Hôtel de charme. - histoire érotique

Loin du train-train de la vie quotidienne, nous nous octroyons de temps à autre un weekend dans un hôtel. Les destinations sont souvent choisies suivant nos envies de balades et de visites, mais aussi sur le choix des hôtels de charmes. Nous avons une préférence pour les demeures bourgeoise restaurées avec des moulures en bois, des lumières tamisées, chaleureuses. Enfin bref des hôtels pour favoriser le glamour et stimuler nos sens. Généralement ce type d’établissement fait aussi restaurant gastronomique, ce qui est un plus afin de pouvoir déguster de bons vins sans se soucier de qui va conduire.

Pour cette fois, nous nous sommes partis vers la Baule, une ville de bord de mer, où nous avions retenu une chambre. Dès notre arrivée nous sommes tombés sous le charme de l’établissement. Grande demeure des années 1850, avec un hôle d’entrée majestueux avec sur la gauche le traditionnel comptoir d’accueil en bois sculpté et les cases numérotés où se tiennent des clés des chambres, en arrière-plan. Sur la droite une salle de restaurant avec une dizaine de tables rondes, déjà dressées pour recevoir la clientèle. Au fond de la salle un immense bar avec une glace reflétant la salle. Chaque table possède une lampe posée en leur centre, et sur les murs des appliques plongeant la salle dans une atmosphère feutrée et cosy.
En face de l’entrée un grand escalier de bois avec un quart tournant conduisant les clients dans leurs chambres. Escalier muni d’une balustrade en bois brillant comme s’il avait été lustré la veille. A gauche de l’escalier, un petit salon servant de salle d’attente ou de coin lecture, avec bibliothèque, fauteuil et canapé en tissus. Pouvant être fermée par une porte en bois à galandage. Tout l’établissement sens l’essence de chêne et de vieux livres. Un lieu idéal pour un weekend cosy et ressourçant.

En cette période de fin d’été, début d’automne, la clientèle est moins importante. Souvent des couples à la retraite, et quelques commerciaux ou cadres d’entreprises en déplacement.
Après avoir déposé nos bagages, et pris possession de notre nid d’amour pour le weekend, nous ressortons pour nous balader et découvrir la ville. Balade emplie de tendresses, de câlins et de mots d’amours. Le temps est clair, le soleil brille encore, et la chaleur du jour qui tombe s’estompe rapidement. Nous finissons notre journée en rentrant tranquillement à l’hôtel où nous avons réservé pour l’ensemble de notre séjour une table pour les diners.
A l’hôtel, nous nous installons dans la bibliothèque et nous commandons un verre de vin liquoreux, afin d’attendre paisiblement l’heure du diner. Assis confortablement dans nos fauteuils respectifs nous lisons nos livres et discutons du programme du lendemain. De temps à autre nous entendons les battants de la grande porte d’entrée s’ouvrir et se refermer au rythme des arrivées des nouveaux clients. Qui la plupart montent directement dans leurs chambres, empruntant le grand escalier. Nous pouvons les observer gravir les quelques marches avant de les voir disparaitre dès le quart tournant franchi. Clients que nous retrouverons probablement ce soir dans la grande salle du restaurent.
L’heure du diner approche, et après avoir fini nos verres, nous nous dirigeons vers notre chambre à notre tour, pour nous changer et nous préparer, afin de redescendre diner. Pour cela nous avions prévu des tenues de soirées. Pour ma part, mon coupé Pierre Cardin bleu, avec une chemise rouge aux motifs de fleurs discrets, une ceinture noire et des chaussures de ville lustrées. Quant à toi, tu as passé un tailleur noir, une jupe droite avec des bas réhaussé d’une paire d’escarpin aussi brillant que mes souliers. Sous ta veste, un chemisier blanc laissant un décolleté discret. Fard à paupière, mascara, et rouge à lèvres te voilà prête toi aussi à descendre pour notre diner.
Installé à notre table, nous prenons un apéritif, la salle se remplit doucement. Nous sommes installés sur une table dans un angle de la pièce, proche d’une porte fenêtre, d’où l’on peut observer les lumières de ville éclairant les vieilles rues pavées. De notre place nous avons une vue d’ensemble de la salle de restaurant et du bar, là où le serveur en uniforme prépare les cocktails demandés par la clientèle. Un jeune serveur en tenue strict de l’établissement vient prendre notre commande.
Notre discussion est légère, nous parlons de nos chemins professionnels, de notre avenir de couples, des travaux, et nos envies grivoises du moment. Nos yeux se plongent dans les méandres de l’amour et nous sommes bien. Arrivée presque au dessert, nous remarquons que la salle c’est déjà vidé un peu. Beaucoup ont regagnés leurs chambres pour se reposer, probablement éreinté par une dure journée de labeur. Cependant nous remarquons un homme seul, en costume. Probablement un cadre, finissant son repas et plongé dans ces pensées. Nos regards se croisent de temps en temps. Nous essayons de deviner ça profession, son âge. Un petit jeu comme un autre pour nous divertir et prolonger notre soirée à notre table.
Costume impeccable, belle montre, cheveux courts, avec un début de cheveux grisonnant sur les tempes. Visage fin avec une mâchoire puissante mais bien dessinée, des yeux marrons. Une légère barbe dru du jour. Avec toute ses observations nous pensons à un chef d’entreprise en déplacement professionnel à la recherche de nouveau collaborateur.
L’homme a terminé. Il quitte la salle en passant à côté de notre table et nous souhaite une bonne soirée avec un sourire courtois laissant apparaitre une dentition blanche.
Nous terminons nous aussi notre diner et regagnons à notre tour notre chambre. Dans notre intimité, nous terminons cette belle soirée par une étreinte d’amour, où nos corps enlacés s’embrasent et laissent l’alchimie du plaisir charnel dominer nos faits et gestes, jusqu’à nous endormir l’un contre l’autre pour un sommeil apaisant.

