Histoires d'une infirmière (4)
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Histoires d'une infirmière (4)
Fanny venait de quitter la chambre de Bill. Il était très tard et regagnait sa chambre.
Mais malgré sa discrétion elle croisa July dans les couloirs.
Merde, j’avais oublié la grosse !
Ça va Fanny ? Pas trop de travail à cette heure-ci ? Tu fais des heures supplémentaires ?
J'ai mis un peu d'ordre dans le bureau de Monsieur. Avec son ami ils ont beaucoup travaillé ce week-end !
Allez vous coucher et faites de beaux rêves. ... Vous savez, je pense à vous pour une prochaine entrevue ... chaleureuse ...
Moi aussi ... Bonsoir !
Bonne nuit, ma chère !
Fanny n'avait plus l'intention de se laisser faire, si cette grosse salope voulait baiser, elle devrait payer pour ses services.
Le lendemain matin, Fanny profita de l’absence de July pour aller fouiller ses affaires. Elle chercha dans tous les tiroirs, mais en vain. Il fallait qu'elle trouve quelque chose pour la coincer. Elle ne voulait plus subir ses caprices sans qu'elle ne donne quelque chose en contrepartie. Finalement, dans le double fond d'un tiroir elle découvrit ce qu'elle cherchait.
Oui ... c'est ça ... Tu es faites salope !
Elle venait de découvrir toute une panoplie d'objets très intéressants, des godes, des fouets, des chaînes et même des photos plus que suggestives représentant la grosse dans des ébats avec d'autres aides soignantes. Elle allait la faire casquer. Fanny emprunta quelques-uns d'entre eux pour cette nuit avec Bill.
A minuit elle se glissa à nouveau dans le couloir menant à la chambre du neveu. Elle fit très attention car elle était en peignoir.
Bill devait sans doute attendre son arrivée avec impatience. Il n'avait pas fermé la porte, elle entra et Bill l'attendait en effet.
Je t'attendait, Fanny ... entre !
Je t'ai concocté une soirée dont tu me diras des nouvelles, mon cher Bill. Une soirée que bon nombre d'adultes expérimentés n'auront jamais la chance de vivre !
Et tout en lui expliquant, elle lui attachait les mains dans le dos.
Et maintenant ?
Tu es mon esclave et moi, je suis ta maîtresse. Tu vas aimer, j'en suis certaine !
Elle commença par retirer son peignoir pour lui montrer son déguisement. Un redresse seins, de longs gants, un string, un porte-jarretelles et des bottes hautes, le tout en cuir noir.
Aux yeux grands ouvert de Bill, elle sut qu'elle avait obtenu l'effet escompté. Et elle se mit dans son rôle.
Tu as tout cassé ! La chaîne Hi-Fi, ne fonctionne plus. Je t 'avais pourtant interdit d'y toucher ! ... Désolé,mais je dois te punir !
Elle baissa son pantalon de pyjama et le fit s'agenouiller devant elle.
Je vais te fouetter jusqu'au sang, comme ça tu apprendra à obéir à mes ordres !
Oui ... oui, j’obéis, maîtresse !
Du pied elle le bascula en avant et lui fouetta les fesses. Trois coups bien appuyés et elle s'arrêta pour regarder ses petites fesses rougeâtres. Cela l'excitait terriblement ...
S'il vous plaît, ça suffit ... je vous en prie ...
Malgré que je doive te punir, je ne suis pas si méchante que ça ... je t'aime bien, tu sais ...
Accroupi et souffrant, il regarda ses seins s'approcher tout près de son visage, il était pâle tellement il avait envie de les sucer. Mais Fanny avait autre chose en tête.
Mets-toi debout, mon petit ... Maintenant, tu vas avoir une petite récompense ...
J'ai ... j'ai mal !
Je sais que je te plais, et que tu as envie de moi ... regarde mes seins comme ils se dressent en attendant tes caresses, sens comme mon ventre est chaud ... regarde comme mes cuisses sont serrées ...
Fanny s'agenouilla et prit sa bite entre ses mains pour doucement la caresser et l'exciter encore plus.
Tu vois ... je sens ton désir qui monte chaque fois plus ... j'adore ça ... j'aime que mon corps puisse t'exciter comme ça ...doucement, doucement ... petit à petit, je vais faire monter ton désir ...
Plus vite ! S'il vous plaît ...plus viiite !!
Non ... non pas maintenant ! Tu dois tenir plus longtemps ... assez de punitions ... un peu de repos ... et on continue très lentement, comme ça, tu vois ...
Elle s'occupait encore de sa bite et ne cessait de le masturber. Assez pour qu'il sente le plaisir monter, mais trop peu pour qu'il jouisse.
Ça va être long ... et ce sera plus excitant ... tu vas jouir plus tard que d'habitude...
J'en peux plus ... je viens ... je viens ... ça y est ... Aaaah !!
Il éjacula dans ses mains et devant lui elle lécha sensuellement ses doigts. La bouche enfin pleine de sperme elle l'ouvrit pour qu'il la voit tout avaler.
Tu as vu ? Pas mal, hein ? J'adore te rendre heureux !
