Histoire de fantômes au Château – (suite de l'épisode N°745)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Histoire de fantômes au Château – (suite de l'épisode N°745)
Histoire de fantômes au Château – (suite de l'épisode N°745) -
Monsieur le Marquis Edouard d’Evans lève les yeux et fait le point de la situation. Ce récit où Clara devient soumise à son aïeul ainsi que son dépucelage lui en apprend un peu plus sur les conditions de soumission des deux femmes. Puis il repense à toutes les incroyables révélations qu’il a obtenues tantôt, des deux femmes-fantômes concernant la prophétie de son arrière-grand-père. Ce qui l’interroge le plus, ce sont les derniers mots de son ancêtre avant de passer à trépas :
‘‘… Je fais le serment que … que seul, si un Evans remet un jour vos colliers cachés dans une malle au grenier… si un Evans les remet à vos cous… lors d’une de vos apparitions, je reviendrais vous soumettre à Mes pieds … je ne sais pas pourquoi, mais je le sais… je sais que cela sera ainsi …’’
Première interrogation qui lui passe en tête, c’est pourquoi son aïeul avait caché les 2 colliers dans une malle au grenier sachant que le Maître des lieux de l’époque n’avait rien à cacher au sein même du Château ! Ensuite la deuxième chose, c’est pourquoi Louis-Alexandre d’Evans a dit une prédilection mais sans savoir lui-même pourquoi il a dit cela, juste avant de décédé : ‘‘… je ne sais pas pourquoi, mais je le sais… je sais que cela sera ainsi …’’. Une troisième interrogation turlupine le Châtelain, pour laquelle il allait avoir une explication quand les deux fantômes ont disparus, explication sur son aïeul qui reviendrait, certainement sous la forme d’un fantôme également, mais uniquement lors d’une nuit de pleine lune… Et pour cela, il devait aller sur sa tombe dans le caveau familial derrière la petite Chapelle du Château … ’’… A ce moment de l’histoire, le Marquis Edouard d’Evans ne peut apporter des réponses concrètes … Alors, le premier réflexe du Noble est de regarder sur son bureau, le grand calendrier plastifié et servant de sous-mains, pour découvrir quand sera la prochaine nuit de pleine lune. Il apprend ainsi qu’elle démarre dans 3 nuits soit environ dans les 72 prochaines heures … Ensuite il repense au lieu précis du caveau familial où sont enterrés tous les Marquis du Château depuis 1925. En fait, ce n’est pas un caveau à proprement parler, mais plutôt une crypte dont l’accès est situé derrière la petite Chapelle au fond du parc, c’est-à-dire par une large grille extérieure, fermée par une lourde chaîne cadenassée. Cette grille est positionnée en bas de larges escaliers de pierre et s’enfonçant sous terre. Derrière cette grille un long et large couloir mène à ladite crypte… C’est un lieu où il se rend seulement quelques fois dans l’année, comme par exemple pour la Toussaints où suite à une cérémonie religieuse et annuelle à la Chapelle, il va se recueillir dessous celle-ci, dans la crypte, devant les caveaux disposés côte à côte. Pour chaque caveau, une lourde porte et derrière chacune d’elle, plusieurs Marquis reposent selon les périodes. Il sait donc parfaitement quel est le caveau exact et donc où se trouve le cercueil de Louis-Alexandre d’Evans…
Les trois jours sont passés sans aucunes autres apparitions ne se soient manifestées. Monsieur le Marquis Edouard d’Evans a essayé de passer ces trois journées via ses occupations habituelles mais aussi en lisant chaque soir plusieurs autres récits, tous aussi croustillants en Domination/soumission les uns que les autres, contenus dans le journal intime de la comtesse du Dranier. Dans sa lecture, il est maintenant arrivé au premier novembre 1914, jour de la Toussaints… Mais pour l’heure, c’est enfin la soirée qui précède sa visite au caveau de son aïeul dans la crypte de la Chapelle. Le Noble est bien décidé à aller voir à minuit précis, s’il se passe quelque chose, si son feu ancêtre va apparaitre ! Mais en attendant que les douze coups sonnent et afin de soulager sa patience, il se replonge de nouveau à sa lecture :
