Histoire glaciale

- Par l'auteur HDS Malong -
Récit érotique écrit par Malong [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Histoire glaciale Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Histoire glaciale
La véritable ivresse en amour, c'est lorsque la passion s'invite au comptoir du désir et que, sans même hésiter, vous prenez un dernier verre.
Vous pouvez alors trinquer, boire et laisser au fond de votre verre ce glaçon sans intérêt dont la fonction principale est de refroidir le contenu. Vous pouvez l'abandonner par orgueil, manque d'intérêt, mais vous pouvez vous abaisser à une curiosité de découverte en le portant à votre bouche pour le croquer en apprécier le froid le goût insipide le croquant du solide, le laisser fondre sur votre sous la langue dans un challenge de resistance.

En descendant de l'avion en fin d'une journée chaude du mois de mai et ne connaissant absolument cette ville du Texas, je choisis de poser mes bagages dans un motel proche de l'aéroport.
Le froid de la chambre émis par la clim m’accueillait. Le groupe de froid était d'ailleurs un peu bruyant et je ne tardais pas alors à le couper.
J'inspectais les lieux. Je fus attirée par l’unique livre posé sur la table de chevet qui les séparait deux grands lits. C'était une bible. Bien entendu elle était en anglais. Je la parcouru et m'arrêtais sur quelques icônes religieuses. Ne sentant pas la vocation m'envahir je l’abandonnais pour la remettais à sa place.
En dessous d'une immense TV il y avait un frigo Top avec un minuscule freezer et un unique compartiment garni de mignonnettes d'alcool, de jus de fruits et sodas.
La salle de bain au carrelage marron était fortement éclairée pas une série de néons. L’ensemble était propre. Je vidais ma valise et je les rangeais dans l'armoire avant de prendre une longue douche.

La douceur de l'eau et l'émulsion du savon entraîna une réaction épidermique de la zone pubienne. J’étais bien gonflé. Je me décalottais pour l'hygiène et la sortie du gland qui sortait du prépuce me faisait penser à une pénétration. Bien que je n'avais rien à faire, je frénais cependant mes ardeurs et je ne me masturbais donc pas.
La chaleur de l'extérieur avait déjà repris possession de la chambre. Aussi je déchiffrais le menu du réglage de la clim pour adapter la température.
J'enfilais un pantalon, un haut et je me postais en observateur contre la rambarde en bois de ce premier étage. C'était une immense coursive en forme de C. Une piscine en forme de 8 était vide et bien que personne n'en profitait elle était éclairée. En fait tout était allumé au alentour.
Je pouvais voir le parking où était garée la voiture de location. Et plus loin de l'autre côté de la route une enseigne lumineuse indiquait la présence de ce qui semblait être un bar.

Je sentais bien les effets du jet-lag, je présentais d'ailleurs une nuit bien longue. Je n’étais pas fatigué.

J'avais 100 $. J'estimais pouvoir largement m'en sortir pour boire une bière. Je décidais d'aller à la rencontre du nouveau monde, là, en face.

Il n'y avait pas beaucoup de monde dans ce rade à l'aménagement typiquement américain. Il y avait accroché aux murs des cornes de vaches, des lassos et de vieilles armes. Mais pas de cowboy. Je me mis au bout du bar non loin d’une femme qui essuyait des verres. À l'autre bout un gaillard parlait avec un type au faciès rougeâtre. C’était manifestement le serveur, il vient l'aborder. Il était pas très plaisant et s'adressait à moi avec fort accent nasillard.
Je soutienais son regard et je me mis à parler en français.
Il resta muet et abusivement je le présumais sourd aussi. Ma nouvelle commande je formulais cette fois en anglais, mais il tourna les talons. Il m'envoya la femme.
C'était une charmante brune au regard noisette qui me demanda ce que je voulais boire. Je ne pouvais résister, je m'armais de mon meilleur sex-appeal et je demandais le plus simplement du monde une bière.
Elle me ramena une bouteille avec un verre et elle me réclama trois dollars.

Je tentais une approche je demandais ce qu'elle voulait boire. Elle était surprise.
Elle ne voulait rien. Elle sourit. Elle avait un visage harmonieux. Une brune bouclée. Un regard noisette. Elle devait être mexicaine, ou indienne quelques choses comme ca.
- D'où tu viens. Me demanda-t-elle ?
Français s'étonna telle. Sans que je lui demande, elle me dit sa grand-mère était marocaine.
Marocaine. C'était ça. Cette réponse suprima immédiatement le doute sur l'estimation de l'origine de cette femme.
Puis elle se remémora quelques mots de français qu'elle connaissait.
- Bonyour. Pane.
- Pane ?
- Bred- ha, pain.

Elle était curieuse.
Je connaissais un peu le Maroc pour y être allé. Je répondais à ces questions. Je la regardais. Elle était attachante.
Elle me demandai si je parlais arabe ? Of course. La langue française est truffée de mots arabes importés par la colonisation du Maghreb et la vague pieds noirs des années 50. Toubib. Clepse (chien). Fifti. Ralouf, ce mot elle ne connaissait pas. Tout en expliquant ce qu'était ralouf, je savais que je pouvais en être un de satané cochon. Mais je n'avais eu de signal qui permettait de monter en température. C'était juste dommage parce que si elle ne m'interdisait pas le profond de son regard, j'étais conscient que l'alcool de la bière me donner surtout accès à des phantasmes.
Famille, pays et un peu de culture, nous a permis de parler un moment. Elle était passée de l'autre côté du bar et assise sur le siège de bar à mes côtés. Elle s'appelait Sab. Et avait mon âge.

