Histoire vraie

- Par l'auteur HDS AimeAndrée -
Auteur homme.
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Récit libertin : Histoire vraie Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Histoire vraie
Je me présente : Daniel, 65 ans, 1m68, 75kgs.
Je vais, sans fioriture vous narrer mon attirance pour Andrée, ma belle-mère âgée de 86 ans.
Cela fait des années que je fantasme sur elle et que je n’ose rien entreprendre à part des bisous très proches de la commissure de ses lèvres quand je lui dis bonjour ou au-revoir.
Si jusqu’à présent je n’ai rien tenté, ce n’est pas une question de morale car pour ma part rien n’est répréhensible sexuellement parlant à partir du moment où les deux (ou 3 ou 4 ou…) partenaires sont consentants et même si ces partenaires ont des liens familiaux. Vous devez vous dire qu’être attiré par une vieille femme de 86 ans est plus qu’étonnant et je serais d’accord avec vous concernant la grande majorité des femmes de cet âge mais c’est parce que vous ne la connaissez pas. Pour son âge et même comparé à certaines femmes de 20 ans ses cadettes, elle a un physique à damner un saint alors pensez donc, moi qui ne suis pas un saint ! je vais essayer de vous la décrire : petite, environ 1m48. Mince, 39 kgs. Cheveux blancs très courts. De petits seins non fripés et fermes ornés de ravissants tétons et fines aréoles. Des fesses rondes et lisses. Un pubis pratiquement imberbe. Seuls les cuisses et les bras trahissent son âge. Vous devez vous dire, que nous raconte-t-il ? comment peut-il connaitre ces détails anatomiques ? et bien je dois vous avouer qu’à plusieurs reprises j’ai pu dissimuler dans la salle de bain une petite caméra espion qui m’a livré tout ces secrets. Par contre je n’ai pas encore eu la chance de voir sa petite chatte. A-t-elle les lèvres pendantes ? je ne l’espère pas…cela n’irait pas avec le reste de son corps et je ne le crois pas car les multiples conversations que j’ai pu avoir avec elle sur la sexualité m’ont appris que son gynéco était obligé d’utiliser les spéculums réservés habituellement aux jeunes filles pour réaliser sur elle les examens. Et oui ! régulièrement j’oriente nos conversations sur le sexe, espérant naïvement que ma belle-mère laisse échapper que les caresses lui manquent mais jusqu’à présent elle ne cesse de répéter que son mari était gourmand mais qu’elle, ne faisait qu’accepter de remplir son devoir conjugal sans aucun plaisir ce qui vous l’avouerez n’augure rien de bon pour mon projet.
Pourquoi écrire maintenant sur cette relation platonique ? et bien parce que depuis une semaine elle a pris un tour nouveau.
Cela a débuté lundi à 9h00 par un coup de fil affolé d’Andrée. Nous étions le 4 janvier et sa chaudière était en panne donc plus d’eau chaude ni de chauffage et dehors un froid de canard.
- Calme-toi Andrée. Je saute dans la voiture et j’arrive.
J’explique rapidement la situation à ma femme, sa fille, et saute dans la voiture.
Pris au dépourvu, j’avoue que je pars sans aucune arrière pensée et vingt minutes plus tard je suis devant la chaudière récalcitrante. Deux robinets en mauvaise position me sautent aux yeux et 10 minutes plus tard la chaudière redémarre. Certes je n’ai pas compris comment ces robinets avaient pu se retrouver ainsi positionnés mais là n’est pas notre propos. Pendant ces 10 minutes, Andrée ne me lâchait pas d’un mètre voire moins et peu à peu, dans mon cerveau le dépannage passait au second plan. J’étais seul avec ma belle-mère, cette femme qui me faisait rêver depuis si longtemps, cette femme qui se collait à moi et espérait tant de mon intervention, une femme qui bientôt allait m’être reconnaissante…le dépannage terminé en effet, Andrée se confondit en remerciements, ne sachant, me disait-elle, comment me remercier, elle était si « retournée ».
- Un bisou ?