Bill ayant jouis, Fanny ayant avaler son sperme, ils se rhabillèrent. Pour qu'elle puisse rejoindre sa chambre.
Fanny ... c'était formidable ! Au début, j'ai cru que la douleur serait insoutenable mais après tout à changé ... grâce à votre jeu !
Je sais, il faut mélanger et donner une dose de douleur et une de plaisir, alternativement ... ce n'est que ça, le secret ! ... Si tu sais t'arranger pour venir le week-end prochain, je te préparerai de nouvelles aventures que tu vas apprécier ...
Mille fois merci Fanny. Je vais tout faire pour revenir !
Il était tard, il fallait qu'elle aille se reposer. Elle devait se lever tôt, comme chaque matin ... Mais en passant devant le bureau, elle cru entendre du bruit. Silencieusement elle s'approcha et le cœur battant, elle ouvrit doucement la porte. Elle jeta un œil, rien ! Elle entra et alors qu'elle s'approchait du bureau, une lueur brutale éclaira son visage ...
Bouge pas ou je te flingue !
La lumière s'alluma et deux hommes en cagoule la tenait en respect avec un revolver. Elle n'osa pas crier de peur qu'ils ne fassent usage de leurs armes.
Vise-moi ça, quelle beauté ! Tu veux jouer avec nous, mignonne .. ?
Je ... je n'ai pas d'argent !
De l'argent ? Je m'en fou de l'argent ... enlève-moi ça, poupée ! Il fait très chaud ici !
Mais ... mais ...
D'un geste violent, il enleva son peignoir, se rinçant l’œil en découvrant ses sous-vêtements un peu particuliers ...
Tiens, tiens ! Tu aimes les déguisements ? On va s'amuser ensemble, ma jolie !! Tu vas hurler de plaisir !
Cette fois ce fut son string qu'il arracha violemment. Une nouvelle partie de jambes en l'air commençait et elle en était le centre.
Il faut allumer le four avant de cuire les carottes ! Ha!Ha!Ha !
Laisse-m'en un peu, hein ...
Le premier agresseur lui écarta les cuisse et monta à l'assaut de sa chatte.
Oui, oui, bien sûr ! Allez, j'y vais !
Allez, Frank ! Ça va ... vas-y ... maintenant ... vas-y !
Le mec savait s'y prendre, sa langue fouillait la chatte de Fanny et le four monta en température. Quand elle fut assez chaude, il se prépara à enfourner sa carotte. Son sexe sorti, il le mit contre l'entrée de son vagin et d'un coup, il la pénétra en profondeur avec vigueur. Fanny n'allait pas encore subir, elle décida alors d'en prendre son parti et s'activa pour lui donner tout le plaisir qu'il voulait.
Salope ! Tu sais t'y prendre, hein ! Aaah ! Ça y est ... Ooooh !!
Ça suffit maintenant, Frank c'est mon tour !
Oui ... oui ... ça va !
Il jouis en elle, remplissant sa chatte de sperme et se retira laissant sa place à son complice. Celui-ci choisi l'autre entrée, celle de devant étant inondée. Il la retourna et se glissa entre ses cuisses avant de glisser sa queue dans son cul.
Moi je suis spécial, ma petite ! J'adore entrer par les portes arrières.
Oh, oui ... comme ça !
Allez, hop ... et voilà ! Un bon coup et je fais sauter le verrou.
En une fois il l'encula. Heureusement qu'elle avait déjà mouillé sinon elle aurait été prise à sec et cela fait mal. Mais cette violence l'excitait et elle eut un orgasme qui fit trembler ses jambes. Mais alors que son agresseur allait lui aussi jouir, July apparu dans l'encadrement de la porte. Et les voyant, elle hurla. Ils sursautèrent et prirent la fuite la bousculant au passage. Les deux femmes se relevèrent et la police fut appelée après que Fanny se soit changée.
Le lendemain, Bill retourna chez lui et Fanny fut appelée par Mr McGrégor. Il la félicita du travail qu'elle accomplissait et lui tendit une enveloppe contenant un très bon pourboire.
Je vous remercie Mr, mais c'est pour quel service ?
Mlle, j'ai parlé ce matin avec mon neveu et il a beaucoup apprécier que vous lui consacriez du temps. Je trouve que l'aide que vous lui avez apporté, mérite un bonus. Mais maintenant, je compte sur vous pour que dorénavant à chaque visite, il prennent autant de plaisir.
Il en va soit Mr McGrégor. Je vous remercie pour tout.
Mais je vais encore avoir besoin de vos services samedi. Je dois recevoir Mr Campbell, un de mes avocats. Il devient un vrai problème pour moi ...
Ah ? Pourquoi ?
Il est très ambitieux et je sais de bonne source qu'il trafique beaucoup ma comptabilité. J'aimerais me débarrasser de lui, mais hélas, je n'ai pas de preuves ...
Que puis-je faire pour vous, alors ?
Ces preuves, il va falloir les fabriquer. Par exemple avec des photos compromettantes ... Avec ces documents en main, je me sentirais à l'aise pour pouvoir le menacer ...
Mais ... c'est ...
Du chantage, je sais ! Mais c'est le seul moyen !
