Histoires d'une infirmière (3) - histoire érotique

Fanny venait d'accepter de passer au service de Mr Égrégore. Après une demi-journée de voyage le taxi la déposa à l'entrée de la résidence de Mr Paul Égrégore. Sa suait le pognon de partout, on sentait tout de suite que le propriétaire avait de quoi profiter de la vie malgré son infirmité. Elle se présenta à la porte et ce fut un femme d'une trentaine d'année qui vint lui ouvrir.
Je m'appelle July. Je suis la gouvernante. Soyer la bienvenue, Mlle Fanny ! ... Suivez-moi, je vous en prie. ... Voici votre chambre. J'espère que vous y trouverez tout ce qu'il vous faut ... Ah ! Votre uniforme est sur la petite table. Il vaut mieux vous présenter en tenue de travail. Il vous recevra dans une heure.
Fanny avait l'impression que son séjour allait être calme. Il ne lui restait plus qu'à donner une bonne impression au maître de maison ! Elle se devait d'être attirante, voir provocante. Mais sans pour autant paraître trop vulgaire. Elle imaginait rencontrer un malade cloué au lit avec sa petite infirmière bien sage veillant sur lui. Mais avant elle décida de prendre une fiole de ce breuvage mexicain. ... Histoire de se mettre en train.. ! Elle enfila ensuite des bas noirs extra-fins et légèrement transparents ... Et bien sûr des chaussures à hauts talons ! Ensuite un string et un soutien-gorge agrémenté de dentelles noires diaphane. Le tout sous une tenue de satin noir qui moulait son corps et l'obligerai à marcher à petits pas. L'heure venue elle se présenta devant la porte de Mr Égrégore.
Entrez !
Elle découvrit un homme alité et maigre, mais dont les yeux pétillants la déshabillait dès qu'elle posa un pied dans sa chambre !
Approchez-vous, Mlle Fanny.... Mon cousin Mr Matthews m'a fait l'éloge de votre personne. Je suis certain que nous entretiendrons d'excellents rapports.
Merci, Monsieur Égrégore ? J'essayerai d'être à la hauteur et de satisfaire à tous vos besoins ...
Que voulez-vous, un pauvre infirme comme moi, cloué au lit pour le restant de ses jours, n'a pas souvent l'occasion de recevoir de l'affection et de la chaleur humaine ... Votre présence allégera sans doute le poids de mes souffrances.... Vous serez bien payée pour vos services. J'espère que vous apprécierez votre séjour dans cette demeure ...
N'ayez aucune crainte, Monsieur McGrégor, votre propriété me plaît beaucoup et je m'y sens déjà très à l'aise. Merci ...
Non seulement vous êtes belle, mais en plus, vous êtes gentille ...
Fanny savait ce qu'il attendait d'elle. Elle décida de lui donner un aperçu en se penchant sur son lit et avec une petite caresse au bon endroit elle marquerait le point de départ ...
Oh ! Vos draps sont froissés ... laissez-moi arranger ça ... Voilà ... Maintenant, c'est beaucoup mieux ... Vous désirez encore quelque chose, Mr McGrégor ?
Oui, s'il vous plaît, voyez si le tableau au dessus de mon lit est bien accroché, j'ai peur qu'un jour il me tombe sur la tête ...
Excusez-moi ... mais avec cette robe, ça ne va pas être facile. Il faut que je la retrousse. Vous permettez ?
Oui, bien sûr, je comprend ... la bonne qui portait cet uniforme avant vous était plus petite et beaucoup moins ... euh ... moins développée ...
Elle retroussa donc sa robe et monta sur le lit. Elle devait enjamber Mr McGrégor pour accéder au tableau et devait donc approcher son entre jambe de son visage. En voyant ses cuisses à la portée de ses mains, le vieux se mit à baver.
Je n'y arrive pas ! C'est trop haut ! Il me faudrait une échelle ... ou alors, il faut que je retrousse d'avantage ma robe. Vous permettez ?
Oui, oui ... allez-y, je vous en prie ...
Fanny remonta sa robe jusque sur ses hanches dégageant de la sorte toute son intimité. Le saligaud en profita encore pour se rincer l’œil. Et il n'était pas déçu, les fesses à l'air, Fanny craignait qu'il fasse un infarctus. Mais il avait un cœur en acier et ne tarda pas à profiter de l'occasion qu'il lui était offerte ! Il posa ses mains sur ses fesses et l'attira vers lui plongeant ainsi son visage sur sa chatte.
