Histoire de jeunesse, du depucelage au mariage - histoire érotique

Roman...

En juillet 1974, après une année scolaire éprouvante, mes parents m’envoyèrent en vacance chez mes grands parents.

Chez eux, ma tante âgée de 44 ans et ma cousine de 17 ans, étaient eux aussi en vacances, mon oncle travaillant était resté à Paris.

Ma cousine que je n’avais pas vue depuis 3 ans était devenue une jolie fille, avec des superbes seins qui pointaient à travers son corsage. Mais j’étais plus attiré par sa mère, donc ma tante. La première nuit chez mes grands parents fut terrible, impossible de dormir, tellement ils ronflaient, le lendemain matin, ma tante s’aperçu que j’avais l’air très fatigué ! Elle décida que la nuit prochaine je dormirai avec elle, et que ma cousine plus habitué à dormir avec mes grands parents, mais aussi qui avait le sommeil lourd prendrai ma place dans la chambre de mes grands parents.

Après une journée de promenade, nous allâmes nous coucher vers 22 h, je m’endormis alors tranquillement prés de ma tante. En pleine nuit vers les 1 heure, je fus réveillé par la clarté qui sévissait dans la chambre, la lune donnait fort, et je vis à coté de moi que ma tante qui dormait profondément, avait son très joli postérieur découvert, je voyais la raie de son cul, et cela m’excita fortement, je décidai même de me masturber.

Mais son cul me faisait envie, alors au culot je mis ma main sur ses fesses bien rondes, et lui caressais sa belle raie, sentant qu’elle était caressée mais encore endormie, elle se retourna !

La vue était encore plus belle car je voyais sa magnifique toison poilue, je l’observai, à un moment elle se mit un doigt sur sa chatte ! Cela m’excita encore plus, et là poussant encore le culot, j’approchai ma main de son sexe, je me mis à lui caresser son doux minou, elle se laissa faire, écartant ses jolies jambes, je découvris alors sa chatte bien rouge et déjà bien humide, pensant qu’elle dormait profondément j’approchai ma bouche et je me mis à la lécher, je me souvins alors d’un livre ou je voyais un mec faire cela à sa copine.

Mais ma tante se réveilla, poussa un petit cri ! Mais surprise de me voir là, nu à son coté, et surtout mon sexe bien droit et au garde à vous devant elle ! Alors elle enleva sa combinaison, nous étions nus, et elle s’approcha de mon oreille, pour me dire :

- alors petit vicieux ! Je t’excite !
- Je lui répondis que : oui,

Mais que surtout je voulais réaliser mon fantasme : me faire dépuceler par elle !! Très surprise, mais surtout très fière de ma demande, elle me demanda de m’allonger et de me laisser faire pour mon premier cours de sexe. Elle commença par m’embrasser, en tournant sa langue et la mienne dans sa bouche, sa main droite me caressant ma queue, qu’elle trouvait mignonne et surtout bien dur, ensuite elle commença à me lécher les têtons, puis arriva sur mon sexe qu’elle mit dans sa bouche, elle me suça pendant un bon moment. Puis elle me dit : maintenant à toi de travailler, elle m’appris le 69, puis vint le moment le plus attendu, la prendre… elle se mit sur le dos, écarta sa chatte bien humide de cyprine, je m’approchais d’elle , elle pris ma bite pour l’aider à pénétrer , elle jouissait déjà, je sentais nos respirations accélérer, puis je lui fit des mouvements importants d’ aller et venue, cela pendant de longues minutes, elle se retourna me montrant son gros cul, elle écarta d’une main son fion, je vis alors sa rondelle bien ouverte, et elle me demanda de la sodomiser…. Ce que je fis très vite, , puis nous revenions à une position de façon que je la prenne en levrette, et de nouveau j’enfournai son minou, de plus en humide, elle criait par des petits cris, tout en me tenant mes couilles, ce qui devait arriver, arriva elle se mis à jouir comme une truie, j’avais peur qu’elle réveille mes grands parents et ma cousine, mais a travers la parois du mur j’entendais ronfler, moi n’en pouvant plus alors qu’elle se roulait sur le lit, je lui envoyai mon jus….. Peu après elle me posa la question : as-tu aimé, je lui répondis que oui, nous nous embrassâmes encore de façon très hard, elle était obsédée par ma queue, puisqu’elle se remit à me sucer … la nuit passa ainsi.