‘‘Premier novembre 1914, c’est le jour de la Toussaints. Mon mari n’a pas pu obtenir une permission pour l’occasion, il est toujours à la guerre depuis trois mois qu’elle a débuté. Après les longues vêpres à l’église et la procession jusqu’au cimetière du village dans d’interminables prières en latin, je me rends enfin, avec Clara, au Château, obéissant ainsi à l’exigence du Maître, qui a exigé de nous avoir à Ses pieds en ce jour de Toussaints. Sortant du cimetière, nous sommes toujours habillées toutes en noir de la tête aux pieds, afin de marquer ce jour en mémoire de nos défunts et de ne pas éveiller les regards des bigotes de bénitiers du village. Mais ce que celles-ci ne savent pas, c’est notre totale nudité sous nos sombres et longues robes noires… Quand nous sommes arrivées dans la cour intérieure du Château à l’abri des regards extérieurs de la Propriété, nous nous dénudons comme à l’accoutumé, laissant nos robes sous un petit abri tuilé et prévu à cet effet, abri ressemblant à une large guérite et placé juste contre le mur intérieur de la grille du Château. Une véritable agitation dans la cour montre combien on s’active. Des esclaves nus portent des victuailles et denrées de toutes sortes en direction de la Bâtisse. Clara et moi, nous suivons quelques esclaves en direction du Château et à peine entrées dans le grand hall, en quadrupédie comme cela est toujours exigé par le Maître, nous voyons des présences auxquelles nous ne nous attendions pas ! En effet, sur le côté gauche, une bonne dizaine de soldats français, en uniforme et en permission revenant du front, se trouvent tout autour de Monsieur le Marquis Louis-Alexandre… Au centre de ce grand hall d’entrée, ont été installées deux roues à l’horizontal posées sur un petit axe vertical. Des courtes cordes pendent ci-et-là sur chacune des roues et on peut apercevoir des lanières en cuir...
- Ah, voici mes deux chiennes que je vous ai parlées ! … Mon vieil ami, le colonel Bigardon, vous a signé votre permission, à vous les 10 soldats célibataires de son unité, et il vous a envoyé ici au Château afin de vous récompenser de vos valeureux actes d’héroïsme face à l’ennemi, avant que demain vous alliez rejoindre vos familles. Il me demande de vous apporter le plaisir de la chair puisque vous n’avez pas touché à une femme depuis le début de ce tragique conflit et que vous ne trouverez pas de femme dans vos foyers. Ces deux chiennes sont donc à votre disposition, usez et abusez de leurs orifices à volonté, prenez du plaisir tant que vous pourrez car quand vous serez de nouveau sur le front, à la guerre d’ici 96 heures en retour de permission, vous n’aurez plus l’occasion de forniquer, alors ne vous gênez pas ! Je vais vous les approcher ! dit le Maître heureux que Ses chiennes que nous sommes Clara et moi, puissent servir de vide-couilles à ces 10 soldats célibataires et certainement en manque de sexe.
S’approchant de nous, le Maître nous entraîne par nos colliers tirés dans chacune de ses mains jusqu'au centre de la pièce et lâchant nos colliers, il frappe dans ses mains, imposant ainsi le silence et suscite la curiosité. Les soldats cessent de commenter leur excitation du moment et d’exprimer cette chance de pouvoir se soulager en marquant un silence respectueux à la frappe des mains de Monsieur le Marquis Louis-Alexandre. Ils font cercle autour de nous deux agenouillées... Afin de faire honneur au Maître, je me redresse le buste et expose ma lourde et belle poitrine, écartant juste assez les cuisses pour que l'on devine encore mieux mon intimité que je puisse exhiber. Clara fait de même, m’imitant car je lui sers encore de modèle à faire les bons gestes. Instinctivement, comme moi, elle joint ses mains dans le dos, mais assez haut pour que ceux qui sont derrière ne ratent rien de sa croupe ronde et parfaite, comme de la mienne. Un frisson semble parcourir l'attroupement et (tandis que quelques commentaires sont chuchotés) Maître s'aidant de la laisse qu’il sort de sa poche et installe au collier de Clara, lui fait faire un tour à 360 degrés. Clara suit docilement le mouvement, afin que nul ne puisse en ignorer de sa splendide anatomie. Puis il fait de même avec moi, me faisant pivoter sur moi-même, également.
