Histoire de famille.

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire de famille.
C’est la troisième fois que l’Éléonore me reçoit chez sa copine Maude. Sitôt la porte verrouillée, elle se sépare de son chemiser. Se promène quelques instants, lascive, ses talons claquant sur le parquet. La vue de ce corps merveilleux, seins nus, de ses jambes dont le contre-jour me révélait les formes sous la jupe. Elle se rapproche, s’agenouille devant moi. Ses seins posent maintenant sur mes genoux, elle me caresse les cuisses.
-T’aimerais entendre une confession ?
-Je ne dis pas non.
-C’était il y a longtemps, je devais ramener mon neveu chez lui, après un séjour chez nous. Comme d’habitude j’ai choisi la voiture. Détestant le train. Un peu près neuf cents kilomètres à parcourir. Au bout de plusieurs kilomètres, je décide de faire une halte. De prendre une chambre dans un hôtel. Je mets au parfum Christian, non neveu.
-Tu fais bien ce que tu as envie, tata !
-Ça ne t'ennuie pas ?
-Si tu penses que c’est plus raisonnable, pourquoi pas. Je ne suis pas à un jour près, tata.
Le compteur kilométrique indique 467 kilomètres parcourut, quand je gare la voiture sur le parking de l’hôtel. Après un dîner, parfaitement réfléchi pour faire plaisir à mon neveu, nous sommes montés dans la chambre.
La lampe de chevet diffuse une lumière tamisée qui laisse la pièce dans la pénombre. Suite à une bonne douche, je m’approche du lit où dort Christian. Il se repose, alors je me plante devant le grand miroir et laisse mon peignoir tomber à mes pieds. Je me contemple comme à chaque fois dans le miroir. Une manie chez-moi !
Elle s’interrompt quelques instants pour me proposer de prendre un verre.
-Non merci Eléonore, je suis impatient de connaître la suite.
-Comme tu veux. Mais voilà que mon trouble parvient à son comble lorsque j’aperçois, dans le reflet du miroir, d’apercevoir mon neveu que je pensais endormi en train de tourner sa tête vers moi. Le coquin fixe mon cul. Mais quand je me retourne, le chenapan ferme ses yeux. Alors je prends la décision de m’approcher de lui, assez pour me pencher sur sa personne. Et là, je ne sais pourquoi je rabats le drap, dévoilant son corps uniquement vêtu d’un T-shirt. Je ne te cache pas que j’étais déjà à cette époque en manque de sexe !
Je contemple sans modérément le corps qui se trouve devant mes rétines. Son physique a comme quelque chose de désarmant. La peau claire de ses minces cuisses est lisse, seuls quelques poils clairsemés entourent la base de son pénis en érection.
Doucement, je relève le haut. Découvrant son ventre plat et ses hanches aussi étroites que celles d’une gamine. Je me penche au-dessus du pubis. Et là, je ne sais pourquoi, pris d’une folle pulsion, je dépose un baiser sur le nombril. Et dans l’élan, toujours sans réfléchir, j’embrasse la queue, des couilles jusqu’au gland.
Le neveu bouge, tout en gardant les yeux fermés. Il écarte un peu les cuisses, exhibant ses petites couilles et la naissance de sa raie. Je suis comme envoûter par l’excitation. Qui me fait faire n’importe quoi. Comme à recommencer à l’embrasser. De passer ma langue le long de sa verge qui se met, à se détendre. La verge gonfle et prend très vite du volume. Le gland rouge sort du prépuce. Je suis dans l’incapacité de me ressaisir. Alors je me m’autorise à lui sucer ses couilles, doucement. J’entends le neveu gémir faiblement, et je comprends par expérience qu’il est prêt à conclure. Pas le temps de faire un geste que déjà je prends une bonne giclée en pleine face.
Là, il ouvre les yeux. Il a un regard que je ne lui connaissais pas. Il fixe ma fourche tout en se branlant. Dans l’incapacité de me défaire de cette drôle de relation, voilà que je glisse ma main droite entre mes cuisses et me caresse jusqu’à la jouissance, devant les yeux témoins de mon neveu.
Christian jouit pour la seconde fois. Peut-être honteux de ce qui vient de se produire, le voilà qui se retourne dans le lit, m’offrant ainsi son dos. Pour ma part, je glisse dans mon lit. J’ai eu du mal à trouver le sommeil.