Elle avait fini son boulot. Il était 1:00 du matin. Même si je n'étais pas fatigué, j'allais rentrer me reposer un peu. 9:00 heures allait arriver vite.

Sur le parking derrière moi une voix m'interpellait.
C'était Sab. Petit blazer et pantalon en jeans. Le bras haut levé, je comprenais que j'avais oublié quelque chose.
Elle me tendit un briquet, sauf que je ne fume pas. De toute évidence, elle me racolait alors je l'invitais en français à prendre un verre à l'hôtel. Puis je traduis. Elle sourit et accepta. Avant de me suivre elle téléphona. Puis reviens vers moi. Elle m'expliquait avoir prévenu sa mère qui gardait son fils.

J'avais bien réglé la clim. Sab enleva son blaser pour laisser apparaître un teeshirt qui épousait généreusement ses formes. Je proposais une boisson. Elle prit un soda. Je suivis. Nous échangions quelques mots sur tout et rien. Puis, je lui demandais basiquement et généralement ce qu'elle aimait. La réponse fut surprenante.
- I like put the ice on my pusy.
Je comprenais les mots. Le but m'échappait. Elle aimait mettre de la glace sur son minou, résonnais la traduction dans ma tête … J’étais étonné, mais je jouais l’imperturbable. Rien de plus normal, de la glace sur ou dans la chatte... Trop curieux, je ne voulais surtout en savoir plus et ne rien louper.
- Mais pourquoi de la glace sur cette partie du corps, demandais-je.
- J’aime ressentir la différence des températures. Répondit-elle. Est-ce que c’était un problème pour moi, demanda-t-elle ?
Absolument pas. Jouons alors.
Je finissais de tamiser la chambre avec une serviette éponge qu'elle était déjà nue et c'était posé à même la couverture. Je préparais un préservatif et laissait tomber à mon tour mes habits. Elle me regardait faire sans bouger et je me mis sans pudeur à la chevauchée alors qu'elle venait de se mettre sur le ventre. J’épousais ses formes de tout mon long. Je gonflais rapidement. Ma verge s’était lové entre ses deux fesses. Je croquais et happais sa peau les muscles de sa nuque. Je caressais une peau soyeuse de la zone des omoplates avec mon visage. Je la humais.
En me décollant pour changer de position, je m'apercu qu'un filet de sécrétion liait la cambrure de ses reins et ma verge.
Une manœuvre nous fit changer de position. Nous retrouvions en position de la cowgirl elle me chevauchait.
Elle m'entreprit. Ses lèvres charnues se posèrent sur les miennes et nos langues se mélangèrent. Un ensemble sensuel se mouvait. Puis elle plaça ma verge sur sa vulve. C’était une délectable sensation suave qui monta en moi. Je tenais ses hanches pour mettre un peu plus de pression. Puis se dégageant de mon étreinte. Elle se leva pour ouvrir le frigo et sortir les glaçons. Elle reversa et tapa à plusieurs reprises le bac sur l'autre lit et ne reviens à mes côtés qu'une fois les glaçons recueillis.
J'observais. Je déroulais un préservatif.
Elle se frottait doucement et assez longuement la vulve, puis le glaçon disparu pour être éjecté du vagin quelques instants après.
- come. Dit-elle en m'attirait vers elleJ'avais compris et j'imaginais sans difficulté l'effet d'une pénétration chaude de cet organe artificiellement refroidi. Je m'apprêtais à m'introduire en elle, mais elle précisa son désir.
- no. Come with your mouse. Your tongue, please. Dit-elle doucement.
Elle voulait un cuni.
À genoux, je bénéficiais d'une vue dés plus alléchante. Un merveilleux entre jambes si étrangement préparé. Je lapais son bouton d’amour. La pression de ses mains sur mon crâne dirigeait son envie. J’introduisais ma langue dans un vagin encore froid. Je réchauffait ses tissus. Elle écartait au plus grand ses jambes offrant d'autant plus l'ouverture de son sexe. Je remontais et descendait le sillon avec ma langue pour m'attarder encore sur son clitoris. Puis dans un jeu de langue dont la seule règle était l'accession au bien être, j'insistais avec un délectable plaisir sur son clitoris puis alternativement sur la chaire de sa corole sans oublier de pincer ses grandes lèvres avec ma bouche. Je m'égarais aussi en périphérie de son anus et elle se mit à jouir lorsque j'introduisis la langue une nouvelle fois dans son vagin.
Encore haletante je la pénétrais. Je palpais ses fesses et je m'activais en elle.
Encore collé à sa bouche je la soulevait et nous arrivions à changer une nouvelle fois de position. Je me retrouver sur le dos. Elle me chevauchait.
Pendant qu'elle oscilait du bassin en exerçant un mouvement de va-et-vient, je m'excitatais en pétrissant la merveilleuse épaisseur de peau abdominale, de son bas, de ventre pour enfin rejoindre son pubis. Je rencontrais alors sa vulve et ma verge. Ce stimulus enflama le désir d'éjaculer et je ne me retenais pas de jouir.

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