bon que le sexe de Chico ? ... Dis-moi s'il savait comme moi trouver les points sensible ? ... Quels beaux seins ... Mmmm ... Qu'il ont bon goût ! ...
Oooohhh ! ... C'est meilleur avec toi, mais sa longue queue ... elle aussi était bonne ! ... Ohhh ! ... Chérie, que tu me remplis de plaisir ...
Ah ! ... Faudra que l'on s'y fasse ma belle ! ... Ici les hommes sont rare et nos hôtesse se réservent leurs faveurs pour procréer ... Hummm ! ... Ton jus est bon et épicé ...
A toi maintenant d'ouvrir ta fente au plaisir ...
Cette fois c'est Isabelle qui glissa sa main entre les cuisses de sa compagne.
Aïe ! ... Pas si vite ... Je ... Je suis encore très étroite et irritée avec les assauts que j'ai subis ces derniers jours ...
Mais alors qu'elles apprenais à se satisfaire entre femmes, à l'intérieur les choses allaient changer leurs sorts ainsi que celui de Chico et de Xanga. Chico toujours attaché, eut de la visite.
Quoi ? ...
Chuut ! ... Je viens te délivrer, à condition que tu jures de rester toujours auprès de moi ...
Ohhh ... Tout ... Tout ce que tu voudras, Xanga. Mais plus jamais de débauche de sexe ... Aaaah ! ... J'ai encore mal ...
Alors, suis moi et pas un mot ... Mes sœurs sont vraiment des guerrières redoutables Chico ... et si tu cherches à fuir ? C'est avec ce couteau que je te trancherais la gorge et les attributs qui qui font de toi un homme ... Je te veux pour moi, mais je suis une amazone ...
Elle coupa ses liens et ils sortirent discrètement jusqu’à l'orée de la forêt. Quand ils entendirent un bruit se croyant découvert, ils se cachèrent et découvrirent Isabelle et Aruana enlacées et gémissantes.
Ah ! ... Ce sont mes compagnes ! ... Il ne faut pas les abandonner dans cet enfer. Elles seront massacrées par les tiennes quand elles découvriront notre fuite ... n’est-ce pas ?
Merde ! ... Ces putains ne pensent qu'à la débauche, Chico ...
Xanga ... je ne pourrais pas t'aimer sin nous partons sans elles ... Je serais ton esclave, ton amant ...
Soit, Chico ! ... Mas dès que nous seront hors du camps, elles tenterons leur chance seules ! ... Je te veux pour moi, rien que pour moi !!!
Avec précaution, ils avancèrent pour délivrer les deux prisonnières. Ils tentèrent alors de rejoindre la jungle, mais dans la précipitation, Isabelle se prit les pieds dans une racines et les gardiennes furent alertées.
Alerte ... alerte !!!
Merde ! ... Cette garce de femme blanche vient de trahir notre présence ... Vite, dans la forêt !!!
Mais rien n'y fit, les amazones ne les lâchaient pas et allaient bientôt les rattraper.
Ton couteau, Xanga ! ... Je vais tenter de les retarder pendant que vous vous échappez ...
Pas question ! ... Je reste auprès de toi ! ... Tu es mon mâle et nous ne devons pas nous quitter, Chico ...
Le combat fut rude et sanglant, Xanga se sacrifiant pour sauver la vie de son mâle.
Quel carnage ! ... Je suis désolé pour toi Xanga, je n'ai put te sauver ! ...
Chico ! ... Chico comme nous eu peur pour ta vie ... Mais où est la filles ?
Elles est morte pour nous sauver ... oui ... morte comme les espagnols avec qui tu forniquais ... Mortes comme tous ceux qui ont voulu souiller ces terres sacrées ... Allons, venez, d'autres peuvent arriver et je n'aurai plus la force de les combattre ...
Implacable la jungle se referme derrière eux gardant pour on ne sais combien de temps le secret des amazones. Le chemin de retour fut long et pénible, mais quelques jours plus tard ils regagnèrent leur village. Isabelle toujours en leur compagnie n’eus d'autre choix que de rester.
Quelques semaines plus tard dans la case de Chico. Aruana était prise en missionnaire pas Chico.
Aaaaaahhh ! ... Comme c'est bon de faire l'amour avec toi ! ... Si tu savais comme je suis heureuse d'être désormais ta femme, Chico ! ... Tu ne regrettes pas les jeux pervers de Dona Isabelle ? ...
Non, ma chérie, ! ... Et puis toi aussi tu as beaucoup appris auprès de ton amant venu d'Europe ...
Dona Isabelle fait le bonheur des célibataires du village ... Elle est comblée ... Elle qui ne se trouve bien qu'avec un sexe dans chaque orifice ...
En effet,à quelques mètre de là.
Aaaaaahhh ! ... Encore ... Ta queue dans ma bouche ... Oooohh ... Quelle est grosse. Et vos queues dans mes orifices, continuez ... remplissez-moi la chatte et le cul ...

FIN

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