Dès le lendemain, je fais mon possible pour lui en donner le maximum de mon intimité. Le pousser ainsi à consommer. Mais rien n’y fait ! C’est seulement, lors de notre départ de la chambre. Alors que je m’agenouille pour me saisir de mon sac, que mon regard tombe sur le pantalon du gamin déformé par la taille croissante de son sexe.
Sous son regard, je me mets à me caresser la gorge, à l’aide de mes doigts. Je les fais descendre, lentement mais surement vers la naissance de ma poitrine. Mes seins sont à peine englobés dans une robe sexy et mon soutien-gorge de dentelle blanc dépassant de mon décolleté généreux. Éprouvé par ma soif sexuelle, sans me soucier des retombées, je dirige la même main vers la sa virilité et le libère de sa prison.
De mes yeux, je caresse son membre avec convoitise. Incapable de me contenir, j’empoigne d’un coup l’objet de ma convoitise, en le pressant doucement. Je l’avance de ma bouche. En parfaite experte dans le domaine, je lèche d’abord la peau fine en remontant doucement, goûtant chaque parcelle de ce pénis prêt à cracher son jus. Je continue ma douceur buccale en prenant ses couilles dans ma bouche et en jouant de ma langue sur ses bourses pleines du neveu, qui gémit sous l’exquise torture. Massant, pressant, caressant de mes lèvres sa virilité. Je le suce gloutonnement jusqu’à sentir sa jouissance me remplir la bouche.
Loin d’être assouvie, voilà que je le délaisse quelques instants, le temps pour moi de faire glisser ma robe à mes pieds et je me retrouve très vite en petite tenue. Je ne sais pourquoi, je détache mes bas et les fais rouler l’un après l’autre sous le regard fou du neveu. Puis je me sépare de mon soutien-gorge, le laissant tomber à mes pieds nus, et m’installe en écartant les jambes sur le ventre de Christian où je me masturbe sensuellement devant son regard ahuri. Je ne peux vraiment pas me résoudre à me mener jusqu’à l’orgasme. Je veux voir son sperme giclé de son méat.
Ébranlée de spasmes et gémissant, je m’abaisse sur lui. Prend place à califourchon sur ses jambes. Je place son pénis dans le chaud sillon de ma poitrine. Je le masse entre mes seins avec sensualité. Mes yeux toujours rivés aux siens, je lui demande si il veut que je continu mon massage, ou alors, autre chose de moi.
-Ta bouche, tata !
Je suis un peu déçu sur le coup. Je m’attendais qu’il me dise de le dépuceler, mais non, voilà qu’il veut que je le reprenne dans la cavité chaude de ma bouche. Alors je reprends une nouvelle fellation. Le pompant, le lapant avec ardeur pendant de longues minutes, je masse et pèse de mes paumes.
Résultat, sa queue gicle une fois encore, sa jouissance dans ma bouche. Christian, pour mon plus grand plaisir, extériorise son plaisir. Avec tout ça, il est temps pour nous de reprendre la route.
Tout le long du trajet, je ne peux me retirer de ma mémoire tout ce qui s’est passé entre le neveu et moi. Et pas un moment, j’ai senti un sentiment de malaise chez moi. Comme quoi l’excitation est plus forte que la moralité, enfin je parle pour moi !
Mon seul regret à cet instant, c’est de n’avoir pas pu dépuceler mon neveu. Enfin, c’est ce que je pensais sur le moment. Avant que mon frère me demande s’il ne serait pas plus sage pour moi, que je reprenne la route le lendemain, tout ça encouragé par mon neveu. Il ne m’en faut pas plus pour accepter son invitation de passer la nuit chez. Il a même été surpris de ma réponse positive. Moi qui a l’accoutumée fuit le lieu, pour m’arrêter quelques kilomètres plus tard dans un hôtel.
Après le dîner je suis consciente qu’il va se passer quelque chose, durant cette nuit. Je suis là dans mon lit, attendant, mais quoi au juste ? Je ne le sais même pas, moi. Néanmoins, mon regard se fixe sur la porte. Mais voilà qu’elle s’entrouvre. Non, je ne rêve pas, c’est réelle, elle s’entrouvre. À moins que ce soit mon imagination qui me joue des tours. Mais non, c’est vraiment la silhouette de mon neveu qui se matérialise devant moi.
