Histoires d'une infirmière (6)
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Histoires d'une infirmière (6)
Fanny venait d'obtenir des renseignements importants et retournait dans sa chambre pour faire le point.
Pour résumé : Le vieux McGrégor est dans le coup, mais pourquoi m'avoir envoyé ici ? Il a déjà établis le contact. Quel est alors mon rôle dans cette histoire ?
Comme elle ne trouvait de réponses à ses questions, elle alla faire un tour pour se changer les idées. Tout à coup au détour d'un couloir.
Oui ... oui ... Je sais tout est surveillé. Seulement Fanny peut devenir notre courrier ... oui ... D'accord ... elle apportera la nouvelle adresse de la livraison ... c'est à cause de ça qu'elle reste en vie ... Nous avons besoin d'elle ... Ok ... je te l'envoie ...
Fanny regarda discrètement dans la pièce, c'était Mr Lin-Chang. Maintenant c'était clair, elle est vie car il ont besoin d'elle ... Il y a sûrement de la concurrence dans l'affaire ! Elle va peut-être se retrouver entre deux feux ! Elle devait faire gaffe ! ... Elle se pressa de retourner dans sa chambre et y resta en attendant les nouveaux ordres ...
Mademoiselle, vous avez une nouvelle commande de mon maître ...
Oui, je suis prête ...
Mr Lin-Chang a apprécié votre efficacité, vous recevrez un chèque supplémentaire. ... Vous allez aussi dans un nouvel endroit pour exercez vos excellents services. Une voiture va vous y conduire et là vous attendrez un ami de Mr Lin-Chang. Bonne chance, mademoiselle ! Ravi d'avoir goûté à vos charmes.
La nuit elle traversa la ville, mais le chauffeur semblait trop prudent et stressé. Une sirène retendit et il paniqua.
Merde les hommes de Shi-Lu ! ...
Mais ... mais vous êtes fou ! Ralentissez ! C'est une ambulance !
C'est ce qu'il veulent vous faire croire, Mademoiselle ! Nous devons fuir ! ...
Et il avait raison, la voiture les heurta par derrière et ils allèrent dans le décor. Deux hommes sortirent de l'autre véhicule pour venir vers eux.
Fanny entendit un murmure et elle ouvrit doucement les yeux. Elle était debout attachée par les poignets avec une corde pendant du plafond. Du coin de l’œil elle vit Shi-Lu assis dans un fauteuil.
C'est bien tu est réveillée. On sait pour qui tu travailles, tu ne veux rien dire ?
... Je vous assure que ... que vous vous trompez !..
C'est McGrégor qui t’envoie salope ! Tu ne veux rien dire ? Eh bien, je crois que j'ai un bon moyen de te rendre plu bavarde. Je suis sûr que tu as des tas de choses à nous dire. Le nom de ton contact par exemple ?..
Je suis infirmière et je soignais un malade, vous vous trompez avec moi. C'est vrai que Mr McGrégor m'a engagée, mais c'est tout, je vous jure !..
Tuas réfléchi ? Tu es sûre que tu ne veux pas nous faire des confidences ? Bon, d'accord ... Kaito !
Shi-Lu prononça des mots en chinois et quelques instant plus tard, elle était presque nue. Elle avais des fourmis dans les jambes et Shi-Lu observait avec attention sa nudité.
Je n'ai rien à dire ... Détâchez moi !..
Voilà qui comblera mes instincts de voyeur. On pourrait peut-être s'amuser un peu tous les deux, hein ?..
Sur ces mots Kaito, un jeune serviteur chinois, vint retirer son dernier rempart et lui retira son string. Il se plaça derrière elle et entreprit de la pénétrer en levrette. Cependant, elle n'était ni préparée, ni encore assez excitée. Et la douleur fut cuisante et cela fit monter peu à peu le plaisir. Il la souleva, la tenant par les jambes et la laissant reposer sur sur son sexe. Ses muscles intimes se mirent à fonctionner heureux d'engloutir la colonnes de chair. Il accéléra le rythme et elle monta de petit à petit en température. Mais Fanny ayant choisi cette nouvelle profession, elle savait ce qui pouvait lui arriver et elle s'était préparée. Elle parvint à prendre le contrôle de son corps et à lui faire ressentir le maximum de plaisir.
Toi aimer ça ?..
Oui ... oui ... Je ... je n'en peux plus ! Ah !
Alors que Shi-Lu continuait de les regarder, son serviteur jouis et puis la laissa épuisée sur le sol. Ses seins lui faisaient mal tant elle était maintenant excitée ? Ses lèvres vaginales étaient en feu. A genoux, sa chatte laissait s'écouler un jus blanc et laiteux.
Ce sera un véritable plaisir pour moi de m'occuper de notre invitée demain matin ... en attendant qu'on s'occupe d'elle !
Oui Maître !
Elle s'allongea contre le mur. Elle se demandais si le lendemain serait son dernier jour ...
Je suis votre ami, je travaille pour MonsieurLin-Chang mon maître, suivez-moi. Je vais vous aider. Tenez, habillez-vous. Faites attention ...
Ce devait être un serviteur de Shi-lu, mais il semblait sincère et elle décida de le suivre.
Merde ! Li-Nong, surveille la sortie ...
Je vais essayer de la distraire, pendant que vous faites le tour pour l'assommer ... Allez-y ...
Elle s'avança et dès qu'elle fut repérée.
Mais comment avez-vous ? ... Haut les mains ou je tire ...
Oui ... oui .. ne tirez pas ... regardez, je lève les mains ... regardez ...
N'ayant qu'un T-Shirt long, quand elle leva les bras elle lui montra son sexe dénudé. Il avala péniblement sa salive et n'entendit pas venir le serviteur qui lui asséna un énorme coup de pied. Le garde étendu inconscient au sol, Il se sauvèrent, une voiture les attendaient dehors et ils sautèrent dedans avec qu'elle ne démarre sur les chapeaux de roues.
