HISTOIRE SURPRENANTE 2

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : HISTOIRE SURPRENANTE 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2013 dans la catégorie A dormir debout
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HISTOIRE SURPRENANTE 2
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je ne comprenais pas du tout ce qui pouvait se passer dans ce village mais après avoir ausculté toutes les filles malades, je ne pouvais dire qu’une chose, a mon avis elles étaient toutes enceintes et juraient qu’elles n’avaient jamais couché avec des garçons. Je ne pouvais pas inquiéter tout le village avant d’être sur de mon diagnostic, j’avais mes prélèvements et après une visite au laboratoire j’aurais la réponse.
J’ai demandé à M. le maire de me raccompagner à mon cabinet pour que je transmette mes prélèvements au labo et je repasserais dans quelques jours avec les résultats.
Pendant tout le trajet j’ai rêvé revoyant ces magnifiques jeunes filles se déshabiller devant moi. Et au plaisir qu’avais du avoir celui ou ceux qui étaient responsable de leur état.

Huit jours plus tard j’ai reçu les résultats d’analyse, elles étaient bien toutes les cinq enceintes, j’ai donc décidé de retourner à Briol pour confirmer mes doutes. Avec ma mini, je suis allé jusqu'à l’embranchement de la piste puis j’ai continué à pied. Il m’a fallu pratiquement toute la matinée pour rejoindre le village.
Quand je suis arrivé, j’étais assoiffé mais très content de la belle balade que je venais de faire. Apres m’être assis à la terrasse du café une jeune fille que je n’avais pas encore vue, est venu me demander ce que je voulais boire. Vu l’heure j’ai commandé un casa avec beaucoup d’eau. Elle m’a apporté un grand verre avec le casa et m’a montré la fontaine en me disant :
- L’eau c’est la, elle est très fraîche et a volonté.
Puis elle est repartie s’occuper d’une autre table. Pendant que je remplissais mon verre a la fontaine le maire est sorti de la mairie, en me voyant, il a levé le bras pour me saluer puis il est venu vers moi
- Bonjour Docteur, comment étés vous venu jusqu'à nous ?
- A pied, c’est pourquoi j’ai si soif
- Alors vous avez le résultat de vos analyses ?
- Oui mai il faudrait que je les voie toutes a nouveau pour confirmer, est-ce que ce serais possible cet après midi ?
- Oui bien sur, et vous venez manger avec nous, j’ai justement ma sœur qui est la, en vacances
Apres avoir commandé et bu deux ou trois autre tournées de casa, je suis parti avec M le maire chez lui, une belle maison dans les hauteurs du village. J’ai tout de suite reconnue Béatrice, sa fille, que j’avais ausculté quelques jours avant puis une autre femme, presque la même que Béatrice, en plus âgée, c’étais Julia la femme du maire. Puis on m’a présenté Gina une magnifique brune, c’étais la petite sœur du maire. L’accueil était très chaleureux, j’avais presque l’impression de les avoir toujours connus. Apres un bon repas bien arrosé, nous sommes partis vers la mairie, j’ai à nouveau reçu les filles l’une après l’autre dans ce magnifique cabinet. Après avoir fait entrer, Berthe, un peu grisé par les apéro et le vin, j’ai insisté pour qu’elle se déshabille complètement, même la culotte puis, je lui ai fait poser ses pieds sur les étriers de part et d’autre de la table. Une foie qu’elle a été en place j’ai pris une chaise et me suis installé entre ses jambes. Je l’ai senti frémir quand j’ai ouvert ses lèvres intimes, je l’ai entendu gémir quand j’ai frôlé du doigt la tête de son clitoris gonflé de désir. Tout doucement j’ai caressé ce petit minou qui s’emplissait de mouille. Elle a râlé de plaisir quand j’y ai enfoncé mon doigt, c’est sur, elle n’était plus pucelle et depuis longtemps. J’ai continué à la caresser jusqu'à l’extase. Apres quoi je lui ai demandé :
- Est-ce que tu as déjà eut les mêmes sensations dans ta vie ?
- Non docteur mais c’étais très agréables
- Je remarque pourtant que tu n’es plus vierge et depuis longtemps
- Je ne comprends pas, je n’ai rien fait, c’est la première foie de ma vie qu’un homme me touche comme vous l’avez fait.
- Tu mens, t’es enceinte d’au moins quatre mois, tu as du coucher avec un garçon.
- Non docteur je vous jure, je n’ai jamais rien fait.