- Elles sont à Vous ... Et de leur corps, ce soir, je gage que rien ne vous en sera plus inconnu. Je vous les abandonne un moment, pour que vous ... fassiez connaissance ... et puis, j'ai idée d'un jeu qui vous divertira sans doute et permettra à ces bonnes catins d'exprimer leurs plus bas et luxurieux instincts, une fois que vous les aurez bien pénétrées à même ce carrelage…
Le Maître nous quitte un moment et plusieurs mains palpent vicieusement maintenant chaque parcelle de nos deux corps... Sans violence, mais avec insistance, des mains, des doigts, s'insinuent sur nous et en nous... A l’évidence, ces hommes sont en manque … On nous presse, on nous pince, on nous doigte, on nous pelote, puis on se déshabille, les soldats se retrouvant rapidement nus, continuent leurs vicieux attouchements ... Mais nulle agressivité, nulle précipitation malgré leur appétit de pouvoir enfin toucher à des femmes mises à leur disposition... Tout se passe avec douceur, chacun agissant à son tour ... et peu à peu Clara toujours à genoux, voit un sexe dressé forçant ses lèvres, des mains caressent sa nuque, la presse... Elle avale et suce, puis la queue se retire, immédiatement suivie d'une autre... elle sent des sexes masculins qui frottent son front, giflent ses joues ... une autre bite s'enfonce dans sa gorge ... On étire ses tétons, on palpe ses nichons ... et les queues succèdent aux queues qui vont et viennent dans sa bouche et dans la mienne aussi car je suis, aussi à l’identique, investie de mille sollicitations à sucer, à prendre en bouche, à lécher également ces gros sexes qui passent de la bouche à Clara à la mienne et réciproquement, jusqu’à qu’ils s'épanchent profondément dans nos gorges pour certains d’entre eux ...
Nous sommes nourries de la semence des quelques hommes qui n’ont pas pu se retenir... Puis, on nous bascule à quatre pattes sur le carrelage... tandis qu'un soldat, debout, force de nouveau son gland entre les lèvres de Clara, je sens qu'on m’écarte les fesses et, sur-le-champ, on force ma rosette tandis qu’une autre verge se présente aussi à ma bouche... Ainsi, allant et venant, je suis comme embrochée par ces deux sexes qui me labourent longuement, avant que de céder la place à d'autres. Je vois Clara dans la même situation, deux sexes en elle, se faire copieusement ramoner. Sa bouche ne désemplit pas, tandis qu'alternativement, les autres emplissent son con et son cul, comme sur moi également... Mais quels plaisirs de se sentir ainsi possédées, bien remplies, bien baisées … Etourdies, presque enivrées, on ne sait combien d'hommes nous ont ainsi alternativement pénétrées, possédées, défoncées, je suppose que ce sont tous ! les dix soldats ! ... Nos culs, nos sexes et nos bouches sont emplis du plaisir de ces soldats qui, sans violence, nous ont baisées comme de vulgaires objets de plaisirs ... sans jamais nous parler, sans jamais aucune marque d'un quelconque intérêt, sinon celui de s'enfoncer en nous et d'en jouir ... Quant à nous ... certes, nous avons parfois joui ... mais notre plus grand plaisir a été juste de savoir que ce que nous avons subi a apporté pleine satisfaction au Maître ... Nous avons senti nos corps vibrer, trembler, on en a parfois perdu le contrôle dans une sorte de jouissance hypnotique, l'esprit empli de la certitude que c'est le Maître et Lui seul qui nous offrait ce plaisir, puisque c'est par Sa Volonté que nous sommes là ... Puis, le Maître revient accompagné de deux grands esclaves noirs.