C'est chez Mr McGrégor qu'elle fut déposée et après une bonne nuit de repos elle fut convoquée dans sa chambre.
Bonjour Fanny !
Bonjour Mr McGrégor !
Heureux que vous alliez bien. Mais mon ami a écrit sur votre peau un message secret, le texte ne peut apparaître qu'avec un produit spécial ajouté à votre bain. Allez donc dans la salle de bain et rapportez-moi ce message.
Après une demi-heure, elle retourna voir Mr Égrégore.
Voici le texte, je suis heureuse de vous rendre service de nouveau ...
Très bien ... bien Fanny, votre compte en banque va grossir très vite ... A présent, reposez-vous, d'ici quelques jours vous pourrez rendre service à mon cousin Alfred.
A votre service, Mr McGrégor ...
Sa mère lui avait dit qu'il était l'homme de la maison et j'aurais parié qu'elle tentait de l'éloigner des filles dont elle était secrètement jalouse. Il est trop timide et trop inexpérimenté. Ses désirs sexuels refoulés se transformèrent purement et simplement en inhibitions. Il disait un jour qu'une femme, même très belle n'arrivait pas à la cheville de sa pile de billets. Alfred a une caisse enregistreuse à la place du cœur. Je vous paye 1000 euros, s'il arrive à retrouver son cœur de vingt ans. C'est un pari. Mais il à besoin d'une secrétaire, car maintenant c'est un vieillard qui habite seul dans sa maison avec son serviteur Higgins.
J'espère être à la hauteur, Mr McGrégor ...
Quelques jours plus tard elle fut déposée devant son domaine. Alfred était un homme de petite taille, au crâne chauve et à la barbiche bien taillée. Elle l'invita à le suivre pour prendre possessions de ses appartements.
Je ne savait pas que vous habitiez un palais ...
C'est pas mal, je dois dire. Je m'en occupe beaucoup depuis la mort de ma pauvre mère ... Je ... je n'ai rien d'autre à faire que de passer la tondeuse à gazon et repeindre la clôture ...
Pendant tout ce temps, je sentais son regard s’attarder sur mon cul.
Suivez mon domestique, il va vous aider à vous installer.
Si Mademoiselle veut bien me suivre, j'ai préparé sa chambre.
Après s'être installée, elle s'est douchée elle se préparait et dix minutes plus tard elle était dans la bibliothèque pour qu'Alfred lui explique le travail qu'il attendait d'elle.
Vous devrez classer tous les documents anciens, cette collection est très spécialisée.
D'accord Monsieur.
Le soir venu elle examina toutes les possibilités, et elle trouva une occasion. Voyant Alfred venir vers la bibliothèque, elle laissa la porte entrouverte et se hâta d'enlever son chemisier et sa jupe. Elle se caressa et du coin de l’œil elle vu qu'elle était observée discrètement. Mais il ne tenta rien et elle du remettre cela à plus tard. Un autre soir à la bibliothèque une nouvelle occasion se présenta. Elle avait tout prévu et comme chaque soir Mr Alfred venait voir ce qu'elle avait fait, elle lui tendit un piège. Un peu avant qu'il n'arrive elle s'installa dans un fauteuil avec les jambes croisées et donc la jupe lui remontant jusqu'au ras du string.
Mlle ... il est tard .. !
Elle faisait semblant de dormir, mais s’agitait légèrement sur le fauteuil, juste assez pour que sa jupe remonte jusqu'à sa taille. Le vieux reporta son regard sur elle, certain qu'elle ne saurait rien de son indiscrétion, il regarda son string cachant à peine sa fente. Mais encore une fois il n'alla pas plus loin.
Le lendemain matin vers 9h30.
Désolée, il est tard, ... mais hier ... je ...
Vous vous êtes endormie dans la bibliothèque, vous aviez travaillé beaucoup. Et j'aime les gens qui prennent leur travail au sérieux.
Merci, Monsieur !
Vous prendrez bien une tasse de café ?
Heu ... oui ...volontiers.
Quand il la lui servit, elle lui frôla la main de sorte que nos doigts s’unissent une seconde. Je lui dédiai un sourire éclatant.
Je crois que nous allons nous entendre, Mademoiselle Fanny.
Moi aussi ... Alfred ...
Heu ... Je ... ne suis pas ... habitué à tant de familiarité.
C'est parce que nous ne sommes pas tout à fait de la même génération. Nous sommes beaucoup plus familier que les personnes de votre âge. Et quand nous avons quelque chose à dire, nous le disons, c'est tout. Mais vous, vous vous laisseriez mourir plutôt que de l'avouer. Vous êtes encore très séduisant ...
C'est parce que ... Je pourrais être votre père. ... J'ai connu une fille dans les temps qui s'appelait comme vous ... mais ça fait trop ... trop longtemps ... je crois bien que je suis trop vieux ... Pour rêver.
Voyons, voyons, qu'est-ce que vous me chantez là ? Un homme robuste comme vous.
Fanny sentait qu'elle devait aller plus loin si elle ne voulait le perdre. Elle joua alors le grand jeu.
j'adore les années cinquante ; ses voitures, sa mode, tout ! ... Je déteste les collants ! Vous aimez la teinte fumée de mes bas ? C'est de la soie ...
Elle avait visé juste, après avoir relevé sa jupe, ses yeux s'accrochèrent, au noir dessin de son porte-jarretelles, comme la nuit d'avant. Son regard remonta sur le haut des ses cuisses nues. Sous l’émotion , il s'affala dans un fauteuil. Cela n'arrangeait pas les affaires de notre amie, il était maintenant impossible qu'il vienne vers elle. C'est donc elle qui se leva.
Oh ... extraordinaire! Des vinyles ... j'aime ce genre de musique !
