Histoires d'une infirmière (2)
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Histoires d'une infirmière (2)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Ceci est la suite d'une histoire complètement fictive et en rien elle n'est inspirée de faits réels.
Dans les couloir de l'hôpital, Fanny venait de reconnaître son agresseur. Elle s'enfuit dans l'espoir de trouver de l'aide.
Tu es toujours en vie ? Mais cette fois tu ne m’échapperas pas !
Il se mit à sa poursuite jusque dans les escaliers. Mais c’était une ruse et très vite il la retrouva à un étage désert et la poussa dans une réserve. Il l'attrapa sa rage décuplait ses forces. Elle n'arrivait plus à lui opposer de résistance. Elle sentait qu'elle était perdue.Une violente bagarre s'en suivit elle reçu de nombreux coups mais par chance elle put saisir un flacon. Elle lui assena un violent coup en plein visage. Aveuglé par le liquide,il dut lâcher sa proieAaahhh !!! Espèce de sale pute, je vais t’écraser comme un cafard !
Elle en profita pour se cacher au fond de la pièce. Mais fou de rage, il donnait des coups de poing dans le vide et se dirigeait sans le savoir vers la fenêtre. Soudain, il trébucha et se défenestra. Heureusement pour Fanny son cauchemar prenait ainsi fin. Mais elle ne pouvait pas rester là, elle nous voulait pas à avoir à s’expliquer. Elle rejoignit donc son étage et discrètement alla soigner ses blessures.Elle entendait les sirènes, le corps devait avoir été découvert. Mais personne ne vint chez elle, peut-être allaient-ils conclure à un accident ?
Alors qu'elle réajustait sa blouse, le Docteur Perkins entra.
Oh, pardon ! ... Que se passe-t-il, Fanny ? Vous souffrez ?
Non, ce n'est pas grave ! Ne vous tracassez pas pour moi !
Il remarqua le matériel qu'elle avait utiliser pour se soigner et devina qu'elle s'était blessée.
Non, non, il peut y avoir des lésions internes. Laissez-moi vous examiner, on ne sait jamais !
Il ne intéressait pas qu'a sa santé, des lésions interne pour quelques petites coupures ? Il avait d’autres idées en tête.
Etendez-vous là ! Relaxez-vous !
Elle savait où il voulait en venir et comme la première fois elle pesa le pour et le contre. De toute évidence son intérêt était de le satisfaire.
Oui docteur, je suis toute à vous.
Le docteur lui ôta ses vêtements et procéda alors à une étude anatomique détaillée, en accordant une attention particulière à ces régions érogènes ...
Non, rien de cassé, ça va ! Mais maintenant examinons votre dos.
Elle se retourna et il s'attarda sur ses fesses.
Hum ! Il y a un petit hématome ici !
Aïe ! Ça fait mal !
Il suffit de masser un peu la peau pour soulager la douleur, comme ça ... tu vois ?
Il passa sa main dans le creux de ses fesses et la glissait jusque sur sa chatte .
L'ambiance commençait à chauffer. Le massage du docteur faisait de l'effet, mais elle savait que tout cela allait aboutir beaucoup plus loin.
Hum ! Oui ... oui ... c'est bon ... oui ...
Si je mets un peu de pommade, tout ira mieux !
Mais pour toute pommade, ce fut le liquide que l'excitation de Fanny produisait. Il en étala tout le long de son sexe depuis son clitoris jusque sur son anus.
Ça va, Fanny ?
Oui ... oui ... continuez, docteur. Je vous en prie !
Elle était de plus en plus excitée et le plaisir montait en elle.
Mais je dois m'assurer que j'en ai mis partout. Veux-tu bien te remettre sur le dos.
Oui docteur, comme vous voulez !
Il glissa deux doigts le long de son sexe et arrivé devant l'entrée de son vagin, il y pénétra.
Oooh ... n'arrêtez pas, je vous en supplie ... n'arrêtez pas ... Mmmhhh ...
En dépit de la fatigue que cette folle nuit lui avait causée, elle sentait qu'une fois de plus elle allait atteindre l'orgasme ...Elle ignorait la résistance de la nature féminine car le docteur n'allait pas, cette fois-ci, se contenter de la faire jouir. Il monta sur le lit, lui releva les jambes et son sexe sorti et raide il s'enfonça en elle. Elle ressentit encore plus de plaisir. Il allait continuer à la prendre ainsi pendant de longues minutes et cette journée inoubliable, jalonnée de plaisir, allait être couronnée en beauté.
Ooooh ... Je viens ... Je jouis ... Ooohhh ...
Moi aussi, moi aussi !!! Ça y est ! Je jouis !!!
Dans une symbiose de gémissements et de cris, les deux amants eurent un orgasme et cette fois le docteur lui donna son dû en lui remplissant la chatte de sperme bien chaud. Tous les deux étaient fier de leur performance et ils se réajustèrent avant de retourner à leur poste.
Vous êtes extraordinaire, Fanny ! Je veillerai à ce que vous soyez promue à un poste mieux adapté à vos performances !
Vous êtes gentil, docteur Perkins ... Je saurai comment vous remercier !
Je l'espère bien ... Bonne nuit !
Sa nuit se terminait et il était grand temps qu'elle rentre chez elle après cette journée de dur labeur.
Chez elle, elle avait les reins brisés et sa chatte était irritée à force d'avoir été pénétrée de diverses manières. Une bonne douche allait lui faire le plus grand bien, mais le téléphone sonna.
Allô, oui ?
Mademoiselle Fanny ? C'est le docteur Perkins ! J'ai quelque chose à vous proposer ...