- Messieurs, s’il vous plait, écoutez-moi … Veuillez suivre attentivement ce que nous allons faire car ces délicieuses créatures vont encore vous procurer de nombreux plaisirs, et donc je vous propose un jeu qui ne rendra leurs charmes que plus désirables ...
Les deux esclaves noirs, entièrement nus, nous mènent au centre du hall d’entrée et nous installent chacune sur une des roues horizontales, nous attachent aux courtes cordes et écartèlent nos cuisses largement ouvertes ainsi... nos chevilles et poignets sont placés dans des gaines, lanières de cuir, fixées aux rayons de la roue. Tous entourent l'étrange mécanisme de ces deux roues, fixées sur un axe bas, peut être maniée par une poignée qui prolonge le rayon situé pile entre nos cuisses emprisonnées sur la roue pour chacune … D'une main, j’ai vite compris qu’on peut ainsi faire tourner la roue plus ou moins rapidement ... Au sol, un large cercle un peu plus large que la roue est tracé sur un tapis ... Il est partagé en plusieurs portions chacune marquées d'un petit dessin très explicite : Paire de fesses, seins, fouet, con, sexe mâle urinant, pieds et plusieurs autres ...
- A tour de rôle, vous ferez ainsi tourner la roue pour chacune d’elles, explique le Maître, et nous verrons sur quelle portion au sol s'arrête le rayon qui dépasse... et celui qui aura fait tourner cette roue disposera de la catin selon le dessin ainsi désigné ... Alors chers soldats, à chacun son tour et que la fête commence !" lance Monsieur le Marquis suivit des applaudissements nourris de l’approbation générale des soldats excités ...
Et la roue de Clara se met à tourner en premier, chacun des soldats lui impulsant un mouvement à tour de rôle et accomplissant sur Clara ce que le dessin lui accorde ... Ainsi, durant des heures, Clara et moi tournons follement, perdant conscience du temps et de l'ordre des choses ... Parfois on nous arrache à la roue pour être baisées, compissées, flagellées, pincées et tant d'autres choses... Puis on nous rattache à la roue qui se remet à tourner pour le suivant et ainsi de suite… Toute la fin d'après-midi, la soirée, la nuit y passent. Des esclaves ont durant la soirée apporter tables, chaises et lits moelleux mais aussi des victuailles, à boire et à manger en abondance... Quelle nuit orgiaque, sublime ! … Au petit matin, tous sont partis ... Le dernier à avoir fait tourner la roue n'est même plus parvenu à bander pour honorer Clara qui lui était livrée et a préféré s'éclipser d’épuisement... Maintenant, épuisées, brisées, emplies de foutre et nos corps endoloris, ivres d'avoir ainsi tournées et tournées encore, nous sommes dans un état second... Comme une ivresse alors que le seul fluide dont nous nous sommes abreuvées était le foutre des soldats… Pourtant, nous tressaillons lorsqu'une main douce se pose sur chacun de nos visages et une larme de bonheur nous échappe lorsqu'une voix s'élève...