- Rhabille toi et fait venir la suivante
- J’ai ausculté de la même manière Myriam qui comme la foie précédente ne portaient pas de sous vêtements, quand elle a été sur la table et que j’ai commencé à la caresser, elle s’est cachée les yeux et m’a demandé :
- vous allez m’ausculter comme la dernière foi, docteur ?
A cette idée je me suis remis à bander comme un fou.
- Non je ne pence pas.
- C’est dommage, tu m’avais donné beaucoup de plaisir.
- Je peu toujours t’en donner.
Et en parlant je me suis mis a caresser sa poitrine et ses tétons tout dur puis mes mains sont descendues sur son ventre pour enfin atterrir sur sa touffe déjà pleine de mouille. Quand j’ai enfoncé mes doigts dans son vagin, elle a serré ses cuisses emprisonnant ma main contre son minou puis elle s’est mise à onduler du bas ventre en gémissant de plaisir. Après qu’elle ait jouis en m’inondant la main de son plaisir elle s’est calmée.
- - Tu as raison docteur, j’ai eut autan de plaisir que l’autre jour.
- Est que tu as déjà eut la même sensation que maintenant ?
- Oui Docteur quelque foi la nuit, j’ai du plaisir comme maintenant mais ça me réveille et je suis toute seule.
- Tu n’as jamais fait ça avec un garçon ?
- Oh non docteur, a part l’autre jour avec vous, je m’en souviendrais.
- T’es sure, jamais un garçon ne t’a touché
- Non docteur, mais je me souviens qu’une foi j’ai rêvé qu’un garçon que je ne connaissais pas me faisait des trucs comme vous avez fait la semaine dernière et il me semble que j’ai eut beaucoup de plaisir mais ce n’étais qu’un rêve.
Apres l’avoir fait sortir j’ai continué avec Beatrice puis Julie, toutes les quatre ont réagies de la même manière et ont toute les deux jouis comme des folles sous mes doigts. Elles m’ont toute jurée qu’elles n’avaient jamais connu de garçon et que jamais un garçon ne les avait touchés comme je venais de le faire.
Moi, je n’en pouvais plus, j’étais complètement excité et je bandais comme un fou, mettez vous a ma place, voir ces filles magnifique se tordre de plaisir sous mes doigts, sentir les aromes subtils qui s’échappent d’elles quand elles jouissent et ne rien faire, c’étais une torture insupportable pour un homme normalement constitué. J’ai fait entrer la dernière, Christine, la plus jeune du groupe, je restais assis derrière le bureau ma blouse bien fermée devant moi, pendant qu’elle se déshabillait pour qu’elle ne remarque pas la grosse bosse sur le devant de mon pantalon. Une foi qu’elle a été en place, j’ai écarté les lèvres, pour Controller son pucelage, elle a gémis de plaisir quand j’ai introduit mon doigt, rapidement, elle a jouis en m’aspergeant la figure de son plaisir, c’est sur elle aussi n’était plus vierge depuis longtemps. Je lui ai demandé de se rhabiller et de rejoindre ses copines.

J’étais très perplexe, elles juraient toutes qu’elles n’avaient jamais connu de garçon et pourtant elles étaient bien toutes enceinte le plus dur maintenant allait être d’informer les parents, je m’attendais a des cris et des pleurs. Je suis resté un bon moment dans le bureau a contrôler mes notes et a préparer ce que j’allais pouvoir leur raconter et surtout pour faire baisser la pression qui s’exerçait sur ma braguette, ce fut le plus difficile.
Quand je suis sorti du bureau, ils étaient tous la a attendre mon diagnostic. Sans une hésitation, je me suis jeté a l’eau.
- Elles ne sont pas malade, ce qui leur arrive est tout à fait naturel, elles sont toutes enceinte.
Mon intervention venait de jeter un froid dans l’assistance. Au bout d’un petit moment, les cris ont commencées.
- Silence….. Je demande le silence…. Ce n’est pas la peine de les gronder, elles ne savent pas comment ça a pu se passer, elles m’ont toutes juré n’avoir jamais rencontré de garçon.
- Est que c’est miraculeux, le saint esprit ?
- Surement pas je ne crois pas a ce genre de miracles.
- Est-ce qu’elles sont encore vierges ?
- Non et surement depuis un bon moment.
- Comme le silence était retombé sur la salle je me suis lancé.
- Pouvez-vous me dire si vos filles se trouvent seules souvent ?
- Non jamais, il y a toujours quelqu’un avec elles ou elles sont en groupe de deux ou trois.
- Est-il possible que des garçons du village ou d’un village voisin puissent venir câliner vos filles sans que vous ne le sachiez
- Non c’est impossible, dans la journée elles sont au lycée ou a leurs taches habituelles, le soir elles sont avec nous. Les garçons du village ont tous un travail, et il n’y a pas de relation avec les villages du voisinage, le plus proche est à quatre heures de marche.