Je n’y croyais plus à vrai dire. Malgré son encouragement pour que je passe la nuit chez lui. Il ne manque vraiment pas d’aplomb ce morveux ! Et tant mieux pour moi. À croire que je lui ai donné beaucoup de plaisir. Et qu’il en veut encore. Le souffle coupé par la situation, j’ouvre la bouche cherchant de l’air. Une langue s’y introduisit avec force et cherche la mienne. Je n’aurais jamais pensé ça de lui !
Je ne peux que gémir quand sa main vient s’aventurer sur ma toison. Le coquin ne se prive pas de fourrer en moi un doigt. Je gémis de plus belle. Je sens ma moule suintée et mon bassin se soulève à chaque mouvement du doigt. Soudain, la pression est intenable. Elle me parcoure tout mon corps. Comme une brûlure, me secouant de spasmes violents. Encouragé par mon inaction, le voilà qui ose, oui, il ose d’enfoncer pleinement son membre tendu dans ma chatte. Me faisant beugler à chacun de ses mouvements.
-Je vais te faire jouir, tata ! Me chuchote-t-il à l’oreille ?
Je presse mon sexe sur sa queue, j’étouffe mes gémissements, jouis, alors qu’il explose en moi dans un délire de mots sans sens, se vide de toute sa jouissance.
Après quelques instants, je me redresse, encore haletante, et lui souris, auquel il répond par un baiser d’abord timide puis profond. L’année suivante, il est venu de nouveau passer les vacances chez nous. Et je peux te dire que ça a été un séjour mémorable. Alors ? Me fait-elle.
-Plutôt bandante ton aventure. Elle me rappelle la mienne.
-Avec ta nièce ?
-Non… Avec ma tata…
-Je veux entendre cela…
-Mais avant j’ai une envie folle de jouir.
-Je devine ! Moi aussi ! Me fait-elle, en se déshabillant.
-Branlons-nous alors !
-Oui, c’est ça… branlons-nous… jusqu’à en mourir !
Je ne peux m’empêcher de me saisir ma verge, et commence à la masturber doucement. Devant mon œil, la cochonne se masse les seins dont les pointes dardent avec insolence vers moi. Puis elle laisse courir ses mains sur ses flancs, retrousse sa jupe, pour glisser ses doigts sur son ventre pour descendre vers l’entrecuisse qu’elle caresse d’une caresse légère.
Lentement, elle se frotte le clitoris tandis que son autre main caresse doucement la courbe parfaite de son sein, avant de pincer délicatement le téton qui bande sous l’effet de la caresse et de l’excitation. Je suis subjugué, comme toujours, par cette vision de femme en train de se caresser.
Ma propre main accélère son mouvement de branle. Elle s’approche de moi. J’en profite pour me saisir de sa main pour qu’elle prenne la place de la mienne. Tout doucement, elle se met à me branler.
Je ne peux me retenir. Son récit, additionné à sa caresse, ont eu raison de moi. J’éjacule violemment, projetant du sperme sur mon torse, mon ventre et maculant les doigts de ma branleuse. Je gémis, puis confus m’excuse. Elle les accepte.
-T’aurais pu tout de même te retenir !
Je ne débande pas pour autant. Sans lâcher la verge, elle m’enjambe. Puis elle redresse la tige bien dure pour la présenter à l’entrée de son sexe qui mouille abondamment et lentement. Elle s’empale dessus, le fait coulisser jusqu’au fond de son vagin avec facilité, les sécrétions de nos sexes rendant la pénétration onctueuse à souhait.
Je grogne de contentement. À genoux, elle monte et descend. Je sens ma verge enserrée par ce chaud fourreau. Je me mets à caresser les seins qui oscillent au rythme de son baisage. Je m’amuse même à agacer les bouts qui se dressent fièrement.
Son corps se tend, avant de se mettre à trembler des pieds à la tête. Les parois de sa chatte se serrent et s’ouvrent convulsivement sur mon sexe.
Des mots obscènes sortent de sa bouche. Je sens son jus me couler sur ma verge puis sur mes couilles.
Prenant à deux mains les hanches de ma cavalière, je lui impose un rythme plus rapide. Mon corps est parcouru de secousses violentes comme des décharges électriques alors que je déverse mon plaisir dans le sexe d’Eléonore. Qui elle, est submerge par un deuxième orgasme. Suite à cela elle s’affale sur ma poitrine alors que je reprends mon souffle.
