Histoire pour les femmes 2
Récit érotique écrit par Lonelydude [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Histoire pour les femmes 2
Mise en situation : c'est un jour de mai, il fait extrêmement chaud, tu es ma professeur d'anglais et je suis un étudiant de 22 ans, le matin du journée de cours j'ai eu cours avec toi et j'ai été collé pour le soir même à cause de mon comportement.
Durant l'année scolaire j'ai été plusieurs fois collé par toi et au cours de ces retenues rien de particulier ne s'était passé à part que je sentais sur moi ton regard insistant mais rien de plus. Mais ce soir là dès mon entrée dans la salle pour commencer ma retenue une chose me saute au yeux, tu n’es plus habillé de la même manière, c'est à dire que le matin tu étais habillée d'un simple jean avec un tee shirt alors que là je te découvre en jupe assez courte arrivant au dessus des genoux et un chemisier blanc ouvert de deux boutons. La surprise de cette vue passée, je continu à avancer vers ma place habituelle, celle du fond à côté de la fenêtre, tu me suis du regard assise à ton bureau. Ce dernier a lui aussi quelque chose de différent par rapport au matin mais je ne vois pas de suite. Une fois assis tu me demandes de venir au premier rang, c'est la première fois de l'année que tu me demandes une telle chose en retenue. Je m’exécute avec une petite moue de mécontentement. Je m’assois à ma nouvelle place, celle juste en face de ton bureau qui est surélevé par une estrade. Je commence à faire ma retenue tranquillement en sentant toujours ton regard sur moi, je lève quelque fois les yeux pour vérifier mon impression et je ne me trompe pas, ton regard n’est pas celui du prof qui surveille un élève mais plutôt celui du prédateur guettant sa proie du haut de son poste d’observation. Troublé, je détourne vite le regard. Le soleil est rasant au niveau des fenêtres de la salle mais ses rayons sont très forts et la chaleur est limite insoutenable, des perles de sueurs commencent à couler de mon front. Me voyant à la limite de l’asphyxie tu me demandes si je veux que tu ouvres les vitres j’acceptes avec soulagement. Tu te lèves et en faisant ce mouvement un te tes stylos tombe devant mon bureau, tu continues ta route vers les fenêtres avec une démarche sensuelle. Sur le retour je te dis qu’un de tes stylos est tombé, tu te diriges donc vers celui-ci tu relèves légèrement ta jupe pour ne pas être gênée, tu te penches les fesses vers moi sans plier les genoux, ce paysage devant mes yeux me fascine, je peux distinguer un petit bout de ton string et la naissance de tes fesses, d’un coup je ne te vois plus comme ma prof d’anglais mais comme une femme. En te relevant tu vérifies en jetant un coup d’œil sur le coté si j’ai bien vu ce que tu voulais me montrer, une fois totalement relevée un sourire de satisfaction au coin des lèvres, tu vas te rasseoir toujours ton regard fixé sur moi. Il me fallut quelques secondes pour reprendre mes esprits et te demander si je peux aller aux toilettes, tu acceptes avec ton sourire toujours sculpté sur tes lèvres, consciente de l’effet que tu as sur moi. Je pars aux toilettes pendant cinq minutes et m’asperges abondamment le visage d’eau fraîche pour essayer de me faire sortir de la tête ce petit cul que je viens d’admirer mais rien n’à faire l’image persiste. De retour dans la salle je me rassois et me remets au travail, arrivé à une phrase que je comprends pas je te demandes de l’aide, au lieu de me répondre de ton bureau tu viens à mes côtés, tu te penches vers moi, les fesses en arrière et les coudes posés sur mon bureau, mes yeux se portent immédiatement vers l’ouverture de ton chemisier qui est maintenant ouvert de quatre boutons ce qui me laisse le champ libre sur la vue de ta poitrine, à mon grand étonnement tu ne portes pas de soutien gorge je sens immédiatement une durceur dans mon pantalon. Tes seins sont tout simplement beaux, dans ma tête je m’imagine en train d’aller en cueillir un délicatement à l’aide de mes deux mains comme si je ramasse un oisillon tombé du nid, j’ai envie de les caresser, les effleurer, les embrasser tout doucement. Des gouttes de sueurs perlent maintenant abondamment de mon front. Alors que j’admire ces deux sphères tu me ramènes sur terre en me tournant la tête par le menton avec toujours et encore ton sourire, tu finis tes explications en me demandant si j’ai compris tout en sachant que je n’ai rien n’entendu. Savoir l’effet que tu me fais te satisfait pleinement. Je répond