- Bon il se fait tard, vous allez rentrer chez vous et profiter de la soirée pour me faire l’emploi du temps et la liste de ce qui a changé depuis le début de cette année dans les environs, avec ça, nous verrons peut être plus clair sur cette histoire. Et ce n’est pas la peine de crier contre vos filles, elles n’y sont pour rien.
Tout le monde est parti, seule la famille de M le maire est resté et m’a proposé de venir manger chez eux car vue l’heure tardive je ne pouvais pas rentrer a la ville.
Une foie chez eux seul le maire et sa sœur sont resté avec moi, sa femme et sa fille se sont éclipsées. Nous avons bu plusieurs apéritifs en discutant de la pluie et du beau temps, puis les femmes sont revenues et nous sommes passés à table. A la fin du repas, pendant que nous buvions un digestif, M le maire m’a indiqué que tout a l’heure les femmes étaient parties préparer une maison dans le bas du village pour que je puisse m’installer pour la nuit. Sa sœur, la très belle Gina s’est proposée pour m’accompagner. pendant le chemin, nous avons discuté de sa vie, j’ai appris qu’elle s’était marié très jeune, vers dix sept ans avec l’homme qui avait pris sa virginité la faisant rêver de vie meilleure et de voyages et pour fuir la vie monotone de ce petit village perdu, que son maris était marin et qu’elle ne le voyait que très rarement, depuis quatre ans qu’ils se sont marié elle ne le voyait qu’une quinzaine de jours tous les trois ou quatre mois pendant ses périodes de repos, et au fil du temps leurs retrouvailles étaient de moins en moins agréables, qu’ils n’avaient pas d’enfants et que maintenant elle était seule depuis plus de six mois, le bateau ou travaillait son mari n’entais pas revenu au port, elle était sans aucune nouvelles, elle ne savais pas si il était encore vivant mai ça ne l’inquiétais pas trop, depuis longtemps, elle ne l’aimais plus, ses visites étaient plutôt un supplice qu’une joie pour elle c’est pour cela qu’elle était revenue au village chez son frère.
J’en avais beaucoup plus appris sur elle pendant ces dix minutes de marche que depuis que je la connaissais. Nous sommes enfin arrivés devant une maison en pierre, dans la cheminée un beau feu brulait et réchauffait l’atmosphère. Elle m’a fait visiter, c’étais une très belle maison puis elle m’a confié.
- C’étais la maison de mes parents, je n’y habite plus depuis mon mariage, depuis leur mort dans un accident elle est tout le temps fermée, c’est pour chasser l’humidité qu’elles ont allumé le feu. Venez nous allons nous réchauffer au salon. Si vous voulez boire quelque chose il doit y avoir encore du myrte et des verres dans le buffet a coté de la cheminée.
J’ai pris deux verres et la bouteille de myrte, je me sentais bien, j’étais sous le charme de cette magnifique femme assise la, devant moi, sur le canapé.
Apres avoir servi, je me suis approché d’elle, lui ais tendu son verre, j’ai senti un frisson me parcourir le dos quand nos doigts se sont frôlés, une sorte de décharge électrique nous a enflammé tous les deux. Au lieu de lâchera le verre je me suis approché et je l’ai embrassé. Elle a goulument répondu a mon baiser, je la sentais toute mole dans mes bras, offerte a mon désir. J’étais ivre des senteurs musquées qui se dégageaient de son magnifique corps, mes mains ont lâché le verre qui s’est renversé sur le tapis pour partir a la découverte de cette très belle femme. Mon excitation était extrême, j’en avais mal aux couilles. Nous nous sommes mutuellement déshabillés tout en nous embrassant avidement. Je n’en pouvais plus, j’allais exploser. Quand elle a dégrafé mon pantalon pour faire jaillir mon chibre, je n’ai pas pu me retenir et sous les caresses de cette main très douce j’ai explosé. Comme elle semblait un peu gênée par mon exploit, je me suis glissé entre ses jambes pour butiner sa toison, elle m’a laissé faire et s’est mise à gémir de plaisir sous mes coups de langue. Je sentais mon sexe se gonfler de nouveau, je suis remonté sur son corps magnifique et tout en la pénétrant je me suis mis à téter sa magnifique poitrine. Quand nous sommes arrivés a l’orgasme total tous les deux en même temps, j’ai essayé de me retirer, elle a serré ses jambes dans mon dos, dans un râle elle a murmuré :
- reste, c’est trop bon.