Pour me remercier, elle pose ses lèvres sur les miennes, et nous échangeons un long baiser d’amant.
-Je t’écoute à présent me fait-elle. Je veux t’entendre me raconter ta relation avec ta chère tata!
-T’aimerais entendre une confession ?
-Je ne dis pas non.
-C’était il y a longtemps, je devais ramener mon neveu chez lui, après un séjour chez nous. Comme d’habitude j’ai choisi la voiture. Détestant le train. Un peu près neuf cents kilomètres à parcourir. Au bout de plusieurs kilomètres, je décide de faire une halte. De prendre une chambre dans un hôtel. Je mets au parfum Christian, non neveu.
-Tu fais bien ce que tu as envie, tata !
-Ça ne t'ennuie pas ?
-Si tu penses que c’est plus raisonnable, pourquoi pas. Je ne suis pas à un jour près, tata.
Le compteur kilométrique indique 467 kilomètres parcourut, quand je gare la voiture sur le parking de l’hôtel. Après un dîner, parfaitement réfléchi pour faire plaisir à mon neveu, nous sommes montés dans la chambre.
La lampe de chevet diffuse une lumière tamisée qui laisse la pièce dans la pénombre. Suite à une bonne douche, je m’approche du lit où dort Christian. Il se repose, alors je me plante devant le grand miroir et laisse mon peignoir tomber à mes pieds. Je me contemple comme à chaque fois dans le miroir. Une manie chez-moi !
Elle s’interrompt quelques instants pour me proposer de prendre un verre.
-Non merci Eléonore, je suis impatient de connaître la suite.
-Comme tu veux. Mais voilà que mon trouble parvient à son comble lorsque j’aperçois, dans le reflet du miroir, d’apercevoir mon neveu que je pensais endormi en train de tourner sa tête vers moi. Le coquin fixe mon cul. Mais quand je me retourne, le chenapan ferme ses yeux. Alors je prends la décision de m’approcher de lui, assez pour me pencher sur sa personne. Et là, je ne sais pourquoi je rabats le drap, dévoilant son corps uniquement vêtu d’un T-shirt. Je ne te cache pas que j’étais déjà à cette époque en manque de sexe !
Je contemple sans modérément le corps qui se trouve devant mes rétines. Son physique a comme quelque chose de désarmant. La peau claire de ses minces cuisses est lisse, seuls quelques poils clairsemés entourent la base de son pénis en érection.
Doucement, je relève le haut. Découvrant son ventre plat et ses hanches aussi étroites que celles d’une gamine. Je me penche au-dessus du pubis. Et là, je ne sais pourquoi, pris d’une folle pulsion, je dépose un baiser sur le nombril. Et dans l’élan, toujours sans réfléchir, j’embrasse la queue, des couilles jusqu’au gland.
Le neveu bouge, tout en gardant les yeux fermés. Il écarte un peu les cuisses, exhibant ses petites couilles et la naissance de sa raie. Je suis comme envoûter par l’excitation. Qui me fait faire n’importe quoi. Comme à recommencer à l’embrasser. De passer ma langue le long de sa verge qui se met, à se détendre. La verge gonfle et prend très vite du volume. Le gland rouge sort du prépuce. Je suis dans l’incapacité de me ressaisir. Alors je me m’autorise à lui sucer ses couilles, doucement. J’entends le neveu gémir faiblement, et je comprends par expérience qu’il est prêt à conclure. Pas le temps de faire un geste que déjà je prends une bonne giclée en pleine face.
Là, il ouvre les yeux. Il a un regard que je ne lui connaissais pas. Il fixe ma fourche tout en se branlant. Dans l’incapacité de me défaire de cette drôle de relation, voilà que je glisse ma main droite entre mes cuisses et me caresse jusqu’à la jouissance, devant les yeux témoins de mon neveu.
Christian jouit pour la seconde fois. Peut-être honteux de ce qui vient de se produire, le voilà qui se retourne dans le lit, m’offrant ainsi son dos. Pour ma part, je glisse dans mon lit. J’ai eu du mal à trouver le sommeil.
Dès le lendemain, je fais mon possible pour lui en donner le maximum de mon intimité. Le pousser ainsi à consommer. Mais rien n’y fait ! C’est seulement, lors de notre départ de la chambre. Alors que je m’agenouille pour me saisir de mon sac, que mon regard tombe sur le pantalon du gamin déformé par la taille croissante de son sexe.