logiquement oui et tu te rassois, je ne peux plus décrocher mon regard de toi je suis hypnotisé. Une fois rassise tu me dis de me remettre au travail, je m’exécute mais je ne peux plus me concentrer, des flashes de tes fesses et de tes seins viennent me perturber continuellement. Arrivé dans un état semi conscient, j’entends des pieds bouger, des jambes se croiser et se décroiser, je reviens alors à moi et cherche la source de mon réveil. C’est à ce moment là que je comprends ce qui il y a de différent à ton bureau, il n’y a plus le panneau qui cache les jambes des professeurs ce qui me permet de trouver l’origine du bruit. C’est toi qui croises et décroises tes jambes dans des mouvements assez amples. L’hypnose revient de suite les yeux rivés sur la zone sombre de ton entrejambe. Je remarque alors que le string que j’ai aperçu au part avant n’est plus là et je comprends que tu l’as enlevé lorsque je suis allé aux toilettes. Je ne peux plus décrocher mon regard du ballet de tes jambes qui m’appellent dans une danse enivrante pour me faire décoller mon regard tu me jettes un chiffon au visage surpris par ce geste j’examine le chiffon et me rend compte qu’il s’agit de ton string, il est tout humide je le porte alors instinctivement à mon visage pour le sentir. L’extase !!! Un parfum extraordinaire tout en reniflant et léchant le liquide qui a mouillé ce string je te fixe droit dans les yeux, tu as l’air ravie, je remarque que tes mains ont disparu de dessus le bureau pour se diriger vers ta grotte d’amour tu te caresses pendant un moment en me fixant me délecter de ton string. Je le mange presque tellement j’aime ça devant ce spectacle de toi se caressant je crois bien que mon pantalon va exploser, mon sexe est tout dur. Une de tes mains remonte alors sur le bureau pour prendre un feutre pour tableau blanc puis elle retourne rejoindre l’autre qui continu à caresser ta chatte ruisselante tu fais pénétrer lentement le feutre ce qui t’arraches immédiatement un gémissement je ne tiens plus et une de mes mains va vers mon sexe qui ne demande qu’à sortir je commence à me masturber à mon tour nous nous fixons droit dans les yeux , la tension sexuelle est à son comble nos regard plongent l’un dans l’autre en imaginant que c’est l’autre qui procure ces caresses . Nos gestes se synchronisent pour augmenter cette impression, et les mouvements s’accélèrent tu laisses une seul main s’occuper de ta chatte pour que l’autre aille finir de déboutonner ton chemisier et caresser ta poitrine tu les malaxes vigoureusement et tu joues avec tes tétons qui pointent violement en ma direction. L’excitation étant très forte nous jouissons ensemble comme si nous étions connectés. J’ai joui directement sur le sol et toi en sans t’en rendre compte tu as laissé tomber le feutre à tes pieds. Nous avons le souffle court mais la tension qui règne entre nous est encore plus forte alors je me lève et me dirige vers le feutre. Nos regards toujours liés, je m’agenouille sous ton bureau, tu as les jambes complètement écartées et je remarque une petite flaque sur le sol, je plonge alors mes yeux vers l’origine de celle-ci et je vois ton sexe trempé qui est encore secoué par quelque spasmes orgasmiques et il se contracte comme si il me parle me crie « mange moi !!! ». Je commence à faire glisser mes mains le long de tes jambes en les effleurant ce qui te procure des frissons de plaisir, arrivé vers le haut de tes cuisses je les fait glisser vers tes fesses qui m’avaient tant troublé tout à l’heure, je tourne ma tête vers l’un de tes genoux ma langue sortie telle celle d’un serpent et du bout de celle-ci je glisse le long de ta cuisse, arrivé à la limite de ta petite chatte humide je fais la même chose sur l’autre cuisse. Ensuite ma langue s’occupe de ta grotte d’amour je la fais délicatement naviguer sur ton sexe ton souffle s’accélère et tes mains recommencent de s’occuper de tes seins. Ma langue continue à parcourir ton sexe de la gauche vers la droite de haut en bas et inversement. Elle rencontre ton clitoris gonflé, je le titille délicatement et me remet en route vers ton vagin j’y fais quelques vas et viens ce qui t’arrache un petit cri. Puis d’un coup je prends ton sexe à pleine bouche pour l’aspirer, l’embrasser, le lécher plus fort. Sous cette douce torture tu me gratifies d’une coulée de ton nectar que je bois avec plaisir ton souffle est très fort et court comme si tu cherches de l’air. Toujours ma bouche collée à ton sexe, ma langue se remet à la recherche