Elle remuais les épaules en faisant tressauter ses seins et sa robe descendait de plus en plus ... Le bord de l'échancrure vint s'accrocher aux pointes érigées de ses seins. Ses tétons se dressaient sous la fine couche étoffe. Les yeux d'Alfred étaient sur le point de sortir de leurs orbites. Pouvu que son cœur ne lâche pas. Mais tout à coup, alors qu'elle passait juste devant lui. Il bandit du sa place et l'attrapa . Il mit ses mains sur ses genoux et les fit remonter sur ses cuisses satinées. Ses doigts touchèrent sa chair nue, il effleurèrent l'entrejambe jusqu'à son string. Il sentit tout de suite qu'elle mouillait.
Oooh ! ... Mon dieu ...
Il se glissa entre ses jambes puis les ouvrit. Ses yeux ne pouvaient plus se détacher de son intimité à laquelle collait indécemment son string. Puis il pencha sa bouche, embrassa tendrement ses cuisses en feu. Le contact sur de sa langue sur sa chair brûlante fit frémir Fanny, des pieds à la tête. Ses jambes commençaient même à trembler. Alfred aventura ses lèvres et sa langue jusque sur les pourtour de son string. Fanny, même si elle avait appris à se contrôler, elle sentit des bouffées de chaleurs l'envahir.
C'est bon, oh ... comme c'est bon ... Je ne peux plus tenir ! ... Aaaahhhh !
Fanny sentait bien qu'il n'irait pas plus loin qu'un cunnilingus et elle se laissa aller. Elle eut un orgasmes en quelques minutes et Alfred fut ravi d'avoir depuis des années réussi à faire jouir une femme.
Adorable, adorable ! Ma petite ,ça fait plus de trente ans que je n'avais pas ...
Vous êtes très doués ! Les femmes ont perdu beaucoup sans vous.
Vous dites cela pour me faire plaisir ...
Je vous assure que je suis sincère.
Aujourd'hui ! J'ai retrouvé ma jeunesse chère Fanny et c'est grâce à vous.
Le vieux avait reprit de la vigueur et son cœur semblait tenir le choc. Mais elle allait en savoir plus pour l’entraîner plus loin.
J'ai envie de faire ... faire des bêtises ... d'essayer tous mes fantasmes et ... et ...
Avec moi peut-être ?
Oui,oui ... c'est ça, mais avec votre collaboration ... vous ... vous voulez bien ?
Vous aimez quelque chose de ... spécial ?
Non ... Heu ... Oui ! Les soubrettes ... les petites écolières ... et ... et ...
C'est d'accord ... vous aurez ce que vous voulez !
Je ferai tout ce que vous voudrez, tout !
Je suis au service de Monsieur et j'obéis à vos moindres désirs ...
Oui ... oui ! Demain matin ...
Rendez-vous prit, elle alla réfléchir dans sa chambre à ce qu'elle pouvait lui préparer. Une courte robe noire, moulant audacieusement son corps pulpeux avec un décolleté plongeant découvrant une bonne partie de ses seins. Et tout l’attirail le d'une soubrette.
Le choix fait, le lendemain matin elle était attendue dans la bibliothèque.
EntrezBonjour monsieur ! ... Je m'excuse mai il faut que je nettoie la bibliothèque.
Faites je vais lire pendant ce temps ...
Elle commença immédiatement en montant sur un escabeau pour faire le dessus des meubles. Alfred avait d'entrée une vue directe sur son porte-jarretelles et la naissance de ses fesses nues.
Vous avez bien de la chance d'avoir une femme de ménage chez vous ... Il y a de la poussière partout ...
Regardez sous votre bureau, c'est aussi sale qu'au-dessus des armoires.
Elle descendit de son escabeau et se mit à quatre pattes pour se glisser sous le bureau. Ainsi elle lui tournait le dos afin qu'il eût un aperçu de sa croupe et la chair tendre de ses fesses blanches. Sa mini-jupe lui remonta sur le dos et il put même voir qu'elle ne portait ni culotte, ni string. Il était hypnotisé par sa fente lisse et humide. Il ne put se retenir de se lever et d'aller vers elle. Et alors qu'il était assez près , il posa ses mains sur ses reins et releva au maximum sa jupe.
Frottez, frottez ! ... Très bien, oui ... comme ça, je veux que le sol brille, Le bureau doit être implacable ... Oui, continuez ... continuez !
Le succès de son boulot dépendait de sa capacité à l'interresser à ses jeux.
Oh ! ... vous êtes un vilain garçon ! ...Attendez ... pas si vite ...
Il se pencha sur elle et fit sortir ses seins pour les prendre en main. Fanny sentais son excitation monté car une bosse faisait maintenant pression sur sa vulve.
Voyeur et malinlon maître, regardez ce que je vous offre rien que pour vous ...
Elle se mit à genoux et ouvrant franchement son chemisier lui colla les seins sur la bouche.
Embrasse-les, mange-les, suce-les ...
Fanny ! ... mon ange ... Mmm ! ...
Il promena sa bouche humide et tiède sur ses seins et leurs tétons dressés. Elle commença d’ailleurs à gémir tant il était habille.
C'est bon ... oui, là ... encore ! ... Je suis à toi ... continue ... Aaahh !
Quand il fut assez excité, il se mit derrière elle et après avoir sorti son sexe gonflé et vigoureux, il le frotta contre les fesses de sa soubrette soumise. Elle sentit quelque chose de dur pénétrer en elle. Jamais elle n'aurait imaginé qu'un homme de sa corpulence et sutout de son âge ai une bite si grosse et malgrè les crainte pour son cœur, il ne se ménagea pas et la prit en levrette comme presque aucun autre homme n'avait put le faire.
Tu vas me faire mourir de plaisir ... Oooohhh ! ...
Fanny aussi participait et elle accompagnait, en cadence, chaque coup de bite pour la faire entrer au plus profond d'elle. Les mains de son amant lui serrait les fesses comme des oranges dont il eut voulu en extirper le jus. Il s'agrippait à elle jusqu'à l'extase.