Bon d'accord. Lundi matin, vous aurez vos preuves ... mais ... j'aimerais ... comment dire ... j'aimerais un petit supplément, vous comprenez ?..
Si vous réussissez, vous aurez 1000 euros, ça vous convient ?..
Elle regagna sa chambre en ayant à l'esprit son pécule qui commençait à bien augmenter. Elle n'avait plus aucun regret d'avoir abandonné l'hôpital. C'était particulier, mais elle avait une belle carrière devant elle ...
Samedi, à dix heures pile, Mr Campbell se pointa. Il était gros avec un costume impeccable, des luttes en écailles de tortue, l'air sérieux ... un vrai P.D.G. Fanny avait déjà tout préparé, les caméras fournie par Mr McGrégor étaient installée, elle avait mit une petite tenue d'écolière et une musique d'ambiance dans la pièce en face de la chambre. Elle l'attendait et quand il sorti elle se trémoussa sur le rythme de la musique. Il fut intrigué et jeta un coup d’œil.
Bonjour !
Oh pardon !
Je m'appelle Doris, vous travaillez pour mon oncle ?
Euh ... Oui ... je suis son avocat ...
Vous aimez danser ? C'est formidable !
Heu ... Oui ... non ...ce n'est pas mon genre ...
Moi j'adore la musique qui à du rythme !
Elle prenait soin de bien faire voler sa jupe pour lui montrer ses cuisses et son porte-jarretelles noir et sexy. Il commençait à transpirer, le piège fonctionnait . Elle continua et ses mouvements saccadés firent jaillir un de ses seins pointus hors de son chemisier. Ce dernier sorti de sa jupe laissant apparaître son nombril. Campbell ne savait plus ou donner de la tête, il était hypnotisé. Jusqu'au moment où elle trébucha volontairement pour tomber dans ses bras. Son chemisier s'ouvrit complètement et elle était sur Campbell chevauchant la bosse qui déformait son pantalon. Faisant semblant de continuer à danser, elle pressa sa chatte de plus en plus contre son sexe en érection.
Oh, Monsieur ! C'est à cause de moi que vous bander ?
Mon dieu !..
Rassurez-vous, tout cela restera entre nous. Quand j'entends cette musique, je deviens folle. Je peux rien y faire.
Elle déboutonna son pantalon et avant qu'il ait pu réagir, elle avait sa bite en bouche. Campbell ne savait pas quoi faire et comme il ignorait qu'il était prit en photo toutes les 15 secondes, il laissa les choses continuer.
Mmmm ... qu'elle est bonne ...
Vous ... vous ne ... devriez pas. Votre ...
Mon oncle est dans sa chambre ... et il ne sait plus bouger de son lit ... HhmmmOooohhh, ... oui ... c'est bon !
Fanny sentait que sa proie n'allait plus tenir bien longtemps. Baiser une jeune étudiante devait être un de ses fantasme et cela l'excitait plus que d'habitude. Bref, elle écarta son string et s’assit sur cette courte grosse bite. Elle ne put y prendre beaucoup de plaisir, mais lui jouis en quelques secondes.
Mission accomplie, elle se releva et lui se pressa de quitter la demeure.
Deux jours plus tard.
Voici les preuves que vous vouliez ...
Enfin, ce salaud va payer ! Je vous remercie mille fois, grâce à vous j'ai pu résoudre ce grave problème. ... Voici vos 1000 euros.
Vous aider à été un vrai plaisir.
Vous savez toujours comment accomplir vos missions. Vous êtes la personne qu'il me faut pour solutionner mon nouveau problème.
Je ferai tout pour vous satisfaire !
Le plus grand actionnaire de la compagnie c'est Lin-Chang. Un chinois qui à des goûts très spéciaux. Il aime les choses bizarres et exotiques. Dans le passé je lui ai déjà envoyé une assistante pour le satisfaire, mais malheureusement je n'ai plus de nouvelles d'elle. Mais aujourd'hui je crois que vous pourriez réussir où elle a manifestement échoué. Naturellement votre rémunération sera en rapport avec cette mission.
J'aimerai une retraite tranquille avec de belles vacances. Pourquoi pas ? Si ça peut vous aider, rassurez-vous je ferais de mon mieux. J'aimerai vous remercier de la confiance que vous me faites !
... ?!
Faites attention à votre cœur ... et regardez.
Elle releva sa robe et fit glisser sa culotte. Elle la lui tendit et monta sur le lit posa sa chatte devant le visage de Mr McGrégor.
A vous de jouer, cher patron ! ...
Il prit ses fesses en main et lui lécha la chatte, glissant sur son clitoris et parfois la pénétrant tel un petit dard. Il était lui aussi très habile et il prit son temps, mais elle jouis sous ses assauts.
Ça ... ça y est ... je viens. Vous allez ... Je jouiiiis ... Aaaahhh..
Mmmm ... cette liqueur est délicieuse.
La mini débauche finie, le vieil homme était épuisé.
Quelque jour plus tard, l'adresse de Lin-Chang en poche, Fanny prépara ses valises avec assiduité, impatiente de réaliser sa mission. Elle se fit déposer en taxi devant une épouvantable maison aux couleurs orientales.
