Homo actif, le mauvais rôle pour moi.
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Homo actif, le mauvais rôle pour moi.
Voici le récit de deux de mes aventures homosexuelles, auxquelles, je ne m’attendais pas.
La première, s’est passée dans une ville du sud de la France ou je me rendais depuis quelques mois, pour aider un ami et le remplacer a sa boutique (histoires: L'inconnu du kiosque à sandwich et Enculé de force dans les dunes).
Je devais rouvrir son magasin à partir de 14h30, je tuais le temps en flânant dans les rues de la vieille ville, entre Midi et 14 heures.
Ce jour là, je m’arrête devant une boutique de cadeaux-souvenirs.
J’y remarque un objet sympa pour offrir à ma fille de 3 ans.
J’entre en disant bonjour, et vois un homme derrière sa caisse, d’une quarantaine d’années, assez quelconque.
Il répond à mon bonjour en ajoutant un sourire commercial.
Je visite le magasin, pour voir, si je peux trouver d’autres choses intéressantes, puis, faute de mieux, je prends ce que j’ai repéré pour le poser sur le comptoir de la caisse.
L’homme me dit alors: "Vous avez des enfants?", je réponds:"Oui!".IIl enchaine: "Je dois avoir d’autres choses en stock, si cela vous dit, je vous les offres, ce sont des invendus!".
Etonné, j’accepte en pensant au bonheur que cela pourrait faire à ma fille. Il me dit: "Il est passé Midi, je vais fermer, de toute façon personne ne viendra plus maintenant!".
Il ferme son magasin et me demande de le suivre dans l’arrière boutique.
Là, il me montre des cartons remplis de jouets sans importances, à part un ou deux, que je récupère en le remerciant.
Il me dit alors: "Vous faites quelle taille? Parce que j’ai aussi des pantalons! Je suis sûr que certains vous irons très bien!".
A nouveau surpris, je réponds: "On peut toujours essayer!".
Il ajoute:"Je vais quand même vérifier votre taille!".
Il sort un mètre de couturière et s’agenouille à mes pieds en le passant autour de ma ceinture.
En faisant cela, ses mains, touchent mon sexe. Il dit alors: "Ohh la la! Mais vous êtes serré là! Il faut vous mettre à l’aise! Et votre ceinture me gêne pour avoir votre taille exacte!".
Il défait ma ceinture pour, d’après lui, me libérer tout en me frottant la queue.
C’est à ce moment précis que je réalise que je suis tombé dans un piège! Il avait prévu tout ça depuis mon entrée dans son magasin, je lui plaisais et moi je ne l’ai pas vu venir!
Je reste hébété, le pantalon sur les pieds. Il pose sa main sur mon slip à nouveau et me masse les couilles et la queue qui malgré moi, bande fermement.
"Je ne peux pas vous laisser comme çà! Vous êtes tendu!".
Il baisse mon slip et englobe ma bite pour me sucer, je reste ébahi de cette situation sans réagir, mais surpris par le paradoxe.
Dois-je lui dire qu'il s'est trompé en voyant chez moi un homme viril, alors que je suis bi passif uniquement?
Je ne dis rien et décide de me laisser aller au plaisir qu'il me donne avec sa langue et sa bouche, même si je n'apprécie guère d'être sucé par un homme.
Puis il se relève, baisse son pantalon et me dit en se tournant et se baissant à l'équerre contre le mur:"Tenez! Rentrez ici! Dans mes fesses, vous verrez, ça va vous faire du bien!"Je ne contrarie pas son jeu, un peu ridicule, et entreprends une lente pénétration.
Son cul s'ouvre doucement pour finir par recevoir ma queue jusqu'au couilles.
"Ahhhh! Bougez! Maintenant, il faut vous soulager!".
Je l'attrape par les fesses et je l'encule de plus en plus vite, pour finir en sodomie puissante, mais retenue.
Je ne veux pas jouir trop vite, je veux attendre son orgasme d'abord, par solidarité.
Je suis souvent dans sa situation, et je sais que je préfère jouir avant celui qui m'encule.
Mes coups de reins se font violents et profonds, à chaque mouvement, il gueule un peu plus fort.
"Arhhhh, vous êtes doué, vous me donnez du plaisir, vous faites ça bien, ahhhhhhhhhh! je viens, je viens, encore, Monsieur, encore, ahhhhhhh!".
Il était temps, j'étais au bord de l'explosion, torturé du fait que je n'aime pas vraiment le corps d'un homme et malgré tout, le plaisir qui montait du fait que je l'enculais.