Le lendemain matin, au petit déjeuner, j’étais plus entrain que la vielle, ma tante dit alors devant l’assemblée, normal il a mieux dormi.
Ce matin là, ma tante décida que nous prenions ma cousine et moi nos vélos pour une ballade dans la campagne, tous les 3 nous partions donc sur la route, ma tante avait mis une petite robe assez courte, mais aussi un super corsage blanc, bien serré. Ma cousine avait elle une robe un peu plus longue mais fortement ouverte sur le coté, et un petit pull très moulant. Très vite sur la route je m’aperçus que ma tante et ma cousine ne portait pas de sous tif, nous roulions tranquillement sous un soleil de plomb, lorsque ma cousine pris l’initiative de nous emmener prendre un bain dans la rivière, elles riaient toutes les 2, car je leur dis que je n’avais pas de maillot de bain.

Nous arrivâmes prés de la rivière, dans un endroit très calme que je ne connaissais pas, loin de la route, ou gazouillaient des oiseaux. Nous posâmes alors nos bicyclettes, puis on s’approcha de la rivière, ma tante avait prévu une grande nappe, et des serviettes, assis sur la nappe, a regarder cette eau couler devant nos pieds, elle était si limpide, et si claire qu’on voyait le fond.

Ma tante et ma cousine regardèrent autour d’elles, et à ma grande surprise se déshabillèrent, nues complètement et cela devant moi et sans gène, elles me regardèrent d’un air de dire alors et toi …. Je compris leurs regards, à mon tour je me trouvais nu, un petit honteux, mais honte car une fois mon slip enlevé mon sexe était en forte érection, ma tante se mit sur le ventre pour une séance de bronzette, alors que sa fille me matait, elle sortit sa langue, et commença à se toucher le minou, ma tante se retourna et vit son manège, elle se mit à sourire, et me dit alors gros nigaud, joue avec, tu ne vois pas qu’elle attend que cela cette petite saloppe !! sitôt dis sitôt fait, je pris ma cousine pour l’embrasser, gouter ses lèvres, j’avais bien retenue la leçon de la nuit, sans que cela gène ma tante, je lui léchais sa chatte, elle aussi elle en savait des choses sur le sexe, certainement qu’elle avait eu des leçons particulières de sa mère. Ma chère cousine me demanda alors de la prendre en levrette, j’obéis alors aux ordres, elle m’installa sur ma queue un préservatif, je m’aperçus que ma cousine avait du perdre son pucelage depuis longtemps, je me mis alors à la bouriner, a ce moment sa mère nous regarda et sorti d’une sacoche un godemichet qu’elle s’enfila en nous regardants. Pour nous calmer nous primes alors un bain dans la rivière.

Puis il fallut revenir à la maison, sur la route nous nous arrêtâmes , ma tante ayant reconnu Paul le fermier du coin, celui-ci mis la main sur la cuisse de ma tante, en lui demandant si elle était toujours aussi bonne, ma cousine et moi rigolions, nous fîmes semblant de partir , et de les laisser seuls, ma tante et le gros Paul s’en allèrent s’assoir derrière une grosse botte de paille, avec ma cousine on s’approcha doucement , ma tante était en train de sucer ce gros porc, pendant qu’il lui mettait un doigt dans son fion, cela excita de nouveau ma cousine , et j’entrepris alors de la calmer, mais là elle eu droit à une superbe sodomie.

La fin des vacances arriva très vite, il fallut repartir, ma tante m’invita pour les vacances de la toussaint à venir passer quelques jours à Paris.

