Histoire d'Un Vieillard (HUV)
Récit érotique écrit par Jairpaca [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Histoire d'Un Vieillard (HUV)
Bonjour chère lectrice, bonjour cher lecteur
Voici avant de commencer les clés pour suivre ce texte
LES PERSONNAGES
Gilbert: moi - 70 ans
Gabriel: mon beau-frère - 74 ans
Christine:mon ex-épouse et mère de mes enfants - 69 ans
Bérénice: mon amoureuse depuis 15 ans - 63 ans
Jean: mon père - Dcd
Thiphaine: ma mère - Dcd
INTRODUCTION
Nous sommes en décembre 2024, jour de Noël.
Gabriel, vient de m’offrir « Da Vinci Code » de Dan Brown.
A la lecture de la première page, j’ai pris un coup de poing dans le ventre.
Voici le texte: « Jacques Saunière, le célèbre conservateur en chef du musée du Louvre, s’élança en courant dans la grande galerie. Le vieillard de soixante-seize ans… »
Dan Brown ose affirmer qu’un homme de soixante seize ans est un vieillard. Je viens, en 2024, d’avoir mes soixante dix ans.
Encore six années et je vais appartenir à cette catégorie d’homme bon, au mieux pour la maison de retraite, au pire pour la crémation.
Pourtant, c’est d’un autre feu que je brûle et je me sens jeune, mon sexe frétille et sait se tendre avec vigueur.
Avant que mon désir s’évapore, je décide ce jour, de publier des textes dans HDS pour illustrer ce qu’a été ma vie dans le domaine du sexe et de l’amour. Pour vous confier ce qu’elle est à ce jour.
Pour des lecteurs assidus du site, mon histoire va apparaître banale et rarement érotique, je m’en excuse.
Pour d’autres, ils trouveront intérêt à lire un témoignage vécu, jamais romancé.
OBJECTIFS
proposer la biographie sur ma vie sexuelle, sentimentale, amoureuse.
Permettre, à ma mort, la lecture de ces textes aux membres de ma famille, car il est des situations et des actes difficilement audibles lorsque l’on est encore en vie.
Conserver ces textes sur mon ordinateur et les charger sur le serveur HDS.
AVERTISSEMENT
* Je suis agnostique, respectueux des croyances et des religions tant que celles-ci ne m’obligent pas à être prude ou pudibond ou faux-cul.
* Sur la forme, je vais utiliser des mots qui seront parfois médicaux, scientifiques, populaires, vulgaires ou crus.
* Les lieux, sauf précisions contraires, sont ceux de la Provence.
* Les personnes sont définies par un prénom inventé sauf la première lettre qui est exacte.
Les dates sont justes avec un format « mois/année ».
Les accords seront au féminin pour rattraper le temps perdu par la domination masculine
Les textes qui concernent mon épouse Christine, sont limités au minimum. Elle m’a donné trois enfants que j’aime et il n’est pas utile de dévoiler l’intimité de notre vie conjugale.
TEXTE 1
Les sens - l’odorat - l’inceste fondateur - l’odeur du corps
Ce n’est peut être pas un hasard, le hasard est la délicatesse de Dieu disait Einstein, que mon premier texte prend forme le jour de la naissance de Jésus.
En Provence, nous l’appelons «lou pitchoun » ce santon de terre que les enfants posent avec sérieux dans la crèche le 25 décembre.
Il y deux mille ans dit-on, un bébé fait de chair et de sang est né dans la douleur d’une femme bientôt divinisée.
Dans mon texte Thiphaine, ma mère n’est pas une divinité. Fécondée pour la troisième fois par Jean mon père militaire. Elle m’accueille neuf mois dans son ventre doux où l’eau est à 37°
Je n’en ai pas la mémoire.
Par les contractions violentes de la nature, sans qu’elle n’en maitrise la force, ma mère m’a conduit avec la puissance de ses muscles, tout le long de son vagin, humide de son « d’eau de Vie »
Mon corps tout entier à franchi ce passage.