Même si j'essayais de contenir mon plaisir, le frottement de mon gland dans son cul serré, m'avait emmené à un orgasme naissant, je lui annonce:"Je vais jouir, j'en peux plus". Il répond:"Allez-y Monsieur, j'ai joui moi-aussi, laissez vous aller, ne vous retenez pas! Arhhhhh! C'est booonnnn!"Je décide de tout lâcher et déverse mon foutre chaud dans son anus, en quelques derniers soubresauts violents et profonds.
Je reste collé dans ses fesses, un long moment, le temps de reprendre mes esprits.
Puis, il se dégage de ma queue, prend un vieux tissu et le positionne entre ses jambes.
En se contractant pour pousser sur son anus, il fait sortir mon sperme de son cul.
Il regarde mon foutre et dit:"Eh, bien Monsieur, vous en aviez vraiment besoin, c'était une grosse envie!".
Il me tend le tissu pour que je m'essuie la queue.
Apres m'être revêtu, je m'éclipserai en emportant mes cadeaux.
Toute l'après-midi à la boutique de mon ami, je penserai à cette situation que je n'ai pu contrôler, j'ai baisé un mec, moi qui n'aime pas ça et qui habituellement se fait enculer comme une salope!
La seconde aventure date du tout début, au moment où j'avais mon premier appart, ma fiancée venait de me quitter, perturbé, je n'allais plus bosser et donc j'ai perdu mon job.
S'en est suivi, une période de chômage, puis mes droits devenant insignifiants, j'avais de plus en plus de mal à joindre les 2 bouts.
Un soir, alors que je me demandais comment manger le lendemain, je me décide à essayer de rencontrer des hommes contre de l'argent.
Le problème, c'est que je ne sais pas ou se trouvent les endroits réputés pour ça, j'opte pour le Jardin du Centre Ville.
Je marche en fixant les voitures qui passent pour repérer ceux qui draguent.
Une demi-heure se passe, il fait nuit à présent.
J'essuie deux refus, qui m'humilient un peu, j'ai envie de rentrer chez moi.
Un troisième s'arrête et ouvre sa vitre pour me parler, j'ai encore la gorge nouée en pensant à ce que je vais lui dire.
Il me dit bonsoir, je réponds à son bonsoir, puis lui dit:"Je suis désolé, c'est pas gratuit". Il me demande:"Ok, c'est combien?".
"200 francs!".
"Bien, on a droit à quoi pour ça?".
"Tout ce que vous voulez! Sauf la violence".
"Montes!".
Je lui indique qu'on peut baiser à mon appart, ça l'arrange.
J'imagine déjà sa queue dans ma bouche et mon cul, en pensant que je vais joindre l'utile à l'agréable.
Chez moi, il attrape ma bouche et m'embrasse, je n'aime pas la bouche d'un mec, et je ne m'y habituerai que par la suite, mais, vu qu'il me paie, je subis et réponds à ses baisers.
On se dévêtit, je descends sur sa bite pour le sucer comme j'adore le faire.
Puis il me relève et se baisse à son tour pour me sucer.
Ce qui me fait réaliser que cet homme est passif, lui aussi.
Je vais donc devoir le baiser, alors que ce n’est pas mon truc, mais j'ai besoin de son argent.
Je caresse sa tête pendant que je lui baise lentement la bouche, puis il s'allonge sur mon lit en me disant: "Prends-moi!".
Je lui lèche le trou du cul sans vraiment aimer ça, en déposant le plus de salive, possible.
J'approche mon gland de son anus, en poussant fermement, mais avec précaution.
Je sens son sphincter s'ouvrir peu à peu, je me dégage, et en visant bien, laisse tomber encore un peu de salive sur son anus.
Je recommence ma pénétration, mon gland passe facilement l'entrée de son cul.
Je ne bouge plus, puis je reconnais le moment où son anus se détend.
Je pousse pour m'enfoncer en lui jusqu'aux couilles.
C’est une nouveauté pour moi, c’est la première fois que je pénètre un homme, et constate que je préfère les formes plus dessinées d’une jolie fille.
Même son anus est moins agréable que ceux des filles que j'ai enculé.
Je suis derrière lui, qui est à quatre pattes à présent.
Son corps mince et droit qui se termine sur une paire de fesses peu charnues, dans lesquelles disparait ma queue, ne m’excite pas.
Mais, heureusement, cela n’a aucune incidence sur mon érection.