Enfin, les vacances de la toussaint arrivèrent, j’arrivai à Paris dans le but que ma tante et mon oncle me montre les belles choses de la capitale. Le premier soir, après le repas mon oncle, ma tante s’asseyaient dans le canapé afin de regarder la télévision, très vite mon oncle nous quitta, le lendemain il devait se lever de bonne heure pour son travail, il partait chaque matin vers 4h30 de l’appartement. Ma tante se leva pour l’accompagner dans sa chambre, me laissant là quelques minutes, et elle dit comme il n’y a rien de bien, regarde dans l’armoire et trouve une cassette ! J’ouvris la porte de l’armoire, il y avait bien des cassettes, mais que des cassettes pornographiques. J’en pris une au hasard, ma tante revint, mais là en tenue décontractée, elle avait mis une petite robe de chambre en soie de couleur mauve, robe de chambre très courte qui laissé voir ses très jolies jambes. Elle vint s’assoir alors en face de moi, nous commençâmes à regarder la cassette, très vite ma tante ouvrit sa robe, je vis alors a mon étonnement sa chatte , elle avait changé depuis les vacances d’été, sa chatte avait perdu sa toison, bien rasée et super épilée on voyait très bien ses lèvres bien rouge, et elle me fit signe de venir la rejoindre, et très vite nous nous retrouvâmes elle et moi nu, j’entrepris alors ce qu’elle aimait le plus le broutage de son minou, et par un merveilleux 69, elle se mit en levrette, et je la bourrinai avec acharnement, car je n’avais pas baisé depuis juillet, et elle me proposa alors que je la sodomise, elle ouvrit avec sa main son joli fion, sa rondelle était parfaite, assez large pour un gros gland , je l’enfilais alors, elle se mit a crier, j’avais peur que ses cris réveillent mon oncle, mais elle continuait, alors mon oncle torse nu, avec sa poitrine velue, arriva et découvris sa charmante femme se faisant sodomiser, me voyant il enleva son pantalon , et là surprise mon oncle était en érection, mais surtout surpris par la taille et la largeur de son sexe, il était monté comme un âne ! Je comprenais pourquoi la rondelle du fion de ma tante est si gros, ma tante attrapa le sexe de mon oncle, et eu beaucoup de mal à le mettre dans sa bouche, moi je repris le trou de sa chatte car j’avais trop envie de la remplir de mon nectar, je n’en pouvais plus et j’éjaculais dans son minou. Mon oncle me demanda de les laisser et de repartir dans ma chambre. Je les entendais crier de jouissance, puis ce fut le calme.

Je m’endormis ! en pleine nuit je ressentis une drôle de chose, une main caressait mon sexe, sur le moment je pensais que je rêvais, mais non il y avait quelqu’un dans mon lit, c’était mon oncle qui me caressait , bien réveillé il me demanda de le caresser , ma main avait du mal à tenir son sexe, il était vraiment bien monté, il me demanda de le sucer, de peur je le fis, et lui continuant de me caresser ma verge bien dure, ainsi que ma paire de couilles, puis il me dit comme ta Tante t’a dépucellé en juillet, à mon tour, il me mis sur le ventre, et me mis sur mon cul de la vaseline, et il commença à me sodomiser, je criais, au bout d’une bonne heure, sa queue rentrait et sortait comme dans du beurre, ca y est tu n’est plus puceau !! Je sentis alors son cri de jouissance, mais je sentis surtout son sperme m’envahir, il me laissa là !

Tous les soirs nous baisions à 3. Un matin ma tante m’emmena faire un tour dans Paris, Tour Eiffel, Notre Dame, Sacré Cœur, Arc de triomphe, j’étais vraiment fatigué. Sur le retour elle décida de passer dire bonjour à 2 amies qui habitaient pas loin de chez elle. Nous fumes bien reçus parce ces 2 superbes femmes, bien mures, l’une d’elle me demanda si j’avais une petite amie, je lui répondis que pas vraiment, et que textuellement je baisais ma tante, préférant les femmes mures !! Très vite sa réaction ne se fit pas attendre, elle déboutonna ma braguette et se mis à me piper, sa copine et ma tante arrivèrent et en voyant le spectacle, se déshabillèrent, la copine et ma tante se mirent alors à se brouter mutuellement le minou, pendant que je me faisais sucer la queue.