Le lendemain, après le petit déjeuner, nous repartons en escapade. Même programme que la veille. Visite, déambulation dans la ville et sur la côte, pas de contrainte familiale. Nous nous laissons aller à nos envies. La journée est belle, et par moment je profite pour caresser tes courbes, tes fesses et même ta poitrine à travers la membrane de tissus, à la dérobé d’un mur. Je te fais savoir mes envies de coquineries que tu aimes tant, préliminaire d’une journée laissant monter progressivement nos envies de sexe pour notre dernière nuit à l’hôtel. Après plus de 10 ans de mariage, nous nous connaissons bien et pour nous le sexe est une passion et parfois nous aimons sortir des sentiers battus de la routine.
Ce qui nous emmène à discuter d’une soirée plus coquine que la veille. Imaginant tout au long de la journée, des envies, des actes et même quelque bride de scénario coquin aux situations d’être surpris ou même d’étreinte partagée. Ce qui à pour effet de me faire fantasmer. Ton corps s’éveille, tes yeux pétilles de désire, et les idées t’émoustille à ton tour, laissant apparaitre la pointe de tes seins se dessiner. Préliminaire d’une journée qui nous pousse à rentrer légèrement plus tôt à l’hôtel pour nous reposer avant cette nuit de folie que nous désirons tout les deux.

A l’heure du diner, nous nous rendons à la grande salle du restaurant d’hôtel. L’établissement nous à réservé la même table que la veille. Nos tenues sont casi identique aussi, à un point prêt, tu as enfilé une lingerie des plus torrides que j’ai pu apercevoir dans l’échancrure de la porte de la salle de bain. Lingerie que j’ai pu que deviné car tu voulais me faire la surprise de la découverte.
Dans la salle de restauration, la clientèle est quasiment la même. Nous retrouvons même notre homme seul assis à la même place s’offrant un apéritif et observant tranquillement les convives s’installer à leurs places.
Nous commandons nous aussi notre apéritif et trinquons à notre beau weekend. Notre conversation est plus coquine se soir. Et mes regards se portent souvent sur ton décolleté et comme à ton habitude tu me charmes et joues avec tes gestes pour m’énerver et m’aguicher. Je te dis que tu es magnifique, désirable et que j’ai beaucoup de chance de t’avoir comme épouse. Et que je suis sûr que beaucoup d’hommes seraient ravis de profiter de tes charmes. Je t’informe même que notre homme mystère au fond de la salle pourrait aisément se laisser tenter à te faire jouir.
Soutenant mon regard et comme par défit lubrique tu me sors que c’est une idée fort agréable, en m’avouant que l’homme en question est plein de charme, de mystère et que tu pourrais bien l’imaginer te caresser.
Sourire en coin je le regarde plus attentivement, et j’essaie de l’imaginer profiter de toi délicatement. Je te réponds naturellement que cela pourrais en effet me plaire aussi.
Le diner se poursuit, et je suis excité par la situation. Très régulièrement, nos trois paires yeux se croisent. Echangeant quelques sourires courtois. Je te sens fébrile et excité toi aussi. Mais nous ne savons pas comment aborder l’homme et lui faire comprendre qu’il pourrait y avoir une perspective gourmande. Peur de passer pour des fous, peur d’être déçu, ou tout simplement peur de sa réaction.
Prétextant un passage aux toilettes, tu quittes la table. Je t’observe slalomer entre les tables et je remarque par la même occasion que notre inconnu à lever les yeux pour suivre ton déplacement. Un regard imperturbable sur ton déhanché, jusqu’à te perdre du regard en quittant la salle. Prenant mon courage à deux mains, et te sachant partante pour un jeu lubrique, je me lève pour me diriger à la table de cet homme.