Je ne dois pas lui montrer ma gêne et faire ce pour quoi, il va me payer!
Je pense à moi, quand je suis à sa place, et aussi à la manière dont j’encule Lisa.
Pour lui donner le plus de plaisir possible, je lui enfonce ma queue de façon saccadée, en variant les rythmes.
De temps en temps, je m’amuse à ne le pénétrer, que du bout de mon sexe, puis je le défonce à grands coups puissants, il râle de jouissance, je sens son plaisir monter.
Bien sur, mécaniquement, je ressens quand même du plaisir malgré moi.
Son cul étroit, et chaud sur ma queue, c’est dur de résister! Et je pense que plus je repousse l'éjaculation, plus elle vient!
J’attends avec impatience son orgasme, pour mieux tenir, je regarde son dos masculin pour me rappeler que c’est un homme que j’encule.
Je souffle pour faire tomber le plaisir montant, puis il pousse un gémissement long et étouffé, il mord la couverture sous lui.
Son visage est déformé par l’orgasme que lui procure mes violents coups de bite.
De mon coté, je m’applique à ce qu’il ne regrette pas ce que je vais lui coûter, et ne laisse pas retomber son orgasme en me déchainant profondément en lui.
Surtout, en ne me laissant pas aller au plaisir, il ouvre sa bouche et pousse des:"Hannn!, hannn, hann!".
A chaque fois que mon gland frappe le fond de son cul. Il en est au point où son corps se relâche après l’orgasme, remplit de plénitude.
Il se sent bien et profite jusqu’au bout de son plaisir anal.
Il ne me faut guère de temps pour que je lui annonce que moi aussi, je n’en peux plus.
"Oui, vas-y! Crache-moi dans le cul! Ahhhhhhhhh!".
J’explose en me cambrant en arrière et lui assène quelques derniers coups de queue à l’intérieur de son anus.
Il s’écroule sous moi, je le suis, collé dans ses fesses et nous restons un court moment ainsi, à reprendre nos esprits.
Il me dit:"Je pense que tu es comme moi, tu es passif! On sent ses choses là! Mais c’est pas grave, tu m’as bien baisé!".
Il s’habille, dépose l’argent sur mon lit et disparait.
J’ai eu du mal à accepter le fait que je me sois prostitué, ce fut la première et dernière fois!
Quand au fait de baiser un autre homme, cela ne m'est arrivé que 5 fois.
La première, s’est passée dans une ville du sud de la France ou je me rendais depuis quelques mois, pour aider un ami et le remplacer a sa boutique (histoires: L'inconnu du kiosque à sandwich et Enculé de force dans les dunes).
Je devais rouvrir son magasin à partir de 14h30, je tuais le temps en flânant dans les rues de la vieille ville, entre Midi et 14 heures.
Ce jour là, je m’arrête devant une boutique de cadeaux-souvenirs.
J’y remarque un objet sympa pour offrir à ma fille de 3 ans.
J’entre en disant bonjour, et vois un homme derrière sa caisse, d’une quarantaine d’années, assez quelconque.
Il répond à mon bonjour en ajoutant un sourire commercial.
Je visite le magasin, pour voir, si je peux trouver d’autres choses intéressantes, puis, faute de mieux, je prends ce que j’ai repéré pour le poser sur le comptoir de la caisse.
L’homme me dit alors: "Vous avez des enfants?", je réponds:"Oui!".IIl enchaine: "Je dois avoir d’autres choses en stock, si cela vous dit, je vous les offres, ce sont des invendus!".
Etonné, j’accepte en pensant au bonheur que cela pourrait faire à ma fille. Il me dit: "Il est passé Midi, je vais fermer, de toute façon personne ne viendra plus maintenant!".
Il ferme son magasin et me demande de le suivre dans l’arrière boutique.
Là, il me montre des cartons remplis de jouets sans importances, à part un ou deux, que je récupère en le remerciant.
Il me dit alors: "Vous faites quelle taille? Parce que j’ai aussi des pantalons! Je suis sûr que certains vous irons très bien!".
A nouveau surpris, je réponds: "On peut toujours essayer!".
Il ajoute:"Je vais quand même vérifier votre taille!".
Il sort un mètre de couturière et s’agenouille à mes pieds en le passant autour de ma ceinture.
En faisant cela, ses mains, touchent mon sexe. Il dit alors: "Ohh la la! Mais vous êtes serré là! Il faut vous mettre à l’aise! Et votre ceinture me gêne pour avoir votre taille exacte!".