Mais ... mais Mr McGrégor ! Je vous en prie ! Que faites-vous ?
Permettez que ... s'il vous plaît ... vous êtes si adorable ...
Oh ! Que vous êtes méchant ... et expert en la matière ! Oui, oui, continuez, je vous en supplie !
Mmm ! C'est bon ! Quel parfum !
Malgré le tissu de son string, la langue de McGrégor faisait monter la température dans sa chatte.
Oui ! Ça vient ... aaahhhh !!! Eh bien, vous savez vous y prendre avec les femmes, vous ! C'était tout à fait inattendu, mais combien exquis ! ... Jamais je n'aurais imaginé que vous puissiez être si expert dans l'art du plaisir ... Vos connaissances en la matière m'ont beaucoup plus. A présent, il faut que j'aille aux cuisines. Si vous le permettez, je vais me retirer ...
Je vous ferai signe quand j'aurai besoin de vous !
A votre service, Monsieur !
Fanny allait préparer le déjeuner quand elle sentit en elle bouillir un désir insoutenable ... La potion mexicaine aidant, elle avait une folle envie de prolonger le plaisir que le vieux malade lui avait donné. Toute excitée , elle prit un rouleau à pâtisserie qui traînait et elle se l'enfonça avec un mouvement de va-et-vient. Ça commençait à faire son effet quand quelqu'un entra dans la cuisine ...
Tiens, tiens ...
Mais ... euh ... je ...
C'est rien, ma chérie ! On se soulage comme on peut ... Moi-même, toute seule ... dans cette grande demeure ... il m'arrive de ... vous comprenez ... Enfin, a présent que vous êtes là, ça va changer !
Fanny avais tout de suite compris où elle voulais en venir. La gouvernante voulait simplement la sauter.
Détendez-vous, voyons ! Ce sera très agréable, vous verrez !
July la culbuta sur la table de la cuisine tout en retroussant sa robe moulante, puis elle l'embrassa sur la bouche. Elle déboutonna son uniforme d'une seule traite tout en mordillant avec douceur les mamelons en érection de Fanny. Sa bouche humide se promena un instant sur ses seins, puis sa langue s'aventura entre les cuisses ouvertes de Fanny, ce qui la fit frémir de la tête aux pieds !
Maintenant, on va essayer de se donner chacune à son tour, un maximum de plaisir. Plus tu seras assidue, plus tu jouiras !
Leurs langues s'insinuèrent dans la fente l'une de l'autre avec application et elle la dirigèrent sur leurs clitoris en s'attardant de temps à autre sur la chair humide , délicate et brûlante ! Toutes les deux agirent en synchronisation presque parfaite. Le souffle chaud de July enflammait le sexe de Fanny et elle en écartait davantage les cuisses pour faciliter la pénétration de sa langue. Il ne fallut pas longtemps pour que les tressautement de leurs corps traduisent leurs orgasmes presque simultanés eux aussi.
On deviendra de très bonnes amies, tu verras ...
Elles se sont séparées chacune retournant à ses occupations. Mais au fils de jours Fanny sentais les yeux du majordome se braquer sur elle ou plutôt sur ses fesses. Elle s'attendait à ce qu'il passe à l'action un de ces jours où la température ambiante grimperait à des degrés explosifs. Mais la fois où il l'aborda se fut pour tout autre chose.
Mlle Fanny !
Oui ?
Mr McGrégor voudrait vous parler ...
J'arrive tout de suite !
Elle se hâta de rejoindre la chambre de Mr McGrégor.
Cet après-midi, je reçois mon ami John Graham. Il restera tout le week-end et ce soir, j'aimerais lui réserver une petite surprise.
En guise de dessert ?
... euh oui, une surprise que vous pourriez lui faire après le dîner ... Nous avons des affaires ensemble et il doit signer un nouveau contrat. Vous pourriez m'aider à obtenir cette signature à laquelle je tiens beaucoup, vous comprenez ?
Oui, mais comment pourrais-je vous venir en aide dans cette histoire ?
Après le dîner, nous irons au bureau. Là, nous lui offrirons une petite séance spéciale chacun a ses fantasmes et lui, il adore les déguisements d'écolières ; petite jupe, plissée, chemisier déboutonné ... pas besoin de vous faire un dessin ...
J'ai compris ... je dois me mettre dans la peau d'une petite fille modèle tout en ayant un côté attirant. Joindre le charme à la perversité de l'innocence.