- Je suis fier de vous deux, mes chiennes. Je n'ai jamais été loin de vous car je voulais voir comment vous vous comporteriez et je n'ai pas été déçu. Je sais que vous m'appartenez corps et âme, car en étant ainsi offertes, ce n'est qu'à Moi que vous vous êtes données, je le sais, je l'ai vu, dans vos yeux et dans vos corps, nous dit Le Marquis d'Evans avec tendresse dans son timbre de voix. - C'est bien mes chiennes, vous m'avez fait honneur, rajoute-t-il tandis que Clara éperdue de reconnaissance baise, du bout de ses lèvres gercées par les multiples et si nombreuses fellations, la Main du Maître tant aimé qui lui rend un tendre baiser sur son front. Puis je fais de même et son baiser également sur mon front, m’a aussi fait pleurer d’un bonheur inouï …’’
Le Marquis Edouard d’Evans lève la tête, après cette nouvelle lecture se passant le jour de la Toussaints 1914… Il regarde la grosse horloge plus que centenaire quand les 23 coups du carillon sonnent. Il est donc 23 heures, alors il se prépare maintenant à se rendre au caveau de son aïeul, dans la crypte de la Chapelle en cette première nuit de pleine lune …
(A suivre…)
Monsieur le Marquis Edouard d’Evans lève les yeux et fait le point de la situation. Ce récit où Clara devient soumise à son aïeul ainsi que son dépucelage lui en apprend un peu plus sur les conditions de soumission des deux femmes. Puis il repense à toutes les incroyables révélations qu’il a obtenues tantôt, des deux femmes-fantômes concernant la prophétie de son arrière-grand-père. Ce qui l’interroge le plus, ce sont les derniers mots de son ancêtre avant de passer à trépas :
‘‘… Je fais le serment que … que seul, si un Evans remet un jour vos colliers cachés dans une malle au grenier… si un Evans les remet à vos cous… lors d’une de vos apparitions, je reviendrais vous soumettre à Mes pieds … je ne sais pas pourquoi, mais je le sais… je sais que cela sera ainsi …’’
Première interrogation qui lui passe en tête, c’est pourquoi son aïeul avait caché les 2 colliers dans une malle au grenier sachant que le Maître des lieux de l’époque n’avait rien à cacher au sein même du Château ! Ensuite la deuxième chose, c’est pourquoi Louis-Alexandre d’Evans a dit une prédilection mais sans savoir lui-même pourquoi il a dit cela, juste avant de décédé : ‘‘… je ne sais pas pourquoi, mais je le sais… je sais que cela sera ainsi …’’. Une troisième interrogation turlupine le Châtelain, pour laquelle il allait avoir une explication quand les deux fantômes ont disparus, explication sur son aïeul qui reviendrait, certainement sous la forme d’un fantôme également, mais uniquement lors d’une nuit de pleine lune… Et pour cela, il devait aller sur sa tombe dans le caveau familial derrière la petite Chapelle du Château … ’’… A ce moment de l’histoire, le Marquis Edouard d’Evans ne peut apporter des réponses concrètes … Alors, le premier réflexe du Noble est de regarder sur son bureau, le grand calendrier plastifié et servant de sous-mains, pour découvrir quand sera la prochaine nuit de pleine lune. Il apprend ainsi qu’elle démarre dans 3 nuits soit environ dans les 72 prochaines heures … Ensuite il repense au lieu précis du caveau familial où sont enterrés tous les Marquis du Château depuis 1925. En fait, ce n’est pas un caveau à proprement parler, mais plutôt une crypte dont l’accès est situé derrière la petite Chapelle au fond du parc, c’est-à-dire par une large grille extérieure, fermée par une lourde chaîne cadenassée. Cette grille est positionnée en bas de larges escaliers de pierre et s’enfonçant sous terre. Derrière cette grille un long et large couloir mène à ladite crypte… C’est un lieu où il se rend seulement quelques fois dans l’année, comme par exemple pour la Toussaints où suite à une cérémonie religieuse et annuelle à la Chapelle, il va se recueillir dessous celle-ci, dans la crypte, devant les caveaux disposés côte à côte. Pour chaque caveau, une lourde porte et derrière chacune d’elle, plusieurs Marquis reposent selon les périodes. Il sait donc parfaitement quel est le caveau exact et donc où se trouve le cercueil de Louis-Alexandre d’Evans…
Les trois jours sont passés sans aucunes autres apparitions ne se soient manifestées. Monsieur le Marquis Edouard d’Evans a essayé de passer ces trois journées via ses occupations habituelles mais aussi en lisant chaque soir plusieurs autres récits, tous aussi croustillants en Domination/soumission les uns que les autres, contenus dans le journal intime de la comtesse du Dranier. Dans sa lecture, il est maintenant arrivé au premier novembre 1914, jour de la Toussaints… Mais pour l’heure, c’est enfin la soirée qui précède sa visite au caveau de son aïeul dans la crypte de la Chapelle. Le Noble est bien décidé à aller voir à minuit précis, s’il se passe quelque chose, si son feu ancêtre va apparaitre ! Mais en attendant que les douze coups sonnent et afin de soulager sa patience, il se replonge de nouveau à sa lecture :