J’ai été pendant quelques minutes à l’intérieur du sexe de ma mère.
Je suis passé tout contre ses lèvres sans les déchirer
J’ai certainement frôlé son clitoris
Le corps de nos mères est un tunnel organique obligatoire.
Nous avons baigné dans ces liquides et matières que sont l'eau, le sang, la pisse, la merde
Nous avons toutes été incestueuses
Ouf ! Nous n’en gardons pas la mémoire , le tabou peut prendre sa place.
Jean mon père, militaire dans l’armée coloniale est parti en juillet 1954 en Indochine, Tiphaine m’a mis au monde 2 jours plus tard.
Ma chance a été d’être allaité et de dormir avec elle pendant deux années.
Cette séquence intime m’a donné un véritable plaisir à sentir son corps.
J’aime toujours à sentir le fumet corporel des femmes et quand mon nez est bien affuté, je peux apprécier celles qui ont leurs règles.
Pour moi la femme m’impose sa puissance: Sang, Sexe, Amour, Vie.
Aujourd’hui, sentir le corps de mon amoureuse Bérénice me procure du plaisir. Son sexe exhale un parfum qui stimule mon désir. J’aime lorsqu’elle est à mes côtés sur notre divan gris du petit salon, je me rapproche et ma main posée sur elle, j’écarte mon pouce et mon index par une faible pression, elle sait ce je veux et ouvre le compas de ses cuisses. Cette obéissance est déjà l’amorce de mon plaisir. Je peux alors me pencher vers son entrejambe et suivant le vêtement qu’elle porte, pantalon, robe, être au plus prés et sentir son odeur femelle. Lorsqu’elle port une jupe, elle est accessible et je peux effleurer sa culotte, parfois passer un doigt entre le tissus et sa chair et ses poils. C’est elle qui décide de la suite. Pour des amants c’est un équilibre délicat que de savoir être juste au dessus de la passivité sans être déjà dans la contrainte.
Prochain texte
Les sens - la vue.
A suivre
Voici avant de commencer les clés pour suivre ce texte
LES PERSONNAGES
Gilbert: moi - 70 ans
Gabriel: mon beau-frère - 74 ans
Christine:mon ex-épouse et mère de mes enfants - 69 ans
Bérénice: mon amoureuse depuis 15 ans - 63 ans
Jean: mon père - Dcd
Thiphaine: ma mère - Dcd
INTRODUCTION
Nous sommes en décembre 2024, jour de Noël.
Gabriel, vient de m’offrir « Da Vinci Code » de Dan Brown.
A la lecture de la première page, j’ai pris un coup de poing dans le ventre.
Voici le texte: « Jacques Saunière, le célèbre conservateur en chef du musée du Louvre, s’élança en courant dans la grande galerie. Le vieillard de soixante-seize ans… »
Dan Brown ose affirmer qu’un homme de soixante seize ans est un vieillard. Je viens, en 2024, d’avoir mes soixante dix ans.
Encore six années et je vais appartenir à cette catégorie d’homme bon, au mieux pour la maison de retraite, au pire pour la crémation.
Pourtant, c’est d’un autre feu que je brûle et je me sens jeune, mon sexe frétille et sait se tendre avec vigueur.
Avant que mon désir s’évapore, je décide ce jour, de publier des textes dans HDS pour illustrer ce qu’a été ma vie dans le domaine du sexe et de l’amour. Pour vous confier ce qu’elle est à ce jour.
Pour des lecteurs assidus du site, mon histoire va apparaître banale et rarement érotique, je m’en excuse.
Pour d’autres, ils trouveront intérêt à lire un témoignage vécu, jamais romancé.
OBJECTIFS
proposer la biographie sur ma vie sexuelle, sentimentale, amoureuse.
Permettre, à ma mort, la lecture de ces textes aux membres de ma famille, car il est des situations et des actes difficilement audibles lorsque l’on est encore en vie.
