Histoire sans titre
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Histoire sans titre
Du plus loin que je me souvienne, que ce soit à la maison, par ma mère ou mes frères et soeurs, ou à l'école par mes camarades, filles ou garçons, on a toujours aimé regarder ou toucher mes fesses.
A la maison, après le bain du soir, mes parents me laissaient vagabonder dans l'appartement cul nu. Ma grande soeur me couchait très souvent a plat ventre sur ses genoux, baissait mon slip et embrassait affectueusement mes petites fesses. Même mes frères y promenaient leurs mains. Au jardin d'enfant, les puéricultrices se débrouillaient toujours pour me mettre les fesses à l'air. Elles s'extasiaient : - Oh ! Quelles jolies fesses !
Plus tard, à l'école, pendant les cours de gym, il y en avait toujours un ou une , par jeu ? qui baissait mon short. A la piscine, n'en parlons pas. Ils avaient même inventé un jeu. J'étais debout face à l'eau et deux élèves passaient derrière moi en silence.
Pour réussir, ils devaient synchroniser leurs gestes. L'un attrappait mon maillot, l'autre me poussait dans l'eau. En général, je tombais dans la piscine et le maillot restait dans la main du pousseur. Celui-ci se dépêchait de le faire disparaître. Le maître-nageur me repêchait toujours nu comme un ver, sous les rires narquois des autres élèves. En réalité, j'attendais ces attaques. Montrer mes fesses m'a toujours apporté du plaisir. Les caresses à cet endroit de mon anatomie, c'était, et c'est encore le nirvana. Pendant l'adolescence, j'ai appris à dormir nu. A la colonie de vacances, le soir, quand le surveillant était endormi, les autres colons venaient me subtiliser draps et couvertures et m'arrachaient mon slip pour m'obliger à rester nu. Certains revenaient même, quand les autres dormaient, pour toucher, voire caresser mes fesses. Plus tard, ils iraient plus loin.
A force de contacts, je commençais à réagir. Mon sexe se dressait. Les plus grands me rendirent visite, d'abord par curiosité, puis pour se soulager. C'est d'ailleurs en colonie que j'ai sucé ma première bite.
Toujours nu sur mon lit, le gars s'est approché. Il était nu, lui aussi. Ma première réaction fut la peur. Il était plus grand et plus fort que moi, mais surtout, sa bite était bien plus grosse que la mienne et se dressait, menaçante, devant moi.
Le garçon la prit à pleine main et s'approcha de moi. Il me saisit par les cheveux et me fit m'asseoir. Il approcha sa bite près de ma bouche et la posa sur mes lèvres.
Je ne pouvais pas m'échapper. Il était la terreur de la colonie. Je ne pouvais attendre aucune aide de la part des autres. Ils regardaient tous, excités, la bite entrer dans ma bouche. Le costaud mit alors ses mains sur ma nuque et se mit à onduler des hanches faisant glisser sa bite entre mes lèvres. Encore plus raide qu'au début, il se retira et me prit par la main. Il m'emmena vers les toilettes. En chemin, il s'aperçut que les autres garçons ne dormaient pas. Il fit demi-tour et rejoignit mon lit. Il me fit monter à genoux au bas du lit. Il me fit asseoir sur mes talons et me coucher sur les cuisses. Dans cette position, j'avais les fesses en l'air. De deux doigts, il écarta mes fesses et posa sa bite sur mon petit trou. Il passa son bras gauche autour de ma taille et empoigna sa bite de la main droite pour maintenir le gland sur le trou.
Il commença à pousser puissamment. Le gland pénêtra difficilement. Il continua de pousser jusqu'à ce que le gland franchisse le passage. Pendant toute l'opération, mon corps s'était raidi et je transpirai sous la douleur. Mon corps était luisant. Il me laissa environ une minute de répit. La douleur s'estompa. Je n'avais pas gémi, encore moins crié. J'avais voulu montrer à tous que je n'avais pas pu me soustraire, mais n'avait pas voulu non plus me soumettre. J'étais sûr que les autres garçons étaient tous là, à me regarder me faire sodomiser. Excités, goguenards ou envieux ?
