Histoire vraie - histoire érotique

J'avais été invité par une tante pour l'aider à préparer un déménagement. Elle quittait la campagne, où elle se trouvait trop seule pour s'approcher de la ville. Elle était une jeune veuve de 30 ans, jolie, blonde, élancée et une démarche féline qui attirait tous les regards. Très autoritaire, elle me demandait de faire ceci puis cela sans me demander si ça me plaisait. Au bout de trois jours, nous avions tout mis en cartons bien ficelés et il ne restait plus qu'un lit et des affaires de toilettes.
Là, je lui dis "c'est bien, on a fini mais où vais-je dormir ce soir ?"
"Je t'avoue me dit-elle, que je n'y ait pas pensé !"
Ce soir nous irons dîner au restaurant et après on essaiera sans se disputer de partager ce lit qui nous reste.
L'idée de partager un lit avec ma tante me réjouissait plutôt et avec un grand sourire je lui répliquais qu'il n'y avait pas de problème.
Pendant le repas, elle me confia que depuis la mort de son mari, le frère de ma mère, elle s'ennuyait beaucoup et que les sentiments lui manquaient et me confia qu'elle n'avait pas fait l'amour depuis longtemps. Déjà mon oncle n'était pas porté sur la chose et c'était un peu sa déception...
Revenu de notre soirée du resto, nous arrivâmes dans la chambre. Elle me céda la primauté de la salle de bains et prit ma suite aussitôt. J'avais gardé slip et tee shirt et je m'étais enfilé sous les draps froids avant qu'elle ne revienne.
Quand elle réapparu, elle portait une chemise de nuit fine et transparente et j'ai pensé tout de suite qu'elle l'avait fait exprès. Dans le rai de lumière du plafonnier je pouvais deviner toutes les formes de son corps. Avec volupté, elle se glissa sous les draps non sans m'avoir adressé un regard coquin.
- Tu es bien ? Me dit-elle
- Heu.. Oui... répondis-je
- Tu n'auras pas froid ?
- Non, je ne pense pas !
Elle soulève le drap et dit : "fait voir comme tu es habillé ? Et elle vit aussitôt la bosse de mon slip.
- hummm, on dirait que je ne te laisse pas de glace, toi !
Elle reposa le drap sur moi et me dit : "allez rapproche toi de moi, je ne vais pas te manger"
Pour lui montrer que j'étais un mec, et que je n'avais pas peur je vins me coller contre elle. Aussitôt, elle se pelotonna contre moi, je sentais son souffle chaud contre mon cou ce qui m'excita de plus belle... Elle éteignit la lumière. Au bout d'un quart d'heure, elle me demanda si je dormais, et je lui répondis que non... Je sentis sa main se poser sur ma poitrine, je ne bougeais plus mais mon sexe à moitié raide se redressa tout de suite... Nous échangeâmes quelques mots et dans la discutions sa main continua sa caresse lentement, très lentement, puis voyant que je n'étais pas farouche elle souleva mon tee-shirt et glissa sa main sur mon ventre, puis sur ma poitrine puis redescendit à la limite de l'élastique de mon slip. Rapidement, elle passa sa main sur ma bosse, comme pour s'assurer que tout était là, puis repassa plus lentement. Je ne bougeais pas et la laissais faire, je n'avais jamais été autant excité...
Elle se décida finalement à entamer une tentative en passant le bout de ses doigts derrière l'élastique, ce qui me fit accélérer ma respiration et je rentrais mon ventre pour qu'elle franchisse cette barrière vestimentaire. Ses gestes étaient lents et précis et  je ne pouvais qu'apprécier. Sa main glissa dans ma culotte et elle se saisit de ma tige raide et chaude puis la caressa en montant et descendant sans serrer presque en effleurant. Elle resserra ses doigts et avec délicatesse décalotta mon gland tendu et humide. Tout en me branlant de cette main experte, elle baissa mon slip de l'autre main. Je me soulevais pour lui faciliter la tâche et obligée de se baisser pour finir le déshabillage elle se retrouva nez à nez avec mon sexe tendu. Elle retira mon slip et le laissa dans le fond du lit. Sa bouche chaude pleine de salive engloba mon gland. J'ai cru que j'allais exploser, mais en femme d'expérience, aidée de l'autre main elle appuya sur mon scrotum et la sève se retira lentement. Ses lèvres glissaient sur ma hampe. De temps en temps elle ouvrait grand la bouche et s'engouffrait tout mon sexe dans la bouche. Je sentais mon gland arriver dans le fond de sa gorge, en se retirant elle pinçait des lèvres pour bien garder le contact. J'étais aux anges, et la situation présente était celle dont j'avais rêvée, et qui était l'image imprégnée pour mes masturbations.
Tout en gardant le contact, elle balança drap et couverture au pied du lit, puis avec élégance et précision elle enleva sa chemise de nuit. Je regrettais que la lumière fût éteinte car j'aurais voulu assister à la découverte de ce corps tant désiré.
Elle reprit sa position de suceuse mais son corps avait fait comme une volte et nous nous retrouvâmes en travers du lit, elle ma verge dans la bouche et moi mon visage entre ses cuisses. Sa chatte poilue sentait bon et ruisselait de cyprine. Ses lèvres ouvertes en corolle s'offraient à moi. Quel bonheur de pouvoir passer ma langue dans ce sillon dégoulinant d'onctuosité. Elle se mit à onduler du bassin et sa chatte glissait sur mon visage. Ma langue se mit à fouiller au plus profond ce vagin dilaté et elle se mit à hurler de plaisir, baignant tout mon visage dans ce torrent de mouille.
A ses hurlements qui m'excitaient au plus haut point je finis par lâcher en plusieurs saccades, ma semence dans sa bouche, et j'entendais des hum, hum de gourmandise.  Puis, nos corps se calmèrent et nous restâmes un moment immobile, comme ça, sans bouger, épuisés de nos ébats mais tellement heureux...
Nous avons fait l'amour toute la nuit, mais je vous raconterais tout ça plus tard...