de ton clitoris, celui ci m’attend avec impatiente et lorsque ma langue se met à jouer avec il ne te faut pas longtemps pour avoir un nouvel orgasme. Tu jouis tellement fort que tes mains sont maintenant sur ma tête et la tire profondément en toi. Ton corps est parcouru par un éclair de jouissance qui te foudroie sur place. Tu relâches ma tête et je lève les yeux vers toi et tu me regardes avec amour. En me relevant je me rend compte que moi aussi j’ai une nouvelle fois joui, mon liquide s’est répandu sur le sol avec le tien comme pour symboliser nos ébats. Une fois tout les deux debout nous nous jetons dans les bras l’un de l’autre nous nous serrons très fort comme pour fusionner, tes mains parcourent tout mon dos, mes fesses, mes cheveux et tu te glisses alors le long du corps pour enlever mon pantalon pendant ce temps je m’occupe de mon tee-shirt je suis maintenant nu et tu es à genoux devant moi avec un regard gourmand, tu prends mon sexe dans ta main tu le branles lentement puis, une fois qu’il a reprit toute sa vigueur après ces deux orgasmes, tu le portes à tes lèvres tu le suces avec une telle envie me faire jouir que je ne vais pas tenir longtemps. Au bord de l’explosion je te prend la tête à deux mains et essaye de me libérer de ton emprise, tu ne veux pas la lâcher tu a envie de la manger. Une fois libre je te relève et te retourne, tu poses tes mains sur ton bureau en tendant ta croupe merveilleusement cambrée en arrière pour me l’offrir. Je m’agrippe alors à tes hanches et je dirige mon sexe vers le tien tel un pieu près à t’empaler. La première pénétration fut violente et nous fait pousser un hurlement de plaisir, heureusement que l’école est maintenant déserte, les vas et viens suivants sont aussi intenses, mes mains sont maintenant occupées à malaxer ta poitrine et il ne faut pas longtemps pour que nous explosions tout les deux dans une harmonie totale je reste en toi un moment la tête posée sur ton dos nos souffle sont à nouveau très fort et synchronisés. Ce fut très fort et intense nous finissons ce parfait moment en nous embrassant tendrement pendant longtemps.
J'espère que vous avez aimé cette nouvelle histoire si c'est le cas ou non faites le moi savoir par mail ou sinon vous pouvez m’écrire la suite ou la même histoire de votre point de vue. Allez surprenez moi.
Merci à toutes celles qui m’ont écris.
Je vous embrasse très fort et très tendrement lonelydude ,)
Durant l'année scolaire j'ai été plusieurs fois collé par toi et au cours de ces retenues rien de particulier ne s'était passé à part que je sentais sur moi ton regard insistant mais rien de plus. Mais ce soir là dès mon entrée dans la salle pour commencer ma retenue une chose me saute au yeux, tu n’es plus habillé de la même manière, c'est à dire que le matin tu étais habillée d'un simple jean avec un tee shirt alors que là je te découvre en jupe assez courte arrivant au dessus des genoux et un chemisier blanc ouvert de deux boutons. La surprise de cette vue passée, je continu à avancer vers ma place habituelle, celle du fond à côté de la fenêtre, tu me suis du regard assise à ton bureau. Ce dernier a lui aussi quelque chose de différent par rapport au matin mais je ne vois pas de suite. Une fois assis tu me demandes de venir au premier rang, c'est la première fois de l'année que tu me demandes une telle chose en retenue. Je m’exécute avec une petite moue de mécontentement. Je m’assois à ma nouvelle place, celle juste en face de ton bureau qui est surélevé par une estrade. Je commence à faire ma retenue tranquillement en sentant toujours ton regard sur moi, je lève quelque fois les yeux pour vérifier mon impression et je ne me trompe pas, ton regard n’est pas celui du prof qui surveille un élève mais plutôt celui du prédateur guettant sa proie du haut de son poste d’observation. Troublé, je détourne vite le regard. Le soleil est rasant au niveau des fenêtres de la salle mais ses rayons sont très forts et la chaleur est limite insoutenable, des perles de sueurs commencent à couler de mon front. Me voyant à la limite de l’asphyxie tu me demandes si je veux que tu ouvres les vitres j’acceptes avec soulagement. Tu te lèves et en faisant ce mouvement un te tes stylos tombe devant mon bureau, tu continues ta route vers les fenêtres avec une démarche sensuelle. Sur le retour je te dis qu’un de tes stylos est tombé, tu te diriges donc vers celui-ci tu relèves légèrement ta jupe pour ne pas être gênée, tu te penches les fesses vers moi sans plier les