- Oh oui tu l’as bien mérité…Et la voilà qui s’approche de moi pour me poser un bisou sur la joue.
- Je pensais à un autre bisou. Lui dis-je en me penchant vers elle et lui volant un baiser sur ses lèvres.
Étonnée mais sans aucune animosité Andrée me laisse faire et rit de la situation.
- Oh oh ! Daniel ! sur la bouche ! si on nous voyait ! avec mon gendre…Je la regarde souriant et ne tente pas de recommencer ou aller plus loin. Je ne sens pas tout à fait le moment venu. Je reste encore un peu pour surveiller la chaudière et décide à regret de retourner chez moi.
Là, j’imagine beaucoup d’entre vous frustrés, déçus que je n’ai pas poussé mon avantage mais n’oubliez pas qu’Andrée n’a jamais ressenti de plaisir avec le sexe et que je suis son gendre. À 86 ans elle fait partie de cette génération où chacun doit rester à sa place.
Mais continuons…Je suis rentré chez moi depuis 30 minutes quand le téléphone sonne. C’est Andrée qui rappelle car la chaudière présente à nouveau la même panne et ma belle-mère se trouve dans l’impossibilité de purger les radiateurs comme je lui ai indiqué.
- Il est midi. Je casse une petite croute rapide et je reviens.
- Oh Daniel excuse-moi ! heureusement que tu es là.
Alors que j’avale rapidement mon steak frites, mon cerveau est en ébullition et je me vois déjà enlaçant ma belle-mère, lui roulant une pelle magistrale tandis que mes mains lui agrippent les fesses par-dessus le fin tissu de son pantalon.
Je suis ramené sur terre par ma femme qui me propose un dessert que je décline tant j’ai hâte de me retrouver seul avec Andrée.
- Tu prendras bien un café ! elle n’est pas aux pièces tout de même !
- Ok pour un café.
Ce café à peine bu, je m’habille, monte dans la voiture et file pour rejoindre celle qui occupe mes pensées.
Arrivé chez ma belle-mère je constate en effet que la chaudière s’est à nouveau mise en sécurité pour une pression d’eau trop importante et avouons qu’il n’y a pas que dans la chaudière que la pression monte. Ma queue est bien à l’étroit dans mon pantalon et n’attend qu’une invitation pour se libérer.
- Oh Daniel ! tu sais je ne suis plus bonne à rien ! impossible de purger les radiateurs comme tu me l’as montré tout à l’heure.
- Tu es vraiment en panne. Je croyais que tu voulais me proposer le café des pauvres quand tu as rappelé !
- Oh Daniel ! hi hi…Pour ceux qui ne connaissent pas l’expression, prendre le café des pauvre signifie que l’on fait l’amour après le repas. Ça coûte moins cher qu’un café et c’est tout aussi agréable…Après m’être aperçu des erreurs commises par Andrée, erreurs qui conduisirent à cette nouvelle panne, je m’enhardis et prenant Andrée par la taille je l’attire contre moi pour le deuxième baiser sur les lèvres de la journée.
- Oui, tu l’as bien mérité. Oh si on nous voyait !
- On penserait que tu as bien de la chance d’avoir un gendre aussi affectueux.
- Hi hi, tu es bête… Je la serre toujours contre moi. Comme un con j’hésite encore à allez plus loin. Un silence de quelques secondes s’établie.
- Daniel ?
- Oui ?
- Tu crois que c’est réparé ?
- Non. C’est provisoire. Je pense qu’il faut changer le vase d’expansion. On devrait appeler tout de suite ton chauffagiste.
- Oui, j’ai son numéro…Une chance, celui-ci est encore à sa boutique et peut passer de suite.
En l’attendant, j’axe la conversation sur mes relations avec ma femme ou plutôt le manque de relations.
- Oui, pour ça malheureusement elle tient de moi. Pourtant son père, lui, était demandeur.
- Et tu acceptais ?
- Oui. Oh pas vraiment de gaité de cœur car je ne ressentais rien mais il m’avait prévenu : tu acceptes ou il faudra bien que je te force !