Les 3 femmes se mirent sur le canapé et me demandèrent de les satisfaire toutes les 3, ce que je fis évidemment, elles avaient besoin les copines de ma tante d’un bon ramonage.
Alors on sonna à la porte, c’était mon oncle qui arrivait, très vite il se déshabilla, et de nouveau son énorme sexe se mis en route, il sodomisa Nathalie, qui était en fin de compte sa maitresse, moi m’occupant de ma saloppe de tante, l’autre copine se contentant d’un godemichet. Mon oncle ramonait Nathalie de joie, on voyait bien qu’ils se connaissaient.
De mon coté je bourrinais ma tante, et encore une fois je lui envoyais tout en caressant ses gros seins, mon sperme.

Le lendemain matin, ma tante m’annonça le retour de ma chère cousine, on devait aller la rechercher à la Gare de Lyon, j’étais très heureux de la revoir, surtout pour la bourriner ! Ma tante m’annonça qu’elle n’était pas seule, elle avait un copain. A la gare, je fus surpris de voir ma cousine, de plus en plus belle, petite jupe très courte, avec des bas noirs. Elle était avec son copain, un magnifique ébène d’un mètre quatre vingt dix répondant au prénom d’Antoine, ma tante le regardais avec admiration, il était super baraqué. Dans l’appartement, un mot nous attendait, mon oncle était parti pour son travail en déplacement. Nous étions alors à 4, petit diner avec des chandelles, sous la table ma cousine me faisait du pied, et Antoine faisait lui de son coté aussi bien du pied à ma cousine et aussi à ma tante.

Ma tante se leva, et demanda un volontaire pour venir couper la merveilleuse volaille rôtie, Antoine se leva, je m’apercevais que dans son pantalon il bandait ! il se dirigea dans la cuisine, ma cousine vint s’assoir sur mes genoux pour m’embrasser, nos deux langues se croisaient dans notre bouche, j’en profitai pour lui plauter sa superbe poitrine, qui avait encore grossie depuis les vacances, elle me demanda de me lever, et de l’accompagner dans le salon, en passant devant la cuisine, Antoine nu enfourné par derrière ma chère Tatie, cela excita ma petite cousine, et dans le canapé nous nous retrouvions elle et moi nus, sa touffe de chatte avait elle aussi comme celle de sa mère disparue, et on entrepris elle et moi un fantastique 69, puis je me la prenais en levrette, en caressant ses gros têtons, bien durs…quelques minutes plus tard Antoine et ma tante nous rejoignait, c’était la première fois que je voyais le sexe d’un homme noir, il était assez long, un peu large, mais il était magnifique, ma tante n’arrivant pas à le sucer entièrement, et moi voyant que le minou de ma tante était libre, je quittais ma cousine qui s’amusait avec son gode, et vite j’entrepris la pénétration de la chatte de Tatie, elle me demanda d’accélérer mes entrées sorties, Antoine, ma Tante et moi alors au même moment avons eu un orgasme extraordinaire, je n’arrêtais pas d’éjaculer dans son temple de l’amour, et Antoine éjaculait sur et dans la bouche, ma Tante se régalait.