genoux, ce paysage devant mes yeux me fascine, je peux distinguer un petit bout de ton string et la naissance de tes fesses, d’un coup je ne te vois plus comme ma prof d’anglais mais comme une femme. En te relevant tu vérifies en jetant un coup d’œil sur le coté si j’ai bien vu ce que tu voulais me montrer, une fois totalement relevée un sourire de satisfaction au coin des lèvres, tu vas te rasseoir toujours ton regard fixé sur moi. Il me fallut quelques secondes pour reprendre mes esprits et te demander si je peux aller aux toilettes, tu acceptes avec ton sourire toujours sculpté sur tes lèvres, consciente de l’effet que tu as sur moi. Je pars aux toilettes pendant cinq minutes et m’asperges abondamment le visage d’eau fraîche pour essayer de me faire sortir de la tête ce petit cul que je viens d’admirer mais rien n’à faire l’image persiste. De retour dans la salle je me rassois et me remets au travail, arrivé à une phrase que je comprends pas je te demandes de l’aide, au lieu de me répondre de ton bureau tu viens à mes côtés, tu te penches vers moi, les fesses en arrière et les coudes posés sur mon bureau, mes yeux se portent immédiatement vers l’ouverture de ton chemisier qui est maintenant ouvert de quatre boutons ce qui me laisse le champ libre sur la vue de ta poitrine, à mon grand étonnement tu ne portes pas de soutien gorge je sens immédiatement une durceur dans mon pantalon. Tes seins sont tout simplement beaux, dans ma tête je m’imagine en train d’aller en cueillir un délicatement à l’aide de mes deux mains comme si je ramasse un oisillon tombé du nid, j’ai envie de les caresser, les effleurer, les embrasser tout doucement. Des gouttes de sueurs perlent maintenant abondamment de mon front. Alors que j’admire ces deux sphères tu me ramènes sur terre en me tournant la tête par le menton avec toujours et encore ton sourire, tu finis tes explications en me demandant si j’ai compris tout en sachant que je n’ai rien n’entendu. Savoir l’effet que tu me fais te satisfait pleinement. Je répond logiquement oui et tu te rassois, je ne peux plus décrocher mon regard de toi je suis hypnotisé. Une fois rassise tu me dis de me remettre au travail, je m’exécute mais je ne peux plus me concentrer, des flashes de tes fesses et de tes seins viennent me perturber continuellement. Arrivé dans un état semi conscient, j’entends des pieds bouger, des jambes se croiser et se décroiser, je reviens alors à moi et cherche la source de mon réveil. C’est à ce moment là que je comprends ce qui il y a de différent à ton bureau, il n’y a plus le panneau qui cache les jambes des professeurs ce qui me permet de trouver l’origine du bruit. C’est toi qui croises et décroises tes jambes dans des mouvements assez amples. L’hypnose revient de suite les yeux rivés sur la zone sombre de ton entrejambe. Je remarque alors que le string que j’ai aperçu au part avant n’est plus là et je comprends que tu l’as enlevé lorsque je suis allé aux toilettes. Je ne peux plus décrocher mon regard du ballet de tes jambes qui m’appellent dans une danse enivrante pour me faire décoller mon regard tu me jettes un chiffon au visage surpris par ce geste j’examine le chiffon et me rend compte qu’il s’agit de ton string, il est tout humide je le porte alors instinctivement à mon visage pour le sentir. L’extase !!! Un parfum extraordinaire tout en reniflant et léchant le liquide qui a mouillé ce string je te fixe droit dans les yeux, tu as l’air ravie, je remarque que tes mains ont disparu de dessus le bureau pour se diriger vers ta grotte d’amour tu te caresses pendant un moment en me fixant me délecter de ton string. Je le mange presque tellement j’aime ça devant ce spectacle de toi se caressant je crois bien que mon pantalon va exploser, mon sexe est tout dur. Une de tes mains remonte alors sur le bureau pour prendre un feutre pour tableau blanc puis elle retourne rejoindre l’autre qui continu à caresser ta chatte ruisselante tu fais pénétrer lentement le feutre ce qui t’arraches immédiatement un gémissement je ne tiens plus et une de mes mains va vers mon sexe qui ne demande qu’à sortir je commence à me masturber à mon tour nous nous fixons droit dans les yeux , la tension sexuelle est à son comble nos regard plongent l’un dans l’autre en imaginant que c’est l’autre qui procure ces caresses . Nos gestes se synchronisent pour augmenter cette impression, et les mouvements s’accélèrent tu laisses une seul main s’occuper de ta chatte pour que l’autre aille finir de déboutonner ton