Oui, de quoi s'agit-il ?
Mr Matthews un vieil ami, a besoin d'une infirmière particulière pour le le surveiller pendant sa revalidation et j'ai pensé évidemment à vous ... Qu'est-ce que vous en dites ?
Eh bien ... heu ... je ne sais pas ..
Il aie très bien et le travail n'est pas trop compliqué. Ça vaut la peine, croyez-moi !
Bon d'accord ...
Formidable ! J'étais certain que vous accepteriez. Passez à l'hôpital demain et je vous donnerai tous les renseignements utiles ...
C'est entendu, à demain Docteur Perkins.
Était-ce une opportunité ou plutôt comme elle le craignait un piège lubrique du docteur ? Elle verrait cela demain, il était temps pour elle d'aller se reposer et puis elle y repenserai cet après-midi.
Le lendemain matin, elle avait décider de risquer la chose et était dans le bureau du docteur Perkins.
Je vous ai recommandée auprès de Mr Matthews et je suis convaincu que vous serrez ravie de travailler pour lui, Fanny !
Je vous remercie infiniment, docteur. Vous pourrez toujours compter sur moi à l'avenir .
Tout c'était passé convenablement, pas d'allusion sexuelle ,rien. Peut-être était-ce la chance de sa vie ?
Mr Matthews habitait dans une luxueuse résidence qui reflétait la richesse. Elle se présenta à l'entrée et majordome, gros, gras et suant vint lui ouvrir.
Mr Matthews vous attends mademoiselle.
Elle fut conduite dans un bureau ou un homme de la cinquantaine l'attendait.
Bonjour, mademoiselle !
Bonjour, Mr Matthews !
Le docteur Perkins m'a donné d'excellentes références vous concernant, Mlle Fanny !
J'essaye de faire mon travail le plus consciencieusement possible.
Mr Matthews lui expliquât qu'elle devrait loger sur place le temps qu'il soit rétablit complètement, mais que par la suite voudrait qu'elle reste à son service pour le surveiller au quotidien et prévenir tout autres soucis de santé.
Cela vous convient-il ?
Heu .. oui, mais je vais devoir m'organiser pour emménager !
Il en vas de soit, je vais m’en charger et je vais prendre les frais à ma charge, y compris en ce qui concerne votre appartement actuel.Nous feront tout cela demain. En attendant visiter la maison, vous pouvez allez partout sauf au sous-sol. J'y range mes documents confidentiel.
L'endroit était confortable et sa chambre propre et spacieuse. Le déménagement se fit sans problèmes et les jours s'écoulèrent avec beaucoup de monotonie ... Son travail consistait à surveiller les horaires de prise du traitement de Mr Matthews ainsi que la surveillance de ses constantes médicales trois par jour. En dehors de cela elle pouvait faire ce qu'elle voulait et elle s'emmerdait prodigieusement ...
Mais après deux semaines, Mr Matthews la convoqua dans son bureau en affichant un sourire béat.
Excusez-moi de vous déranger, mais je voulais vous demander de m'aider à classer tous mes documents confidentiels Je sais que cela n'entre pas dans vos attributions, mais si vous accepter après avoir signé un contrat de confidentialité, je pourrais augmenter votre salaire.
Je n'y vois aucune objection, d'autant que j'ai beaucoup de temps libre pour le moment.
C'est parfait. Demain vous signerez le contrat et je vous expliquerai ce que j'attends de vous.
D'accord, Mr Matthews.
Le lendemain, Mr Matthews ayant du partir plus tôt à son bureau, ce fut le majordome qui lui expliqua ce qu'elle devait faire. Dans un bureau l'attendait une pile de documents anciens à classer. Tous étaient historiques et précieux. Elle s'installa et commença à le feuilleter pour les classer. Mais elle fut surprise, des images pornographiques de toutes sortes défilaient devant se yeux ahuris. Les livres contenaient des illustrations représentant toute le panoplie de l'inquisition et les perversités de ces bourreaux. Les dessins étaient d'un réalisme saisissant et les détails ne manquaient pas.
Eh bien ! On ne s'ennuyait pas à l'époque ! Il valait mieux mourir de jouissance que des suites d'un rhume mal soigné !
Sa journée se passa à voir toutes ces perversions. Et le soir quand Matthews rentra du bureau. Elle fit semblant de trouver tout cela normal.
Bonsoir, Mlle Fanny, pas trop fatiguée ?
Non, ça va. Pas de problèmes ...
Excusez-moi, j'aurai dû vous avertir que cette collection d'ouvrages que je vous ai confiée était très « Spécialisée ». En fait elle ne s'adresse qu'à des connaisseurs, vous comprenez ... elle est une peu ... euh ... Comment dire ?
... cochonne !
Oui, si vous voulez ! Mais c'était le sort que l'on réservait aux femmes que l'on accusait de sorcellerie ...
Oui, je connais un peu le sujet ...
C'est confidentiel, mais il faut que je vous dise ... j'ai transformé mes caves en un petit musée ... Bien sûr, c'est uniquement pour les amis et amies, vous voyez .. ?
Juste pour s’amuser, quoi ?
Oui, c'est à peu près cela ... Voulez-vous visiter cet endroit lugubre et cauchemardesque ?
Pourquoi pas ?
Alors suivez-moi ...
Elle s'attendait à découvrir les cachots humides et sale des films d'épouvante et les instruments de torture les plus invraisemblables ... mais au fond d'elle une petite voix lui disait qu'elle venait de tomber dans le liège tendu par le docteur Perkins.
Faites attention, les marches sont glissantes !
Merci ...
Et voilà ...
C'est chouette !