Oui, c'est ça ! Je compte sur votre talent et votre savoir faire !
Mr Graham arriva et la journée avançait, quand le vint le soir, Fanny se mit à la recherche du bon déguisement. Elle hésita beaucoup, mais finit par faire son choix. Elle avait vraiment l'air d'une petite écolière avec sa mini jupe plissée, son ruban rose dans les cheveux et un chemisier ample et court ... elle était d'autant plus crédible quelle ne mit ni soutien-gorge, ni petite culotte. Elle remplaça le cartable par une trousse de voyage et elle mit des chaussures à hauts talons qui contrastaient avec ses chaussettes roses. Elle était prête à livrer son prochain combat. Elle se sentait toutefois ridicule, mais nécessité obligeait ! ... A 11h00 précises, elle frappa à la porte du bureau de Mr McGrégor.
Bonsoir Mr, bonsoir Oncle John !
Elle entra et s'appuya contre la porte, cambrant les reins et bombant la poitrine, elle regardait ces deux vieux cons qui salivaient déjà ...
J'ai reçu mes résultats ... ce n'est pas brillant ...Je mérite une bonne fessée mais je t'en prie, Oncle John, sois indulgent envers moi ...
L'invité compris tout de suite la mise en scène. Il décida de jouer le jeu qu'on lui offrait si gentiment ! Et c'est lui qui répondit jouant le rôle de mon Oncle.
Non ! Tu es une méchante gamine ! Au lieu d'étudier, tu passe ton temps sur ton smartphone et à discuter avec tes copines. ... Viens ici ! Il faut que je te punisse !
Il l'a mit à plat ventre sur ses genoux et releva sa jupe. Il fut surpris en voyant qu'elle ne portait pas de culotte.
Eh bien ! ... Et ta culotte ? Où est-elle ?
Je l'ai salie en m'asseyant sur un muret dans la cour du lycée et je n'ai pas eu le temps d'en mettre une propre !
Tiens ! Tiens ! Sale et dégoûtante gamine !
Il venait de lever la main et claqua quelques coups sur ses fesses blanches. Mais après cette fessée, il se mit à caresser son cul. Il lui demanda de se mettre à quatre patte sur le tapis du bureau. Elle sanglotait et cette punition avait fait pointer ses seins qui s'étaient d’ailleurs échappés de son chemisier.
Bon. Ça suffit comme ça ! Après cette correction tu mérites bien une petite récompense ! Je vais t'offrir une sucrerie ! ... Tu aimes les caramels à la framboise ? En voilà un pour toi ... regarde !
Il venait de sortir son sexe en érection de son pantalon et invitait sa « nièce » à venir y goûter. Elle s'avança vers lui à quatre pattes et la tête au niveau de son membre viril, elle le prit en main le sucer comme un bon caramel qu'il était censé être.
Oh ! ... qu'il est beau, Oncle John ! ... Tu me le donne tout entier !?
Ce bonbon à l'extrémité rougeâtre ne tarda pas à gonfler sous l'action coulissante de sa bouche experte.
Doucement, ma nièce ... doucement si tu ne veux pas qu'il fonde trop vite ! ... AAAAh !!! Ça y est ! Je viens.. !!!
Le va-et-vient de sa langue continua toutefois à produire son effet. Le moment venu, elle garda bien la bouche refermée, plus pour ne pas salir son chemisier que pour apprécier le goût saumâtre de ce sperme qui semblait passé de date.
Son travail fini, Fanny réajusta ses vêtements et sortit discrètement. Laissant son « Oncle » reprendre ses esprits.
Il était tard et elle avait envie d'aller se coucher quand elle sentit tout à coup une présence derrière elle. Le majordome venait de se coller à ses fesses pour en apprécier les rondeurs.
Tu aimes bien jouer aux petites perverses, hein ?
Ça dépend avec qui et quand !
Et maintenant ça te vas ?
Sans attendre sa réponse, il ouvrit son chemisier et l'obligea à se mettre à genoux sur le fauteuil du couloir.
Allez, vas-y si ça te chante !
Elle ne voulait pas résister, elle risquait de déranger Mr McGrégor et son invité. Elle ne savait pas comment il régirait. Le majordome, comme la plupart des hommes, ne pensait qu'à lui et après quelques coups bien appuyé dans sa chatte, il jouis ... Deux minutes maximum et il remettait son engin en place et disparu dans le fond du couloir comme si rien ne s'était passer.
