Hot night

- Par l'auteur HDS Sisao -
Récit érotique écrit par Sisao [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Hot night Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2003 dans la catégorie A dormir debout
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Hot night
- "ton sommeil a été très agité cette nuit chérie, tu as bougé et dit un tas de choses inintelligibles. Par moments, tu avais une voix angélique, à d'autres moments, ta voix prenait des teintes sardoniques qui me glaçaient presque le dos. Te souviens-tu de quoi tu rêvais?"- "non, je ne me souviens de rien."
En réalité je me souviens parfaitement de ce rêve si étrange. Je peux me souvenir des moindres détails. C'était un rêve érotique orienté cochemard, intense et pénétrant. A chaque instant, deux sentiments antinomiques s'immiscaient en moi, celui de la peur panique et celui du plaisir enivrant. Je me souviens, j'étais allongée sur une couverture dans l'herbe fraiche d'une clairière. Je portais un robe d'été à petits motifs géométriques que je ne reconnaissais pas. Je constatais que je voyais cette robe pour la première fois mais je ne m'en étonnais pas. L'air était doux et des dizaines de parfums subtils de fleurs printanières se mélangeaient. Le soleil dispensait une lumière vive et chaleureuse. Je voyais, ça et là, d'étranges effets d'optique égayer le ciel.
Plusieurs espèces d'animaux passaient régulièrement tout près de moi. Une biche avait stoppé à quelques mètres de moi pour brouter un peu d'herbe fraîche, un lapin brun était là et ne semblait rien faire en particulier, un chaton noir jouer adorablement avec un papillon de grande taille aux ailes de feu. Tout ceci me ravissait mais ne m'étonnait pas le moins du monde, comme si l'ordre normal des choses n'était nullement perturbé. Un sentiment d'apaisement et de douce joie sereine m'habitait. Je me sentais comme prête pour quelque chose, je ne sais pas pour quelle chose. Tout à coup, le chaton noir s'est mis à grossir, grossir encore pour atteindre la taille d'une panthère. Il se tourne alors vers moi et me fixe de ses grands yeux verts phosphorescents.
Quelque chose d'insoutenable sortait de ce regard. Un sentiment intense de peur m'envahit soudain, mais ne cédait pas la place de celui d'apaisement, il venait au contraire s'y superposer. Cohabitaient ainsi en moi deux sentiments intenses et opposés, sans venir se mélanger. Ma peur continuait à croître, mais je ne parvenais pas à quitter le chat noir du regard. La lumière autour prenait peu à peu une teinte rouge orangée. Les arbres et leurs feuilles étaient devenus gris comme de vieilles pierres. Les yeux de l'animal brillaient plus intensement. Ma peur était à son apogée et je restais cependant toujours apaisée et sereine, me rendant ainsi démesurement lucide et présente. Tout à coup, dans un éclair fulgurant, le chat s'élevait à un mètre du sol, restait en lévitation et amorçait une lente, très lente transformation de son corps. Il changeait de forme, là, sous me yeux ébaillis. Il étais là, au dessus du sol, à quelques trois mètres de moi. Mon courage était rudement mis à l'épreuve, en quoi ce chat maléfique allait-il se transformer? Je commençais à deviner une étrange forme humaine.
Soudain, la métamorphose s'accélérait et je voyais enfin la forme aboutie. C'était un homme, un bel homme au corps musclé, aux traits fins et sévères. Sa peau est de couleur rouge vif, ses oreilles pointues, de petites ailes accrochées dans son dos et un sexe magnifique. Cet être diabolique rayonnait d'une beauté indiscible. Je comprennais qu'il pouvait me faire beaucoup de mal, comme aussi beaucoup de bien. Je le sentais. Le ciel devenait soudain un gigantesque brasier. L'être diabolique se postait à quelques centimètres au dessus de mon corps, comme suspendu dans les airs. Je sentais la chaleur que dégageait son corps écarlate, je m'apercevais que ma robe avait disparu. J'étais entièrement nue, je m'allongeais lentement sur le dos, j'écartais doucement et machinalement mes jambes. J'étais surprise de constater que ma vulve dégoulinait de mon jus, coulait à flot le long de la raie de mes fesses.
J'écartais mes cuisses au maximum, plaquant mes genoux sous mes bras. Cette posture dégageait la rosette de mon anus qui s'ouvrait comme la corolle d'une fleur. Mon jus abondant coulait toujours et remplit le volcan que formait maintenant la chair apparente de mon anus entièrement détendu. Je voyais le membre puissant de l'homme rouge s'ériger et se durcir. Quelle queue! Je comprenais aisement qu'il alait me baiser. Lintensité et l'étrangeté de la situation me donnaient le courage de faire tomber les lourdes barrières de mes inhibitions. Le fixant droit dans les yeux, je sussurais:
- "fais ce que tu veux de moi, baise moi."
Il s'approchait de moi, me dévisageant puis fixant son regard de braise sur les parties érogènes de mon corps. Au fil de sa lente approche, je sentais une chaleur grandissante m'entourer. Son corps dégageait une chaleur seche et torride. Je sentais ensuite le premier contact de sa peau à la texture inconnue. Ses doigts crochus m'éffleuraient d'abord, j'avais le sentiment d'être literalement perforée par ces mains étranges. Il carressait d'abord le contour de mes épaules, puis le galbes de mes seins, les pointes, mon ventre ensuite de haut en bas, plongea ses doigts dans la toison épaisse de mon pubis. Là, une chaleur indefinissable courrue le long de mes lèvres vaginales, comme une lent courant élèctrique, avant de s'introduire à l'interieur de mes entrailles. Rien de visible n'avait encore pénétré dans mon vagin, je ressentais pourtant la présence d'une forme chaude et parfaitement adaptée à mon vagin, comme s'il s'agissait d'un sexe d'homme démesurement long. Ce sexe imaginaire s'enfonçait en moi toujours plus profondement, sans provoquer la moindre douleur, au contraire, un plaisir indiscible présent jusqu'à mon sternum, presque jusqu'au fond de ma gorge. Son curieux doigt de velour descendit jusqu'à entrer en contact avec mon clitoris. A cet instant précis, un violent orgasme me secoua de la plante de mes pieds jusqu'à la racine de mes longs cheveux blonds. Mon clitoris se dressa, tendu, prêt à s'éventrer, un liquide blanchâtre s'en échappa en un jet puissant, recouvrant entièrement la paume de la main de mon sordide amant. Il stoppa toute activité, observa longuement sa main recouverte avant d'être pris de soudaines convulsions. Son corps se mit à vibrer comme les cordes d'une guitare. Tout en continuant à observer attentivement sa main humide, mon jus pénétra soudain sous sa peau jusqu'à être totalement absorbé. J'observais ce phénomène surnaturel avec stupéfaction, mon corps encore en effervescence. J'attendais avec impatience que cet homme au corps rouge feu me pénètre de son sublime sexe érigé. Je ne quittais plus son membre des yeux. Il approcha sa queue de l'entrée de mon intimité, plaqua son gland brûland sur mes grandes lèvres puis s'enfonça progressivement. Sous le choc, je murmurais spontanément:
- "non, non..."
J'avais soudain l'impression que mon propre corps se transformait, sous l'effet d'une sensation que je n'avais jamais connu auparavant. Instantanement, je fûs prise d'un orgasme sensationnel, d'une intensité indescriptible, d'une puissance phénoménale. J'ai pensé à cet instant qu'il ne me restait seulement que quelques secondes à vivre. L'orgasme qui m'envahit occupait le moindre millimètre carré de mon corps à l'agonie et l'intensité de baissait plus, je vivais un orgasme constant qui me conduirait sans doute à la mort par excès de plaisir. Il occupait maintenant tout mon être de sa queue meurtrière, allait et venait, saississant de ses doigts arqués la peau épaisse et duveteuse de mes hanches. Il retira son sexe de mon vagin, malgré cela, je continuais à ressentir des mouvements de va-et-vient en moi. Instinctivement, je me retournais, me mettant à quatre pattes comme une bête en chaleur. L'orgasme qui s'emparait de moi n'avait pas diminué d'une once d'intensité. Je cambrais mes reins jusqu'à la limite extrème permise par les articulation de mes vertèbres, comme on expose ostensiblement le plat longuement et amoureusement migoté devant un invité de marque que l'on veut à tout pris honorer. - "sers toi copieusement, mange à ta faim, sans retenue. Régale-toi de mon cul, je te l'offre sans limite." Je me contorsionnais, tournant ma tête à cent quatre vingt degrés pour voir le corps sublime de mon amant diabolique et observer la proéminance de mon cul largement offert et l'état de ma pastille anale prête à l'accueil de son incomparable queue. Il s'agrippa à mes hanches, moula son corps au mieux, là, sur mon dos, son gland buta contre mon anus et s'enfonça progressivement.

