Histoire véritable épisode 1
Récit érotique écrit par Pierretfeu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2004 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Histoire véritable épisode 1
Cette histoire que je m’apprête à vous raconter c’est réellement déroulée voilà maintenant 2 ans.
J’étais à l’époque avec mon ex petite amie et à cause de notre situation financière, nous vivions chez sa mère qui elle vivait seule. Tout en aillant notre indépendance puisque nous nous étions aménagé un petit deux pièces au rez de chaussé, ma belle mère vivant elle dans son appartement au premier étage.
Cependant cette dernière continuait d’utiliser régulièrement sa machine à lavé qui se trouvait en bas.
J’étais depuis longtemps attiré par les formes épanouies de ma belle mère et je la matais chaque fois que cela était possible. Tout d’abord par l’échancrure de son peignoir lorsqu’elle descendait s’occuper de sa machine à lavé où à toute occasion possible.
Jusqu’au jour où j’ai remarqué quelle ne fermait pas la porte de sa salle de bain qui se trouve juste en face de l’entrée de son appartement , en haut de l’escalier.
Ce fût désormais un rituel pour moi de monter tous les matins en haut de l’escalier en veillant à ne pas faire de bruit, afin de regarder ma belle mère se laver à travers la serrure de la porte.
La première fois j’ai bien cru éjaculer directement dans mon caleçon tellement la vision de ses énormes seins un peu tombants m’avait excité. Mais, j’ai malgré tout, profité du spectacle jusqu’au bout en me masturbant derrière la porte.
A partir de ce jour je suis monté tout les matins pour la regarder et me branler et jouir de voir son gros cul, sa chatte bien poilue et ses gros seins. Il me semblait même quelle se lavait d’une manière différente depuis quelque jours , elle était toujours tournée du coté de la porte et prenait soin de bien écarter sa chatte pour la savonner et la rincer, chose quelle ne faisait pas au début. Cela me faisait bander à tout rompre et je giclais copieusement dans mes mains devant ce spectacle.
A partir de là le désir de m’exhiber devant ma belle mère fut de plus en plus présent.
J’eus alors l’idée de guetter par la porte de mon deux pièces, lorsque elle descendait les poubelles au rez de chaussé ; je doit signaler que les toilettes du bas étaient en face de ma porte d’entrée et que par conséquent il me fallait traverser le couloir pour m’y rendre et ainsi passer devant ma belle mère (Marie) lorsqu’elle revenait.
Je me préparais à mon exhibition je ne portais qu’un maillot de corps pour tout vêtement et derrière ma porte, le sexe pendant en demi-érection je l’attendait. Quelques minutes plus tard je l’entend qui descend les escaliers et qui se dirige vers le placard à poubelles, c’est le moment ! j’y vais j’ouvre la porte et faisant mine de ne pas l’avoir entendue je traverse le couloir en direction des toilettes, le sexe à l’air, gonflé par l’excitation. Je suis passé elle m’a vu j’en suis sûr mais tout est allé très vite.
Dans les toilettes je bande et me masturbe, tellement cette furtive exhibition m’a mis dans tous mes états.
Je ne pense plus qu’à renouveler cette expérience et je prépare un plan pour me permettre de lui en montrer plus.
Cela ce déroule un mercredi matin Marie ne travaille pas ce jour là et ma copine est à l’école, je sais par habitude que ce jour là elle fait son repassage hebdomadaire. Seulement j’avais prévu de lui emprunter la veille le fer à repasser et je l’avais laissé sur le bureau de ma chambre. Il est tôt environ 8 heures et je l’imagine cherchant son fer et ne le trouvant pas, se rappeler soudainement que je lui avais emprunté et pas rendu. Elle décide alors ( ce que j’avais prévu, car cela s’était déjà produit ) de venir frapper à la porte de ma chambre pour me demander son fer. Moi de mon côté j’avais échafaudé un plan parfait à savoir, le caméscope branché et caché en haut de l’armoire, dirigé vers la porte de la chambre, quant à moi je m’étais entièrement rasé le sexe et je faisais mine de dormir en aillant bien sûr pris soin de me découvrir et de mettre mon sexe en érection. Elle frappait déjà pour la deuxième fois, je déclenche le caméscope avec la télécommande et referme les yeux, j’entends la porte qui s’ouvre et Marie prononcer un timide « tu dors ? » Je ne répond pas, toujours les yeux fermés je l’imagine à présent dans l’encadrure de la porte elle doit avoir une vue imprenable sur ma queue qui bande à m’en faire mal, j’écoute alors quelle s’immobilise, moi je reste impassible « « je dors ! » son souffle semble s’accélérer, des bruits de tissus que l’on déplace puis des soupirs et encore des soupirs quant à moi mon sexe rasé n’en finit plus de grossir j’écoute Marie qui halète, elle se branle j’en suis sûr ! Cette scéance s’achève je l’écoute prendre le fer sur le bureau et elle repart au premier étage. Aussitôt je me précipite sur la caméscope pourvu que ça est fonctionné !, je rembobine la cassette et appui sur play après quelques secondes d’un écran brouillé je découvre ma belle mère entrain d’ouvrir la porte et de constater la vision qui s’offre à elle, après s’être mordillé la lèvre elle descend sa main vers sa chatte, ah j’en étais sur !!, à présent je me branle en regardant Marie en faire de même dans ma caméra. L’image est très nette je la voie ce mettre un puis deux puis trois doigts dans la fournaise de son sexe et enfin elle jouis dans des spasmes qui la secouent de la tête au pieds puis elle repart par la porte avec son fer , moi aussi j’ai jouit et mon sexe me semble démesuré je n’ai jamais été autant excité.