L’échange est amical et rapide, je l’invite à venir prendre un dernier verre à notre table. Ce qu’il accepte volontiers, cassant la solitude de ça soirée. Sans trop tourner au tour du pot, je lui explique que nous le trouvons charmant et que je suis d’une nature prêteuse et que s’il le voulait je ne serai pas gêné, qu’il puisse jouer avec nous.
Avec un regard incrédule, il me remercie pour cette attention particulière et inattendue même s’il m’avoue que tes charmes ne le laissent pas indifférents et que la proposition est du moins inhabituelle. Et comme un accord tacite nous refermons cette parenthèse éphémère et nous t’apercevons revenir.
Ton regard se plonge dans le mien, et tu comprends vites que la soirée risque d’être plus mouvementé. D’un clin d’œil à ma destinée, tu me confirmes que la situation est plaisante.
Pour briser la glace, nous commandons un digestif, et trinquons ensemble. Nous faisons connaissance simplement, échangeant nos prénoms, décrivons un peu d’où nous venons, le pourquoi de notre visite ici. Et progressivement la tension de la découverte s’estompe, et laisse place à un échange plus détendu et conviviale.
Dans la salle les dernières tables se vident enfin. Il reste plus que nous, et le jeune barman occupé à ranger et laver les derniers verres de la soirée. La table ronde que nous occupons est relativement petite, et je peux aisément te faire du pied ou même caresser ton genou avec une main. Ce que je fais, de temps en temps entre deux prises de paroles. La nappe n’est ni trop longue ni trop courte, juste de quoi masquer quelques caresses plus osées et subtiles.
Notre invité après un temps raisonnable et après t’avoir fait plusieurs compliments sur ta beauté et ta tenue, se laisse aller à tenter quelques caresses sur ton autre genou. Ne voyant aucune réaction négative, il s’enhardit pour prolonger délicatement ça main. Il comprend que nous aimons la discrétion et fait attention au jeune serveur qui meme s’il comprend le jeu, reste professionnel et discret.
Par moment, je vois que tu ne suis plus vraiment la conversation, et je me permets de te demander si tout va bien et si cela te plait ?
Et plongeant à nouveau ton regard dans le mien, et souriante, tu me remercies pour cette soirée qui débute très bien. Tes joues sont plus colorées que tout à l’heure et je te sens bouillonnante de désire. Comme un jeu, je fais exprès de faire tomber ma serviette pour la ramasser et observer furtivement ce qui se passe de l’autre côté de la table.
Je vois que la main de notre invité est déjà largement remontée entre tes cuisses que tu as ouvertes. Revenant à votre hauteur tu me lances.
Le spectacle est beau à voir mon amour ?
Moi : oui grandement.
Toi : et si nous finissions notre verre dans la bibliothèque ?
Nous : avec grand plaisir.
Prenant nos verres, nous nous dirigeons vers celle-ci, remerciant au passage notre serveur pour son travail, et l’informons que nous serons dans la bibliothèque pour finir nos verres à fin qu’il puisse finir de ranger la salle et quitter son poste.