- "Hheeurrrrr...mmmmmmmmmm...."
Je crus entendre sonner le glas de ma propre vie. Sa queue dans mon anus, le spectre persistant de sa queue dans mon vagin... l'excédant de plaisir qui circulait en moi , trop faiblement humain pour pouvoir supporter une telle charge de plaisir charnel, sortait de mon corps par les glandes lacrimales de mes yeux éblouis par un flot incéssant de larmes chaudes. Empalée par cette bite, je sentis soudain le sol se dérober sous mes genoux. Mon amant m'offrait un baptème de l'air, le septième ciel vraiment dans le ciel. Nous nous envolions ensemble, je me laissais porter, hypnotisée par l'instant présent. Puis vint l'apothéose, un liquide visqueux emplit mon antre, mon diable m'innondait de sa semence. Il me ramena doucement au sol, retira son sexe, se recula légèrement. Une nouvelle métamorphose s'opéra, je ne craignais plus rien à présent, je ne m'étonnais plus de ce qui pouvait se produire encore de surnaturel. Il se transforma rapidement en chaton noir, me regarda brièvement de ce regard furtif propre aux chats, puis s'éloigna élégament pour disparaîtra à l'orée de la clairière boisée. La lumière rougeâtre du ciel disparue pour laisser place à celle plus familière du soleil. Tout redevint normal. Je me reveillais dans mon lit, près de mon mari.

- "ton sommeil a été très agité cette nuit chérie, tu as bougé et dit un tas de choses inintelligibles..."
J'attendais que mon mari se lève et sorte de la chambre. Je soulevais alors les draps et découvris une grande oréole encore humide. Ce n'était qu'un rêve, mais j'avais bel et bien eu un orgasme mémorable. Je changeais les draps en hâte et m'empressais de me diriger sous la douche. Je suis restée longtemps troublée par ce rêve étrange, un peu abîmée même, un peu changée.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Un recit compte comme un reve fabuleux,malheuresement je n'ai pas reussi a me projeter
dedans ou ressentir cette envie en lisant celui ci.
Neanmoins un travail interessant merci



Texte coquin : Hot night
Histoire sexe : Une rose rouge
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