C’étais merveilleux, j’ai explosé tout au fond de son corps offert en écoutant ses cris de jouissance, comme dans un rêve nous sommes resté la, immobile, a savourer notre orgasme.
Au bout d’un long moment c’est elle qui a rompu le silence.
- Si nous partions au lit
Nous nous sommes décollé et nous sommes partis dans la chambre, elle marchait devant moi et son corps félin d’une blancheur de porcelaine a fait renaitre en moi le désir. A l’entrée de la chambre je bandais a nouveau, je l’ai poussée vers le lit et je l’ai a nouveau pénétré. C’étais merveilleux, elle répondait a toutes mes attentes, nous avons a nouveau atteints l’orgasme ensemble, juste avant de nous endormir, l’un dans l’autre.

Quand je me suis réveillé le matin elle n’était plus dans le lit et une bonne odeur de café chaud flottait dans la maison. Je me suis levé pour aller vers la cuisine quand je l’ai vue, elle était en chemise de nuit, a quatre pattes a coté du canapé entrain de frotter le tapis a l’endroit ou j’avais fait tomber le verre de myrte. Mon sang n’a fait qu’un tour, en la regardant si belle, offerte, je me suis remis à bander, je me suis approché doucement, j’ai attrapé ses hanches, relevé sa nuisette et je l’ai possédé. Elle a tout de suite gémis de plaisir sous mes coups de reins et a nouveau nous avons jouis en même temps, c’étais merveilleux de l’entendre crier son plaisir en même temps que moi. Nous étions fait l’un pour l’autre, c’étais indéniable. Apres cette nouvelle jouissance, nous Avon déjeuné et nous sommes partis à la mairie voir si l’enquête progressait.
Nous avons étudié les emplois du temps des filles et constaté que rien n’avait changé depuis plus d’un an. Apres ce nouveau cul de sac, comme Gina était partie chez son frère, j’ai décidé de me promener dans le village. Tout le monte vaquais a leur occupations habituelles, c’étais merveilleusement calme, pas de voitures bruyantes, les deux seul véhicules du village étaient la jeep du maire et le camion 4x4 de l’épicier il lui servait deux fois par semaine pour aller a la ville voisine s’approvisionner. Les livraisons aux fermes voisines étaient faites a dos de mule comme au bon vieux temps. En passant derrière l’épicerie, je l’ai justement vu préparer ses mules, il en avait deux, qu’il chargeait méticuleusement. Une chose m’a surpris, sur l’une des mules il y avait une quinzaine de pack de bière, sachant que ce n’est pas la boisson habituelle des gens de ce magnifique pays je l’ai interrogé.
- C’est pour qui toute cette bière,
- Pour les allemands qui ont acheté et refait la ferme des Guili
- Il y a longtemps qu’ils sont installé la bas ?
- A peu prés deux ans pourquoi ?
- Pour rien c’étais juste par curiosité.
- Ils y habitent toute l’année ?
- Oui, je crois, mais pas au début, ils ont fait énormément de travaux, ils se faisaient livrer par hélicoptère, mai maintenant je pence que la maison est toujours habitée mais il y a beaucoup de mouvement du coté de chez eux, ce sont jamais les mêmes qui me commande leur ration de bière de la semaine.
- Ils passent au village pour vous commander ?
- Non ils se contentent de m’appeler
- C’est vous qui les livrez a chaque foie ?
- Non pas toujours, quelque fois c’est mon fils ou ma fille qui y vont, ils aiment bien y aller car ils peuvent se baigner dans la piscine.
- Myriam, Christine, Beatrice et Julie y sont allé elles aussi ?
- Non je ne sais pas peut être avec Berthe mais je ne peux pas vous l’affirmer.
Perplexe, je suis parti à la recherche de Berthe, quand je l’ai enfin trouvé, je lui ai demandé.
- Est-ce-que tes copines sont parties avec toi se baigner chez les allemands,
- Oui mais ce ne sont pas les seules, Claudine et Paule aussi sont venues avec moi, ils sont très sympa et quand papa a des livraisons à faire, nous y allons et profitons de leur magnifique piscine.
Me doutant de quelque chose je suis parti à la mairie et j’ai demandé a voir en consultation Claudine et Paule.
- Elles sont arrivées au bout d’une bonne heure, l’air inquiète.
- Pourquoi vous voulez nous voir docteur.
- Juste une consultation de routine. Vous avez quel age ?
- Dix huit et dix neuf ans pourquoi ?
- Avez-vous des petits copains ?
- Il ne faut pas le répéter mais au lycée, en ville nous avons des copains. Pas ici.
- Est-ce que vous couchez avec eux ?