Le décor était tel qu'elle l'avait imaginé.
il règne ici une drôle d'ambiance. Ça donne la chair de poule !
Elle regardait partout, Mr Matthews lui expliquant chaque instrument. Elle oublia toute prudence tant elle était fascinée par ce qu'elle apprenait.
A quoi sert ce truc là ?
Eh bien essayez donc vous- même l’engin. Il suffit de passer les mains et les pieds dans les nœuds coulants ... et vous allez voir ...
Bon, essayons !
Elle plaça volontairement ses mains et ses pieds comme le lui avait dit Mr Matthews.
Voilà, Mr Matthews !
Voilà ... Maintenant je n'ai qu'à appuyer sur ce bouton et ...
Les cordes se tendirent brusquement la hissant. Elle se retrouva ainsi suspendue avec seulement le bout des orteils qui effleuraient le sol. Elle oscillai lentement ...
Que ... qu'est-ce qui se passe ? D'accord, d'accord. Mais ça suffit à présent. Arrêtez ce cinéma, s'il vous plaît !
J'actionne encore un petit levier ... et ce sont les cordes qui maintiennent tes pieds qui se tendent ... vers les haut.
Elle était maintenant suspendue par les mains et les pieds, face vers le sol.
Arrêtez ! Faites -moi descendre !
Eh bien, fanny ! C'est ce qu'on appelle se jeter dans la gueule du loup !
La plaisanterie a assez duré Mr Matthews, tout est clair à présent. Faites-moi descendre de là !
Comme à son habitude, elle ne portait pas de culotte et dans cette position elle offrait une vue sur ses fesses rebondies mais aussi sur son sexe nu et humide ... car cette position bien que inconfortable et humiliante, elle était aussi excitante.
Vous êtes vraiment séduisante ... je me sens l'âme d'un bourreau en face d'une belle proie !
Ça suffit comme ça ! Vieux libidineux ! Vous vous rincez l’œil, n'est-ce pas ?
Il s'approcha d'elle et déboutonna son chemisier libérant ainsi ses seins qui montraient malgré tout une certaine excitation ; Alors laisses-toi faire ! Je vais t'initier aux perversions du moyen âge. Tu en a déjà eu un aperçu dans mes manuscrits ...
Il commença par sucer ses tétons et sous l'effet de succions de sa bouche, elle sentait ses pointes se dresser encore plus !
Maintenant je vois aussi que tu as une touffe bien entretenue, propre à la consommation ...
Non ... Je ne veux pas que ... Non ... Non ... Mmmmhhhh ...
Il glissa sa langue sur ses lèvres vaginales et parcourant toute sa longueur atteints son clitoris qu'il titilla. Le travail de cette langue commençait à réellement faire son effet. Elle sentait comme une chaleur parcourir son ventre et aussitôt son sexe s'humidifia encore plus. Elle n'allait pas tarder à avoir un orgasme si il continuait !
Mmmhhh ... C'est bon ... Mmmmhhhh ...
Ce vicelard savait comment s'y prendre ! Elle était sur le point de jouir lorsqu'il s'arrêta net ! Ensuite, les cordes se mirent à nouveau en mouvement et elle se retrouva les cuisses écartées.
0 présent passons aux choses sérieuse ! Je voudrais tester sur vous un outil qu'utilisaient les bourreaux de l'époque ...
Il sortit d'un tiroir un gode en bois parsemé de boursouflure et il le fit pénétrer dans sa chatte.
Tu vas sentir des vagues de plaisir te brûler les entrailles jusqu'à l'orgasme !
Je vous en prie ... non ... Je ne veux pas ... arrêtez ! Aaaahhh !
Malgré ses supplications, le va- et-vient de l'instrument, auquel il imprimait des mouvements rotatifs, lui procurait un étrange plaisir. Un volcan en éruption semblait lui ébranler les entrailles. La douleur se mêlait au plaisir. Elle était à bout de souffle, elle n'en pouvait plus ...Mais Mr Matthews continuait à faire tourner l'horrible outil avec application et cela devenait vraiment insoutenable. Finalement, elle laissa échapper un hurlement.
Aaah, ça y est ... Oooohhh !!!
Tu vois ma chérie Fanny ! Malgré la triste sort qui les attendaient, les pauvres prisonnières avaient tout de même droit à quelques menus plaisirs !
Après cet orgasme sauvage, toutes les parties intimes de son corps, étaient moites. L'instrument diabolique avait porté ses fruits. La séance finie, elle fut ramenée au sol.
Formidable Mlle Fanny !
Elle avait eu sa dose de souffrance, mais aussi de plaisir. L'apprentissage fut pénible, mais elle allait en garder un bon souvenir et cela aussi curieux que cela puisse paraître. En remontant les escalier Mr Matthews lui fit une proposition.
Eh bien ... Le week-end prochain j'organise une petite soirée à laquelle j'ai convié quelques amis. Cela te dirais d'être des nôtres ?
Cela dépend de ce qu'il faudra faire !
Oh, pas grand chose ... tu n'auras qu'à te prêter au même jeu qu'aujourd'hui, mais avec quelques variations ... 1000 euros pour toi si tu acceptes !
Pourquoi pas ... D'accord !
1000 euros, cela faisait beaucoup de fric. Et en plus s'amuser, jouir et toucher du pognon qu'est-ce qu'elle pouvait demander d'autre ?
La semaine se passa dans la monotonie habituelle, si ce n’est qu'elle allait parfois relire les parchemins dans le bureau. Et jeudi à 10h00, Smith , le majordome lui apporta une boîte à l'intérieur de laquelle se trouvait un déguisement.