Conserver ces textes sur mon ordinateur et les charger sur le serveur HDS.
AVERTISSEMENT
* Je suis agnostique, respectueux des croyances et des religions tant que celles-ci ne m’obligent pas à être prude ou pudibond ou faux-cul.
* Sur la forme, je vais utiliser des mots qui seront parfois médicaux, scientifiques, populaires, vulgaires ou crus.
* Les lieux, sauf précisions contraires, sont ceux de la Provence.
* Les personnes sont définies par un prénom inventé sauf la première lettre qui est exacte.
Les dates sont justes avec un format « mois/année ».
Les accords seront au féminin pour rattraper le temps perdu par la domination masculine
Les textes qui concernent mon épouse Christine, sont limités au minimum. Elle m’a donné trois enfants que j’aime et il n’est pas utile de dévoiler l’intimité de notre vie conjugale.
TEXTE 1
Les sens - l’odorat - l’inceste fondateur - l’odeur du corps
Ce n’est peut être pas un hasard, le hasard est la délicatesse de Dieu disait Einstein, que mon premier texte prend forme le jour de la naissance de Jésus.
En Provence, nous l’appelons «lou pitchoun » ce santon de terre que les enfants posent avec sérieux dans la crèche le 25 décembre.
Il y deux mille ans dit-on, un bébé fait de chair et de sang est né dans la douleur d’une femme bientôt divinisée.
Dans mon texte Thiphaine, ma mère n’est pas une divinité. Fécondée pour la troisième fois par Jean mon père militaire. Elle m’accueille neuf mois dans son ventre doux où l’eau est à 37°
Je n’en ai pas la mémoire.
Par les contractions violentes de la nature, sans qu’elle n’en maitrise la force, ma mère m’a conduit avec la puissance de ses muscles, tout le long de son vagin, humide de son « d’eau de Vie »
Mon corps tout entier à franchi ce passage.
J’ai été pendant quelques minutes à l’intérieur du sexe de ma mère.
Je suis passé tout contre ses lèvres sans les déchirer
J’ai certainement frôlé son clitoris
Le corps de nos mères est un tunnel organique obligatoire.
Nous avons baigné dans ces liquides et matières que sont l'eau, le sang, la pisse, la merde
Nous avons toutes été incestueuses
Ouf ! Nous n’en gardons pas la mémoire , le tabou peut prendre sa place.
Jean mon père, militaire dans l’armée coloniale est parti en juillet 1954 en Indochine, Tiphaine m’a mis au monde 2 jours plus tard.
Ma chance a été d’être allaité et de dormir avec elle pendant deux années.
Cette séquence intime m’a donné un véritable plaisir à sentir son corps.
J’aime toujours à sentir le fumet corporel des femmes et quand mon nez est bien affuté, je peux apprécier celles qui ont leurs règles.
Pour moi la femme m’impose sa puissance: Sang, Sexe, Amour, Vie.
Aujourd’hui, sentir le corps de mon amoureuse Bérénice me procure du plaisir. Son sexe exhale un parfum qui stimule mon désir. J’aime lorsqu’elle est à mes côtés sur notre divan gris du petit salon, je me rapproche et ma main posée sur elle, j’écarte mon pouce et mon index par une faible pression, elle sait ce je veux et ouvre le compas de ses cuisses. Cette obéissance est déjà l’amorce de mon plaisir. Je peux alors me pencher vers son entrejambe et suivant le vêtement qu’elle porte, pantalon, robe, être au plus prés et sentir son odeur femelle. Lorsqu’elle port une jupe, elle est accessible et je peux effleurer sa culotte, parfois passer un doigt entre le tissus et sa chair et ses poils. C’est elle qui décide de la suite. Pour des amants c’est un équilibre délicat que de savoir être juste au dessus de la passivité sans être déjà dans la contrainte.
Prochain texte
Les sens - la vue.
A suivre
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