Histoires de jeunesses (IV) - histoire érotique

Pascal nous fait donc un long silence...

Qu'Isabelle vient briser. "C'est tout à son honneur de ne pas souhaiter raconter, alors je vais l'aider".

Elle nous précise que Pierre et elle ont invité Pascal un soir, avec des idées en tête. Et que Pascal a répondu présent. Que son mutisme était en fait une forme de respect.

Isabelle nous raconte alors comment elle s'est trouvée dans une soirée de jambes en l'air d'antologie où elle a pu prpfiter de deux mâles pour elle toute seule... Et avec moults détails sur la façon dont Pierre avait démarré, la façon dont Pascal avait du coup enfilé son préservatif un peu à la hâte et Isabelle qui le lui avait ajusté, comment il avait commencé par une missionnaire après son ami, puis laissant sa place pour se faire caresser à pleine main son engin dur...

Isabelle avait alors sucé l'un quand l'autre la baisait, chacun son tour. Elle nous détaille les sensations de sa langue, de ses lèvres, à ressetnir la bite de son copain et celle de l'invité. Elle nous raconte comment elle a profité goulûment de ces deux membres durs qu'elle prenait en bouche, non sans tourner (sept foi ?) sa langue autour, dans sa bouche, pour chacun. Quel excitation quand elle nosu décrit les aspérités, le bassage du bout de sa langue sous le gland de Pierre et la réaction de l'habitué, comment ensuite en glissant sa langue sous le penis droit de Pascal elle a ressenti son excitation intense, et comment elle nous détaille le passage de sa langue autour du gland décalotté de la bite circoncise de Pascal.

Elle nous relate aussi comment à un moment elle n'a plus su se contenir et a commencé à prendre d'une main la bite qu'elle n'avait pas en bouche, à l'immense joie des intéressés.

À un moment, Pierre s'est allongé sur le dos et Isabelle s'est littéralement jetée sur lui. Pascal s'était allongé à côté et Isabelle en profitait pour changer de mâle au gré de ses envies. Elle mouillait, ils bandaient, tout allait super bien. Isabelle nous a alors précisé les sensations de ses lèvres, de son clitoris, de son vagin rempli et vidé tour à tour de ces coups de piston, de ces assauts lubriques de deux mâles excités. Et les intéressés de relater comment ils appréciaient son con trempé et glissant, précédé d'un pubis impeccablement rasé. Pierre nous a précisé qu'il aide souvent à la préparation.

En passant sur Pierre pour la troisième fois, Isabelle a commencé à changer de trou. Pascal a vu clairement Isabelle chevaucher son ami alors que sa chatte visible était vide ! Et ses râles n'en variaient aucunement. Ceux de Pierre par contre se sont alors distinctememnt montés en volume et en hauteur ! Cela dit il était évident qu'Isabelle ne se faisait pas enculer pour la première fois. Et Pascal a rappelé le visage radieux, yeux clos et lèvres pincées comme pour apprécier encore plus les sensations, d'Isabelle en pleine sodomie. Elle a alors tiré la langue et approché sa tête de Pascal, pour une embrassade goulue et gourmande.

Puis alors qu'Isabelle chevauchait Pascal en reprenant la voie vaginale, Pierre s'est levé. Isabelle s'est alors allongée, et Pierre s'est placé derrière. Pascal a ressenti, dit-il, à ce moment là une poussée qui rendait la chatte d'Isabelle très étroite : Pierre avait pris la porte de derrière et Isabelle avait droit à sa première double pénétration, vaiginale et anale. Elle en râlait, en fermait les yeux, en gémissait. Ses gémissements étaient réellement obscènes. Et Pierre en rajoutait "tu aimes ça hein ?". La réponse d'Isabelle : "Ouiiiiii..."
C'en était trop pour l'ex puceau Pascal qui a joui dans la seconde.

Isabelle lui a chuchoté "toi tu étais puceau je me trompe ?"
- Comment tu sais ?

- La capote, ta façon de jouir là à ce moment-là, tes mains tremblantes...

Pascal a souri. Oui, il a d'un coup gagné en estime de tous !

On poursuit. Il se trouve que moi, j'ai été dépucelé par Virginie. Et vice versa. Alors je m'approche d'elle, on se prend la main et on démarre notre histoire.

Chez elle. Ses parents n'étaient pas là de la journée. Elle m'a invitée pour voir ensemble un film qu'elle ne voudrait pas voir avec ses parents. En raison de scènes qu'elle ne voulait pas partager avec eux.

Quelques verres, quelques regards, quelques touchettes, quelques caresses...

Avant même la première scène crue du film on était nus et collés, et au départ des premiers gémissements, une capote en place, elle s'était assise, en Andromaque inversée, se chatouillant le clito alors qu'elle s'empalait sur ma bite. Doucement d'abord, pusi avec ferveur à mesure que son excitation grandissait.

Les scènes du film ont montré des poses que nous avons du coup voulu essayer.

En levrette d'abord. On a apprécié, je sentais divinement l'entrée dans son trou d'amour. Et sa mouille facilitait la glisse.

On a poursuivi sur le bord du canapé, j'avais l'impression de la regarder de haut, ce qui ne me mettait pas à mon aise mais sinon j'adorais la sensation, la vue... La pénétration.

Je suis allé ensuite m'asseoir pour l'accueillir, elle est venue, et s'est littéralement empalée, sourire aux lèvres. Virginie confirme qu'elle a aussi adoré ce moment, cette vie, cette facilité à s'embrasser à ce moment-là. On a moins gémi du coup comme on se bécotait avec gourmandise...

On a alors improvisé une cuiller sur le canapé, un peu acrobatique au vu de la largeur à notre disposition, mais on était du coup lovés l'un contre l'autre tout en continuant à copuler. C'était obscènement bon... Mais limité. Virginie confirme que ça ne poussait plus assez pour elle.

Elle a donc décidé de me rallonger pour un retour à l'andromaque. La classique cette fois. J'adorais admirer son sourire contente de la fille qu'on baise bien. C'était des "hein" que tu poussais Virginie, tu te souviens ? Tu aimes prendre les devants depuis ta première fois en fait.

Chaque nouvelle pose nous provoquait des cris différents. On en venait à commenter nos sensations. Je me souviens qu'en cuiller elle m'a dit que ça poussait pas asez loin pour elle.

On a alors décidé de se choisir nos valeurs sûres : missionaire, andromaque et.. Levrette bien sûr. C'est la levrette qui a eu le plus de vote de notre part à tous deux.

Au momment où elle a senti que j'allais venir elle m'a proposé de profiter de sa poitrine. Elle m'a fini en coinçant ma bite entre ses seins et en me faisant coulisser jusqu'à sa langue : la fameuse branlette espagnole. Et je n'ai pas eu de soucis à jouir...

Nous terminons en précisant que nous sommes restés PQR un moment.

Virginie prend alors la parole "Plus que toi Vivien, je crois ?"