Je ne saurai jamais. Obnubilé par ces pensées, je fus réveillé par l'occupant de mon cul, quand il commença à remuer en moi. Sa bite entrait et sortait comme un piston.
Au moment de jouir, il eut un sursaut et enfonça sa bite entièrement dans mon cul.
Son pubis était collé à mes fesses et ses boules chatouillaient mes poils quand je sentis des jets liquides et chauds inonder l'intérieur de mon cul.
A la suite de cette nuit mémorable, j'ai insisté chaque année pour retourner en colonie. J'ai même présenté mon agresseur d'une nuit à mes parents comme étant mon meilleur copain. Il m'a même enculé plusieurs fois à domicile sans que mes parents ne sachent rien. J'ai même passé plusieurs nuits chez lui.
Il avait une chambre rien que pour lui. La porte fermée, il me chevauchait sans retenue.
En général, les élèves d'une école se retrouvent souvent dans le même lycée puis la même université. Ma réputation me précédait et j'étais attendu. Il y avait ceux qui haïssaient les homos et ceux qui en profitaient.
Je me suis donné à tous ceux qui le voulaient. Mais, une nuit, dans le dortoir de l'université, mes détracteurs ont voulu me punir. Ils m'ont violé.
Ils m'ont immobilisé sur mon lit. Ils ont ramassé mon slip et l'ont fourré dans ma bouche pour m'empêcher de crier. Ils m'ont retourné sur le ventre et m'ont sodomisé avec tout ce qu'ils ont trouvé. Comme ils n'avaient pas grand chose, certains, sous prétexte de me punir, ont utilisé leur sexe. Ils me pénêtraient brutalement, se succédant dans mon cul à toute vitesse. Certains éjaculaient, d'autres pas. Mon anus était boursouflé. Ils se sont arrêtés quand le sang a coulé.
Ils seraient vraiment déçus s'ils savaient le pied que j'ai pris cette nuit-là.
Maintenant, je hante les cinémas pornos, à la recherche de la suprème caresse sur la peau de mon cul nu.
A la maison, après le bain du soir, mes parents me laissaient vagabonder dans l'appartement cul nu. Ma grande soeur me couchait très souvent a plat ventre sur ses genoux, baissait mon slip et embrassait affectueusement mes petites fesses. Même mes frères y promenaient leurs mains. Au jardin d'enfant, les puéricultrices se débrouillaient toujours pour me mettre les fesses à l'air. Elles s'extasiaient : - Oh ! Quelles jolies fesses !
Plus tard, à l'école, pendant les cours de gym, il y en avait toujours un ou une , par jeu ? qui baissait mon short. A la piscine, n'en parlons pas. Ils avaient même inventé un jeu. J'étais debout face à l'eau et deux élèves passaient derrière moi en silence.
Pour réussir, ils devaient synchroniser leurs gestes. L'un attrappait mon maillot, l'autre me poussait dans l'eau. En général, je tombais dans la piscine et le maillot restait dans la main du pousseur. Celui-ci se dépêchait de le faire disparaître. Le maître-nageur me repêchait toujours nu comme un ver, sous les rires narquois des autres élèves. En réalité, j'attendais ces attaques. Montrer mes fesses m'a toujours apporté du plaisir. Les caresses à cet endroit de mon anatomie, c'était, et c'est encore le nirvana. Pendant l'adolescence, j'ai appris à dormir nu. A la colonie de vacances, le soir, quand le surveillant était endormi, les autres colons venaient me subtiliser draps et couvertures et m'arrachaient mon slip pour m'obliger à rester nu. Certains revenaient même, quand les autres dormaient, pour toucher, voire caresser mes fesses. Plus tard, ils iraient plus loin.
A force de contacts, je commençais à réagir. Mon sexe se dressait. Les plus grands me rendirent visite, d'abord par curiosité, puis pour se soulager. C'est d'ailleurs en colonie que j'ai sucé ma première bite.