- Oui ça nous arrive de temps en temps mais nous ne risquons rien nous prenons la pilule et en plus on les oblige à mettre des préservatifs.
- Ah ! je comprends et vos parents, ils savent ?
- Non nous n’avons pas voulu leur en parler, vous ne direz rien docteur.
- Non bien sur c’est un secret entre vous et moi. Merci beaucoup mesdemoiselles, vous m’avez bien aidé.
Maintenant mes soupçons étaient de plus en plus précis mais je n’arrivais pas a comprendre comment ils avaient pu profiter de ces jeunes filles sans qu’elles s’en rendent compte. Il fallait faire une nouvelle tentative.
Je suis parti voir le maire et l’épicier puis j’ai mis mon plan a exécution.
Ils ont demandés à Claudine et à Gina d’apporter la commande à la villa. Elles ont accepté et je les ai discrètement suivis. Il faisait très chaud en ce début d’après midi, après une bonne heure de marche, j’étais très content d’avoir la gourde que m’avais donné le maire pour me rafraichir.
Les filles elles n’avaient rien a boire, elles devaient atrocement souffrir en plein soleil sur ce chemin cahoteux. Au bout d’un moment elles se sont arrêtées au bord du chemin à l’ombre d’un gros chêne. Puis elles se sont mises à boire l’eau qui sortait d’une source naturelle. Elles ont un peu chahuté en s’aspergeant puis elles ont repris la route. Dix minutes plus tard elles étaient devant un grand portail métallique qui barrait la route. Elles ont sonné et attendu un bon moment qu’un homme gigantesque avec deux chiens vienne leur ouvrir. De la ou j’étais, en hauteur, derrière des fourrés, je n’entendais pas ce qu’ils se disaient puis j’ai vu Gina et Claudine, commencer à se déshabiller, plier leur vêtements et les poser sur un gros rocher a coté du portail. Quand elles ont été entièrement nue, Claudine s’est approchée du géant, s’est accroupie, lui a ouvert la braguette et s’est mise à le sucer. Je n’en revenais pas, Gina s’étais appuyé sur le rocher et se caressait la motte pendant que Claudine pompait le malabar. Au bout d’un moment, il a poussé Claudine puis s’est introduit en Gina qui commençait a gémir de plaisir sous ses caresses. Il l’a sauvagement possédé pendant un moment avant de rugir son plaisir. Apres s’être retiré il leur a parlé un moment, je les ai vu prendre leur vêtements et le suivre jusqu'à la villa. J’ai essayé de m’approcher mai les chiens ont du me repérer et m’ont obligé a m’éloigner. Pendant un bon moment j’ai réfléchi a la situation, il n’y avait qu’une explication, elles devaient être droguées. Le seul moment ou je les ai vi boire ou manger c’étais a la source, il fallait que je comprenne. Je suis reparti sur mes pas jusqu'à la source, la, j’ai vidé ma gourde et je l’ai rempli de cette eau très fraiche qui jaillissait de terre. Puis je me suis éloigné et j’ai attendu qu’elles reviennent. Il m’a fallu attendre presque deux heures avant de les entendre puis de les voir, marchant, l’une a coté de l’autre devant la mule, elles se racontaient des histoires et riaient. Quand elles m’ont vu, elles ont parue surprises, je leur ai expliqué que ça faisait plus de quatre heures qu’elles étaient parties et que je m’inquiétais. Je leur ai demandé
- Comment s’est passé cette livraison,
- Très bien, comme d’habitude, ils ont payé cash et nous ont laissé nous baigner dans leur piscine.
- Vous avez du bien en profiter, il y a longtemps que vous êtes parties
- Oh non nous nous somme baignées environ dix minutes mais la route est longue pour venir du village.
- Allez on rentre, je vous accompagne.
J’ai fait comme si rien d’anormal ne s’étais passé puis au bout d’un moment j’ai repère une petite clairière au bord du chemin, je leur ai proposé de faire une petite halte pour se reposer et boire un coup en leur tendant ma gourde. Elles ont accepté, ont bue a tour de rôle et sont parties s’asseoir a l’ombre d’un gros châtaigner. Au bout d’un bon quart d’heure je me suis mis à parler :
- Déshabillez-vous.
- C’étais a peine croyable, sans aucune protestation, elles se sont levées et ont commencé à se déshabiller.
- rangez vos vetements sur le rocher
- Comme des zombis elles ont soigneusement plié leur vetements et les ont posés sur le rocher. J’avais envie de profiter de cette situation mais mon honneur a pris le dessus. Apres les avoir un peu caressé, j’ai ordonné
- rhabillez-vous
Puis m’adressant à Gina j’ai ajouté
- Donne-moi ta culotte
- Quand elles ont été toute les deux rhabillées j’ai demandé
- allez vous coucher a l’ombre et dormez.