A partir de là, la situation est électrique et emplie de désire. Je profite de la solitude des lieux pour refermer la porte à galandage de la bibliothèque afin d’être dans un lieu plus intimiste. En me retournant, vous êtes déjà installé sur le canapé adossé au mur, me laissant le fauteuil en face. Vos vers sont posés sur une table en face, et notre invité plus excité que jamais, a déjà une main glissée sous ta jupe, et son visage enfoui dans ton cou.
Quant à toi, je te regard fermer les yeux et t’adonner à ses caresses très intrusives qui te fond déjà soupirer. Je m’assoie en face et j’observe cette magnifique scène érotique qui s’offre à moi.
Je peux voir que tu as intelligemment revêtu une lingerie ouverte car je peux voir sa main caresser ton sexe sur ce canapé. Ça bouche à pris possession d’un sein après que tu lui ai ouvert ton chemisier. Il reste de longue minute à te téter, et à stimuler ton clitoris. Et tu profites de ton plaisir.

Pris de folie torride, l’un comme l’autre, vous vous abandonner à votre plaisir. Il te masturbe frénétiquement et tu le masturbes aussi. La situation est torride.
Je t’informe que la porte est fermée à clé. Et grâce à cette information, tu lâches prise. Tu te penches sur lui pour prendre son sexe en bouche. Me montrant tout le plaisir d’avoir un sexe à la merci de ton savoir-faire. Essayant entre deux aller-retours de le faire rentrer entièrement. L’homme tenant tes cheveux d’une main et caressant tes seins de l’autre, m’offrant une vue sublime de votre étreinte. Sortant mon sexe de mon pantalon, je me masturbe doucement à te regardant en action sur cette hampe dressée pour toi. Tenant plus l’homme te fait relever, et retroussant ta jupe sur tes hanches, je vois l’ensemble porte jarretelle et string ouvert que tu me cachais. Il t’installe sur le canaper et écartant tes jambes il vient te gratifier d’un cunnilingus passionné, t’arrachant des gémissements de plus en plus explicites de ton plaisir.
Te laissant déguster, tu me regardes me masturber. Tu aimes voir ma main monter et descendre, me donnant du plaisir à te regarder.
Toi : hum cela te plais mon amour, de m’offrir à un autre, humm ?
Moi : oh oui chérie, surtout profite et t’arrête pas vous m’exciter beaucoup.
Prenant sa tête entre tes mains, tu l’incites à manger d’avantage ta chatte. Ton bassin ondule même sur ces lèvres, ce qui a pour effet de t’exciter encore. Il se débrouille bien, car tu l’invites à continuer
Toi : oui encore oui là oui comme ça oui, je viens oui encore encore…
Tête en arrière tu jouis sur ces coups de langue. N’en pouvant plus, tu l’invites à te prendre sur le canapé.
L’invité te place en levrette sur celui-ci. Il s’équipe d’un préservatif que je lui ai tendu, et sans plus de cérémonie, il vient prendre possession de ta fente accueillante. Et dans un déluge de vas et viens, ces mains agrippant tes hanches, il te culbute de tout son long. Tu es terriblement sexuelle et j’admire la beauté de ton plaisir. Et la performance de notre invité à te culbuter m’excite encore et encore. Je me masturbe maintenant frénétiquement à vous regarder.
Ses mains quittent de temps en temps tes hanches pour venir chercher tes seins, et tes tétons devenu très sensible. Ils les malaxent, les pinces et les stimules à sa guise. Parfois il glisse une main entre tes cuisses pour te branler en meme temps. Et parfois il joue avec un pouce et stimule ton petit cul.
Toi : oui c’est bon, bourre-moi, oui encore, oui encore. Prends-moi le cul s’il te plait oui encule moi, j’ai envie que tu me baises devant mon mari oui ah !!!
Tes mots si crus, me laisse aucun doute sur le plaisir que tu prends à être baiser par un autre homme devant moi. Et le plaisir que tu as à me regarder me branler
L’homme incité par tes mots, vient satisfaire ton envie, et je le vois lentement ouvrir ta rondelle avec son sexe bien bander, t’arrachant encore de multiples plaintes de plaisir.