Il défait ma ceinture pour, d’après lui, me libérer tout en me frottant la queue.
C’est à ce moment précis que je réalise que je suis tombé dans un piège! Il avait prévu tout ça depuis mon entrée dans son magasin, je lui plaisais et moi je ne l’ai pas vu venir!
Je reste hébété, le pantalon sur les pieds. Il pose sa main sur mon slip à nouveau et me masse les couilles et la queue qui malgré moi, bande fermement.
"Je ne peux pas vous laisser comme çà! Vous êtes tendu!".
Il baisse mon slip et englobe ma bite pour me sucer, je reste ébahi de cette situation sans réagir, mais surpris par le paradoxe.
Dois-je lui dire qu'il s'est trompé en voyant chez moi un homme viril, alors que je suis bi passif uniquement?
Je ne dis rien et décide de me laisser aller au plaisir qu'il me donne avec sa langue et sa bouche, même si je n'apprécie guère d'être sucé par un homme.
Puis il se relève, baisse son pantalon et me dit en se tournant et se baissant à l'équerre contre le mur:"Tenez! Rentrez ici! Dans mes fesses, vous verrez, ça va vous faire du bien!"Je ne contrarie pas son jeu, un peu ridicule, et entreprends une lente pénétration.
Son cul s'ouvre doucement pour finir par recevoir ma queue jusqu'au couilles.
"Ahhhh! Bougez! Maintenant, il faut vous soulager!".
Je l'attrape par les fesses et je l'encule de plus en plus vite, pour finir en sodomie puissante, mais retenue.
Je ne veux pas jouir trop vite, je veux attendre son orgasme d'abord, par solidarité.
Je suis souvent dans sa situation, et je sais que je préfère jouir avant celui qui m'encule.
Mes coups de reins se font violents et profonds, à chaque mouvement, il gueule un peu plus fort.
"Arhhhh, vous êtes doué, vous me donnez du plaisir, vous faites ça bien, ahhhhhhhhhh! je viens, je viens, encore, Monsieur, encore, ahhhhhhh!".
Il était temps, j'étais au bord de l'explosion, torturé du fait que je n'aime pas vraiment le corps d'un homme et malgré tout, le plaisir qui montait du fait que je l'enculais.
Même si j'essayais de contenir mon plaisir, le frottement de mon gland dans son cul serré, m'avait emmené à un orgasme naissant, je lui annonce:"Je vais jouir, j'en peux plus". Il répond:"Allez-y Monsieur, j'ai joui moi-aussi, laissez vous aller, ne vous retenez pas! Arhhhhh! C'est booonnnn!"Je décide de tout lâcher et déverse mon foutre chaud dans son anus, en quelques derniers soubresauts violents et profonds.
Je reste collé dans ses fesses, un long moment, le temps de reprendre mes esprits.
Puis, il se dégage de ma queue, prend un vieux tissu et le positionne entre ses jambes.
En se contractant pour pousser sur son anus, il fait sortir mon sperme de son cul.
Il regarde mon foutre et dit:"Eh, bien Monsieur, vous en aviez vraiment besoin, c'était une grosse envie!".
Il me tend le tissu pour que je m'essuie la queue.
Apres m'être revêtu, je m'éclipserai en emportant mes cadeaux.
Toute l'après-midi à la boutique de mon ami, je penserai à cette situation que je n'ai pu contrôler, j'ai baisé un mec, moi qui n'aime pas ça et qui habituellement se fait enculer comme une salope!
La seconde aventure date du tout début, au moment où j'avais mon premier appart, ma fiancée venait de me quitter, perturbé, je n'allais plus bosser et donc j'ai perdu mon job.
S'en est suivi, une période de chômage, puis mes droits devenant insignifiants, j'avais de plus en plus de mal à joindre les 2 bouts.
Un soir, alors que je me demandais comment manger le lendemain, je me décide à essayer de rencontrer des hommes contre de l'argent.
Le problème, c'est que je ne sais pas ou se trouvent les endroits réputés pour ça, j'opte pour le Jardin du Centre Ville.
Je marche en fixant les voitures qui passent pour repérer ceux qui draguent.
Une demi-heure se passe, il fait nuit à présent.
J'essuie deux refus, qui m'humilient un peu, j'ai envie de rentrer chez moi.
Un troisième s'arrête et ouvre sa vitre pour me parler, j'ai encore la gorge nouée en pensant à ce que je vais lui dire.
Il me dit bonsoir, je réponds à son bonsoir, puis lui dit:"Je suis désolé, c'est pas gratuit". Il me demande:"Ok, c'est combien?".