Oui ... oui ! ... Ooooohhh ! Mon dieu ... Aaaaahhhh !
Tant in gémit, elle crut qu'il allait avoir une crise cardiaque ; son visage était devenu violacé et les veines saillaient sur son front qui se couvrait de grosses gouttes de sueur ...
Je vais ... je vais...
Encore un peu ... s'il vous plaît ... encore ... jamais on ne m'a aimée comme cela ... Continuez ... je voue en supplie !
Mais trop tard, il était au maximum et elle sentison vagin inondé par sa semence chaude.
Aaaaaaahhhh ... Ouuuuiiiiii ...
Elle était quand même heureuse car au contact de ce lait chaud, son sexe se comprima et un frisson lui traversa le corps de la tête aux pieds.
Merci ... merci Fanny ... formidable ! ... Si vous voulez, je peux ... vous faire gagner de l'argent ... beaucoup d'argent ...
Rien ne presse ! Il est tard ! Merci de votre confiance, reposez-vous, on en reparlera demain !
Elle réajusta sa tenue et par jeu termina son travail dans le bureau. ... Elle lui suça la bite pour en extraire les dernières gouttes. Ensuite seulement, elle regagna ses appartements.
Le lendemain.
Bonjour Monsieur Alfred.
Bonjour Fanny, à propos ... je voudrais ... je ...
Oui Monsieur, n'ayez pas de crainte, je suis ouverte d'esprit !
J'ai un ami ... heu ... Il pourrait lui aussi être intéressé par vos ... services. Enfin, moi je vus dit ça ... si ça vous intéresse .. ?
Bien sûr, que ça m'intéresse ...
Très bien, c'est comme cela que tu me plaît ! Alors, à ce soir ?
Vous verrez ... ce sera une surprise, croyez-moi. J'espère que la démonstration vous plaira.
Elle échafauda un scénario et le soir venu.
Je suis Louana, déesse de l'amour, fiancée de Nubdano et prêtresse de temple vaudou de merville.
Assis dans un fauteuil, l'ami d'alfred, l'examina de haut en bas, insistant sur ses seins gonflants son chemisier blanc.
Ô Nubdano, soit remercié ... Merci d'avoir éclairé mes pensées, pour tes nombreux bienfaits, à présent ta fiancée est prête à te recevoir...
Elle agita les bras en cadence au-dessus de sa tête. Elle se conduisais comme une tigresse en chaleur. Sa jupe révéla bientôt son ventre satiné et le début des poils couvrant son mont de Vénus, mais toujours en majorité caché sous le fin tissu de nylon.
Prends-moi ! ... Prends-moi ! ... Je suis à toi ...
Vautré dans son fauteuil, il jouait discrètement avec sa tige et parvenait maladroitement à le faire réagir.
Alfred joua le jeu et vint près de Fanny couchée au sol, les seins découvert et les tétons durci.
Me voilà, je suis là ... c'est moi Nubdano !
Je suis à toi, toute à toi ? Prends-moi toute !
Alfred retira ma jupe et fit glisser mon string sur mes chevilles. Ils pouvaient ainsi se délecter de la vision de sa toison humide. Alfred se pencha et dégageant un maximum un sein, il lui suça le téton. Mais il n'était pas seul et Fanny pendit la main pour la poser sur la bosse prohéminante du pantalon de l'invité.
Et vous aussi ! ... Venez en profitezOh ! ... Mon dieu ...
Les dux vieux étaient lancés. Alors qu'Alfred se faisait maintenant sucè la queue, son ami écarta les jambes de Fanny et vint lui caresser la chatte avec sa langue.
Mmm ! ... Monsieur Alfred ... Mmm ... elle est en pleine forme ! Prenez-moi.
Si tôt dit, si tôt fait ! Elle lui présenta ses fesses et dans le même temps elle sorti la bite du pantalon de son ami. Elle ouvrit la bouche et la fit disparaitre à l'intérieur.
Ah ! Oui je sens que tu en veux plus ! Je suis à toi Nubdano. Prends-moi !
Moi je suis le frère de Nubdano ! Continue de ma suçer ! Ooohh ! ... Oui ... comme ça ma bonne servante ! Oui ...
Pendant ce temps, Nubdano s'était enfoncé en elle et toujours aussi gros en vigoureux, il lui labourait la chatte. Bien que habituée à ces plaisirs sexuels, elle eut difficile de retenir ses cris quand un premier orgasme la transperça. Mais nos deux compères continuèrent sans se soucier d'elle.
Oooohh ... ton Maître ... t'as bien formée ... Aaaahhhh ! Ça y est ... je sens que ... je vais ... Je jouiiiiisss ...
Et c'est sans prévenir qu'il prit la tête de Fanny entre ses mains et enfonçant sa bite au fond de sa gorge éjacula. Elle eut l'impression d'étouffer, mais putain qu'est-ce qu'elle avait aimé cela.
Alfred quand à lui arrivait au bout de ses forces et alors qu'elle était, à nouveau, envahie par un orgasme. Il e vida en elle, les derniers jets finissant eux sur son dos.
Fanny, mon dieu ... quel ange tu es ... tu as de nouveau fait un bon boulot ! ...
Que ferait Mr Alfred et ses amis sans leur petit Fanny ... elle sait y faire, hein ?
Oui, ma chère ... vous êtes extraordinaire ...
Les prestations de Fanny avaient comme d'habitude comblé les désirs de ses clients et comme d'habitude une nouvelle proposition allait lui être faite. Mais cette fois par l'ami de mr Alfred.
Mademoiselle ... c'est possible ce week-end que ... que avec des amis ... enfin, ... ils sont très généreux et ...
Ecoutez, ça commence à devenir monotone, je vais y réfléchir !
Elle allait devoir penser à trouver une nouvelle façon de pimenter ses missions, sinon elle s'en lasserait vite. Et si plus de de missions, lus d'argent facile. Elle retourna dans sa chambre et y penserait le lendemain.