Mais je n’avais pas finit de concocter des plans pour renouveler mon exhibition à SUIVRE.....
J’étais à l’époque avec mon ex petite amie et à cause de notre situation financière, nous vivions chez sa mère qui elle vivait seule. Tout en aillant notre indépendance puisque nous nous étions aménagé un petit deux pièces au rez de chaussé, ma belle mère vivant elle dans son appartement au premier étage.
Cependant cette dernière continuait d’utiliser régulièrement sa machine à lavé qui se trouvait en bas.
J’étais depuis longtemps attiré par les formes épanouies de ma belle mère et je la matais chaque fois que cela était possible. Tout d’abord par l’échancrure de son peignoir lorsqu’elle descendait s’occuper de sa machine à lavé où à toute occasion possible.
Jusqu’au jour où j’ai remarqué quelle ne fermait pas la porte de sa salle de bain qui se trouve juste en face de l’entrée de son appartement , en haut de l’escalier.
Ce fût désormais un rituel pour moi de monter tous les matins en haut de l’escalier en veillant à ne pas faire de bruit, afin de regarder ma belle mère se laver à travers la serrure de la porte.
La première fois j’ai bien cru éjaculer directement dans mon caleçon tellement la vision de ses énormes seins un peu tombants m’avait excité. Mais, j’ai malgré tout, profité du spectacle jusqu’au bout en me masturbant derrière la porte.
A partir de ce jour je suis monté tout les matins pour la regarder et me branler et jouir de voir son gros cul, sa chatte bien poilue et ses gros seins. Il me semblait même quelle se lavait d’une manière différente depuis quelque jours , elle était toujours tournée du coté de la porte et prenait soin de bien écarter sa chatte pour la savonner et la rincer, chose quelle ne faisait pas au début. Cela me faisait bander à tout rompre et je giclais copieusement dans mes mains devant ce spectacle.
A partir de là le désir de m’exhiber devant ma belle mère fut de plus en plus présent.
J’eus alors l’idée de guetter par la porte de mon deux pièces, lorsque elle descendait les poubelles au rez de chaussé ; je doit signaler que les toilettes du bas étaient en face de ma porte d’entrée et que par conséquent il me fallait traverser le couloir pour m’y rendre et ainsi passer devant ma belle mère (Marie) lorsqu’elle revenait.
Je me préparais à mon exhibition je ne portais qu’un maillot de corps pour tout vêtement et derrière ma porte, le sexe pendant en demi-érection je l’attendait. Quelques minutes plus tard je l’entend qui descend les escaliers et qui se dirige vers le placard à poubelles, c’est le moment ! j’y vais j’ouvre la porte et faisant mine de ne pas l’avoir entendue je traverse le couloir en direction des toilettes, le sexe à l’air, gonflé par l’excitation. Je suis passé elle m’a vu j’en suis sûr mais tout est allé très vite.
Dans les toilettes je bande et me masturbe, tellement cette furtive exhibition m’a mis dans tous mes états.
Je ne pense plus qu’à renouveler cette expérience et je prépare un plan pour me permettre de lui en montrer plus.
Cela ce déroule un mercredi matin Marie ne travaille pas ce jour là et ma copine est à l’école, je sais par habitude que ce jour là elle fait son repassage hebdomadaire. Seulement j’avais prévu de lui emprunter la veille le fer à repasser et je l’avais laissé sur le bureau de ma chambre. Il est tôt environ 8 heures et je l’imagine cherchant son fer et ne le trouvant pas, se rappeler soudainement que je lui avais emprunté et pas rendu. Elle décide alors ( ce que j’avais prévu, car cela s’était déjà produit ) de venir frapper à la porte de ma chambre pour me demander son fer. Moi de mon côté j’avais échafaudé un plan parfait à savoir, le caméscope branché et caché en haut de l’armoire, dirigé vers la porte de la chambre, quant à moi je m’étais entièrement rasé le sexe et je faisais mine de dormir en aillant bien sûr pris soin de me découvrir et de mettre mon sexe en érection. Elle frappait déjà pour la deuxième fois, je déclenche le caméscope avec la télécommande et referme les yeux, j’entends la porte qui s’ouvre et Marie prononcer un timide « tu dors ? » Je ne répond pas, toujours les yeux fermés je l’imagine à présent dans l’encadrure de la porte elle doit avoir une vue imprenable sur ma queue qui bande à m’en faire mal, j’écoute alors quelle s’immobilise, moi je reste impassible « « je dors ! » son souffle semble s’accélérer, des bruits de tissus que l’on déplace puis des soupirs et encore des soupirs quant à moi mon sexe rasé n’en finit plus de grossir j’écoute Marie qui halète, elle se branle j’en suis sûr ! Cette scéance s’achève je l’écoute prendre le fer sur le bureau et elle repart au premier étage. Aussitôt je me précipite sur la caméscope pourvu que ça est fonctionné !, je rembobine la cassette et appui sur play après quelques secondes d’un écran brouillé je découvre ma belle mère entrain d’ouvrir la porte et de constater la vision qui s’offre à elle, après s’être mordillé la lèvre elle descend sa main vers sa chatte, ah j’en étais sur !!, à présent je me branle en regardant Marie en faire de même dans ma caméra. L’image est très nette je la voie ce mettre un puis deux puis trois doigts dans la fournaise de son sexe et enfin elle jouis dans des spasmes qui la secouent de la tête au pieds puis elle repart par la porte avec son fer , moi aussi j’ai jouit et mon sexe me semble démesuré je n’ai jamais été autant excité.
Mais je n’avais pas finit de concocter des plans pour renouveler mon exhibition à SUIVRE.....
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