Dans cette demeure tout le monde la sautait et ce n'était pas pour lui déplaire.
Le lendemain, elle choisit de mettre des sous vêtements très érotiques car elle avait le pressentiment qu'il fallait s'attendre à ce que la journée soit mouvementée.
Comme soutien, elle prit un redresse-seins en dentelle noire qui mettait bien en évidence sa poitrine et laissait à découvert ses mamelons. Un string légèrement transparent laissait dépasser la naissance de sa toison pubienne patiemment entretenue. Par dessus elle enfila sa tenue traditionnelle trop courte et trop petite pour ses formes.
Au déjeuner, July lui apprit que le neveu du patron venait lui rendre visite.
Quand il arriva, c'est elle qui alla ouvrir, le majordome étant occuper. Elle découvrit un jeune homme à l'apparence d'un adolescent, elle ne lui donnait pas plus de 16 ans.Il se tenait bien et avait le look BCBG. Elle en était certaine, il était encore puceau.
Bonjour ! Qui dois-je annoncer ?
Bonjour, je suis Bill, Mr McGrégor est mon Oncle. Je viens passer le week-end pour passer un peu de temps près de lui et en même temps pour étudier au calme. J'ai des examens que je dois absolument réussir la semaine prochaine.
Je m’appelle Mlle Fanny ou simplement Fanny si tu veux. Je suis la nouvelle aide soignante de ton Oncle. Si tu as besoin d'aide,je peux te donner un coup de main.
Oh, c'est sympa ! La matière pour l'examen d'entrée à l'université est assez difficile ... J'apprécierai votre aide ...
Avec plaisir ... Bill ... Mais tu as dis que tu allais rentrer à l'université ? Mais quel âge as-tu ?
Heu ... je vais sur mes 19 ans ! ... Je sais on me donne souvent moins.
Ah ... Bien ! Mais ce matin j'ai du travail. Si tu veux je te retrouve après dans ta chambre ? Vers 11h00, Ok ?
Ok, je vous attendrai. Merci !
Il alla poser ses affaire avant d'aller saluer son oncle.
Ce gamin était mignon et lui rappelait le môme de l'hôpital dont elle avait calmé les ardeurs. Mais cette fois elle allait devoir réveiller celles de ce neveu.
Son travail terminé, à 11h00 elle était devant la chambre du neveu ...
Ça va Bill ?
Entrez ... Bof ! Pas vraiment ...
Qu'est-ce qui ne va pas ?
L'histoire c'est compliqué, toutes ces dates, ces rois ... je confonds tout ...
Avant tout, tu dois te détendre et bien organiser ton travail ... Moi, ma bête noire, c'était l'anatomie. Je mélangeais tout ... Vous étudiez l'anatomie à l'école ?
Pas tellement ... C'est pour l'année prochaine. On va seulement voir les grandes lignes cette année ...
Bien, je vais t'explique ma méthode et tu pourra l'appliquer au cour d'histoire ... Il existe un bon moyen pour retenir les différentes partie du corps. Il suffit de suivre un ordre logique. Par exemple, pour la jambe, tu as le pied, le mollet, la cuisse ...
Pour illustrer la leçon, elle montrait du doigt les parties et relevait lentement sa jupe ... Bill la regardait fixement, bouche bée. Elle le troublais avec son string minuscule d'où s'échappaient les pourtour de son triangle d'or. Mais pour se reconcentrer il s’impliquât dans la discutions.
Dans le genou se trouve la rotule ... L'os de la cuisse s'appelle le fémur et ainsi de suite ...
Tu comprends vite, Bill ? C'est facile une fois que tu pénètres dans le vif du sujet ...
Malgré tout, Bill ne quittait pas des yeux les cuisses nues et le string le fascinait.
Ooooh !
Touche ! Et tu pourras constater la fermeté des muscles et leur forme arrondie ... Vas-y ! ...
Il tendit ses doigts hésitant à hauteur du string légèrement bombé ...L'idée de séduire ce jeune homme plaisait à Fanny, ça la changerait de ces vieux pervers. Elle décida dons d'aller plus loin, car il était réellement troublé par ses charmes.
Il existe aussi les muscles érectiles qui grandissent lorsqu'ils subissent une excitation ... regarde !
Elle dégrafa sa robe et lui montra ses seins bien mis en valeur par son redresse seins.