A suivre ...
Pour résumé : Le vieux McGrégor est dans le coup, mais pourquoi m'avoir envoyé ici ? Il a déjà établis le contact. Quel est alors mon rôle dans cette histoire ?
Comme elle ne trouvait de réponses à ses questions, elle alla faire un tour pour se changer les idées. Tout à coup au détour d'un couloir.
Oui ... oui ... Je sais tout est surveillé. Seulement Fanny peut devenir notre courrier ... oui ... D'accord ... elle apportera la nouvelle adresse de la livraison ... c'est à cause de ça qu'elle reste en vie ... Nous avons besoin d'elle ... Ok ... je te l'envoie ...
Fanny regarda discrètement dans la pièce, c'était Mr Lin-Chang. Maintenant c'était clair, elle est vie car il ont besoin d'elle ... Il y a sûrement de la concurrence dans l'affaire ! Elle va peut-être se retrouver entre deux feux ! Elle devait faire gaffe ! ... Elle se pressa de retourner dans sa chambre et y resta en attendant les nouveaux ordres ...
Mademoiselle, vous avez une nouvelle commande de mon maître ...
Oui, je suis prête ...
Mr Lin-Chang a apprécié votre efficacité, vous recevrez un chèque supplémentaire. ... Vous allez aussi dans un nouvel endroit pour exercez vos excellents services. Une voiture va vous y conduire et là vous attendrez un ami de Mr Lin-Chang. Bonne chance, mademoiselle ! Ravi d'avoir goûté à vos charmes.
La nuit elle traversa la ville, mais le chauffeur semblait trop prudent et stressé. Une sirène retendit et il paniqua.
Merde les hommes de Shi-Lu ! ...
Mais ... mais vous êtes fou ! Ralentissez ! C'est une ambulance !
C'est ce qu'il veulent vous faire croire, Mademoiselle ! Nous devons fuir ! ...
Et il avait raison, la voiture les heurta par derrière et ils allèrent dans le décor. Deux hommes sortirent de l'autre véhicule pour venir vers eux.
Fanny entendit un murmure et elle ouvrit doucement les yeux. Elle était debout attachée par les poignets avec une corde pendant du plafond. Du coin de l’œil elle vit Shi-Lu assis dans un fauteuil.
C'est bien tu est réveillée. On sait pour qui tu travailles, tu ne veux rien dire ?
... Je vous assure que ... que vous vous trompez !..
C'est McGrégor qui t’envoie salope ! Tu ne veux rien dire ? Eh bien, je crois que j'ai un bon moyen de te rendre plu bavarde. Je suis sûr que tu as des tas de choses à nous dire. Le nom de ton contact par exemple ?..
Je suis infirmière et je soignais un malade, vous vous trompez avec moi. C'est vrai que Mr McGrégor m'a engagée, mais c'est tout, je vous jure !..
Tuas réfléchi ? Tu es sûre que tu ne veux pas nous faire des confidences ? Bon, d'accord ... Kaito !
Shi-Lu prononça des mots en chinois et quelques instant plus tard, elle était presque nue. Elle avais des fourmis dans les jambes et Shi-Lu observait avec attention sa nudité.
Je n'ai rien à dire ... Détâchez moi !..
Voilà qui comblera mes instincts de voyeur. On pourrait peut-être s'amuser un peu tous les deux, hein ?..
Sur ces mots Kaito, un jeune serviteur chinois, vint retirer son dernier rempart et lui retira son string. Il se plaça derrière elle et entreprit de la pénétrer en levrette. Cependant, elle n'était ni préparée, ni encore assez excitée. Et la douleur fut cuisante et cela fit monter peu à peu le plaisir. Il la souleva, la tenant par les jambes et la laissant reposer sur sur son sexe. Ses muscles intimes se mirent à fonctionner heureux d'engloutir la colonnes de chair. Il accéléra le rythme et elle monta de petit à petit en température. Mais Fanny ayant choisi cette nouvelle profession, elle savait ce qui pouvait lui arriver et elle s'était préparée. Elle parvint à prendre le contrôle de son corps et à lui faire ressentir le maximum de plaisir.
Toi aimer ça ?..
Oui ... oui ... Je ... je n'en peux plus ! Ah !
Alors que Shi-Lu continuait de les regarder, son serviteur jouis et puis la laissa épuisée sur le sol. Ses seins lui faisaient mal tant elle était maintenant excitée ? Ses lèvres vaginales étaient en feu. A genoux, sa chatte laissait s'écouler un jus blanc et laiteux.
Ce sera un véritable plaisir pour moi de m'occuper de notre invitée demain matin ... en attendant qu'on s'occupe d'elle !
Oui Maître !
Elle s'allongea contre le mur. Elle se demandais si le lendemain serait son dernier jour ...
Je suis votre ami, je travaille pour MonsieurLin-Chang mon maître, suivez-moi. Je vais vous aider. Tenez, habillez-vous. Faites attention ...
Ce devait être un serviteur de Shi-lu, mais il semblait sincère et elle décida de le suivre.
Merde ! Li-Nong, surveille la sortie ...
Je vais essayer de la distraire, pendant que vous faites le tour pour l'assommer ... Allez-y ...
Elle s'avança et dès qu'elle fut repérée.
Mais comment avez-vous ? ... Haut les mains ou je tire ...
Oui ... oui .. ne tirez pas ... regardez, je lève les mains ... regardez ...
N'ayant qu'un T-Shirt long, quand elle leva les bras elle lui montra son sexe dénudé. Il avala péniblement sa salive et n'entendit pas venir le serviteur qui lui asséna un énorme coup de pied. Le garde étendu inconscient au sol, Il se sauvèrent, une voiture les attendaient dehors et ils sautèrent dedans avec qu'elle ne démarre sur les chapeaux de roues.