Toute la pièce résonne de vos ébats, et te voir si épanoui et coquine est magnifique. Je ne pouvais pas rêver mieux qu’une femme si coquine et libertine. Dans le feu de l’action, je m’aperçois que je le jeune serveur est entrée dans la pièce. Il me fait signe qu’il avait un passe pour rentrer.
Le voyant avec son sexe en main, je m’imagine qu’il est là depuis un petit moment à nous observer. Il s’approche de vous deux, alors que tu te fais encore prendre. Lentement il vient caresser ton dos. Notre 1er invité s’arrête net, ne sachant pas comment réagir. Et rouvrant les yeux tu vois le jeune serveur, le sexe en main, devant vous.
Un silence, me semblant interminable se fait entendre. Personne n’ose bouger. Situation irréaliste.
Le jeune homme plus téméraire brise le silence.
Allons les amis, profitons. J’ai vu que Mr aime voir Mme s’amuser. Alors jouons !
Me regardant, tu toises ma réaction. Mais la posture dans laquelle tu te tiens ne permet pas trop négocier et puis excité par la situation tu te détends et reprends doucement un vas et viens sur le chibre qui est encore planter dans ton cul, donnant le signale d’une reprise.
Quant au jeune homme, il vient prendre possession de ta bouche. Te voilà, prise en levrette avec un sexe de chaque côté.
Le jeune homme est moins délicat, probablement la fougue de la jeunesse, ou l’habitude d’avoir des couples coquins dans son métier. Il est même plus directif et cochon.
Jeune homme : aller oui suce bien ma queue. Oui tu sais y faire ! suce bien oui bien à fond. Et toi bourre la bien. Putain c’est bon. Oui encule la bien fort. Ah !!
C’est une débauche de mot cru. Alors que tu te fais prendre et loin de t’offusquer, tu fais tout pour accueillir les deux membres tendus pour toi.
Je suis subjugué de la scène et je transpire d’excitation, mon sexe perle de plaisir. Mon regard ne sait plus où se poser. Sur ton fessier qui accepter une sodomie profonde ou sur la vision de ta bouche déformée par la pipe que le jeune homme t’impose. Scène digne d’un film X.
Cela dure quelques minutes mais les deux hommes fatigues. Et comme de vieux complices ils te dirigent pour te placer dans une nouvelle posture obscène.
Notre invité est maintenant assis sur le canapé, il te demande de t’assoir sur lui, en lui tournant le dos, il dirige naturellement sont sexe pour reprendre ton fessier. Le jeune homme se place alors devant toi et t’aide à relever les jambes. Et après lui avoir tendu un autre préservatif, il vient prendre ton sexe.
Et dans un râle de plaisir non dissimulé, je les vois te prendre en double. Tu n’es plus que plaisir. Tu te laisses totalement envahir par les sensations. Un sexe remplissant ton cul et un autre venant limer ta chatte.
Toi : putain c’est bon, ah oui chérie je jouis oui je jouis ils me baisent bien !!ah oui branle toi bien, oui regarde moi, j’adore ça oui. Oui encore, oui baisez moi ah !!!!

Trop excité par la situation, je me rapproche de votre trio, et me masturbant au-dessus de toi, je viens jouir sur tes seins alors que tu te fais prendre copieusement par nos compères. Ce qui te fait jouir à nouveau en sentant mon foutre mourir sur ta poitrine.
Les deux hommes s’activent de plus belle. Et leurs petites morts est proche.
T’offrant un dernier orgasment en te bourrant frénétiquement, ils se retirent, te laissant encore enivrer de ton plaisir. Allongé sur le canapé, ils se masturbent au-dessus de toi.
Moi : chérie branle toi pour eux. Fait les jouir sur tes seins pendant que tu te caresses.
Exécutante, ta main caresse tes seins et l’autre stimule une dernière fois ton bourgeon de plaisir, fixant les deux chibres frénétiquement branlés et dans un dernier râle bestial, les deux hommes jouissent sur toi. Une pluie de sperme tombe aléatoirement sur ton corps et tes vêtements. Ce qui a pour effet de te faire jouir et transformer le canapé en piscine de plaisir.

Tous les quatre, nous reprenons doucement nos esprits. Nos respirations s’apaisent.
Le jeune homme, moins protocolaire, nous quitte en nous remerciant.
Quant à notre hôte du moment, il t’aide à te relever, ensemble nous nous réajustons sommairement pour rejoindre nos chambres.
Avant de quitter la pièce il nous remercie de ce moment et nous complimente sur notre esprit ouvert.
Et c’est dans un état encore embrumé d’orgasmes que nous nous quittons.
Quant à nous, nous nous retrouvons sous une douche bien chaude de la chambre pour un moment de tendresses, de caresses et d’échange pour s’assurer que le moment vécu à bien été un plaisir commun.

Fin je t’aime ma bien aimée.