Mr Matthews m'a chargé de vous remettre ceci, Mademoiselle !
Merci !
Elle alla l'ouvrir dans sa chambre. Elle y trouva une tenue en cuir, des chaînes, etc ... une panoplie classique du sado-maso ... Elle s'imaginait déjà dedans. Elle sera sexy et attrayante accoutrée comme cela.
Le jour « J » c'était avec une certaine anxiété qu'elle le moment d'être livrée à ses bourreaux.
Mlle Fanny, préparez-vous, s'il vous plaît !
Oui, Mr Matthews. Je suis à vous dans dix minutes !
Elle s'était préparée psychologiquement et était prête pour son baptême du feu. Mais surtout pour ensuite encaisser sa petit récompense.
Elle enfila la tenue, ses mamelons émergeaient du déguisement et ses fesses, mal emballées par un string minuscule épousait le sillon de son derrière. Les gants et les bottes fessaient parfaitement ressortir sa peau blanche.
Je suis prête, Mr Matthews.
Tu es affriolante, ça va être un succès !
Mr Matthews qui l'emmena dans le sous-sol ! Une fois dans la cave, elle se retrouva en présence d'une dizaine de personnes encagoulées, sans doute pour garder l'anonymat. L'un d'eux la conduisit alors vers une table au milieu de la salle. Elle se pencha en avant et il l'attacha les bras et les jambes écartées. Elle attendait maintenant, en frémissant, son assaut par derrière et les plaisirs interdits que cela allait entraîner. Elle avait des fourmis dans les jambes et sentais que ses reins étaient comme ankylosés. C'est ce moment que choisi son agresseur pour introduire sauvagement le gode dans son petit orifice. Elle essaya alors d'étouffer un cri de douleur qui montait dans sa gorge. Mais malgré ses efforts, elle ne put s'empêcher de hurler comme une possédée.Il continua à le lui enfoncer encore et encore et encore jusqu'à ce qu'elle soit à bout. Cependant la souffrance avait rapidement laissé place au plaisir.
Hurle, salope ! Tes entrailles vont brûler encore plus, tu vas enfin connaître la véritable jouissance !
Elle se retrouva ensuite sur le dos, écartelée, les pieds et les poings liés à la table. Elle était livrée ainsi à tout le monde et elle compris vite que chacun des invités allaient se livrer à ses petites fantaisies sur elle. Un convive s'approcha et ôta sa cagoule. Elle reconnu avec horreur l'infirmière en chef !
Maintenant je vais te prouver que seule une femme peut vraiment procurer du plaisir à une autre femme ! Les hommes ce sont des cons qui ne pensent qu'à eux !
Elle enfouis alors sa langue dans son sexe. Et entreprit de la lécher avec une intensité que Fanny n'avait jamais connue. La garce savait s'y prendre ! Elle fit tournoyer sa langue sur son clitoris à une vitesse étonnante ! Les hanches de Fanny tremblaient sous ces coups de langues ...
Arrêtez, je n'en peux plus ! Aaahh !!! Ça vient ... Ooohhh !!!
Tiens ... tiens !? ... Oui ... jouis ma fille ! Profite de ces instants de plaisir tant qu'il en est encore temps !
Tout le monde fut de la partie. Elle crut étouffer quand une énorme queue gonflée par le désir se glissa dans sa bouche. Au même moment, quelqu'un la pénétra par derrière avec puissance et le va-et-vient de l'un et de l'autre la faisait tanguer. Elle avait l'impression d'être une gamine sur une balançoire. Ensuite une femme en chaleur et lourde comme une truie l'obligea à lui lécher la chatte rugueuse et poilue ... tout cela devenait insupportable ...mais quand elle fut prise en duo par deux hommes un derrière et l'autre devant et qu'une autre femme lui demanda de la lécher., son volcan intérieur entra en éruption et elle jouis malgré elle. Cet orgasme fut le plus long de toute sa vie ! Elle était à bout de souffle et tremblait de tout son corps. Après l'orage, le calme plat s'installa dans la salle. Le vent de folie sexuelle s'était apaisé et tous la laissèrent épuisée couchée sur le sol.
Le lendemain matin, elle fut réveillée par le téléphone.
Oui ?
Mlle Fanny ?
Oui, Mr Matthews !
Excusez-moi, mais mes affaires m'empêchent de vous remettre personnellement votre dû. Vous trouverez une enveloppe dans le hall. ... Ah. Je voulais aussi vous remercier pour votre prestation d'hier ! Voudriez-vous à présent me rendre un grand service ?
De quoi s'agit-il, Mr Matthews ?
Mon cousin Paul est infirme et il a besoin d'une présence à ses côtés. Vous comprenez ? Il aimerait que quelqu'un puisse le soulager avec douceur et patience ... Alors, j'ai pensé à vous, Fanny ...
Merci ... Mais vous savez j'ai mes obligations envers vous ... c'est pas si simple...
Ne vous en faites pas, j'ai prit d'autres dispositions. Mais sachez qu'il vous logera et qu'il vous versera le même salaire que chez moi ... plus 100 euros par mois et des pourboires ...
Des pourboires .. ?
Eh bien ... vous serez récompensée en nature ... il vous faudra accepter les caprices d'un pauvre malade. Vous voyez ce que je veux dire ?
Bon, c'est d'accord, Mr Matthews, et merci encore. Au revoir !
En définitive, elle était contente d'avoir accepté ce nouveau job. Elle était mieux rémunérée qu'à l'hôpital et elle ne devait plus supporter les emmerdeurs. Seul point noir, elle devait combler de vieux pervers, mais pour un salaire bien plus avantageux.