C'est chez Mr McGrégor qu'elle fut déposée et après une bonne nuit de repos elle fut convoquée dans sa chambre.
Bonjour Fanny !
Bonjour Mr McGrégor !
Heureux que vous alliez bien. Mais mon ami a écrit sur votre peau un message secret, le texte ne peut apparaître qu'avec un produit spécial ajouté à votre bain. Allez donc dans la salle de bain et rapportez-moi ce message.
Après une demi-heure, elle retourna voir Mr Égrégore.
Voici le texte, je suis heureuse de vous rendre service de nouveau ...
Très bien ... bien Fanny, votre compte en banque va grossir très vite ... A présent, reposez-vous, d'ici quelques jours vous pourrez rendre service à mon cousin Alfred.
A votre service, Mr McGrégor ...
Sa mère lui avait dit qu'il était l'homme de la maison et j'aurais parié qu'elle tentait de l'éloigner des filles dont elle était secrètement jalouse. Il est trop timide et trop inexpérimenté. Ses désirs sexuels refoulés se transformèrent purement et simplement en inhibitions. Il disait un jour qu'une femme, même très belle n'arrivait pas à la cheville de sa pile de billets. Alfred a une caisse enregistreuse à la place du cœur. Je vous paye 1000 euros, s'il arrive à retrouver son cœur de vingt ans. C'est un pari. Mais il à besoin d'une secrétaire, car maintenant c'est un vieillard qui habite seul dans sa maison avec son serviteur Higgins.
J'espère être à la hauteur, Mr McGrégor ...
Quelques jours plus tard elle fut déposée devant son domaine. Alfred était un homme de petite taille, au crâne chauve et à la barbiche bien taillée. Elle l'invita à le suivre pour prendre possessions de ses appartements.
Je ne savait pas que vous habitiez un palais ...
C'est pas mal, je dois dire. Je m'en occupe beaucoup depuis la mort de ma pauvre mère ... Je ... je n'ai rien d'autre à faire que de passer la tondeuse à gazon et repeindre la clôture ...
Pendant tout ce temps, je sentais son regard s’attarder sur mon cul.
Suivez mon domestique, il va vous aider à vous installer.
Si Mademoiselle veut bien me suivre, j'ai préparé sa chambre.
Après s'être installée, elle s'est douchée elle se préparait et dix minutes plus tard elle était dans la bibliothèque pour qu'Alfred lui explique le travail qu'il attendait d'elle.
Vous devrez classer tous les documents anciens, cette collection est très spécialisée.
D'accord Monsieur.
Le soir venu elle examina toutes les possibilités, et elle trouva une occasion. Voyant Alfred venir vers la bibliothèque, elle laissa la porte entrouverte et se hâta d'enlever son chemisier et sa jupe. Elle se caressa et du coin de l’œil elle vu qu'elle était observée discrètement. Mais il ne tenta rien et elle du remettre cela à plus tard. Un autre soir à la bibliothèque une nouvelle occasion se présenta. Elle avait tout prévu et comme chaque soir Mr Alfred venait voir ce qu'elle avait fait, elle lui tendit un piège. Un peu avant qu'il n'arrive elle s'installa dans un fauteuil avec les jambes croisées et donc la jupe lui remontant jusqu'au ras du string.
Mlle ... il est tard .. !
Elle faisait semblant de dormir, mais s’agitait légèrement sur le fauteuil, juste assez pour que sa jupe remonte jusqu'à sa taille. Le vieux reporta son regard sur elle, certain qu'elle ne saurait rien de son indiscrétion, il regarda son string cachant à peine sa fente. Mais encore une fois il n'alla pas plus loin.
Le lendemain matin vers 9h30.
Désolée, il est tard, ... mais hier ... je ...
Vous vous êtes endormie dans la bibliothèque, vous aviez travaillé beaucoup. Et j'aime les gens qui prennent leur travail au sérieux.
Merci, Monsieur !
Vous prendrez bien une tasse de café ?
Heu ... oui ...volontiers.
Quand il la lui servit, elle lui frôla la main de sorte que nos doigts s’unissent une seconde. Je lui dédiai un sourire éclatant.
Je crois que nous allons nous entendre, Mademoiselle Fanny.
Moi aussi ... Alfred ...
Heu ... Je ... ne suis pas ... habitué à tant de familiarité.
C'est parce que nous ne sommes pas tout à fait de la même génération. Nous sommes beaucoup plus familier que les personnes de votre âge. Et quand nous avons quelque chose à dire, nous le disons, c'est tout. Mais vous, vous vous laisseriez mourir plutôt que de l'avouer. Vous êtes encore très séduisant ...
C'est parce que ... Je pourrais être votre père. ... J'ai connu une fille dans les temps qui s'appelait comme vous ... mais ça fait trop ... trop longtemps ... je crois bien que je suis trop vieux ... Pour rêver.
Voyons, voyons, qu'est-ce que vous me chantez là ? Un homme robuste comme vous.
Fanny sentait qu'elle devait aller plus loin si elle ne voulait le perdre. Elle joua alors le grand jeu.
j'adore les années cinquante ; ses voitures, sa mode, tout ! ... Je déteste les collants ! Vous aimez la teinte fumée de mes bas ? C'est de la soie ...
Elle avait visé juste, après avoir relevé sa jupe, ses yeux s'accrochèrent, au noir dessin de son porte-jarretelles, comme la nuit d'avant. Son regard remonta sur le haut des ses cuisses nues. Sous l’émotion , il s'affala dans un fauteuil. Cela n'arrangeait pas les affaires de notre amie, il était maintenant impossible qu'il vienne vers elle. C'est donc elle qui se leva.
Oh ... extraordinaire! Des vinyles ... j'aime ce genre de musique !