chemisier et caresser ta poitrine tu les malaxes vigoureusement et tu joues avec tes tétons qui pointent violement en ma direction. L’excitation étant très forte nous jouissons ensemble comme si nous étions connectés. J’ai joui directement sur le sol et toi en sans t’en rendre compte tu as laissé tomber le feutre à tes pieds. Nous avons le souffle court mais la tension qui règne entre nous est encore plus forte alors je me lève et me dirige vers le feutre. Nos regards toujours liés, je m’agenouille sous ton bureau, tu as les jambes complètement écartées et je remarque une petite flaque sur le sol, je plonge alors mes yeux vers l’origine de celle-ci et je vois ton sexe trempé qui est encore secoué par quelque spasmes orgasmiques et il se contracte comme si il me parle me crie « mange moi !!! ». Je commence à faire glisser mes mains le long de tes jambes en les effleurant ce qui te procure des frissons de plaisir, arrivé vers le haut de tes cuisses je les fait glisser vers tes fesses qui m’avaient tant troublé tout à l’heure, je tourne ma tête vers l’un de tes genoux ma langue sortie telle celle d’un serpent et du bout de celle-ci je glisse le long de ta cuisse, arrivé à la limite de ta petite chatte humide je fais la même chose sur l’autre cuisse. Ensuite ma langue s’occupe de ta grotte d’amour je la fais délicatement naviguer sur ton sexe ton souffle s’accélère et tes mains recommencent de s’occuper de tes seins. Ma langue continue à parcourir ton sexe de la gauche vers la droite de haut en bas et inversement. Elle rencontre ton clitoris gonflé, je le titille délicatement et me remet en route vers ton vagin j’y fais quelques vas et viens ce qui t’arrache un petit cri. Puis d’un coup je prends ton sexe à pleine bouche pour l’aspirer, l’embrasser, le lécher plus fort. Sous cette douce torture tu me gratifies d’une coulée de ton nectar que je bois avec plaisir ton souffle est très fort et court comme si tu cherches de l’air. Toujours ma bouche collée à ton sexe, ma langue se remet à la recherche de ton clitoris, celui ci m’attend avec impatiente et lorsque ma langue se met à jouer avec il ne te faut pas longtemps pour avoir un nouvel orgasme. Tu jouis tellement fort que tes mains sont maintenant sur ma tête et la tire profondément en toi. Ton corps est parcouru par un éclair de jouissance qui te foudroie sur place. Tu relâches ma tête et je lève les yeux vers toi et tu me regardes avec amour. En me relevant je me rend compte que moi aussi j’ai une nouvelle fois joui, mon liquide s’est répandu sur le sol avec le tien comme pour symboliser nos ébats. Une fois tout les deux debout nous nous jetons dans les bras l’un de l’autre nous nous serrons très fort comme pour fusionner, tes mains parcourent tout mon dos, mes fesses, mes cheveux et tu te glisses alors le long du corps pour enlever mon pantalon pendant ce temps je m’occupe de mon tee-shirt je suis maintenant nu et tu es à genoux devant moi avec un regard gourmand, tu prends mon sexe dans ta main tu le branles lentement puis, une fois qu’il a reprit toute sa vigueur après ces deux orgasmes, tu le portes à tes lèvres tu le suces avec une telle envie me faire jouir que je ne vais pas tenir longtemps. Au bord de l’explosion je te prend la tête à deux mains et essaye de me libérer de ton emprise, tu ne veux pas la lâcher tu a envie de la manger. Une fois libre je te relève et te retourne, tu poses tes mains sur ton bureau en tendant ta croupe merveilleusement cambrée en arrière pour me l’offrir. Je m’agrippe alors à tes hanches et je dirige mon sexe vers le tien tel un pieu près à t’empaler. La première pénétration fut violente et nous fait pousser un hurlement de plaisir, heureusement que l’école est maintenant déserte, les vas et viens suivants sont aussi intenses, mes mains sont maintenant occupées à malaxer ta poitrine et il ne faut pas longtemps pour que nous explosions tout les deux dans une harmonie totale je reste en toi un moment la tête posée sur ton dos nos souffle sont à nouveau très fort et synchronisés. Ce fut très fort et intense nous finissons ce parfait moment en nous embrassant tendrement pendant longtemps.
J'espère que vous avez aimé cette nouvelle histoire si c'est le cas ou non faites le moi savoir par mail ou sinon vous pouvez m’écrire la suite ou la même histoire de votre point de vue. Allez surprenez moi.
Merci à toutes celles qui m’ont écris.
Je vous embrasse très fort et très tendrement lonelydude ,)
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