Toujours nu sur mon lit, le gars s'est approché. Il était nu, lui aussi. Ma première réaction fut la peur. Il était plus grand et plus fort que moi, mais surtout, sa bite était bien plus grosse que la mienne et se dressait, menaçante, devant moi.
Le garçon la prit à pleine main et s'approcha de moi. Il me saisit par les cheveux et me fit m'asseoir. Il approcha sa bite près de ma bouche et la posa sur mes lèvres.
Je ne pouvais pas m'échapper. Il était la terreur de la colonie. Je ne pouvais attendre aucune aide de la part des autres. Ils regardaient tous, excités, la bite entrer dans ma bouche. Le costaud mit alors ses mains sur ma nuque et se mit à onduler des hanches faisant glisser sa bite entre mes lèvres. Encore plus raide qu'au début, il se retira et me prit par la main. Il m'emmena vers les toilettes. En chemin, il s'aperçut que les autres garçons ne dormaient pas. Il fit demi-tour et rejoignit mon lit. Il me fit monter à genoux au bas du lit. Il me fit asseoir sur mes talons et me coucher sur les cuisses. Dans cette position, j'avais les fesses en l'air. De deux doigts, il écarta mes fesses et posa sa bite sur mon petit trou. Il passa son bras gauche autour de ma taille et empoigna sa bite de la main droite pour maintenir le gland sur le trou.
Il commença à pousser puissamment. Le gland pénêtra difficilement. Il continua de pousser jusqu'à ce que le gland franchisse le passage. Pendant toute l'opération, mon corps s'était raidi et je transpirai sous la douleur. Mon corps était luisant. Il me laissa environ une minute de répit. La douleur s'estompa. Je n'avais pas gémi, encore moins crié. J'avais voulu montrer à tous que je n'avais pas pu me soustraire, mais n'avait pas voulu non plus me soumettre. J'étais sûr que les autres garçons étaient tous là, à me regarder me faire sodomiser. Excités, goguenards ou envieux ?
Je ne saurai jamais. Obnubilé par ces pensées, je fus réveillé par l'occupant de mon cul, quand il commença à remuer en moi. Sa bite entrait et sortait comme un piston.
Au moment de jouir, il eut un sursaut et enfonça sa bite entièrement dans mon cul.
Son pubis était collé à mes fesses et ses boules chatouillaient mes poils quand je sentis des jets liquides et chauds inonder l'intérieur de mon cul.
A la suite de cette nuit mémorable, j'ai insisté chaque année pour retourner en colonie. J'ai même présenté mon agresseur d'une nuit à mes parents comme étant mon meilleur copain. Il m'a même enculé plusieurs fois à domicile sans que mes parents ne sachent rien. J'ai même passé plusieurs nuits chez lui.
Il avait une chambre rien que pour lui. La porte fermée, il me chevauchait sans retenue.
En général, les élèves d'une école se retrouvent souvent dans le même lycée puis la même université. Ma réputation me précédait et j'étais attendu. Il y avait ceux qui haïssaient les homos et ceux qui en profitaient.
Je me suis donné à tous ceux qui le voulaient. Mais, une nuit, dans le dortoir de l'université, mes détracteurs ont voulu me punir. Ils m'ont violé.
Ils m'ont immobilisé sur mon lit. Ils ont ramassé mon slip et l'ont fourré dans ma bouche pour m'empêcher de crier. Ils m'ont retourné sur le ventre et m'ont sodomisé avec tout ce qu'ils ont trouvé. Comme ils n'avaient pas grand chose, certains, sous prétexte de me punir, ont utilisé leur sexe. Ils me pénêtraient brutalement, se succédant dans mon cul à toute vitesse. Certains éjaculaient, d'autres pas. Mon anus était boursouflé. Ils se sont arrêtés quand le sang a coulé.
Ils seraient vraiment déçus s'ils savaient le pied que j'ai pris cette nuit-là.
Maintenant, je hante les cinémas pornos, à la recherche de la suprème caresse sur la peau de mon cul nu.
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