‘‘Premier novembre 1914, c’est le jour de la Toussaints. Mon mari n’a pas pu obtenir une permission pour l’occasion, il est toujours à la guerre depuis trois mois qu’elle a débuté. Après les longues vêpres à l’église et la procession jusqu’au cimetière du village dans d’interminables prières en latin, je me rends enfin, avec Clara, au Château, obéissant ainsi à l’exigence du Maître, qui a exigé de nous avoir à Ses pieds en ce jour de Toussaints. Sortant du cimetière, nous sommes toujours habillées toutes en noir de la tête aux pieds, afin de marquer ce jour en mémoire de nos défunts et de ne pas éveiller les regards des bigotes de bénitiers du village. Mais ce que celles-ci ne savent pas, c’est notre totale nudité sous nos sombres et longues robes noires… Quand nous sommes arrivées dans la cour intérieure du Château à l’abri des regards extérieurs de la Propriété, nous nous dénudons comme à l’accoutumé, laissant nos robes sous un petit abri tuilé et prévu à cet effet, abri ressemblant à une large guérite et placé juste contre le mur intérieur de la grille du Château. Une véritable agitation dans la cour montre combien on s’active. Des esclaves nus portent des victuailles et denrées de toutes sortes en direction de la Bâtisse. Clara et moi, nous suivons quelques esclaves en direction du Château et à peine entrées dans le grand hall, en quadrupédie comme cela est toujours exigé par le Maître, nous voyons des présences auxquelles nous ne nous attendions pas ! En effet, sur le côté gauche, une bonne dizaine de soldats français, en uniforme et en permission revenant du front, se trouvent tout autour de Monsieur le Marquis Louis-Alexandre… Au centre de ce grand hall d’entrée, ont été installées deux roues à l’horizontal posées sur un petit axe vertical. Des courtes cordes pendent ci-et-là sur chacune des roues et on peut apercevoir des lanières en cuir...
- Ah, voici mes deux chiennes que je vous ai parlées ! … Mon vieil ami, le colonel Bigardon, vous a signé votre permission, à vous les 10 soldats célibataires de son unité, et il vous a envoyé ici au Château afin de vous récompenser de vos valeureux actes d’héroïsme face à l’ennemi, avant que demain vous alliez rejoindre vos familles. Il me demande de vous apporter le plaisir de la chair puisque vous n’avez pas touché à une femme depuis le début de ce tragique conflit et que vous ne trouverez pas de femme dans vos foyers. Ces deux chiennes sont donc à votre disposition, usez et abusez de leurs orifices à volonté, prenez du plaisir tant que vous pourrez car quand vous serez de nouveau sur le front, à la guerre d’ici 96 heures en retour de permission, vous n’aurez plus l’occasion de forniquer, alors ne vous gênez pas ! Je vais vous les approcher ! dit le Maître heureux que Ses chiennes que nous sommes Clara et moi, puissent servir de vide-couilles à ces 10 soldats célibataires et certainement en manque de sexe.
S’approchant de nous, le Maître nous entraîne par nos colliers tirés dans chacune de ses mains jusqu'au centre de la pièce et lâchant nos colliers, il frappe dans ses mains, imposant ainsi le silence et suscite la curiosité. Les soldats cessent de commenter leur excitation du moment et d’exprimer cette chance de pouvoir se soulager en marquant un silence respectueux à la frappe des mains de Monsieur le Marquis Louis-Alexandre. Ils font cercle autour de nous deux agenouillées... Afin de faire honneur au Maître, je me redresse le buste et expose ma lourde et belle poitrine, écartant juste assez les cuisses pour que l'on devine encore mieux mon intimité que je puisse exhiber. Clara fait de même, m’imitant car je lui sers encore de modèle à faire les bons gestes. Instinctivement, comme moi, elle joint ses mains dans le dos, mais assez haut pour que ceux qui sont derrière ne ratent rien de sa croupe ronde et parfaite, comme de la mienne. Un frisson semble parcourir l'attroupement et (tandis que quelques commentaires sont chuchotés) Maître s'aidant de la laisse qu’il sort de sa poche et installe au collier de Clara, lui fait faire un tour à 360 degrés. Clara suit docilement le mouvement, afin que nul ne puisse en ignorer de sa splendide anatomie. Puis il fait de même avec moi, me faisant pivoter sur moi-même, également.