Oh, Fanny, que vous êtes belle ! Quelle merveilleuse poitrine !
Si tu touches, tu verras comment ils gonflent et se dressent ... Vas-y ... essaie !
Il pressa les tétons qui se dressèrent tout de suite. Il titilla ensuite du bout des doigts les deux globes qui devinrent durs comme du marbre. Puis il l'embrassa avec volupté ... Ses mains finirent par explorer le reste du corps et s'égarèrent dans l’entre-jambe de Fanny. Il glissa son string pour dégager sa fente et son clitoris. L'endroit était humide et chaud, il les caressa de ses doigts et il savait manifestement s'y prendre. Quelque temps plus tard, ils se retrouvèrent sur son lit, corps contre corps ...
Oh Mlle Fanny, vous êtes extraordinaire !
Tu vas apprendre un tas de choses, ce week-end, Bill ! Je vais te montrer qu'il n'y a pas que les études dans la vie !
Elle le chevaucha et lentement se laissa glisse le long de sa hampe dressée. Elle sentit son membre gros, long et chaud lui remplissait tout le vagin. Si elle avait un doute sur sa virginité, elle savait maintenant qu'il était monté pour satisfaire n'importe quelle fille.
Aaah ! Oui, oui ! N'arrêtez pas, je vous en prie ! Continue de bougez ! Encore, comme ça, oui ! ... Oooh ! Ça y est ! Je viens ! Je n'en peux plus ... ouiii ... aaah !!!
Elle jouis elle aussi quelques instant plus tard et quand il eurent récupéré, il lui fit une révélation qui confirma son intuition.
Tu sais, c'était ma première fois ! Je n'avais jamais oser imaginer que c'était aussi bon !
Ça t'a plu, hein ! A présent, il faut être sage ! Je vais retourner à mon boulot ! Et toi tu vas étudier tes examens, sinon tu n'auras plus jamais mon affection ... d'accord ?
Oui, fanny. Je te promet de bien revoir toute la matière.
Le lendemain, Fanny remarqua que Bill la suivait partout et quand elle se retournait, il se cachait. Elle finit par le piéger pour lui demander de cesser cette mascarade.
Arrête de me suivre partout. On pourrait nous voir et on finirait par avoir des ennuis !
Mais ... mais ... je voudrais ... j'ai envie de ...
Regagne ta chambre étudier tes examens, sinon je dirai tout à ton oncle et il t'infligera une belle punition ...
Non, je vous en supplie ! Ne lui dotes rien ! Je vous donnerai 100 euros avant de partir.
Pas la peine, fais ce que je te demande et peut-être que ce soir ... je pourrais t'offrir un séance spéciale ... je passerai vers minuit quand tout le monde dormira ? Ça te va comme ça ?
Formidable ! Sensas ! Je vous attend ce soir ! Et encore merci !
Elle pensa qu'il avait peut-être 19 ans mais que son esprit était celui d'un jeune adolescent qui commençait à découvrir les femmes. Avant hier, il n'avait fait l'amour mais c'est à se demander si il avait déjà vu une femme.
Le reste de la journée fut banale ! Le train train quotidien, les pilules d Mr McGrégor, quelques bricoles sans importance ... Mais à minuit sonnant, Fanny se dirigea vers la chambre de Bill. Quand il ouvrit, elle vit qu'il l'attendait en pyjama, les yeux pétillants et l'esprit probablement remplis de fantasmes.
Bonsoir, j'espère que tu as bien étudié, sinon ...
Oui, oui, j'ai tenu ma promesse !
Bien, je vais t'expliquer ce que l'on va faire ! Tu sais l'imagination peut augmenter notre plaisir. Alors imagine que tu es mon bourreau et que tu m'as kidnappée. Je suis à ta merci et tu fais de moi ce que tu veux ..
Je n'en reviens pas, comme dans les films au cinéma !
Oui, comme dans les films, mais pas au cinéma, plutôt sur internet avec un accès limité aux plus de 18 ans. Tu en as déjà regardé ?
Heu .. oui ... je crois ...
Non, sois sincère. As-tu déjà regardé du porno sur internet ?
Il baissa la tête gêné de la révélation qu'il allait faire.
En vérité, non !
Comment c'est possible ?
En fait mes parents sont très catholique et très stricte. Mon internet est contrôler et je ne peux pas aller cher des amis. Je dois avouer qu'il ne m'as jamais été permis de voir une femme nue, même dans les films que nous regardons en famille.Je sais je suis en retard pour mon age,mais ce n'est pas de ma faute.
