Histoire de gros ventres - histoire érotique

J'ai rencontré Nicole à la maternité lors d'une visite de routine pendant ma grossesse. Elle aussi était enceinte et nous avons sympathisé. Nous sommes allées boire un verre d'eau en attendant l'échographie et c'est là qu'elle m'a raconté sa vie, que son ami l'avait quittée quand elle lui avait déclaré qu'elle attendait un enfant. Jamais il n'a voulu croire que l'enfant était de lui mais elle en était sûre. Puis je lui ai parlé de moi. Elle voulait savoir si elle devait allaiter et m'a révélé qu'elle avait déjà du lait quand elle pressait ses seins.
- J'aime ça, être enceinte, a continué Nicole, mais seule, c'est difficile ! Je tiens une boutique de lingerie et je vais devoir fermer...
Je l'ai rassurée.
- Tu fais encore l'amour, m'a soudain demandé Nicole ?
- Madame Hélène B..., a demandé une voix dans le haut-parleur ?
Nicole a tenu à m'accompagner, ajoutant que je n'avais qu'à expliquer qu'elle était ma belle-soeur, ou ma cousine et elle semblait tant avoir envie de venir assister à mon échographie que je l'ai emmenée avec moi. Il n'y avait pas d'empêchement. Je me suis installée et Nicole s'est assise à côté de moi pendant que le gynéco me passait l'appareil sur le ventre.
- Ça se passe bien ! C'est votre premier, a ajouté le gynéco en regardant ma fiche !
Pourquoi lui aurais-je dit que j'avais des problèmes ? Je n'en avais pas. Pendant qu'il m'essuyait, il s'est adressé à Nicole :
- Vous êtes passée avec mon confrère ? Il me semble que c'est moi qui vous avais vue la dernière fois...
Nicole a approuvé puis a ajouté que son ami l'avait quitté et l'avait laissée seule. J'ai remarqué qu'elle avait des larmes dans les yeux. Le gynéco m'a aidée à descendre de la chaise et j'ai remis ma robe en place. Je ne mettais plus ni culotte ni soutif depuis un moment car il faisait si chaud et c'était insupportable.
Nous sommes sorties de la pièce puis je suis allée au guichet où j'ai récupéré mes papiers.
- Tu ne mets pas de culotte, m'a demandé Nicole en sortant !
Je lui ai répondu qu'elle l'avait bien vu. Je n'allais pas lui expliquer que je ne supportais plus les sous-vêtements. De plus, tout à coup, je ne savais plus ce que j'allais faire d'elle qui me collait aux talons.

- Viens prendre un verre chez moi, m'a proposé Nicole ! J'habite à côté !
Elle m'a montré son immeuble. Ce n'était pas très loin et je l'ai suivie chez elle. Une fois entrée dans son appartement, elle m'a dit que j'avais raison et devant moi, elle a retiré sa robe et aussi son soutif et sa petite culotte puis a renfilé sa robe et d'un coup, Nicole m'a semblée plus élégante et plus relaxée. Elle a sorti une bouteille de jus de fruit et m'a servi un verre.
- Tu as quel âge, lui ai-je demandé ?
- Vingt-huit ans !
- Tu es encore jeune, ai-je ajouté, et je suis sûre que tu vas trouvé quelqu'un pour remplacer ton ami...
- Offff..., moi, les mecs, m'a répondu Nicole...
- Tu ne vas pas tourner gouine, me suis-je étonnée !
- Oh, non ! Je vais rester seule comme une conne ! Pourtant, j'aime baiser et depuis qu'il est parti, je n'arrête plus de me masturber ! Tu te masturbes ?
Pourquoi lui cacher la vérité. Moi aussi, je me masturbe et parfois j'aime plus ça que de faire l'amour avec mon mari.
- Oh, moi, ce que j'aimais bien, c'est quand il me pénétrait, a continué Nicole ! Sentir son pénis s'enfoncer au fond de mon ventre et puis il me faisait jouir !
Je l'ai regardée. Je sentais bien qu'elle avait quelque chose à me raconter. Quelque chose de croustillant car ses yeux brillaient et ce n'étaient plus des larmes.
- Il faut que je te raconte, a continué Nicole... Ce n'est pas de l'inceste ! Et puis l'inceste c'est quand il y a enfant !
Mais l'enfant n'est pas de lui !
Elle jetait des phrases courtes, une vraie mitraillette et je n'y comprenais rien.
- C'est mon frère ! Enfin, mon demi-frère ! C'est le fils de mon beau-père ! Mes parents c'est un remariage, a poursuivi Nicole ! Je ne l'avais pas vu depuis un moment et quand il est venu me voir dernièrement, il s'est passé quelque chose ! Je n'avais jamais fait l'amour avec lui mais je sais qu'il en avait toujours envie. Quand il m'a vue avec mon gros ventre, il a voulu le voir et le caresser et je l'ai laissé faire puis il a voulu voir mes seins. Ça ne me gênait pas mais quand il s'est mis à les téter, ça m'a rendue folle et j'en ai voulu plus. Après tout, je ne regrette pas car c'était bien mieux qu'avec mon ami. Mon demi-frère, au moins, n'a pas eu honte de me faire l'amour. Au contraire ! Il était
vraiment heureux et moi aussi et puis, je ne risque plus rien ! Il ne va pas m'en faire un deuxième ! La place est déjà occupée !
Nicole semblait en extase, comme si la Vierge venait de faire une apparition. Elle a continué son récit en parlant de plus en plus vulgairement :
- Jamais personne ne m'avait léché la chatte ! Et jamais un homme ne m'avait enculée ! Hum, c'était bon !
Se tournant vers moi, Nicole m'a demandé si on m'avait déjà léché la chatte puis elle a soulevé sa robe et écarté les cuisses et m'a dit de la lécher, me promettant qu'elle me lécherait ensuite. Je n'avais jamais vu une vulve aussi charnue et aux lèvres aussi pulpeuses. Nicole a commencé à se tripoter puis m'a suppliée de ne pas la laisser faire toute seule. Je me suis agenouillée devant elle et j'ai approché mon visage puis elle a posé sa main sur ma tête et m'a plaquée la bouche sur son con.
Elle venait sans aucun doute de jouir car son con était tout mielleux même si c'était un peu salé. Sucré salé, c'est toujours bon ! J'ai donné de grands coups de langue puis j'ai mordillé son clitoris. Là encore, je n'avais jamais vu de clitoris aussi saillant. En fait, je n'avais jamais vu que le mien dans un miroir, se dresser pour me confirmer mon orgasme.
- J'ai besoin de me faire baiser, s'est mise à hurler Nicole ! J'ai besoin d'une bite ! J'ai besoin qu'on me défonce !Elle s'est laissée retomber, comme épuisée et j'ai continué à lécher puis à nouveau, elle a joui et j'ai pu goûter son plaisir.