Elle remuais les épaules en faisant tressauter ses seins et sa robe descendait de plus en plus ... Le bord de l'échancrure vint s'accrocher aux pointes érigées de ses seins. Ses tétons se dressaient sous la fine couche étoffe. Les yeux d'Alfred étaient sur le point de sortir de leurs orbites. Pouvu que son cœur ne lâche pas. Mais tout à coup, alors qu'elle passait juste devant lui. Il bandit du sa place et l'attrapa . Il mit ses mains sur ses genoux et les fit remonter sur ses cuisses satinées. Ses doigts touchèrent sa chair nue, il effleurèrent l'entrejambe jusqu'à son string. Il sentit tout de suite qu'elle mouillait.
Oooh ! ... Mon dieu ...
Il se glissa entre ses jambes puis les ouvrit. Ses yeux ne pouvaient plus se détacher de son intimité à laquelle collait indécemment son string. Puis il pencha sa bouche, embrassa tendrement ses cuisses en feu. Le contact sur de sa langue sur sa chair brûlante fit frémir Fanny, des pieds à la tête. Ses jambes commençaient même à trembler. Alfred aventura ses lèvres et sa langue jusque sur les pourtour de son string. Fanny, même si elle avait appris à se contrôler, elle sentit des bouffées de chaleurs l'envahir.
C'est bon, oh ... comme c'est bon ... Je ne peux plus tenir ! ... Aaaahhhh !
Fanny sentait bien qu'il n'irait pas plus loin qu'un cunnilingus et elle se laissa aller. Elle eut un orgasmes en quelques minutes et Alfred fut ravi d'avoir depuis des années réussi à faire jouir une femme.
Adorable, adorable ! Ma petite ,ça fait plus de trente ans que je n'avais pas ...
Vous êtes très doués ! Les femmes ont perdu beaucoup sans vous.
Vous dites cela pour me faire plaisir ...
Je vous assure que je suis sincère.
Aujourd'hui ! J'ai retrouvé ma jeunesse chère Fanny et c'est grâce à vous.
Le vieux avait reprit de la vigueur et son cœur semblait tenir le choc. Mais elle allait en savoir plus pour l’entraîner plus loin.
J'ai envie de faire ... faire des bêtises ... d'essayer tous mes fantasmes et ... et ...
Avec moi peut-être ?
Oui,oui ... c'est ça, mais avec votre collaboration ... vous ... vous voulez bien ?
Vous aimez quelque chose de ... spécial ?
Non ... Heu ... Oui ! Les soubrettes ... les petites écolières ... et ... et ...
C'est d'accord ... vous aurez ce que vous voulez !
Je ferai tout ce que vous voudrez, tout !
Je suis au service de Monsieur et j'obéis à vos moindres désirs ...
Oui ... oui ! Demain matin ...
Rendez-vous prit, elle alla réfléchir dans sa chambre à ce qu'elle pouvait lui préparer. Une courte robe noire, moulant audacieusement son corps pulpeux avec un décolleté plongeant découvrant une bonne partie de ses seins. Et tout l’attirail le d'une soubrette.
Le choix fait, le lendemain matin elle était attendue dans la bibliothèque.
EntrezBonjour monsieur ! ... Je m'excuse mai il faut que je nettoie la bibliothèque.
Faites je vais lire pendant ce temps ...
Elle commença immédiatement en montant sur un escabeau pour faire le dessus des meubles. Alfred avait d'entrée une vue directe sur son porte-jarretelles et la naissance de ses fesses nues.
Vous avez bien de la chance d'avoir une femme de ménage chez vous ... Il y a de la poussière partout ...
Regardez sous votre bureau, c'est aussi sale qu'au-dessus des armoires.
Elle descendit de son escabeau et se mit à quatre pattes pour se glisser sous le bureau. Ainsi elle lui tournait le dos afin qu'il eût un aperçu de sa croupe et la chair tendre de ses fesses blanches. Sa mini-jupe lui remonta sur le dos et il put même voir qu'elle ne portait ni culotte, ni string. Il était hypnotisé par sa fente lisse et humide. Il ne put se retenir de se lever et d'aller vers elle. Et alors qu'il était assez près , il posa ses mains sur ses reins et releva au maximum sa jupe.
Frottez, frottez ! ... Très bien, oui ... comme ça, je veux que le sol brille, Le bureau doit être implacable ... Oui, continuez ... continuez !
Le succès de son boulot dépendait de sa capacité à l'interresser à ses jeux.
Oh ! ... vous êtes un vilain garçon ! ...Attendez ... pas si vite ...
Il se pencha sur elle et fit sortir ses seins pour les prendre en main. Fanny sentais son excitation monté car une bosse faisait maintenant pression sur sa vulve.
Voyeur et malinlon maître, regardez ce que je vous offre rien que pour vous ...
Elle se mit à genoux et ouvrant franchement son chemisier lui colla les seins sur la bouche.
Embrasse-les, mange-les, suce-les ...
Fanny ! ... mon ange ... Mmm ! ...
Il promena sa bouche humide et tiède sur ses seins et leurs tétons dressés. Elle commença d’ailleurs à gémir tant il était habille.
C'est bon ... oui, là ... encore ! ... Je suis à toi ... continue ... Aaahh !
Quand il fut assez excité, il se mit derrière elle et après avoir sorti son sexe gonflé et vigoureux, il le frotta contre les fesses de sa soubrette soumise. Elle sentit quelque chose de dur pénétrer en elle. Jamais elle n'aurait imaginé qu'un homme de sa corpulence et sutout de son âge ai une bite si grosse et malgrè les crainte pour son cœur, il ne se ménagea pas et la prit en levrette comme presque aucun autre homme n'avait put le faire.
Tu vas me faire mourir de plaisir ... Oooohhh ! ...
Fanny aussi participait et elle accompagnait, en cadence, chaque coup de bite pour la faire entrer au plus profond d'elle. Les mains de son amant lui serrait les fesses comme des oranges dont il eut voulu en extirper le jus. Il s'agrippait à elle jusqu'à l'extase.
Oui ... oui ! ... Ooooohhh ! Mon dieu ... Aaaaahhhh !