"200 francs!".
"Bien, on a droit à quoi pour ça?".
"Tout ce que vous voulez! Sauf la violence".
"Montes!".
Je lui indique qu'on peut baiser à mon appart, ça l'arrange.
J'imagine déjà sa queue dans ma bouche et mon cul, en pensant que je vais joindre l'utile à l'agréable.
Chez moi, il attrape ma bouche et m'embrasse, je n'aime pas la bouche d'un mec, et je ne m'y habituerai que par la suite, mais, vu qu'il me paie, je subis et réponds à ses baisers.
On se dévêtit, je descends sur sa bite pour le sucer comme j'adore le faire.
Puis il me relève et se baisse à son tour pour me sucer.
Ce qui me fait réaliser que cet homme est passif, lui aussi.
Je vais donc devoir le baiser, alors que ce n’est pas mon truc, mais j'ai besoin de son argent.
Je caresse sa tête pendant que je lui baise lentement la bouche, puis il s'allonge sur mon lit en me disant: "Prends-moi!".
Je lui lèche le trou du cul sans vraiment aimer ça, en déposant le plus de salive, possible.
J'approche mon gland de son anus, en poussant fermement, mais avec précaution.
Je sens son sphincter s'ouvrir peu à peu, je me dégage, et en visant bien, laisse tomber encore un peu de salive sur son anus.
Je recommence ma pénétration, mon gland passe facilement l'entrée de son cul.
Je ne bouge plus, puis je reconnais le moment où son anus se détend.
Je pousse pour m'enfoncer en lui jusqu'aux couilles.
C’est une nouveauté pour moi, c’est la première fois que je pénètre un homme, et constate que je préfère les formes plus dessinées d’une jolie fille.
Même son anus est moins agréable que ceux des filles que j'ai enculé.
Je suis derrière lui, qui est à quatre pattes à présent.
Son corps mince et droit qui se termine sur une paire de fesses peu charnues, dans lesquelles disparait ma queue, ne m’excite pas.
Mais, heureusement, cela n’a aucune incidence sur mon érection.
Je ne dois pas lui montrer ma gêne et faire ce pour quoi, il va me payer!
Je pense à moi, quand je suis à sa place, et aussi à la manière dont j’encule Lisa.
Pour lui donner le plus de plaisir possible, je lui enfonce ma queue de façon saccadée, en variant les rythmes.
De temps en temps, je m’amuse à ne le pénétrer, que du bout de mon sexe, puis je le défonce à grands coups puissants, il râle de jouissance, je sens son plaisir monter.
Bien sur, mécaniquement, je ressens quand même du plaisir malgré moi.
Son cul étroit, et chaud sur ma queue, c’est dur de résister! Et je pense que plus je repousse l'éjaculation, plus elle vient!
J’attends avec impatience son orgasme, pour mieux tenir, je regarde son dos masculin pour me rappeler que c’est un homme que j’encule.
Je souffle pour faire tomber le plaisir montant, puis il pousse un gémissement long et étouffé, il mord la couverture sous lui.
Son visage est déformé par l’orgasme que lui procure mes violents coups de bite.
De mon coté, je m’applique à ce qu’il ne regrette pas ce que je vais lui coûter, et ne laisse pas retomber son orgasme en me déchainant profondément en lui.
Surtout, en ne me laissant pas aller au plaisir, il ouvre sa bouche et pousse des:"Hannn!, hannn, hann!".
A chaque fois que mon gland frappe le fond de son cul. Il en est au point où son corps se relâche après l’orgasme, remplit de plénitude.
Il se sent bien et profite jusqu’au bout de son plaisir anal.
Il ne me faut guère de temps pour que je lui annonce que moi aussi, je n’en peux plus.
"Oui, vas-y! Crache-moi dans le cul! Ahhhhhhhhh!".
J’explose en me cambrant en arrière et lui assène quelques derniers coups de queue à l’intérieur de son anus.
Il s’écroule sous moi, je le suis, collé dans ses fesses et nous restons un court moment ainsi, à reprendre nos esprits.
Il me dit:"Je pense que tu es comme moi, tu es passif! On sent ses choses là! Mais c’est pas grave, tu m’as bien baisé!".
Il s’habille, dépose l’argent sur mon lit et disparait.
J’ai eu du mal à accepter le fait que je me sois prostitué, ce fut la première et dernière fois!
Quand au fait de baiser un autre homme, cela ne m'est arrivé que 5 fois.
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