Sous son regard, je me mets à me caresser la gorge, à l’aide de mes doigts. Je les fais descendre, lentement mais surement vers la naissance de ma poitrine. Mes seins sont à peine englobés dans une robe sexy et mon soutien-gorge de dentelle blanc dépassant de mon décolleté généreux. Éprouvé par ma soif sexuelle, sans me soucier des retombées, je dirige la même main vers la sa virilité et le libère de sa prison.
De mes yeux, je caresse son membre avec convoitise. Incapable de me contenir, j’empoigne d’un coup l’objet de ma convoitise, en le pressant doucement. Je l’avance de ma bouche. En parfaite experte dans le domaine, je lèche d’abord la peau fine en remontant doucement, goûtant chaque parcelle de ce pénis prêt à cracher son jus. Je continue ma douceur buccale en prenant ses couilles dans ma bouche et en jouant de ma langue sur ses bourses pleines du neveu, qui gémit sous l’exquise torture. Massant, pressant, caressant de mes lèvres sa virilité. Je le suce gloutonnement jusqu’à sentir sa jouissance me remplir la bouche.
Loin d’être assouvie, voilà que je le délaisse quelques instants, le temps pour moi de faire glisser ma robe à mes pieds et je me retrouve très vite en petite tenue. Je ne sais pourquoi, je détache mes bas et les fais rouler l’un après l’autre sous le regard fou du neveu. Puis je me sépare de mon soutien-gorge, le laissant tomber à mes pieds nus, et m’installe en écartant les jambes sur le ventre de Christian où je me masturbe sensuellement devant son regard ahuri. Je ne peux vraiment pas me résoudre à me mener jusqu’à l’orgasme. Je veux voir son sperme giclé de son méat.
Ébranlée de spasmes et gémissant, je m’abaisse sur lui. Prend place à califourchon sur ses jambes. Je place son pénis dans le chaud sillon de ma poitrine. Je le masse entre mes seins avec sensualité. Mes yeux toujours rivés aux siens, je lui demande si il veut que je continu mon massage, ou alors, autre chose de moi.
-Ta bouche, tata !
Je suis un peu déçu sur le coup. Je m’attendais qu’il me dise de le dépuceler, mais non, voilà qu’il veut que je le reprenne dans la cavité chaude de ma bouche. Alors je reprends une nouvelle fellation. Le pompant, le lapant avec ardeur pendant de longues minutes, je masse et pèse de mes paumes.
Résultat, sa queue gicle une fois encore, sa jouissance dans ma bouche. Christian, pour mon plus grand plaisir, extériorise son plaisir. Avec tout ça, il est temps pour nous de reprendre la route.
Tout le long du trajet, je ne peux me retirer de ma mémoire tout ce qui s’est passé entre le neveu et moi. Et pas un moment, j’ai senti un sentiment de malaise chez moi. Comme quoi l’excitation est plus forte que la moralité, enfin je parle pour moi !
Mon seul regret à cet instant, c’est de n’avoir pas pu dépuceler mon neveu. Enfin, c’est ce que je pensais sur le moment. Avant que mon frère me demande s’il ne serait pas plus sage pour moi, que je reprenne la route le lendemain, tout ça encouragé par mon neveu. Il ne m’en faut pas plus pour accepter son invitation de passer la nuit chez. Il a même été surpris de ma réponse positive. Moi qui a l’accoutumée fuit le lieu, pour m’arrêter quelques kilomètres plus tard dans un hôtel.
Après le dîner je suis consciente qu’il va se passer quelque chose, durant cette nuit. Je suis là dans mon lit, attendant, mais quoi au juste ? Je ne le sais même pas, moi. Néanmoins, mon regard se fixe sur la porte. Mais voilà qu’elle s’entrouvre. Non, je ne rêve pas, c’est réelle, elle s’entrouvre. À moins que ce soit mon imagination qui me joue des tours. Mais non, c’est vraiment la silhouette de mon neveu qui se matérialise devant moi.
Je n’y croyais plus à vrai dire. Malgré son encouragement pour que je passe la nuit chez lui. Il ne manque vraiment pas d’aplomb ce morveux ! Et tant mieux pour moi. À croire que je lui ai donné beaucoup de plaisir. Et qu’il en veut encore. Le souffle coupé par la situation, j’ouvre la bouche cherchant de l’air. Une langue s’y introduisit avec force et cherche la mienne. Je n’aurais jamais pensé ça de lui !