- Ma chatte a besoin qu'on la baise, m'a dit Nicole en riant ! C'est parce que je suis pleine comme une vache ! Chose promise, chose due ! Tu vas te laisser faire ?
Nicole s'est levée du fauteuil et m'a poussée dedans pour que je m'asseye et elle a remonté ma robe sur mon ventre et m'a écarté les cuisses.
- Oh, tu t'épiles complètement, ma cochonne, m'a dit Nicole !
Elle n'arrêtait plus de rire et elle a continué :
- Mon demi-frère a une belle queue que je veux bien te prêter ! Faut juste que je vous regarde faire pour voir s'il prend plus de plaisir avec toi ! Tu vois ? Tu as une belle chatte et il te ferait comme ça !
En disant ça, Nicole m'a enfoncé ses doigts comme l'aurait fait la bite de mon mari puis elle m'a ouvert la chatte comme si elle voulait y faire entrer sa tête mais n'y a enfoncé que sa main. Un peu plus, juste de quoi laisser son pouce caresser mon clitoris.
- Je trouve que c'est mieux, une chatte avec des poils et je ne comprends pas cette mode que vous avez de vous raser, a continué Nicole tout en me ravageant le vagin du bout de ses doigts ! Tu as déjà été fistée ?
Bien sûr que je ne l'avais pas été. D'ailleurs, je ne savais pas ce que c'était mais quand Nicole a enfoncé sa main entièrement, ça m'a fait mal mais dès que sa main eut passé, j'ai été soulagée tant son poignet était plus étroit mais elle s'est servie de ses doigts je n'ai plus arrêté d'avoir des orgasmes. Elle avait trouvé mon point G et ne le lâchait pas et je n'arrêtais plus de jouir.
- Tu aimes ça, a-t-elle ajouté ! Moi, je n'ai eu de cesse que d'arriver à me fister et je l'ai fait toute seule, comme une grande ! Tiens, regarde !
Elle a sorti sa main de mon ventre et devant mes yeux, Nicole se l'est enfoncée dans le vagin, apparemment sans problème et l'a gardée un bon moment avant de la retirer.
- J'aurais fait une parfaite putain, a continué Nicole ! Ça m'a toujours fasciné !

J'étais incapable de réagir. Je la regardais et je ne pouvais que sourire. Elle m'avait faite jouir et je n'avais plus de force alors qu'elle semblait péter la pleine forme. Elle est revenue devant moi et a posé son ventre sur le mien et m'a dit qu'elle serait bien capable de faire gouine avec moi si je le désirais. A cette époque, ça ne m'intéressait pas.
J'étais amoureuse de mon mari et j'étais aussi dans ma phase maternelle. Je lui avais promis de lui faire plein d'enfants et je n'en ai eu que quatre mais en quatre ans ou presque. Ce fut le plus beau moment de ma vie. Le gros ventre et la baise.
Je suis sortie de chez Nicole et si nous nous sommes revues, il n'est plus arrivé que nous nous amusions ensemble.
On s'attablait à la terrasse d'un bar et on discutait. Vint le moment de l'accouchement. Peu après, elle est retournée avec sa fille chez sa mère et je ne l'ai plus jamais revue.