A suivre ...
Ceci est la suite d'une histoire complètement fictive et en rien elle n'est inspirée de faits réels.
Dans les couloir de l'hôpital, Fanny venait de reconnaître son agresseur. Elle s'enfuit dans l'espoir de trouver de l'aide.
Tu es toujours en vie ? Mais cette fois tu ne m’échapperas pas !
Il se mit à sa poursuite jusque dans les escaliers. Mais c’était une ruse et très vite il la retrouva à un étage désert et la poussa dans une réserve. Il l'attrapa sa rage décuplait ses forces. Elle n'arrivait plus à lui opposer de résistance. Elle sentait qu'elle était perdue.Une violente bagarre s'en suivit elle reçu de nombreux coups mais par chance elle put saisir un flacon. Elle lui assena un violent coup en plein visage. Aveuglé par le liquide,il dut lâcher sa proieAaahhh !!! Espèce de sale pute, je vais t’écraser comme un cafard !
Elle en profita pour se cacher au fond de la pièce. Mais fou de rage, il donnait des coups de poing dans le vide et se dirigeait sans le savoir vers la fenêtre. Soudain, il trébucha et se défenestra. Heureusement pour Fanny son cauchemar prenait ainsi fin. Mais elle ne pouvait pas rester là, elle nous voulait pas à avoir à s’expliquer. Elle rejoignit donc son étage et discrètement alla soigner ses blessures.Elle entendait les sirènes, le corps devait avoir été découvert. Mais personne ne vint chez elle, peut-être allaient-ils conclure à un accident ?
Alors qu'elle réajustait sa blouse, le Docteur Perkins entra.
Oh, pardon ! ... Que se passe-t-il, Fanny ? Vous souffrez ?
Non, ce n'est pas grave ! Ne vous tracassez pas pour moi !
Il remarqua le matériel qu'elle avait utiliser pour se soigner et devina qu'elle s'était blessée.
Non, non, il peut y avoir des lésions internes. Laissez-moi vous examiner, on ne sait jamais !
Il ne intéressait pas qu'a sa santé, des lésions interne pour quelques petites coupures ? Il avait d’autres idées en tête.
Etendez-vous là ! Relaxez-vous !
Elle savait où il voulait en venir et comme la première fois elle pesa le pour et le contre. De toute évidence son intérêt était de le satisfaire.
Oui docteur, je suis toute à vous.
Le docteur lui ôta ses vêtements et procéda alors à une étude anatomique détaillée, en accordant une attention particulière à ces régions érogènes ...
Non, rien de cassé, ça va ! Mais maintenant examinons votre dos.
Elle se retourna et il s'attarda sur ses fesses.
Hum ! Il y a un petit hématome ici !
Aïe ! Ça fait mal !
Il suffit de masser un peu la peau pour soulager la douleur, comme ça ... tu vois ?
Il passa sa main dans le creux de ses fesses et la glissait jusque sur sa chatte .
L'ambiance commençait à chauffer. Le massage du docteur faisait de l'effet, mais elle savait que tout cela allait aboutir beaucoup plus loin.
Hum ! Oui ... oui ... c'est bon ... oui ...
Si je mets un peu de pommade, tout ira mieux !
Mais pour toute pommade, ce fut le liquide que l'excitation de Fanny produisait. Il en étala tout le long de son sexe depuis son clitoris jusque sur son anus.
Ça va, Fanny ?
Oui ... oui ... continuez, docteur. Je vous en prie !
Elle était de plus en plus excitée et le plaisir montait en elle.
Mais je dois m'assurer que j'en ai mis partout. Veux-tu bien te remettre sur le dos.
Oui docteur, comme vous voulez !
Il glissa deux doigts le long de son sexe et arrivé devant l'entrée de son vagin, il y pénétra.
Oooh ... n'arrêtez pas, je vous en supplie ... n'arrêtez pas ... Mmmhhh ...
En dépit de la fatigue que cette folle nuit lui avait causée, elle sentait qu'une fois de plus elle allait atteindre l'orgasme ...Elle ignorait la résistance de la nature féminine car le docteur n'allait pas, cette fois-ci, se contenter de la faire jouir. Il monta sur le lit, lui releva les jambes et son sexe sorti et raide il s'enfonça en elle. Elle ressentit encore plus de plaisir. Il allait continuer à la prendre ainsi pendant de longues minutes et cette journée inoubliable, jalonnée de plaisir, allait être couronnée en beauté.
Ooooh ... Je viens ... Je jouis ... Ooohhh ...
Moi aussi, moi aussi !!! Ça y est ! Je jouis !!!
Dans une symbiose de gémissements et de cris, les deux amants eurent un orgasme et cette fois le docteur lui donna son dû en lui remplissant la chatte de sperme bien chaud. Tous les deux étaient fier de leur performance et ils se réajustèrent avant de retourner à leur poste.
Vous êtes extraordinaire, Fanny ! Je veillerai à ce que vous soyez promue à un poste mieux adapté à vos performances !
Vous êtes gentil, docteur Perkins ... Je saurai comment vous remercier !
Je l'espère bien ... Bonne nuit !
Sa nuit se terminait et il était grand temps qu'elle rentre chez elle après cette journée de dur labeur.
Chez elle, elle avait les reins brisés et sa chatte était irritée à force d'avoir été pénétrée de diverses manières. Une bonne douche allait lui faire le plus grand bien, mais le téléphone sonna.
Allô, oui ?
Mademoiselle Fanny ? C'est le docteur Perkins ! J'ai quelque chose à vous proposer ...
Oui, de quoi s'agit-il ?