Reçue par un assistant, il la mena à Mr Lin -Chang.
Suivez- moi mademoiselle, Mr Lin-Chang va vous recevoir de suite.
Merci.
Après avoir patienté quelques instant dans une pièce à la décoration très chargée. Il arriva.
J'espère que cette fois-ci mon bon ami Paul , a bien choisi ... La dernière fois j'ai malheureusement ... pour elle ... été très déçu.
C'était un asiatique, chauve et très petit. Et il la regardait comme si il était à la foire au bétail.
Pas mal ! ... Ma chère, je suis un homme très exigeant et je n’aime pas gaspiller mon argent. ... Ce soir vous aurez le première épreuve, celle des plumes de Tian-Xiang. Si vous la réussissez je vous engage.
Des plumes.. ?
Oui ... avec une poudre spéciale qui excite les capillaires et réchauffe les muscles. Une formule millénaire de mon pays ...
Ah, bon !
Je vous attends à 22h00, dans la chambre bleue. Mon serviteur va vous installer et vous donnera les instructions plus précises. A ce soir Mademoiselle ...
Heu ! ... Oui à ce soir ... Monsieur !
Installée et les dernière instructions en tête, elle ouvrit une boîte qui se trouvait sur la table de sa chambre. Talons hauts, bas résille irisés, corset redresse-seins en cuir noir et mini string en soie transparente. Vêtue de cet accoutrement elle passa par dessus un déshabillé en soie rouge. Le serviteur vint à sa rencontre pour la mener au début d'un couloir, l'invita à continuer alors qu'il rebroussait chemin. Elle eus la chair de poule en voyant les fausses pierres du décor représentant une chambre de torture. Ça lui rappelait celle de Mr Matthews.
Mr Lin-Chang apparut avec une boîte mystérieuse entre les mains ... Les plumes évidement.
Miss Fanny, préparez-vous, s'il vous plaît. ... Passez les mains dans les nœuds ... et attendez.
Oui, Mr Lin-Chang.
Quand elle fut en position, il tourna une roue et les cordes la hissèrent. Elle était pendue là, les chaussures touchant à peine le sol. Mr Lin-Chang s'approcha et ouvrit son déshabillé dévoilant les sous-vêtements qu'elle du enfiler.
Tu es une pêche ouverte, une figue prête à être cueillie, tu es faite pour le plaisir ;il sorti une plume te lui chatouilla les seins aux pointes qui durcir immédiatement sous ces caresses. Elle sentait une chaleur l'envahir un plaisir intense monter en elle. Son bas ventre s'emplissait d'une sensation qu'elle connaissait bien. Tout cela sous les yeux brillant chinois triomphant.
Je veux que tu meures de plaisir. ... Voilà le petit secret ; des onguents et des poudres végétales propres à maintenir l'excitation très longtemps.
Mais lorsque la plume entra en contact avec la fine soie de son string, tout son corps se cambra. Et la soie se colla à sa fente tant elle sentait qu'elle mouillait. Il faisait voyager la plume sur son corps en sans trop appuyer les caresses. Dans un désir évident de m'exciter sans pour autant la libérer avec un orgasme. Ses hanches étaient prises de mouvements convulsifs qu'elle ne pouvait contrôler. Ce contact fini par créer en elle une onde de volupté jusque dans ses entrailles.
Oh ... Bon ... c'est bon ... c'est ... c'est ...
Tu aimes ça, hein ? J'aime les filles obéissantes, j'aime admirer le corps féminin quand il s'abandonne à l'extase. Voue êtes les fruit du paradis offert au voyageur assoiffé. Il me faut prendre le thé.
Lin-Chang s’assit à une table juste à ses pieds.
Je vous en prie ... finissez avec ce supplice8Pas avant le thé ma chérie. Le thé relaxe les nerfs et détend l'esprit.
Le thé terminé, il reprit la plume et la chatouillait à l'en rendre folle. Son corps se tordait et ses ongles s'enfonçaient dans les cordes. Quand la plume arriva sur son pubis, elle ressenti à nouveau la soie de son string absorbée par les contractions de son sexe. Le mince cordon de soie lui pénétrait la fente, la faisant frémir des pieds à la tête. Ses hanche se mirent à trembler et quand la plume repassa sur le fin tissus entre ses lèvres, c'était fini. Un cri et elle explosa dans un raz de marée de plaisir et de jouissance. Sa vision était floue et sa bouche seiche.
Reposez-vous, vous le méritez bien. Fantastique ! ... Vous êtes engagée.
La séance de torture terminée, elle fut descendue et il lui dit d'aller se reposer. Dans sa chambre, elle repensa à ce supplice . Elle avait été au bord de la rupture, elle souffrait tant le plaisir s’accumulait en elle, mais ce salopard de chinois ne voulait pas la libéré en la laissant jouir. Elle aimerais bien se procurer un petit peu de cette poudre miraculeuse. Elle est beaucoup plus efficace que les pilules mexicaines. Mais dans sa chambre elle finit par se coucher sur le lit, le sexe encore sensible et les frissons lui parcourant encore le corps. Elle était convaincue qu'elle avait beaucoup de choses à apprendre de MR Lin-Chang.