Ne t'inquiète pas, je comprends, je dois même avouer que cela m'excite de faire l'éducation sexuelle d'un jeune puceau. Donc maintenant, tu joue le bourreau, mais interdiction de faire mal. Je ne suis pas masochiste.
C'est entendu. Tu verras, on va bien s'amuser !
Elle déboutonna son chemisier et dégrafa sa jupe. La comédie allait pouvoir commencer. Encore quelques explications et elle allait pouvoir se plonger dans son rôle.
Attache-moi les mains dans le dos ! Ça fera plus réaliste et n'oublie pas que je suis ta prisonnière !
Oui, oui, je sais !
Ne me faites pas de mal, je vous en supplie ... je n'ai rien fait ! J'étais juste là par hasard et j'ai assisté au meurtre. Mais je ne dirai rien ...
Salope ! C'est faux ! Je sais que tu vas tout raconter aux flics !
Il prit son rôle au sérieux et la poussa sur le lit, dans la chute sa jupe remonta jusqu'à mi-cuisses. C'était le but qu'elle poursuivais.
Ne me faites pas de mal ! Je vous en supplie !
Sale bourgeoise ! Je vais faire taire ton arrogance !
Non, de grace !
Putain ! Tu essaie de me séduire, hein ?
Il la bouscula et la fit rouler dans tous les sens sur le lit. Son chemisier s'entrouvrit et laissa voir la vallée bien encaissée entre ses deux robert aux tétons durcis par l'excitation qui la gagnait peu à peu. Mais elle continuait de jouer la séduction en se tortillant sur le lit. Elle voulait ainsi faire remonter sa jupe pour laisser apparaître son string transparent. A la vue de ce spectacle Bill se jeta comme un fou entre ses cuisses. Sa langue vint caresser le mince tissu avec assiduité et elle sentait une délicieuse sensation monter en elle.
Voilà ! Maintenant, je vais profiter de cette occasion en or.
Non ! Non !
Et d'en geste brusque Bill lui arracha son string. Et maintenant ayant l'accès libre, il retourna entre ses jambes.
Je vais allumer ton petit four, ma belle ! Tu vas connaître la jouissance de ta vie !
Aaah! C'est bon continue ... Ouiiii !
Bill, bien que novice, savait s'y prendre, son jeu de langue la rendait folle de plaisir et son intimité mouillait de plus plus.
Encore, encore !
Pas question ! Je veux prolonger ton plaisir. Ce serait idiot d'en finir trop tôt. Je veux que tu me supplies de continuer ...
Je vous en prie ... n'arrêtez pas maintenant ... je suis toute en feu ...
Tu mérite d'être baisée comme une bête ! Tu n’est qu'une sale chienne en chaleur !
Non ! Pitié ! Epargnez-moi ça ! C'est affreux pour une femme d'être possédée comme une bête ! Pitié !
Bill était derrière elle, il commença par se caresser la bite avent de la sortir. Bien sûr, Fanny se mit en position tout en jouant la prisonnière subissant les sévices de son bourreau ! Le jeune homme en profita pour lui enfoncer sa bite dans sa chatte ainsi offerte. Instinctivement, il commença des va-et-vient qui firent d'autant plus monter la température dans sa bite et dans la chatte de sa prisonnière.
Voilà ! Pour toi, salope ! Tu vas jouir, maintenant !
Non, je vous en supplie ! Pas comme ça ! Oooh !
Tu vois comme c'est bon ... Aaah !
Vous avez raison, c'est extraordinaire ! Je sens cette jouissance monter en moi !
Aaah ! C'est ainsi qu'il faut s'y prendre avec une petite bourgeoise puritaine et hypocrite ! Ooooh ! Ça vient ... Aaah !!
Moi aussi !!! Moi aussi !!! Espèce se sale vicieux !
Une fois libérée de ses liens, elle se mit à le câliner.
Tu vois, Bill ... C'est grâce à l'imagination que nous avons pu vivre ce délicieux moment d'extase commune. Et ce n'est qu'un début !
Il y aura une autre séance ?
Oui et on inversera les rôles. Tu seras la victime et moi le bourreau. Mais seulement si tu étudie convenablement.
Bill fut surpris et impatient de savoir ce qui allait lui arriver prochainement. En attendant, Fanny retourna dans sa chambre.

A suivre ...