Sans la moindre hésitation elles se sont couchées au pied de l’arbre. Deux bonnes heures après je les ai réveillé, elles n’en revenaient pas d’avoir aussi bien dormi et rapidement nous nous sommes remis en route vers le village. En chemin je me suis approché de la belle Gina et je lui ai glissé dans l’oreille.
- je sais comment les filles sont tombées enceinte et je connais les coupables.
- Qui c’est, dit moi qui c’est.
- Ce sont les allemands de la villa, ils les ont drogué et ont abusé d’elles.
- Non, ce n’est pas possible, ils sont trop gentils.
- Tu veux une preuve
- Oui, pourquoi, t’as des photos ?
- Non mai qu’est que nous avons fait pendant la pose.
- Rien, nous avons juste dormis.
En sortant sa culotte de ma poche je lui dis
- Et ça, qu’est-ce que c’est
Elle est devenue toute rouge, a tâté pour s’assurer que c’étais bien la sienne puis s’est exclamée
- nous avons fait l’amour devant Claudine ?
- non mai presque j’aurais pu vous faire l’amour a toutes les deux et vous ne vous serez souvenu de rien. L’eau de ma gourde vient de la source ou vous avez bue, les allemands vous ont toute les deux baisée pendant plus d’une heure avant de vous envoyer vous baigner. Vous ne vous souvenez de rien car la source est polluée par une sorte de drogue qui est très aphrodisiaque à voir votre comportement et qui inhibe toute volonté en plus elle efface la mémoire de ceux qui en prenne. N’en parle a personne, je souhaite étudier plus en détail l’eau de cette gourde et comprendre d’où vient cette pollution.
Une foie rentré au village nous avons fait comme si rien de spécial ne s’étais passé. Le soir venu, Gina m’a raccompagné dans sa maison et nous avons fait l’amour comme des fou une grande partie de la nuit. C’étais fantastique, nous étions en pleine osmose comme si ça faisait des années que nous nous connaissions. Nous étions faits l’un pour l’autre. Le matin bien que fatigué, j’ai demandé au maire de me raccompagner jusqu'à ma voiture, de la je suis directement parti au laboratoire pour faire analyse l’eau le plus rapidement possible. En début d’après midi j’avais les résultats, c’est le directeur du laboratoire qui a insisté pour me les remettre dans son bureau.
- ou avez-vous prélevé cette eau ?
- Dans la montagne, une source en bord de chemin.
- Ah bon !! je croyais que cette eau provenait d’une zone industrielle.
- Pourquoi ?
- Regardez-la, des traces de chlorure, de nitrates, de phosphates, des sulfates, et aussi un autre composé que nous n’avons pas pu identifier. Ce n’est pas de l’eau d’une source de nos montagnes.
- Pourtant oui, je suis sur de l’endroit, regardez sur cette carte, c’est ici, elle est même repéré. Par rapport a la carte il n’y a qu’une chose qui a changé, ici maintenant il y a une grande maison a la place de la ferme.
- Est-ce qu’il y a une piscine ?
- Oui bien sur.
- Voila d’où viennent les traces de chlorure, de nitrates, de phosphates, des sulfates, le système de filtration de la piscine doit se purger dans la nappe qui alimente cette source, par contre l’autre composé, je ne voie pas d’où il peu venir. Quand nous avons essayé de l’isoler en chauffant, il s’est évaporé vers quatre vingt cinq degrés et regardez la réaction de la laborantine qui travaillais dessus.
Il met un magnétoscope en marche, sur l’écran, le laboratoire, il avance la bande et a un moment arrête et dit :
- Regardez la fille en haut de l’écran.
On la voyait très bien, elle a vidé de l’eau de la gourde dans une éprouvette puis a passé son éprouvette au dessus d’une flamme. Au bout d’un petit moment une vapeur s’est élevée, il semble que la fille ait respiré ces vapeurs car elle a d’un coup lâché le tube, s’est levé, a retiré sa blouse et ses autres vêtements pour se mettre a se caresser énergiquement, ça paraissait incroyable, elle semblait avoir énormément de plaisir. Au bout d’un moment, elle s’est arrêté, a regardé autour d’elle, a ramassé ses vêtements et s’est enfuie.
- Elle est partie ou ?
- Dans le vestiaire, elle était toute honteuse de se trouver au milieu du labo entièrement nu. Apres s’être rhabillée, c’est elle qui est venue me voir pour me demander d’arrêter de travailler sur cette eau. Comme j’ai été surpris par sa demande j’ai regardé la vidéo surveillance et voila.