A suivre ...
Mais malgré sa discrétion elle croisa July dans les couloirs.
Merde, j’avais oublié la grosse !
Ça va Fanny ? Pas trop de travail à cette heure-ci ? Tu fais des heures supplémentaires ?
J'ai mis un peu d'ordre dans le bureau de Monsieur. Avec son ami ils ont beaucoup travaillé ce week-end !
Allez vous coucher et faites de beaux rêves. ... Vous savez, je pense à vous pour une prochaine entrevue ... chaleureuse ...
Moi aussi ... Bonsoir !
Bonne nuit, ma chère !
Fanny n'avait plus l'intention de se laisser faire, si cette grosse salope voulait baiser, elle devrait payer pour ses services.
Le lendemain matin, Fanny profita de l’absence de July pour aller fouiller ses affaires. Elle chercha dans tous les tiroirs, mais en vain. Il fallait qu'elle trouve quelque chose pour la coincer. Elle ne voulait plus subir ses caprices sans qu'elle ne donne quelque chose en contrepartie. Finalement, dans le double fond d'un tiroir elle découvrit ce qu'elle cherchait.
Oui ... c'est ça ... Tu es faites salope !
Elle venait de découvrir toute une panoplie d'objets très intéressants, des godes, des fouets, des chaînes et même des photos plus que suggestives représentant la grosse dans des ébats avec d'autres aides soignantes. Elle allait la faire casquer. Fanny emprunta quelques-uns d'entre eux pour cette nuit avec Bill.
A minuit elle se glissa à nouveau dans le couloir menant à la chambre du neveu. Elle fit très attention car elle était en peignoir.
Bill devait sans doute attendre son arrivée avec impatience. Il n'avait pas fermé la porte, elle entra et Bill l'attendait en effet.
Je t'attendait, Fanny ... entre !
Je t'ai concocté une soirée dont tu me diras des nouvelles, mon cher Bill. Une soirée que bon nombre d'adultes expérimentés n'auront jamais la chance de vivre !
Et tout en lui expliquant, elle lui attachait les mains dans le dos.
Et maintenant ?
Tu es mon esclave et moi, je suis ta maîtresse. Tu vas aimer, j'en suis certaine !
Elle commença par retirer son peignoir pour lui montrer son déguisement. Un redresse seins, de longs gants, un string, un porte-jarretelles et des bottes hautes, le tout en cuir noir.
Aux yeux grands ouvert de Bill, elle sut qu'elle avait obtenu l'effet escompté. Et elle se mit dans son rôle.
Tu as tout cassé ! La chaîne Hi-Fi, ne fonctionne plus. Je t 'avais pourtant interdit d'y toucher ! ... Désolé,mais je dois te punir !
Elle baissa son pantalon de pyjama et le fit s'agenouiller devant elle.
Je vais te fouetter jusqu'au sang, comme ça tu apprendra à obéir à mes ordres !
Oui ... oui, j’obéis, maîtresse !
Du pied elle le bascula en avant et lui fouetta les fesses. Trois coups bien appuyés et elle s'arrêta pour regarder ses petites fesses rougeâtres. Cela l'excitait terriblement ...
S'il vous plaît, ça suffit ... je vous en prie ...
Malgré que je doive te punir, je ne suis pas si méchante que ça ... je t'aime bien, tu sais ...
Accroupi et souffrant, il regarda ses seins s'approcher tout près de son visage, il était pâle tellement il avait envie de les sucer. Mais Fanny avait autre chose en tête.
Mets-toi debout, mon petit ... Maintenant, tu vas avoir une petite récompense ...
J'ai ... j'ai mal !
Je sais que je te plais, et que tu as envie de moi ... regarde mes seins comme ils se dressent en attendant tes caresses, sens comme mon ventre est chaud ... regarde comme mes cuisses sont serrées ...
Fanny s'agenouilla et prit sa bite entre ses mains pour doucement la caresser et l'exciter encore plus.
Tu vois ... je sens ton désir qui monte chaque fois plus ... j'adore ça ... j'aime que mon corps puisse t'exciter comme ça ...doucement, doucement ... petit à petit, je vais faire monter ton désir ...
Plus vite ! S'il vous plaît ...plus viiite !!
Non ... non pas maintenant ! Tu dois tenir plus longtemps ... assez de punitions ... un peu de repos ... et on continue très lentement, comme ça, tu vois ...
Elle s'occupait encore de sa bite et ne cessait de le masturber. Assez pour qu'il sente le plaisir monter, mais trop peu pour qu'il jouisse.
Ça va être long ... et ce sera plus excitant ... tu vas jouir plus tard que d'habitude...
J'en peux plus ... je viens ... je viens ... ça y est ... Aaaah !!
Il éjacula dans ses mains et devant lui elle lécha sensuellement ses doigts. La bouche enfin pleine de sperme elle l'ouvrit pour qu'il la voit tout avaler.
Tu as vu ? Pas mal, hein ? J'adore te rendre heureux !
Bill ayant jouis, Fanny ayant avaler son sperme, ils se rhabillèrent. Pour qu'elle puisse rejoindre sa chambre.