Ce soir là je subis ma deuxième expérience avec un homme, alors que ma Tante et ma cousine, étaient bien endormies, avec Antoine nous décidions afin de nous remettre de nos émotions avec les deux cochonnes, de boire un verre ensemble, j’avouais à ce cher Antoine qu’il était très bien monté, cela le faisais rire, et je lui avouais que mon oncle, ( lui aussi bien monté) m’avait sodomisé, Antoine me dit alors : si tu veux je peux t’enfiler ma grosse barre de chocolat ! J’acceptai et de nouveau comme sur les deux garces il se déchaina dans mon trou. Après une douche, il me demanda alors de le masturber, je pris sa longue queue bien dure entre ma main, pendant qu’il prenait la mienne, puis nous repartîmes nous allonger dans mon lit, je me mis à le sucer, et lui de même !! J’eu alors le plaisir de gouter son nectar un peu salé.

Après cette expérience, Antoine retourna se coucher auprès de ma cousine, moi je décidai de rejoindre ma Tatie, elle était allongée sur le lit son cul bien en buste, à croire qu’elle voulait encore une fois être visitée par une bite, je m’approchai d’elle, et je regardais de très prés ce magnifique postérieur, je pensais alors au nombre de visiteurs qu’il avait du avoir ! Elle se retourna vers moi, et là c’est sa chatte que je pouvais admirer, une chatte que j’avais connu en été, si poilue, et là plus rien, juste cette fente bien rouge, et surtout bien humide… elle avait encore les traces d’éjaculation d’Antoine. Encore trop excité en voyant ce doux minou, je lui écartai de nouveau ses douces jambes, je me prenais pour un chien et en prenant une de ses jambes je me masturbais dessus… elle ne bougeait pas, laisser faire mon caprice. Puis je m’approchai d’elle et de nouveau je l’embrassai, tournant nos langues dans sa bouche pulpeuse, elle avait une bouche à bite. Et de nouveau je réalisai l’acte d’amour, je sentais sur mon poitrail, ses gros seins,, quittant sa jolie bouche, j’embrassais, ou plutôt je suçais ses têtons, et encore une fois je jouissais dans sa chatte.


Mon oncle revint le lendemain de son déplacement, et comme ma tante était très prise avec sa fille, mais surtout Antoine (et surtout par derrière), il m’emmena en promenade dans Paris, la promenade fut de courte durée, en fin de compte il m’amena chez une amie à lui, c’était une femme d’environ 50 à 55 ans, encore très bien conservée ! L’accueil fut assez chaleureux, il s’agissait de la chef de mon oncle, c’était sa maitresse ! Elle devait s’appeler Véronique si mes souvenirs sont bons ! Au fur et à mesure de la conversation, je m’aperçus que cette femme était très possessive, mais surtout c’était un chef, bref un male….et elle demanda à mon oncle de se mettre en tenue, pendant qu’elle se changeait, elle arriva habillé de cuir et avec son fouet !! Mon oncle arriva lui tout nu, mais il marchait à 4 pattes, et il l’appelait maitresse, elle lui demanda de venir lui lécher ses pieds, ce qu’il fit de suite, elle avait ses seins à l’air, et sa chatte apparaissait dans un trou de sa culotte en cuir

Elle me demanda si je voulais jouer avec eux, je dis oui, elle me demanda alors de mettre nu. Une fois nu, elle me demanda de venir dans son fauteuil pour lui lécher sa chatte, ce que je fis pendant qu’elle fouettait mon oncle. Puis elle me demanda de sucer la grosse queue de mon oncle, cette grosse salope trop excitée nous demanda de lui faire l’amour, mon oncle me laissa le meilleur morceau de cette garce, sa chatte !! Lui il engouffra son énorme sex dans le cul de la dame.

Mes vacances se terminèrent, la vie continua, et quelques années après je faisais connaissance de ma future femme, Christine, sexuellement elle n’était pas terrible, certes une très belle fille, mais malheureusement avec elle le type …. Pas de relations avant le mariage. Par téléphone, un jour j’appelai ma Tante et mon oncle pour leur annoncer mon mariage, mais aussi je me confiais en leur disant, qu’avec elle je n’avais pas de relations ! Heureusement que j’avais à cette époque pour me dégorger des bonnes voisines. Ma tante me demanda de faire sa connaissance, et nous invita à Paris deux bons mois avant le mariage, bien sur j’acceptai l’invitation.