- Est-ce que cette eau est potable ?
- Oui, elle pourrait les traces de chlorure, de nitrates, de phosphates, et des sulfates, sont très faibles mai l’autre composé, je ne sais pas. Est que vous en avez bu ?
- Non pas moi mai j’ai vue une femme en boire.
- Comment a-elle réagit ?
- Un peu comme votre laborantine mais ça a duré beaucoup plus longtemps.
- Ce composé ne doit pas être toxique, par contre c’est un super aphrodisiaque et inhibiteur de volonté.
- Oui mais en plus il efface la mémoire, ça parait incroyable qu’il existe de tel produits.
- Ce n’est pas un produit courrant, nous le connaitrions, la nous avons quelque chose de tout nouveau. C’est peut être naturel ou ça provient d’un laboratoire. en tout cas c’est une drogue qui a des effets très surprenants.
- Pouvez-vous garder le secret quelques temps sur cette découverte, j’ai envi d’enquêter sur cette villa.
- Oui d’accord, je vous donne un mois
- Merci et a bientôt.
Il m’a fallu un bon moment pour acheter tout ce dont j’avais besoin pour enquêter et rentrer au village. Quand je suis rentré il était très tard, Gina dormait déjà profondément. En la voyant ainsi dormir, a moitié nue, malgré ma fatigue, je n’ai pas pu m’empêcher de caresser doucement sa poitrine, ses tentons se sont mis à pointer, l’envie était trop forte, je les ai pris, l’un après l’autre, dans ma bouche pendant que ma main descendait sur son ventre et sa toison luxuriante. Tout en dormant, instinctivement elle a écarté les jambes pour me laisser la place, je l’ai caressé doucement jusqu'à l’orgasme, ça ne l’a pas réveillée. Je me suis couché a coté d’elle, la main pleine de son plaisir odorant et me suis endormis comme un plomb.
Le lendemain après un bon café, je suis parti pour surveiller la villa. Une foi sur place je me suis trouvé une bonne cachette en surplomb, de la, je pouvais voir tout ce qui se passait autant dans le salon de la maison par les grandes baies vitrées que dans la cours et au bord de la piscine. En fin de matinée, j’avais repéré une dizaine d’hommes et deux femmes, tout semblait calme, un groupe de six hommes travaillaient dans une sorte de hangar fermé derrière la maison, les quatre autres, s’occupaient de grosses moto tout terrain. Vers onze heures les moto ont démarré et sont partis a travers le maquis. Vers midi les hommes qui étaient dans le hangar sont revenus vers la maison pour un bon repas que les deux femmes avaient préparé. Apres le repas, tout le monde a fait une longue sieste jusqu’au retour des motos. Ensuite ils se sont mis à boire et a chanter jusqu'à assez tard dans la nuit. Quand tout le monde s’est couché, je suis reparti de mon poste d’observation et je suis rentré. Le lendemain matin, j’étais en planque bien avant que la maisonnée se réveille, mais je n’ai rien pu voir de plus que la veille. A nouveau certains sont partis travailler dans le hangar pendant que les autres préparaient les motos puis a nouveau vers onze heure les motos sont parties pour revenir le soir, après la tombée de la nuit. Pendant toute la fin de la semaine, ça a été le même manège. La semaine suivante après qu’ils aient passé leur commande a l’épicerie, j’ai demandé a M le maire que ce soit Berthe, Myriam et Christine qui fassent la livraison. Il a accepté et elles, très heureuses a l’idée de pouvoir se baigner étaient ravies. J’ai insisté pour qu’elles emportent des gourdes d’eau du village et je leur ai interdit de boire à la source. Rapidement je suis parti a mon point d’observation pendant qu’ils chargeaient les mules. Au bout d’un bon moment je les ai vu arriver, elles semblaient toute les trois très heureuses de se promener. Apres qu’elles aient sonné au portail, le géant avec le chien est arrivé. Il a semblé surpris de les voir toute les trois discuter ensemble, il les a fait entrer dans le salon, une des filles leur a apporté a boire pendant que les hommes déchargeaient les mules. Apres un moment elles se sont toutes mise a se déshabiller les filles du village comme les deux allemandes. Les deux allemandes, facilement reconnaissables grâce a leur blonde chevelure se sont mise a caresser nos filles, elles ne semblaient pas réagir et se laissaient faire comme si c’étais tout a fait naturel. Les homes sont revenus et pendant plus de deux heures, ils ont profités de ces belles filles sans aucun complexe, se faisant caresser par les blondes pour jouir dans le ventre des brunes. A un moment une des allemande s’est