Fanny ... c'était formidable ! Au début, j'ai cru que la douleur serait insoutenable mais après tout à changé ... grâce à votre jeu !
Je sais, il faut mélanger et donner une dose de douleur et une de plaisir, alternativement ... ce n'est que ça, le secret ! ... Si tu sais t'arranger pour venir le week-end prochain, je te préparerai de nouvelles aventures que tu vas apprécier ...
Mille fois merci Fanny. Je vais tout faire pour revenir !
Il était tard, il fallait qu'elle aille se reposer. Elle devait se lever tôt, comme chaque matin ... Mais en passant devant le bureau, elle cru entendre du bruit. Silencieusement elle s'approcha et le cœur battant, elle ouvrit doucement la porte. Elle jeta un œil, rien ! Elle entra et alors qu'elle s'approchait du bureau, une lueur brutale éclaira son visage ...
Bouge pas ou je te flingue !
La lumière s'alluma et deux hommes en cagoule la tenait en respect avec un revolver. Elle n'osa pas crier de peur qu'ils ne fassent usage de leurs armes.
Vise-moi ça, quelle beauté ! Tu veux jouer avec nous, mignonne .. ?
Je ... je n'ai pas d'argent !
De l'argent ? Je m'en fou de l'argent ... enlève-moi ça, poupée ! Il fait très chaud ici !
Mais ... mais ...
D'un geste violent, il enleva son peignoir, se rinçant l’œil en découvrant ses sous-vêtements un peu particuliers ...
Tiens, tiens ! Tu aimes les déguisements ? On va s'amuser ensemble, ma jolie !! Tu vas hurler de plaisir !
Cette fois ce fut son string qu'il arracha violemment. Une nouvelle partie de jambes en l'air commençait et elle en était le centre.
Il faut allumer le four avant de cuire les carottes ! Ha!Ha!Ha !
Laisse-m'en un peu, hein ...
Le premier agresseur lui écarta les cuisse et monta à l'assaut de sa chatte.
Oui, oui, bien sûr ! Allez, j'y vais !
Allez, Frank ! Ça va ... vas-y ... maintenant ... vas-y !
Le mec savait s'y prendre, sa langue fouillait la chatte de Fanny et le four monta en température. Quand elle fut assez chaude, il se prépara à enfourner sa carotte. Son sexe sorti, il le mit contre l'entrée de son vagin et d'un coup, il la pénétra en profondeur avec vigueur. Fanny n'allait pas encore subir, elle décida alors d'en prendre son parti et s'activa pour lui donner tout le plaisir qu'il voulait.
Salope ! Tu sais t'y prendre, hein ! Aaah ! Ça y est ... Ooooh !!
Ça suffit maintenant, Frank c'est mon tour !
Oui ... oui ... ça va !
Il jouis en elle, remplissant sa chatte de sperme et se retira laissant sa place à son complice. Celui-ci choisi l'autre entrée, celle de devant étant inondée. Il la retourna et se glissa entre ses cuisses avant de glisser sa queue dans son cul.
Moi je suis spécial, ma petite ! J'adore entrer par les portes arrières.
Oh, oui ... comme ça !
Allez, hop ... et voilà ! Un bon coup et je fais sauter le verrou.
En une fois il l'encula. Heureusement qu'elle avait déjà mouillé sinon elle aurait été prise à sec et cela fait mal. Mais cette violence l'excitait et elle eut un orgasme qui fit trembler ses jambes. Mais alors que son agresseur allait lui aussi jouir, July apparu dans l'encadrement de la porte. Et les voyant, elle hurla. Ils sursautèrent et prirent la fuite la bousculant au passage. Les deux femmes se relevèrent et la police fut appelée après que Fanny se soit changée.
Le lendemain, Bill retourna chez lui et Fanny fut appelée par Mr McGrégor. Il la félicita du travail qu'elle accomplissait et lui tendit une enveloppe contenant un très bon pourboire.
Je vous remercie Mr, mais c'est pour quel service ?
Mlle, j'ai parlé ce matin avec mon neveu et il a beaucoup apprécier que vous lui consacriez du temps. Je trouve que l'aide que vous lui avez apporté, mérite un bonus. Mais maintenant, je compte sur vous pour que dorénavant à chaque visite, il prennent autant de plaisir.
Il en va soit Mr McGrégor. Je vous remercie pour tout.
Mais je vais encore avoir besoin de vos services samedi. Je dois recevoir Mr Campbell, un de mes avocats. Il devient un vrai problème pour moi ...
Ah ? Pourquoi ?
Il est très ambitieux et je sais de bonne source qu'il trafique beaucoup ma comptabilité. J'aimerais me débarrasser de lui, mais hélas, je n'ai pas de preuves ...
Que puis-je faire pour vous, alors ?
Ces preuves, il va falloir les fabriquer. Par exemple avec des photos compromettantes ... Avec ces documents en main, je me sentirais à l'aise pour pouvoir le menacer ...
Mais ... c'est ...
Du chantage, je sais ! Mais c'est le seul moyen !
Bon d'accord. Lundi matin, vous aurez vos preuves ... mais ... j'aimerais ... comment dire ... j'aimerais un petit supplément, vous comprenez ?..