Je ne peux que gémir quand sa main vient s’aventurer sur ma toison. Le coquin ne se prive pas de fourrer en moi un doigt. Je gémis de plus belle. Je sens ma moule suintée et mon bassin se soulève à chaque mouvement du doigt. Soudain, la pression est intenable. Elle me parcoure tout mon corps. Comme une brûlure, me secouant de spasmes violents. Encouragé par mon inaction, le voilà qui ose, oui, il ose d’enfoncer pleinement son membre tendu dans ma chatte. Me faisant beugler à chacun de ses mouvements.
-Je vais te faire jouir, tata ! Me chuchote-t-il à l’oreille ?
Je presse mon sexe sur sa queue, j’étouffe mes gémissements, jouis, alors qu’il explose en moi dans un délire de mots sans sens, se vide de toute sa jouissance.
Après quelques instants, je me redresse, encore haletante, et lui souris, auquel il répond par un baiser d’abord timide puis profond. L’année suivante, il est venu de nouveau passer les vacances chez nous. Et je peux te dire que ça a été un séjour mémorable. Alors ? Me fait-elle.
-Plutôt bandante ton aventure. Elle me rappelle la mienne.
-Avec ta nièce ?
-Non… Avec ma tata…
-Je veux entendre cela…
-Mais avant j’ai une envie folle de jouir.
-Je devine ! Moi aussi ! Me fait-elle, en se déshabillant.
-Branlons-nous alors !
-Oui, c’est ça… branlons-nous… jusqu’à en mourir !
Je ne peux m’empêcher de me saisir ma verge, et commence à la masturber doucement. Devant mon œil, la cochonne se masse les seins dont les pointes dardent avec insolence vers moi. Puis elle laisse courir ses mains sur ses flancs, retrousse sa jupe, pour glisser ses doigts sur son ventre pour descendre vers l’entrecuisse qu’elle caresse d’une caresse légère.
Lentement, elle se frotte le clitoris tandis que son autre main caresse doucement la courbe parfaite de son sein, avant de pincer délicatement le téton qui bande sous l’effet de la caresse et de l’excitation. Je suis subjugué, comme toujours, par cette vision de femme en train de se caresser.
Ma propre main accélère son mouvement de branle. Elle s’approche de moi. J’en profite pour me saisir de sa main pour qu’elle prenne la place de la mienne. Tout doucement, elle se met à me branler.
Je ne peux me retenir. Son récit, additionné à sa caresse, ont eu raison de moi. J’éjacule violemment, projetant du sperme sur mon torse, mon ventre et maculant les doigts de ma branleuse. Je gémis, puis confus m’excuse. Elle les accepte.
-T’aurais pu tout de même te retenir !
Je ne débande pas pour autant. Sans lâcher la verge, elle m’enjambe. Puis elle redresse la tige bien dure pour la présenter à l’entrée de son sexe qui mouille abondamment et lentement. Elle s’empale dessus, le fait coulisser jusqu’au fond de son vagin avec facilité, les sécrétions de nos sexes rendant la pénétration onctueuse à souhait.
Je grogne de contentement. À genoux, elle monte et descend. Je sens ma verge enserrée par ce chaud fourreau. Je me mets à caresser les seins qui oscillent au rythme de son baisage. Je m’amuse même à agacer les bouts qui se dressent fièrement.
Son corps se tend, avant de se mettre à trembler des pieds à la tête. Les parois de sa chatte se serrent et s’ouvrent convulsivement sur mon sexe.
Des mots obscènes sortent de sa bouche. Je sens son jus me couler sur ma verge puis sur mes couilles.
Prenant à deux mains les hanches de ma cavalière, je lui impose un rythme plus rapide. Mon corps est parcouru de secousses violentes comme des décharges électriques alors que je déverse mon plaisir dans le sexe d’Eléonore. Qui elle, est submerge par un deuxième orgasme. Suite à cela elle s’affale sur ma poitrine alors que je reprends mon souffle.
Pour me remercier, elle pose ses lèvres sur les miennes, et nous échangeons un long baiser d’amant.
-Je t’écoute à présent me fait-elle. Je veux t’entendre me raconter ta relation avec ta chère tata!
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Beau texte, une partie inceste mais si bien racontée.