Nous arrivâmes donc à Paris, chez ma tante et chez mon oncle, ma future épouse leur paraissait très timide, elle n’osait parler, ma tante dans sa cuisine me dit au creux de l’oreille qu’elle aimerai bien la brouter, puis mon oncle à son tour vient me voir en me disant qu’il aimerait bien lui mettre sa queue dans sa bouche et aussi ailleurs !!! Car elle était encore pucelle !! A trois nous élaborons un plan, la saouler un petit peu, puis devant la télé un film porno et on verra !!!

Ma tante et mon oncle nous versèrent l’apéro, ils faisaient les simples, mais en disant de Christine qu’elle était très belle, cela l’a touchée, puis nous passâmes à table, pendant le repas je faisais du pied à ma tante, mais aussi à Christine... cela la faisait un peu rougir. Ma tante nous quitta un petit moment pour changer de tenue, elle revint en jupe assez courte et corsage très moulant. Je sentais a ce moment là que quelque chose allait se passer, Christine était très surprise de voir ma tante dans cette tenue ! Celle-ci lui répliqua, que pour exciter un homme la tenue était importante ! Christine ne savait que répondre, surtout que mon oncle lui faisait lui aussi du pied. Mon oncle encore plus malin, en se levant avait augmenté la température de la pièce, a tel point que bientôt il fit assez chaud dans l’appartement. Dans cette chaleur ma tante dégrafa son corsage, faisant apparaitre sa très belle poitrine, en plus dans sa chambre elle avait enlevé son sous tif. Christine ne savait plus quoi dire, ni faire car mon oncle lui caressait les genoux, moi je pris l’initiative, allez tout le monde dans le salon et sur le divan nous serons mieux pour discuter. Très vite on se retrouva à quatre dans le salon , ma tante et mon oncle se mirent entre Christine, ils commencèrent alors à lui porter des petits baisers dans le cou, très vite Christine sombra entre leur bras, elle se retrouva alors allongée sur le divan, et très vite sans ses vêtements comme nous bien sur, mon oncle avait sorti sa grosse bite qu’il essayait de mettre dans la bouche de Christine qui se débattait, ma tante broutait à merveille le minou de Christine, très vite Christine se laissa faire , elle suçait avec force le gland de mon oncle, et se laissait brouter sa chatte tout en caressant la chevelure de ma tante. Alors ma tante, et mon oncle me laissèrent le terrain, Christine était là devant moi, les jambes écartées, ma queue bien droite et bien dure, les prémices étant réalisés je l’enfournais, son pucelage m’appartenait, et elle fut très vite depucelée la petite cochonne, elle criait de jouissance, mon oncle et ma tante assis à coté de nous en profitèrent, mon oncle après avoir été bien sucé enfourna la chatte de ma tante qui m’observait, et je voyais dans son regard me désirait. Christine découvrant les joies de l’amour demanda a être broutée par ma tante, et elle prit dans chaque main la grosse queue de mon oncle et de l’autre la mienne pour les porter dans sa bouche, depuis ce jour elle devint très gourmande de bites. Nous échangeâmes nos cavalières, mon oncle entrepris de dépuceller l’anneau du cul de Christine, pendant que je broutai à mon tour l’adorable chatte humide de ma tante, puis à sa demande je l’enfourchais, je me plaisais dans sa chatte, Christine devenue une sacrée cochonne en une soirée, voulu me voir enfourné par la grosse queue de mon tonton, j’acceptai, en m’enculant, Christine se laissa aller dans les bras de ma tante, qui lui appris ainsi le 69.

Deux mois après c’était le mariage, nuit de noce qui se passa dans un Novotel, dans une chambre, nuit de noce ou Tata et tonton nous rejoignirent, ainsi que ma cousine et son ami Antoine …. Pour une superbe nuit de sexe, Christine devenant alors une accro du sexe et de la bite, mais là c’est une autre histoire…………….