Si vous réussissez, vous aurez 1000 euros, ça vous convient ?..
Elle regagna sa chambre en ayant à l'esprit son pécule qui commençait à bien augmenter. Elle n'avait plus aucun regret d'avoir abandonné l'hôpital. C'était particulier, mais elle avait une belle carrière devant elle ...
Samedi, à dix heures pile, Mr Campbell se pointa. Il était gros avec un costume impeccable, des luttes en écailles de tortue, l'air sérieux ... un vrai P.D.G. Fanny avait déjà tout préparé, les caméras fournie par Mr McGrégor étaient installée, elle avait mit une petite tenue d'écolière et une musique d'ambiance dans la pièce en face de la chambre. Elle l'attendait et quand il sorti elle se trémoussa sur le rythme de la musique. Il fut intrigué et jeta un coup d’œil.
Bonjour !
Oh pardon !
Je m'appelle Doris, vous travaillez pour mon oncle ?
Euh ... Oui ... je suis son avocat ...
Vous aimez danser ? C'est formidable !
Heu ... Oui ... non ...ce n'est pas mon genre ...
Moi j'adore la musique qui à du rythme !
Elle prenait soin de bien faire voler sa jupe pour lui montrer ses cuisses et son porte-jarretelles noir et sexy. Il commençait à transpirer, le piège fonctionnait . Elle continua et ses mouvements saccadés firent jaillir un de ses seins pointus hors de son chemisier. Ce dernier sorti de sa jupe laissant apparaître son nombril. Campbell ne savait plus ou donner de la tête, il était hypnotisé. Jusqu'au moment où elle trébucha volontairement pour tomber dans ses bras. Son chemisier s'ouvrit complètement et elle était sur Campbell chevauchant la bosse qui déformait son pantalon. Faisant semblant de continuer à danser, elle pressa sa chatte de plus en plus contre son sexe en érection.
Oh, Monsieur ! C'est à cause de moi que vous bander ?
Mon dieu !..
Rassurez-vous, tout cela restera entre nous. Quand j'entends cette musique, je deviens folle. Je peux rien y faire.
Elle déboutonna son pantalon et avant qu'il ait pu réagir, elle avait sa bite en bouche. Campbell ne savait pas quoi faire et comme il ignorait qu'il était prit en photo toutes les 15 secondes, il laissa les choses continuer.
Mmmm ... qu'elle est bonne ...
Vous ... vous ne ... devriez pas. Votre ...
Mon oncle est dans sa chambre ... et il ne sait plus bouger de son lit ... HhmmmOooohhh, ... oui ... c'est bon !
Fanny sentait que sa proie n'allait plus tenir bien longtemps. Baiser une jeune étudiante devait être un de ses fantasme et cela l'excitait plus que d'habitude. Bref, elle écarta son string et s’assit sur cette courte grosse bite. Elle ne put y prendre beaucoup de plaisir, mais lui jouis en quelques secondes.
Mission accomplie, elle se releva et lui se pressa de quitter la demeure.
Deux jours plus tard.
Voici les preuves que vous vouliez ...
Enfin, ce salaud va payer ! Je vous remercie mille fois, grâce à vous j'ai pu résoudre ce grave problème. ... Voici vos 1000 euros.
Vous aider à été un vrai plaisir.
Vous savez toujours comment accomplir vos missions. Vous êtes la personne qu'il me faut pour solutionner mon nouveau problème.
Je ferai tout pour vous satisfaire !
Le plus grand actionnaire de la compagnie c'est Lin-Chang. Un chinois qui à des goûts très spéciaux. Il aime les choses bizarres et exotiques. Dans le passé je lui ai déjà envoyé une assistante pour le satisfaire, mais malheureusement je n'ai plus de nouvelles d'elle. Mais aujourd'hui je crois que vous pourriez réussir où elle a manifestement échoué. Naturellement votre rémunération sera en rapport avec cette mission.
J'aimerai une retraite tranquille avec de belles vacances. Pourquoi pas ? Si ça peut vous aider, rassurez-vous je ferais de mon mieux. J'aimerai vous remercier de la confiance que vous me faites !
... ?!
Faites attention à votre cœur ... et regardez.
Elle releva sa robe et fit glisser sa culotte. Elle la lui tendit et monta sur le lit posa sa chatte devant le visage de Mr McGrégor.
A vous de jouer, cher patron ! ...
Il prit ses fesses en main et lui lécha la chatte, glissant sur son clitoris et parfois la pénétrant tel un petit dard. Il était lui aussi très habile et il prit son temps, mais elle jouis sous ses assauts.
Ça ... ça y est ... je viens. Vous allez ... Je jouiiiis ... Aaaahhh..
Mmmm ... cette liqueur est délicieuse.
La mini débauche finie, le vieil homme était épuisé.
Quelque jour plus tard, l'adresse de Lin-Chang en poche, Fanny prépara ses valises avec assiduité, impatiente de réaliser sa mission. Elle se fit déposer en taxi devant une épouvantable maison aux couleurs orientales.
Reçue par un assistant, il la mena à Mr Lin -Chang.