Mr Matthews un vieil ami, a besoin d'une infirmière particulière pour le le surveiller pendant sa revalidation et j'ai pensé évidemment à vous ... Qu'est-ce que vous en dites ?
Eh bien ... heu ... je ne sais pas ..
Il aie très bien et le travail n'est pas trop compliqué. Ça vaut la peine, croyez-moi !
Bon d'accord ...
Formidable ! J'étais certain que vous accepteriez. Passez à l'hôpital demain et je vous donnerai tous les renseignements utiles ...
C'est entendu, à demain Docteur Perkins.
Était-ce une opportunité ou plutôt comme elle le craignait un piège lubrique du docteur ? Elle verrait cela demain, il était temps pour elle d'aller se reposer et puis elle y repenserai cet après-midi.
Le lendemain matin, elle avait décider de risquer la chose et était dans le bureau du docteur Perkins.
Je vous ai recommandée auprès de Mr Matthews et je suis convaincu que vous serrez ravie de travailler pour lui, Fanny !
Je vous remercie infiniment, docteur. Vous pourrez toujours compter sur moi à l'avenir .
Tout c'était passé convenablement, pas d'allusion sexuelle ,rien. Peut-être était-ce la chance de sa vie ?
Mr Matthews habitait dans une luxueuse résidence qui reflétait la richesse. Elle se présenta à l'entrée et majordome, gros, gras et suant vint lui ouvrir.
Mr Matthews vous attends mademoiselle.
Elle fut conduite dans un bureau ou un homme de la cinquantaine l'attendait.
Bonjour, mademoiselle !
Bonjour, Mr Matthews !
Le docteur Perkins m'a donné d'excellentes références vous concernant, Mlle Fanny !
J'essaye de faire mon travail le plus consciencieusement possible.
Mr Matthews lui expliquât qu'elle devrait loger sur place le temps qu'il soit rétablit complètement, mais que par la suite voudrait qu'elle reste à son service pour le surveiller au quotidien et prévenir tout autres soucis de santé.
Cela vous convient-il ?
Heu .. oui, mais je vais devoir m'organiser pour emménager !
Il en vas de soit, je vais m’en charger et je vais prendre les frais à ma charge, y compris en ce qui concerne votre appartement actuel.Nous feront tout cela demain. En attendant visiter la maison, vous pouvez allez partout sauf au sous-sol. J'y range mes documents confidentiel.
L'endroit était confortable et sa chambre propre et spacieuse. Le déménagement se fit sans problèmes et les jours s'écoulèrent avec beaucoup de monotonie ... Son travail consistait à surveiller les horaires de prise du traitement de Mr Matthews ainsi que la surveillance de ses constantes médicales trois par jour. En dehors de cela elle pouvait faire ce qu'elle voulait et elle s'emmerdait prodigieusement ...
Mais après deux semaines, Mr Matthews la convoqua dans son bureau en affichant un sourire béat.
Excusez-moi de vous déranger, mais je voulais vous demander de m'aider à classer tous mes documents confidentiels Je sais que cela n'entre pas dans vos attributions, mais si vous accepter après avoir signé un contrat de confidentialité, je pourrais augmenter votre salaire.
Je n'y vois aucune objection, d'autant que j'ai beaucoup de temps libre pour le moment.
C'est parfait. Demain vous signerez le contrat et je vous expliquerai ce que j'attends de vous.
D'accord, Mr Matthews.
Le lendemain, Mr Matthews ayant du partir plus tôt à son bureau, ce fut le majordome qui lui expliqua ce qu'elle devait faire. Dans un bureau l'attendait une pile de documents anciens à classer. Tous étaient historiques et précieux. Elle s'installa et commença à le feuilleter pour les classer. Mais elle fut surprise, des images pornographiques de toutes sortes défilaient devant se yeux ahuris. Les livres contenaient des illustrations représentant toute le panoplie de l'inquisition et les perversités de ces bourreaux. Les dessins étaient d'un réalisme saisissant et les détails ne manquaient pas.
Eh bien ! On ne s'ennuyait pas à l'époque ! Il valait mieux mourir de jouissance que des suites d'un rhume mal soigné !
Sa journée se passa à voir toutes ces perversions. Et le soir quand Matthews rentra du bureau. Elle fit semblant de trouver tout cela normal.
Bonsoir, Mlle Fanny, pas trop fatiguée ?
Non, ça va. Pas de problèmes ...
Excusez-moi, j'aurai dû vous avertir que cette collection d'ouvrages que je vous ai confiée était très « Spécialisée ». En fait elle ne s'adresse qu'à des connaisseurs, vous comprenez ... elle est une peu ... euh ... Comment dire ?
... cochonne !
Oui, si vous voulez ! Mais c'était le sort que l'on réservait aux femmes que l'on accusait de sorcellerie ...
Oui, je connais un peu le sujet ...
C'est confidentiel, mais il faut que je vous dise ... j'ai transformé mes caves en un petit musée ... Bien sûr, c'est uniquement pour les amis et amies, vous voyez .. ?
Juste pour s’amuser, quoi ?
Oui, c'est à peu près cela ... Voulez-vous visiter cet endroit lugubre et cauchemardesque ?
Pourquoi pas ?
Alors suivez-moi ...
Elle s'attendait à découvrir les cachots humides et sale des films d'épouvante et les instruments de torture les plus invraisemblables ... mais au fond d'elle une petite voix lui disait qu'elle venait de tomber dans le liège tendu par le docteur Perkins.
Faites attention, les marches sont glissantes !
Merci ...
Et voilà ...
C'est chouette !