Tant in gémit, elle crut qu'il allait avoir une crise cardiaque ; son visage était devenu violacé et les veines saillaient sur son front qui se couvrait de grosses gouttes de sueur ...
Je vais ... je vais...
Encore un peu ... s'il vous plaît ... encore ... jamais on ne m'a aimée comme cela ... Continuez ... je voue en supplie !
Mais trop tard, il était au maximum et elle sentison vagin inondé par sa semence chaude.
Aaaaaaahhhh ... Ouuuuiiiiii ...
Elle était quand même heureuse car au contact de ce lait chaud, son sexe se comprima et un frisson lui traversa le corps de la tête aux pieds.
Merci ... merci Fanny ... formidable ! ... Si vous voulez, je peux ... vous faire gagner de l'argent ... beaucoup d'argent ...
Rien ne presse ! Il est tard ! Merci de votre confiance, reposez-vous, on en reparlera demain !
Elle réajusta sa tenue et par jeu termina son travail dans le bureau. ... Elle lui suça la bite pour en extraire les dernières gouttes. Ensuite seulement, elle regagna ses appartements.
Le lendemain.
Bonjour Monsieur Alfred.
Bonjour Fanny, à propos ... je voudrais ... je ...
Oui Monsieur, n'ayez pas de crainte, je suis ouverte d'esprit !
J'ai un ami ... heu ... Il pourrait lui aussi être intéressé par vos ... services. Enfin, moi je vus dit ça ... si ça vous intéresse .. ?
Bien sûr, que ça m'intéresse ...
Très bien, c'est comme cela que tu me plaît ! Alors, à ce soir ?
Vous verrez ... ce sera une surprise, croyez-moi. J'espère que la démonstration vous plaira.
Elle échafauda un scénario et le soir venu.
Je suis Louana, déesse de l'amour, fiancée de Nubdano et prêtresse de temple vaudou de merville.
Assis dans un fauteuil, l'ami d'alfred, l'examina de haut en bas, insistant sur ses seins gonflants son chemisier blanc.
Ô Nubdano, soit remercié ... Merci d'avoir éclairé mes pensées, pour tes nombreux bienfaits, à présent ta fiancée est prête à te recevoir...
Elle agita les bras en cadence au-dessus de sa tête. Elle se conduisais comme une tigresse en chaleur. Sa jupe révéla bientôt son ventre satiné et le début des poils couvrant son mont de Vénus, mais toujours en majorité caché sous le fin tissu de nylon.
Prends-moi ! ... Prends-moi ! ... Je suis à toi ...
Vautré dans son fauteuil, il jouait discrètement avec sa tige et parvenait maladroitement à le faire réagir.
Alfred joua le jeu et vint près de Fanny couchée au sol, les seins découvert et les tétons durci.
Me voilà, je suis là ... c'est moi Nubdano !
Je suis à toi, toute à toi ? Prends-moi toute !
Alfred retira ma jupe et fit glisser mon string sur mes chevilles. Ils pouvaient ainsi se délecter de la vision de sa toison humide. Alfred se pencha et dégageant un maximum un sein, il lui suça le téton. Mais il n'était pas seul et Fanny pendit la main pour la poser sur la bosse prohéminante du pantalon de l'invité.
Et vous aussi ! ... Venez en profitezOh ! ... Mon dieu ...
Les dux vieux étaient lancés. Alors qu'Alfred se faisait maintenant sucè la queue, son ami écarta les jambes de Fanny et vint lui caresser la chatte avec sa langue.
Mmm ! ... Monsieur Alfred ... Mmm ... elle est en pleine forme ! Prenez-moi.
Si tôt dit, si tôt fait ! Elle lui présenta ses fesses et dans le même temps elle sorti la bite du pantalon de son ami. Elle ouvrit la bouche et la fit disparaitre à l'intérieur.
Ah ! Oui je sens que tu en veux plus ! Je suis à toi Nubdano. Prends-moi !
Moi je suis le frère de Nubdano ! Continue de ma suçer ! Ooohh ! ... Oui ... comme ça ma bonne servante ! Oui ...
Pendant ce temps, Nubdano s'était enfoncé en elle et toujours aussi gros en vigoureux, il lui labourait la chatte. Bien que habituée à ces plaisirs sexuels, elle eut difficile de retenir ses cris quand un premier orgasme la transperça. Mais nos deux compères continuèrent sans se soucier d'elle.
Oooohh ... ton Maître ... t'as bien formée ... Aaaahhhh ! Ça y est ... je sens que ... je vais ... Je jouiiiiisss ...
Et c'est sans prévenir qu'il prit la tête de Fanny entre ses mains et enfonçant sa bite au fond de sa gorge éjacula. Elle eut l'impression d'étouffer, mais putain qu'est-ce qu'elle avait aimé cela.
Alfred quand à lui arrivait au bout de ses forces et alors qu'elle était, à nouveau, envahie par un orgasme. Il e vida en elle, les derniers jets finissant eux sur son dos.
Fanny, mon dieu ... quel ange tu es ... tu as de nouveau fait un bon boulot ! ...
Que ferait Mr Alfred et ses amis sans leur petit Fanny ... elle sait y faire, hein ?
Oui, ma chère ... vous êtes extraordinaire ...
Les prestations de Fanny avaient comme d'habitude comblé les désirs de ses clients et comme d'habitude une nouvelle proposition allait lui être faite. Mais cette fois par l'ami de mr Alfred.
Mademoiselle ... c'est possible ce week-end que ... que avec des amis ... enfin, ... ils sont très généreux et ...
Ecoutez, ça commence à devenir monotone, je vais y réfléchir !
Elle allait devoir penser à trouver une nouvelle façon de pimenter ses missions, sinon elle s'en lasserait vite. Et si plus de de missions, lus d'argent facile. Elle retourna dans sa chambre et y penserait le lendemain.
A suivre ...
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