Histoires de pieds - Le train
Récit érotique écrit par MrXtracold [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2010 dans la catégorie Fétichisme
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Histoires de pieds - Le train
Je prends souvent le train de Lyon à Montpellier, principalement le teoz.
Il m’est souvent arrivé d’y croiser de jolis pieds, aperçus dans un éclair en remontant l’allée centrale, mais jamais à proximité.
Ce ne fut pas le cas cette nuit-là.
Lorsque je montais dans le train, la nuit était déjà bien avancée.
Je me dépêchais de rejoindre ma place. C’était un carré 4*4, c’est-à-dire que deux sièges côte à côte faisaient face à deux autres sièges, le tout séparé par une petite tablette centrale.
Un des sièges était déjà pris par une demoiselle qui dormait, les pieds reposant sur le siège en face. Je m’assis donc sur le siège à côté de celui-là, près de la fenêtre.
La jeune femme était plutôt mignonne, et elle avait quitté ses ballerines pour allonger ses jambes.
Au fur et à mesure des minutes qui passaient, je sentais l’excitation monter.
La tête enfouie dans son blouson, elle me laissait libre de regarder ses pieds.
Le fait que le wagon fut presque vide m’aida pour la suite. Personne en effet ne pouvait me voir, et la seule qui pouvait était en train de dormir, m’offrant ses pieds.
Je me penchais alors doucement vers ses pieds, et respirait son odeur.
L’odeur des ballerines n’est pas une légende.
Je respirais et respirais encore l’odeur de ses fines plantes de pieds, me rapprochant des orteils pour sentir l’odeur se renforcer.
Je me redressais en sueur, le cœur battant tellement fort que j’avais peur qu’elle l’entende.
Mon regard tomba alors sur ses ballerines.
Je me penchai pour en attraper une, et la colla sur mon nez.
L’odeur de pied qui s’était infiltrée dans la semelle était la plus forte que j’ai pu sentir.
Je n’ai pas résisté à la tentation d’y coller ma langue. Tout d’abord seulement le bout, et après je léchais tout l’intérieur.
J’ai reposé la ballerine près de la ventilation au sol pour qu’elle sèche plus vite, et j’ai pris l’autre, que j’ai seulement reniflé, mais pendant une demi-heure.
J’ai reposé les chaussures un peu comme elles étaient avant mon passage, et elle ne s’est réveillée que quelques dizaines de minutes plus tard.
Il m’est souvent arrivé d’y croiser de jolis pieds, aperçus dans un éclair en remontant l’allée centrale, mais jamais à proximité.
Ce ne fut pas le cas cette nuit-là.
Lorsque je montais dans le train, la nuit était déjà bien avancée.
Je me dépêchais de rejoindre ma place. C’était un carré 4*4, c’est-à-dire que deux sièges côte à côte faisaient face à deux autres sièges, le tout séparé par une petite tablette centrale.
Un des sièges était déjà pris par une demoiselle qui dormait, les pieds reposant sur le siège en face. Je m’assis donc sur le siège à côté de celui-là, près de la fenêtre.
La jeune femme était plutôt mignonne, et elle avait quitté ses ballerines pour allonger ses jambes.
Au fur et à mesure des minutes qui passaient, je sentais l’excitation monter.
La tête enfouie dans son blouson, elle me laissait libre de regarder ses pieds.
Le fait que le wagon fut presque vide m’aida pour la suite. Personne en effet ne pouvait me voir, et la seule qui pouvait était en train de dormir, m’offrant ses pieds.
Je me penchais alors doucement vers ses pieds, et respirait son odeur.
L’odeur des ballerines n’est pas une légende.
Je respirais et respirais encore l’odeur de ses fines plantes de pieds, me rapprochant des orteils pour sentir l’odeur se renforcer.
Je me redressais en sueur, le cœur battant tellement fort que j’avais peur qu’elle l’entende.
Mon regard tomba alors sur ses ballerines.
Je me penchai pour en attraper une, et la colla sur mon nez.
L’odeur de pied qui s’était infiltrée dans la semelle était la plus forte que j’ai pu sentir.
Je n’ai pas résisté à la tentation d’y coller ma langue. Tout d’abord seulement le bout, et après je léchais tout l’intérieur.
J’ai reposé la ballerine près de la ventilation au sol pour qu’elle sèche plus vite, et j’ai pris l’autre, que j’ai seulement reniflé, mais pendant une demi-heure.
J’ai reposé les chaussures un peu comme elles étaient avant mon passage, et elle ne s’est réveillée que quelques dizaines de minutes plus tard.
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