Le décor était tel qu'elle l'avait imaginé.
il règne ici une drôle d'ambiance. Ça donne la chair de poule !
Elle regardait partout, Mr Matthews lui expliquant chaque instrument. Elle oublia toute prudence tant elle était fascinée par ce qu'elle apprenait.
A quoi sert ce truc là ?
Eh bien essayez donc vous- même l’engin. Il suffit de passer les mains et les pieds dans les nœuds coulants ... et vous allez voir ...
Bon, essayons !
Elle plaça volontairement ses mains et ses pieds comme le lui avait dit Mr Matthews.
Voilà, Mr Matthews !
Voilà ... Maintenant je n'ai qu'à appuyer sur ce bouton et ...
Les cordes se tendirent brusquement la hissant. Elle se retrouva ainsi suspendue avec seulement le bout des orteils qui effleuraient le sol. Elle oscillai lentement ...
Que ... qu'est-ce qui se passe ? D'accord, d'accord. Mais ça suffit à présent. Arrêtez ce cinéma, s'il vous plaît !
J'actionne encore un petit levier ... et ce sont les cordes qui maintiennent tes pieds qui se tendent ... vers les haut.
Elle était maintenant suspendue par les mains et les pieds, face vers le sol.
Arrêtez ! Faites -moi descendre !
Eh bien, fanny ! C'est ce qu'on appelle se jeter dans la gueule du loup !
La plaisanterie a assez duré Mr Matthews, tout est clair à présent. Faites-moi descendre de là !
Comme à son habitude, elle ne portait pas de culotte et dans cette position elle offrait une vue sur ses fesses rebondies mais aussi sur son sexe nu et humide ... car cette position bien que inconfortable et humiliante, elle était aussi excitante.
Vous êtes vraiment séduisante ... je me sens l'âme d'un bourreau en face d'une belle proie !
Ça suffit comme ça ! Vieux libidineux ! Vous vous rincez l’œil, n'est-ce pas ?
Il s'approcha d'elle et déboutonna son chemisier libérant ainsi ses seins qui montraient malgré tout une certaine excitation ; Alors laisses-toi faire ! Je vais t'initier aux perversions du moyen âge. Tu en a déjà eu un aperçu dans mes manuscrits ...
Il commença par sucer ses tétons et sous l'effet de succions de sa bouche, elle sentait ses pointes se dresser encore plus !
Maintenant je vois aussi que tu as une touffe bien entretenue, propre à la consommation ...
Non ... Je ne veux pas que ... Non ... Non ... Mmmmhhhh ...
Il glissa sa langue sur ses lèvres vaginales et parcourant toute sa longueur atteints son clitoris qu'il titilla. Le travail de cette langue commençait à réellement faire son effet. Elle sentait comme une chaleur parcourir son ventre et aussitôt son sexe s'humidifia encore plus. Elle n'allait pas tarder à avoir un orgasme si il continuait !
Mmmhhh ... C'est bon ... Mmmmhhhh ...
Ce vicelard savait comment s'y prendre ! Elle était sur le point de jouir lorsqu'il s'arrêta net ! Ensuite, les cordes se mirent à nouveau en mouvement et elle se retrouva les cuisses écartées.
0 présent passons aux choses sérieuse ! Je voudrais tester sur vous un outil qu'utilisaient les bourreaux de l'époque ...
Il sortit d'un tiroir un gode en bois parsemé de boursouflure et il le fit pénétrer dans sa chatte.
Tu vas sentir des vagues de plaisir te brûler les entrailles jusqu'à l'orgasme !
Je vous en prie ... non ... Je ne veux pas ... arrêtez ! Aaaahhh !
Malgré ses supplications, le va- et-vient de l'instrument, auquel il imprimait des mouvements rotatifs, lui procurait un étrange plaisir. Un volcan en éruption semblait lui ébranler les entrailles. La douleur se mêlait au plaisir. Elle était à bout de souffle, elle n'en pouvait plus ...Mais Mr Matthews continuait à faire tourner l'horrible outil avec application et cela devenait vraiment insoutenable. Finalement, elle laissa échapper un hurlement.
Aaah, ça y est ... Oooohhh !!!
Tu vois ma chérie Fanny ! Malgré la triste sort qui les attendaient, les pauvres prisonnières avaient tout de même droit à quelques menus plaisirs !
Après cet orgasme sauvage, toutes les parties intimes de son corps, étaient moites. L'instrument diabolique avait porté ses fruits. La séance finie, elle fut ramenée au sol.
Formidable Mlle Fanny !
Elle avait eu sa dose de souffrance, mais aussi de plaisir. L'apprentissage fut pénible, mais elle allait en garder un bon souvenir et cela aussi curieux que cela puisse paraître. En remontant les escalier Mr Matthews lui fit une proposition.
Eh bien ... Le week-end prochain j'organise une petite soirée à laquelle j'ai convié quelques amis. Cela te dirais d'être des nôtres ?
Cela dépend de ce qu'il faudra faire !
Oh, pas grand chose ... tu n'auras qu'à te prêter au même jeu qu'aujourd'hui, mais avec quelques variations ... 1000 euros pour toi si tu acceptes !
Pourquoi pas ... D'accord !
1000 euros, cela faisait beaucoup de fric. Et en plus s'amuser, jouir et toucher du pognon qu'est-ce qu'elle pouvait demander d'autre ?
La semaine se passa dans la monotonie habituelle, si ce n’est qu'elle allait parfois relire les parchemins dans le bureau. Et jeudi à 10h00, Smith , le majordome lui apporta une boîte à l'intérieur de laquelle se trouvait un déguisement.