- Elles sont à Vous ... Et de leur corps, ce soir, je gage que rien ne vous en sera plus inconnu. Je vous les abandonne un moment, pour que vous ... fassiez connaissance ... et puis, j'ai idée d'un jeu qui vous divertira sans doute et permettra à ces bonnes catins d'exprimer leurs plus bas et luxurieux instincts, une fois que vous les aurez bien pénétrées à même ce carrelage…
Le Maître nous quitte un moment et plusieurs mains palpent vicieusement maintenant chaque parcelle de nos deux corps... Sans violence, mais avec insistance, des mains, des doigts, s'insinuent sur nous et en nous... A l’évidence, ces hommes sont en manque … On nous presse, on nous pince, on nous doigte, on nous pelote, puis on se déshabille, les soldats se retrouvant rapidement nus, continuent leurs vicieux attouchements ... Mais nulle agressivité, nulle précipitation malgré leur appétit de pouvoir enfin toucher à des femmes mises à leur disposition... Tout se passe avec douceur, chacun agissant à son tour ... et peu à peu Clara toujours à genoux, voit un sexe dressé forçant ses lèvres, des mains caressent sa nuque, la presse... Elle avale et suce, puis la queue se retire, immédiatement suivie d'une autre... elle sent des sexes masculins qui frottent son front, giflent ses joues ... une autre bite s'enfonce dans sa gorge ... On étire ses tétons, on palpe ses nichons ... et les queues succèdent aux queues qui vont et viennent dans sa bouche et dans la mienne aussi car je suis, aussi à l’identique, investie de mille sollicitations à sucer, à prendre en bouche, à lécher également ces gros sexes qui passent de la bouche à Clara à la mienne et réciproquement, jusqu’à qu’ils s'épanchent profondément dans nos gorges pour certains d’entre eux ...
Nous sommes nourries de la semence des quelques hommes qui n’ont pas pu se retenir... Puis, on nous bascule à quatre pattes sur le carrelage... tandis qu'un soldat, debout, force de nouveau son gland entre les lèvres de Clara, je sens qu'on m’écarte les fesses et, sur-le-champ, on force ma rosette tandis qu’une autre verge se présente aussi à ma bouche... Ainsi, allant et venant, je suis comme embrochée par ces deux sexes qui me labourent longuement, avant que de céder la place à d'autres. Je vois Clara dans la même situation, deux sexes en elle, se faire copieusement ramoner. Sa bouche ne désemplit pas, tandis qu'alternativement, les autres emplissent son con et son cul, comme sur moi également... Mais quels plaisirs de se sentir ainsi possédées, bien remplies, bien baisées … Etourdies, presque enivrées, on ne sait combien d'hommes nous ont ainsi alternativement pénétrées, possédées, défoncées, je suppose que ce sont tous ! les dix soldats ! ... Nos culs, nos sexes et nos bouches sont emplis du plaisir de ces soldats qui, sans violence, nous ont baisées comme de vulgaires objets de plaisirs ... sans jamais nous parler, sans jamais aucune marque d'un quelconque intérêt, sinon celui de s'enfoncer en nous et d'en jouir ... Quant à nous ... certes, nous avons parfois joui ... mais notre plus grand plaisir a été juste de savoir que ce que nous avons subi a apporté pleine satisfaction au Maître ... Nous avons senti nos corps vibrer, trembler, on en a parfois perdu le contrôle dans une sorte de jouissance hypnotique, l'esprit empli de la certitude que c'est le Maître et Lui seul qui nous offrait ce plaisir, puisque c'est par Sa Volonté que nous sommes là ... Puis, le Maître revient accompagné de deux grands esclaves noirs.
- Messieurs, s’il vous plait, écoutez-moi … Veuillez suivre attentivement ce que nous allons faire car ces délicieuses créatures vont encore vous procurer de nombreux plaisirs, et donc je vous propose un jeu qui ne rendra leurs charmes que plus désirables ...