- Il ne faisait pas de préliminaires ?
- Oh si… Andrée est pensive.
- Des caresses, des baisers…- Oh pour ça il n’était pas avare mais je ne ressentais rien ! j’en ai parlé à mon médecin mais à l’époque il n’existait pas de pilules pour la libido ou il n’en connaissait peut-être pas…- Et vous faisiez souvent l’amour ?
- Matin, midi et soir ! hi hi… le médecin m’avait dit : « vous savez madame B… , vous n’avez peut-être tout simplement pas le bon partenaire ». je ne vais tout de même pas en changer lui répondis-je en riant…- Oui, c’est lui que tu aimais.
- Exactement.
- Mais maintenant ? au moins les caresses, elle ne te manquent pas ?
- Non. Oh tu sais quand on n’a pas de plaisir…- Mais…- Oh je crois que c’est sa camionnette ! oui…Zut ! coupé juste au bon moment !!!
Le chauffagiste intervient, émet le même diagnostique que moi. Il aura la pièce demain.
La magie est brisée. Je n’ose pas reprendre la conversation là où nous l’avions arrêtée.
Je reste encore une dizaine de minutes et m’apprête à quitter Andrée.
- Jamais deux sans trois. Lui dis-jeEt je l’enlace à nouveau pour un dernier baiser que je fais durer plus longtemps. Andrée veut dire quelque chose que je ne comprends pas et ce faisant je sens ses dents contre mes lèvres.
C’est là que j’aurais dû poursuivre mais comme un con j’ai pris congé d’elle avec une trique de compétition inutile.
Pendant tout le retour je ne peux m’empêcher de me demander si Andrée me tient rigueur de ces trois baisers, surtout le dernier mais un quart d’heure après mon retour à la maison je suis rassuré car c’est ma belle-mère qui rappelle pour me gronder de ne pas lui avoir dit que j’étais bien rentré. Ouf ! elle ne m’en veut pas.
Mais comme je vous l’ai dit je crains toujours que de tels agissements viennent à l’oreille de la famille aussi sachant que ma femme doit dès le lendemain rendre visite à sa mère, une petite inquiétude sourd en moi : Andrée saura-t-elle garder pour elle les baisers de son gendre ?
La nuit passe, la visite de ma femme chez sa mère approche, il est midi. Elles sont ensemble… 17h00, mon épouse rentre à la maison et téléphone aussitôt pour rassurer sa mère.
- Maman veut te parler. Me dit-elle souriante.
J’attrape le téléphone.
- Bonsoir Andrée…- Oui, bonsoir Daniel. Je voulais te dire que ton foie gras était excellent. Je me suis régalée…- Tant mieux Andrée. Tout va bien ?
- Oui oui. La chaudière ronronne comme une neuve.
- Parfait !
- À bientôt Daniel.
Hummm… ce à bientôt sonne comme un espoir, presque une invitation. Mais comment faire pour rendre visite à Andrée sans que sa fille ne se doute de rien ? si cela vient de moi, ma femme s’étonnera que je veuille lui rendre visite. Il faudrait qu’Andrée ai envie de moi et prétexte une réparation quelconque pour me faire venir chez elle et qu’enfin je puisse lui faire l’amour.
Tien ? ma femme lui téléphone justement… que peuvent-elles se dire ?... ma femme me rejoint.
- Tu as un bisou de ta belle-mère. Me dit-elle en s’approchant pour m’embrasser.
Non, Andrée ne m’en veut pas du tout. Elle n’aurait pas dit à sa fille de me faire un bisou de sa part… il faut absolument que je m’arrange pour lui rendre visite sans ma femme.
Chers lecteurs, si vous avez des suggestions constructives, si cette confession vous a plu, n’hésitez pas à m’en faire part.
J’espère pouvoir continuer cette confession avec des scènes beaucoup moins soft ce qui signifierait qu’enfin ma belle-mère est devenue ma maîtresse…Hummm, je bande rien que de penser à Andrée… à bientôt peut-être.

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