assise sur le ventre de Christine et lui a maintenu les jambes écartées en l’air l’autre blonde est venue devant elle avec un pénis dans chaque main qu’elle masturbait activement. Au bout d’un moment elle les a lâché pour enfoncer ses doigts dans le minou de Christine et de lui écarter pour que les deux hommes puissent jouir a l’intérieur. A coté, deux autre hommes possédaient en même temps Berthe, un devant, l’autre derrière, je voyais son visage crispé par la douleur qu’elle devait ressentir mais je ne pouvais rien faire, J’étais écœuré par toute cette débauche. Vers la fin, ils leur ont mis des maillots et les ont envoyées se baigner. Apres un moment une des filles de la maison les a appelé, leur a demandé de sortir de l’eau, les a payé et les a ramenées vers le portail ou attendait le géant avec les deux mules. Apres des signes de la main elles sont reparties vers le village comme si rien ne s’étais passé pourtant, j’avais bien vu, les huit hommes et les deux femmes avaient profités de leur corps pendant plus de deux heures. Elles avaient surement été droguées après leur entrée dans la villa. La drogue dans la source n’étais donc pas naturelle, ce devais être la même qu’ils avaient fait prendre aux filles, c’étais donc eux qui la fabriquaient. Je devais a tout prix savoir ou partaient ces motos tous les jours. Le lendemain matin j’ai fait le tour des stations essence de la région pour savoir si les motos ne venaient pas se ravitailler. Apres quatre stations ou ils ne les avaient pas vu, j’ai eut enfin de la chance. Devant ma voiture sur la route, une de ces moto, j’ai ralenti pour ne pas me faire remarquer et je l’ai suivi jusqu’au port de la ville voisine. La, elle s’est arrêté, son pilote a pris une sacoche puis est parti dans la foule de ce début d’été. J’ai attendu presque trois heures dans ma voiture en plein soleil avant qu’il revienne. Quand il a démarré, j’ai repris ma filature puis je me suis fait bloquer par un autre véhicule d’où sont sortis trois hommes, arme au poing. C’étaient la police des stups, ils surveillaient depuis plusieurs mois les motards et avaient remarqué mon manége. Me prenant pour un petit trafiquant ils m’avaient arrêté. Quand je leur ai raconté mon histoire ils ont tout de suite compris, eux suivaient les distributeurs pour remonter vers le laboratoire mais ils se faisaient semer à chaque foie par contre moi, je connaissais le laboratoire et je cherchais a savoir ce que faisaient les distributeurs. En unissant nos forces, nous pourrons faire stopper cet ignoble trafic. Le lendemain, j’accompagnais deux inspecteurs vers mon point d’observation sur les hauteurs au dessus du mas. De notre cachette nous avons pu assister a tous les aller et venue de la maison j’usqu’au départ des motards. Le reste de l’après midi fut assez monotone, jusqu’aux retours des motards a travers le maquis. Apres leurs retours nous sommes repartis. En passant dans le village je n’ai même pas eut le temps de m’arrêter voir la belle Gina pourtant, j’en avais une énorme envie. Apres avoir quitté les deux inspecteurs, je me suis remis a penser a elle, a cause de l’enquête ça faisait presque deux semaines que je n’avais pas couché avec elle et ça commençait a me manquer énormément. C’était décidé, avec ma petite voiture tout terrain je repartais vers le village. Quand je suis arrivé, la nuit était tombée, je me suis rendu chez M le maire sous prétexte de l’informer.
- Bonjour docteur comment ça va ?
- Bien, je vous remercie.
- Je vous ai vu passer tout à l’heure avec deux hommes.
- Oui c’est vrai j’étais avec la police pour cette histoire mai comme ils étaient pressé nous ne nous sommes pas arrêté. Je suis revenu maintenant pour vous informer de la situation.
- Ah bon et que se passe-il ?
- Les allemands du mas sont des trafiquants de drogue. C’est grâce a cette drogue qu’ils ont pu engrosser les filles du pays sans qu’elles s’en rendent compte. Pendant que je faisais mon enquête, ici, la police elle enquêtait dans les villes du bord de mer ou ils vendaient leur marchandise. Maintenant ils sont sur de leur coup et vont intervenir dans quelques jours.
- C’est super, voulez vous un casa ?
- Oui bien sur, toute cette histoire m’a donné soif.
Nous avons continué a discuter un bon moment en dégustant nos casa puis il s’est lancé :
- Vous n’allez pas repartir le ventre vide, vous allez rester manger avec nous.

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