Suivez- moi mademoiselle, Mr Lin-Chang va vous recevoir de suite.
Merci.
Après avoir patienté quelques instant dans une pièce à la décoration très chargée. Il arriva.
J'espère que cette fois-ci mon bon ami Paul , a bien choisi ... La dernière fois j'ai malheureusement ... pour elle ... été très déçu.
C'était un asiatique, chauve et très petit. Et il la regardait comme si il était à la foire au bétail.
Pas mal ! ... Ma chère, je suis un homme très exigeant et je n’aime pas gaspiller mon argent. ... Ce soir vous aurez le première épreuve, celle des plumes de Tian-Xiang. Si vous la réussissez je vous engage.
Des plumes.. ?
Oui ... avec une poudre spéciale qui excite les capillaires et réchauffe les muscles. Une formule millénaire de mon pays ...
Ah, bon !
Je vous attends à 22h00, dans la chambre bleue. Mon serviteur va vous installer et vous donnera les instructions plus précises. A ce soir Mademoiselle ...
Heu ! ... Oui à ce soir ... Monsieur !
Installée et les dernière instructions en tête, elle ouvrit une boîte qui se trouvait sur la table de sa chambre. Talons hauts, bas résille irisés, corset redresse-seins en cuir noir et mini string en soie transparente. Vêtue de cet accoutrement elle passa par dessus un déshabillé en soie rouge. Le serviteur vint à sa rencontre pour la mener au début d'un couloir, l'invita à continuer alors qu'il rebroussait chemin. Elle eus la chair de poule en voyant les fausses pierres du décor représentant une chambre de torture. Ça lui rappelait celle de Mr Matthews.
Mr Lin-Chang apparut avec une boîte mystérieuse entre les mains ... Les plumes évidement.
Miss Fanny, préparez-vous, s'il vous plaît. ... Passez les mains dans les nœuds ... et attendez.
Oui, Mr Lin-Chang.
Quand elle fut en position, il tourna une roue et les cordes la hissèrent. Elle était pendue là, les chaussures touchant à peine le sol. Mr Lin-Chang s'approcha et ouvrit son déshabillé dévoilant les sous-vêtements qu'elle du enfiler.
Tu es une pêche ouverte, une figue prête à être cueillie, tu es faite pour le plaisir ;il sorti une plume te lui chatouilla les seins aux pointes qui durcir immédiatement sous ces caresses. Elle sentait une chaleur l'envahir un plaisir intense monter en elle. Son bas ventre s'emplissait d'une sensation qu'elle connaissait bien. Tout cela sous les yeux brillant chinois triomphant.
Je veux que tu meures de plaisir. ... Voilà le petit secret ; des onguents et des poudres végétales propres à maintenir l'excitation très longtemps.
Mais lorsque la plume entra en contact avec la fine soie de son string, tout son corps se cambra. Et la soie se colla à sa fente tant elle sentait qu'elle mouillait. Il faisait voyager la plume sur son corps en sans trop appuyer les caresses. Dans un désir évident de m'exciter sans pour autant la libérer avec un orgasme. Ses hanches étaient prises de mouvements convulsifs qu'elle ne pouvait contrôler. Ce contact fini par créer en elle une onde de volupté jusque dans ses entrailles.
Oh ... Bon ... c'est bon ... c'est ... c'est ...
Tu aimes ça, hein ? J'aime les filles obéissantes, j'aime admirer le corps féminin quand il s'abandonne à l'extase. Voue êtes les fruit du paradis offert au voyageur assoiffé. Il me faut prendre le thé.
Lin-Chang s’assit à une table juste à ses pieds.
Je vous en prie ... finissez avec ce supplice8Pas avant le thé ma chérie. Le thé relaxe les nerfs et détend l'esprit.
Le thé terminé, il reprit la plume et la chatouillait à l'en rendre folle. Son corps se tordait et ses ongles s'enfonçaient dans les cordes. Quand la plume arriva sur son pubis, elle ressenti à nouveau la soie de son string absorbée par les contractions de son sexe. Le mince cordon de soie lui pénétrait la fente, la faisant frémir des pieds à la tête. Ses hanche se mirent à trembler et quand la plume repassa sur le fin tissus entre ses lèvres, c'était fini. Un cri et elle explosa dans un raz de marée de plaisir et de jouissance. Sa vision était floue et sa bouche seiche.
Reposez-vous, vous le méritez bien. Fantastique ! ... Vous êtes engagée.
La séance de torture terminée, elle fut descendue et il lui dit d'aller se reposer. Dans sa chambre, elle repensa à ce supplice . Elle avait été au bord de la rupture, elle souffrait tant le plaisir s’accumulait en elle, mais ce salopard de chinois ne voulait pas la libéré en la laissant jouir. Elle aimerais bien se procurer un petit peu de cette poudre miraculeuse. Elle est beaucoup plus efficace que les pilules mexicaines. Mais dans sa chambre elle finit par se coucher sur le lit, le sexe encore sensible et les frissons lui parcourant encore le corps. Elle était convaincue qu'elle avait beaucoup de choses à apprendre de MR Lin-Chang.
A suivre ...
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