Les deux esclaves noirs, entièrement nus, nous mènent au centre du hall d’entrée et nous installent chacune sur une des roues horizontales, nous attachent aux courtes cordes et écartèlent nos cuisses largement ouvertes ainsi... nos chevilles et poignets sont placés dans des gaines, lanières de cuir, fixées aux rayons de la roue. Tous entourent l'étrange mécanisme de ces deux roues, fixées sur un axe bas, peut être maniée par une poignée qui prolonge le rayon situé pile entre nos cuisses emprisonnées sur la roue pour chacune … D'une main, j’ai vite compris qu’on peut ainsi faire tourner la roue plus ou moins rapidement ... Au sol, un large cercle un peu plus large que la roue est tracé sur un tapis ... Il est partagé en plusieurs portions chacune marquées d'un petit dessin très explicite : Paire de fesses, seins, fouet, con, sexe mâle urinant, pieds et plusieurs autres ...
- A tour de rôle, vous ferez ainsi tourner la roue pour chacune d’elles, explique le Maître, et nous verrons sur quelle portion au sol s'arrête le rayon qui dépasse... et celui qui aura fait tourner cette roue disposera de la catin selon le dessin ainsi désigné ... Alors chers soldats, à chacun son tour et que la fête commence !" lance Monsieur le Marquis suivit des applaudissements nourris de l’approbation générale des soldats excités ...
Et la roue de Clara se met à tourner en premier, chacun des soldats lui impulsant un mouvement à tour de rôle et accomplissant sur Clara ce que le dessin lui accorde ... Ainsi, durant des heures, Clara et moi tournons follement, perdant conscience du temps et de l'ordre des choses ... Parfois on nous arrache à la roue pour être baisées, compissées, flagellées, pincées et tant d'autres choses... Puis on nous rattache à la roue qui se remet à tourner pour le suivant et ainsi de suite… Toute la fin d'après-midi, la soirée, la nuit y passent. Des esclaves ont durant la soirée apporter tables, chaises et lits moelleux mais aussi des victuailles, à boire et à manger en abondance... Quelle nuit orgiaque, sublime ! … Au petit matin, tous sont partis ... Le dernier à avoir fait tourner la roue n'est même plus parvenu à bander pour honorer Clara qui lui était livrée et a préféré s'éclipser d’épuisement... Maintenant, épuisées, brisées, emplies de foutre et nos corps endoloris, ivres d'avoir ainsi tournées et tournées encore, nous sommes dans un état second... Comme une ivresse alors que le seul fluide dont nous nous sommes abreuvées était le foutre des soldats… Pourtant, nous tressaillons lorsqu'une main douce se pose sur chacun de nos visages et une larme de bonheur nous échappe lorsqu'une voix s'élève...
- Je suis fier de vous deux, mes chiennes. Je n'ai jamais été loin de vous car je voulais voir comment vous vous comporteriez et je n'ai pas été déçu. Je sais que vous m'appartenez corps et âme, car en étant ainsi offertes, ce n'est qu'à Moi que vous vous êtes données, je le sais, je l'ai vu, dans vos yeux et dans vos corps, nous dit Le Marquis d'Evans avec tendresse dans son timbre de voix. - C'est bien mes chiennes, vous m'avez fait honneur, rajoute-t-il tandis que Clara éperdue de reconnaissance baise, du bout de ses lèvres gercées par les multiples et si nombreuses fellations, la Main du Maître tant aimé qui lui rend un tendre baiser sur son front. Puis je fais de même et son baiser également sur mon front, m’a aussi fait pleurer d’un bonheur inouï …’’
Le Marquis Edouard d’Evans lève la tête, après cette nouvelle lecture se passant le jour de la Toussaints 1914… Il regarde la grosse horloge plus que centenaire quand les 23 coups du carillon sonnent. Il est donc 23 heures, alors il se prépare maintenant à se rendre au caveau de son aïeul, dans la crypte de la Chapelle en cette première nuit de pleine lune …
(A suivre…)
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