Mr Matthews m'a chargé de vous remettre ceci, Mademoiselle !
Merci !
Elle alla l'ouvrir dans sa chambre. Elle y trouva une tenue en cuir, des chaînes, etc ... une panoplie classique du sado-maso ... Elle s'imaginait déjà dedans. Elle sera sexy et attrayante accoutrée comme cela.
Le jour « J » c'était avec une certaine anxiété qu'elle le moment d'être livrée à ses bourreaux.
Mlle Fanny, préparez-vous, s'il vous plaît !
Oui, Mr Matthews. Je suis à vous dans dix minutes !
Elle s'était préparée psychologiquement et était prête pour son baptême du feu. Mais surtout pour ensuite encaisser sa petit récompense.
Elle enfila la tenue, ses mamelons émergeaient du déguisement et ses fesses, mal emballées par un string minuscule épousait le sillon de son derrière. Les gants et les bottes fessaient parfaitement ressortir sa peau blanche.
Je suis prête, Mr Matthews.
Tu es affriolante, ça va être un succès !
Mr Matthews qui l'emmena dans le sous-sol ! Une fois dans la cave, elle se retrouva en présence d'une dizaine de personnes encagoulées, sans doute pour garder l'anonymat. L'un d'eux la conduisit alors vers une table au milieu de la salle. Elle se pencha en avant et il l'attacha les bras et les jambes écartées. Elle attendait maintenant, en frémissant, son assaut par derrière et les plaisirs interdits que cela allait entraîner. Elle avait des fourmis dans les jambes et sentais que ses reins étaient comme ankylosés. C'est ce moment que choisi son agresseur pour introduire sauvagement le gode dans son petit orifice. Elle essaya alors d'étouffer un cri de douleur qui montait dans sa gorge. Mais malgré ses efforts, elle ne put s'empêcher de hurler comme une possédée.Il continua à le lui enfoncer encore et encore et encore jusqu'à ce qu'elle soit à bout. Cependant la souffrance avait rapidement laissé place au plaisir.
Hurle, salope ! Tes entrailles vont brûler encore plus, tu vas enfin connaître la véritable jouissance !
Elle se retrouva ensuite sur le dos, écartelée, les pieds et les poings liés à la table. Elle était livrée ainsi à tout le monde et elle compris vite que chacun des invités allaient se livrer à ses petites fantaisies sur elle. Un convive s'approcha et ôta sa cagoule. Elle reconnu avec horreur l'infirmière en chef !
Maintenant je vais te prouver que seule une femme peut vraiment procurer du plaisir à une autre femme ! Les hommes ce sont des cons qui ne pensent qu'à eux !
Elle enfouis alors sa langue dans son sexe. Et entreprit de la lécher avec une intensité que Fanny n'avait jamais connue. La garce savait s'y prendre ! Elle fit tournoyer sa langue sur son clitoris à une vitesse étonnante ! Les hanches de Fanny tremblaient sous ces coups de langues ...
Arrêtez, je n'en peux plus ! Aaahh !!! Ça vient ... Ooohhh !!!
Tiens ... tiens !? ... Oui ... jouis ma fille ! Profite de ces instants de plaisir tant qu'il en est encore temps !
Tout le monde fut de la partie. Elle crut étouffer quand une énorme queue gonflée par le désir se glissa dans sa bouche. Au même moment, quelqu'un la pénétra par derrière avec puissance et le va-et-vient de l'un et de l'autre la faisait tanguer. Elle avait l'impression d'être une gamine sur une balançoire. Ensuite une femme en chaleur et lourde comme une truie l'obligea à lui lécher la chatte rugueuse et poilue ... tout cela devenait insupportable ...mais quand elle fut prise en duo par deux hommes un derrière et l'autre devant et qu'une autre femme lui demanda de la lécher., son volcan intérieur entra en éruption et elle jouis malgré elle. Cet orgasme fut le plus long de toute sa vie ! Elle était à bout de souffle et tremblait de tout son corps. Après l'orage, le calme plat s'installa dans la salle. Le vent de folie sexuelle s'était apaisé et tous la laissèrent épuisée couchée sur le sol.
Le lendemain matin, elle fut réveillée par le téléphone.
Oui ?
Mlle Fanny ?
Oui, Mr Matthews !
Excusez-moi, mais mes affaires m'empêchent de vous remettre personnellement votre dû. Vous trouverez une enveloppe dans le hall. ... Ah. Je voulais aussi vous remercier pour votre prestation d'hier ! Voudriez-vous à présent me rendre un grand service ?
De quoi s'agit-il, Mr Matthews ?
Mon cousin Paul est infirme et il a besoin d'une présence à ses côtés. Vous comprenez ? Il aimerait que quelqu'un puisse le soulager avec douceur et patience ... Alors, j'ai pensé à vous, Fanny ...
Merci ... Mais vous savez j'ai mes obligations envers vous ... c'est pas si simple...
Ne vous en faites pas, j'ai prit d'autres dispositions. Mais sachez qu'il vous logera et qu'il vous versera le même salaire que chez moi ... plus 100 euros par mois et des pourboires ...
Des pourboires .. ?
Eh bien ... vous serez récompensée en nature ... il vous faudra accepter les caprices d'un pauvre malade. Vous voyez ce que je veux dire ?
Bon, c'est d'accord, Mr Matthews, et merci encore. Au revoir !
En définitive, elle était contente d'avoir accepté ce nouveau job. Elle était mieux rémunérée qu'à l'hôpital et elle ne devait plus supporter les emmerdeurs. Seul point noir, elle devait combler de vieux pervers, mais pour un salaire bien plus avantageux.
A suivre ...
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